The Multiversity

[Arthur Duroy]

Gilnéas était une cité uatéenne assez importante, très riche, abritant le manoir Duroy. Arthur était devenu l'un des pontes de cette ville, et disposait d'une richesse qui ne cessait de croître. Sa fortune provenait initialement de ses parfums, et, s'il développait toujours ses parfumeries, il disposait désormais de tout un empire commercial par l'intermédiaire de sa femme, Suzanne Duroy. Entièrement dévouée à son mari, elle tenait davantage d'une esclave que d'une femme, car elle avait subi les attraits des parfums d'Arthur, tant et si bien qu'elle avait fini par lui être soumis... Qu'elle le veuille ou non. Elle représentait en tout cas sa meilleure alliée, une femme qui connaissait tous les rouages de la haute société, soit une aide indispensable pour lui qui venait des bas-fonds.

Mais Arthur était aussi un homme très assoiffé. Il était loin de rester sexuellement fidèle à sa femme, et celle-ci l'admettait pleinement. Suzanne avait d'ailleurs un joli cadeau à offrir à son mari pour fêter leur anniversaire de mariage. Dans son élégante robe, elle fumait un cigare tandis qu'une voiture ramenait le bien qu'elle avait acheté auprès des Uatéennes. Un cadeau très précieux sommeillait à l'intérieur, dans une caisse, et elle ordonna qu'on l'amène dans son manoir.

Le manoir Duroy était massif, sur une colline longeant Gilnéas. Les hommes emmenèrent la lourde caisse, et rejoignirent le manoir. La caisse fut posée dans un salon, et Suzanne se rapprocha ensuite, signant le reçu d'une main distraite. Sa délicieuse et perverse fille, Virginie Duroy, ne tarda pas à arriver à son tour.

« Je me disais bien que tu viendrais, ma chérie... »

Suzanne la caressa doucement. Elle devait à Arthur le rapprochement avec sa fille. Arthur avait pris toutes les virginités de Virginie, et elles avaient fait l'amour ensemble, toutes les trois. Elle embrassa les belles lèvres au goût de fraise de Virginie. Suzanne espérait bien qu'elle était enceinte d'Arthur, et elle laissa à Virginie le soin d'ouvrir la caisse. Virginie se dépêcha d'agir, et la caisse s'ouvrit enfin. La lumière l'inonda. C'était une grande caisse, qui avait transité par les réseaux de contrebande.

Un sourire éclaira les lèvres de Virginie en voyant la silhouette émerger à l'intérieur.

« Bonjour, Dasa... Reprends tes esprits, ma belle, ce long voyage est désormais terminé. »

Cela n'avait pas dû être très confortable pour elle, et elles étaient à proximité d'une salle de bains, où Suzanne avait fait couler un bain.

« Tu vas commencer par te laver, ma chérie, nous avons une journée pour te préparer avant de t'offrir à notre Maître... »

[Dasã]

« Soit sage et obéissante avec tes prochains maîtres »

Dasã hocha la tête en signe d’affirmation avant de voir la porte de sa caisse se refermer, la plongeant dans un noir casi complet. Seuls quelques traits fins de traits lumières perçaient la pénombre, mais cela était bien insuffisant pour voir quoi que ce soit de l’extérieur. Ce n’était pas la première fois que l’esclave subissait un tel voyage, elle s’assied donc contre la paroi opposée et se mis à attendre patiemment. Elle sentait les vibrations de la voiture, entendait les différentes voix, devina ici un virage, puis une longue ligne droite. Le voyage dura bien toute la matinée. Et quand la caisse s’ouvrit, par réflexe et par habitude, elle se mis à genoux, tendant sa fameuse laisse en cuir noire, visage baissé :

« Maîtresses…C’est un honneur de vous servir… »

Elle patienta jusque ce que la laisse soit prise avant de relever le visage, entendant déjà l’un de ses premiers ordres : se laver. Il était vrai que voyager dans une caisse n’était pas des plus hygiénique et qui voudrait donc d’une esclave sale ? Dasã hocha la tête :

« Bien maîtresses… »

Elle se releva et elle nota rapidement qu’un bain avait déjà été coulé. Mieux ne valait donc pas perdre de temps. Dans une gestuelle maîtrisée, elle retira ses habits un à un, laissant son corps à la peau mate et parfaitement entretenue à la vue de Suzanne et de sa fille ; une première inspection visuelle. Elle ne cacha rien, montrant chaque aspect de son corps, sa poitrine généreuse, ses fesses galbées et rebondies…rien n’avait été laissé au hasard chez l’hybride.

« Maîtresses souhaiteraient-elles me laver ? »

Un bain, surtout en présence des maîtres, n’était jamais anodin. Dans son éducation, Dasã avait appris qu’il valait mieux demander s’il fallait qu’elle se lave seule ou qu’elle soit laver…qu’importe la manière employée !

[Arthur Duroy]

Jadis, Suzanne avait été une femme dévouée à son mari, sage, qui s'offusquait du comportement de gourgandine de sa fille. Virginie avait toujours eu un comportement assez sulfureux et provocateur, mais, depuis son remariage avec Arthur, Suzanne voyait les choses différemment. Arthur lui avait ouvert les yeux, que ce soit sur la relation avec sa fille, ou avec n'importe qui d'autre. Suzanne et Virginie étaient désormais bien plus complices, et observèrent avec appétit le corps savoureux de Dasã. Elle était superbe, tout simplement, et elles rejoignirent toutes les trois la salle de bains.

Une grande baignoire les attendait, avec du savon, et des produits de beauté. Tandis que Dasã les interrogeait, Virginie se pencha vers elle, et lui ébouriffa les cheveux, tout en lui retirant ses vêtements. Elle la déshabilla complètement, et les deux femmes firent de même, chacune finissant nue. Suzanne grimpa ensuite dans la baignoire.

