The Multiversity

[Booette]

C'était toujours la même chose, Booette avait beau être attiré, et même amoureuse de celle qu'elle craignait – et rares étaient ces personnes – elle avait encore du mal à vraiment lui faire face. Il faut la comprendre, son amour venait aussi d'une petite part de crainte. Elle la reine qui ne craignait pas la mort, elle craignait tout de même une personne, c'était si rare que ça avait son importance. Bowsette s'en amusait, du moment que cela ne l'agaçait pas, c'était le principal. La reine Koopa la caressait en s'imaginant bien des choses que la reine spectrale, imaginait mal, mais elle ne voulait pas briser ses espoirs non plus donc, elle se taisait. Elle n'était pas une spécialiste, mais le fait qu'elle soit morte jouait aussi sur l'impossibilité de la chose, après, n'oublions pas que dans ce monde de divinité, le mot « impossible » avait du mal à avoir un sens dans le dictionnaire. Elle lui caressait le ventre en lui promettant un avenir à plusieurs, mais si la reine restait silencieuse et peu confiante, sa tenue changeait peu à peu. Déjà peu vêtue, le peu de vêtements sur sa peau froide et douce se changeait en une lingerie fine, raffinée et délicate, mais ô combien sexy. L'imaginer sans ça sur le corps serait faire insulte à sa beauté. Ce petit porte jarretelle blanche, ses jambes ficelé dans un magnifique collant, conscientes ou non, Booette était redoutable pour Bowsette.

« Je j-je sais pas t-très bien danser... »

Au sens littéral, oui, mais même si elle venait de comprendre le sous-entendu, ça ne l'empêchait pas de rougir, Booette était un vrai yo-yo, elle pouvait parfois parler sans bégayer, et parfois ça revenait, mais suivant les instructions de sa reine, elle lui grimpait dessus. Pour Bowsette, c'était une sensation étrange, elle sentait sa verge être engloutie, mais elle ne sentait pour ainsi dire aucun poids sur elle. Bien sur, elle pouvait la toucher, la saisir, mais sa future femme ne pesait rien. Elle remuait ses hanches sur elle, observant la reine, essayant de la regarder sans se cacher, mais c'était plus fort qu'elle. On ne va pas lui en vouloir, être aussi timide faisait partie de son charme, de la voir rougir et se cacher était propre à sa nature. C'était comme demandé à Bowsette de retirer ses cornes... c'était impossible.

« Haaaaaa.... huuummmm oui~ Haaaaaa... Je... Je t'aime ! »

Elle était sincère, adorable et parfois gourmande, telle était la reine Boo, aimant la reine Koopa. Sa grosse verge à picot remuait en elle, déformant sans mal ses lèvres intimes et pourtant, elle avalait tout sans peur, remuant sur elle, elle faisait le bonheur de sa future femme qui allait vite en redemander plus, même si elle se montrait plutôt gentille pour le moment, elle semblait savoir que ce n'était qu'une petite phase, pour lui faire plaisir. Ses doigts finissaient par s'écarter, laissant voir ses yeux, fixant Bowsette, même si ses joues étaient cachées, on devinait sans mal qu'elle rougissait comme toujours.

« Bo-Bowsette... Si je me... retourne, ha... Je... serais plus actif, hum~ »

C'était de croiser son regard qui la rendait toute chose après tout.

[Bowsette]

Booette, sa petite Booette, sa délicieuse terreur… Elle dansait sur le corps de Bowsette, fine, pouvant devenir transparente. Elle était enjouée, mais nerveuse, toujours aussi nerveuse. En croisant le regard de Bowsette, en lui annonçant qu’elle l’aimait, elle se mettait à rougir furieusement, peinant toujours autant à soutenir son regard. C’était agaçant, mais aussi… Adorable ! Bowsette sourit lentement, et caressa avec sa main la joue de Booette. Celle-ci continuait à se tortiller sur place, à danser, puis lui avoua que, si elle se retournait, elle serait plus active, sans doute parce qu’elle n’aurait pas à soutenir le regard de sa Reine. Bowsette s’humecta les lèvres, puis hocha la tête.

