The Multiversity

Aussi riche, belle et femme active soit la belle Poison, lorsqu'elle avait du temps de libre, elle avait un objectif plus personnel à réaliser. Un détail pour certains, une raison de vivre pour d'autres, pour l'actrice, c'était trouver une réponse à cette question. Sa mère, elle savait qui c'était, Katherine Gold, une prostituée comme bien des femmes à Uatis dans les petits quartiers, le genre basique, rien de spécial en apparence, une femme parmi tant d'autres. Elle ne connaît rien de cette femme si ce n'est son métier et le fait qu'elle soit morte juste avant de lui donner naissance, Poison était une miraculée. Une miraculée qui bien que commençant sa vie sans famille, avait un beau pactole mis de côté pour sa majorité. Comment une simple prostituée avait une telle somme ? Si encore c'était une escorte girl, peut-être en ayant économisé mais non, de ce qu'elle avait trouvé comme détail, elle vivait dans un petit appartement tout juste vivable et peu de temps avant sa naissance, elle comptait déménager dans un endroit moins glauque. Alors, d'où venait cet argent et surtout, qui était son père ? Ce potentiel donateur a l'ADN non répertorié.

Il existe deux possibilités pour cela, soit son père n'a commis aucun crime et donc n'a pas de trace ADN dans la base de donné de Uatis, soit il a donné une forte somme d'argent pour une raison inconnue afin de disparaître de la surface. Pour ne pas payer un quelconque dédommagement envers sa potentielle maîtresse et sa fille cachée ? Depuis le temps, Poison avait eu le temps d'imaginer tout cela, de faire ses recherches légales et moins légales en apprenant certaines méthodes pour se cacher en versant quelques pots-de-vin. Depuis quelques-temps déjà, elle faisait ses recherches, cherchant donc les personnes les plus riches de cette ville pour voir si un quelconque test ADN pouvait déceler le coupable ? Après tout, la mort de sa mère peu de temps avant sa naissance, ça restait louche pour elle... Coup du destin ou coup monté, elle voulait en avoir le cœur net. Si certaines personnes sans cadavre dans le placard se laissaient facilement prêter au jeu sans penser à mal car ils ont la conscience tranquille, pour certains, c'était une autre histoire.

Menace, insulte, tout y passait mais la demoiselle n'était pas bien musclée, elle avait plus de couilles que la plupart de ces personnes en les retranchant dans leur coin pour obtenir ce qu'elle voulait. Mais jusque-là, le test était négatif. Pour ce faire au plus vite et sans tout balancer, elle usait d'un appareil en phase de test, une goutte de sang sur un côté de l'appareil, l'autre personne en fait de même et le résultat s'affiche en quelques minutes. La machine n'était pas fiable à cent pour cent mais leurs créateurs assuraient que cela l'était à quatre-vingt-dix pour cent. Elle ne va pas chipoter pour si peu, si un test est positif, il suffit de faire ça ensuite dans un vrai laboratoire pour être fixé. Et aujourd'hui, elle avait rendez-vous avec une femme de forte influence. Minute ? Elle cherche son père, pourquoi allez voir cette femme ? Miranda Forge. Son nom évoque déjà une réponse à la question, cette femme aussi influente que riche est autant connue pour ses recherches que ses dérapages en pleine rue, faisant l'amour à certaines femmes par envie, parfois aux yeux de tous en échange d'un chèque avec assez de zéro pour rester bouche cousue devant cet acte.

Il est vrai qu'elle ne sait pas si cette femme est futa ou shemale et quand bien même ce serait le cas, le risque de mettre quelqu'un enceinte est très mince. On a plus de chances de gagner deux fois de suite au loto – le jackpot évidemment – que voir cela arrivé mais Poison ne reculait devant aucune possibilité. Avec le temps, elle trouvera bien ? Si ça se trouve, son concepteur n'était pas de Uatis mais comment savoir ? Pour le moment, elle ne menait pas de recherche planétaire mais juste dans la ville où elle a grandi. Arrivant donc à son rendez-vous avec Miranda Forge, elle ne comptait pas venir juste pour ça, il était question officiellement d'autre chose. Utiliser les locaux pour un futur tournage, donc voir si cela est possible ainsi que les conditions en cas de validation du contrat. Mais avant ou après, elle comptait bien lui faire faire ce petit test afin d'en avoir le cœur net. D'une pierre, deux coups. Bien que ce soit un rendez-vous important, Poison n'a pas pour autant changé de look en s’habillant avec un tailleur ou autres, elle tient à son image, casquette sur la tête, petit t-shirt, mini-short, cravache à la ceinture, elle tient à son image de marque.

