The Multiversity

La lingerie fut finalement assez facile à retrouver. Ce n’était pas tous les jours que l’une des esclaves de Mélinda venait lui signaler que quelqu’un avait volé la lingerie qu’elle abritait dans son casier. Le lycée Jinmu était un grand lycée, mais qui avait le net avantage de contenir des caméras cachées presque partout. Mélinda surveillait après tout soigneusement chacun de ses esclaves, et elle aimait aussi se faire des montages pornographiques à partir des exploits de ses esclaves. Elle avait donc installé au sein du lycée un certain nombre de caméras cachées, que ce soit dans les couloirs ou les salles de classe.

Ainsi, quand Priscilla était venue se plaindre à sa Maîtresse que sa lingerie avait été volée en prévision d’une soirée orgasmique dans l’une des salles de cours du lycée, Mélinda avait remonté la trace du voleur… La consultation des caméras pirates dont elle disposait avait vite permis d’identifier la voleuse, qui était une voisine de casier de Priscilla, et qui avait dû mémoriser le code de son casier.

Lyosinda Adelfort. Une orpheline qui avait grandi de foyer en foyer, puis d’internat en internat, avant de rejoindre l’internat du lycée Jinmu. Elle n’était à ce stade affiliée à aucun des différents clans qui se partageaient le lycée. Mélinda creusa ses recherches. Le dossier scolaire de Lyosinda fut complété par les dossiers sociaux, et elle apprit qu’elle était une kleptomane. Plusieurs de ses dossiers comprenaient des mentions pour des vols de culottes ou de soutiens-gorges.

*Timide, mais pas tant que ça…*

Mélinda avait décidé de traiter ça elle-même. Elle disposait également d’esclaves parmi les professeurs, il fut donc facile de demander à Ember, une professeure travaillant pour Mélinda, de convoquer Lyosinda à un entretien personnalisé, officiellement pour discuter de son orientation et de son insertion au lycée. Lyosinda ignorait évidemment que Mélinda participerait à cet entretien, qui était prévu dans une salle de cours après les heures de cours.

Quand Lyosinda arriva dans la salle, Ember se tenait là, et lui ouvrit la porte.

« Bienvenue, Adelfort-san. Je t’en prie, installe-toi. Normalement, je fais ce genre d’entretien dans mon bureau, mais il est en travaux. »

Elle attendit que Lyosinda entre pour refermer la porte, et pour la verrouiller. Lyosinda put ensuite s’asseoir. Ember avait mis deux tables pour élèves en les collant l’une à l’autre, et s’assit d’un côté. La salle de cours disposait aussi de portes internes pour communiquer avec les autres salles, et ce fut par la porte à l’arrière que Mélinda entra, discrètement, évitant pour l’heure de se faire repérer.

« Comment te sens-tu, Adelfort-san ? J’ai lu dans ton dossier que tu avais récemment changé d’internat, est-ce que tu t’intègres bien au lycée ? »

Lingerie volée par Lyosinda :

La Chapardeuse au nom bien étrange, Lyosinda était arrivé il y a peu de temps entre les murs de cet Établissement qu'était le Lycée Jinmu. De ce fait, non seulement elle était peu connu aussi bien visuellement que socialement. Elle tâchait de rester discrète, une "Invisible" si on peut dire, une de ses personnages qui est si discrète que la plupart des gens, des Élèves, comme des Professeurs ne la captait pas, ne lui parlait pas.
Cette situation avait également un avantage, c'était également le meilleur moment pour s'adonner à ses penchants, ses vices caché et honteux, ça rendait plus facile en général le vol de ses "cibles"...
Mais cela c'était sans compter qu'elle ne connaissait pas les choses du Lycée et que ce dernier était équipé de vidéo surveillance...

Ce n'était pas sa première fois entre ses Murs, il n'avait même pas fallu attendre la fin de la première semaine de son arrivé pour que Lyosinda ait "délaissé" une de ses camarades Étudiante de ses sous vêtements lors d'un cour de sport...
Mais ceci n'était pas notre histoire du moment.
Sa dernière cible du moment, était cette magnifique et plantureuse Étudiante rousse, avec un regard troublant, ardent et ses rougeurs sur les joues... Lyosinda avait choisis de faire d'elle sa Cible, choisis? Non... Son corps, son esprit avait besoin même de faire de Priscilla sa proie, sa Victime.

Cela avait pris plusieurs moment à l'observer, la guetter du coin du regard, ses yeux caché derrière ses mèches de cheveux, au détour d'un couloir ou même lors du passage aux casiers. Victoire! Elle avait réussi à obtenir son code de cadenas!
Ni une, ni deux, elle prétextait avoir besoin de s’éclipser pour raison intime pour sortir de la classe. Profitant du vide des couloirs pour passer au casier de la Délicieuse Rousse pour l'ouvrir et venir fouiller...
A cet instant, fouillant, le Rouge montant aux joues, les yeux s'arrondissant comme deux lunes, le cœur s'emballant comme un troupeau au galop... Dans l'un des sac en papier dans le casier, Lyosinda était tombé sur ce que l'on pouvait dire, le Saint Graal!

** Mais... Mais.... Je me suis trompé de casier?.... Comment elle peut porter une telle chose?.... C'est.... Mon Dieu.... C'est fille.... C'est.... **

Ni une, ni deux, elle prit le Sac avec son contenu comme Trophée de la semaine...

Ce qu'elle ne savait pas, c'est que bien entendu ce n'était pas passé inaperçu et que la propriétaire de ce Trésor avait des moyens, une aide inestimable pour mener l'Enquête sur ce Vole d'une personne asser importante pour déployer les moyens qui allaient arriver. Bon, bien entendu, d'ici la, se Trésor de tissu, de Lingerie allait être utilisé pour accompagner des moments intimes, solitaire de la Chapardeuse et de ses rêveries.

Ce n'est que quelques temps, peut être journée plus tard, qu'un appel par Haut Parleur retentissait lors de la fin des cours.

" Attention! Attention! Mademoiselle Adelfort-san est demandé en salle par la Professeur Ember pour son Entretien Personnalisé. "

Surprise, elle se décidait de rejoindre la dite salle ou l'attendait alors sa Professeur, puis pas n'importe laquelle non plus. Sa Professeur favorite sur qui elle avait eu des pensées clairement pas catholique pour la Demoiselle qu'elle était.

« Bonjour Madame Ember-sensei! »

Dit elle tout en s'inclinant poliment, respectueusement pour saluer sa Professeur. Tremblante légèrement, sentant le stresse de la situation monter, ainsi qu'un léger tourbillon ardent naitre aux creux de son jardin intime alors que son regard glissait le plus discrètement possible comme un pinceau sur une toile, sur les courbes les traits de la Dame Majestueuse. Elle ressentait comme une impression, une sensation, une aura? a la fois différente et similaire de Priscilla, celle qui avait était le fruit de plusieurs écoulement mielleux.
Une fois installée sur la chaise désignée par l'Attentionnée Ember, l'écoutant, bien que n'affrontant pas son regard par timidité clairement manifeste.

« Eu.... Je vais bien Madame Ember-sensei, merci. Mais je... Je pensais que nous avions rendez vous la semaine prochaine, me serais je trompé de date? »

Assise, les mains serré et fermé sur le bas de sa jupe de son uniforme scolaire, la tirant le bas sur les bas blanc, les cuisses serré, la tête penché en avant. Ne pouvant s'empêcher honteusement de lancer un regard discret sur sa professeur, comme si des explorateurs venaient par aller et retour explorer et imaginer des trésors dissimulé. Sans parler du fait, que sa dernière conquête délicate, rose, erotique, aux parfum de Priscilla avec un léger mélange de miel intime transpirait discrètement de cette lingerie rose porté sous l'uniforme scolaire.
Tentant dans le même temps de rendre la conversation, de dissimuler et paraitre le plus normal et banal possible. Ce n'était pas toujours facile de dissimuler cette part d'ombre, cette facette d'elle que personne ne devait connaitre.

Continuant à écouter, puis de répondre...

« C'est exacte Madame Ember-sensei♪ Je... On me change régulièrement d’Établissement, d'internat. Et oui, je m'intègre bien Sensei. Enfin je pense. J'ai pas encore tout à fais prise mes marques, tous les règlements et autre. Mais ça va venir Madame. »

Lyosinda devait mentir ou du moins arrondir les angles. Elle n'était pas forcément la meilleure des menteuses, surtout que Ember ne la laissait pas de marbre et cela aidait pas à rester stoïque.

La pièce abritait naturellement des caméras cachées. Ces caméras étaient toutes reliées à un centre de contrôle, situé au manoir de Mélinda, où ses informaticiens étaient en train de s’amuser. Ils étaient ses esclaves, des hommes comme des femmes que Mélinda avait séduit, de la même façon qu’elle allait séduire Lyosinda. Ember, elle, était née esclave, et, comme chaque esclave de Mélinda, elle avait été soigneusement formée et éduquée, puis avait fait le choix, à sa majorité, de rester son esclave. Elle avait donc ensuite rejoint la Terre pour devenir une professeure. Aussi belle que perverse, Ember était la fidèle esclave de Mélinda, l’une de ses servantes qui vouaient à leur Maîtresse un culte infini.

Tandis que Ember parlait, les caméras filmaient Lyosinda, zoomant sur elle. Avec sa tenue de lycéenne, impossible de voir quoi que ce soit, mais il était toujours possible de filmer sous elle.

« Je suis ravie de l’apprendre. Tu sais, tous les élèves doivent choisir un club extrascolaire auquel adhérer. Tu as eu le temps d’y songer ? La plupart des élèves rejoignent le club social, mais tu pourrais aussi envisager le club d’occultisme… »

Le club d’occultisme était le club de Mélinda Warren, tandis que le club social, le premier club du lycée, était celui de sa rivale, Leona Morimoto. Sous le bureau, il y avait une autre caméra, collée au bureau, installée par Ember. La caméra pouvait s’étirer, formant une sorte de tuyau en caoutchouc qui était manipulé à distance, et qui permit de placer l’objectif sous la jupe de Lyosinda.

Sur son téléphone portable, Mélinda reçut ainsi un MMS lui transmettant le cliché. Elle sourit doucement en ayant sa preuve, la photo montrant le bas de la guêpière rose à dentelles subtilisée par Lyosinda à Priscilla. Mélinda se rapprocha alors.

Ember expliquait les différences entre les clubs, avant de revenir sur le parcours de Lyosinda.

« Tu sais, j’ai consulté ton dossier scolaire, il contient des notes des précédents internats et établissements où tu étais. Plusieurs notes t’accusent d’être une kleptomane. Je n’ose croire qu’une fille aussi adorable que toi puisse t’adonner à ce genre de choses… »

Mélinda intervint alors. Elle posa ses deux mains sur les épaules de Lyosinda, qui sursauta sur place. Mélinda avait beau avoir une taille fine, elle pouvait renforcer sa force, ce qu’elle fit pour maintenir Lyosinda sur sa chaise.

« Et pourtant, moi, je le sais ! »

Elle retira ses mains, et vit la stupeur dans les yeux de Lyosinda, son incompréhension. Mélinda se glissa alors dans le dos d’Ember, et malaxa ses épaules.