« T-Très bien… Retourne-toi, ma belle, et danse sur moi… »

La Reine koopa soupira longuement, et gémit quand Booette s’exécuta. Elle lui présenta ainsi son dos, et la main de Bowsette glissa sur ses longs cheveux argentés. Elle les caressa, et déplaça dans la foulée sa main pour peloter l’une des fesses de Booette, qu’elle pressa également. Elle sentit Booette se crisper sur place, avant de continuer à remuer, dansant de haut en bas. Sa verge ainsi nichée dans le corps de son amante, Bowsette vivait un délicieux rêve éveillé. Elle déplaça son pouce, et l’enfonça finalement dans le fondement de Booette. Même si elle était aussi légère qu’une plume, son corps n’en restait pas moins réaliste, et était donc sujet comme elle à une excitation forte. Bowsette sourit malicieusement, et continua son office, enfonçant son pouce plus profondément dans son petit trou, qu’elle avait déjà eu l’occasion d’explorer.

« Tu es… Insatiable, ma chérie… »

Rendre Booette enceinte relevait à ce stade du fantasme, de l’impossible… Mais, s’il y avait bien une chose que Bowsette savait défier, c’était l’impossible ! Mais, pour l’heure, elle se contentait surtout de profiter du corps de Booette, qui allait remuer amoureusement sur elle… Et qui allait même danser !

[Booette]

Attendre de Booette qu'elle ne soit pas timide envers Bowsette ? Ce n'était pas impossible, mais ça n'allait pas se régler en un claquement de doigts, ou alors, il fallait que Bowsette lui tourne toujours le dos. C'était autant de l'amour que de la crainte, mais Booette ne pouvaient empêcher cela, c'était sa façon d'être après tout, c'était compliqué d'affronter son regard et de rester calme. Au moins, maintenant, c'était elle qui lui tourna le dos, ne voyant que les jambes et les pieds de la reine Koopa, ça allait mieux pour la reine Boo. Elle se montra déjà plus active sur sa queue, même si elle frissonnait en sentant la main de la reine dans ses cheveux, puis sur ses fesses, au moins, elle ne la voyait pas. Elle gémissait même un peu plus fort, lâchant même un petit cri quand celle-ci enfonçait son pouce entre ses fesses. C'était délieux, mais un simple avant goût.

« Haaan, n'oublie pas... que tu couches avec une reine... J'attends moi aussi, hum... quelque chose de plus gros que... han, ton pouce... »

Plus audacieuse, aussi, forcément, quand la pression ne lui faisait pas perdre ses moyens, elle était un peu plus impertinente, tandis qu'elle se tenait sur les genoux, agitant ses hanches, sur sa longue verge à picots. La reine fantôme agitait son corps à la peau pâle, si douce, ses cheveux flottaient asses, pour ne pas masquer la vue de ses belles pêches blanches qui frottait entre les cuisses de sa reine Koopa.

« Huuum, ouiiii... Vas-y ma belle... Han, remplis ta reine, mon amour ! 

Booette leva ses bras, se tenant l'arrière de ma tête, elle dansait, voulant obtenir sa récompense. Bowsette pouvait voir les deux facettes de sa future femme. La reine qui savait ce qui voulait et qui ne la craignait pas, et celle qui l'aimait tellement qu'elle osait à peine la regarder dans les yeux. Oui, Bowsette allait s'amuser avec sa future femme. Tant de choses possibles avec une femme pareille.

[Bowsette]

Il y avait clairement deux facettes chez Booette. La timide et amoureuse Booette laissait place à la redoutable Reine Boo dès qu’elle ne croisait plus le regard de Bowsette. Ainsi, même en étant en compagnie de la Reine d’Humpa, le fait de lui tourner le dos sembla sortir Booette de sa torpeur. Elle lui rappela qu’elle couchait avec une reine, et que Booette attendait par conséquent davantage que son pouce en elle. La Reine koopa sourit alors, et retira son pouce, puis pressa entre ses doigts l’une des fesses de Booette.