La jolie jeune femme attendait dans une salle d'attente, ignorant les magazines ou spot publicitaire, elle se contentait de répondre à ses fans sur les réseaux sociaux. Poison est une star à Uatis, qu'on ait vu ses films ou non, ses dernières années, elle était partout alors petit ou grand, tout le monde connaît Poison, peut-être pas en citant les mêmes raisons... Certaines personnes pouvaient ne pas la connaître, Sharlie était bien le bel exemple... Bref, elle attendait, jambe croisé, elle savait rester patiente, ce n'est pas comme si elle avait d'autres rendez-vous, elle avait le reste de la journée de libre, en cette fin d'après-midi, elle comptait bien obtenir son futur lieu de tournage mais aussi barrer un nom de sa liste. Comme elle s'y attendait, sa venue fut discrète ou non, elle devait signer quelques autographes et faire quelques selfies avec ses fans qui se pressaient de poster ça partout sur le net. Haa ses fans, que serait-elle sans eux et sans elles ? Bref, au moins elle s'occupait en attendant en refusant les quelques propositions salaces car après tout, elle ne venait pas ici en touriste, elle était attendue.

Pouvait-on cacher des choses à Miranda Forge ? La richissime PDG, qui dirigeait l’une des principales mégacorporations de Uatis, GeoWeapon Corp., qui disposait d’une propre station spatiale dominant Terra, comme une incroyable allégorie narcissique, avait des informateurs partout. Les crédits et les fonds de sa firme, par le biais du système financier très complexe de Uatis, se retrouvaient dans un très grand nombre de domaines, bien au-delà du domaine de prédilection de GWC, à savoir l’armement militaire. C’était ainsi que Miranda avait entendu parler de Poison, et avait finalement appris le secret la concernant. Un secret très hautement classifié, mais qui avait troublé Miranda.

La PDG était, et c’était bien connu, une amante terrifiante. Elle couchait régulièrement, vivant dans le stupre et la luxure, et sa firme toute entière reposait sur les rapports sexuels et sur la promotion-canapé, les sodomies de Miranda sur ses employées étant vues comme une rémunération infiniment plus jouissive que le salaire. GWC s’implantait dans le domaine de la pornographie depuis des années, et c’était à ce titre que la firme avait racheté plusieurs studios, et avait participé au lancement de plusieurs films pornographiques impliquant la célèbre star du pornographie, Shirley Gold, plus connue sous le nom de Poison. Avec les fonds de GWC, Poison avait participé à une dizaine de films, mais elle avait subi différents tests et examens médicaux, généralement à chaque début de tournage, pour s’assurer que tout allait bien.

C’est de cette manière que les données biométriques concernant son sang étaient passées dans le serveur central de GeoWeapon Corp., et avaient été décryptées par les EVA, terme désignant les intelligences centrales au sein de GWC. Les EVA avaient ainsi repéré la particularité de ce sang, et avaient archivé les données, en suivant la procédure prévue en la matière, consistant à les transmettre prioritairement à Miranda.

De cette manière, Miranda avait appris que, outre Kara, sa fille légitime, elle avait une fille naturelle... Poison. Une nouvelle qui l’avait surprise, sans être exceptionnelle. Du moins, Miranda n’était pas la première à avoir des bâtardes, c’était même une sorte de tradition au sein des Forge. Toutes les Forge avaient été de terribles perverses, et il était inévitable que ces femmes finissent par avoir des enfants bâtards. Ce n’était pas pour autant qu’ils pouvaient automatiquement prétendre à l’héritage de GWC, qui était dévolu à la Forge choisie par les soins de la Matriarche, mais les héritiers illégitimes pouvaient néanmoins prétendre à de belles rentes.

*Néanmoins, il faut que je règle ça au plus vite...*

Qui sait combien de petites bâtardes existaient encore ? Miranda essayait toujours de tout contrôler, mais il y avait toujours une ou deux amantes qui arrivaient à lui échapper. C’était principalement pour ça qu’elle avait invité Poison à un rendez-vous dans un salon, dans ses appartements privés, au sommet de la GeoTower.

Un ascenseur privé la conduisit à l’entrée de ses appartements, où elle fut accueillie, dans un superbe vestibule, par une hôtesse, répondant au doux nom de Dorothée.

« Bonjour, Madame Poison. Veuillez me suivre, je vous prie, Madame Forge va vous recevoir dans les meilleurs délais. »

Dorothée parlait d’une voix douce et sensuelle, sa culotte ressortant de tenues très moulantes, et, quand elle se retourna, si Poison regardait ses fesses, elle pourrait voir que cette dernière avait un plug anal enfoncé en elle. Elles avancèrent le long d’un couloir, jusqu’à atteindre une porte, que Dorothée ouvrit pour la femme.

« Je vous en prie, installez-vous. Si vous désirez vous détendre en ma compagnie le temps que Madame Forge arrive, sachez que je suis libre d’usage. »

La jeune femme avoua ça en rougissant légèrement et en baissant les yeux.

C’était le premier test pour Poison.

Si elle restait calme, d’ici une ou deux minutes, Miranda viendrait la chercher, et la conduirait dans un bureau, où elle était en compagnie de deux autres femmes : Molly et Candy.

Dans le cas contraire, et si elle choisissait de profiter des talents de Dorothée... Miranda n’aurait qu’à l’observer par les discrètes caméras de sécurité installées dans le petit salon où on l’avait posé.

Et puis, on avait dit à Poison que c’était un entretien d’embauche en vue d’un prochain film. Elle avait donc intérêt à rapidement se montrer à la hauteur de sa réputation...