« Nous allons effectivement prendre soin de toi, Dasã... Tu dois être incapable quand nous te présenterons à ton Maître, ce soir.
-  Tu es son cadeau d'anniversaire, ma belle, mais aussi notre premier animal de compagnie humanoïde ! »

Que ce soit Auris ou Uatis, l'esclavage était toléré et pratiqué dans les deux pays.  Mais les Duroy n'avaient aucune intention de se montrer cruels envers une si jolie okami. Dasã perdit même son collier, car les Duroy lui en remettraient un. Suzanne grimpa la première dans la grande baignoire, puis invita Dasã à la rejoindre. La jeune okami obtempéra, et grimpa à l'intérieur. L'eau était chaude, et Virginie les rejoignit ensuite. Très rapidement, mère et fille vinrent s'embrasser avec appétit. Elles y glissèrent même leurs langues, tandis que Dasã était allongée dans l'eau, à côté de Virginie, le long du corps de Suzanne.

Le baiser se termina ensuite, puis Virginie sourit à Dasã, et envisagea de lui donner son premier baiser... Mais sa mère l'interrompit.

« Je te rappelle que c'est le cadeau de notre Maître, pas le tien...
-  Oui... Désolée, ma petite louve, j'espère bien que je pourrais te faire l'amour ce soir... »

Pour l'heure, elle allait surtout avoir droit à un nettoyage. Les Duroy comptaient aussi voir si elle savait utiliser le savon, le shampooing, ce genre de choses. Tout autour de la baignoire, il y avait après tout des lotions, du parfum. Virginie s'occupa de la nettoyer et de la parfumer sous les yeux amusés de Suzanne.

« Alors, Dasã, dis-moi... Qu'est-ce que tes dresseurs t'ont appris à faire ? Sais-tu lire, écrire, compter ? » demanda-t-elle, naturellement curieuse à son encontre.

[Dasã]

Dasã était entrée dans le bain en compagnie de Suzanne Duroy et de sa fille. Promis au maître de maison, elle ne fit cependant rien quand les deux femmes s’embrassèrent entres elles, et afficha également un air attristé quand Virginie ne put l’embrasser à son tour.

« Maîtresse est si belle…» Souffla t’elle.

Oui, l’admiration pouvait se lire dans son regard ambré. Se relevant par la suite dans le bain pour se mettre à la bonne hauteur, Dasã montra ses facultés de lectures, ainsi que sa connaissance vis-à-vis des shampoings et des lotions en indiquant à Suzanne lesquels étaient les meilleurs pour elle. Elle indiqua même la lotion pour sa queue de louve ! Tout en faisant cela, elle répondit à Virginie :

« J’ai appris à lire et compter maîtresse. Je sais également faire les différentes tâches ménagères et j’ai été éduqué au plaisir de la chaire. »

Que pouvait-elle rajouter de plus ? Après tout, tout cela devrait être indiqué sur son dossier lors de son achat. L’Hybride poussa un mignon petit soupir quand les mains de Virginie passèrent sur sa poitrine pour la laver et preuve d’une éducation basée sur le plaisir d’autrui, ses tétons ne tardèrent pas à poindre tandis que l’Okami resserrait ses cuisses entre elles. Son corps réagissait déjà.

« Maî…maîtresse… »

Oh qu’elle avait hâte d’être à ce soir ! De rencontrer son nouveau maître, était-il aussi gentil que ses maîtresses ? Dasã avait servit bien des maîtres, et bien qu’elle avait un peu peur de l’inconnu, elle était aussi très impatiente de montrer tout son savoir-faire ! Pourtant, une question lui brûla les lèvres :

« Le maître…a-t-il des préférences maîtresses ? »

Une question tout à fait légitime ! Est-ce qu’il préférait les femmes soumises ? Un peu dominante ? Pourrait-elle parler ? Devrait-elle marcher à quatre pattes sans arrêt ? Les envies variaient d’un maître à l’autre, peut-être pourrait-elle déjà savoir un peu avant de le rencontrer ? Ou bien…tout cela ne sera qu’une surprise ?

[Arthur Duroy]

Suzanne nota avec amusement le regard enjoué de Dasã lorsque mère et fille s’embrassèrent. La jeune okami allait vite comprendre que le manoir Duroy n’était pas un haut lieu de chasteté, et que c’était même tout l’inverse. Elles étaient à l’image de leur Maître. Il avait complètement désinhibé ces femmes, et elles acceptaient pleinement leur situation. En la massant, Virginie sentit avec amusement le désir croître dans le corps de l’okami. Ses tétons se mirent à durcir, et elle en profita volontiers, caressant ses seins avec ses doigts, sous le faux prétexte de les nettoyer avec du savon. Elle pinça un téton entre ses deux doigts, et tira fermement dessus, malaxant ensuite l’autre sein, tandis que Dasã les interrogeait sur les préférences sexuelles du Maître. Couchée dans la baignoire, Suzanne souriait lentement.

« Oh, et bien, le Maître aime les jeunes femmes obéissantes, mais pas effacées… Il faut savoir faire preuve d’initiative tout en suivant ce que le Maître veut. Ce n’est pas un exercice facile, mais c’est cela qui différencie les bonnes esclaves des mauvaises, n’est-ce pas ? »

Cette déclaration pouvait sembler contradictoire, mais Dasã comprendrait qu’il n’y avait rien de plus excitant qu’une esclave consentante. En revanche, une fausse rebelle risquait assez vite d’agacer Arthur. Dasã se tortillait sur place, et Virginie l’embrassa dans le creux du cou, frottant ses seins contre son dos.

