The Multiversity

Tout avait commencé avec l'ordre d'Ishtar de créer un établissement d'exception pour la Marine d'Inferis, une sorte de présentoir publicitaire des meilleurs esclaves et des meilleures prestations sexuelles qu'Inferis pouvait proposer. Il ne s'agissait pas de faire une énième maison de passe ou un simple bordel lambda qu'on pouvait trouver facilement dans ce monde ou dans un autre... Non, il fallait quelque chose d'unique, de transcendant... Un lieu magique qui serait un concentré de la culture hyper sexualisée d'Inferis dans ce même lieu. Theorem savait qu'il fallait un lieu qui caractériserait ce lieu, qui serait déjà si extra-ordinaire qu'il allait annoncer la couleur rien qu'en passant devant... Et ce lieu ne pouvait pas juste se trouver à Nachtheim ou à Inferis, il fallait que ce lieu puisse se déplacer... Heureusement, le femboy pouvait joindre l'utile à l'agréable. Il se mit en quête de ce lieu dissimulé dans une forêt enneigée autour de Volony. Il avait mit des mois à localiser l'endroit via son cercle restreint d'espions... Finalement il avait put enfin mettre la main sur ce mécha quadrupède antique qui servait d'arme de support à son ancien clan. Le voler fut simple, car la machine n'obéissait qu'à une seule clé génétique encodée dans son système. Comme le dernier pilote avait été son père, la machine s'activa. Le tout avait été laissé aux éléments et était dans un triste état... Mais rien d'insurmontable pour les ingénieurs de la Marine d'Inferis et des meilleurs décorateurs de la colonie.

Fort Stanov passa du métal rouillé et à la peinture écaillée à un objet clinquant, lustré, chromé et fier. Il avait subit plusieurs modifications qui renfonça son côté hyénidé plutôt que canin. Les pièces furent intégralement remeublés et décorée. Si bien que même si l'extérieur semblait toujours être une machine de guerre d'un autre temps, l'intérieur était un véritable palace, une antre de la débauche. Ne pouvait monter à l'intérieur que ceux qui s'étaient annoncés, utilisant un ascenseur sous le ventre de la bête qui les faisaient monter dans un hall d'entrée aux tapis de caoutchouc épais, aux tapisseries murales rouges et aux décorations en bois exotique de Nachtheim, dont les nœuds luisaient faiblement dans le noir. Les armoiries de Fort Stanov trônait encore à plusieurs endroits, conservés parmi les bannières en latex en l'honneur d'Inferis et de sa colonie comme un signe de sa décadence. Une fois accueillit par Theorem dans cette demeure insolite, on éait conduit à l'antichambre à l'étage. Ce vestiaire permettait de mettre n'importe quelle tenue dépravée pour profiter de ce lieu un maximum avant d'arriver dans le Night Club à proprement parlé. Pole Dance, musique electro jouée sur place, bar éclairé, gardes du corps vigilants... Les plus belles créatures de la Marine avaient été sélectionnées pour travailler ici. Theorem y avait veillé... Une fois remplit, Fort Stanov se déplaçait pour une petite balade dans la jungle afin de s'assurer que la fête ne soit jamais gênée par d'impromptus visiteurs...

Ce soir c'était l'ouverture du Lupanoir. Ishtar avait adoré l'endroit en commençant à le visiter et même si elle avait été sceptique quant au fait que Theorem puisse un jour "posséder" quelque chose, sa prise de guerre lui avait tout de suite plut. Avec en prime cette déco, c'était devenu un endroit cher à son coeur. Theorem pouvait également s'estimer heureux de posséder à nouveau sa "maison" familiale. Il avait fait ses premières années ici, il le connaissait par coeur. En plus il générait son propre courant, ce qui offrait une autonomie totale. Le femboy avait enfilé son uniforme qu'il avait lustré avec talent avant de s'assurer que son personnel était à la hauteur... Il y avait dix chambres, et la onzième c'était celle de la suite, là où Theorem officiait. Il voulu faire l'accueil des nouveaux clients. N'importe qui pouvait monter par cet ascenseur... Il devait se tenir prêt. Quand les imposant vérins se mirent en marche pour annoncer la venue des premiers clients, Theorem s'inclina respectueusement, dans un divin grincement de sa tenue en latex.

"Chers clients, bienvenue au Lupanoir. Je suis Theorem, votre hôte. N'hésitez pas à demander et vous serez immédiatement satisfait. Que votre appétit soit de jeunes hommes efféminés soumis à vos ordres, ou des dominantes plantureuses et inflexibles, ce qui se passe entre les murs de Fort Stanov reste à Fort Stanov."

Nachtheim était en pleine expansion, ce qui n’était pas sans risque. Le Rustworld était un monde dangereux, et, si la colonie disposait de la puissance navale d’Inferis, elle attirait aussi à elle bon nombre d’ennemis, notamment des raiders, et même quelques flottilles hirsutes de pirates. Les semaines qui avaient suivi l’intronisation de Chengzu comme amant officiel d’Ishtar avaient donc été assez mouvementées, et, face aux menaces de pirates et aux attaques, la colonie avait sollicité davantage d’aide de la part de son autre principal investisseur, le clan Warren. Originaire de Terra, le clan mijakien avait amené sur place des gemmes magiques, ainsi que des engins de siège. Rudimentaires, ceux-ci avaient néanmoins su prouver leur efficacité. Depuis lors, la colonie était un peu plus sécurisée, et deux évènements majeurs avaient lieu.

Le premier avait été le retour triomphant de Theorem aux commandes d’une forteresse mobile ressemblant à un immense chien de guerre. L’alarme avait résonné, car on avait cru à une invasion, avant que le jeune homme ne sorte, et ne se prosterne devant ses nouveaux Maîtres : le couple royal formé par Chengzu et Ishtar Naviento. Theorem leur avait expliqué que, pour trouver un établissement de luxe à la hauteur d’Inferis, il avait mené un pèlerinage dans ses terres natales, et avait retrouvé cet engin improbable. Chengzu, qui avait grandi avec Theorem, avait reconnu Fort-Stanov. Les commandes principales de la forteresse ne réagissaient qu’à Theorem, et, après un rapide examen, les scientifiques infernois avaient rejeté l’idée d’utiliser l’engin comme arme de combat. Les systèmes d’armement étaient usés, défectueux, et l’utilisation des lance-flammes risquait surtout de faire imploser les systèmes de Fort-Stanov. Theorem avait alors décidé de reconvertir le lieu, et avait travaillé d’arrache-pied. Évidemment, pour avoir ramené un tel engin ici, Chengzu et Ishtar l’avaient dignement récompensé.

La seconde rumeur qui secouait les salons de discussion de la colonie était l’éventualité d’épousailles entre Chengzu et Ishtar. Toute la colonie avait pu voir que l’ancien gantier était très proche de la Tsarine. Ils ne se quittaient plus, et l’homme avait définitivement fermé sa boutique, se concentrant à ses affaires. Chengzu s’avérait, par ses connaissances poussées, être un assez bon tacticien militaire. Il faisait aussi preuve de ce soupçon de cruauté et d’autoritarisme qui plaisait à Ishtar. Or, dans une société très féministe comme Inferis, Chengzu avait dû impressionner les gens pour s’installer. Néanmoins, cette rumeur n’avait rien d’officielle, même si on pouvait les voir se promener main dans la main.

Ce soir, c’était l’ouverture du Lupanoir, nom donné par Theorem à son nouvel établissement. Ishtar et Chengzu étaient là, ainsi que des dignitaires infernois, et également des invités de marque. L’endroit était à la hauteur de ce qu’on pouvait imaginer d’Inferis : des couloirs sensuels, avec des murs en latex, des prostituées avenantes, des décors très érotiques… Plusieurs salons élégants avaient été installés, avec de nombreuses chambres. Mélinda Warren était venue, ainsi qu’Alice Korvander, et la femme de Mélinda, Vanillia Warren. Alice, elle, s’était habillée pour l’occasion, troquant sa robe blanche pour une robe noire moulante en latex, une robe qui moulait magnifiquement ses fesses, avec une paire de longs gants noirs brillants en latex. Mélinda, quant à elle, avait opté pour un look similaire, mais différent, troquant le noir habituel pour une robe mauve en latex, avec un décolleté plongeant, et moulant également sa chute de reins. Finalement, seule Vanillia avait opté pour une tenue plus traditionnelle, sa tunique bleue et rouge. Elle avait replié ses ailes à l’aide de sa magie, et eut la chance unique d’être la première cliente de Theorem.

« Sérieusement ? demanda-t-elle.
- Tu es la seule qui n’a pas eu l’occasion d’aller y goûter parmi nous… Alors, tu as du retard à rattraper. »

La femme de Mélinda acquiesça face à ce qui semblait un argument imparable, et se rapprocha de Theorem. Mélinda l’accompagna, et présenta Vanillia à Theorem :

« Theorem, je te présente ma femme, Vanillia. Elle est aussi charmante que moi, et a très envie de découvrir les performances légendaires de mon ancien esclave…
- Et j’espère bien que tu seras à la hauteur de ta réputation, Theorem… »

C’était quelque chose qu’elle allait toutefois pouvoir rapidement vérifier…

Theorem recevait ses premiers clients pour la soirée. Gif, l'ordinateur de bord conscient dans Fort Stanov, avait pour instruction de commencer une petite croisière. Il avait des parcours pré-enregistrés dans Nachtheim et les dangers de la jungle ne pouvaient pas le concerner. Il allait marcher doucement dans la jungle et offrir un spectacle en altitude aux clients, entre cascades d'eau toxique verdâtre dans la flore violette et rouge, rochers aux formes géométriques étranges et insolites, champs d'arbres bio-luminescents, nuages de spores aux couleurs inédites... Et tout ça sans jamais s'exposer au danger. Quand la liste des voyageurs attendue fut complète, l'ascenseur se verrouilla et l'auto-guidage commença la promenade. Les pistons et les amortisseurs haut-de-gamme de Fort Stanov rendaient ses déplacements si souples et contrôlés qu'on ne ressentait pas le mouvement de ce dernier à l'intérieur s'il restait à vitesse constante.

"Chère Vanilla Warren, suivez-moi. Je vous mène tout droit à notre chambre d'exception, la suite Burgrave."

Le travestit se retourna avec une souplesse et une grâce à faire pâlir une danseuse avant de repousser sa queue de cheval d'un revers de la main pour la replacer dans son dos. Il traversa le hall d'entrée avant d'arriver à un double escalier de métal qui repartait dans l'autre sens en montant. Ce dernier, fait de métal brut, était décoré de multiples rivets et possédait une rambarde en bois luminescent qui brillait dans la pénombre. Leurs pas les menèrent à l'étage supérieur où les deux escaliers se rejoignaient en faisant une courbe vers la porte du vestiaire. On appelait ce lieu l'Antichambre. L'intérieur était dans la même veine que les autres pièces mais possédait de nombreux rayonnages avec des tenues de latex repliées et un catalogue respectable de tenues diverses que les clients pouvaient louer ou faire porter à leurs prostitués. Un larbin se chargeait de garder trace de quelle tenue était donnée à qui et surtout gardait manteaux et autres vêtements plus encombrants pour les clients. Theorem passa devant en poussant la double porte qui donna sur le Lounge. C'était là que la soirée commençait vraiment. Projecteurs lumineux avec poursuites, machine à fumée en détournant des systèmes de Fort Stanov, rampe centrale avec piste de pole danse, mais aussi un bar dans l'angle fait de métal riveté et de bois luminescent. Déjà les nombreux prostitués travaillaient à rameuter des clients, à danser pour se faire mousser ou servaient des rafraîchissements. Une musique électro était jouée en permanence. Theorem passa l'endroit en inspectant discrètement que tout soit à sa place avant de guider Vanilla personnellement jusqu'aux chambres à l'étage, laissant le reste des clients profiter des nombreux professionnels dans la pièce. L'escalier les menèrent à un couloir bordé de plusieurs pièces... Les chambres des différents acteurs de cet endroit, toutes avec un thème un peu personnalisé mais toujours dans la même ambiance. Theorem s'avança jusqu'à celle du fond. Une porte métallique, rivetée, avec en son centre les armoiries de la famille Stanov. Il tourna la poignée en invitant Vanilla d'un geste ample de la main avant de refermer derrière elle. Il activa une présence qui alluma une lumière au dessus de la porte, signalant qu'il était occupé avec un client.