Poison n'avait pas idée que son plan était déjà découvert, de même que les réponses à ses questions – du moins la plus importante – se trouvaient ici. Pour elle, c'était avant tout une question de travail et ensuite, d'un plan plus personnel. Bien des fois elle avait travaillé plus ou moins avec Miranda Forge ou du moins, ses employés. La santé était important et dans son métier, c'est encore plus le cas, vu que bon nombre de maladie peuvent circuler. Sur le plan sexuel comme plus personnelle. Combien de star plus ou moins connues ont recours à différentes drogues pour s'amuser ? Poison aussi en a déjà essayé dans sa jeunesse mais elle a vite arrêté cette merde. Faisant son job de star avec quelques invitées, elle fut prise en charge par une charmante jeune femme qui devait la faire monter plus haut. Hum, sa patronne aimait donc être vraiment au spùùey de cette pyramide hein ?

« Oublie le mademoiselle, puis tutoie-moi. Je suis plus à l'aise au naturel qu'en faisant ce genre de choses... »

Les mademoiselles et compagnie, c’était bon quand on voulait graisser la patte de quelqu'un de plus haut percher, là, elle n'en avait pas besoin. Non seulement cette femme n'était qu'une assistante et de plus, Poison vient demander l'autorisation d'user de certaines pièces ici, ce n'est pas comme si c'était capital pour sa vie, si c'est non, elle se débrouillera pour rendre cela réaliste en tournant cela ailleurs, point final. Mais la demoiselle se fit plus entreprenante, prête à s'offrir pour rendre son attente moins longue ? Comme c'est charmant.

« Tu sais que tu es adorable quand tu rougis comme ça ? J'aime les femmes qui me fonce dans le tas mais une petite timide a toujours son charme ma chérie. Laisse-moi remplacer ton jouet, tu veux ? Si tu as ça dans le cul, c'est que tu préfères l'anal au vaginal. Y a pas de mal à ça, tous les trous sont bons à prendre, c'est dans la nature. »

Oui enfin, ce qui est humainement possible, jamais elle n'aurait l'idée de tenter d'enfoncer sa queue dans une narine ou une oreille... ça n'avait rien d'excitant à part peut-être pour de très rares fétichistes ? Sans demander son reste, elle se rapprocha pour venir l'embrasser doucement, une main dans son dos pour la maintenir contre elle pendant qu'elle visitait sa petite bouche, la seconde pour titiller son petit jouet qui allait bientôt quitter cet endroit.

« Dis-moi chérie, c'est moi qui t'intimide ou bien tu n'en as pas envie ? Tu sais, je ne le prendrais pas mal si tu ne veux pas... je fourrais ma queue ailleurs, voilà tout. »

Poison était le genre de femme franche déjà, mais elle n'en était pas une violeuse pour autant. Faire la pute comme elle l'a fait en étant virée de l'orphelinat, ce fut un choix, le dernier recours pour avoir un peu d'argent dans la rue mais jamais on ne là violer, de même qu'elle n'a jamais forcé quelqu'un. Oui ou non, c'est tout. Heureusement, cela n'avait rien d'une pression de la direction ou autres, cette petite chérie voulait s'amuser. Écartant sa tenue, elle tira le plug assez pour le laisser tomber par terre avant de lui montrer sa main, pendant que la seconde ouvrait la braguette de son mini-jeans.

« Crache dedans, chérie. Ta beau avoir le cul dilaté, faut que j'arrose un peu ma queue avant de te l'enfoncer. »

Avec sa salive sur sa main... ce serait comme une fellation indirecte ? Bah, la vraie peut aussi arrivé un peu plus tard. Gardant un long sourire pervers, elle se masturba un peu le temps de réveiller son engin prêt à jouer avec ce nouveau petit cul. Elle la retourna doucement en se collant dans son dos, sa bouche venant près de son oreille.

« Les autres n'ont eu le droit qu'à un petit coup de crayon ou une photo... laisse-moi t'offrir un meilleur souvenir que ça. »

Poison était une shemale qui était un peu au-dessus de la moyenne, tant pour la taille de sa queue que ses bourses. Certes, cela ne faisait pas la taille de son bras comme une certaine géante mais sachant que tout cela est naturel à cent pour cent, c'est bien joué ! Merci la nature ! Cramponner à ses hanches, elle lui lécha l'oreille doucement avant de s'enfoncer en douceur entre ses petites fesses. Il faut dire que sa tenue de travail était sublime.

« Huuum joli cul... Et cette tenue... hum votre boss doit adorer... vous baiser... A moins que tu sois, hum, la seule à avoir droit à, u-une aussi belle tenue. »

Poison ne jouait pas contre la montre, elle la sodomisait doucement pour le moment, laissant son visage près du sien pour regarder ses réactions et mieux entendre sa petite voix quand elle lui procurait du plaisir. La jeune femme n'avait pas besoin d'être timide ou impressionnée, Poison est une star mais une star très naturelle et surtout proche de ses fans... parfois très proches. Ses hanches continuaient de grimper le long de son corps pour venir palper sa poitrine, là aussi il y avait de quoi joué avec elle. Reste à savoir si elle a le temps de tirer un coup ou de s'amuser un peu. Quoi que connaissant la boss de cet endroit, Poison a intérêt à garder de l'énergie pour elle. Manquerait plus qu'elle demande une séance torride tirée de ses meilleurs films, Poison va avoir du pain sur la planche ! Mais depuis le nombre de fois ou elle fut en relation avec cet endroit, Miranda Forge aurait eu Poison dans son lit bien plus tôt que ça.