« Virginie, tu es vraiment irrésistible…
-  Mais elle est si mignonne, Mère ! Si on la laisse comme ça, elle sera toute tendue ce soir, quand le Maître viendra la prendre ! »

Suzanne sourit doucement, consciente que Virginie n’était pas du genre à lâcher l’affaire si facilement.

« D’accord, mais elle doit conserver son hymen, Virginie… »

La jeune femme sourit sensuellement, et retourna ensuite Dasã. Elle la poussa en arrière, et la belle okami sentit les mains de Suzanne attraper ses bras, la retenant contre elle. Sa tête se nicha entre les seins de la femme, et Virginie se pencha ensuite vers elle, le corps recouvert d’eau, puis caressa son visage. La jeune femme l’embrassa ensuite tendrement, ses longs cheveux blonds glissant de sa tête. Elle goûta avec appétit à ses lèvres, et prolongea le baiser, sa langue s’enfonçant dans sa bouche.

« Hmmm… »

De son côté, Suzanne recommença à parler à leur nouvelle esclave :

« Le Maître a des journées très chargées. Quand mon mari revient, il n’a pas envie de se disputer, alors c’est à nous de le satisfaire. Mais, si tu te débrouilles bien, il pourra t’emmener avec lui au travail. Tu seras son animal de compagnie, Dasã, une belle louve qui servira à assouvir ses soifs sexuelles… Car mon mari a une endurance sexuelle exceptionnelle, tu sais. Quand moi et ma fille lui faisons l’amour, il nous épuise longuement. »

Elle sourit tendrement, caressant au passage les cheveux de l’okami.

« Tu penses qu’elle pourra l’endurer ?
-  Hmmm… »

Virginie rompit le baiser doucement, et embrassa Dasã sur le bout du nez.

« Elle sera parfaite, oh oui ! »

[Dasã]

Le baiser fut échangé sans retenu, sans peur. Dasã mettait en pratique ce qu’elle avait appris, répondant aux attentes de ses maîtresses. Elle écouta également avec attention ce que Suzanne lui expliqua, notamment vis-à-vis des envies de son futur maître. Elle se plierait à ses volontés comme elle l’avait déjà fait tant de fois par le passé. Une des volontés qui avait d’ailleurs été exigée était le fait que Dasã soit vierge. Un fait rendu possible grâce à la technologie, son hymen avait été reformé, n’attendant que le passage d’une verge pour se rompre à nouveau.

Dans tous les cas, les paroles de sa maîtresse faisaient mouiller d’anticipation la petite esclave. Elle avait tellement hâte ! Tellement hâte de rencontrer cet homme qui ne cessait d’être couverts d’éloges ! Mais pour l’heure, elle avait devant elles, deux superbes créatures, dont une qui ne demandait qu’à goûter à son savoir-faire.

« Si mes maîtresses me le permettent… »

Et elle se releva, attrapant doucement le visage de Virginie pour retourner l’embrasser avec son accord. Une de ses mains migra vers son mont de venus, ses doigts ne tardant pas à aller effleurer sa fleur intime.

« Je dois être préservée pour le maître mais cela ne m’empêche pas de vous faire plaisir maîtresse ! »

Elle amena Virginie à s’installer contre sa mère, inversant cette fois les rôles. Soucieuse, l’Okami observait néanmoins les réactions, prête à arrêter à tout refus mais l’envie de Virginie était fortement palpable. Elle cessa de l’embrasser descendant contre sa poitrine qu’elle combla de quelques baisers avant de continuer sa route, descendant le long du ventre, puis se retrouvant la tête entre ses cuisses. Elle leva son regard, soufflant :

« Maîtresse est si parfaite… »

Ses lèvres se pressèrent contre celle intime, l’embrassant avant que sa langue ne vienne jouer avec, titillant avec expertise le clitoris de sa pointe. La queue de l’Hybride remuait dans son dos tandis que son muscle buccal vint pénétrer la fleur de Virginie pour un cunnilingus des plus exquis !

[Arthur Duroy]

L’engouement de Dasã était un vrai régal pour les deux jeunes femmes. Elle était visiblement impatiente à l’idée de rencontrer le Maître, et, pour l’heure, profitait des deux Maîtresses. Cet engouement semblait sincère et authentique, et ne pouvait que plaire à Virginie. La sulfureuse jeune femme avait très hâte de pouvoir jouer plus longuement avec l’okami, même si elle savait que, là, dans ce bain, il ne s’agirait que de simples préparatifs. Dasã prit alors un semblant d’initiative, et embrassa avec appétit Virginie sur les lèvres. L’adolescente soupira de plaisir, sentant un agréable frisson la traverser, et elle répondit avec joie à ce baiser. Dasã prit encore d’agréables libertés, installant Virginie contre le corps de sa mère, puis glissa entre ses jambes, tout en l’embrassant régulièrement. Elle savait y faire, la petite ! Ses baisers étaient très agréables, faisant joyeusement frémir Virginie, qui sentit alors la main de sa mère, Suzanne, caresser son visage. Suzanne lui tourna ensuite la tête, et l’embrassa tendrement, jouant avec sa fille.

De son côté, l’okami finit entre les cuisses de Virginie, et, le corps presque totalement englouti dans l’eau, commença à la lécher intimement. Virginie était proprement épilée par là, et couina sur place, se tortillant en sentant cette langue joueuse titiller sa chatte. Elle frémit, et déplaça sa main, venant agripper les cheveux de Dasã. Elle serra dessus pendant quelques instants, puis caressa ses oreilles, gémissant encore.

« Oh, Mère, elle est si douée, cette petite, hmmm…
-  Elle te plaît, hein ? Petite coquine… »

Un sourire amusé éclaira les lèvres de Suzanne, qui aimait voir sa fille aussi heureuse. Dasã était en train de perdre des forces, et elle pourrait sentir la mouille de Virginie suinter le long de ses cuisses, tombant dans sa bouche.