"Installez-vous Madame, Prenez vos aises."

La Suite n'avait pas volé son nom... Une fois entré, on était dans un salon confortable et cosy, avec un sol en métal brossé, un tapis de cuir épais entre deux canapés chesterfields se faisant face, une table basse en son centre fait de bois luminescent et de pieds en métal riveté. Des bannières de latex aux murs et des tableaux de scènes érotiques trônaient un peu partout alors que Theorem invita Vanilla à s'installer dans un des canapés confortable avant d'aller à un alcoolier pour lui servir un verre à pieds remplit de vin de cèpe de Nachtheim, avoisinant une corbeille de fruits exotiques avec un carton plié affichant les prestations de Theorem. Ce dernier s'installa dans l'autre canapé en lui faisant face avant de regarder lascivement la vampire. avant de croiser les jambes pour montrer ses jambes gaînées de latex. On pouvait deviner au fond, derrière une porte en arche uniquement fermée par des rideaux de latex rouge, la chambre à coucher, encore masquée et inconnue. Il y avait une autre pièce qu'on pouvait facilement deviner être la salle de bain vu le symbole sur la porte.

"Madame Warren, Vanilla, soyez la bienvenue dans la Suite Burgrave. Sachez que vous êtes magnifique... Je suis très honoré de vous recevoir. Permettez-moi de briser la glace et ce moment toujours gênant avant de commander des faveurs à quelqu'un, surtout quand on a pas l'habitude... J'ai différents tarifs si-présent. Vous pouvez les lire calmement en savourant votre verre. Pendant ce temps, je vais me rafraîchir."

Il s'éloigna quelques minutes pour rejoindre la salle de bain et ajuster son maquillage et sa tenue. Il voulait être impeccable. Le stress monta autant que son excitation alors qu'il passa la porte de la salle de bain, se rapprochant de Vanilla.

"Pardonnez-moi, je n'ai pas put m'empêcher d'observer vos magnifiques gants... Vous êtes-vous décidé ? Si oui, nous allons pouvoir passer à la chambre..."

Vanillia Warren n’était pas n’importe qui. Elle était véritablement une hôte de marque, car elle faisait partie du clan Warren, clan auquel Ishtar Naviento était affiliée, même si elle ne faisait pas vraiment partie du « cercle intérieur », par son éloignement. Et Vanillia était la femme de la Matriarche. Malgré sa petite taille, Mélinda était une femme redoutable, qui avait beaucoup à dire à Ishtar. Mais elle devait aussi s’entretenir avec elle de choses diverses relatives au devenir de Nachtheim et à sa relation avec le clan. Plus particulièrement, il fallait également discuter de la clientèle qui rejoindrait le « Lupanoir ». Et d’aucuns pouvaient peut-être imaginer, en se raccordant aux rumeurs circulant sur le couple entre Chengzu et Ishtar, que Mélinda évoquerait peut-être cela. Un mariage ? Une cérémonie quelconque pour célébrer leur union ? Peut-être ferait-elle de Chengzu un vampire ? Vanillia ne comptait répondre à rien, parce qu’elle n’avait aucune idée de ce que Mélinda préparait. Oh, elle aurait pu le lui demander, car Mélinda ne lui refusait rien, mais Mélinda lui avait appris combien l’effet de surprise pouvait être exquis.

De fait, les deux vampires s’étaient mariées, et un mariage vampirique était quelque chose de beaucoup plus lourd qu’un mariage ordinaire. Elles avaient uni leur âme en se suçant mutuellement le sang, à tel point que le sang qui battait dans leurs veines était homogène, une situation rarissime, qu’on observait parfois chez les jumeaux monozygotes. De fait, en couplant cela aux pouvoirs magiques de Vanillia, les deux femmes étaient télépathes, et pouvaient partager leurs connaissances. Vanillia pouvait même s’immiscer dans le corps de sa femme, et inversement. Elles n’avaient aucun secret l’un pour l’autre. Dans un mariage vampirique, le seul moyen de divorcer était de tuer son époux, ce qui était assurément un déchirement susceptible de vous rendre fou, puisque cela revenait à vous tuer vous-même. Pour ces raisons, les mariages vampiriques étaient rares, mais non dénués d’effets. Que Mélinda ait choisi Vanillia était un signe d’amour incroyable, et les deux femmes se complétaient mutuellement.

Au cas présent, Vanillia n’avait qu’à sonder les souvenirs de Mélinda pour voir tout ce qu’elle avait fait à subir à Theorem, toutes les humiliations, les brimades. Si Ishtar l’avait achevé, Mélinda avait très bien entamé le travail, l’utilisant comme urinoir, l’attachant pendant des heures dans sa chambre à coucher, le forçant à le regarder participer à de torrides orgies. Elle l’avait enfermé dans une caisse remplie de sex toys, l’avait donné en pâture à des monstres affamés. Autant dire que Mélinda était une source perpétuelle d’inspiration pour Vanillia. Originaire d’une famille de nobles vampires, elle avait été assez « sage » avant de rencontrer Mélinda, qui lui avait définitivement ravi son innocence sexuelle, autant que son cœur.

Après avoir traversé la salle principale, le duo rejoignit le Salon Burgrave. Vanillia s’assit sur un fauteuil et croisa les jambes. Elle portait avec elle de fins gants roses, et pas encore d’ensemble en latex. Vanillia lui sourit encore, et accepta volontiers le verre de vin qu’il lui tendait.

« Merci, Theorem, tu es bien aimable. »

Sa voix était calme, posée, et elle le laissa ensuite aller vers la salle de bains, tout en l’invitant à choisir, lui présentant une liste de prestations. Mélinda lui avait donné une bourse.

« Nous avons environ une heure à passer ensemble, Theorem. Ensuite, Ishtar, Chengzu, Alice et ma femme viendront nous rejoindre. Ils sont occupés à discuter de renégociations de contrats, mais comptent ensuite bien célébrer cela… Avec toi. Moi, je dois juste t’échauffer un peu pour te préparer à une longue nuit de sexe, au moins… »

Elle but encore un peu, décroisant les jambes pour les recroiser. Son regard se faisait plus malicieux. Ses yeux verts pouvaient passer très facilement au rose, puis au rouge, en quelques instants.

« Mélinda a d’ailleurs un cadeau pour toi. Mais, avant ça, je pense que je vais commencer par t’enculer bien fort, et que tu vas commencer par me stimuler. On dit que ta langue est légendaire, et que tu peux faire jouir des femmes en léchant leur sexe à travers leur culotte. Montre-moi ça. Excite-moi suffisamment pour me donner envie de t’enculer avec puissance… »

Son ton était doucereux, mais on devinait un esprit très pervers. C’était aussi ça qui faisait d’elle la redoutable femme de Mélinda…

Theorem écouta les directives de sa cliente avec attention. Il allait donc se faire sodomiser par cette femme, qui cachait sûrement un sexe masculin, mais à bien y regarder... Le Haiena devina qu'il ne s'agissait pas d'une transgenre, elle n'avait aucun trait masculin même discret. Il avait sût repérer les différences avec Ishtar, faciès, son corps... certes elle avait eu la meilleure thérapie hormonale possible et les meilleures opérations, mais il restait quand même des traces de sa masculinité. Ce n'était pas le cas de Vanilla qui n'avait rien de tout ça. Du coup il partait sur un hermaphrodisme ou une forme de magie rose pour se faire pousser une verge. Mélinda en était capable, pourquoi pas Vanilla. Une fois cet entretient terminé, il se redressa et leva la main pour la tendre à sa cliente afin de l'amener avec galanterie dans la chambre avec le sourire.

"Si vous voulez bien me suivre, nous allons commencer."

Quand Vanilla parlait de la Suite Kaiser, il s'agissait d'une des chambres occupée par une Kommissar particulièrement dominante. C'était une suite décorée dans un style baroque et impérial mais elle était plus réduite que la Suite Burgrave, sûrement que ce serait plutôt les invités qui se rajouterait dans cette suite et pas l'inverse. Theorem avait donc une heure à faire avec Vanilla, puis il verrait débarquer plus de monde. Doucement il écarta les rideaux de latex donnant sur la chambre... Le pièce était d'une richesse insoupçonnée... Plusieurs hublots donnaient sur l'extérieur qui défilait doucement. Le décoration était dans la veine infernoise du raffinement, avec des murs dont le bas était en acier riveté et la moitié haute était une tapisserie richement décoré dans les teintes violettes. Le sol était une sorte de lino qui, même s'il avait réputation d'être bas de gamme sur Terre, à Inferis c'était du raffinement. Un lit trônait en face de l'entrée, avec un sommier fait en pièces mécaniques soudées entre elles, des tuyaux, des petites vannes, des engrenages... Et quatre mâts de la même facture encadraient ne lit pour en faire un lit à baldaquin. Des draperies de latex noir encadraient ce dernier, avec un matelas en mousse confortable entouré de draps en latex, avec sur la couette noire les armoiries de la famille Stanov en doré, incrusté dans la matière. Ishtar adorait l'idée que Theorem couche directement sur les armoiries de sa famille et qu'il la bafoue en copulant comme une pute. Il y avait un dressing comportant ses nombreux déguisements sexuels et un meuble truffé de sextoy en tout genre. Entourant le lit, deux tables de chevets avec des lampes à pieds articulés et un saladier de préservatifs, une bouteille de poppers ainsi qu'une de lubrifiant. Un diffuseur de parfum amenait une douce odeur sucrée dans l'air. Theorem aida Vanilla à s'installer sur le lit avant de monter un peu le volume de la radio qui siégeait dans un coin de la pièce pour les mettre dans l'ambiance avec un peu de synthwave. Il s'empressa ensuite de disparaître derrière un paravent de latex et ressortit en petite tenue pour être encore plus délicieux à regarder.

"Mettez-vous à l'aise, Madame. Je vais m'occuper de vous."