Miranda se pinça doucement les lèvres devant ce spectacle. Comme elle s’y attendait, ou, plutôt, comme elle l’avait espéré, Poison avait choisi d’accepter l’invitation de Dorothée, et se glissa rapidement dans son dos, faisant doucement couiner cette dernière, qui rougit encore en se mordillant les lèvres. Quand Poison se glissa dans son dos, la jeune esclave soupirait de plaisir, remuant un peu, avant de sentir la main de la femme retirer son plug, une autre main se glissant vers sa bouche. Elle lui ordonna de cracher dans la paume de sa main, et Dorothée se concentra... Puis s’exécuta.

« Voi... Voilà. Et... Ne te méprends pas, j’ai... J’ai très envie de toi, Poison... En fait... Je suis une de tes fans, j’ai vu tous tes films. »

Elle n’était pas la seule. Quand Miranda avait appris que c’était sa fille, elle avait commandé l’intégralité de sa filmographie, et avait défoncé bien des culs en regardant ces films. Sa fille était indéniablement très douée, se dévouant corps et âme à sa tâche, et à ses prestations. Dans sa tenue très courte, elle tira un peu sur la culotte de Dorothée, approchant sa verge de son cul, et rentra en elle, faisant délicieusement gémir Dorothée, qui crispa ses mains contre le mur, écartant ses jambes, poussant de magnifiques gémissements et couinements.

Dorothée soupirait de plaisir, en sentant la joyeuse et grosse queue de Poison remuer. Elle savait que c’était une belle queue, pour l’avoir déjà vu, et elle se pinçait les lèvres en la ressentant, son corps se couvrant de plaques rouges, sous l’effet de la sueur, sa tenue crissant contre son corps, au fur et à mesure que, tout doucement, Poison remuait en elle.

« Oui, elle est vraiment douée... » souriait Miranda.

Dorothée, docile, couinait et soupirait, et entreprit de lui répondre :

« N-Non, nous... Nous sommes les domestiques per... Personnelles de... De Maîtresse F-Forge... Haaaa... Triées... Triées sur le volet, hmm... Nous avons toutes de nombreuses tenues, dont... Hmmm... Cette te-tenue de travail-haaaa... !! »

Pour Dorothée, c’était une tenue normale, ce qui, indéniablement, en disait très long sur les pratiques sexuelles de Miranda Forge.

« Ouuuiii... Haaa... Baise-moi, Poison, hmmm... Plus fort, haaaa... !! »

Les esclaves de luxe de Miranda étaient toutes de grandes perverses

C’était indispensable, pour travailler si près de Miranda.

Pour Poison c'était toujours une joie de rencontrer ses fans, toujours une joie de les baiser aussi. Que ce soit une femme ou un homme, c'était toujours une chose très agréable d'être haut perché dans l'estime de la personne qu'elle se faisait. De plus elle n'avait rien de désagréable cette fille, au contraire, c'était très bien comme ça. L'actrice se collait contre elle, sa queue en elle, elle caressait doucement son corps en remuant doucement. Ce n'était pas vraiment dans ses habitudes dans ses films mais à la différence de ses films, elle aime en savoir un peu sur la personne qu'elle se fait donc elle ne devait pas aller trop vite si elle voulait pouvoir en savoir plus sur elle.

« Huum c'est intéressant tout ça... ouiii, si je voudrais te baiser... dans une tenue d'infirmière... je pourrais alors ? Huuuum ? »

Naturellement mais aussi tentant soit cette petite chose, Poison avait un plus gros poisson à sortir avec son gros appât. Ce n'était pas en envoyant ses petites copines que Miranda allait pouvoir souffler un peu plus de son traitement spécial Poison ! Si aujourd'hui, elle tiens à voir Poison alors que d'habitude, une de ces conseillères s'en chargeait, ce n'était pas pour rien. Mais puisque sa petite chose voulait aller dans ce sens, autant aller dans ce sens, ça l'arrangeait après tout.

« Très bien ma chère... Alors serre bien les dents car tu vas la sentir ma queue ! »

Bien accrochée à ses hanches, la star venait enchaîner à grands coups de butoir les vas et viens en faisant claquer son bassin contre ses fesses en faisant claquer cela avec le plus grand des plaisirs. Ainsi elle laissait la douceur de côté, se concentrant uniquement sur le plaisir sauvage à partager avec la belle Dorothée. La star était en tarin de littéralement la prendre contre le mur, ses mains venaient se poser sur les siennes, écartant son visage et son corps contre le mur. Cela pourrait presque ressembler à un viol sauvage... sauf que sa victime est consentante.