« Fais-toi plaisir, Dasã, j’apprécie tes initiatives… Arthur va vraiment t’adorer, ma chérie… »

Elle était vraiment un superbe cadeau ! Docile, et en même temps faisant preuve d’initiative… Nul doute qu’Arthur allait adorer la besogner !

[Dasã]

« Hmmmmmm ! »

L’Okami était aux anges ! Le simple fait de sentir cette main contre ses cheveux était une preuve qu’elle faisait ce qu’il fallait ! Et cette petite attention aux niveaux de ses oreilles…Cela ne lui donna que plus de motivation à continuer !  Faisant passer ses bras sous les cuisses de virginie pour mieux la soulever, elle amena sa chatte plus contre son propre visage, son nez venant frotter contre son clitoris tandis que sa langue venant s’activer en son sein. Elle caressa les cuisses de la jeune fille pendant qu’elle sentait sa mouille couler contre sa langue, le long de son menton et quand les tremblements se firent plus fort, elle ne s’arrêta pas, continuant à la lécher jusqu’à provoquer un second orgasme.

« Maîtresse est vraiment délicieuse… »

Commenta Dasã tout en se léchant les lèvres. Elle s’approcha d’elle par la suite, venant coller sa poitrine contre la sienne et échanger un nouveau baiser, cette fois laissant Virginie goûter à sa propre mouille. Son regard ambré se posa par la suite sur Suzanne :

« J’ai si hâte de rencontrer le Maître… »

Loin d’avoir peur de l’inconnu, la petite esclave était impatience, et on pouvait le dire, passablement excitée ! Mais il fallait faire encore preuve de patience et finir de se préparer. Elle regarda une dernière fois Virginie et se retira à regret, soufflant :

« Je serais ravie de vous servir Maîtresse… »

Après tout, elle allait devenir leur animal de compagnie ! Elle allait devoir s’occuper de chaque membre de la famille ! Après ce moment fort agréable, l’Okami termina d’être proprement lavée, séchée, coiffée et habillée. Un nouveau collier autours du cou et une laisse à ce dernier, elle attendait à présent d’être amené à ce fameux maître…Et elle espérait faire bonne impression auprès de ce dernier !!

[Arthur Duroy]

Plus tard, dans la soirée :

Arthur retourna au manoir avec le regard d’un homme qui avait bien rempli sa journée. L’époque où il n’était qu’un misérable parfumeur travaillant au sein de la Parfumerie Baldini était bien révolue derrière lui. Arthur était désormais un homme socialement inséré, puissant, qui dirigeait un puissant empire commercial et militaire. Il avait des contrats avec l’armée, et développait désormais la technologie aurienne mélangeant magie et technologie, la magitech. Une spécialité aurienne par opposition aux Uatéennes, qui se reposaient exclusivement sur la technologie. Arthur avait reçu pour commande dans ses usines de fabriquer des exosquelettes, de redoutables mechas, sorte d’évolution futuriste des golems nains et alchimistes. Il avait passé la journée à signer des contrats, se détendant en couchant avec plusieurs femmes.

Il retournait donc chez lui, et savait que c’était une soirée particulière. Cela faisait un an qu’il avait ravi le cœur de Suzanne. Il ignorait encore si elle l’aimait vraiment, mais il se disait que, avec le temps, son corps aurait fini par développer une résistance naturelle à ses parfums… Mais, après tout, elle était sa première cobaye ! Car, au sein du manoir, Arthur disposait toujours de son laboratoire de parfumerie, où il améliorait sans cesse l’effet de ses différents parfums, y compris certains parfums plus redoutables. Il cherchait notamment à confectionner une toxine mortelle, un poison qu’on inhalerait et qui provoquerait un coma éthylique, voire le décès. Il travaillait notamment sur du sulfure d’hydrogène, un gaz mortel dont il essayait vainement de saisir la fragrance pour ses flacons. Quelle finalité à tout ça ? Aucune, car il ne comptait pas commercialiser ses parfums, mais il pouvait ainsi devenir plus fort, et l’idée de pouvoir commander à la vie et à la mort n’était pas sans exalter les sens d’Arthur.

Ce soir, il sentit rapidement une nouvelle odeur dans la maison, et laissa sa femme organiser la soirée. Elle avait fait établir un magnifique plat, et semblait particulièrement heureuse. Arthur avait droit à son propre traiteur, qui lui servit un repas digne des plus prestigieux restaurants gastronomiques de la capitale, comme le Royal Auris. Consommé de homard, langoustine fumée à la braise de romarin, même les amuse-gueules étaient divins ! Mais Suzanne avait conservé sa surprise du roi, et, à la fin du repas, elle invita Arthur à la suivre, elle et Virginie.

« Que me dissimulez-vous, Mesdames ?
-  Nous l’avons préparé rien que pour toi, Arthur… Si tu avais vu dans quel état elle était arrivée !
-  Tu titilles ma curiosité… »

Suzanne pouvait sentir l’excitation de son mari. Elle savait encore comment le charmer, comment le flatter, et c’était un domaine dans lequel elle s’en sortait plutôt bien. Celui-ci attrapa ses deux femmes, palpant sans hésitation leurs fesses, puis les suivit à l’étage. Suzanne la guida vers la chambre conjugale, et l’ouvrit ensuite. Sur le grand lit à baldaquin, il y avait une esclave qui l’attendait…

« Mon chéri, je te présente ta nouvelle esclave… Dasã ! »

Celle-ci portait une guêpière très particulière, faite de cuir et de chaînes, de liens, avec un dos très nu. La jeune femme s’étira lentement pour présenter ses hommages à son Maître, qui sentit, outre son corps parfait, une magnifique odeur…

…Ce qui durcit rapidement sa queue !