Doucement, il la fit se coucher sur le lit qui grinça délicieusement avant de lui écarter les cuisses avec lenteur. Il commença par plusieurs bises sur l'intérieur de ses cuisses avant de relever sa robe juste ce qu'il fallait pour découvrir sa culotte. Une jolie culotte en dentelle et faite de satin... Theorem savait que sous ce mince tissus se cachait sa fente délicieusement et interdite. Il avala sa salive avec anticipation avant de commencer à doucement caresser sa fente avec sa langue. La pointe de sa langue caressa d'abord le pourtour avant de faire des cercles concentriques vers son clitoris qu'il caressa avec plus d'insistance. Il fit plusieurs fois le trajet de bas en haut sur sa fente qui avait maintenant coloré sa culotte d'une teinte humide. Il sentit une bosse se former dans cette culotte avant qu'une verge ne sorte de l'élastique de son sous-vêtement. Il pouvait voir un authentique sexe masculin désormais, imberbe, dur et circoncit. Doucement il le prit en bouche et commença une gorge profonde digne de ce nom, collant son regard dans celui de Vanilla alors qu'il tremblait d'excitation. Pas de doutes, il était gay, pour mettre autant d’entrain à bouffer cette queue plutôt qu'à lécher sa petite fente. Quand le gland tapait au fond de sa gorge, il le garda en lui en gémissant, caressant les hanches de Vanilla avec ses mains tout en continua à pomper dessus comme une chienne en chaleur. Il savait que juste après, ce gros calibre allait entrer dans sa porte étroite et le faire couiner comme jamais !

Theorem n’avait encore jamais eu l’occasion de croiser Vanillia. Quand il avait été l’esclave de Mélinda Warren, celle-ci n’était pas encore mariée. Entre-temps, les choses avaient considérablement évolué. Sylvandell et Inferis étaient entrés en guerre avant de parvenir à signer un traité de paix, et Mélinda avait répondu à une invitation de l’héritière de la puissante famille vampirique Carlberg, Vanillia. Elles étaient tombées amoureuses, et s’étaient livrées à un mariage vampirique, ce qui n’était pas rien. Il ne s’agissait pas que de glisser un anneau autour du doigt de sa promise, mais de se livrer à un rituel antique, consistant à se mordre mutuellement. Or, quand un vampire mordait un autre vampire, et lui prenait son sang, un lien psychique s’établissait. Le vampire avait accès aux pensées de son partenaire, à ses souvenirs, et aucune véritable barrière ne pouvait repousser cela. Dans le cadre d’un mariage, les deux époux se mordaient et se suçaient mutuellement le sang pendant des heures, entraînant finalement une opération irréversible où ils se retrouvaient dotés du même sang. Leurs battements cardiaques étaient similaires, et un lien psychique se développait entre eux. C’était un mariage très solide, car il était difficile de briser ces liens. Vanillia pouvait ainsi continuellement savoir où était sa femme, et réciproquement, et même s’immiscer dans sa tête, et voir ce qu’elle faisait. Étant aussi magicienne, Vanillia perfectionnait ce lien unique au monde, notamment avec l’aide de l’Archimage Samara, pour pouvoir aller jusqu’à prendre possession du corps de sa femme.

En l’état actuel, Theorem allait donc vite constater que, sous cette couche de douceur, sous ce vernis de délicatesse et de calme, Vanillia restait une Warren. Elle laissa faire le jeune homme, qui la coucha au milieu d’un grand lit. La décoration était assez étonnante, mélange de sensualité et de noblesse, puisqu’elle vit des armoiries. Ceci étant dit, Mélinda lui avait expliqué que Fort-Stanov était une forteresse mobile. De base, il s’agissait donc d’un bâtiment royal, mais qui, malgré son apparence, était inutile comme système d’armement… En l’état, du moins. Vanillia se coucha donc au milieu du lit, et écarta les jambes, sentant la langue de Theorem glisser sur son élégante culotte. C’était une belle culotte noire à dentelle, brodée par le tisserand personnel de Mélinda, ce qui se voyait notamment quand on observait l’arrière de la culotte, avec une ouverture permettant de la sodomiser sans retirer la culotte. C’était cela que Vanillia aimait chez sa femme, ce mélange d’érotisme, de séduction, et de sexe sauvage et débridé. Un délicieux paradoxe, mais qui faisait effet chez la jeune vampire.

La langue de Theorem glissait donc sur sa culotte, à l’emplacement de ses lèvres intimes. Elle pouvait admirer son goût de langue, et se concentra ensuite. Son corps évolua alors, et Theorem put sentir une bosse. Vanillia était effectivement une femme « ordinaire », sans hermaphrodisme naturel, mais la magie rose permettait ce genre de choses. Theorem put ainsi sentir une queue apparaître. Une verge grossit lentement, membre veineux et assoiffé, la pointe de sa queue dépassant de sa culotte, la base de la verge restant dissimulée, testicules compris, par le tissu de la culotte.

« Là, voilà… C’est ton plat de résistance, Theorem, montre-moi de quoi tu es capable, vu ta réputation… »

Elle s’était redressée. Sa robe était écartée, facilitant l’accès de Theorem à sa queue, qu’il vint prendre dans sa bouche, soupirant lentement à ce contact. C’était une belle verge, que Theorem se mit à enfourner. La main gantée de Vanillia se crispa sur ses cheveux, tandis que le jeune prostitué se dandinait entre ses cuisses. Il venait à pomper son dard, enchaînant rapidement les gorges profondes, sentant la queue de Vanillia grossir dans sa bouche, croissant joyeusement.

« Han putain, c’est si bon… Tu aimes vraiment ça, hein ? Je sens beaucoup plus d’ardeur que quand tu léchais ma chatte à travers ma culotte… C’est à croire qu’Ishtar Naviento a vraiment réussi à faire de toi un pur homosexuel, hmmm… »

C’était bon, et Theorem allait comprendre que Vanillia n’était pas la femme de Mélinda. Elle pouvait se montrer très endurante, et tirait volontiers sur les cheveux de Theorem, pour l’embêter, mais aussi pour lui faire un peu mal, tandis qu’il allait devoir multiplier les gorges profondes. En effet, Vanillia s’amusait aussi à serrer sa main sur sa tête, le bloquant quand il enfonçait sa trique jusque dans sa gorge, l’étouffant pendant de longues secondes, avant de relâcher la pression en sentant le sang de Theorem se mettre à s’enflammer, à paniquer sous le manque d’oxygène.

Aussi douce et avenante soit-elle, Vanillia n’en restait pas moins une Warren…

Theorem était maintenant coincé entre les cuisses de cette vampire qui s'offrait un plaisir sadique oral. Le jeune travelo pompait ce sexe avec soumission et facilité alors qu'il sentait la poigne de sa dominante dans ses cheveux. Ca tirait et ça faisait mal, mais rien de comparable à la sensation perturbante et inédite d'une verge qui vient envahir sa gorge. Le gland de Vanilla tapait jusqu'au fond de sa gorge. Heureusement on l'avait bien dressé à ne plus ressentir de haut-le-coeur en faisant ça... Mais il avait également été entraîné à ce que ça soit toujours un peu pénible malgré l'excitation et qu'il puisse délicieusement faire des gag sur la queue de ses utilisateurs. Après tout, la fellation était aussi une marque de soumission extrême. En effet le partenaire qui pompait n'avait pas de plaisir sexuel à proprement parlé, ses organes n'étant stimulés... Le plaisir revenait à l'utilisateur qui lui pouvait contrôler et autant faire souffrir que s'offrir du plaisir. Les vampires étaient connus pour leur sadisme et Theorem en fit les frais ! Cette irrumation lui rapporterait 100Ke. Il n'y touchera pas un centime, tout allait dans la poche de ses maîtres...

"Guh ! Guh ! Guh ! Guh ! Mmh-Prf ! Krff ! Guh ! Guh ! Guh !"

Le travelo toussait sur cette queue épaisse. Vanilla y allait vite mine de rien et baisait sa bouche comme elle aurait fourré un vagin. En ce moment la bouche du Vice-Amiral n'était qu'un trou à baiser, donnant un plaisir à sens unique à son utilisateur... A bien des égards, Theorem n'était rien de plus qu'une vaginette, un onahole de luxe. Ses joues creusés par la succion qu'il donnait, ses yeux pleins de larmes sous l'effort, son menton couvert de salive et son maquillage coulant... En ce moment le guerrier qui avait libéré Navgrad était bien loin. Il gardait le contact visuel avec sa cliente alors qu'il la pompait en ayant un rythme imposé. Sa salive giclait par moment pour tomber sur ses genoux gainés de latex plus bas, coinçant sa cage de chasteté dorée entre ses cuisses serrées. Sa veste d'uniforme, son seul vêtement hormis sa lingerie, était maintenant enduite de sueur et des giclés de salives et de pré-sperme alors qu'il continua inlassablement. Maintenant il était tout décoiffé et sa mâchoire n'offrait plus aucune résistance, permettant à Vanilla de baiser sa gorge avec aisance. Il avait les yeux qui se révulsaient par moment et sa tête lui tournait tellement il manquait d'air.

"Mmh-prf ! Gaaaah ! Krrrfff ! Mmmmmpfr !'

Theorem caressa un peu son corps pour s'auto-érotiser en même temps qu'il se faisait utiliser. Ses mèches de cheveux partaient un peu dans tous les sens et maintenant son maquillage était surtout deux belles traînées noires partant du coin de ses yeux en amande jusqu'à ses joues. Son rouge à lèvres discret était maintenant un anneau étalé sur la base du sexe de Vanilla. Il allait continuer sa tâche jusqu'à la satisfaction de sa cliente... Car oui, il devait s'y faire... Theorem était désormais une pute ! C'était pas un mot comme ça, ni même une expression... C'était vraiment une péripatéticienne, un gigolo, une catin, un tapineur, une asphalteuse... Une authentique pute ! C'était son métier, Vanilla était une cliente ! Le Haiena continua donc son labeur, car c'était sa profession. Il n'arrêterait d'offrir sa gorge que pour la suite du programme et surtout... Il allait réclamer ses 100Ke pour les avoir coincés dans son bas de latex !

Elle sentait les lèvres de Theorem s’exciter autour de sa verge. Vanillia soupira doucement en fermant les yeux, son visage se crispant en un rictus de plaisir, ses dents supérieures allant mordiller ses lèvres inférieures. Si Mélinda avait été là, elle aurait pu dire combien sa femme appréciait cela juste en regardant son visage, et les expressions faciales qui la traversaient. Mais le fait était là, indéniable ; elle appréciait ça. Mélinda ne lui avait pas menti, et, même si Vanillia avait encore un peu de mal à croire que ce jeune homme ait pu avoir un titre militaire, elle ne pouvait qu’admettre qu’il savait bien s’occuper de sa verge. Ses dents ne frottaient jamais douloureusement, il aspirait l’air avec sa bouche, tout en continuant à filer d’avant en arrière, alternant le rythme, n’hésitant pas à enfoncer cette queue profondément en lui sans bouger. Dans ce genre de cas, la main de Vanillia s’appuyant sur ses cheveux se serrait encore plus fortement, quitte à arracher au jeune homme des couinements.

« Hum, ma femme m’avait bien dit que tu étais très doué, Theorem, mais… Ça, c’est le genre de choses dont on ne peut se convaincre que soi-même, par l’expérience, hmmm… Mais, hmmm… Tu rendrais jalouse bien de nos concubines au manoir, hmmm… »

Theorem n’avait encore jamais eu l’occasion de sucer Vanillia, mais il pourrait constater combien celle-ci semblait similaire, dans ses réactions, à Mélinda. Difficile de dire si cela était dû à leur nature profonde, ou à cette union vampirique qui les avait amenés à se rapprocher à un stade fusionnel très intime. Vanillia soupirait donc, appréciant le contact des délicieuses lèvres de Theorem, qui remuait doucement sur place, semblant lui aussi apprécier le geste. Ils se mirent à multiplier les gorges profondes, Vanillia n’hésitant pas à se montrer autoritaire en appuyant sur la tête de Theorem, le forçant à avaler profondément sa queue, jusqu’à ce qu’elle tape contre sa gorge, et commence à descendre en lui.