« C'est çaaaaa ma saloooope ! Vas-y couiiiiiine bien fort !!! Montre à ta... Maîtresse que c'est MOI qui te baise bien fort !!!! Allez !!! »

Poison n'y allait pas par quatre chemins en lui prenant le cul, plus elle s'aventurait en elle, plus elle la faisait couiner de plaisir, répondant à l'un de ses nombreux fantasmes avec Poison sûrement. Pour sa petite liste, elle verra une autre fois, elle avait plus urgent sur le feu après tout. Quand vint son ultime coup de rein, elle déversa sa crème en elle, savourant chaque giclée expulsée. Mais face à ce plaisir, il était temps de signer son autographe personnalisé ! Elle retira dans la poche de sa tenue son portable qu'elle manipulait sans gêne, sortant de son short un feutre noir avant d'abaisser le bas de la tenue de la jolie servante, écrivant dessus un autographe de star.

« Voilà ma chérie. Un petit selfie pour que tu crânes et le tour est joué ! »

Poison tendait le portable pour se photographier en train d'embrasser sa fesse avant de se redresser sans lui rendre le portable, détenant un otage entre les mains. Avec un grand sourire, elle la regardait dans les yeux, agitant doucement le portable à côté.

« Tu ne vas pas me laisser voir ta patronne comme ça quand même ? Nettoie ma bite ma chérie, après, je te montre le plus beau clichée de toute ta vie. »

Elle ne demandait pas vraiment une fellation, juste nettoyer sa queue avec sa bouche pour ne pas laisser le sperme tâcher son mini-short. Une fois cela terminé – elle l'avait laissé faire le grand ménage une bonne minute quand même – elle lui montrait sa photo, voyant ses propres fesses taguer d'un « Poison a baisé ce petit cul ~♥ » avec la star qui embrassait sa fesse où un très petit filet blanc commençait à couler de son petit trou. Poison attachait sa ceinture même s'il était possible qu'elle se mette vite à nu ensuite.

« Ne me remercie pas, trésor, c'est tout naturel. Allez, amène-moi à ta Maîtresse qu'on parle affaires ensemble. »

Elles vont bavarder boulot et vie privée, juste un peu, peut-être...

« HAAAAAAAAAA... HHNNNNNNNNNNN... !! »

Elles y étaient finalement arrivées. La totale. Un petit quickie sans ombrages dans la salle d’attente, pendant que Miranda, tout sourire, s’en mettait plein les yeux. Quelle force, quelle énergie, quelle vitalité ! Ahlàlà, elle était effectivement bel et bien sa fille. Continuant à sourire, Miranda la regardait faire, remuant un peu sur son siège, de gauche à droite, tout en continuant à voir al femme enfiler sa queue dans le petit cul de Dorothée. Sa servante prenait son pied à se faire prendre comme ça, s’appuyant contre le mur, hurlant et couinant de plaisir. Non, Poison y allait franchement, sans chercher à la ménager, et, quand la femme jouit dans le petit cul de Dorothée, Miranda réalisa que son intimité était en train de chauffer, et que ses deux autres esclaves avaient les joues rouges.

Souriant lentement, Miranda se mordilla doucement un doigt, avant de voir Poison parachever son œuvre en écrivant au feutre noir sur l’une des fesses de Dorothée. La douce esclave était bien heureuse d’avoir renié à sa liberté pour devenir une esclave de Miranda Forge. Qu’on se le dise ou non, la liberté ne signifiait rien si on avait la chance de servir la plus puissante femme de Uatis, car c’était bien ainsi que les esclaves de Miranda voyaient leur Maîtresse. Poison lui fit un selfie très érotique, et Dorothée rougit encore.

« Ce... Merci beaucoup, Madame... Pour ce cadeau, et... Pour m’avoir bien pris le cul... »

Une telle séance était une bonne introduction à ce qui allait se passer pendant cet entretien d’embauche.

« Elle est douée, hein ? demanda Miranda à ses esclaves.
- Oui... acquiesça Molly.
- Dorothée a bien de la chance...
- Oh, rassurez-vous, vous y passerez toutes les deux aussi. »

Pendant ce temps, Dorothée lécha un peu sa queue, nettoyant tout le foutre qui s’y trouvait, puis se redressa, et lui sourit, avant d’embrasser leur invitée sur la bouche. De la main, elle continuait à doucement masturber sa queue.

« Tu... Tu n’es pas obligée de ranger ta queue, tu sais, Poison... Laisse+là comme ça, ça te va bien. Par contre... J’aurais un petit service à te demander. »

Dorothée aussi s’avérait être très joueuse, et récupéra son plug anal.

« Remets-loi bien dans le cul... Je me sens vide quand je ne sens pas quelque chose entre mes fesses... »

Poison dut s’effectuer, et Dorothée se mordilla tendrement les lèvres, puis lui fit ensuite signe de la suivre, en remettant bien proprement ses affaires. Elle sentait encore un peu du foutre de Poison dans son corps, et se pinça encore les lèvres, puis s’approcha d’une porte menant à la salle de réunion, et l’ouvrit.

La salle de réunion était aussi grand qu’un vaste studio, avec des baies vitrées donnant sur la ville. Il y avait une grande table au centre, et, au fond, plusieurs canapés. Miranda était là, assise, avec Molly et Candy à droite et à gauche d’elle. Miranda se releva vite, décroisant ses longues jambes, et s’avança vers Poison, l’embrassant sur les lèvres, serrant son corps contre le sien.

