Helena avait visiblement une passion profonde pour les fessées. Karne était surprise... Mais positivement surprise. Un fin sourire se dessinait sur ses lèvres, tandis qu’elle multipliait les coups, en entendant Helena, sur un ton empreint de plaisir et de soupir, lui dire de la fesser plus fort, accompagnant cela de jurons, en se traitant volontiers de « salope ». Comment ne pas être sous le charme ? Karen s’en mordillait les lèvres, tout en devant, néanmoins, se retenir. Le sexe, en un sens, l’avait beaucoup aidé à contrôler sa force, et à pouvoir l’adapter aux humains. Avec ses fessées, elle pouvait volontiers tuer quelqu’un. Le sexe, justement, la heurtait à sa retenue, en l’amenant à devoir maîtriser sa force dans la passion. Karen avait donc appris à gérer ça... Ou peut-être que cet argument était juste une excuse pour justifier sa forte perversion ? Karen n’en savait pas grand-chose, mais elle savait qu’elle aimait beaucoup fesser Helena, et continua donc à le faire, jusqu’à ce qu’Helena finisse par atteindre la jouissance.
Un magnifique orgasme, que Karen sentit sur ses cuisses, qui s’humidifièrent en effet de la cyprine de The Huntress. La chasseuse d’hommes, luttant contre l’exploitation des femmes, était inconsciemment une soumise. Un paradoxe amusant, qui faisait volontiers sourire Karen, même si elle ne considérait pas que cela rendait Helena illégitime dans son action. Tant qu’elle était volontaire, la soumission était quelque chose de tout à fait louable. L’exploitation, ce n’était pas la soumission, c’était l’impossibilité de choisir. Or, là, Helena choisissait.
Karen n’y trouvait rien à redire, et elle esquissa même un sourire quand Helena lui proposa la suite. Elle se déplaça en effet, finissant à quatre pattes, avec un cul rougi, et lui demanda de la sodomiser. Power Girl ne put donc que sourire, et se redressa, sentant la mouille de son amante dégouliner le long de ses jambes.
« Mon mandrin, hum... Tu es vraiment une belle cochonne, Helena... »
Tout en parlant, elle massait le petit cul d’Helena, et s’amusait surtout à glisser ses pouces près de sa croupe, écartant ainsi ses fesses l’une de l’autre, dévoilant l’accès à sa porte arrière, à ce petit trou qui, effectivement, devait être bien serré. Mais Helena avait bien parlé de « son » mandrin, et Karen s’écarta donc. Elle ouvrit un placard dans un coin, et en sortit une petite boîte de cachets. Des produits expérimentaux, développés par Starr Labs, la section R&D de Starr Industries, qui se trouvait presque exclusivement sur Starr Island. Karen avait développé une sorte d’hormone de croissance inspirée des recherches uatéennes sur l’hermaphrodisme. Le concept était de reproduire les cas appelés « hermaphrodisme vrai », dans lesquels un sujet était à la fois doté d’un pénis et d’un vagin. Un phénomène naturel rarissime, sur lequel les Uatéennes avaient mené énormément de recherches. Karen avait mené ses recherches, et avait développé cette hormone.
Elle était fonctionnelle, mais, pour l’heure, elle ne l’avait pas encore énormément commercialisé, la réservant à une clientèle de luxe. C’était ce qu’elle appelait une « hormone d’hermaphrodisme ». Elle l’ouvrit donc, et avala l’une des gélules, puis ferma les yeux, et glissa sa main à hauteur de son entre-jambes, et ouvrit ce dernier à l’aide de la fermeture, révélant ainsi l’accès à son intimité, qui ruisselait de mouille. Karen laissa Helena voir, et on put entendre Power Girl gémir et soupirer, avant que la gélule ne fasse effet... Et un phallus masculin jaillit alors de son corps, pointant hors de son corps.
« Haaa... »
Power Girl soupira lentement, sentant de multiples frissons la traverser. Elle serra les poings, avant de les décrisper, et de les serrer à nouveau. Une belle queue était là, impériale et arrogante, et elle s’approcha ensuite, en soupirant lentement. On pouvait voir qu’elle avait une magnifique érection.
« Je pourrais presque t’enculer à sec, mais... Mieux vaut préparer un peu ma petite pute avant... »
Karen se mit à genoux, et entreprit alors, outre écarter à nouveau les fesses de la femme, de la lécher. Sa langue fila contre sa petite porte arrière, et, pendant un certain temps, elle vint y frotter sa bouche et son nez, parcourant ce petit trou de baisers et de léchouilles.
« Hummm... Mmhmmm... »
Qui aurait cru que lécher un cul soit aussi excitant ? Mais ce n’était pas n’importe quel cul, après tout. C’était celui d’Helena Wayne, l’Huntress, son amie et amante ! Karen le lécha donc, et, quand elle le sentit être bien humidifié, elle se redressa alors, et apposa son sexe contre cette porte, la caressant lentement.
« Tu es prête, Helena ? Prête à me sentir en toi ? Car ton corps, lui, l’est, ma chère chienne... »
Suite à cela, le doute ne fut guère permis plus longtemps. Karen inspira lentement, puis enfourna son sexe dans les fesses d’Helena, se crispant contre elle. Son membre, en effet, se heurta à l’étroitesse de ce cul, et elle dut faire une série de mouvements rapides pour forcer le passage, et ainsi parvenir à s’enfoncer progressivement en elle.
« Haaaaaaaaaaa... !! »
Ho, que c’était bon !