Camille laissait la démone agir. Elle n’avait encore jamais fait l’amour avec des démons, alors la Comtesse était naturellement curieuse de voir comment celle-ci allait faire. Valéria était magnifique, et il se dégageait d’elle une puissance sexuelle incroyable, corruptrice et tentatrice. Camille sentait que cette femme aurait pu la faire chavirer sans difficulté. Elle enfonça donc un doigt dans son fondement, et sentit la résistance des parois anales de la succube. C’était une zone qui méritait d’être dilatée, mais, pour l’heure, Camille se concentrait surtout sur sa fellation. Elle était bien décidée à montrer à cette femme que, si elle l’avait invoqué pour l’enfanter, elle ne serait pas son esclave. La Comtesse ne se soumettait qu’à sa souveraine, la Führerin Liddell. Le reste n’était que secondaire face à elle, même une succube aussi belle que Valeria !
« Hmmm… ! »
Elle sentit la main de Valeria se serrer sur ses cheveux, puis la succube la retira alors. Le sceau s’était rompu, Valeria était libre de ses mouvements. La démone prit conscience que la pièce disposait d’autres outils, notamment une belle table matelassée, qu’on utilisait généralement pour déplacer les patients récalcitrants dans les asiles en attachant leurs membres. La succube, malgré sa fine silhouette, avait une force incroyable, puisqu’elle souleva Camille, et la plaqua sur la table.
« Aah ! »
Camille se retrouva couchée sur la table, et, le temps pour elle de réagir, sa tête se retrouva face au bassin de Valeria. La tête inversée par rapport à la succube, elle put voir sa belle verge s’enfoncer à nouveau dans sa bouche. Valeria aurait pu attacher les membres de Camille, mais elle préféra attraper ses mains, et les ramena sur ses fesses. Un signe clair, qui amena naturellement Camille à serrer ses doigts sur le cul de la démone, pinçant ses deux fesses. Elle soupira à nouveau en sentant sa bouche se faire remplir. Sa vision était à nouveau absorbée par le corps de Valeria, qui se pencha sur elle, et observa le bas de son corps.
Serrant ses doigts sur les fesses de la démone, Camille retourna à nouveau explorer son fondement. Valeria, elle, se pencha sur le ventre de Camille, descendant encore, s’allongeant contre elle, jusqu’à ce que son visage se retrouve près du sexe de Camille. Une fleur savamment entretenue, soigneusement épilée, offrant une peau lisse, tendre, et légèrement humide. Excitée, Camille l’était, et elle ne s’en cachait nullement. Observant cette zone, Valeria souffla dessus, ses lèvres proches des siennes. Elle lui annonça qu’elle pouvait jouir.
« Hnnn… »
Parler était impossible pour Camille, mais réfléchir le devenait tout autant. Sa partenaire la prenait avec force. Elle remuait en elle, donnant de solides coups de reins, multipliant les gorges profondes. Elle étranglait Camille, l’étouffait, empêchait celle-ci de réagir. Mais, en même temps, elle lui bourrait la bouche avec force. Ses testicules claquaient contre son nez et ses yeux, Valeria la mettant à rude épreuve.
Elle entendit donc celle-ci l’inciter à jouir, mais Camille ne savait pas trop si elle l’avait vraiment entendu, ou si c’était juste un rêve, un fantasme de sa part. Ce qui était sûr, c’est qu’elle mouillait énormément, et, tandis que sa partenaire continuait à la prendre, Camille continuait à être excitée. Elle serra ses mains sur le cul de Valeria, malaxant et pinçant chacune de ses fesses, remuant dessus, tout en sentant celle-ci continuer à la prendre, la bourrant avec force.
« Hmmm-hmmm !! »
Yeux clos, Camille avait parfois des larmes qui coulaient, car la verge de Valeria tapait profondément, et le phénomène d’asphyxie amenait une réaction physiologique. Toutefois, la démone allait vite comprendre que Camille adorait ça. Le sexe violent, intense, épuisant, celui qui la défigurait, qui étouffait en elle tout sentiment de noblesse, la réduisant au rôle de simple pute se faisant baiser sans relâche par sa partenaire. C’était un pied phénoménal, et elle répondit en retournant doigter le fondement de Valeria, remuant les jambes, réclamant de l’attention sur son sexe… Plus qu’un simple soupir, en tout cas. De quoi la faire jouir, même si Camille attendait avec impatience le sperme de la succube. Elle voulait que cette dernière se déverse en elle, relâche tout son plaisir entre ses chaudes lèvres.
Quel pied, tout simplement !