« Hmmm... Permets-moi de te souhaiter la bienvenue, Poison... Je dois admettre que tu es à la hauteur de ta réputation, ma chérie. »

Dire que cette femme était sa fille... Une bâtarde, certes, mais sa fille malgré tout. C’était à peine croyable ! Miranda, après l’avoir embrassé, frotta un peu son bassin contre sa queue, puis se déplaça ensuite.

« Pour qu’il n’y ait aucun problème, sache que Molly et Candy sont aussi libres d’usage que Dorothée. »
Miranda choisit de s’asseoir, non pas autour de la table, mais sur l’un des confortables fauteuils.

« Assieds-toi en face de moi, nous serons plus à l’aise pour discuter. Je suis très curieuse en ce qui te concerne, Poison. Tu es une femme très exceptionnelle, ma petite beauté. Fais comme si tu étais chez toi ici, surtout. »

Ha cette Dorothée, quelle gentille petite poupée docile. Poison ne regrettait aps de lui avoir offert ce petit moment avant de passer voir Miranda. La seule remarque qu'elle lui ai faite fut de la tutoyer, c'est tout. Poison était simple, elle ne vouvoyait jamais sauf en soirée face à de grandes personnes, peut-être en fera-t-elle autant avec Miranda. L'actrice suivi le conseil de la jeune femme en laissant sa queue à l'air libre, elle ferma juste le dernier bouton de son mini-short afin que celui-ci ne glisse pas de ses hanches. Elle se fit plaisant en enfonçant le plug anal à sa place, entre ses petites fesses crémeuses.

« Petite salope va ! Tu devrais pas faire ça aussi souvent, un cul étroit est un cul plus délicieux à prendre tu sais ? »

Qu'on nous facilite la traverser, c'est gentil mais y être bien serré c'était bien mieux, ça, c'est évident. Suivant la jeune femme, elle arriva dans le bureau ou la salle de réunion de la patronne, elle ne savait pas trop ? Mais voilà, elle fit deux demoiselles aussi charmante que Dorothée – Poison avait un faible pour la blonde – ainsi que Miranda que l'on ne présentait plus. Que ce soit à la une des magazines sérieux ou des magazines people à cause d'un nouveau caprice de la patronne, on la voyait aussi souvent que Poison partout où elle passait. La seule différence entre elles, c'est que Poison se fait connaître sans histoire de cul. Ça, c'est pour le boulot. Elle ne s'attendait pas à un baiser en guise de bienvenue mais au moins elle posait les cartes sur la table.

« Merci mais je serais tenté d'en dire autant que vous. Enfin, je peux vous tutoyer ? Je suis plus à l'aise comme ça. »

Miranda précisa l'utilité des deux charmantes copines de Dorothée qui vont avoir de quoi s'occuper, peut-être pas comme Dorothée mais elles doivent aussi parler entre professionnels avant toute chose. S’installant sur le canapé, près des deux filles, elle les observait avec un grand sourire, puisqu'elle était libre d'agir comme chez elle.

« Il serait dommage de faire des jalouses. Vous êtes trois et j'ai trois parties qui me démangent alors les filles, faites vous plaisir ! Moi, j'ai affaire avec votre patronne. »

Dorothée, Molly et Candy allaient se partager son attirail, une partie chacune ou toutes sur son manche, peu importe.

« Merci pour les compliments mais je travaille dur pour ça mais quand on aime son boulot, c'est tout de suite plus simple de se donner à fond. »

Elle caressa avec ses mains les deux des deux nouvelles cochonnes, gémissant faiblement en les laissant se régaler, elles avaient le droit à leur petite friandise pour être aussi belle et dévouée envers Miranda.

« Mais pour aller droit au but, j'aimerais emprunter les locaux, ici. Peut-être pas cette pièce mais certaines, plus spécifiques afin de tourner mon prochain film. Je dis qu'un tournage sur les vrais lieux, ça rend le film meilleur qu'un décor merdique fait dans un coin d'une pièce... Hum,... Évidemment, pas question de montrer des choses secrètes qui se passeraient ici mais pour plus de réalisme, j'aurais besoin de certaines tenues officielles, tout comme le fait de ne pas toucher à certaines salles. Laisser le bordel scientifique traîner peut être amusant. »

Peu importe l'endroit où elle tournait, c'était toujours bien plus prenant de voir un véritable endroit, pas un faux décor. Et pour le moment, les seuls à avoir dit non, c'est l'armée. Facile de trouver des soldates prête à prêter leur uniforme mais tourner au sein même de la base, ça, c'est moins facile.

