Oooh noon… Alma est retenue captive entre les bras musclés d’Akane et… rien. Pas un mouvement pour tenter de s’échapper. Pas un mot pour approcher de la libération. C’est même tout le contraire. Alma se laisse faire. Non, elle aide. Elle bouge comme elle peut pour que la robe de maid s’en aille au plus vite. Une pensée travers alors :
*C’est fini. Je ne suis plus leur maid. *
Mais, admettons qu’Alma soit en voiture pour la métaphore, ce serait une information sur un panneau sur le côté de la route. Déjà derrière alors qu’elle continue à rouler. Ce n’est pas un stop. Non. Alma l’a désiré. En se rebellant pour de faux. En poussant ses Maîtresses à prendre des mesures.
« Ma vengeance sera terrible quand je serai libre. Vous verrez ! »
Nouvelle provocation. Très vite étouffée par les attaques (presque) coordonnées de Liliane et Akane. Si l’ensemble de son corps est plutôt résistant, son nouveau bras tatoué l’est moins. Nouvelle peau. Zéro cicatrices. Ce n’est pas devenu du cuir naturel. Alors Alma frissonne. Mais elle se retient. Oui, elle doit se pincer les lèvres alors que les commissures de ses lèvres remontent. Mais elle résiste.
Et soudainement elle éclate de rire. Elles étaient pourtant déjà passé plusieurs fois sur cette zone. Si simple. Si exposée. La voûte de ses pieds. Allez savoir pourquoi soudainement elle rit à gorge déployée. Peut-être qu’il fallait qu’elles soient deux et qu’elles soient si concentrées à vouloir gagner cette « guerre des chatouilles ». Mais le résultat est là. Alma rit. Et peu importe où la pointe de la plume danse, elle rit. Tout son corps devient absolument sensible. Mais ce n’est pas grave. Elle est en sécurité. Elle est nue. Mais elle sait qu’elle se trouve dans une maison magique protégée par une demi déesse. Alma s’autorise pleinement à VIVRE cet instant.
« Jimmy, au secours ! JIMMY ! AH AH AH ! »
Alma n’a pas envie d’exercer une vengeance comme dit plus haut. Elle ne veut pas non plus voir Liliane et Akane habillées en soubrette. En fait, elle ne désire plus grand-chose la Alma. Terminer la soirée autour d’un repas copieux ? Toutes les trois habillées d’habits normaux, si besoin est de préciser. Oui, ça lui plairait beaucoup. Passer par la case sexe ne l’intéresse même plus. De toute façon, elle ne voie pas comment le sexe pourrait lier davantage les trois femmes que ce rire franc accumulé… depuis trop longtemps. Ne donnons pas d’unité de temps.
« Je demande à rééquilibrer le jeu ! Je suis toute seule et vous êtes deux. Ah ah ah ! »
Mais Jimmy ne se pointera peut-être pas. Après tout, pourquoi apporter son petit bagage de chaos dans ce moment parfait ? Ce petit lézard est si miséricordieux qu’il a déjà « avoué » avoir prêté son humaine adorée préférée à lui (oui, emmerdons-le un peu tout en le flattant dans le bon sens du poils. Enfin, des écailles). Tout compte fait, là où il est caché, il doit avoir un sourire. Fier de voir son humaine rire.
*C’est fini. Je ne suis plus leur maid. *
Mais, admettons qu’Alma soit en voiture pour la métaphore, ce serait une information sur un panneau sur le côté de la route. Déjà derrière alors qu’elle continue à rouler. Ce n’est pas un stop. Non. Alma l’a désiré. En se rebellant pour de faux. En poussant ses Maîtresses à prendre des mesures.
« Ma vengeance sera terrible quand je serai libre. Vous verrez ! »
Nouvelle provocation. Très vite étouffée par les attaques (presque) coordonnées de Liliane et Akane. Si l’ensemble de son corps est plutôt résistant, son nouveau bras tatoué l’est moins. Nouvelle peau. Zéro cicatrices. Ce n’est pas devenu du cuir naturel. Alors Alma frissonne. Mais elle se retient. Oui, elle doit se pincer les lèvres alors que les commissures de ses lèvres remontent. Mais elle résiste.
Et soudainement elle éclate de rire. Elles étaient pourtant déjà passé plusieurs fois sur cette zone. Si simple. Si exposée. La voûte de ses pieds. Allez savoir pourquoi soudainement elle rit à gorge déployée. Peut-être qu’il fallait qu’elles soient deux et qu’elles soient si concentrées à vouloir gagner cette « guerre des chatouilles ». Mais le résultat est là. Alma rit. Et peu importe où la pointe de la plume danse, elle rit. Tout son corps devient absolument sensible. Mais ce n’est pas grave. Elle est en sécurité. Elle est nue. Mais elle sait qu’elle se trouve dans une maison magique protégée par une demi déesse. Alma s’autorise pleinement à VIVRE cet instant.
« Jimmy, au secours ! JIMMY ! AH AH AH ! »
Alma n’a pas envie d’exercer une vengeance comme dit plus haut. Elle ne veut pas non plus voir Liliane et Akane habillées en soubrette. En fait, elle ne désire plus grand-chose la Alma. Terminer la soirée autour d’un repas copieux ? Toutes les trois habillées d’habits normaux, si besoin est de préciser. Oui, ça lui plairait beaucoup. Passer par la case sexe ne l’intéresse même plus. De toute façon, elle ne voie pas comment le sexe pourrait lier davantage les trois femmes que ce rire franc accumulé… depuis trop longtemps. Ne donnons pas d’unité de temps.
« Je demande à rééquilibrer le jeu ! Je suis toute seule et vous êtes deux. Ah ah ah ! »
Mais Jimmy ne se pointera peut-être pas. Après tout, pourquoi apporter son petit bagage de chaos dans ce moment parfait ? Ce petit lézard est si miséricordieux qu’il a déjà « avoué » avoir prêté son humaine adorée préférée à lui (oui, emmerdons-le un peu tout en le flattant dans le bon sens du poils. Enfin, des écailles). Tout compte fait, là où il est caché, il doit avoir un sourire. Fier de voir son humaine rire.