« Mais c’est que ma timide finit par avoir du répondant et des exigences ! »

Bowsette releva sa main, et donna une bonne claque sur le cul de Booette. Elle se régala du cri que l’intéressée poussa. Esquissant un léger sourire, la Reine koopa approcha ensuite sa verge, la glissant contre la croupe de sa partenaire. Elle tapota cette zone avec, frémissant doucement. Elle sentait le désir monter, et pinça encore l’une de ses fesses, avant de donner une nouvelle gifle dessus. Une belle petite fessée qui claqua dans la chambre, tandis que l’épaisse verge de Bowsette continuait à appuyer sur la croupe moelleuse de Booette. La Reine boo pouvait sentir ce membre. Bowsette fit pousser ses picots, qui se mirent à doucement vibrer, tandis qu’elle continuait à se frotter sur le fessier de Booette.

Sourire enjoué sur les lèvres, Bowsette écartait ses fesses.

« Mais tu es la Reine de quoi, au juste ? Sur ce lit, à m’offrir ton cul, à souhaiter que je te baise comme si tu étais la dernière des catins… Je crois avoir une petite idée… »

La Reine koopa se mordilla les lèvres, et commença à enfoncer sa verge…

« Tu es… »

Elle inspira encore, et donna une nouvelle fessée à Booette, faisant résonner son coup dans la pièce.

« La… »

Bowsette inspira, puis glissa ses pouces pour écarter chaque fesse de Booette, et enfonça alors sa verge sur plusieurs centimètres dans un coup de reins fort, qui fit craquer le lit dans la foulée.

« …Reine des Salopes ! »

[Booette]

Eh oui, dès que son regard ne croisait plus celui de Bowsette, elle était la reine qu'elle devait être ! Redoutable et crainte de tous, mais forcément, face à Bowsette, si leur regard pouvait se croiser, elle redevenait cette gentille petite reine apeurée. Ce qui voulait dire aussi autrement que Bowsette pourrait se farcir sa femme sans la ménagé, mais uniquement par l'arrière ou alors elle devrait lui bander les yeux si elle voulait voir ce qui était possible par-devant. Mais pour l'instant, elle acceptait de se soumettre par envie sexuelle, mais attention à ne pas la voir sinon elle perdrait de son mordant. Mais pour l'instant, cela plaisait à la reine Koopa qui fessait sa future épouse en profitant de cet entrain en passant aux choses sérieuses, y allant plus vite et plus fort aussi. La reine Boo était heureuse que sa personne soit ainsi récompensée, elle se pressait avec force sur la queue de la belle reine, impatiente de la sentir non pas sur ses fesses, mais en elle !

« Mmmmrrrrrr ! Allez.... Me fait pas languir ! »

Bowsette se jouait d'elle, annonçant doucement ce qu'elle pensait d'elle, d'être la reine des salopes ! Le tout en enfonçant sa verge en elle, au plus loin. Un bref instant, Bowsette put voir à travers sa fiancée, sa verge entre les parois intimes de Booette, la pointe de sa queue presque au fond, elle avait la bonne taille et la bonne pointe pour déverser tout son foutre directement dans son utérus. La reine des fantômes aurait pu user de son poids plume pour être un véritable jouet entre les mains de Bowsette, mais elle était forte, elle pouvait la soulever sans mal déjà puis elle la sentait bien, sa queue dure et à picots en elle. Elle grognait de plaisir, serrant les draps entre ses doigts, elle attendait de subir la domination de sa reine ! Il pouvait y avoir un règlement de compte entre reines, Bowsette va devoir s'imposer, pour ça, elle savait comment la guider sur la bonne voie.