C’était délicieux, et Vanillia faisait volontiers durer le plaisir, soucieuse de ne pas offrir sa semence trop vite au jeune esclave. Elle le laissait donc continuer à s’approprier sa queue, sentait sa langue glisser sur sa verge, titillant son membre durci, qui pointait en lui, s’immergeant dans sa cavité buccale. La vampire avait suivi une formation sexuelle intense et énergique avec Mélinda pour pouvoir devenir, sexuellement parlant, plus endurante que ce qu’elle était jadis, et sans avoir à recourir à la magie.

« Hmmm, tu suces avec appétit, tu sais, haaaa… »

Parler devenait de plus en plus difficile pour elle, car le plaisir était en train de la submerger. Elle fondait petit à petit, morceau par morceau, tout en continuant à gémir, et à soupirer longuement. Sa queue était bien grosse, tendue au maximum, comme une corde prête à rompre. Elle faisait durer cela, mais même elle ne pouvait lutter éternellement. De fait, contrairement à Theorem, elle ne voyait pas la fellation que comme un acte de soumission, car, contrairement à d’autres positions, c’était ici la personne qui se faisait prendre qui pouvait imposer son rythme. La position était donc certes humiliante, mais c’était bien Theorem qui agissait, et qui pouvait ainsi réguler le plaisir des deux partenaires.

Vanillia se relâcha donc en se pinçant encore les lèvres. Sa queue tressauta sur place, et la semence jaillit alors. Elle serra encore la tête de Theorem en jouissant, veillant ainsi à bien enfoncer sa tête au début. Vanillia jouit directement dans sa gorge, puis relâcha ensuite la pression, sa queue se reculant pour se relâcher encore dans la bouche de Theorem, les filaments de sperme fusant abondamment. Comme sa femme, Vanillia jouissait généreusement, et termina même en jouissant directement sur le visage de Theorem, l’éclaboussant de plein fouet.

Sa queue se relâcha sur lui, tartinant son visage de sa crème, et elle soupira ensuite, tout son corps semblant se détendre en frissonnant.

« Putain, c’est si bon… » gémit même Vanillia.

Elle venait de prendre son pied, mais, connaissant les Warren, il fallait bien s’attendre à ce qu’une seconde couche vienne ensuite. Pour l’heure, Vanillia reprit ses esprits, et, quand Theorem tenta de s’essuyer le visage, elle l’interrompit.

« Non, je vais me charger de ça, j’ai envie de goûter à ton visage. Viens te coucher sur le lit… »

À sa manière, Vanillia pouvait se montrer très douce, et, quand Theorem s’installa, elle s’assit à côté de lui, posant sa main sur son ventre. Elle sentait le sang de Theorem s’emballer, et déplaça sa main, caressant sa cage de chasteté dorée.

« Je sens ton excitation, tu sais, et je perçois ton érection… Mais les instructions sont claires… »

Elle se pencha ensuite vers lui, et continua à caresser sa cage dorée, la griffant même, comme pour titiller davantage le jeune homme, et déposa un premier baiser sur ses lèvres. Elle déplaça ensuite sa bouche, et lécha ses joues, le nettoyant ainsi, tout en s’allongeant un peu plus sur lui, relevant l’une de ses jambes pour la poser sur son ventre. Vanillia continua ensuite son office, léchant cette peau parfaite.

« Tu as une vraie peau de bébé, Theorem… C’est agréable, je comprends pourquoi ma femme a eu des remords à te laisser partir… »

Oui, car elle aussi aurait eu du mal à le laisser partir…

Theorem s'était donné à 100% dans cette fellation et il avait mérité son titre de meilleur suceur de toutes les maisons closes d'Inferis et de Nachtheim. Ainsi, quand il tomba à genoux devant sa cliente qui vint jouir sur son visage, il était épuisé et au bout. Sa peau était tout en sueur et il était décoiffé comme après une intense nuit d'amour. Son maquillage avait un peu coulé en deux jolies traînées noires qui avaient roulé le long de ses joues. Encore pantelant et la bouche entre-ouverte, le souffle court et un long filet de salive pendant de sa lèvre inférieure, Vanilla l'invita à se coucher dans le lit avant qu'il ne commence à se nettoyer. Doucement, il s'exécuta, même s'il était encore un peu château branlant. Une fois allongé sur le dos sur les draps de latex, il regarda sa cliente. La matière souple du latex faisant en sorte de magnifier les contours féminins et androgynes de Theorem, le contournant avec des vaguelettes et des signons brillants, des éclats lumineux ambiants et de l'odeur indécente du latex.

"Je suis à vous... Madame Vanilla."

Dit-il à bout de souffle alors que la vampire vint à son tour sur le lit imposant. Les draps grincèrent sous sa présence alors qu'elle créait de nouvelles vagues sur la surface lisse du latex. Elle posa sa main gantée sur son ventre en sueur révélé par sa veste en cuir ouverte en grand. Doucement il se laissa faire alors que sa cliente porta son attention sur sa cage de chasteté. Il sentit sa poigne sur le métal chaud, faisant remuer son sexe qui essayait vainement de prendre une érection dans ce carcan de métal. Une petite goutte de pré-sperme se fit un chemin par le méat métallique avant de rouler sur ses testicules doux et imberbes. Les ongles de la vampire passèrent sur les reliefs de la cage, comme les fausses écailles du dragon, ses cornes moulées, ou son facies grimaçant. Puis il la sentit se mettre au dessus et son ombre recouvrir son visage... Un baiser, un peu court, émoustilla le jeune puceau. Il n'avait que très rarement embrassé une fille... A chaque fois la sensation était inédite et incomparable. Puis sa langue passa sur ses joues alors que Theorem soupirait de plaisir, sentant son corps féminin s'écraser contre son gracile corps de travelo. Il était enfiévré et excité alors qu'il regarda l'hypnotique cliente.

"Merci Madame... J'en prend grand soin. Vous êtes superbe également, votre beauté est si envoûtante et surnaturelle..."

Doucement, il posa timidement sa main sur l'épaule de la vampire puis son bassin... De sa patte de hyène, il défit doucement son collier de soumis qui se décrocha avant qu'il ne tourne la tête en relevant un peu le menton, redressant ses cheveux pour donner un parfait accès à son cou... Une zone extrêmement érogène pour les vampires.

"Madame Mélinda a toujours dit que j'avais un goût exotique et une belle teinte noire... Je vous invite à me faire goûter à la mort..."

Les lèvres de Vanillia étaient très douces, un peu plus tendres et moins appuyées que celles de sa femme, comme si, inconsciemment, Vanillia admettait être moins autoritaire qu’elle, ou moins expérimentée. Comme souvent, avec Mélinda, les contradictions étaient de mise. Vanillia descendait d’une glorieuse famille, et avait suivi une formation magique. De plus, elle était bien davantage qu’une vampire, elle était une véritable mutante, avec des gènes démoniaques et elfiques remuant aussi dans son corps. En bien d’autres circonstances, Mélinda n’aurait été qu’une gourgandine à ses yeux, et, pourtant, là, face à Theorem, celui-ci ne pouvait que constater leur indéfectible union. Vanillia avait un besoin maladif, compulsif, de sa Mélinda, qui était comme sa mue, sa source d’inspiration. Elles arrivaient ainsi à former un couple très complémentaire, car c’était grâce aux encouragements de Mélinda que Vanillia ne cessait de se perfectionner. Et là, face à Theorem, elle faisait encore parler sa douceur satinée, embrassant son visage, retournant goûter à ses lèvres. Si Theorem aimait les baisers, il risquait vite d’être comblé, car c’était aussi le cas pour Vanillia, qui pouvait passer de longues heures à embrasser sa femme. Vanillia était tout simplement bien plus romantique qu’on ne pouvait le croire, et, à sa manière, elle avait aussi réussi à toucher Mélinda, à la marquer. La Mélinda ayant rencontré Vanillia n’était plus tout à fait la même que celle datant d’avant cette rencontre.

Face à Theorem, Vanillia prenait tout son temps. Elle l’avait longuement embrassé et léché, observant son visage parfait, cette silhouette très fine à la peau doucereuse. Elle regrettait juste de ne pas pouvoir sentir directement sa verge, cette cage de chasteté s’avérant également assez frustrante pour elle. Mais les règles étaient les règles, et, de toute façon, elle n’avait même pas la clef de la cage. Devant elle, Theorem se dandinait doucement sur place, et défit alors son collier de soumission, révélant son cou. Vanillia sourit devant cette proposition… Et siffla aussi. Ses narines se mirent à frémir, et même ses yeux se durcirent pendant quelques secondes. C’était l’instinct de prédation qui refaisait surface, cette notion typiquement vampirique.

« Voilà une proposition qui ne se refuse pas, Theorem… »

Vanillia se concentra alors. Elle ferma les yeux, et grogna doucement, puis, quand elle rouvrit les lèvres, ses canines venaient de pointer. Même ses yeux étaient devenus plus rouges, et elle se rapprocha du cou de Theorem. Sa langue glissa dessus. Habituellement, elle sentait toujours deux petits trous, ceux que sa femme laissait derrière elle, mais Theorem avait eu le temps de cicatriser depuis. Le sang du jeune homme s’enflamma devant ce qui allait arriver.

L’Étreinte.

C’était ainsi qu’on appelait ce moment intense, presque fusionnel. Elle lécha son cou, déposant un baiser dessus, et l’humidifia tranquillement, avant de le mordiller. Une onde de douleur pointa dans le corps de Theorem, et elle s’enfonça encore, jusqu’à se rapprocher de sa veine, qu’elle titilla. Elle la frôla légèrement, juste pour ouvrir la partie supérieure, puis retira ses dents. Une fois ceci fait, Vanillia se concentra, et commença à aspirer le sang de Theorem.

Rapidement, un frisson traversa également Vanillia, qui sentit le sang… Très particulier de Theorem. Un sang atypique, en effet, comme Mélinda le lui avait dit. Elle ne pouvait pas encore en voir sa couleur, mais sentait le sang filer dans sa gorge. Elle l’avala joyeusement, tout son corps se mettant à frissonner. Ses seins se durcirent, et Theorme put même sentir l’érection de Vanillia revenir, se pressant contre son corps. Une belle queue en érection, témoignant aussi de sa soif sexuelle, qui se mettait à croître furieusement.

« Hmmm… !! »

Le sang de Theorem était noir, et cette noirceur se faisait ressentir. Sa verge, en se tendant, se gonfla pendant quelques secondes de veines noirâtres, et, de la même manière, quand Vanillia rouvrit les yeux, ses pupilles avaient pris une teinte noirâtre prononcée. Elle continua encore à boire, modérément, jusqu’à retirer ses crocs.

« Tu… Tu as un sang d’une excellente qualité, Theorem… »

Vanillia était de nouveau toute excitée, et claqua des dents en le regardant.

« Mets-toi à quatre pattes, mon beau… Je vais t’enculer bien fort ! »

De quoi calmer ainsi cette tension sexuelle qui venait d’exploser dans son corps !