« Bien sur si c'est non, tant pis, je me débrouillerais mais si c'est oui, ça pourrait toujours faire un bon coup de pub. Même si votre boîte en as pas besoin, c'est toujours plus rassurant de voir le nombre de bénéfice augmenter. Houph... J'ajouterais pour finir deux, trois petites choses... La première est que, si tu es d'accord et s'il y a des volontaires, on pourrait toujours trouver une petite scène pour caser trois petites cochonnes comme elles ! Ou d'autres, han. Deuxièmement, il n'y a aucun souci à voir Miranda Forge faire un caméo ou avoir sa propre scène. Et pour finir, je ne sais pas encore si je me contente de mener le film à la baguette ou si je tournerais dedans mais une scène bonus à deux, pour nos fans communs, ce serait génial. Si c'est une question d'argent, vous pourrez avoir votre petite part pour la participation, reste à savoir si ce sera sur le film ou les ventes une fois la projection en salle finie ? »

Peut-être qu'Aemi serait ok pour tourner dans le film, même en simple figuration ? Dommage qu'elle ne l'a pas croisé ici pour venir embrasser sa petite fan mais c'était grand. De plus, elle n'allait pas l'embêter, Poison avait plus urgent à faire pour le moment.

Poison avait très rapidement pris ses aises ici, confirmant encore une fois que le sang des Forge coulait dans ses veines. C’était un sang qui vous poussait à l’action, qui vous amenait à vous imposer, sans vergogne. C’est à ça qu’on reconnaissait, entre autres choses, une Forge. Et Shirley, indéniablement, en était une. La sulfureuse actrice vit rapidement les deux autres esclaves de Miranda, et, s’installant au milieu d’un confortable canapé rembourré, les invita toutes les trois à venir, en écartant les jambes. En un sens, Shirley n’avait pas eu tort en disant à Dorothée, tantôt, qu’il était plus agréable de prendre des culs serrés. Cependant, les plugs anaux que ces filles portaient, s’ils avaient certes pour fonction de dilater un eu leurs fondements, servaient surtout à toujours les préparer, permettant ainsi de rapidement les sodomiser. Ils n’étaient pas trop gros, et permettaient ainsi de sentir ce corps serré. Miranda, autrement dit, avait essayé de trouver un juste équilibre, car elle était généralement du genre à enchaîner les sodomies à chaud.

Les belles jeunes filles finirent donc à genoux, leurs visages s’approchant de la queue de la femme, et entreprirent chacune de lécher tout son appareil, l’une léchant son sexe, et les deux ses testicules. Comme elles se gênaient un peu, elles se relayaient un peu, l’une se redressant, et les deux s’avançant, léchant ses testicules et son sexe. Un tel spectacle avait de quoi faire soupirer la belle Shirley, mais le plaisir sexuel était, pour elle, comme une seconde nature, et, tout en gémissant de plaisir, elle entama la discussion avec Miranda, demandant à avoir un accès important aux locaux de GWC pour le tournage de ses films.

Silencieuse, et jambes divinement croisées, Miranda l’écoutait. Des projets, Miss Forge en avait beaucoup avec Shirley. Tôt ou tard, elle lui révélerait sûrement son lien de filiation, mais, pour l’heure, elle trouvait plus excitant de voir Poison agir au naturel, sans savoir que, par son statut de Forge, elle bénéficiait d’honneurs tout à fait particuliers.

« Hmmm… Le fait est, Poison, que j’ai plusieurs idées en tête. »

Molly, la belle blonde, venait de s’accaparer presque à elle seule le sexe de la starlette du porno, le prenant bien en bouche, n’étant dérangée parfois que par quelques baisers et coups de langue de Dorothée et de Candy sur les bourses de la femme. Quand les doigts de Poison caressaient leurs cheveux, elles soupiraient de plaisir, faisant preuve d’une docilité exceptionnelle.

« Tu vois, je souhaite m’attacher tes services par un contrat très complet, qui, outre le tournage de films, impliquerait aussi une émission live. Ma firme dispose certes d’une bonne image promotionnelle, mais ce n’est pas pour autant que je dois me reposer sur mes lauriers. J’envisage ainsi une émission qui serait centrée autour de toi, explorant GeoWeapon Corp., et couchant avec les employées. Tu aurais accès à la plupart des services, et l’idée serait ainsi de voir ma firme de l’intérieur, et d’en faire une sorte de visite guidée sexuelle, le tout avec une interaction du public, qui pourrait commenter l’émission, et te soumettre des défis. »

Il y avait effectivement certains départements, notamment dans la recherche militaire, qui étaient classifiés, mais, pour le reste, GWC comprenait de nombreux départements civils. Il n’y avait aucun problème à y aller.

« Tu pourrais coucher avec qui tu veux, quand tu le veux, et dans la position que tu souhaites. Pour les accessoires, c’est comme tu veux, tu pourras porter tout ce que tu souhaites, et faire porter aux employées tout ce que tu veux. »

Une très grande liberté, donc ! Miranda laissa passer quelques secondes, afin que Poison mémorise bien tout ce qu’elle venait de dire, et la PDG reprit :

« Que penses-tu de ce concept ? »

Il était temps de négocier quelques cachets afin de garantir un peu plus d'argent pour Poison mais surtout une popularité plus grande. Car l'argent, étant la numéro un du porno tant en réalisatrice qu'actrice, Poison n'a pas besoin de plus d'argent. Si demain elle s'arrête, elle peut vivre heureuse jusqu'à la fin de ses jours sans faire trop de folie. Alors bon, si Miranda était la plus riche de Uatis, Poison aussi mais en ce qui concerne le porno. Elle laissait les trois gourmandes se faire plaisir avec son service, appréciait la gourmandise toute particulière de la jolie blonde mais les trois auront leur récompense même si Dorothée a déjà eu sa part... elle pourra avoir du rab mais d'abord, elle laissera ses copines en profiter en premier. Eh oui, on partage.

