Jhorne continua à avancer, visant le cœur de la bête, mais la bête recula rapidement et se retourna, donnant un coup de queue à Jhorne, qui usa de son épée comme bouclier et encaissa l'attaque, bien qu'il fut jeter à terre à une poignet de mètre de sa position. Il se releva à temps pour voir la bête pointer sa tête vers lui, une lueur dans la gueule. Le dragon vomit un torrent de flamme, mettant sa tête presque au niveau du sol pour être sur que Jhorne ne s'avance vers son cou pour éviter les flammes. Et alors que le dragon cessa de souffler son souffle mortel, Jhorne apparue, entouré d'un halo de lumière blanche, toute les pierres brillants d'une puissante lueur bleu, déployant un bouclier pour le protéger. Il courrait et une fois au bon moment, il sauta, sa lame au dessus de lui, pointant le crane du monstre qui tarda à la relever. Jhorne perfora son crane, traversa l'os dans un horrible craquement qui put se faire entendre de loin, la lame crissant contre les écailles. Jhorne plaqua violemment la tête du monstre contre le sol avec son poids et son coup, suivit du corps qui s’affaissa, parcourue de petit spams.
-Ahaha. Un autre sur ma légende. Lâcha Jhorne, en retirant son épée dans un crissement désagréable. Ce fut...
Le sang sous pression gicla quelque seconde recouvrant le torse et le visage de Jhorne, tandis que ses cheveux s'imbibèrent de sang. Il recracha un filet de sang et rengaina son épée, et sauta de la tête, tentant d'enlever le surplus de sang.
-Un combat glorieux. Conclue t-il.
Il s'assit contre la tête, et fouilla dans sa besace, retira un petit flacon. Une étrange mélodie emplit les airs, surprenant Jhorne, qui se releva, cherchant l'origine, une main sur la poignet de son épée. Un fléche fusa de nul dans l'angle mort de Jhorne, emportant sa fiole.
-Qui va là ? Tonna Jhorne, d'une voix puissante et sûr, nullement impressionné.
« Tu es impressionnant, géant humain ! »
-Demi-géant sombre inconnue. Répondit Jhorne.
« Jadis, cette terre nous appartenait, dh’oine.
-Dh'...quoi ?
Et, tandis que ton nom et ta forteresse disparaîtront dans l’oubli et dans la poussière, les Aen Seidhe se relèveront ! »
-Kukuku... AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH !! MOI ? DISPARAITRE DANS L'OUBLIE ?
Des berserkers arrivèrent de tout part, encerclant Jhorne, qui ne fut même inquiet. Alors que les monstres se regroupèrent, Jhorne saisit son épée de deux par le cercle de métal englobant la garde et la poignet, la lame vers le sol. Une aura blanche, comme du brouillard se mit à apparaître, recouvrant la lame, les pierres s'illuminant d'un bleu intense. Et alors que des monstres sautèrent, dans les airs, leur armes grossières loin en arrière, encerclant Jhorne, près à frapper. Ce dernier leva haut son épée. Et hurla d'une voix puissante, il hurla.
-JE SUIS...
Avant d'abattre son épée, l'enfonçant profondément dans le sol.
-JHORNE LE COLOSSE DE LUMEN !
Une onde choc balaya les berserkers, brisant les armes, les armures et les os pour les plus proche, envoyant valser ces monstres comme des fétus de paille. Le sol fut ravager, des morceaux de terres soulevées sur plusieurs mètre et des pierres fragilisées, autant de projectile qui s’écrasèrent sur les berserkers. Jhorne arracha son épée du sol et se releva.
-JE SUIS LE CHAMPION DES ARMÉES DE LUMEN, LE DESTRUCTEUR DES ARMÉES D'MIJAK, LE FLÉAU DES ORCKS, LE DOMINATEUR DES OGRES, LE POURFENDEUR DE DRAGON ET DE GÉANT ! COMMENT JE POURRAIS TOMBER DANS L'OUBLIE !? AHAHAHAHAHAH !!!
Jhorne rigolait à gorge déployer alors que les berserkers encore valide lui foncèrent dessus. Et t-elle un bélier, il enfonça les rangs des monstres, les écrasants sous sa force et son poids, fessant pleuvoir les coups avec une aisance et une rapidité qu'on n'aurait pas put lui deviner au vue de sa carrure et du poids de son épée et de son armure. Les berserkers, malgré leur rage et leur hargne, ne purent stopper l’ouragan de violence qu'était Jhorne, malgré les coups que certains porter, écrasant leur poings et leur armes sur son armures, qui se réparer à chaque coups, devenant plus résistante. Il avança vers l'arbres intacte, vers ce qu'il supposait être la direction du mystérieux inconnue. Son épée s'enveloppa à nouveau du aura blanche brumeuse et les pierres brillèrent de nouveaux, mais moins intensément.
