Fönn n’en menait pas large, et Lissandre continuait encore à la provoquer ! Oh, la méchante ! C’était… C’était vil ! Oui, très méchant ! Elle continuait à lécher et à embrasser sa queue, et Fönn se pinçait les lèvres, sentant son calme partir, s’effritant au fur et à mesure que le désir croissait, et que sa verge devenait dure, tendue, si dure, si assoiffée ! Lissandre jouait encore avec elle, et Alastar se recula alors. Lissandre accompagna ce mouvement, et, alors que la Norvégienne commençait à se dire qu’elle allait devoir, d’une façon ou d’une autre, forcer le passage, Lissandre avala brusquement sa verge ! Le mouvement surprit Fönn, qui écarquilla des yeux sous la surprise, et frémit sur place, sentant une vague la saisir. Elle serra ses deux mains sur la tête de sa partenaire, et rougit furieusement.
« Ohhh, Li-Lissandre, hmmm… !! »
La Norvégienne gémit de plaisir, rougissant à nouveau, et Alastar constata, avec plaisir, que tout son corps semblait se détendre. Un délicieux frisson la traversa de part en part, et il assista à cette scène avec un sourire ravi sur les lèvres. L’observant encore, il revint ensuite à lui, et gifla le cul de Lissandre, fessant à nouveau cette dernière. Elle avait bien mérité plusieurs fessées ! Cette gourgandine jouait avec les émotions de sa femme, qui était aussi l’une des amantes privilégiées d’Alastar, ayant eu le droit de porter deux de ses enfants. Un privilège rare, assurément, qui confirmait combien l’incube appréciait cette gynécologue coquine. Et, avec cette verge en elle, Fönn était encore plus attirante. La voir ainsi, luttant contre ce plaisir encore inconnu pour elle, inédit et exquis, valait bien tous les regards.
Alastar sourit donc, et fessa encore Lissandre.
« Pose tes mains sur sa tête, Fönn, empêche-là de se retirer. Ta femme… Elle est vraiment très rebelle ! Il faut que tu sois ferme ! »
Fönn était paradoxale. Elle avait suffisamment foi en elle pour avoir quitté son pays natal et être devenue gynécologue dans un pays qui n’aimait pas les étrangers venant s’installer, a fortiori des femmes célibataires d’âge mur. Elle était une véritable hérésie dans une société profondément conformiste, mais elle avait tenu, elle avait même ouvert son propre cabinet ! Mais, paradoxalement, dans les relations intimes, elle était très soumise. Le Diablotin l’avait su, bien sûr. Fönn avait le profil d’une soumise, et, dans son couple naissant avec Lissandre, elle aura sûrement le rôle de soumise. Cela ne déplaisait nullement à Alastar, qui trouvait que c’était un fonctionnement normal au sein d’un couple.
Le Diablotin grogna alors, et recommença à prendre Lissandre, tandis que Fönn, obtempérant à son invitation, serra ses mains sur les cheveux de Lissandre. La combinaison de latex de Lissandre recommença à crisser, tandis que Fönn lui interdisait de retirer sa bouche.
« Allez, Fönn, baise-lui la bouche ! Cette catin aime qu’on l’insulte, fais-toi plaisir ! »
Fönn se pinça les lèvres en rougissant encore, et gémit à nouveau. Elle releva la tête, puis l’abaissa, et continua son office, commençant à remuer son bassin plus rapidement, d’avant en arrière, enfonçant sa trique dans la bouche de Lissandre.
« Han, han, Li-Lissandre, tu… Tu… Haaaa… Tu as vraiment été… Hmmm… V-vraiment vilaine, haaa ! »
Alastar fessa encore Lissandre, prenant visiblement goût au fait de claquer son cul, d’entendre le latex claquer contre ses doigts.
« Elle est gentille, hmmm… Moi, je dirai plutôt que tu es une vraie salope, Lissandre ! »
C’était irrévérencieux ! Mais, en même temps, Alastar restait un incube provocateur et pervers, alors il fallait bien s’y attendre un peu !