« Allez ! Oui ! Huuum, montre-moi... Que je dois, aaaarrrrh ! Me soumettre à toi... Reine de pacotille ! »

Tant qu'elle ne la regardait pas, elle gardait sa confiance, elle voulait juste voir à quel point celle qui voulait l'épouser pouvait être parfaite dans le rôle de conjointe. Booette était prête à se soumettre à elle, mais elle devait d'abord tester la marchandise.

[Bowsette]

Oh, voilà qui était bien plus plaisant ! Bowsette sourit en voyant que, en lui étant de dos, Booette se lâchait ! Maintenant qu’elle ne croisait plus le regard de Bowsette, Booette s’affirmait. La Reine koopa en sourit malicieusement, sentant son excitation croître. Elles baisaient depuis des heures, mais elle avait enfin trouvé le point faible de Boette… Ou, plutôt, son point fort ! Absence de contact visuel ! Cela donnait une idée à Bowsette, qui grogna en sentant sa femme l’injurier. Quand elle la qualifia de « reine de pacotille », Booette eut droit à une réaction immédiate. La main de Bowsette se leva, et elle donna une grosse claque sur le cul de Booette, une fessée qui résonna sur place.

« Oh, alors, tu veux la jouer comme ça, ma petite Booette ? Parfait, j’avais peur que tu sois en porcelaine ! »

La main de Bowsette empoigna les longs cheveux blancs de Booette, et elle se pencha vers elle, tout en tirant sur les cheveux de Booette. Elle la redressa ainsi, sa verge s’enfonçant dans son fondement. Les picots vibraient sensuellement, tandis que la queue caudale de Bowsette récupéra l’une de ses culottes. Bowsette grogna contre l’oreille de Booette, mordillant son lobe de l’oreille.

« Commençons par s’occuper de ta timidité, tu veux bien ? Je veux que ma Booette-salope reste en place… »

Bowsette enroula ensuite sa culotte autour des yeux de Booette, s’en servant comme d’un bandeau improvisé qu’elle noua derrière sa tête. Bowsette, qui s’était plaquée contre son amante, se redressa ensuite, et relâcha les cheveux de son amante. Sa queue caudfale se déplaça ensuite, et vint titiller la chatte de sa partenaire.

« Tu es prête ? Je vais te faire hurler, et tu ne seras plus la Reine des Salopes, oh non ! Tu vas être… »

Sourire pervers sur les lèvres, Bowsette gémit alors en enfonçant sa queue caudale dans la chatte trempée de Booette.

« …La Reine des Putes ! »

[Booette]

Fidèle à ce que l'on disait des Boos, les affronter en face leur faisait perdre leurs moyens, plus du genre à frapper en traître ! Même si le roi souffrait moins de cette timidité, Booette l'avait, elle. Heureuse de constater cela, la reine Koopa saura sur l'occasion en venant bander les yeux de sa future épouse avec une de ses petites culottes pour mieux la maltraitée ensuite. Elle tira ses cheveux, lui promettant une suite qui, mine de rien, allait leur plaire à toutes les deux. Elle n'avait pas besoin de prendre de précaution avec elle, Booette ne craignait rien, elle pouvait souffrir, mais pas mourir. Pas de façon classique en tout cas. Si sa verge redoublait de plaisir en vibrant dans son cul, la suite fut un peu plus gros en amenant sa queue caudale entre ses cuisses. Enfonçant le morceau de chair bien épais en elle.