-OOORRRRRYYYYAAAAAAAAAAA !!!!!!
D'un puissant coup d'arrière gauche, Jhorne envoya comme une lame de vent découpant en deux les berserkers, les arbres et laissant un sillon dans la terre, sur plusieurs mètre. À genoux, massacrés et malmenés, les berserkers, animés par la haine et la rage, contemplèrent Jhorne, le visage impassible, le regard noir. Il ne dégageait aucune peur ni aucune crainte, son pas était sur alors qu'il continuait à chercher l'inconnue. Les berserkers ne pouvaaient ressentir l'étrange aura que dégageait Jhorne, n'ayant pas de conscience propre. Mais l'étrange individue, put ressentir une chose : la peur. La simple vue de Jhorne, implacable, n'exprimant plus que colère, massacrant les berserkers et le cherchant, provoqua en lui la peur de mourir, la peur de se retrouver seul face à lui. Quelque chose le poussa à le fuir, à en avoir peur.
On dit que la simple vue de Jhorne, à suffit à démoraliser un siège ennemie, que le voir se jeter dans la mêler à 4000 contre 2000 à pousser l'ennemie à fuir, tandis que ses alliés n’exprimaient aucune peur, seulement du courage et une confiance absolue en la victoire, suivant Jhorne sans se poser de question. Et qu'un seul crie de victoire, après avoir battue le général Érios, un générale d'Ahsnard et démon de surcroit, à repousser l'ennemie qui envahissaient Alserac.
-Tu prétend que je tomberais dans l'oublie. Lâcha Jhorne, alors qu'il broya de sa main la dernière berserker, en s'adressant à la forêt. Mais toi et les tiens feraient mieux d'y rester, avant que je décide de m'honorer du titre d'exterminateur de peuple et que là, je serais sur de rester dans l'Histoire. Continua-t-il d'une voix sombre.
-Alors. Comment se déroule mon plan ? Demanda le commandant, son armure couverte d’éclaboussure de sang, assit sur une chaise devant sa tente, une pipe en main. Oh mais pourquoi je pose la question. Tout vas comme je le prévois, vue que c'est mon plan.
-Alors pourquoi me demander mon seigneur ? Se risqua son valet, alors que l'odeur du sang émaner de la tente, suivit de râle et de gémissement d'agoni et de douleur, ainsi que des pleures et parfois un crie.
-Pour me vanter. Répliqua le seigneur. Fais quérir Durius et Zurk, j'aimerais entendre leur rapport.
-Bien mon seigneur. Et pour les prisonnières ?
-Elles chantent une merveilleuse mélodie, ne les dérangeons pas. Répondit l'homme, d'un air amuser.
-B... bien mon seigneur. Lui dit son valet, avant de partir, un peu trop vite malgré lui.
-Pffff... aucun goût.
Il attrapa un couteau dans un fourreau secret dans son armure, se retourna et le lança dans la tente. On entendit le couteau se planter dans du bois, suivit d'un crie puis d'un craquement horrible et d'un bruit mouiller, enchaînant sur un crie de douleur extrême. L'homme sourit, commençant à bander fort. Quand le valet revint avec Darius et Zork, le commandant était en compagnie d'une femme, du moins ce qu'il en restait : couverte d'écorchure, un croc de boucher dans l'abdomen et un autre dans son mollet droit et visiblement, son bras droit dans des angles improbable, ses cheveux partiellement arrachés, couverte d'hématome, de bleu et d'écorchure, un tige de métal dans l’œil gauche, et l'homme qui usa de sa tête comme d'un vulgaire objet pour se branler, frappant et cassant ses dents contre son armure, comme quand il lui était passer dessus.
-Mon... mon seigneur ? Demanda timidement le valet, luttant pour ne pas vomir.
-Dégage. Lâcha Darius en l'attrapant par l'épaule, pour l'envoyer derrière lui. Maître, tout ce passe comme vous l'avez dit.
-Je le savais déjà. Bien m...
-Sauf qu'il y a un problème.
L'homme enfonça une ultime fois la femme contre sa verge, beaucoup trop fort, brissant la mâchoire de la pauvre femme. Il la retira, contemplant le visage fracasser et la mâchoire pendante, ses tendons déchirer. Il se leva lentement, tenant par les cheveux la femme qu'il traina en se dirigeant vers Darius, la verge couverte de sang.