« Bonjour, Lyosinda-chan, je m’appelle Mélinda Warren… Si ton rendez-vous avec Ember-sama a été avancée, c’est parce que je lui en ai donné l’ordre lorsque j’ai appris que celle que je comptais laisser rejoindre le club social avait subtilisé la guêpière de ma Priscilla-chan… Tu as visiblement bien besoin qu’on te prenne en main, ma belle… »

À ce stade, il était impossible de prédire comment Lyosinda allait réagir…

Lyosinda n'avait pas conscience de ce qui se tramait dans " l'arrière boutique " de la Dynastie Warren et toute sa suite. Que ça soit les Montages, les films, les caméras et tout ce qui s'ensuit. Elle ne s'avait pas que non seulement sa proie Priscilla, mais aussi cette professeur a croquer Ember étaient des Fleures appartenant au Jardin Secret appartenant à la Lady Warren.
La Chapardeuse n'avait aucune idée dans quel "Monde" elle venait de mettre le pied, ni si elle y avoir sa place. Mais ce qui était sur, c'est qu'un Livre vierge en très grande majorité et que comme un Peintre avec sa Toile, un Sculpteur avec son Marbre, un écrivain avec sa feuille blanche. Lyosinda était dans l'attente de d'être écrite, sculpté, peinte.

Pendant la Discussion, les Caméra pouvaient capturer chaque angle, détail, plie et replie de la suspecte dans cette Enquête qui semblait déjà close mais dans l'attente d'avoir de très proche futur clou à mettre dans le cercueil de ce petit moment de "l'inspectrice" Warren.
Lyosinda était pas parfaite, mais ce qui était sur, c'est qu'elle savait bien s'habiller, en apparence extérieur, d'un point de vue standard, elle prenait soin de sa tenue, bien boutonné, entièrement, propre, lisse, la cravate parfaitement noué, même si visiblement ça caché un petit collier d'un métal non déterminé a une telle distance, mais ça ressembler a un collier chaine simple comme d'autres pouvaient avoir. Mais délicatement et soigneusement placé pour être caché par la cravate. La Jupe était aussi soigneusement, au centimètre prêt placé, zippé avec le bouton pour clôturer et le rebord plissé par dessus pour cacher l'attache. Sa veste fermé au niveau du ventre, des chaussettes hautes. Le tout bien entendu aux couleurs du Lycée Jinmu.
Et le plus important surement pour Dame Warren, Dame Ember-sensei, c'était la preuve de sa faute, bien caché sous ses vêtements, ce magnifique ensemble, pièce de tissu, aux motifx alléchant, érotique et cette couleur rose qu'était la Lingerie emprunté a duré indéterminé a Priscilla.

« Je sais Madame Ember-Sensei, mais c'est tellement compliqué, surtout que je connais peu, voir presque personne en fait. J'y songe de temps en temps, mais c'est pas réellement le genre de chose ou j'ai l'habitude de choisir, surtout si on vient encore me changer d’établissement d'ici peu. »

Ember-sensei venait de mettre le doigt sur une chose un peu particulière. Un Club d'Occultisme? Pour Lyosinda, la Magie, ça existait pas réellement, pour elle, c'était de la science, de l'illusion avec un brun de détournement d'attention. Et donc naturellement ce qu'elle allait dire allait surement faire rebondir d'une autre manière son interlocutrice.

« Un Club d'Occultisme? Sérieusement Sensei? Je vais y faire quoi? Lire des livres d'histoire de soit disant une autre époque, un autre monde, avec des créatures et autre? Genre Sorcière de Salem?. »

Puis pendant que Ember venait lui expliquer les différences, lui faire la présentation, peut être même une légère remontrance ou autre. La Caméra mobile, depuis le dessous du bureau venait serpenter pour se glisser discrètement et avoir alors un angle de vue parfait pour voir sous la jupe de la Lycéenne. Voyant le bas de la Guêpière Rose, finement tissé aux motifs Erotique. Mais le hic, c'est que sa propriétaire légitime avait des formes plus épanouie que Lyosinda, donc la Chapardeuse semblait un peu nager dedans, avoir de quoi encore remplir les formes de la Rouquine. Mais ça empêchait pas que la Caméra pouvait capter une légère ombrelle d'humidité au niveau de la Fleure intime dissimulé sous les pétales de tissu.

Au fil de la discussion, cette dernière venait prendre un changement de direction et le visage de Lyosinda se décomposa légèrement, rougir, être gênée... Elle se frottait les cuisses l'une contre l'autre, bloquant ses mains entre elles, obstruant en même temps la vue à la Caméra.
Puis comme bon nombre d'Humaine, elle allait tenter de mentir, mais pas douée, cela serait surement pas bien compliqué de le voir pour la Professeur, et encore plus facilement pour Maitresse Warren.

« Par... Pardon Sensei? Comment ça?.... Je.... Moi? Voleuse? Mais.... Vous me croyez réellement capable de faire de telle chose? Je n'oserai jamais voler de l'argent, des affaires d'école, des téléphones... »

Elle n'avait pas eu le temps de terminer sa Phrase qu'elle sentit la présence, les mains posé sur ses épaules par derrière, surprise, elle avait tenté de se redresser, de bondir même sous la surprise, mais très vite cloué sur la chaise par la force de la Vampire.
Tout de suite, quand Melinda venait faire le tour et apparaitre aux yeux de la proie, La Coupable venait alors être surprise, voir cette... Personne? Elle avait l'air si jeune, mais pourtant elle dégageait un on ne sait quoi qui laissait penser qu'elle paraissait plus jeune qu'elle ne l'été et surtout, comme, techniquement pas à sa place, alors que pourtant c'était bien loin de la vrai vérité.

« Vous... Vous moquez de moi? C'est une blague? Un sketche? Vous croyez que je vais croire que vous êtes quoi.... La Directrice du Lycée?... Et le Club Social c'est quoi? Une secte en fait? »

Lyosinda se perdait un peu dans ses pensées, perdue et surtout bien loin de se rendre compte a qui elle parlait réellement. Sortir des bêtises, des ineptie pour tenter de noyer la discussion. Elle tentait même de profiter que Melinda soit derrière Ember pour se lever et tenter d'ouvrir la porte et sortir... Mais cette dernière avait été verrouillé par la Sensei.
La Pauvre Lyosinda, clairement une "Non eveillé" au Monde, sa part d'ombre, a l'univers et la magie et tout ce qui allait avec. Ainsi allait débuter son Eveille au Monde... Mais de quel Magnière?...

Il existait au Japon une certaine culture du « monde de l’ombre ». Ce n’était toutefois pas que spécifique au Japon. Toute société institutionnalisée fonctionnait comme cela ; il y avait les institutions étatiques, légales, et les institutions plus obscures, les racines d’un arbre. C’était une belle métaphore. Si la société était un arbre, ses branches en seraient les institutions publiques, tandis que ses racines seraient les institutions plus opaques. C’était d’autant plus vrai que, historiquement, le Japon avait connu des périodes très anarchiques, des périodes où la criminalité organisée avait pu se structurer, et constituer un supplétif aux institutions légales. Au lycée Jinmu, cette dichotomie se retrouvait. Il y avait les professeurs, l’agenda, le planning, les cours à suivre, les devoirs et les exercices… Et il y avait les femmes comme Mélinda. Elle sourit en voyant la surprise de Lyosinda, qui ne savait plus où se mettre. Elle laissa Lyosinda se diriger vers la porte, et celle-ci constata qu’elle était fermée.

Quand elle se retourna, Mélinda était déjà sur elle, et posa sa main sur sa gorge. Malgré sa petite taille, elle pouvait faire preuve d’une force redoutable. C’était une vampire, après tout !

« Ne me mens pas, petite rebelle, et n’ose pas me tourner le dos ! Je ne suis pas la Directrice, non, je suis une élève, comme toi… Mais je suis aussi davantage. Toi, tu es à la fois une élève et voleuse, moi, je suis une élève et une dominatrice. »

Mélinda sourit alors, un sourire qui permit à Lyosinda de voir ses canines. Avec son autre main, Mélinda s’amusa à tirer sur la cravate de Lyosinda, la dénouant, puis elle glissa son doigt griffu sur plusieurs boutons de la chemise de Lyosinda. Elle en fit sauter deux, et sourit encore, écartant les pans de sa chemise, révélant ainsi, outre l’ourlet de ses seins, la fine dentelle du soutien-gorge.

« Ce soutien-gorge appartient à l’une de mes esclaves, Priscilla. Il a été conçu et enchanté pour elle. Tu ne t’es pas étonnée qu’il t’aille alors que tu ne fais pas la même taille qu’elle ? »

La vampire relâcha sa main, et Lyosinda tomba au sol, sur les fesses. Bras croisés, Mélinda la regarda.

« Tu sais, il y a plusieurs sources d’autorité au sein de ce lycée. Il y a tes professeurs, mais il y a aussi les Maîtres et les Maîtresses. Nous agissons à travers des clubs sociaux, et formons des sortes de clans. Le club social est mon principal rival. Moi et sa dirigeante, Leone Morimoto, nous nous partageons les nouveaux comme toi. Cela évite les rivalités et les conflits. Le club social ayant une place importante au sein de l’internat, j’avais prévu de te laisser entre ses mains… Mais, comme tu t’es manifestée à moi, j’ai décidé de m’occuper de toi. »

Ember se rapprocha lentement, et sourit doucement.

« Tu as beaucoup de chance, ma chérie, tu vas devenir l’esclave de Maîtresse Warren !
- Je crains néanmoins qu’il ne faille t’éduquer un peu… Tu es une petite chapardeuse, toi, après tout… » sourit-elle.

Bien qu'elle n'en avait pas conscience, elle venait de débuter son plongeon sur cette partie du Monde et de ses Racines. Se retournant pour, comme une proie, être Dos "au Mur" et faire face à la Prédatrice qu'était cette Elève Mystérieuse.
Se retrouvant soudainement, en même pas le temps d'un battement de cil, poussé au point d'avoir un léger bruit de choc contre la porte, se rendant compte par la suite de cette Force Indomptable posé sur son cou au travers de la main de Mélinda. Machinalement, elle venait alors poser les siennes dessus, essayant de défaire l'emprise, mais n'y arrivant pas le moins du monde...

«Vous n'êtes pas réel, je ... je.... Je .... ça doit être un rêve... Oui! C'est ça! Je sais que j'ai une imagination débordante... Je... Je vais me réveiller. »

Elle tremblotait quand même, même si elle essayait de se convaincre que c'était encore un de ses rêves, son corps lui était plus perspicace et sincère que son Esprit. Les mots de Mélinda raisonnait dans son Esprit comme elle le ferait dans une pièce entièrement vide. L'écoutant, avant de répondre avec cette même voix tremblotante et son regard perdu, inquiète et à la recherche d'une échappatoire, peut être a travers un fugace échange avec la Sensei, avant de revenir à la Vampire.

« Je ne ... Me faites pas de mal... Je... Je ne suis pas une... Vous... vous avez tord... Vous ... vous devez me confondre avec une autre... Une... Dominatrice? Pas possible.... Je... Je suis dans un.... Je suis endormie...»

Finissait t elle, fermant ses yeux, les plissant même très fort et marmonnant des mots que les oreilles de la Vampire entendront.

« Réveilles toi! Réveilles toi! Aller! Réveilles toi! »

Mais pendant qu'elle continuait à ignorer la vérité, qu'elle ne dormait pas, elle pouvait sentir ce geste à la fois sur, précis, ferme et pourtant délicat et délicieusement électrique de sensualité quand Mélinda défaisait la cravate, cet accessoire attaché autour du cou de Lyosinda. Ouvrant les yeux alors, le regard capté par ses Canines non-humaines. Puis comme si le temps ralentissait, à chaque bouton décroché par le doigt griffu, la sensation que son Coeur battait tellement vite, qu'il donnait l'impression de bondir tellement fort qu'il laissait croire qu'il bondirait bien hors de la cage thoracique.

Sentant la caresse légère et pourtant profonde en même temps de ce doigt inquisiteur qui glisse sous les boutons, a la fois sur sa peau en dessous et sur ce tissu, cette dentelle, sa forme. Frissonnante malgré la situation d'un plaisir chaleureux. Elle était faible, mais elle tentait de cachait cette partie sombre de son être.