Theorem adorait se faire mordre le cou. On pouvait presque dire qu'il était devenu un adepte tant il appréciait cette sensation presque addictive de frôler la mort quand on se faisait sucer le sang. On ne devenait plus qu'une proie, plus que de la nourriture pour son maître vampire. C'était très grisant et il le vivait avec une intensité rare. Quand elle enfonça enfin ses crocs en lui, tout son corps se raidissait et tremblait. Il lâcha un profond soupire alors que l'étreinte mortelle l'entourait de ses bras avides. Un plaisir surnaturel envahissait son être alors qu'il s'engourdissait de partout, comme si son être acceptait la fin... Finalement, alors qu'une sensation de néant le happait, elle retira ses dents. Theorem dû cligner plusieurs fois des yeux pour revenir à lui alors qu'il avait une belle érection dans sa cage. Il regarda la vampire à côté de lui qui lui indiqua la suite du programme : se faire défoncer le postérieur. Il fit un sourire gêné, les joues empourprées alors qu'il appliquait de la salive sur ses doigts puis sur sa plaie au cou.

"Oui... Madame."

Sa salive pouvait le cicatriser, mais il garderait sa marque vampirique plusieurs semaines. Heureusement il pouvait la cacher sous son collier de soumission qu'il enfila à nouveau, serrant l'attache pour sentir toujours cette petite tension d'étranglement qu'il adorait... Comme sentir la poigne de la dragonne qui l'avait plaqué au sol la première fois qu'ils avaient couchés. Il était bien moins habillé qu'elle, ne portant que sa veste, son porte-jarretelles et ses bas et gants. Il se sentait si diminué et humilié... Et on allait le payer pour ça. C'était tellement... humiliant et grisant... Et cette suite et bien il allait l'occuper le plus clair de son temps, comme un otage de ce lieux pour se faire farcir avec joie par des inconnus, des habitués ou des invités... La sensation était si déstabilisante qu'il ne s'y était toujours pas fait. Mais à chaque fois elle lui était renvoyé, lui donnant une vague d'excitation et d'inconfort... Mais aussi d'angoisse et d'envie. Il se redressa doucement, se mettant à genoux sur le lit puis à quatre pattes, faisant face à l'entrée de la pièce et dos à la tête de lit. Doucement, il tira sur la chaînette de son plug anal, le retirant pour qu'il pende à sa cage de chasteté. Son anus était déjà bien ouvert et humide...

"Je suis prête Madame Vanilla. Défoncez-moi de tout votre saoul comme la chienne lubrique que je suis ! Empoignez ma queue, claquez ms fesses, baisez-moi comme un onahole... Je suis tout à vous !"

Theorem se lâchait. Il était un bien, un esclave, une propriété privé. Aux yeux de la loi infernoise, il valait tout autant qu'une table, une chaise, un bien immobilier ou un quelconque objet qu'on pouvait louer... Et c'est exactement ce qui se passait là maintenant... Theorem était mit en location le temps d'un acte sexuel, facturé à la prestation à un client... Il n'avait ni son mot à dire, ni à s'imposer. C'était un jouet, et la vampire allait pouvoir fourrer son pénis dans ce trou d'exception entraîné depuis des années à se faire fourrer avec force et égoïsme.

Si douce soit-elle, le sang lui montait au cerveau. C’était comme un shoot d’adrénaline, un rail d’énergie pure. Une sorte d’électricité grisante remuait dans son corps, stimulant ses nerfs, l’excitant et l’enflammant. Un feu intérieur qui menaçait de la consumer tandis qu’elle se tenait derrière Theorem. Elle avait senti la forte érection de ce dernier, sa queue se restreignant dans sa cage de chasteté. Une situation humiliante et infamante pour lui, mais Vanillia avait bien du mal à ressentir de l’empathie. Tandis qu’il lui tournait le dos, elle libéra sa verge, et sa belle queue se redressa. Elle était bien grosse, bien tendue, et elle la serra entre ses doigts, soupirant et grognant sur place. Ses yeux avaient viré au rouge, et même parfois au noir, tandis qu’elle sentait l’adrénaline pulser dans ses veines.

Le sang de Theorem était inhabituel, tout simplement. Mélinda l’avait prévenu, et Vanillia ne pouvait que le constater. Le sang de Vanillia était un sang noble, un sang très particulier, car elle était un croisement génétique de trois races : fille de parents elfiques et démoniaques, elle avait été mordue par un vampire, de sorte qu’elle arborait en elle trois sangs puissants. Le sang de Theorem se mélangeait à tout cela, et elle vit que sa main tremblait de manière incontrôlable… Comme tout le reste de son corps. Ses dents claquèrent sur place, tandis que Theorem s’offrait à elle, l’incitant à venir lui défoncer le cul. Il retira à cet effet son plug anal, et elle l’observa sans rien dire pendant quelques instants.

Puis, dans un soupir, la vampire se rapprocha, et sa queue caressa le délicat cul de Theorem. Elle pensa alors à mettre à son collier une laisse.

« Oh, ton sang est… Incroyable, mon beau Theorem… Je comprends pourquoi ma femme avait hésité à te redonner à Ishtar. Se priver d’un tel sang, c’est… »

Elle se mordilla les lèvres, ses mains se posant sur ses fesses. Elle le griffa volontiers, lui arrachant quelques couinements, et posa à nouveau sa main sur sa queue, la maintenant en place… Puis l’enfonça brusquement dans son cul. Theorem poussa un couinement, et Vanillia un long grognement. Un frémissement traversa son corps des pieds à la tête, et sa queue s’enfonça alors. Elle était bien grosse, mais Theorem portait en permanence un plug anal, ce qui fit qu’elle parvint à s’y enfoncer. Néanmoins, il y eut au début une résistance bien naturelle, la chair se heurtant à la chair. La douleur fusa, explosa, jouissive, libératrice, délicieuse. Les griffes de Vanillia se serrèrent davantage sur le cul de Theorem, le marquant. Elle releva sa main, et le gifla sèchement, comme pour évacuyer la douleur, et grogna encore, hurlant même, crachant sa salive, celle-ci tombant sur le dos de Theorem.

« Oh-oh, bo… Bon sang, hmmm… »

Vanillia soupira à nouveau, se recula, et reprit alors, poursuivant sa sodomie. Le rythme était rapide, intense, mais elle n’était plus elle-même. Sexe et sang se mélangeaient dans sa tête. Elle attrapa la laisse de Theorem d’une main, et tira brusquement dessus. Le corps de Theorem se redressa, mais le collier de soumission se serra aussi, l’étranglant encore. Vanillia maintint la pression pendant plusieurs secondes, avant de relâcher le collier, permettant ainsi à Theorem de respirer, puis serra encore, et ainsi de suite, jouant avec lui.

Pendant ce temps, sa queue s’enfonçait d’avant en arrière, continuant à le sodomiser, l’enculant de plus en plus fort. Elle s’enfonçait en lui jusqu’à la garde, gémissait à nouveau, hurlant même, sentant ses muscles se bander.

« Vas-y, Theorem, hmmm… Hurle, mon beau, hurle que tu es ma petite salope, haaaa… Une… Une sale CHIENNE(/i] qui aime se faire ENCULER, haaaannn… !! »

Vanillia n’était effectivement pas la femme de Mélinda pour rien…

L'intense sodomie qu'il subissait aujourd'hui était d'une intensité rare ! Alors que Vanilla s'installait pour le sodomiser en levrette, il offrit son postérieur aux assauts de la vampire qui furent surtout des fessées et des griffures et, nouveau pour lui, des crachats. Tenu en laisse, sodomisé avec force, insulté et violenté, Theorem serra ses mains sur les draps de latex avant de lâcher plusieurs cris et couinements digne de sa position de pute. Le travestit prenait de plus en plus conscience de sa nouvelle position. Là où d'ordinaire Ishtar partageait son cul avec d'autres personnalités de l'armée ou d'alliés, là il allait offrir son corps svelte à une myriade de clients, certains inconnus. Le jeune Haiena était désormais une pute, authentique, collant parfaitement à cette définition. Plus jamais il ne combattrai, plus jamais il ne partira à l'aventure... Fort Stanov allait devenir sa prison dorée, à vivre orgasmes sur orgasmes, avec pas mal de simulations par moments, pour gagner de l'argent qu'il allait intégralement remettre à Chengzu, son mac.

"Han oui Madame Vanilla ! Je suis une fille de joie crasseuse ! Vous êtes ma cliente, je suis tout à vous ! Haaah ! Je sens votre sexe supérieur taper ma prostate de sous-homme ! Han oui ! Oui !!"

Theorem aligna plus de mots salaces à la suite que Vanilla avait certainement put en entendre aussi vite. Le travelo se dévaluait merveilleusement bien, recevant les crachats de sa cliente sur son dos, sa veste ou sur le lit avant de serrer son anus sur sa queue puissante. Il savait bien que l'excitation de la vampire était à son comble, la jouissance approchait. Theorem avait été bien éduqué avec Ishtar, il pouvait sentir ce moment venir ! Doucement il se cambra d'avantage en soupirant d'aise puis contracta son anus au maximum au moment opportun. Quand enfin il sentit sa cliente jouir en lui en lui fessant le cul, le jeune Haiena contracta périodiquement son postérieur, au rythme de ses jets de foutre en lui avant d'enfin la sentir se retirer pour l'arroser un peu. Un long filet de présperme pendait de sa cage de chasteté jusqu'au matelas sous lui, directement sur l'armoirie de sa famille intégrée à la couette. Il sentit qu'on glissa quelque chose dans sa main et entre deux soupires, il remarqua la liasse d'argent dans sa main.

"Merci Madame Vanilla !"

Dit-il en se redressant pour compter rapidement l'argent donné... 350Ke, il y avait un petit supplément pour arrondir. Doucement, il glissa l'argent dans son bas de latex avant de venir sucer le sexe de Vanilla pour le nettoyer, le remettant ensuite soigneusement dans sa culotte et de faire une bise dessus. Une fois fait, il regarda la vampire en contre-plongé.

"Vous reviendrez me voir ? Ca a été super pour moi..."

Vanillia laissait parler son plein potentiel, une perversion forte et accrue. Même avant que Mélinda ne la rencontre, la jeune et sage vampire pouvait se montrer terriblement passionnée, et même perverse et cruelle. Sous Mélinda, Vanillia ne s’était clairement pas assagie. Mélinda et elle s’étaient mutuellement entraidées pour s’améliorer réciproquement. Car Vanillia avait été entraînée à la magie, et elle maîtrisait la magie du sang, la magie rouge, une magie dans laquelle les vampires avaient une forte affinité. Une magie qui permettait notamment de jouer avec les flux sanguins des personnes face à eux. Vanillia en avait fait plusieurs démonstrations à sa femme, et lui enseignait les arts magiques… Tandis que Mélinda lui avait surtout enseigné les arts du sexe. Néanmoins, Mélinda n’était pas juste qu’une femme magnifique. Elle était une femme d’affaires redoutable, qui connaissait des choses barbantes, mais bien pratiques, comme la comptabilité, ou le droit. Elle pouvait se montrer aussi lucide qu’ésotérique, ce qui faisait que les deux femmes formaient un couple similaire, et complémentaire également.