[Dasã]

Elle avait attendue sagement toute la soirée, attendant avec impatience et anticipation. Oh qu’elle avait hâte de le rencontrer ! Et cette attente allait bientôt prendre fin ! Le bruit des pas s’approchant de la chambre conjugale, le petit crissement de la porte…L’Okami se retourna et fit face au trio et elle s’inclina devant son maître faisant cliqueter les chaînes de sa guêpière.

« Maître… »

Sa voix était sensuelle, remplit d’admiration. Une admiration pour un homme qu’elle n’avait jamais vu mais pour qui elle donnerait sa vie. Elle se rapprocha, avançant à quatre pattes, faisant rouler ses courbes avantageuses. Chacun de ses mouvements faisaient tinter encore plus les chaînes qui habillaient sa guêpière. Oh qu’elle était aguicheuse dans une telle tenue ! Suzanne et sa fille l’avaient parfaitement mise en valeur. Dasã s’arrêta tout juste devant la bosse qui déformait le pantalon d’Arthur et fut surprise par une absence particulière….

Cet humain n’avait pas la moindre odeur sur lui ! Il ne sentait rien ! Cela la dérouta un court instant, ce n’était pas quelque chose de commun mais elle se remit bien vite à la tâche, caressant le sexe tendu à travers le pantalon. SI ce que lui avaient dit ses maîtresses étaient justes, elle allait avoir droit à une agréable surprise ! Guettant les réactions d’Arthur et ne notant pas de refus de sa part, elle continua, dénouant doucement la bouche de sa ceinture, libérant le pantalon, le faisant descendre et arrivant devant le sous-vêtement qui cachait l’objet de ses désirs. Mais là encore pas la moindre odeur que ce soit agréable ou nauséabonde. C’en était…déroutant.

Elle déposa quelques baisers à travers le tissu, sa main le caressant avant que ses yeux, pleins d’envies ne se lève et que sa voix résonne dans la chambre conjugale où elle allait passer sa première nuit avec son nouveau maître :

« Je peux Maître ? »

Dasã voulait son feu vert mais l’Okami était également consciente que les désirs de son maître pouvait être tout autre ! C’était pour cela qu’elle avait décidé de marquer un petit temps d’arrêt.

[Arthur Duroy]

Arthur fut agréablement surpris par le corps de Dasã. Suzanne lui expliqua sommairement qu’elle était une belle esclave, évidemment vierge, qu’elle avait achetée auprès des Luméennes. L’idée amusa Arthur, qui était déjà passablement éméché, et qui ne tarda pas à avoir une érection en la voyant se rapprocher. Sa peau basanée, ses délicieuses lèvres, son odeur… Si lui n’avait aucune odeur, il pouvait sentir les odeurs des autres, et observa brièvement les narines de Dasã remuer. Il sourit doucement, et elle se pencha ensuite, venant s’attaquer à son pantalon. Ses petites mains se posèrent sur son pantalon, et elle déboutonna la ceinture, libérant rapidement sa verge. Arthur frémit doucement, et sourit lentement, sa main venant caresser les oreilles de l’okami. Son sexe ne puait pas, contrairement aux autres.

« Oh, tu peux, mais attends un peu… Tes narines de furry sont plus sensibles que les humains, alors… Virginie, peux-tu… ?
-  Oui, Papa ! »

Elle se rapprocha rapidement, apportant un flacon de Sensuelle. Elle en parfuma ensuite la verge d’Arthur, et celui-ci vit, en souriant, le regard de Dasã se voiler brièvement. Il pencha brièvement la tête sur le côté, et caressa encore son visage. Ce n’était pas son parfum le plus violent, mais, même sur une femme lambda, il suffisait à la rendre consentante. L’okami allait avoir soif, et allait adorer renifler cette odeur délicieuse !

« Maintenant, tu peux venir sucer, Dasã… Prends ton temps, renifle bien fort, inhale-toi de ma queue et de mon odeur… »

Suzanne était heureuse, Dasã ne pouvait que plaire à Arthur !

[Dasã]

Dasã obéit et inspira profondément, laissant l’odeur du parfum de Sensuelle l’envahir. Son regard se voila et elle alla directement lécher le sexe gonflé d’envie d’Arthur. Aucun dégoût rien, juste l’envie de s’occuper de lui. Et pendant qu’elle le léchait, elle continuait de le sentir, s’imprégnant encore plus de l’odeur de ce parfum si particulier. Ses lèvres ne tardèrent pas à venir embrasser son gland avant de venir l’emprisonner, le suçant avec expertise. En tant qu’esclave sexuelle, l’Okami n’était pas à son coup d’essai !  Elle gémissait contre lui, sentant ses tétons se durcirent contre sa guêpière ainsi que son entrejambe s’humidifiait progressivement et rapidement.

« Maître… »

Elle gémit son titre, embrassant sa queue, reniflant encore et encore ! Sa bouche abandonna sa hampe dressée pour venir s’occuper de ses bourses pendant que sa main continuait à le masturber. Sa langue passa sur chacune des couilles, les embrassant, ses lèvres se refermèrent dessus également, c’était presque à croire que sa vie en dépendait ! Sa main droite vint par la suite remplacer ses lèvres et sa langue tandis que ces dernières reprirent le vit afin de continuer la fellation.

« Hmm !! »

Dasã était tout simplement aux anges ! Et elle ne faisait que sucer Arthur ! Sa dévotion envers son maître n’était nullement à mettre en doute !  Elle leva son regard vers lui, cherchant à croiser le sien, à voir si elle agissait bien. La puissante verge de son maître glissait contre sa langue puis dans sa gorge, bloquant la respiration de la petite esclave…Mais elle s’en fichait ! Le plaisir du maître et des maîtresses avant tout ! Sa queue se balançait de gauche à droite, tandis que son corps était traversé par de doux frissons.  Des caresses, voilà ce que son corps réclamait ! Elle voulait sentir les mains puissantes de son maître contre sa peau, qu’il la possède entièrement, qu’il la fasse sienne.