Maintenant que sa chemise était ouverte, donnant la preuve, a même le regard de Mélinda et Ember du méfait, de la vilenie de la Chapardeuse, elle ne pouvait plus nier, plus le cacher et c'est ainsi qu'elle commençait à fondre en larme, l'angoisse, la peur.
N'ayant pas le temps de répondre de suite qu'elle tomba au sol, relâché par cette main puissante; sur les fesses, ayant même le choc affiché sur son visage, se mettant machinalement un bref instant la main sur les fesses avant de se recroqueviller dans le coin de la porte et du sol, genoux contre elle, une main refermant la chemise.

« Je.... Je me fiche de leurs tailles... Ils ont... ils sont... Précieux... Vous... Vous pouvez pas comprendre... »

Avait elle marmonné, alors que cette phrase était presque un aveux directe et sincère de son méfait. Mais elle restait honteuse, car la société et les milieux ou elle avait été n'acceptait pas qu'une jeune femme soit une voleuse et encore plus, une voleuse de sous vêtement féminin.

Au fur et à mesure que Mélinda racontait le petit récapitulatif du Lycée et de son Histoire, Lyosinda redressait juste asser la tête pour que les yeux pleins de honte, de larme puisse remonter jusqu'au ventre maximum de la Vampire.
La Vampire et la Sensei pouvaient toutes les deux percevoir que l'Elève Chapardeuse semblait commencer le long... très long chemin pour comprendre et accepter que ce n'était pas un rêve, mais que ça prendrait du temps pour la futur nouvelle arrivante dans le cercle de Mademoiselle Warren. Même si Lyosinda ne le savait pas encore...

Les émois de Lyosinda, Mélinda pouvait les sentir. Elle s’attendait à la voir tenter de s’enfuir, voire devenir violente… Mais, au lieu de ça, elle se recroquevilla sur place, rabattant sur elle les pans de sa chemise, marmonnant que Mélinda ne pouvait pas comprendre. Bras croisés, celle-ci resta silencieuse, tandis qu’Ember s’était déplacée. À côté de Lyosinda, celle-ci put la voir s’agenouiller respectueusement devant sa Maîtresse, tout en lui tendant un objet qu’elle avait sorti de son bureau : un collier en cuir. Fin et élégant, il comprenait un petit cœur incrusté dedans. Mélinda sourit, et l’attrapa. Le contraste entre cette professeure responsable et respectable qui s’agenouillait devant une élève avait de quoi surprendre. Mélinda caressa également affectueusement la joue d’Ember, puis l’embrassa. Elle la félicitait comme on remerciait son animal de compagnie, et les joues d’Ember vinrent naturellement s’empourprer.

Mélinda fléchit ensuite les genoux, et orienta le collier vers Lyosinda, qui put voir une inscription dorée gravée à l’intérieur de ce très joli collier : « LYOSINDA ».

« Je pense que je peux tout à fait comprendre, Lyosinda-chan. Tu aimes ce qui est joli… Et tu considères, comme moi, que ce qui est aux autres peut être à toi. Tu vois, moi, je considère aussi, comme toi, que je peux prendre ce que je trouve beau, joli, ou intéressant. La propriété, en définitive, ça ne se résume qu’à une affaire de puissance. Si je veux empêcher les autres de te prendre à moi, il faut bien que je te marque, que les autres sachent à quoi s’en tenir. Enfin, tu es une humaine, donc on ne te marque pas au fer rouge, mais… Avec ce collier.] »

Le fait que son nom soit brodé dessus était l’ultime preuve que ce qui se passait en ce moment ne devait rien au hasard. Ember-sensei se rapprocha alors, et s’agenouilla à côté du duo, et caressa alors les cheveux de Lyosinda.

« Personne ne t’en veut, Lyosinda-chan. Tu as de la chance, tu sais, que ce soit Warren-sama qui veuille de toi. Je ne critiquerai pas mes élèves, mais Leona Morimoto est quand même beaucoup plus autoritaire.
- Pour autant, ta tendance à la kleptomanie risque aussi de se retrouver au sein de mon manoir. Et, si tu voles les culottes d’autres filles, elles vont se disputer. Car, dans ton cas, je crois que le plaisir ne vient pas tant de l’objet en lui-même que du frisson de l’excitation, de ce sentiment exquis de faire l’interdit, ce sentiment grisant de liberté quand tu t’empares de quelque chose qui appartient à autrui… »

Mélinda tenait toujours le collier, et posa son doigt sur le menton de Lyosinda. Elle releva ainsi sa tête, et croisa son regard, serrant le menton de Lyosinda contre ses doigts.

« C’est ça que tu aimes, hein ? Derrière ton joli petit minois tout innocent, je crois qu’il y a une petite chipie qui aime vivre dangereusement… »

Mélinda pensait avoir complètement cerné Lyosinda et deviner comment agir exactement pour alors rajouter cette Lycéenne à son Tableau de Chasse...

Lyosinda savait que la porte était fermé, pourquoi tenter de s'acharner à vouloir outrepasser cet élément, elle n'était pas une de ses Demoiselles asser forte pour pouvoir enfoncer la porte. Puis courir? S'enfuir? vu ce déplacement dont Mélinda lui avait fais preuve, elle se retrouverait sans nul doute rattrapé en moins de temps qu'il ne faudrait pour cligner des yeux.
Puis, elle n'avait pas encore clairement assimilé que ceci, cette scène qui se déroulait était réel, s'imaginant être dans un Rêve, dans son imagination débordante, elle voulait voir jusqu’où ça pouvait aller.

Quand Ember-sensei venait à coté de sa Jeune Élève, se tourner vers l’Élève qui soit disant était la Maitresse de tout un vaste Milieu avec d'autres Esclave. Lyosinda compris, ou du moins accepté une partie de cette vérité en voyant Ember venir s'agenouiller devant sa Maitresse.
La Potentiel futur membre de l'Entourage de la Vampire, avait dans le même temps eu un subtile mouvement de regard, voyeur, espiègle, attiré par ce que la Jupe de l'Institutrice pouvait cacher, des Collants? Des Bas? Quel genre de sous-vêtement?
Mais très vite, elle se reprit pour éviter une fois de plus d'être griller et que cette Mélinda puisse se rapprocher de la vérité et du point faible qui lui permettrait d'avoir ce qu'elle désirait de sa Camarade Lyosinda.

La Vue, le Son du fait de voir Mélinda caresse, puis embrasser Ember-sensei était incroyable, presque hypnotique, surtout que dans la Main de Mélinda il y avait ce fameux collier. Lyosinda croyant que c'était destiné à Mélinda, pour le cou de son Esclave, que seule Mélinda pouvait lui mettre et lui retiré... Sans se rendre compte, Lyosinda avait eu ses Index qui étaient venu caresser son cou, sans pour autant relâcher sa Chemise pour la garder fermer.
C'est alors que Mélinda s'agenouilla à son tour, se tourner vers la plus Jeune dans la Pièce et c'est la que le Coeur de Lyosinda sauta d'un bon dans sa Poitrine en voyant que sur le Collier il y avait son nom... Puis tel un cheval en ruade, le cœur repartit à tout rompre.

« Ce n'est... Ce n'est pas totalement faux... Oui j'aime ce qui est jolie... Mais ce n'est pas juste pour ça... C'est... Plus compliqué, c'est visérale, profond ce besoin... Je n'arrive pas à m'en empêcher... Ils me parlent.... Ils me racontent leurs histoires... »

Tout en racontant, parlant suite aux propos de Mélinda-sama, elle commençait à tremblotait, ses doigts se glissant sous les pans de sa chemise pour caresser le doux contact de la Lingerie qu'elle avait piqué, puis enfilé sur elle. Sentant cette fameuse chaleur unique, ses sensations grisante, plaisante, érotique et envoutante renaitre en son corps.

« Pourquoi? Pourquoi Moi? Et ce collier... C'est pour les chiens non? Vous croyez que je suis une chienne? Je sais que je ne suis pas une de ses filles qui sait être le Centre de Gravité des autres... Je ne pourrai être comme vous Mélin... Enfin qui que vous soyez ou que vous êtes... Mais que ce collier soit là, avec mon nom dessus me laisse entendre que ça n'a pas été fais dans la précipitation, au dernier moment... Est ce que vous m'espionnez? me suivez? En fait! Si ça se trouve, vous avez fais exprès de mettre ce Trésor de tissu dans ce casier pour m'attirer, me piéger? C'est ça! Oui! C'était un piège! Vous avez tout manigancé. »

Essayait t elle de clamer comme pour tenter de se défendre en rejetant la faute, se dédouaner de son méfait en accusant cette Demoiselle.
Puis son regard se tournant vers Sensei, qu'elle écoutait à son tour, avant de lui répondre.

« Mais Sensei... Comment pouvez vous? Vous êtes... Je vous croyez pas comme ça... Et ça veut dire quoi? Je vais devoir faire quoi? Me promener avec ce collier dans les couloirs? Nue? Faire des choses si... »

Elle se mettait à rougir en parlant de ses dernières choses, son chemisier avec cette lingerie moulant, laissait la forme de ses petits bourgeon mouler au travers de ses vêtements pour légèrement darder aux travers.

« Votre Manoir? Genre vous avez un Manoir pour vous? C'est une blague! ........ »

Écoutant la suite, les mots de la Vampire, le début de la phrase semblait la faire légèrement sourire, de joie mesquin. Ayant surement comprise dans un sens les mots de Mélinda, qui laissait penser à Lyosinda que la Demoiselle c'était trompé, qu'elle avait tord et donc la ravissait dans le sens qu'elle se trompe à son sujet. Mais la suite des mots lui faisait serrer la machoir, non pas qu'elle avait raison, mais elle semblait trouver un point d'entrée. Esperant que jamais elle comprenne que le pouvoir de la Lingerie sur elle, sur Lyosinda, était a la fois simple et compliqué. Un tel vêtement est intime, proche de la personne qui le portait. C'était empli de parfum, des parfums féminins, intime, racontant des histoires de ce qui avait pu se passer, de ce qui pourrait se passer, mais aussi de ce a quoi elle pouvait ressembler en les portants et autre... Mais aussi que porter ses trésors lui donnait la sensation d'être proche, au contact, en présence, d'appartenir discrètement à cette histoire en y insufflant ses propres désirs, ses propres plaisir avant de rendre parfois les trésors à leurs propriétaires.

Le doigt, l'ongle de la Vampire se glissant de manière sensuel, doux, grisant sous le menton de sa futur protéger, lui ordonnant de son geste de redresser la tête. Mais plus cela se faisait, plus Lyosinda baissait ou détournait le regard, d'un manière à la fois intriguée, attiré, mais rebelle, ne cédant pas à cela, pas aussi facilement.
Même si elle en avait pas pleinement conscience, elle était une Soumise dans l'âme et si un jour elle devait mener, guider, dominer qui que ce soit, on devrait lui apprendre ses choses là, sinon, elle sera en définitive celle qui porte le collier et non celle qui tiens la laisse...
Mais si un jour elle devait en arriver là, ça sera bien loin, dans d'autres chapitres et non dans ce prologue a ce chapitre de sa vie qui commençait à changer.

Mélinda perçut naturellement l’emballement cardiaque de Lyosinda, la manière dont son cœur se mit à tambouriner dans sa poitrine quand elle comprit où elle était. Vint ensuite la réaction naturelle, très psychologique, de rejet… Comme quand vous aviez devant vous un gros gâteau au chocolat moelleux, tout juste sorti du four, le genre de gâteau que vous avez envie de dévorer sur place, avant qu’une petite voix dans votre tête ne vous ordonne d’y réfléchir à deux fois, et d’attendre que le reste de la famille arrive. Ce que Freud avait défini à travers sa seconde topique comme étant l’opposition entre le « sur-moi » et le « ça », la partie de la psyché relative au sens de l’ordre, du devoir, et la partie de la psyché plus profonde, relative au désir. Par réflexe, la construction d’une psyché humaine faisait que le « sur-moi » faisait toujours barrière. Lyosinda s’y réfugia donc, indiquant que le collier était fait « pour les chiens », puis laissant entendre que tout cela était le fruit d’un complot. Mélinda se contenta simplement de la laisser parler.