Tout ça pour dire qu’elle le sodomisa assez brutalement, ne lui épargnant rien. Sa main tirait régulièrement sur la laisse, empêchant ainsi Theorem de pouvoir se poser contre le lit, l’étranglant régulièrement. Sa queue, elle, pilonnait son petit cul, tapant contre sa peau. Et la magie de Vanillia agissait également, pour torturer davantage Theorem, en jouant sur la propre verge de Theorem. Elle augmenta l’afflux sanguin dans cette zone, lui donnant une furieuse érection, l’amenant régulièrement à un stade proche de la jouissance. Il pourrait sentir cette vague remonter en lui, ce moment exquis où on sentait sa queue prête à se relâcher, où on sentait le sperme s’accumuler pour sortir dans un point d’exclamation final… Mais, à chaque fois que cela arrivait, Vanillia jouait encore de sa magie pour l’en empêcher. Elle aurait presque pu en ricaner, si elle n’avait pas été trop occupée à le sodomiser. Elle défonçait son petit cul d’amour, et faisait durer ça aussi longtemps que possible, grâce à la magie, mais aussi grâce à son endurance sexuelle, acquise après ses nombreuses orgies avec sa femme et leurs nombreux esclaves.

« Hmmm… O-Oui, Theorem, je le sens, tu veux jouir, ton corps le souhaite tellement fort… Mais ma femme a été très claire, hmmm… »

Pas d’orgasme pour Theorem ! Il allait devoir faire avec ! Elle continua donc à le besogner, griffant ses fesses et les giflant d’une main. Ce fut une sodomie assez longue, qui aurait tout à fait pu faire honneur à Ishtar Naviento. Vanillia se devait après tout d’être à la réputation des Warren, et elle se mit finalement à jouir, relâchant sa semence chaude dans son cul. Un solide orgasme, où elle s’absenta pendant quelques instants… Une exquise petite mort, sa queue tressautant dans le cul de Theorem, recrachant son sperme.

Vanillia soupira ensuite, se retira, et pensa rapidement à remettre le plug anal de Theorem, de manière à ce qu’il conserve son sperme en lui. Vanillia lui donna ensuite son argent, tout en reprenant ses esprits. Ses joues avaient rougi, et elle était légèrement décoiffée. Theorem la remercia, souhaitant la revoir ce soir, et Vanillia gloussa doucement.

« Tu as déjà oublié ? Ne sois pas si pressé de me voir partir, ma femme a un cadeau à t’offrir… »

Le temps qu’elle arrive, Vanillia se rapprocha d’un miroir, et se recoiffa. Il ne fallut plus que quelques minutes supplémentaires avant que la porte de la chambre ne s’ouvre.

Alice Korvander entra, ainsi que Mélinda Warren, Chengzu, et Ishtar. Les vampires présents pourraient ressentir la tension sexuelle croissante parmi les convives, une envie furieuse de baiser. Vanillia alla embrasser Mélinda, sa charmante femme, qui lui indiqua que les préparatifs étaient terminés. Ensemble, Ishtar, Chengzu, Alice et Mélinda avaient dû parler de leur alliance. Nachtheim était après tout une colonie marchande, en étroite collaboration avec le clan Warren, et Sylvandell était un client potentiel. Ce rendez-vous terminé, les quatre avaient juste envie de profiter des lieux.

Mais, avant ça, Mélinda présenta à Theorem un petit coffret.

« Il ne sera pas dit que je suis une mauvaise Maîtresse, Theorem… J’ai un cadeau pour toi. »

Le cadeau semblait plutôt petit, et Mélinda ouvrit le coffret, tandis que Theorem fut invité à s’asseoir sur un fauteuil face au grand lit.

« Tu vois, nous allons tous baiser dans ta chambre ce soir… Mais, comme tu le sais, Ishtar ne veut pas que tu puisses voir nos parties intimes. Alors, plutôt que de nous amener à être dans des situations improbables, j’ai pensé à amener ceci. »

Elle récupéra à l’intérieur du coffret une sorte de petit disque argenté, accompagné d’une télécommande de contrôle.

« Je ne suis pas spécialiste en haute technologie, mais ce disque cérébral contient des nanodonnées, ou des trucs comme ça. C’est une technologie expérimentale utilisée sur Megapolis contre les délinquants sexuels récidivistes. L’idée est de s’attaquer à la vision du délinquant afin de flouter les personnes autour de lui. C’est comme regarder un film X qui serait censuré, en quelque sorte. »

Mélinda approcha le disque, et le posa derrière l’une des oreilles de Theorem, qui sentit comme un choc électrique, un courant le traversant pendant quelques instants. Mélinda se releva ensuite, tenant la télécommande à la main. Elle portait toujours sa magnifique robe mauve, et appuya sur un bouton. Le disque s’illumina pendant quelques secondes, et Mélinda défit alors le haut de sa robe. Cependant, là où Theorem aurait dû voir un sein, il ne vit qu’une zone floutée, sa vision brouillée ne parvenant pas à se représenter ce sein.

« Comme ça, nous allons pouvoir baiser sans avoir à devoir systématiquement cacher la vue de nos seins ou de nos sexes, puisque tu ne pourras plus les voir ! »

Theorem vit Vanilla se relever et aller au miroir le plus proche pour se recoiffer. De son côté le travestit eut besoin d'un peu plus de temps pour émerger totalement et en premier lieu il alla mettre l'argent dans le tiroir sécurisé qui ne comportait qu'une seule fente et sans moyen de l'ouvrir à part une clé spéciale. Ainsi l'argent restait sécurisé en coffre. Puis il se mit assis sur le bord du lit faisant face à la porte de la chambre, caressant son bas-ventre en sentant encore la semence chaude de Vanilla en lui. Qu'était-il devenu ?... Une crasseuse, une pute dans toutes la définition du terme alors qu'il était là, en sueur, ne portant que des bas tâchés de salive et de pré-sperme et une veste imbibée de lubrifiant et de transpiration. Sa peau était luisante comme s'il sortait du bain et il savait ses cheveux déjà pas mal emmêlés. La laisse pendait sur son torse jusqu'au lit alors qu'il enleva sa main de juste au-dessus de sa cage dorée... Il venait parfois à douter d'avoir encore quelque chose entre les cuisses qu'il écarta doucement avant d'entendre la porte d'entrée s'ouvrir. Il leva les yeux vers Alice qui venait d'entrer, d'Ishtar, de Mélinda et de Chengzu. Tout ceux qui l'avaient réellement possédé un jour étaient désormais présents... Vanilla ne tarda pas à les rejoindre alors que Mélinda prit les devants avant même que Theorem ait le temps de répondre. Elle lui présenta un coffre en disant que c'était un cadeau. Il regarda ce dernier. Un boîtier métallique, décoré mais technologique... Le genre de gadget qu'on ne voit pas dans cette dimension. En l'ouvrant, il vit un petit disque de métal.

"Je... Merci.. ?"

Il ne savait pas trop quoi dire alors qu'il faisait face à l'ultime accessoire qui allait rendre sa vie aussi compliquée qu'elle le fut le jour où Ishtar ferma le cadenas de sa cage de chasteté. Mélinda vint d'abord lui installer le disque derrière l'oreille gauche et un petit sursaut douloureux le prit quand le disque s'installa. Cela s'estompa très vite et alors que la vampire commença à bidouiller une télécommande technologique, sa vision eut un petit saut un bref instant avant que tout redevienne normal. Il resta dans l'incompréhension complète avant que son ancienne propriétaire ne baisse le haut de sa tenue, dévoilant un sein qui... était pixelisé ? Son sein était intégralement censuré, il ne pouvait pas le voir, comme un filtre de censure permanent. Theorem se frotta les yeux un instant avant de regarder à nouveau, dans l'incompréhension. Puis la manette passa dans les mains d'Ishtar qui avait une furieuse érection sous son pagne de latex.

"Excellente initiative, Mélinda ! Theorem est clairement devenu parfait désormais ! Voyons voir ce qu'on peut faire de plus avec cette télécommande..."

Elle bidouilla les commandes et la censure sous forme de pixelisation devint une boîte noire avec un texte auto-généré en plein centre. Cachant la poitrine de Mélinda, ce rectangle noir disait clairement "pas de seins pour une lopette comme toi !" Ishtar ria de bon coeur avant de relever son pagne, révélant son pénis qui n'était en rien censuré.

"J'ai fait en sorte que seule les parties génitales féminines soient censurées. Tu pourras toujours voir les bonnes queues juteuses pour continuer à faire de toi une lopette obéissante. Haaan Chengzu mon amour, vient là..."

Elle s'approcha du bélier avant de lui rouler un patin passionnément devant Theorem. Le jeune Haiena se mordilla la lèvre devant ce spectacle, signe extérieur de son anxiété grandissante alors que la dragonne baissa son haut pour révéler ses ogives, que le soumis ne perçu que comme un gros rectangle noir affichant "soit un bon cocu, pédé". Ils finirent le baiser en se léchant la langue respectivement, ne se quittant pas des yeux en se tenant par la main. La salive coulait sur les seins d'Ishtar qui ne quitta pas le bélier des yeux avant qu'elle ne caresse doucement sa hanche.

"Je te laisse découvrir le sexe avec Vanilla, mon amour. Moi j'ai très envie de renouer quelque chose avec Mélinda..."

Ils s'embrassèrent encore devant Theorem qui eut un autre pique d'anxiété et une larme discrète alors qu'il tremblait comme une feuille. Son corps avait un ascenseur émotionnel assez important, entre l'excitation extrême qu'il avait eut lors de la sodomie avec Vanilla et maintenant cette démonstration de son cocufiage... Il sentit la présence d'Alice contre lui et il décrocha son regard alors qu'Ishtar se dirigeait vers la vampire pour venir l'embrasser à son tour avec une passion dévorante... Le lit allait être assez grand pour que tout le monde couche dessus... L'état de la chambre allait être déplorable.

Chengzu avait déjà entendu parler de ces autres mondes. Lui-même était un voyageur multiversel, originaire d’une autre dimension que celle où ils se trouvaient actuellement. Cette technologie devait venir de Megapolis, ce monde futuriste très avancé. Chengzu caressait encore l’idée de s’y rendre plus souvent, car, fondamentalement, il restait toujours un homme-bélier attiré par les merveilles de la haute technologie. Volony représentait l’idéal pour lui, mais ce n’était qu’à Megapolis qu’on découvrait des technologies de ce genre. Il devait bien admettre être impressionné. Jadis, Chengzu aurait pu s’émouvoir volontiers pour Theorem, ressentir une forte compassion qui l’aurait amené à réfléchir… Mais c’était avant. Avant qu’Ishtar ne pose ses doigts sur lui, avant qu’ils ne s’unissent. Elle l’avait transformé, et ne cessait de le faire. L’homme était devenu pervers, cruel, sa naïve et touchante compassion s’effondrant au profit d’un esprit calculateur et pervers. De fait, il prenait lui aussi goût au fait d’humilier Theorem de la sorte, comme si les fantasmes d’Ishtar devenaient les siens. Et là, au milieu de femmes fortes, il était bien incapable de lutter.

De manière ironique, c’était Mélinda, qui était peut-être bien la personnalité la plus dominatrice du groupe, qui avait une robe mauve, alors qu’Alice, comparativement la plus soumise, portait une robe noire avec un haut col. Mais Mélinda n’avait plus rien à prouver. Elle avait convaincu Ishtar de rejoindre son clan, elle avait fait d’elle une Dracoliche, et Chengzu caressait aussi l’idée, en se mariant avec Ishtar, que Mélinda le morde à son tour, et fasse de lui un vampire. Mais, pour l’heure, Ishtar s’amusa avec la télécommande, et constata qu’il était possible, soit de laisser un flou, soit d’y mettre des mots. Ceux-ci apparaissaient en surbrillance, et elle en fit le test.