Et pour cela, il devait déjà commencer par un premier marquage !

[Arthur Duroy]

Dasã ne tarda pas à subir les effets du parfum. Les tests d’Arthur sur les furrys avaient montré qu’ils étaient bien plus vulnérables à ce parfum encore que les humains, sans doute parce que leur odorat était encore plus développé. Compte tenu du fait que Dasã était déjà une okami très servile, il ne fallait pas s’attendre à autre chose. La Sensuelle dut lui faire l’effet d’une petite bombe, et elle se mit à lécher et à embrasser les testicules d’Arthur avec une passion dévorante. Elle lécha ses bourses, les renifla avec appétit, ce qui eut naturellement pour effet de durcir la verge d’Arthur. L’aristocrate grogna doucement, avant de sentir les délicieuses lèvres de Dasã ne se posent sur sa hampe. Il frémit à ce contact, et posa sa main sur ses cheveux, caressant la zone entre ses oreilles. L’homme sentit alors les douces mains de Virginie et de Suzanne s’affairer sur son corps, venant le déshabiller lentement, vêtement après vêtement. Elles lui retirèrent sa veste, sa chemise, déboutonnèrent les boutons de manchettes, et même le pantalon.

« Hmmm… »

Le puissant mâle dominant finit ainsi tout nu, exhibant un torse poilu et musclé. Il grommela encore, et posa à nouveau ses mains sur la tête de Dasã, remuant sa trique en elle. Il s’enfonçait avec force et joie en elle, grognant sur place. L’excitation croissait encore, bandant ses muscles, et son sperme se mit à jaillir. Il éjacula joyeusement dans sa bouche, crachant des filaments de foutre dans sa bouche. L’effet de la Sensuelle sur sa verge avait aussi pour effet de la durcir.

Arthur sourit doucement tandis que Dasã avalait avec appétit son sperme.

« Grimpe sur le lit, ma petite chienne… Je suis de bonne humeur, et tu me plais beaucoup, alors je te laisse choisir par quel trou je vais te dépuceler… Devant ou derrière. Tu préfères avoir ma verge dans ton cul ou dans ta chatte ? »

Avec Arthur, la subtilité n’était pas vraiment de mise, et il fallait bien admettre que toute cette scène l’excitait furieusement !

[Dasã]

Elle le suçait avec une dévotion non feinte, tout en laissant s’échapper d’exquis gémissements. De la salive coulait de ses lèvres, retombant sur sa poitrine, les chaînes de son habit cliquetaient à chaque mouvement qu’elle faisait…et ces mains qui venaient de se poser sur sa tête ! Ha qu’elle était heureuse de les sentir ! De les sentir presser sa tête contre la verge de son maître, la forçant à la prendre encore et toujours plus loin !  Et quand Arthur jouit dans sa bouche, elle avala son sperme sans sourciller avec appétit.

« Haa…merci Maître… »

Bien sûr qu’il fallait le remercier ! Il lui avait fait honneur en venant dans sa petite bouche d’esclave ! Sa langue vint même à récolter le sperme qui était tombé contre son menton et elle monta sur le lit comme demandé avant de se mettre à quatre pattes et de présenter sa croupe, une main venant écarter ses lèvres intimes, montrant un sexe luisant et humide qui n’attendait que d’être pris.

« Ma chatte, Maître, prenez ma chatte et après défoncez moi le cul !  Han j’ai si hâte de vous sentir en moi…»

Elle avait répondu dans le même ton qu’il avait employé !  Ses doigts glissaient déjà contre sa fente humide, elle se caressait devant Arthur, montrant son impatience de le sentir en elle.  Dasã écarta sa queue de louve afin que cette dernière ne gêne pas Arthur et elle continua de le regarder, tout en passant ses doigts contre sa fente intime ; en laissant même un y pénétrer, la faisant frissonner…mais qu’était-ce un doigt face au puissant membre de son maître ?

« Maître… »

Supplia t’elle, l’attente étant visiblement une torture !

[Arthur Duroy]

Arthur se rapprocha d’elle. Une magnifique vierge nymphomane… Il était à ce stade sûr que Suzanne avait obtenu cette jeune esclave auprès des Uatéennes, en utilisant les réseaux de contrebande. Mais qui était-il pour le lui reprocher, lui qui avait après tout triché à maintes reprises pour devenir l’homme qu’il était actuellement ? Arthur partait du principe que la vie vous offrait parfois des opportunités, et qu’il était inutile, et même stupide, de les refuser au nom de l’éthique, ou de principes moraux absconds. En d’autres circonstances, cette Dasã aurait sans doute pu aspirer à une meilleure vie, tout comme lui était devenu un riche aristocrate… Mais, pour elle, être son esclave était sa dernière finalité, sa seule et unique option. Ravie et impatiente, l’okami grimpa sur le lit, et commença à se masturber, suppliant la queue de son Maître. Elle demanda d’abord par la chatte, et un léger sourire orna les lèvres d’Arthur.

Virginie se pencha devant lui, et commença à lécher la queue de son père et Maître, afin qu’elle retrouve de sa superbe. Suzanne, de son côté, rejoignit le lit.

« Très bien, ma petite louve, laisse-moi juste le temps de me préparer… Et de te préparer. »

Suzanne imbiba deux de ses doigts de sa salive, et les fourra ensuite dans le fondement de Dasã. Elle la prépara par là, lubrifiant ce trou délicat. Après quelques instants, Arthur se rapprocha, et grimpa sur le lit. Il posa ses mains sur les fesses de l’okami, puis posa sa main sur sa verge. Elle avait demandé à commencer par la chatte… Mais sa verge se rapprocha de son fondement.