« Tu sais, je suis une vampire, je perçois tes battements cardiaques, la manière dont ton sang s’emballe en toute énergie dans ta poitrine… Ce collier n’est pas fait pour les chiens, non, mais il est fait pour une petite chienne comme toi. »

Elle insista sur ce mot, comme pour voir le sang de Lyosinda s’emballer à nouveau à cette idée. Mélinda fit ensuite signe à Ember, qui se rapprocha encore. Elle glissa ses mains sur les cheveux de Lyosinda, et les écarta, les nouant dans sa main pour libérer sa nuque. Mélinda glissa ensuite le collier. Elle l’ouvrit, puis le passa autour du cou de Lyosinda. Un déclic se fit entendre à l’arrière quand le collier se referma. Ember retira ensuite sa main des cheveux de Lyosinda. Mélinda acquiesça, puis Ember-sensei s’éloigna encore. Lyosinda put titiller son collier. Il était impossible de le retirer sans la clef derrière.

« Ne te l’ai dit, ma jolie, nous avons décidé de te prendre comme esclave quand nous avons appris que tu avais volé la tenue de Priscilla. Donc, évidemment, quand Ember t’a convoqué, c’était uniquement dans le but d’officialiser la chose. »

Ember-sensei revint ensuite en tenant une laisse en cuir, un sourire malicieux sur les lèvres.

« Tu as mentionné le fait de faire une promenade, et ton cœur s’est emballé à cette idée… Je pense donc que c’est ce que nous allons faire.
- Tu n’as pas le choix, Lyosinda-chan. Si tu te rebelles, je ferai état de ce vol, et tu finiras en prison. »

Une vaine menace, naturellement, mais il fallait bien rendre Lyosinda plus docile. La laisse fut accrochée à son collier, et Mélinda se releva. À cette heure, le lycée devait être vide, et elle était curieuse de voir comment elle allait réagir. Mélinda tira un peu sur la laisse, un sourire moqueur sur les lèvres.

« Tu es prête à aller faire un tour ? N’oublie pas que les chiennes marchent à quatre pattes… »

La Jeune Demoiselle Lyosinda, au Sol, regardant, écoutant les premiers mots de la Vampire a son encontre. Ayant du mal à se contenir et être aussi acculé contre le mur à coté de la Porte verrouillé. Commençant à s'agiter légèrement, comme si son corps pouvait partir à tout moment ou du moins tenter... Sans parler du fait que ce que disait la Vampire, son corps la trahissant en laissant entendre à la Vampire les battement de son Coeur et le Flux de son Sang. Et si c'était vrai? Car après tout, même si officiellement elle niait, surement un peu à elle même, que l'idée de ne plus être Maitresse de sa vie, de se laisser porter, guidé par une Autre. Même si l'idée de porter un collier, une laisse était un fantasme inavouable, l'idée d'être traité de chienne lui plaisait pas non plus. L'idée d'être promené par celle qu'elle choisirait lui était pas déplaisant, la il était question de cette inconnue, prétendument Vampire et Maitresse d'une Horde d'Esclave pour ses plaisirs et autres.

C'est alors en tremblant, de peur, mais aussi de honte qu'elle tentait quand même de se redresser en essayant de donner un air d'assurance et de contenance...

« JE NE SUIS PAS UNE CHIENNE!!!♪. »

Criait t elle en plissant le regard.

« Je te connais pas toi! Et même si c'était vrai! Que je voudrai être une esclave, porter un collier et une.... Laisse... En m’appelant Chienne tu montres que tu me désires pas non! Tu ne me comprends pas... Tu sais pas ce que je... »

Sa phrase s'en voit interrompue surement par Mélinda la Vampire ou alors par la Sensei qui lui mettra surement une gifle sur la joue et la remettre au sol. Cela, avant que Ember aide alors sa Maitresse Mélinda pour mettre le collier autour du cou de l’Étudiante encore un peu sonné. Mais se reprenant alors, voyant Ember sensei de ses belles et longue jambe gainé de ses magnifiques trésor... Repensant le temps d' un battement de cil à un fantasme qu'elle avait eu a son encontre...
Palpant le collier autour de son cou au départ, le triturant, le rencontrant, faisant connaissance avec elle, se disant que en dehors de cet instant, cette idée était plaisante, fière même d'être désiré a ce point par quelqu'un, a un tel point que c'était devenue réalité? REALITE? Elle prenait conscience que peut être c'était pas un rêve, mais alors cette adolescente devant elle? Cette Mélinda? Vampire? Tout un coup, tout son être se mettait alors a carburer, gesticuler dans tous les sens, se débattre en vain pour retirer le collier qui il y a quelques instants encore faisait gronder tel un volcan son volcan intérieur qui aura laissé un bref instant un fin parfum intime s'échapper de derrière les trésors volé porté.

Levant le regard, un brun suppliante, avec quelques larmes aux yeux presque implorante envers ses deux personnes, Esclave et Maitresse. Puis Ember Sensei lui assénant un coup en menaçant de divulguer cela aux Autorités, puis aller en prison, avoir sa vie ruiner par ce que personne ne peut la comprendre et l'accepter. Même si dans d'autres circonstances, être attaché et autres pourraient être plus que plaisant...

« Non! Non! Pitié Pas les Autorités! Pas la Police! Je ne veux pas... Pitié! Pas la Prison! Je... Je ... Pardon.... Je ne volerai plus votre Esclave Priscilla Mademoiselle Mélinda... »

Lyosinda voyait sa Sensei revenir de nouveau vers elle, et cette fois ci avec une Laisse qu'elle tient à la Main, pendant que Mélinda continuait d’annoncer le nouveau statut, le début de la nouvelle vie de sa proie, de sa nouvelle acquisition.

C'est pendant que Ember-sensei mettait la laisse au collier de son Elève, que cette dernière venait tenter de s'accrocher à la jambe de la Sensei, de s'enlacer presque comme un Koala a sa jambe gainé.

« Pitié Sensei! Vous allez pas la laisser me faire ça? Moi votre Élève? Vous êtes pas comme ça? Elle me connait pas, vous oui! Pitié! Je.... Je... »

Une fois la Laisse mise, transmise à la véritable Déesse, Maitresse Vampire Mélinda, qui donnera surement un petit coup pour rappeler un peu à l'ordre sa nouvelle Esclave. Cette dernière qui se sentait de plus en plus Honteuse, piégé, prisonnière... Et même si les mœurs de la société réprouvaient cela, qu'elle devraient détester cela, être enragé, au fond d'elle, son cœur, son corps, ses pensées sombres appréciaient soit la totalité de la situation ou une partie en tout cas. C'est alors tremblante, reniflant, qu'elle fermait les yeux et commençait alors à se mettre à quatre patte, s'approcher et se mettre a coté, contre la jambe de Mélinda. Ayant du mal à garder sa tenue, sa chemise fermé vu les boutons qui ont sauté, pour éviter que les potentiels personne croisé dans les couloirs ne la voient avec ses méfaits délicieux porté. Redressant la tête, le visage et dans sa détresse, sa Maitresse lui offrit volontairement ou non, une vision à son Esclave, la vue de ses trésors de tissu et de ce qui se cachait sous sa Robe ou sa Jupe... Semblant trouver de par cette proximité, ce parfum, ce contact, presque comme rassurant, envoutant même... Captivant!♪

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HRP:// ( Voici une image qui me fait penser au collier et la laisse. Avec un peu ce coté plaisant que ressent Lyosinda intérieurement. ^^)

Lyosinda était partagée, tiraillée entre sa conscience, sa rationalité, et son désir, ses pulsions profondes. Il fallut une première gifle pour qu’elle cesse ses jérémiades, puis, quand le collier se referma autour de son cou, il y eut comme un déclic en elle. Mélinda savait déjà à ce moment qu’elle avait remporté la partie. Elle n’avait plus qu’à savourer, à distiller quelques éléments supplémentaires, jouer sur la panique et sur la confusion de Lyosinda… Celle-ci ne savait plus où donner de la tête, et Mélinda tira sur la laisse, la redressant un peu.

« Tu commences à te débattre un peu moins, ma belle ? Peut-être que tu comprends enfin où est ta place… »

Ember-sensei se retourna vers Lyosinda, et lui sourit, et s’agenouillant. Sa main caressa doucement ses cheveux, et Lyosinda eut droit à un nouvel instrument. On posa sur sa tête un serre-tête avec de fausses oreilles poilues et pointues, comme pour renforcer sa régression sociale.

« Mais pourquoi l’interromprais-je, ma chérie ? Ce qu’on te propose est merveilleux… Devenir l’esclave de Maîtresse ! J’ai rejoint ce lycée uniquement pour ça, pour trouver des jeunes filles et des garçons pour les emmener chez Maîtresse, et faire d’eux des esclaves. »

Mélinda sourit dans le dos de Lyosinda, et leva alors sa main. Elle abattit celle-ci sur ses fesses, et la fit fortement claquer. Le délicieux cri que Lyosinda poussa fit sourire de manière plus féroce encore la vampire. Ember-sensei se chargea ensuite de déshabiller davantage la petite Lyosinda.

Elle s’équipa pour cela d’une paire de ciseaux, et s’amusa à découper les manches de sa chemise, puis tira dessus, déchirant le reste. Sa minijupe subit ensuite le même traitement, sans que Lyosinda ne puisse rien faire. Si elle tentait de s’opposer, Mélinda tirait sur la laisse, ce qui avait pour effet de l’étrangler, ou lui donnait de nouvelles fessées.

« Hihi, tu as la langue bien pendue, Lyosinda-chan… Mais tu ne peux pas mentir à ta Maîtresse, tu sais… »

Lyosinda finit finalement en sous-vêtements, dans cette belle lingerie rose qu’elle avait subtilité. Ember-sensei avait découpé ses vêtements patiemment, frottant au passage son corps contre celui de leur « chienne ».

Ember-sensei rapprocha ensuite une chaise, et s’assit face à Lyosinda. Gloussant doucement, elle croisa ses jambes devant elle, parfaitement engoncées dans son nylon :

« J’ai l’impression que mes collants te plaisent… Tu sais comment les bonnes chiennes montrent leur affection ? Viens… Viens lécher, petite catin… »

L’Élève ainsi transformé en une merveilleuse Animal Domestique, arborant collier, laisse et même des Oreilles de Chienne, semblait redescendre à force de sa Rébellion et de sa Résistance. Mais n'étant pas encore totalement vaincue, elle écoutait d'une oreille les mots de sa prétendu nouvelle "Maitresse", alors que son autre regard observait la Sensei et surtout ses jambes, ses cuisses gainé. On pourrait limite même croire que son regard brillait légèrement et pas difficile non plus d'imaginer qu'elle pourrait même limite "baver" si on se laissait aller à l'imagination un peu.

« Grrrrrr..... Je.... Je concède que.... »

Prenant un temps au début, baissant la tête, les épaules même presque au Sol un temps, réfléchissant. Se disant alors que peut être jouer le jeu, pour faire baisser la garde ou quelque chose dans le genre, puis profiter de la garde baisser pour s'enfuir à ce moment la et aller dénoncer ses... Étonnantes et déli... Ses quoi? Agitant sa tête de gauche à droite, se disant qu'elle devait pas penser ainsi, que c'était pas bien, les gens en général lui disaient que ce genre de chose, de comportement étaient pas bien.