-Un quoi ?
-Le dragon est mort. Et beaucoup de nos Berserkers on disparue, des hommes prétendes après avoir entendue un musique avant qu'ils ne partent.
-Mais qu'es que...
Il se figea et se tourna vers Zork. Avant qu'il ne puise faire quoi que ce soit, l'homme l'attrapa par la gorge, et le souleva avec facilité.
-VOUS ESSEYEZ DE ME DOUBLER ?? Hurla l'homme, alors qu'il lâcha la femme.
-Je.... argh... il... il ya erreur... . Souffla le mage, à moitié étouffer par la poigne qui se resserrait.
-Vous me croyez dupe ? Je sais très bien que ce n'est pas de votre initiative de m'avoir fais revenir dans ce monde. Ton maître t'as ordonné de le faire ! Je suis conscient que je ne suis qu'un outil qu'il espère utiliser pour accomplir ses désirs ! C'est ma vengeance ! Jhorne, Alserac, la Reine, Lumen SONT A MOI !!! Hurla t'il en jetant le magicien. Il me croit pas assez fort ? Pas assez rusée ? IL ME SOUS ESTIME ?!?!?
Il dégaina sa lame, et s’apprêta à frapper le mage, quand Darius, stoppa son bras.
-Maître ! Nous avons besoin de lui ! Calmez vous !
L'homme lui lança un regard noir, hurla de rage et se dirigea vers sa tente.
-Pitiez non.. non ! NON !
Des craquements, des cries, la chair qu'on arrache, les os qu'on brise, les organes qu'on explose. Puis le silence, et les pas provoquant des succions. L'homme ressortit, couvert de sang et de morceau. Il semblait calmé et n'avait plus son épée. Zork se risqua à parler en premier alors qu'il se relevait.
-Soyez assurer que mon maître vous tiens en haute estime ! En aucun cas nous vous sous-estimons. Nous voulions seulement vous apportez un peu plus d'assistance. Expliqua Zork. Vous êtes le plus à même accomplir cette tache, là où d'autre ont échouer. Nous voulons mettre toute les chances de nos côtés, car cela fait longtemps que nous cherchons la tête de la Reine. Sinon, jamais nous vous aurions ramené. Votre plan des plus brillant sera sans doute le plus aboutit.
-Vous maniez bien les mots. Vous ferriez un bon diplomate. Mon plan repose sur vos talents, je me suis trop emporter. Dit-il en tapotant l'épaule de mage, laissant une trace de sang. Mais ça ne me ravie pas pour autant. Vous suivrez mes directives et mon plan ! Continua t-il d'une voix sombre. Prévenez vos alliées que je ne tolérerais pas une autre intervention sans MON consentement. Il se retourna et dirigea vers sa tente. Il ne reste plus que le moment crucial. D'ici là, nous avons d'autre préparatif. Darius, prépare les prisonniers et les cadavres.
Maxime parvint à retrouver la Reine. Il alla à son niveau et s'agenouilla, tirant sur ses blessures.
-Comment vous portez vous ? S'enquit Maxime. Avez vous besoin de quelque chose ? Je vous prie de pardonnez mon incompétence. J'aurais du être plus vigilant pour votre sortie. Enchaîna t-il.
Il resta ainsi quelque seconde, avant de devoir se relever, ses blessures menaçant de se rouvrir. Bien qu'il resta impassible concernant son état, le tremblement de ses lèvres ne purent cacher la douleur qu'il ressentait avec ce mouvement.
-Suite à ces événements, je ne peux vous permettre de ressortir, tant qu'il y aura un risque d'embuscade. Nous devons maintenir le calendrier, mais repousser votre départ, le temps que nous organisons votre évacuation avec le reste de la ligne de défense. Exposa Maxime. L'ennemie était visiblement au courant de notre emploie du temps, un espion doit être parmi nous. Nous ne pouvons pas prendre le risque de sortir. L’ennemie regroupe sans doute ses forces pour s'en prendre à votre convoie, dans l'optique que vous partez dans la journée ou dans les jours à venir ou ils attendent des renforts pour un siège si ils savent que vous ne sortirais pas. Expliqua Maxime. La deuxième options est la plus avantageuse pour nous, aucun siège n'a réussit à atteindre la forteresse ou à faire tomber les murs d'Alserac et nos renforts arriveront en peu de temps. Si ils attendent que vous sortiez, nos alliées arriveront en masse, j'ai fais passer le message afin de regrouper une force armée pour vous escorter en terre sur.
Maxime finit sa tirade, laissant la Reine assimiler de ce qu'il venait de dire et attendit ses réactions.