« Ta chatte va y passer, ma salope… Mais, d’abord, je vais te prendre par le cul ! »

Il était le Maître, après tout ! Il s’enfonça brusquement, et la pièce se remplit du hurlement de douleur de Dasã. Si Suzanne avait légèrement humidifié la zone, et que la queue d’Arthur était bien trempée, ça restait tout de même une première fois. Celle-ci était donc naturellement douloureuse, d’autant qu’Arthur n’entendait pas la prendre sagement. Il grogna en sentant sa queue se bloquer dans le cul de Dasã, peinant à s’y enfoncer. Ses parois internes se dilataient lentement, peu habituées à sentir un tel membre. Arthur grogna encore, et déplaça sa main, venant gifler le fondement de Dasã.

La jeune okami couina encore, et Arthur commença à la prendre encore, tandis que Suzanne s’était déplacée devant Dasã, regardant avec appétit son visage. Arthur saisit alors les poignets de la louve, et l’empêcha ainsi de s’effondrer sur le lit, la tirant en arrière, tout en continuant à lui bourrer le cul, s’enfonçant jusqu’à la garde en elle…

[Dasã]

« H..hnn Mai…maîtresse… »

Elle s’était attendue à ce que sa maîtresse vienne la préparer au niveau de son intimité mais pas directement au niveau de son fondement ! L’esclave sentait les doigts de Suzanne s’activaient en elle, écartant du mieux qu’ils le pouvaient ses parois annales en prévision d’une intrusion bien plus imposante. Dasã gémissait face à ce traitement, ses propres doigts accélérant leurs propres cadences contre et dans sa chatte. Elle pouvait également facilement entendre Virginie sucer son père et maître, redonnant ainsi à son membre ses lettres de noblesses. Pourtant, jusqu’au dernier instant, l’Okami cru qu’il commencerait par là où elle lui avait demandé de débuter : quelle erreur !

« H…haa ! »

Un simple petit cri, à la fois de stupeur et de douleur tandis qu’elle sentait le gland de son maître pressait non pas contre sa vulve mais plutôt contre son œillet délicat. Elle avait eu des cours dessus, mais c’était bien la première fois qu’elle allait perdre sa virginité !  Inconsciemment, l’esclave se tendit, ce qui rendit plus difficile le cheminement dans son cul serré.  Elle avait mal, elle hurlait de douleur, sentant cette queue imposante, celle de son maître, qui la ravageait, avançant sans prendre compte de ses cris de douleurs.

« Haa maître !!! »

Elle avait de la salive qui lui échappait, son regard croisa celui de Suzanne tandis qu’Arthur tirait sur ses poignets afin de l’empêcher de reposer contre le lit. Et elle sentait encore, reculant pour mieux avancer, donnant de puissants coups, jusqu’à ce le tout rentre ! Dasã manqua un battement de cœur. Cette verge puissante qui venait de rentrer entièrement dans son petit cul serré et qui la pilonnait sans relâche, ces couilles qui tapaient contre sa fente humide…Il n’en fallut pas plus pour lui faire lâcher un cri de plaisir.

« Haa encore maître encore ! Ca hnn ça fait si mal et c’est hmm…si bon à la fois ! »

La douleur avait laissé place progressivement à une forme de plaisir que Dasã ne pouvait pas ignorer.

[Arthur Duroy]

Dasã manqua s’étrangler sur place en sentant l’épaisse verge de son Maître venir la pilonner. Comme il l’avait promis, Arthur ne comptait rien lui épargner ! Oui, ce soir, Dasã allait perdre toutes ses virginités ! En soi, il ne se faisait pas trop d’illusions sur le fait que son hymen avait dû être reconstitué dans les cliniques uatéennes, mais ça ne l’empêchait pas de prendre son pied, de marquer cette jeune femme de sa marque, de sa présence. Elle n’avait après tout aucun moyen de s’enfuir, aucun moyen de le contourner. Oui, elle était à lui, pleinement à lui, et il comptait bien la sodomiser avec toute la passion dont il était capable ! Son cul étroit l’étrangla sous la douleur, car cette zone se dilatait très difficilement. Grognant encore, se pinçant les lèvres, Arthur serrait ses mains sur ses poignets. Elle était encore un peu trop inexpérimentée pour qu’il l’étrangle, alors il préférait juste s’imposer sur elle, bandant ses muscles tout en la sodomisant.

Cette puissante sodomie émoustillait joyeusement Suzanne. Devant Dasã, elle se pinçait les lèvres en s’agenouillant, se pourléchant les babines, et caressa la joue de l’okami. Elle se masturbait avec son autre main, et gloussa doucement, avant de profiter d’un soupir chez Dasã pour l’embrasser brièvement. Elle mordilla ensuite le creux de son cou, se délectant des longs et agréables couinements de la jeune femme.

« Tu es tellement mignonne, ma chérie… »

Arthur s’était enfoncé jusqu’à la garde en elle, et continuait à la prendre. Le temps passait, défilant longuement, tandis que l’Aurien faisait preuve de son endurance incroyable, chose rendue possible grâce aux effets secondaires de ses parfums. Sa queue claquait contre la chair de Dasã, qui était progressivement en train de perdre la raison. Suzanne s’amusa alors à la masturber, caressant intimement sa fleur intime, tout en retournant l’embrasser.