« Je.... Je suis désolée.... Pardonnez moi... »

Disait elle alors, tremblotante légèrement en sentant toujours se combat, se tiraillement en elle, car après tout, ça se rapprochait de ce qu'elle imaginait, de ce qu'elle rêvait.

« AIE!!!!!!.... »

Criait t elle brièvement de surprise, mais aussi de douleur en tournant le visage crispé de réprobation, de douleur, bien que au loin dans son regard un fin plaisir a ce geste était électrisant de plaisir, même si le geste était un point trop fort.

« Pardon! Pardon Maitresse! Pitié! Ca fais mal! .... Mais.... Mais ..... Sensei? Qu'est ce que vous... »

Lyosinda constatait alors que sa Sensei s'approchait d'elle avec la paire de Ciseaux, ça lui faisait peur, les yeux grands ouvert et rond. Se faisant alors découper ses vêtements, sa chemise, sa jupe... Et tout ce qui pouvait gêner et déranger sa Maitresse et sa Sensei. Finissant bien vite uniquement vêtue de la Lingerie volée, portée de Priscillia.
Chaque passage, effleurement, caresse, voir même pression de Ember-Sensei Électrisait la Chienne au Collier. Sentant en elle, naitre tel un grondement ardent, de ce tourbillon papillonnant depuis son ventre, de son Mont de Vénus, enivrant son corps de désire et de plaisir... Elle avait déjà ressentit cela à plusieurs reprise, elle savait ce que cela était, mais elle n'avait jamais ressentit à une telle intensités. A un tel point que ses jeunes Bourgeons étaient maintenant dressé, érigé, dardant presque outrageusement de manière rebelle. Alors que plus bas, depuis le Jardin Privé, cette sensation bouillante, humide, parfumé, féminine, intime... S'évade malgré le miraculeux tissu de lingerie rose porté.

« Pardonnez moi.... Je... Je.... J'essayerai d'être.... Une bonne Esclave .... Maitresse Sama.... Ember Sensei... Pitiez.... Pardonnez moi s'il vous plait.♪ Je me débattrai moins, je... Je crois comprendre ou est ma place.... Je... Ferrai ce que vous désirerez, même si j'ai.... aucune vrai pratique... »

Racontait elle, non seulement ce qui était en partie vrai, mais aussi pour tenter de les amadouer car officiellement dans sa tête elle espérait encore pouvoir s'échapper, s'en aller. Alors qu'elle rejetait l'appel de sa part d'ombre, de son corps et de son envie d'y plonger corps et âme. Se rappelant ses rêves, d'une lecture de BD nommé "Vampirate of the Caribbean".

A part de ce moment, voyant que Ember-Sensei qui était supposé être de leurs dire, Esclave de Mélinda, semblait agire selon les croyances de Lyosinda, comme la réel Maitresse, vu que c'était elle qui faisait avancer les choses. Ce disant en cet instant que.... Peut être , si c'était ainsi,... La façon de Sensei... Peut être qu'elle pourrait réellement essayer et voir ce que ça donnerait... Mais... Et si c'était un piège? Elle avait vraiment du mal à se défaire de cette moralité, de ses mœurs sociétale de base dont on l'avait matraqué depuis aussi loin qu'elle se souvienne... C'est alors que Ember mit un coup fatale à la résistance de Lyosinda en ce posant devant elle, lui présentant ses jambes, ses collants de Nylon magnifique et se rapprochant encore plus des trésors encore caché. En cet instant, ça y était, elle cédait... Mais se trouvant un autre problème, ainsi, le regard perdu entre sa Sensei, ses jambes, mais aussi sa Maitresse. Etait ce un test pour voir comment elle agirait? Devait elle réellement et pouvait elle y aller comme ça? Ou devait elle attendre l'accord de la Maitresse Mélinda qui tenait la Laisse?
Très proche, tellement proche des jambes de Ember-sensei, que son souffle chaud pouvait la caresser, son coeur battait encore plus vite, elle était a deux doigt de ce jeter sur ses jambes comme une "chienne", sa poitrine se levant et se baissant a un rythme sauvage, sa croupe formé par ses deux jeunes brioches oscillait de gauche à droite, l'intérieur de ses cuisses se frottant et la friction laissant trace d'un début d'une présence humide et mielleuse intime.

« Oui Sensei... Je... Vos jambes dans ses collants.... Je... Je le veux... J'adore.... Je... Maitresse? Puis je?♪ S'il vous plait♪ Pitié!♪ Je... Sincèrement... Puis je obéir à Ember-Sensei? »

Ainsi, les premiers Vrai mots, sortie depuis les tréfonds véritables et sincère de cette part d'ombre de son être. Demandant sincèrement l'autorisation a Mélinda, par précaution, prudence, mais désire. Elle serait limite en fait même capable de ne pas attendre ou accepter un refus de la part de Mélinda en cet instant.

Ainsi, quand Mélinda lui donnera l'autorisation, si elle lui donne, sinon elle cédera un peu plus tard pour venir littéralement se coller, se blottir contre les deux jambes de Ember-sensei. Venant avec subtilité, précaution, désire glisser ses doigts sur la cheville de la Professeur, puis comme avec le plus grand soin, les explorer dans une lente caresse. Avec sensualité, elle la fait remonter vers ses lèvres, commençant à venir humer le parfum, puis les embrasser chaleureusement. Plus les mains, les doigts continuent leurs aventure, leur lente exploration dans l'ascension de ses jambes, plus les baiser seront libre, débridé, bien que novice. La Langue s’enivrant de ses sens sur nylon, gainant les jambes.

Ainsi Lyosinda venait de perdre véritablement la manche pour se libérer de leurs emprises... Mais le voulait elle seulement véritablement?...

Lyosinda-chan était partagée entre la velléité de résistance et entre l’envie de sombrer définitivement. Ce duel, Mélinda le connaissait bien, cette lutte intérieure entre la raison et le désir. Hergé avait symbolisé ça dans ses albums de Tintin quand Milou était confronté à une voix angélique, et une voix démoniaque. Lyosinda-chan était en train de basculer, et elle était désormais au stade où elle se demandait à qui elle devait obéir, entre sa sensei, et sa Maîtresse. Quand Ember-sama dévoila ses magnifiques jambes fuselées, recouvertes d’un agréable nylon, les bas-instincts de Lyosinda-chan se réveillèrent encore. Pensait-elle encore à s’enfuir ? Sans doute… Mais Mélinda se disait que cette envie était désormais une petite voix dans sa tête.

La vampire déplaça une chaise. Ember-sama se déplaça à son tour, et récupéra son fauteuil d’enseignante. Mélinda grimpa alors sur le fauteuil, tandis qu’Ember-sama prit position sur la chaise, une manière simple de signifier qui, ici, avait le véritable pouvoir.

« Ember-sama est mon esclave au même titre que toi, Lyosinda-chan, mais il y a une hiérarchie au sein de mes esclaves…
- Tu dois obéir autant à Maîtresse Mélinda qu’à moi, Lyosinda-chan. Les esclaves comme moi, nous sommes au sein de cette grande famille des Mamans. »

Le fétichisme… Voilà qui expliquait ce vol, la faille dans l’esprit de soumission de Lyosinda-chan. Mélinda et Ember lui expliquaient aussi comment les choses allaient marcher, désormais. Elle était la « Chienne au Collier », celle qui allait devoir obéir.

Comme pour la rappeler à la réalité, Mélinda, qui avait croisé ses jambes, parla :

« Eh bien, qu’attends-tu, petite chienne ? Viens caresser et lécher, Ember-sama t’a donné un ordre ! »

Tandis que Lyosinda-chan s’activait, Mélinda avait sorti son téléphone portable, et s’amusa à la filmer. Dans ses sous-vêtements violets, Lyosinda-chan s’appliquait avec passion. Mélinda, de son côté, portait toujours ses chaussures, d’élégantes ballerines renforçant ce côté faussement innocent qu’on décelait chez elle.

Ember-sama sourit de son côté. Elle avait elle aussi croisé les jambes, laissant ainsi à Lyosinda-chan l’occasion de s’attaquer à la jambe dominante, avant de décroiser les jambes, puis de placer l’autre par-dessus.

« Suçote bien au niveau des orteils, ma belle, remonte avec ta langue… »

Lyosinda-chan pouvait aussi utiliser ses mains pour caresser les magnifiques jambes d’Ember-sama.

« Tu devras aussi lécher les miens… Je suis curieuse de voir si tu préfères lécher avec ou sans le collant… Ou si tu préfères le nylon au latex, il y a des groupes au sein de mes esclaves, tu sais… Entre celles qui préfèrent la lingerie fine au latex. Moi, j’aime de tout, mais une bonne Maîtresse doit songer à satisfaire tous les fantasmes de ses petites chiennes, n’est-ce pas ? »

Mélinda s’amusait, clairement, et elle avait sur les lèvres un sourire insolent… Ce sourire joueur qui signifiait qu’elle prenait son plaisir à voir la petite Lyosinda s’enfoncer dans la soumission.

Chaque Seconde paraissait durer une Éternité pour Lyosinda. Chaque battement de coeur lui était presque insoutenable tellement il battait aussi fort qu'elle croyait que son corps allait exploser hors de sa Poitrine a force de Battre si fort à force de lutter entre cette voix Angélique qui lui intimait de fuir, de ne pas accepter, de ce débattre, que tout cela était pure folie, dépravation, horreur, décadence et indigne d'une jeune femme même... La Bien pensée on aurait pu dire...
L'autre voix... Plus sombre et en même temps plus libre, moins prisonnière des leçons, des limites, de la "Bonne Pensée" de la Société. Oser croire, essayer, tenter ce qu'elle cachait et même ses choses interdite qui pouvaient... Semblaient être proposé, présenté par sa Sensei aussi attirante que le Soleil pour Icare. Et les mots de Mélinda Sama, cette ... Vampire qui la voulait dans son Cercle de nouvelle Esclave, qui présentait ses délicieuses jambes et surement Mille et un Trésor encore plus délicieux...

L’Étudiante regardait, fixait d'un regard hésitant, perdue, effrayé en même temps... A la fois de la situation, de la Vampire mais surtout de ses Sombre Désires en elle qui semblaient prendre le dessus dans son Esprit. Les voyants se placer, psychotant dans son esprit en imaginant, sans le savoir que c'était vrai, que le placement des deux avaient une raison, une justification, une fonction.

Son regard fuyant vers la porte de sortie un bref instant de plus en plus court, avant de revenir aux jambes gainée de Ember-Sensei qu'elle désirait embrasser de plus en plus, puis vers Mélinda-Sama, qui petit à petit lui était moins effrayante, mais plus attirante avec ses mots, susurrer furetant et trouvant Echo dans l'esprit de la nouvelle Esclave. La détaillant aussi du regard et se sentant dériver a dévorer ses jambes, les imaginer en lingerie fine, remonter sous sa robe aussi pour nicher, respirer, humer et trouver sa place... son visage contre sa culotte qui la séparerait de sa Fleure délicate.

La Jeune Poupée affublé de l'objet de son crime écoutait les paroles d'aussi bien l'une que l'autre. Que ça soit la position Hiérarchique comme le dit Mélinda-Sama, ou alors d'une notion trouvant plus une notion parlant et envieuse comme le mentionne Ember-Sensei... La Famille!♪

« Une Esclave... Dont vous êtes le Sommet, le Soleil qui me seraient interdit... Mélinda-Sama? »

Disait alors Lyosinda, timidement, à voix basse. Bien que Mélinda avait il y a peu déjà répondu à une telle question, peut être cela avait il pour but de gagner du temps? Ou alors de la rassurer sur ce chemin? Dans la foulée, sur le même ton, plus enjouée, par la notion de Famille qui trouvait plus sa place. Après tout, Lyosinda n'en avait plus, pas de souvenir même, alors ça lui manquait peut être au point que ça pouvait être utilisé à l'avantage de Mélinda et de sa "Famille".