« HAAAAAAAAAAAA !!!! »

C'était douloureux quand même... mais plaisant. Bowsette arrivait à la faire hurler, ça oui, et elle continua de la baiser avec ardeur et plaisir, cela était partagé, Booette acceptant son autorité, mais seulement le sien. De toute façon, la reine de Boos ne craignait que ce qui lui était supérieur, le reste n'était que des laquais à ses yeux. Privée de la vue, elle grognait de plaisir, sentant les mains de sa femme sur son corps froid, elle la réchauffait à sa manière. Il lui serait si simple de se défaire de son emprise, mais elle ne le voulait pas, c'est tout. Elle posait sa tête en arrière, sur son épaule, lui susurrant d'aller encore plus fort, avec ses queues, elle ne craignait rien, sur ce point-là, Bowsette pouvait se livrer à des plaisirs inédits ou interdit jusque-là, bien que la strangulation ne devrait pas être une envie pour elle. Mais enfoncer des choses aussi grosses que sa queue dans sa partenaire, même pas peur !

« Mmmmh houuuu ! Vas-y ! Domine-moi, ma salope ! Baise-moi ! »

Le plaisir allait dans les deux sens, comme prévu, Bowsette ne pouvait pas trouver meilleure femme ! Meilleure femme royale ! Qui plus est !

[Bowsette]

Bowsette passait à un registre supérieur. La Reine koopa était bien décidée à baiser sa Booette dans tous les sens possibles. N’était-ce pas ce que cette dernière voulait, après tout ? La Reine des Boos était magnifique, et Bowsette s’enfonçait en elle avec délectation. Elle était passée à un rythme intense, en utilisant ses deux queues, sa verge et sa queue caudale. Une double pénétration sauvage, brutale, bestiale. Elles avaient beau être des reines, elles baisaient comme des hyènes sur ce lit ! Bowsette ignorait depuis combien d’heures elles faisaient l’amour, mais aucune ne semblait vouloir s’arrêter. Bowsette avait dans ses veines l’énergie de Bowser, le Roi koopa, une énergie féroce qui la stimulait fortement. Son endurance était équivalente à celle de son époux, un homme qu’elle espérait toujours retrouver à Humpa. Bowsette allait d’ici là se faire son joli harem, et Booette en ferait partie. Elle l’épousera, oh que oui ! Elle l’épousera, et elle trouvera le moyen d’avoir des enfants avec elle, que ce soit des Boos, ou des humains ordinaires !

« Hrrrmpffff… Tu es… Si serrée, ma salope, haaaa… »

La Reine koopa soupira encore, sentant ses deux membres se contorsionner en elle. Elle faisait vibrer sa queue caudale pour élargir ses parois vaginales. Sa queue caudale se recouvrait de la mouille de Booette, et l’un des picots de sa queue vibrait contre son clitoris, arrachant à Booette des hurlements. Sans contact visuel, Booette n’était plus effacée qu’à l’accoutumée, elle se montrait bien plus directe, et, quand elle alla qualifier sa Maîtresse de « salope », Bowsette réagit en donnant une belle gifle sur son cul.

« S-Sois plus respectueuse, hmmm… C’est t-toi la pute, haaaa… M-Moi, je suis juste… La Maîtresse qui tâche de sustenter une chienne comme toi, haaaa… ! »

Ce n’était pas totalement exact, mais, dans ce type de scénario, la parole de la Maîtresse faisait foi, elle était la loi suprême. Booette portant son bandeau improvisé, Bowsette la retourna. Elle la coucha sur le dos, souleva ses jambes, et se pencha vers elle. Ce faisant, elle fit varier ses queues ; sa verge s’enfonça dans la chatte de Booette, et sa queue caudale alla se nicher dans son cul. Booette se tortilla sur place. Bowsette posa ses mains sur les jambes relevées de Booette, et donna des coups de reins intenses. Sa queue caudale continuait à s’enfoncer dans son fondement.

« J’vais t’baiser comme jamais, haaaaa… »

Bowsette se pencha ensuite vers elle, pliant un peu ses jambes dans la foulée, et posa ses deux mains sur sa gorge. Elle l’embrassa ensuite, puis appuya, venant serrer pendant quelques secondes ses mains sur la gorge blanche de Booette.

« Tu… M’appartiens ! » grogna-t-elle.

Et elle poursuivit à nouveau ses coups de reins, faisant grincer le lit et claquer la chair…