« Gnnn… Vous êtes tellement bandantes, toutes les deux, bordel… ! »

Il relâcha un poignet de l’okami pour pouvoir la fesser joyeusement, faisant claquer sa main dans la pièce, tout en continuant à la prendre, impatient de lui faire avoir son premier orgasme entre ses mains et sa vigoureuse trique…

[Dasã]

Dasã n’était qu’une poupée entre les mains d’Arthur Duroy mais qu’importe ! Elle sentait son imposante verge lui ramonait littéralement le cul, sentant sa longueur lui racler ses parois annales, le bassin de son maître frappant contre ses fesses…Elle gémissait, hurlait, et embrassait Suzanne quand cette dernière venait emprisonner ses lèvres des siennes.

« Han Ma..maîtresse… »

L’esclave la regardait, sentant ses doigts caresser sa fleur intime, jouant avec son bouton de plaisir. Elle sentait qu’elle n’était plus très loin. Sa langue jouait avec celle de la femme du maître, son corps se mis à trembler, ses hanches bougeaient également afin de s’empaler sur cet imposant membre et d’un coup se fut la libération. Dasã lâcha un plus long cri, sentant ses muscles se resserraient contre le membre imposant de son maître et contre les doigts de sa maîtresse. Un puissant orgasme et pourtant guère de répit ! Car Arthur continuait à la prendre !

« M…Maaaaaîttttrree !! »

Son cul était devenu bien plus sensible. Face à elle, Suzanne la regardait avec un sourire aux lèvres et une lueur lubrique. Il était temps qu’elle s’occupe aussi de sa maîtresse.

« Hmm M…Maîtresse c…couchez-vous… »

Avait-elle besoin d’expliquer pourquoi ? Elle laissa Suzanne se mettre en position et profitant d’avoir son autre main libre, vint directement attraper les cuisses de la jeune femme qu’elle souleva afin de porter son sexe trempé contre ses lèvres. Elle le lapa, le suçota, l’embrassa et se mis à la lécher, lui faisant un cunnilingus. Chaque coup de butoir poussant également son visage contre sa vulve humide et on pouvait aisément entendre ses gémissements étouffer ainsi que le claquement du bassin d’Arthur contre sa croupe.

[Arthur Duroy]

Dasã était vraiment formidable ! Non contente d’être soumise, elle faisait preuve d’initiatives. Si cela pouvait parfois agacer Arthur, ici, les initiatives personnelles de l’okami ne visaient qu’à aller dans son sens. Il n’avait donc aucune raison de la rabrouer ! Il la sentit jouir avec délectation, et, si certaines femmes pouvaient simuler leur plaisir, il savait que ce n’était pas le cas avec Dasã. Le plaisir ressenti était sincère, en grande partie parce qu’il avait drogué la jeune femme avec son parfum, mais aussi, se disait-il, parce qu’elle aimait tout simplement sa situation. Et ça, après tout, on pouvait le comprendre ! Dasã était très bien entourée, et suggéra à Suzanne de s’allonger devant elle.

« Elle est… Hmmm… Vraiment formidable !
-  Oui, hein ? Je… Je savais qu’elle te plairait… Haaa…
-  Et pas qu’un peu ! »

Arthur la sodomisait avec appétit, et gifla même son postérieur. Sa main claqua sur son cul, et il grogna doucement, bandant les muscles en continuant ses coups de reins. Dasã allait s’attaquer au sexe de sa partenaire, et lécha avec appétit son sexe. Suzanne frémit en sentant la langue râpeuse de Dasã glisser sur son intimité. Elle soupira doucement à ce contact, et sa main glissa sur ses cheveux, les caressant avec appétit.

« Hmmm, elle aime ça ! Oh, oui, lèche-moi encore, Dasã… B-Bien comme il faut, ma chérie ! »

Suzanne était conquise, en tout cas, et Arthur continuait à la prendre, la bourrant par l’arrière, sa verge enflant en elle, se durcissant joyeusement au fur et à mesure que les secondes passaient. Les coups de reins s’accentuaient, rythmés par les grognements diffus qu’il poussait. Elle pouvait de son côté goûter à la mouille de Suzanne, qui serrait ses cheveux dans le creux de sa main, pinçant fortement dessus.

Une magnifique scène qui se poursuivait avec appétit pou chacun des protagonistes !

[Dasã]

« M…Maît…Maîtresse…humm…. »

Dasã visiblement se régalait de la mouille de Suzanne ! Elle enfouissait son nez contre ses lèvres intimes, venant frotter son clitoris avec tandis que sa langue goûtait à chaque parcelle de son intimité.  Elle sentait bien les mains de sa maîtresse qui lui serraient les cheveux, lui interdisant par ce geste de se reculer, de se soustraire, mais c’était loin l’envie de la petite esclave ! Elle léchait avec envie et ne retenait en rien ses gémissements de plaisir !

Son cul continuait à être douloureusement labouré, quelle sodomie que lui offrait son maître ! Les fesses de Dasã étaient rougies par l’effort, son cul complétement dilaté au passage du membre viril d’Arthur. A présent, la douleur s’était complétement diffuse et ne laissait place qu’au plaisir. A un plaisir primal et puissant où le maître marquait sa soumise en s’enfonçant au plus loin dans ses entrailles.

« Haaa maître ! Maaaaîîîîttrrreee !!Je suis toute à vous ! »

Elle avait relevé son visage l’espace de quelques instants son visage pour hurler ces mots avant de repartir lécher avec appétit et gourmandise la vulve humide de Suzanne, ses lèvres venant emprisonner son petit bourgeon qu’elle suçota avec amour et dévotion. Son cul se déhanchait contre la verge épaisse qui coulissait en elle et de la mouille en bonne quantité coulait contre ses cuisses. La « pauvre » esclave était en train de sentir un second orgasme qui arrivait au galop, d’autant plus qu’elle pouvait aisément sentir le vit de son maître enfler en elle et prendre de plus en plus d’ampleur…Une verge puissante qui lui ramoner avec autorité le postérieur !