« Sensei... N'importe qu'elle fille... Même moi aurait de la chance d'être... votre Fille... votre... »

Ne terminant pas sa Phrase, succombant dans le Tremblement plus incontrôlable, basculant vers l'envie plus que la raison. Se glissant fébrilement contre les jambes, les cuisses de Ember-Sensei. Commençant à câliner, effleurer, explorer le délicat Trésor presque Divin des cuisses Gainée de cette pièce de Lingerie, respirant le parfum, s'en abreuvant de tout son Être... Hé oui! C'était un fétichisme, une faiblesse, un moyen qui une fois bien travaillé pourrait la rendre totalement docile.

« Merci Maitresse Sama... »

Soupirait elle, bas, fort, longuement sans s'en rendre compte du fameux mot laché. Continuant de limite, maladroitement, avec l'innocence, le manque d'expérience qui lui incombait, faire limite l'amour à ses jambes d'Ember-Sensei.
Ne se souciant plus en cet instant des risques que la scène, la situation et ce Téléphone sortie qui la filmait pourraient engendrer.

Prenant avec grand soin, de prendre une Jambe de sa Sensei, de la Traiter avec soin, respect, bonté et bienveillance. Une main posé à la cheville, de l 'autre retirant la chausse de la Sensei. Laissant ses lèvres bécoter, dévorer de baiser doux, léger, chaux et la caresse Exploratrice d'une langue jeune et Serpentine. Tandis que les mains enveloppaient par la suite le pied, le massait jusqu'aux Orteils.
C'est alors que le Visage, les lèvres, le Nez arrivaient à la frontière faite du bas de la Jupe de la Sensei, qu'elle l'entendaient parler, demander.

« Oui.... Sensei... »

En cet instant, elle n'était plus dans la Fuite, cette idée avait presque comme disparu, comme une goutte d'eau dans un Océan. Bien qu'elle aurait souhaité découvrir, continuer son ascension de la découverte des jambes de Sensei et peut être de ce qu'il y avait sous la Jupe, elle se laissait comme une marionnette guider par la demande, l'ordre d'Ember-Sensei. Faisant faire demi tour, dans la même attention, dévotion, plaisir? Son visage, ses lèvres, sa langue, accompagner de ses mains, de ses doigts pour glisser lentement dans cette descente pour s'occuper des pieds gainé de l'Enseignante. Car oui, Lyosinda ressentait un Plaisir coupable, celui du franchissement inconscient de frontière, celui de l'obéissance, celui du plaisir avec une Dame, une Mère, une Enseignante magnifique. Cela pouvait se sentir, se vérifier non seulement par ce doux parfum innocent et lubrique qui s'échappait du croisement de ses jambes, tachant par dela le Body de Lingerie volé appartenant à une autre... Ses petits bourgeons orgueilleusement arrogant de droite au sommet de ses jolies jeunes Poires au futur juteux et pleines de promesses et de possibilités.

« Mélinda-Sama... Etes vous sur de... que je m'occupe de vous?... »

Demandait elle, poliement, la tête basse, alors que son regard vagabondait. Profitant aussi de se répit, des mots de Mélinda pour continuer de savourer son acte avec le contact des jambes, des pieds d'Ember dans leurs Lingeries.

« Vos Jambes, vos pieds, vos cuisses sont Magnifique. »

Disait elle, tout en se rapprochant alors, lentement, presque avec un coté joué d'animal prédatrice avançant vers sa proie. Restant au sol pour le voyage de la Sensei à la Maitresse, mais ayant oublié dans sa phrase la formule envers Mélinda-Sama. Peut être que cette dernière la punirait pour ça? Peut être qu'elle ne l'aura pas remarqué ou n'en ayant rien à faire au final... Ou peut être incitera t elle avec une... "carotte" comme on dit à corriger cela.

« Vous ne devriez pas en mettre Mademoiselle... Vous êtes très... belle ainsi... »

Elle écoutait Mélinda parler de collant ou non, de préférence entre nylon et latex, de groupe avec préférence, de satisfaire aussi ses esclaves, ses chiennes... Sa chienne... Elle! Lyosinda. Mais Lyosinda faisait preuve d'encore un peu de résistance, essayant de détourner l'attention, de détourner la vériter. Ne voulant pas que Mélinda aient la vrai réponse sur sa question pour éviter d'en profiter d'acquérir sa Chienne.

Bien qu'elle se retenait, bien plus qu'avec Sensei, elle était sous le charme a chaque instant un peu plus de Mélinda et de ce qu'elle représentait au final. Imaginant et faisant ce qu'elle avait fais avec Ember-sensei, mais en encore plus fort, plus profond, moins bridé et encore Mille et autres choses plus coquine, sentimentale et digne de la Chienne, de l’esclave soumise qu'elle allait devenir.
Car si Mélinda avait tous les éléments en mains, ça reviendrait à Lyosinda de se défendre derrière une porte de paille usé contre l'assaut du "Destructeur des portes" de l'armée des Orques dans le Seigneur des Anneaux.... "Grond".

« Mélinda-Sama.... Cherchez vous réellement à vous occupez, rendre heureux, faire plaisirs à vos... Esclaves? A avoir leurs amours ou simplement des jouets? »

Elle disait cela, avec une tentative, peut être la dernière, de donner faux semblant d'assurance et de tentative de résistance, alors que son corps trahissait ses mots.
Embrassant, mordillant, léchant une jambe après l'autre de Mélinda. Remontant sur celle de gauche encore plus, essayant de remonter son visage, son nez, ses lèvres, dans une Entreprise de découvrir ce qui lui était encore caché sous ses magnifiques vêtements. S’imaginant étrangement attaché par des Bas, trouver refuge et sa place de chienne, visage contre une culotte de lingerie sage et aguichante que pourrait cacher la Vampire. Peut être même qu'en récompense cette Créature charmeuse, la récompenserait en la bâillonnant ensuite avec sa culotte aux parfums de la Maitresse et la faire dormir visage entre les cuisses, posé contre le Sacro Saint Trésor de Maitresse Mélinda?

Ne sachant pas réellement si elle avait un plan pour s'enfuir, résister, succomber, guider ou autre...
Mais Maitresse Mélinda-Sama, avec l'Assistance de "Maman" Ember-Sensei allaient surement d'une manière ou d'une autre dénouer, aider leurs petites Lyosinda à voir... dirons nous la vrai lumière sur le chemin de la destinée à écrire dans le livre de la vie de Lyosinda.

Lyosinda-chan était encore en pleine confusion. Aurait-elle été une Palpatine en version sexy qu’elle aurait pu singer l’Empereur s’amusant des hésitations de Luke Skywalker, percevant sa colère là où Mélinda percevait le désir de Lyosinda-chan. Elle luttait contre ses propres pulsions, contre son envie fétichiste de succomber aux douces avances de Mélinda, ou contre l’envie rationaliste de fuir. À ce stade, la lutte était déjà perdue, mais Mélinda s’amusait de la voir hésiter. Elle s’attaquait encore aux collants d’Ember-sensei, refusant encore à se lever, et se rapprocha de Mélinda.

Celle-ci était désormais pieds nus, et étira sa jambe, son pied se rapprochant du visage de Lyosinda-chan. Elle s’était assise sur le fauteuil roulant d’Ember-sensei, ce qui lui permettait de se déplacer.

« Vraiment ? Tu aimes mes jambes sans collants ? Je pense que mes pieds et mes jambes seraient encore mieux s’ils étaient lustrés par ta petite langue, tu ne crois pas ? »

Mélinda s’amusait, clairement. Perverse jusqu’au bout des ongles ! Lyosinda lui demanda alors ce qu’elle envisageait. Mélinda se rapprocha encore, jusqu’à ce que, avec ses ongles, elle ne caresse son menton, glissant dessus. Elle pouvait sentir Lyosinda frémir encore. Mélinda déplaça encore son pied, et le glissa dans la bouche de la jeune femme, tout en relevant son autre pied, qu’elle posa sur son visage. Elle appuya dessus, remuant ses orteils entre les lèvres assoiffées de Lyosinda.

« Je veux que tu sois mon objet sexuel, Lyosinda-chan… Une petite esclave bien obéissante qui accomplira tous mes désirs, tous mes fantasmes. Mais ne va pas croire que je sois cruelle, je souhaite aussi que tu m’aimes, que tu me vénères. Je veux que ta soumission soit le fruit de ton amour pour moi. »

Elle retira son pied de la bouche de Lyosinda-chan, et la poussa alors en appuyant sur son épaule. Lyosinda-chan tomba alors au sol, sur le dos, et Mélinda se leva alors. Elle se mit au-dessus d’elle, les jambes à gauche et à droite, et sourit. Son pied se posa sur son ventre, et elle appuya doucement dessus.

« Je suis ta Maîtresse, Lyosinda-chan, celle que tu devras aimer et chérir… Comme une fidèle vénère sa divinité. Je t’offrirai tout ce dont tu rêves, ma chérie… Tes fantasmes, tes désirs les plus fous. Avec moi, tu vivras tout le temps heureuse. Tout ce que je te demande, c’est de m’obéir… Vous, les humains, vous passez votre vie à obéir… La famille, l’école, la loi, le pays… Alors, devenir ma petite protégée, ce n’est pas si cher payé, non ? C’est le prix de ton bonheur, ma belle petite choupette… »

Voyant Mélinda s'installer sur le Fauteuil de l'Institutrice, se rapprocher d'elle par la suite, retirer sa chausse pour tendre ce Pied vers elle. Lyosinda commençait à avoir mal à la Poitrine, mal par ce que son Coeur battait fort à la Combinaison de son Imagination, de son désire et de cette Vampire si proche d'elle qui tendait son pied vers son visage.

Tout son corps tremblait de plus en plus, essayant de s'opposer toujours aussi vainement contre cette part en elle qui grandissait. Sans bouger, elle ne faisait que respirait, loucher sur l'approche du Pied, de ses Orteilles a l'allure jeune, pure, innocent même, cachant le fait que ça soit ceux d'une Vampire.
Une Vampire? Et alors? Elle ... Ainsi dans son esprit, comme un nouveau rempart explosant, affaiblissant la part de lumière en elle pour laisser entrer de cette Ombre en elle... Elle venait alors prendre ce Pied entre ses Mains, l'observer, le dévorer du regard et peu à peu pas que...

« Je les ... aime ainsi, mais... je... Avec de... des collants... Vous... seriez encore plus... S'il vous plait... Je... Si vous pouviez réellement .... Je... »

Elle commençait à capituler, la part Lumineuse en elle, sa résistance s'évaporant peu à peu comme un Fantôme d'eau qui s'évapore et disparait sous la chaleur insoutenable des Désire sombre envahissant. Puis venant alors clore ses yeux, éteignant la Lumière dans ses yeux, laissant alors ses Désire, l'Ombre en elle, imaginait Mélinda, sa Maitresse, sa Famille, son.... amour? porter pour elle, lui faire plaisir, des collants somptueux, sexy, diaboliquement excitant tendre ses jambes gainé vers elle. Comme en cette instant...
Continuant a transposer son désire avec la réalité. A capturer ce pied, cette jambe, pour venir embrasser ici et la ses orteils, puis les engloutir dans l'étreinte douce, humide et chaude de ses lèvres pour les suçotter, les aspirer, les caresser même sa langue qui viendra serpenter nerveusement autour. Limite faisant l'amour à ses pieds uniquement avec sa bouche et ses mains.