« Cette technologie est incroyable, Mélinda…
- Je vous conseille quand même de la restreindre à seulement certains organes. C’est un appareil de blocage, et le blocage total peut vous faire perdre la raison. »

Après, Mélinda avait confié Theorem à Ishtar. C’était donc à elle de voir jusqu’où elle étendrait ce blocage. Quoi qu’il en soit, ce disque ne serait pas facile à retirer. Il fallait une opération chirurgicale bien spécifique. Même si Theorem utilisait sa main, il n’arriverait pas à l’enlever… Sauf à s’arracher une partie de la peau, mais cela aurait aussi des conséquences. En effet, le disque diffusait régulièrement des ondes électriques à travers les synapses, et une extraction sauvage pouvait griller la cervelle. Il fallait une opération bien spécifique, qui nécessitait plusieurs heures, afin de s’assurer que les synapses ne subissent pas d’effet secondaire lors de l’extraction.

Ishtar semblait apprécier le cadeau, qui lui éviterait effectivement de devoir trouver des positions compliquées pour réaliser son dressage à l’encontre de Theorem. Alice s’écarta un peu, non sans regarder avec appétit le long baiser que Chengzu et Ishtar partagèrent. Le membre de Chengzu se redressait tout doucement, et sa langue alla jouer avec celle d’Ishtar. C’était un véritable baiser d’amoureux, similaire à ceux qu’Alice échangeait avec Melendil. Elle les regarda donc s’embrasser, et Chengzu y prit plaisir.

Une fois le baiser terminé, Ishtar dicta la suite, et Mélinda sourit malicieusement, avant de se mettre à quatre pattes devant elle.

« Commence par renouer avec mon cul, Ishtar, tu sais comme j’adore tes sodomies brutales et violentes… »

Vanillia se laissa aussi tenter, et se mit à quatre pattes, à côté de sa femme, ses doigts se rapprochant des siens.

« Je sens en vous une puissance très agréable, Chengzu, une vigueur qui ne demande qu’à venir me saillir… Alors, venez, soyez mon dominant, mais sachez que, comme ma femme, j’apprécie tout particulièrement les sodomies… »

Et Chengzu ne demandait qu’à servir, lui qui aspirait à devenir meilleur, supérieur… Comme Ishtar. Il se rapprocha donc d’elle, et releva doucement sa robe, frissonnant en les observant. Toute cette beauté, tout ce latex… Il savait qu’il allait passer une soirée fantastique, et, pour le coup, avait bien du mal à songer à Theorem, surtout quand sa queue titilla les fesses de Vanillia, remonta contre son fondement. Il s’enfonça alors doucement en elle, faisant gémir la vampire.

Alice, quant à elle, était provisoirement mise de côté. Ce n’était toutefois que temporaire, car il était toujours mal avisé de négliger une Princesse. Elle avait installé Theorem sur une chaise, pile face au lit, et attacha solidement ses bras sur le dossier de la chaise, à l’aide d’une corde. Elle avait appris à faire des nœuds très solides, et attacha également les jambes du jeune homme, puis termina en remettant un autre « cadeau » sur sa tête, des lunettes spéciales, qui permettaient de filmer devant lui.

« Après quelques hésitations, je vais laisser ta bouche libre… Je sais que tout cela doit être très endurant pour toi, Theorem… »

De tous ici, Alice restait la plus compatissante. Dans le dos de Theorem, elle l’embrassait tendrement dans le creux du cou.

« Mais c’est toi qui l’as cherché, Theorem, c’est ce que tu voulais. Tu as refusé de coucher avec moi quand Chengzu l’avait envisagé, tu aimes ce rôle de soumis, alors… On ne fait que satisfaire tes désirs. Pour l’heure, tu vas nous filmer tous les cinq en train de baiser, et tu as intérêt à bien filmer. Si tu ne vois pas les parties intimes, ces lentilles les filment. Tu as intérêt à bien filmer, sinon ta Maîtresse risque de te punir assez fort… »

Et c’était tout. Alice se déplaça ensuite, et rejoignit le lit, venant se rapprocher d’Ishtar, agenouillée sur le lit, et partagea avec elle un long baiser, frottant et lovant son corps contre le sien, faisant doucement crisser sa magnifique robe.

Ishtar s'installa juste derrière Mélinda. La dragonne caressa le postérieur de la vampire en se léchant les lèvres avant de lui faire une petite fessée sonore mais pas douloureuse. On pouvait dire que pour Ishtar, la vampire était une sorte de mentor, et elle la suivait avec attention et appétit. Maintenant qu'elles étaient membres du même clan, elle se sentait liée comme jamais à Mélinda. Tranquillement, elle monta à genoux sur le lit avant de voir Chengzu s'installer à côté d'elle pour s'occuper du postérieur de Vanilla. La dragonne lui sourit de plus belle avant de l'embrasser un coup. Elle revint enfin porter son attention sur Mélinda, remontant la robe rose en latex de la vampire pour bien révéler son postérieur.

"Oh oui, Mélinda... Je vais renouer avec ton postérieur très très vite et très très profondément !"

Elle amena sa verge tendue à l'extrême à l'extérieur de son pagne avant de guider son gland contre l'anus de la vampire. La dragonne cracha dans la paume de sa main gantée de noir brillant avant d'étaler sa salive sur son trou serré. Puis, agrippant ses hanches, Ishtar s'enfonça en elle en grognant de plaisir. Vanilla poussa aussi un gémissement avec Mélinda. Chengzu venait de sodomiser l'autre vampire en même temps. L'un à côté de l'autre, les deux couples copulaient avec envie et passion. Bien qu'Ishtar caressait le dos de la vampire avec une attention toute particulière, elle embrassait le bélier par moment en regardant Theorem par moment qui leur faisait face. Quand Alice vint la rejoindre, elle délaissa un peu la bouche de son bélier en plein acte pour passer à celle de la tête blonde. La princesse était tout bonnement délicieuse à embrasser et bien vite la queue draconique d'Ishtar vint caresser son entre-jambe pour servir de substitut à son sexe masculin fort occupé en ce moment.

"Vas-y, chevauche ma queue ma belle !"

Dit-elle enfiévrée sexuellement alors qu'elle claqua encore le postérieur de la vampire. Theorem de son côté regardait la scène qui était majoritairement censurée. Tous les acteurs étaient pixellisés au niveau des organes sexuels et quand on les voyaient trop, c'était un rectangle noir qui les couvraient. Comme les seins d'Ishtar qui allaient de haut en bas à chaque vas et vient, à la vu de tous mais pas de Theorem qui portait des lunettes caméra. Mais son regard était surtout captivé par Chengzu, en sueur et en chaps de latex, qui sodomisait celle qui l'avait sodomisé quelques minutes plus tôt. Il se mordait la lèvre avant de soupirer d'envie, lâchant une plainte sonore assez forte pour qu'ils l'entendent malgré le bruit de la chair qui claque.

"Vous êtes si beau Maître Chengzu, Maîtresse Ishtar... Madame Vanilla et Madame Mélinda, Princesse Alice... Je vous envie tous mais... J'en veux plus également ! Maître Chengzu pitié... faite de moi votre suivant, je veux être avec vous ! Je suis prêt à tout subir pour rester avec vous !"

Et c'était vrai... Depuis ce chaste baiser à l'ombre d'une grange quand ils étaient adolescents à maintenant, le seul qui animait ses pensées et ses envies... C'était lui. Il aimait Ishtar, bien sûr et il l'admirait. Mais Chengzu... C'était son homme, littéralement. Et même s'il se mariait avec la dragonne, les sentiments de Theorem ne changeraient pas... Ce qui justement rendait ce cocufiage parfaitement savoureux pour Ishtar. Elle ria de bon coeur avant de caresser le dos de Chengzu puis posa sa main sur le postérieur du bélier. Elle le regarda en attendant sa réponse.

Chengzu était entré dans la confidence d’Ishtar. Il savait ainsi que celle-ci faisait partie du clan de Mélinda Warren. A priori, que ce petit bout de femme arrive à marquer une femme aussi puissante et aussi influente qu’Ishtar pouvait sembler surprenant. Ishtar lui avait avoué qu’elle avait même été amoureuse de Mélinda à un moment, avant que leurs relations n’évoluent. Dans une certaine mesure, Chengzu s’était même parfois demandé s’il n’avait pas, inconsciemment, comblé un manque affectif chez la dragonne. Mais elle avait été mordue par Mélinda. Elle avait bu le sang de la vampire, ce qui, d’un point de vue vampirique, faisait de Mélinda sa mère. En s’enfonçant dans son cul, Ishtar se livrait donc à une scène incestueuse, ce qui, chez les vampires, était une forme de norme. Ishtar s’enfonça donc en elle, et Mélinda poussa un cri jouissif, véritable mélange de douleur et de plaisir. Aussi dominatrice soit-elle, Mélinda était, à la base, une esclave, et elle aimait bien coucher avec les femmes dominantes. C’était son péché mignon, ce masque qu’elle dissimulait à bien des personnes, le fait qu’elle aimait bien, parfois, se faire dominer, se faire maltraiter. On pouvait la frapper, la griffer, la faire saigner, la vampire s’en délectait.

De ce point de vue, Ishtar représentait tout ce qu’elle voulait. Une femme cruelle, perverse, dominante, à la brutalité masculine, avec cette beauté sensuelle et sauvage, ce corps sculptural, ce mélange des genres qui la faisait toujours saliver. Très clairement, sentir cette verge dans son cul lui avait manqué ! Mélinda couina donc. Elle mouillait rien qu’ne sentant les mains griffues d’Ishtar tirer sur le bas de sa robe, soulevant et pliant précautionneusement cette dernière pour révéler son fondement.

« Ooohhh… Ishtar, haaa, quel appétit, hmmm… Vas-y, encore !! »

Chengzu déglutissait, et frissonnait en sentant le cul de Vanillia. Il était très habitué au cul de Theorem, un cul qui se dilatait très facilement, et sentir cette résistance le surprenait. Il grogna donc, bandant ses muscles, et posa ses mains sur les fesses de Vanillia, appuyant dessus, avant de donner des coups de reins plus prononcés, pinçant les dents. Ses joues se mirent à rougir, tandis que tout ce stupre ambiant, toute cette aura, l’emportait. Pendant quelques instants, il n’eut pas un regard vers Theorem, et, même après, il sembla se forcer à ne pas le regarder. Cette situation lui rappelait quelques familiarités, comme la première fois qu’il avait couché avec Alice. Ils avaient couché sous les yeux de Theorem, dans le but de le rendre jaloux, de voir jusqu’à quel point sa soumission allait… Et celui-ci s’était couché. Il n’avait rien dit, subissant en silence ce spectacle.

Là, sous ses yeux, la scène était bien plus forte. C’était son lit, le lit de sa nouvelle cabine, et il était rempli par une insolente orgie à laquelle on lui refusait l’accès. Alice elle-même se détourna de lui en rejoignant Ishtar, et se lova contre elle, venant l’embrasser, quémandant ses fortes lèvres, massant son ventre avec sa main gantée, descendant ses doigts pour les poser sur la base de sa verge, de ce membre chaud et veineux, cette queue solide qui pulsait et s’épanouissait dans le corps de la vampire. Tout cela était délicieux, et Alice s’en pinça les lèvres.

