Quand Peach était là, c’est que sa puissante mère, la F-Girl
Meryl, n’était jamais très loin. Meryl avait une certaine affinité avec la Terre, elle s’y rendait souvent pour administrer les différentes activités de la Fut-Corp sur ce monde. En l’occurrence, tandis que Peach accueillait les clients, Meryl, elle, se reposait dans une cave aménagée sous le
Pink Palace. La cave comprenait un système de ventilation, un ordinateur, mais aussi et surtout des caméras, dont une grosse caméra montée sur un trépied devant le grand lit en forme de cœur où Meryl, sexe à l’air, attendait. Elle portait ses traditionnels longs gants noirs et collants, un débardeur qui s’arrêtait au milieu de ses seins, et un minishort en jean bien incapable de refermer l’opulente verge qui sommeillait.
Meryl aimait bien la Terre, car elle aimait se taper des lycéennes. Sans réelle surprise, elle était une véritable prédatrice sexuelle, et Peach, son insoupçonnable Peach, un excellent rabatteur. Il sortait avec des filles ou avec des mecs pour les offrir à sa mère. Tout ce palais n’était qu’un subterfuge pour trouver des proies potentielles. Meryl y songeait donc quand son téléphone vibra, signe qu’elle avait reçu un SMS. Elle l’attrapa, et vit un MMS de Peach :
Des cibles potentielles pour toi, Maman !
Regarde ♥ !
Son adorable fils avait joint à son message la photographie prise par la caméra de sécurité au-dessus du portique d’accueil. Meryl sentit sa verge frissonner en voyant les deux femmes que Peach venait à l’instant de photographier. Elle répondit rapidement :
Elles sont appétissantes à souhait. Mets-les sur le bon circuit, mon chéri, puis tu me rejoindras ensuite.
Maman t’aime fort.
De l’autre côté, Peach se pinça les lèvres, puis envoya un SMS à un collègue, afin qu’il le remplace d’ici cinq minutes. Il suivit ensuite sur les caméras la marche des deux femmes. Elles avançaient dans une galerie rose. Il n’y avait rien de vraiment sexuel pour l’heure, le tout se voulait
kawai et mignon, inoffensif.
Elles rejoignirent finalement une
dark room, une pièce plongée dans la pénombre où il fallait avancer en s’appuyant sur les rampes. Quand elles y arrivèrent, Peach appuya sur un bouton, et l’une des rampes se retira pour une autre. Une porte verrouillée se déverrouilla également. Grâce à des caméras infrarouges, il sourit en les voyant emprunter la bonne porte.
Les deux femmes rejoignirent une autre galerie. La couleur rose kawai était remplacée par une couleur plus violette, et la porte se referma derrière elles. L’ambiance était cette fois différente, bien plus adulte. Des statues phalliques se dressaient à droite et à gauche, avec des tableaux clairement pornographiques, où on voyait des femmes en train d’orgasmer. Les multiples amantes de Meryl.
Le couloir menait à un salon au-dessus de la cave aménagée. Meryl les attendait, assise sur un canapé rose, et leur sourit en écartant ses jambes, libérant l’accès à son phallus monstrueux. Si jamais elles cherchaient à s’enfuir, le couloir se remplirait d’un gaz anesthésiant. Le plan était simple et efficace, mais on ne pouvait pas exclure que ces deux nénettes très sexy étaient venues avec un groupe.
«
Bonsoir, mes jolies. Ne paniquez pas, je ne vous veux aucun mal. Je m’appelle Meryl, je suis la gérante de ce modeste établissement. Mon cher fils, Peach, que vous avez croisé à l’entrée, m’a dit que vous étiez des clientes intéressantes. Toutes les photos que vous avez vu dans cette galerie sont des clientes comme vous qui se sont retrouvées comme vous devant moi, et qui ont eu la chance de devenir mes amantes. On peut dire que vous avez gagné le gros lot, mes trésors, mon fils a senti en vous des personnes qui pourraient être intéressées par notre concours sexuel spécial. »
Si Meryl se fiait à ses précédentes expériences, elles allaient, soit hurler, soit se figer, soit fuir… Car il fallait bien admettre que sa verge s’était joyeusement dressée maintenant qu’elle voyait ces beautés de près.