Puis, c'est alors que en ouvrant les yeux de nouveau, les relevants avec les larmes aux yeux, des larmes de supplications, car un nouveau rempart de sa défense venait d'exploser en entendant les nouveaux mots de la Vampire.
Peut être qu'elle verrait ou non un trésor, caché là, sous la robe de Mélinda, à la source du croisement des cuisses merveilleuses, peut être même caché derrière un nappage de tissu fin, charmant...

Si tel était le cas, alors elle commencerait à chercher à grimper, se redresser depuis sa position allongé, pour se hisser le long de cette Jambe pour peu à peu disparaitre sous la robe et venir chercher le fruit aux senteur surement parfumé et irrésistible et si Mélinda la laisserait faire, alors elle recevra un baiser d'amour aux travers de ce tissu intime, sur les formes caché par dessous cette pièce de lingerie.
Sauf si Mélinda pour une raison ou une autre désirait lui refuser cela...

Repousser par la Vampire par la suite, la remettant sur le dos, voyant, avec un regard inquiète, presque avec la peur au ventre d'être rejeté par cette Vampire... Voyant la petite et néanmoins gigantesque et impressionnante présence de la Vampire au dessus d'elle, un pied de chaque coté d'elle, avant d'en sentir un se glisser sensuellement depuis ses côtes pour se glisser sur elle, le tissu de ce body voler, porter, jusqu'à se poser sur son ventre, au niveau du nombril.

Si on devait représenter la résistance de Lyosinda en cette Instant par une Nuance de Noir et Blanc, il n'y aurait presque plus de Blanc. Mélinda était à deux doigts de faire briser sa Proie maintenant...

« Si vous... Si vous en êtes vraiment capable... Que vous êtes sincère dans vos mots. Car je ne les prends pas à la légère... Vous vous rendez pas compte de ce que cela veut dire pour moi, vous parlez de famille, d'amour, de soumission, de rêves, de fantasmes... Mes Fantasmes, mon imagination sont peut être plus importants que ce que vous croyez... Comment puis je vous croire? »

Avec sa position allongé, Mélinda par dessus elle, debout, avec sa robe, offrant ainsi a sa Proie une vue inouïe sur ce qu'elle cachait sous sa robe.

« Si je vous demandez une chose la... Maintenant... Pour me le prouver.... Le ferriez vous? »

Prenant une voix, avec la dernière résistance possible, croyant peut être que Mélinda oserait pas et que cela mettrait fin à cette douce et délicieuse mais néanmoins indécise, excitante scène qui aura fait couler du miel de la Petite Étudiante sur le sol, malgré le Body porté. Mélinda avait la, entre ses mains si on peut dire, la dernière main pour briser le dernier le rempart...

« Si je vous demandais de m'ordonner de retirer à .... Ember-Sensei ou ... Maman vous avez dit? Ses bas, de venir vous les mettres par la suite et de vous embrasser les pieds, les jambes et remonter encore plus haut... De me bâillonner avec son sous vêtement? Ou encore de me marquer, de faire de moi votre poupée? Ou alors faire de moi, me remodeler à votre guise... Car celle que j'aimerai, sera celle et uniquement celle capable de comprendre et accepter mes rêves, mes désirs... »

Elle venait rire ou plutôt glousser, car elle n'y croyait pas réellement, cela n'était pas possible qu'une telle perle et encore moins une créature de l'Ombre le puisse. Jetant une dernière fois un regard vers la porte de sortie... Une dernière fois pour un dernier choix et ce choix dépendrait de la réaction, de la réponse de sa Maitresse aimante Mélinda...

Voir les jambes de Mélinda avait quasiment achevé Lyosinda… Mais pas encore. Elle jeta furtivement un regard vers la porte de sortie, mais, à ce stade, les trois femmes savaient très bien que Lyosinda ne partirait pas. Elle s’était jetée dès le début dans la gueule du loup… Ou de la vampire, plus exactement. Lyosinda-chan voulait que Mélinda enfile des collants. Sa voix étouffée par un désir étouffant et omniprésent, elle invita Mélinda à prendre les collants d’Ember-chan. La vampire fit mine de réfléchir un peu, en posant un doigt sur ses lèvres.

« Hmmm… Les collants d’Ember-chan ne m’iront pas, ma chérie. Fort heureusement, Ember-chan a de quoi me changer. »

Mélinda se redressa alors, et invita Lyosinda à la suivre en tirant sur sa laisse. Toutefois, impossible pour elle de se relever. Juste derrière Lyosinda, Ember lui fit signe qu’elle devrait marcher à quatre pattes, et s’habituer à son rôle de chienne. Très clairement, Ember-sama ne viendrait pas chercher à la ramener sur la voie de la raison. Mélinda rejoignit la pièce où elle se trouvait, un espace entre deux salles de cours, comprenant des placards. C’était une salle de rangement, où Mélinda entreposait une partie de son stock. Ember ouvrit ensuite un placard, et, quand elle l’ouvrit, Lyosinda put voir qu’il y avait beaucoup de tenues sensuelles soigneusement pliées, ou mises sur des cintres. Tenues d’infirmières, de policières, ou des tenues érotiques en latex… Lyosinda avait de quoi voir, et Mélinda sentait son sang s’emballer furieusement. Piégée, elle était piégée !

La vampire sortit ensuite une paire de collants, puis elles retournèrent ensuite dans la salle de cours. Mélinda s’assit à nouveau sur le fauteuil d’Ember, et tendit les collants noirs à Lyosinda.

« Allez, vas-y, ma choupette, enfile-les-moi, et lèche-les ensuite… Car tu es destinée à être ma poupée, Lyosinda-chan. Tu as fait ton choix dès le moment où tu as enfilé cette tenue en la volant. Tu m’as appelé. Tes rêves, tes désirs, tes fantasmes… J’espère qu’ils sont plus importants que ce que je pense, ma belle, car tu devrais plutôt te demander quels sont les fantasmes d’une femme comme moi… Une femme qui a l’apparence d’une lycéenne, et qui te traite sans ombrage comme une chienne, et dont ta professeure est mon esclave dévoué. Et tu penses pouvoir me choquer ? Tu es adorable, ma belle. »

Mélinda s’amusait doucement, et avait encore croisé les jambes.

« Allez, ne perds pas de temps, enfile-moi mes collants ! Ensuite, pendant que tu lècheras mes pieds et mes jambes, tu me diras quels sont tes fantasmes les plus osés… Car, s’il y a une chose que tu dois retenir, Lyosinda-chan, c’est qu’il faut toujours tout dire à sa Maîtresse… Absolument tout. Tu peux cacher des choses à tes parents, tu peux cacher des choses à ton petit-ami, mais tu ne peux rien cacher à ta Maîtresse, car tu m’appartiens… Si tu me mens, ou si tu refuses de me dire la vérité, c’est que tu ne me considères pas comme étant ta Maîtresse. Tu comprends ? Tu peux être la plus salope des chiennes, mais la principale caractéristique d’une bonne chienne, c’est qu’elle est obéissante… Tu as compris cela, ma beauté ? »

Mélinda manipulait autant les doux compliments que les injures les plus crasses… C’était après tout pour ça qu’on l’aimait.

Oui la Jeune Humaine Lycéenne était Piégée! Cela ne faisait aucun doute. Elle l'était à un tel point que quand Mélinda-Sama avait osé regarder la porte, d'instinct, sans s'en rendre compte sur l'instant, elle avait osé elle même s'imaginer, se voir mordiller la cuisse de la Vampire pour rappeler à sa Maitresse, sa Propriétaire qu'elle était à ça place, là, a ses pieds et non pas entrain de fuir par cette porte.
Secouant la tête et rougissante à cette pensée, se rendant compte de se changement en elle, que cette petite voix d'ange était évanouie maintenant pour laisser place à cette petite voix sombre en elle.

Et quand Mélinda-sama parlait des collants d'Ember-Sensei, Lyosinda plissait les yeux et se poussait, se blottissait contre les cuisses de la Vampire, enfouissant alors son visage contre la chaire de la cuisse, cachant son visage avec l'aide de sa crinière et murmurait d'une petite voix.

« Mais Maitresse... Vous... vous seriez... toujours la plus Divine et délicieuse à contempler, à câliner, à .... aimer... Tout peut vous allez et votre .... Enfin je... Pardon... Je dois rester à ma place de Chienne... »

Elle pensait que c'était pas bien de donner son avis, de parler sans y avoir l'autorisation, resserrent son étreinte autour de la cuisse de Mélinda comme pour s'excuser de sa prise de parole.

S'ensuit alors la traversé de la pièce, du Bureau vers le Local Inter-Classe en gardant la tête basse, essayant de rester au plus prêt de Mélinda pour tenter de montrer que la Laisse n'était qu'un symbole et qu'elle la suivrait et essayerait d'être obéissante. Regardant par moment derrière elle, vers la Professeur voir son regard et ainsi peut être voir si elle se comportait bien?
Et alors que la Maitresse et sa Chienne arrivaient toutes les deux dans la Fameuse Pièce, le Placard ouvert par l'Enseignante, le Sang de Lyosinda tournait plus rapidement que la planète tournait autour de son Astre Lumineux. Lyosinda n'en revenait pas du tout, jamais elle ne se serait douté d'un tel Trésor aussi proche d'elle durant toutes ses heures de cours. Si elle l'aurait su, clairement elle aurait cherché à visité ses "Cavernes aux Trésors" pour s'offrir des moments privilégier avec...

« Hmmfff.... Maitresse... Je.... C'est.... J'en peux plus... »

Lyosinda n'arrivait plus à contrôler, tremblante, se trémoussant, s'agitant même et commençant à bouger comme une Animale, elle voulait lâchait prise et vu le Parfum et le miel s'écoulant de la Chienne de la Vampire, il était fort à parier que son état était en lien avec une tentative de restreindre la Luxure en elle, l'envie charnel, la découverte, sa première...
C'est alors que sur le Chemin du retour vers le Siège, ce n'était non pas Mélinda qui tirait la Laisse, mais sa Chienne, avec Impatience, empressement, elle désirait plus...

La Jeune Quadrupède n'avait pas attendu pour commencer à préparer sa Reine, sa Déesse, sa... Maitresse. Venant prendre avec impatience, nervosité et une légère maladresse caractéristique de son Innocence, de son manque d'expérience pour retirer alors rapidement les chausses de Mélinda-Sama et des que cette dernière viendra lui tendre les collants, Lyosinda se jettera presque dessus pour commencer à venir les faire glisser, les faire enfiler à Mélinda.

Lyosinda n'avait pas attendu de les avoir totalement mit le long des jambes de Mélinda pour commencer a s'en occuper.
Rapprochant son visage, respirant fortement, fermant les yeux pour accroitre ses sens affolé. Écrasant son nez, puis déposant ses lèvres chaudes et impatientes. Premier pincement avec les lèvres, puis avec ses petites dents pendant que ses mains continuent de faire remonter le tissu le long des jambes. Piquant la peau faussement juvénile avec sa langue, pour par la suite l'embrasser avec affection, désire, dévotion. Se plaçant de manière que a force de remonter le long de la jambe, la partie déjà passer entre ses lèvres, ses mains, glissent alors le long du corps de la Chienne, entre jeunes Poires vêtue de la lingerie, puis le ventre et enfin le long du Nirvana ardent et tropicale de son trésor féminin.

Entre chaque attention, chaque battement de ses gestes, de ses baisers le long des orteils, des pieds, de la cheville, de la jambe, du genoux, de la cuisse, Lyosinda répondrait aux mots de sa Propriétaire. Même si elle avait un ton, une petite voix d'un mélange innocent, impatiente, lubrique, occupée mais aussi obéissante et dévouée.

