Rien ne semblait les calmer, rien ne semblait les réfréner. Bobbie et Joane étaient toutes les deux impatientes, excitées, assoiffées, laissant le plaisir les envahir toutes les deux. Elles découvraient les facultés de leurs nouveaux corps, et adoraient ça. Cet esprit libertin, cette puissance... Bobbie regardait silencieusement sa femme sucer Jessica, tout en regardant fréquemment Maya. Peu importe où elle positionnait son regard, elle ne voyait que des scènes obscènes et indécentes qui lui donnaient une furieuse envie de jouir. Devant, elle, Maya lui faisait une succulente cravate de notaire, accomplissant l’un des fantasmes latents de Bobbie. Pourquoi était-ce elle qui avait eu une verge ? Peut-être parce que, inconsciemment, entre elle et Joana, elle était la plus à même de fantasmer sur un phallus. Elle se retrouvait désormais avec cet appareil, avec une envie furieuse de l’utiliser, non seulement sur Joana, mais aussi sur tout le monde. Oui, à voir ainsi sa queue tendue disparaître entre les seins moelleux de Maya, elle ne ressentait qu’une vague infinie de plaisir, une envie de jouir, une envie d’inonder partout Maya, de la remplir longuement et joyeusement !
Joana, de son côté, se surpassait donc, non seulement parce qu’elle le pouvait, mais aussi parce qu’elle savait que sa femme la regardait, et que, somme toute, elle avait aussi envie de la stimuler. Elle voulait que Bobbie soit fière d’elle, qu’elle voit ce que sa bimbo était capable de faire. La transformation avait accru la soumission naturelle de Joana, qui ne vivait plus que pour sa femme, et qui était littéralement prête à tout pour elle. Elle voulait que Bobbie soit fière d’elle, qu’elle ne leur fasse pas honte, qu’elle soit sa digne chienne !
« Hmmmmm... !! »
Relevant fréquemment les yeux, elle observait le visage transi de désir de sa partenaire, ondulant d’avant en arrière en appui sur ses genoux. Jessica était comblée de bonheur, à tel point qu’elle ne bougeait même plus, surtout quand Joana enchaînait les gorges profondes. L’épaisse queue de sa partenaire s’engloutissait alors en elle, et elle respirait longuement par le nez, afin de se faire à ce mandrin. Joana était si consciencieuse qu’elle ne pensait même pas à se masturber, se contentant juste de sucer cette queue, utilisant ses mains pour caresser les bourses de Jessica, ou pour se crisper sur son délicieux cul, pinçant sa chair. Elle donnait des coups avec sa tête, se reculant parfois jusqu’à la pointe de sa queue, laissant sa verge couverte de salive, avant de s’enfoncer brusquement, hoquetant sur place. Autrement dit, avec sa partenaire, Joana se livrait à différentes approches, faisant durer la gorge profonde, ou optant pour de grands coups de butoir qui réveillaient Jessica, l’amenant à lui pincer fortement les cheveux. C’était une scène exquise, longue et intense.
Difficile de calmer Joana, qui faisait preuve d’une soif stupéfiante, couplée à un talent certain, comme si elle était naturellement née pour ça. C’est évidemment ce qui finit par amener Jessica à jouir. Joana ferma les yeux en sentant l’orgasme approcher, le voyant dans la manière dont Jessica sifflait, dont elle lui tenait les cheveux. Quand sa main se crispa sur sa chevelure, Joana s’avança encore, et posa ses deux mains sur le cul en sueur de sa partenaire, et recueillit avec plaisir tout son sperme, sentant sa queue tressauter dans sa bouche, ce qui ne manquait pas de la faire mouiller, humidifiant ses cuisses.
Quant à Bobbie, elle frémissait à chaque coup de langue de Maya sur la pointe de sa queue, quand sa verge ressortait de sa jouissive et moelleuse poitrine. Des petits attouchements finaux exquis qui l’approchaient également du point de rupture.
« Tu es une telle salope, Maya, c’est... Hmmm... »
Elle se pinça les lèvres, essayant de se retenir en relevant les yeux, ce qui l’amena à voir sa femme, occupée à une longue gorge profonde, le corps légèrement en retrait de Jessica, la bouche entrouverte tandis qu’elle jouissait... Et ce fut pour Bobbie le coup de trop. Sa queue explosa alors, libérant un jet de semence qui éclata entre les seins de Maya, et remonta ensuite sur son visage, éclaboussant ses lèvres, son nez, le pourtour de ses yeux, un jet blanchâtre jaillissant également dans l’air. Maya nettoya ensuite la queue de Bobbie, tout en restant avec le corps zébré de blanc, attendant la suite.
Bobbie déglutit doucement, reprenant ses esprits, et caressa les cheveux de Maya. Elle vit alors que sa femme était à quatre pattes, prête à se faire sodomiser, et la queue de Bobbie se durcit également à cette idée.
« Rejoins-les, ma chienne... Mets-toi à quatre pattes à côté de Joana... »
Maya obtempéra sans difficulté, et Bobbie la rejoignit, se glissant dans son dos, ce qui fit qu’elle se trouvait juste à côté de Jessica. Elle lui sourit d’ailleurs, avant d’aller lui voler un baiser, qui dura pendant quelques secondes, avant qu’elle ne se concentre sur Maya.
« On les encule toutes les deux ? » suggéra-t-elle alors, de manière presque rhétorique, en observant les deux chiennes impatientes devant elles, remuant leur cul en attente de se faire sodomiser.
Du bonheur à l’état brut...