« Allez Yuki, plus vite ! »
Les cinq sœurs traversent les longs couloirs du métro à toute vitesse. La raison est on ne peut plus simple : à cette heure-là, pas sûr d’en avoir un autre si elles ratent le prochain !
« Oui ouiiii… »
Yukiko suit le rythme avec peine, ayant un petit coup dans le nez. Heureusement pour elle, Saya et Iori l’aident pendant que Megumi et Shizuka prennent un peu d’avance pour s’assurer qu’il y ait encore un métro et qu’il ne parte pas sans elles.
Lorsque les trois retardataires arrivent sur le quai, le métro est déjà là : Megumi reste en plein milieu de la porte, les pressant :
« Dépêchez-vous ! »
Les filles arrivent à monter dans le métro juste avant que les portes ne menacent de fermer, ce qui rassure clairement Shizuka. Ça leur évitera de devoir se chercher un hôtel où dormir ce soir, ou un taxi assez grand pour cinq.
Les sœurs se posent là où elles le peuvent. Malgré l’heure, il y a quelques personnes dans le wagon : quelques hommes qui ont dû faire beaucoup trop d’heures supp, des jeunes femmes qui ont certainement dû faire de même, dont une dont la peau semble… grise ? Peut-être l’éclairage qui donne cette impression…
Megumi et Yukiko se retrouvent à côté de la jeune femme grise, là où Saya et Iori encadrent Yukiko tout en étant elles même encadrées d’hommes.
Et c’est donc parti pour quelques stations…
… sauf que…
En plein tunnel, le métro s’est arrêté. Une voix se fait entendre par les hauts parleurs après quelques minutes.
« Mesdames, messieurs, un câble ayant cédé… »
Petit soupir de frustration général ! Tout le monde a compris où tout ça va, et personne n’a envie de perdre son temps ici… mais visiblement, c’est hors de question de sortir sur les rails pour le moment.
« On n’a vraiment pas de chance… »
Shizuka secoue la tête en murmurant à Megumi, sans vraiment se douter de comment la situation pourrait dérailler. C’est qu’elles ont bien conscience de ne pas être totalement humaines, mais comment pourraient-elles se douter qu’une aura sexuelle émane de chacune d’entre elles ? Autant dire qu’à cinq dans un endroit clos, l’effet va vite se faire ressentir… !
Il ne faut que cinq minutes supplémentaires pour que les premières mains baladeuses viennent se poser sur Saya et Iori : les hommes posés à côté d’elles se mettent à caresser leurs cuisses, tandis que la plupart des autres passagers ont l’air de lutter contre leurs envies… pour le moment.
Les cinq sœurs traversent les longs couloirs du métro à toute vitesse. La raison est on ne peut plus simple : à cette heure-là, pas sûr d’en avoir un autre si elles ratent le prochain !
« Oui ouiiii… »
Yukiko suit le rythme avec peine, ayant un petit coup dans le nez. Heureusement pour elle, Saya et Iori l’aident pendant que Megumi et Shizuka prennent un peu d’avance pour s’assurer qu’il y ait encore un métro et qu’il ne parte pas sans elles.
Lorsque les trois retardataires arrivent sur le quai, le métro est déjà là : Megumi reste en plein milieu de la porte, les pressant :
« Dépêchez-vous ! »
Les filles arrivent à monter dans le métro juste avant que les portes ne menacent de fermer, ce qui rassure clairement Shizuka. Ça leur évitera de devoir se chercher un hôtel où dormir ce soir, ou un taxi assez grand pour cinq.
Les sœurs se posent là où elles le peuvent. Malgré l’heure, il y a quelques personnes dans le wagon : quelques hommes qui ont dû faire beaucoup trop d’heures supp, des jeunes femmes qui ont certainement dû faire de même, dont une dont la peau semble… grise ? Peut-être l’éclairage qui donne cette impression…
Megumi et Yukiko se retrouvent à côté de la jeune femme grise, là où Saya et Iori encadrent Yukiko tout en étant elles même encadrées d’hommes.
Et c’est donc parti pour quelques stations…
… sauf que…
En plein tunnel, le métro s’est arrêté. Une voix se fait entendre par les hauts parleurs après quelques minutes.
« Mesdames, messieurs, un câble ayant cédé… »
Petit soupir de frustration général ! Tout le monde a compris où tout ça va, et personne n’a envie de perdre son temps ici… mais visiblement, c’est hors de question de sortir sur les rails pour le moment.
« On n’a vraiment pas de chance… »
Shizuka secoue la tête en murmurant à Megumi, sans vraiment se douter de comment la situation pourrait dérailler. C’est qu’elles ont bien conscience de ne pas être totalement humaines, mais comment pourraient-elles se douter qu’une aura sexuelle émane de chacune d’entre elles ? Autant dire qu’à cinq dans un endroit clos, l’effet va vite se faire ressentir… !
Il ne faut que cinq minutes supplémentaires pour que les premières mains baladeuses viennent se poser sur Saya et Iori : les hommes posés à côté d’elles se mettent à caresser leurs cuisses, tandis que la plupart des autres passagers ont l’air de lutter contre leurs envies… pour le moment.