« Je ne sais pas Maitresse... Je doute que les miens soient aussi... a la hauteur de ma Maitresse. Vous avez bien plus de vécu que moi et vous semblez infiniment plus Divinement plongé dans le sujet... Mais si Maitresse est donc ce qu'on appelle une Vampire, je... Que vous voulez pas ma mort... Alors je... Je .... j'accepte de vous offrir de mon Sang pour vous... »

Venant dégager alors sa nuque, sa peau garnit de ce collier ou se trouve des veines remplie de sang jeune, bonne santé et vivifiant que tout Vampire de base ne refuseraient pas de se nourrir. Reprenant la suite de son œuvre.

« Je veux tout vous offrir... Je sais que je suis surement pas aussi intéressante que des esclaves créatures avec des dons, des pouvoirs et autre... Mais je peux, je veux être une Page Blanche pour vous Maitresse... Je veux que vous puissiez faire de moi ce qui vous plaira... Apprenez moi... Je peux rester à vos pieds, entre vos cuisse... Dormir au sol au pied de votre lit si vous le désirez... Que mon lit soit un panier remplie de la lingerie de vos proie ou vous y laisserez vos jus, votre trace, votre conquête... Vous pourriez me marquer... Même plus... Tatouage, symbole, piercing... Choisissez mes tenues si cela vous plait... Choisissez ou je vais et la tenue ou je dois y aller... Que ça soit pour le privé, public ou juste pour vous Maitresse... »

Le timbre de sa voix venait à se larmoyer, comme ses yeux. Les vannes de son esprit, de son cœur étant sans défense, sans garder, cette part sombre s'écoulait alors maintenant en elle.

« Si je ne vous plait pas ainsi, changez moi, créature, monstre, espèce, maudissez moi, faite ce que vous voulez de moi... Mais pitié... M'abandonnez pas... Maitresse! Je veux.... ma place auprès de vous, dans votre vie Maitresse... Je veux être parfaite pour ma Maitresse... »

Finissait t elle alors que son visage arrivait maintenant sous la robe de Mélinda, au niveau de la fourche des cuisses, du trésor Divin de la Vampire. Mais comme toute chienne aimante et obéissante, n'ayant pas eu la permission, ne posant alors que son visage contre l'entrejambe de Mélinda et ne pouvant profiter que du contact de l'éventuel tissu et du moulage des formes secrètes de la belle et du parfum qui en transpire.

La vampire frémissait lentement. Le désir de Lyosinda était palpable, jouissif à souhait. Mélinda en frissonnait sur place, et laissa la jeune adolescente, avec ses mains tremblotantes, enfiler les collants. Elle y alla lentement, précautionneusement, et orna les collants de baisers et de caresses. Mélinda s’était assise sur un siège, et frissonnait sur place, crispant ses mains sur les accoudoirs du fauteuil, sentant elle aussi le désir pointer en elle. C’était une vague qui la prenait, un désir qui croissait en elle et qui remontait furieusement. Si Lyosinda était en chaleur, Mélinda commençait aussi à l’être. Lyosinda prenait tout son temps, et c’était quelque chose de savoureux pour la vampire.

Continuant à remonter sur elle, la petite esclave lui présenta son cou. Elle reconnut n’avoir rien de particulier, et vouloir être son esclave, une page blanche que la vampire pourrait façonner à loisir, la transformer en créature s’il le fallait… De telles déclarations ne mutent que faire sourire la vampire, qui sentait en elle le goût exquis de la victoire.

*Comme un deux face à un flush royal, elle est à moi…*

Ce sentiment de puissance, de domination, une jouissance exquise… Elle sentait le souffle des lèvres de Lyosinda contre son string doré, ses lèvres proches de son sous-vêtement…

« Tu sais comment me parler, toi, ma chérie… »

La vampire sourit malicieusement, et se tortilla un peu sur place.

« Ma page blanche, hihi… Je vais adorer te façonner, ma belle. Tu seras tout ce que je veux que tu sois… Une petite ingénue timide, une salope nymphomane provocante… Ma magnifique chienne… Jamais je ne t’abandonnerai, ma belle. Je suis ta Maîtresse, ta vie m’appartient. Je choisirai qui tu aimeras, et, si tu te montres une bonne chienne, un jour viendra où ton ventre accueillera mon enfant. »

Peut-être que Mélinda sautait les étapes, mais elle pensait ce qu’elle disait, elle voulait montrer à Lyosinda toutes les perspectives d’évolution en sa compagnie.

« Lèche ma chatte à travers ma culotte, sens comme tu fais plaisir à ta Maîtresse. Je vais te mordre, ma petite pute, mais je tiens d’abord à t’offrir une première récompense…. »

La main de la vampire se posa sur sa tête, et elle appuya dessus. Mélinda frémit alors en sentant la langue de Lyosinda glisser sur son string en soie. Elle se mordilla les lèvres en remuant sur place, et soupira à nouveau. La langue de Lyosinda continuait à glisser, et celle-ci put alors sentir une bosse se former contre ses lèvres.

Petit à petit, la bosse grossit, étira le string, elle put sentir la main de sa Maîtresse se crisper sur ses cheveux. Mélinda gémit à nouveau, et poussa même un léger cri quand sa verge se déloyale pleinement.

« Haaaa…!! »

La vampire frémit sur place, et cligna des yeux. Une magnifique verge avec deux testicules venait de se former, la pointe de sa queue durcie tapant contre le visage de Lyosinda.

« Oooh… Voici ton premier cadeau, ma chérie. Montre-moi quelle bonne chienne tu es, suce-moi, lèche-moi, et sois heureuse de sentir mon foutre dans ta petite bouche de traînée… »

La Lycéenne arrivait au bout du chemin. Ses mains, ses doigts finissaient d'enfiler les magnifiques collants à sa Déesse de l'Ombre et du Plaisir. Contrairement à la plupart des gens, Lyosinda-san semblait prendre plus de plaisir à vêtir de sous vêtement que de dévêtir. Gratifiant chaque centimètre de peau couvert d'une douce caresse gustative de passion, d'amour avec ses lèvres aimante.

Ses lèvres parcourant, explorant comme l'Aventure d'une Novice chaque parcelle de se Terrain avec soin, comme si c'était un Site sacré. Chaque plie, chaque bosse, chaque plaine douce... Continuant même la randonnée sur les formes du Mont de Vénus caché sous le String et le Collant. S'y attardant même pour appuyer, insister de ses baiser, comme pour consacrer la rencontre, la découverte de ce Trésor au parfum envoutant, délicieux qui enivre ses sens.

La Nouvelle "Enfant" de la Famille Warren, la chose, l'esclave de Mélinda-Sama semblait avoir trouver son endroit favoris. S'y arrêtant, mais sans s'en décoller.

« ... Je... Hmmmm.... C'est si bon... Délicieux... et votre parfum... Je... J'en veux... PLUS!!!»

Elle était entrain de s'enivrer elle même de cette découverte et pas avec n'importe qui, avec une Créature, une Vampire, elle qui y croyait pas encore il y a quelques heures. Même mieux, cette Femme Vampire proposer, comme si elle avait lu une part de son être, de ses pensées, de réaliser ses envies les plus sombres, les plus inavouables... Connu ou non. Ce disant que si elle était morte, elle ne voulait plus vivre, que si elle dormait, elle ne voulait plus se réveiller.

Tout en écartant légèrement le bas de la tenue, de la robe de Mélinda pour ainsi remonter son regard vers sa Maitresse. Lyosinda respirait de plus en plus fort, chaudement... Peut être même brulement. Enfouissant, appuyant son visage, ses lèvres, son nez dans le plie qu'elle arrive peu à peu a former aux travers des tissus intimes. Ses larmes continuant de couler, mais ses dernières étaient des larmes de joie, de liberté. Elle était libre de la société et désirait choisir de s'abandonner, d'offrir sa liberté a une seule personne... ♪ Mélinda Warren Sama! ♪

Écoutant les mots, les dires de Mélinda. Chaque mot, chaque proposition était comme un premier battement de cœur de la naissance d'un nouvel être. Puissant, fort, plein de promesse! Et cela montait encore et encore plus Mélinda parlait. A un tel point, que Ember-sensei qui était derrière, silencieuse, surement à profiter de la vue et du spectacle pouvait voir les tremblements de l’Étudiante, mais aussi l'état de la Chienne de la Maitresse qui avait une fuite de plus en plus présente et envahissante d'humidité de la Fleure intime et encore non exploré par qui que ce soit. Surtout a la fin de la phrase, quand Mélinda parlait d'accueillir une enfant en elle. L’Étudiante ne le savait peut être pas encore, mais cet Echo lancé en elle, en son âme et conscience n'allait pas s'affaiblir et encore moins s'évanouir...

Quand Mélinda donna se nouvel Ordre à sa "Petite Pute", cette dernière n'avait pas arrêté de le faire, après tout, elle avait faim, soif et Mélinda avait peut être briser trop rapidement les dernières résistances de sa "Proie" et peut être que maintenant, il allait falloir assumer.

« Maitresse... Votre Fleure intime... C'est la première que je goutte réellement... Je... Ca dépasse toutes mes attentes, mes désires, mon imagination... Plus délicieux, plaisant, jouissif. Est ce la votre seulement qui est aussi délicieuse ou toutes les Femelles ont ce délice?»

Puis Mélinda parlait d'une première Récompense. Mais pour la Petite Lyosinda, ce n'était pas la première dans son esprit. Peut être que la Rencontre l'était? Le Fait que Mélinda ait réussi à entrevoir, comprendre Lyosinda pour la prendre sous son Aile? Ou lui avoir permi de savourer son intimité mappé de collant et d'une culotte?

Lyosinda-san sentait sa Maitresse et Déesse Mélinda-sama se penchait par dessus elle, agripper alors une de ses couettes pour la manœuvrer et ainsi a rendre muet les plaintes, les soupires, les gémissement de sa Chienne contre l'Intimité le plus succulent que la "Poupée" connaitra de sa vie.

La Novice sentait ce changement, mais elle n'avait pas conscience de ce que c'était, ni même si c'était normal ou pas. Après tout, elle n'avait pas d'expérience et ses fantasmes, ses désires ne devaient pas inclure ... "cette récompense".
Puis alors que la "Chose" finissait de développer sous le String, sous les collants, contre les lèvres de l'Apprentie aux plaisirs de Maitresse, Lyosinda perdait contenance, perdue, paralysé même dans son manque d'expérience, de son manque de pratique, de cette pseudo innocence qui la caractérisait encore.

Elle ne pouvait reculer son visage pour contempler la chose, la vision, après tout Mélinda veillait à garder soigneusement sa Protéger a sa Digne place, contre elle et entre ses cuisses. Devant alors user plus de ses sens de toucher pour se familiariser avec cette "Rencontre". Dont une partie, bien érigé, dressé, durcissant peu à peu a chaque pulsation un peu plus. Donnant des coups de langues maladroit, avant d'embrasser, d'englober même de ses lèvres. Puis arrivant à glisser une main, ses doigts entre son visage et se membre. Glissant les doigts autour du membre en étirant et déformant les collants pour entourer ce Sceptre d'amour. Puis osant glisser peu à peu ses lèvres sur le sommet de la forme, puis lentement, a chaque battement de cil, faire glisser un peu de la pointe de la flèche de chaire entre ses lèvres pour la baigner dans la piscine de salive chaude dans la bouche de la nouvelle.

Bien entendu, si on devait la juger uniquement sur la pratique, Lyosinda était novice... Et même si il semblait qu'elle avait une préférence nette pour une Fleure plutôt qu'un glaive de chaire, elle ne semblait pas révulsé, puis il était question de sa Maitresse, alors elle voulait bien faire, satisfaire, rendre heureuse sa Mélinda-Sama.

The Multiversity

La voleuse de lingerie [Lyosinda]

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