Un frisson la traversa quand la queue caudale d’Ishtar glissa contre ses jambes, et remonta doucement, flattant ses jambes, glissant doucement sur sa peau. Alice l’embrassa donc, avant de sentir la queue remonter sous la robe, titillant rapidement sa délicate fleur.

« Hmmm… Oh, Maîtresse, votre fougue m’avait tant manqué… »

Chengzu, de son côté, espérait juste arriver à tenir la cadence… Car il savait que chacune de ces femmes était une terreur sexuelle à elle seule. Et, alors que sa queue s’enfonçait joyeusement dans le cul de Vanillia, et qu’il ressentait ce frisson agréable, cette pulsion d’adrénaline que le sexe procurait, que ses mains se crispaient sur ses hanches… Il la giflait sèchement, soupirant dans son dos, se délectant de ce corps parfait, de cette longue chevelure glissant le long du dos de la femme comme une rivière verte… Et, alors qu’il se prélassait, son attention fut soudain attirée par Theorem, qui se mit à réclamer… Plus d’attention.

Un léger sourire arriva à se dessiner sur les lèvres de Chengzu, pendant qu’Alice léchait le sein d’Ishtar, l’embrassant à travers le bonnet, titillant le téton en sentant le latex sur ses lèvres.

« The-Theorem, hmmm… Qu’est-ce que tu t’imaginais, exactement ? Tout ça, c’est ce que tu voulais, hmmm… Moi qui te domine, moi qui suis le Maître que tu rêvais tant… Et tu viendrais maintenant implorer ma pitié ? Hmmm… Oh, je vais te baiser, Theorem, ne t’en fais pas pour ça… Mais, pour l’heure, il serait… Haaaa… Très impoli de négliger cette femme devant moi… Si tu savais comme son cul est serré… C’est si bon, bordel… Si bon ! »

Alice se pinça alors les lèvres, et se détacha d’Ishtar, puis retourna voir Theorem. Elle se mit dans son dos, et, alors qu’on aurait pu croire qu’elle le détacherait, elle apposa sur ses lèvres un gag-ball, et tira dessus, forçant Theorem à supporter cet objet, qu’elle noua ensuite derrière sa nuque.

« Ce n’est pas très gentil, Theorem, de réclamer quelque chose… N’es-tu pas supposé être un esclave ? N’est-ce pas ce que tu voulais ? Avoir une Maîtresse et un Maître ? Et tu oses réclamer quoi que ce soit… Tu devrais te sentir honoré de les voir baiser devant toi, de tous nous voir. Alors, tu vas rester un bon esclave, et tu vas attendre que tes Maîtres s’occupent de toi ! »

Si Theorem espérait avoir un allié quelconque qui puisse s’occuper de lui, la dure réalité était en train de s’installer. Même Alice, qui était la plus douce du groupe, venait de le punir ! Il ne pouvait plus parler, et devait se contenter de subir, de subir la vue d’un spectacle long et agréable. Alice retourna ainsi près d’Ishtar, et se mordilla les lèvres en la regardant, se frottant à nouveau contre elle.

« Puis-je téter l’un de vos seins, Maîtresse ? » demanda-t-elle sur une voix mielleuse.

Theorem s'était attendu à ce que la princesse vienne le libérer pour au moins le dominer dans un coin et le soulager un peu... Mais elle n'en fit rien. Ses espoirs s'étouffèrent comme sa voix quand il sentit une boule rouge rentrer dans sa bouche. Le pauvre travelo en ouvrit en grand les yeux de surprise avant de sentir une sangle se serrer derrière sa tête. Même en poussant avec sa langue, il ne pouvait pas se libérer. A peine son méfait commis, la princesse retourna auprès d'Ishtar qui besognait le postérieur de la vampire en grognant de plaisir. L'Amirale embrassa goulûment Chengzu avant de se tourner vers la princesse en lui souriant de plus belle.

"Oh mais bien sûr ma belle !"

Elle écarta les côtés de sa robe de latex, révélant ainsi ses seins sans même se déshabiller. Elle adorait coucher en uniforme. Calmement, elle laissa ses seins nus à la portée de la princesse en soupirant d'aise. Theorem de son côté ne put voir qu'un joli rectangle noir qui l'insultait de plus belle. Pour tous les autres, le spectacle était des plus sexy. La queue reptilienne d'Ishtar remonta le long de la jambe d'Alice avant de rentrer dans sa fente intime détrempée. Elle commença à la prendre avec son appendice caudale. On pouvait deviner sans mal le filet de cyprine coulant le long de son membre jusqu'aux colliers à pics la décorant. Ishtar n'en oubliait pas Mélinda, qu'elle flattait de caresses sur son bassin en le la lâchant pas.

"Hahaha ! C'est le paradis !"

La dragonne regarda son partenaire masculin avant de caresser son dos d'une main libre, passant sur les sangles de son harnais de poitrine avant de descendre... Elle empoigna une de ses fesses sortant de son chaps ouvert avant de glisser un doigt humide dans son fondement en ricanant. Ishtar le sodomisait rarement, mais un petit doigtage ne faisait rien de mal. En plus elle pressait avec insistance sur sa prostate pour le stimuler un maximum et rendre la sodomie qu'il faisait des plus appréciables.

"Doigte-moi aussi mon beau..."

La soirée s'annonçait des plus décadentes avant qu'Ishtar n'embrasse Alice qui se faisait prendre par sa queue animale contre elle. Bien vite le lit déjà tâché par les précédents ébats entre Theorem et Vanilla fut maculé de sueur, de salive et de liquides sexuels gluants. Tout en continuant, la dragonne regarda Theorem en souriant de manière très perverse.

"Regardez-le comment il tremble... Il a bien besoin d'attention maintenant... Qui se dévoue pour mettre fin à son supplice ? Le pauvre, quand je pense qu'il va dormir dans ce lit plein de nos odeurs jusqu'au matin... Il rêvera à nous, enfermé dans ce bordel, à se faire monter par des inconnus pour quelques billets !"

Alice n’était pas venue « secourir » Theorem. Il avait déjà eu le choix auparavant de pouvoir se rebeller, et l’avait refusé. Et la jeune femme n’allait pas se mettre à dos Ishtar ! Elle téta l’un de ses massifs seins, soupirant de plaisir, rougissant en sentant ce corps musclé et puissant. Ishtar était magnifique, et elle sodomisait joyeusement Mélinda, qui soupirait longuement, heureuse de se faire prendre, et d’être à côté de sa femme.

« Hmmm… Hmmmm… !!
- Ohhh, Ishtar, hmmm… Ta queue m’a manqué, haaaa… Elle est si grosse, si massive ! Se faire défoncer par ça, c’est… C’est magique ! »

Un spectacle de toute beauté pour Theorem. Comment y résister ? Vanillia était également ravie, tandis que Chengzu, les deux mains sur son bassin, la besognait énergiquement par l’arrière. Ici, à Nachtheim, il avait appris à apprécier les sodomies, et le cul de Vanillia était magique, comme celui d’Alice… Un fondement bien ferme, et des fesses douces et chaudes, qu’il s’amusait à presser, à malaxer, tout en observant ce corps magnifique. Sa queue s’enfonçait jusqu’à la garde dans le corps de Vanillia, qui gémissait longuement sur place, des cris extatiques et ravis qui faisaient vibrer toute sa chair. Dans cette situation, quand le désir s’emparait de lui, il ne pouvait pas penser à autre chose. L’homme pensait essentiellement à enculer Vanillia, et frémit quand un doigt d’Ishtar titilla ses fesses, et s’enfonça en lui.

Chengzu grommela sur place, et pinça le cul de Vanillia, qui poussa un cri de plaisir.

« Hmmmm… Oui, le paradis, hmmm… Tu es si bonne, Vanillia !
- Et toi, hmmm… Haaaannn… Ta réputation d’homme-bélier n’est pas usurpée ! »

Mélinda appréciait aussi pleinement ce moment, la puissance d’Ishtar, l’intensité de ses coups de reins, cette grosse queue qui lui défonçait le cul… Ishtar n’avait tout simplement rien perdu de sa férocité ! Elle couchait de manière très dominatrice, en aimant s’imposer, en défonçant le corps de ses partenaires. Il était impossible d’expliquer la soumission de Theorem, son caractère brisé, sans tenir compte de ça, sans imaginer le nombre d’heures de sodomie qu’Ishtar lui avait infligé. Mélinda sentait la sueur couler le long de ses joues, et sa main se glissait contre celle de Vanillia.

De toutes les personnes sur place, Mélinda était toutefois la seule qui releva les yeux vers Theorem. Même si elle l’avait vendu, il restait son ancien esclave, et elle reniflait son sang. Elle sentait son désir, sa frustration. Même chez elle, Theorem était déjà très soumis, et les choses ne s’étaient guère améliorées depuis. Mélinda frémit quand Ishtar lui pinça les fesses, ce qui arriva lorsque Chengzu fourra un doigt dans son fondement. Ensemble, les cinq personnes étaient reliées, et Alice mouillait également sur la queue caudale d’Ishtar. Sa queue caudale remontait en elle, titillant son clitoris, et, après avoir titillé le téton d’Ishtar, Alice se hissa sur la pointe des pieds. Ses bras s’enroulèrent autour du cou d’Ishtar, et elle l’embrassa langoureusement, jouant de sa langue avec celle d’Ishtar, avant de gémir quand la grosse langue reptilienne d’Ishtar s’enfonça entre ses lèvres, remplissant goulûment sa bouche.

Les minutes défilaient donc, rythmées par le plaisir des multiples amants s’envoyant généreusement en l’air. La double sodomie était exquise, et il fallut à Chengzu de nombreuses minutes pour enfin jouir. Il se retenait, car il aurait été insultant pour de telles beautés de jouir trop vite… Et Chengzu n’oubliait pas non plus son objectif de devenir un vampire, de rejoindre le clan de Mélinda Warren, et ainsi de pouvoir s’unir pour l’éternité à Ishtar.

Ce fut d’ailleurs cette ultime idée qui le fit enfin jouir. Sa queue se relâcha dans le cul de Vanillia, et il jouit copieusement en elle, avant de se calmer progressivement, la respiration lourde et battante. Ishtar proposa ensuite de s’occuper de Theorem, et Chengzu acquiesça.

« Oui… Oui, je crois qu’il l’a bien mérité… »

C’est Mélinda qui se rendit vers lui. Vanillia s’était libérée de la queue de Chengzu, et Mélinda détacha Theorem, ainsi que son gag-ball, puis accrocha à son collier une laisse, et l’invita à rejoindre à quatre pattes le rebord du lit, tout en lui parlant à voix basse.

« Tu sais, Theorem, je ne pensais pas, en te vendant à Ishtar, que tu deviendrais encore plus soumis… Et pourtant… Tu es là, à quatre pattes, tu as vu Chengzu, ton amour d’enfance, devenir l’amoureux d’Ishtar, et toi relayé au rang de celui qui porte les chandelles… »

Elle l’amena donc aux pieds du lit, et sourit lentement.

« Alors, qui va s’occuper de toi, hum ? »

Chengzu pencha la tête sur le côté, allongé sur le lit, désignant sa queue, devenue molle après son orgasme dans le corps de Vanillia.

« Je ne peux pas te sodomiser comme tu le mérites, Theorem… Regarde comme ma queue est molle. Il va falloir que tu sois un bon petit chien, et que tu me donnes envie de te défoncer le cul… Mais je suis sûr que tu peux y arriver ! »

The Multiversity

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