Miranda avait écouté mais elle proposa autre chose qui pourrait se faire en parallèle une émission télé réalité sur sa boîte où Poison pourra baiser qui elle veut, comment elle veut, où elle veut. Le genre visite des locaux avec du sexe à la clé ? Mouais... C'était tentant, c'est vrai mais ça ne collait pas à son image à elle. Même si...

« Huum, une idée intéressante ? Huuum, si vos employées sont aussi gourmandes que ses trois-là, ouh, je vais avoir du pain sur la planche ! Même si je ne suis pas fan du genre télé réalité, étant plus une femme de cinéma que du petit écran, je dois avouer que, ouh, cela colle à une de mes idées. »

Elle fit une pause pour laisser la question poussée dans l'esprit de Miranda mais aussi s'offrir une petite gorge profonde grâce à Molly qui avalait avec plaisir sa belle queue avant de reprendre son souffle une fois la pression relâchée. Elle caressa aussi les deux autres têtes avant de relever le visage vers Miranda Forge.

« Cela fait un petit bout de temps que je cherche à m'agrandir. Avoir des partenaires récurrentes, des sortes de complice, d'élève. La team Poison ! Huuuuum. Je pourrais choisir et aussi en faisant voter le public qui viendrai me rejoindre pour mes films et mon équipe avec des noms associés au mien comme, hou, doucement trésor, tu vas l'avoir ta récompense. Comme je disais, des noms inspirés du mien comme Toxic, Cyanure, Arsenic, Virus, voyez le genre ? »

Tout ce qui touche au poison quoi. Une idée qui pourrait être pas mal, les gens votent au fils des épisodes qui devraient attirer le regard de Poison et à un moment donné, elle devra choisir celle ou celles qui viendraient la rejoindre dans ses rangs, à condition qu'elles veuillent lâcher leur boulot de scientifique pour venir jouer les stars du X. Qui sait, elle pourrait rebaiser Aemi en plus ? C'est chouette de revoir sa petite fan et lui faire la surprise au travail ! Enfin, si cela voit le jour, tous les employées seront au courant que Poison rode dans les parages à la rechercher de son prochain sac à foutre personnel. Caressant la tête des deux autres, elle leur fit signe de revenir s'asseoir à ses côtés avant de tendre les bras pour les passer derrière elles et leur caresser la poitrine en les serrant contre elle.

« Laisser la savourer sa friandise, voyez comme elle a faim votre petite copine. Ne t'inquiète pas toi, tu y passeras après, quant à toi Dorothée, on verra si tu es sage mon trésor. Et toi ma petite gourmande, je t'interdis d'avaler ma crème, pas avant de me l'avoir montré dans ta petite bouche de pute, je veux te voir la faire remuer dans ta petite bouche avant d'avaler ça avec passion. »

Quand on affirme être pervers, autant le faire jusqu'au bout. C'était étonnant que Miranda Forge ne vienne pas profiter autrement qu'avec les yeux. Elle avait provoqué des scandales pour moins que ça. Il faut croire qu'avant d'être une grosse perverse, elle était une patronne ? Poison n'oubliait pas sa seconde tâche en étant ici mais comme Miranda, elle pense d'abord boulot, elle verra le reste après.

« Mais si cette idée d'émission voit le jour, il faudrait un planning avec date et horaire pour tourner. Pas question de laisser ma carrière et mes films de côté pour ça. On pourrait faire ça une ou deux fois par semaine, humph, il ne faut pas que ce soit trop quotidien non plus sinon on aura vite faire le tour. Hors les émissions spéciales, une journée complète pas semaine me semble intéressant, de quoi faire languir les impatients, tant dans le public que dans les locaux... huuuum, haha, ça laissera aux plus impatients le temps de se montrer imaginatif et à se tenir prêt quand je leur tomberais dessus ! Comme vous trois mes cochonnes... ça vous dirait que je vous baise toutes les trois en même temps, hein ?! »

Les jambes écartés avec Molly et les deux autres contre elle pendant qu'elle caresse leur poitrine, Poison avait tout d'une grande star qui avait tous les droits. Tout le monde aime Poison alors ce genre de traitement, ce n'est pas rare – même si cela n'arrive pas tous les jours lors de ses visites. Autant avoir l'avis de Miranda pendant qu'elle se fait joyeusement sucer.

Sur Uatis, les films pornographiques n’avaient rien de tabou, contrairement à ce qui se passait sur Terre. Le sexe était imprimé dans l’ADN uatéen, comme une conséquence de ce diphormisme sexuel qui régnait dans la société. Avec une population comprenant 80% de femmes et 20% d’hommes (selon les statistiques officielles), l’approche du sexe, par les petites Uatéenes, était très particulier. Il était fréquent d’avoir une esclave sexuelle chez soi, ou d’offrir une esclave pour la majorité de sa progéniture. Et, quant aux écoles, les cours d’éducation sexuelle étaient partie intégrante des programmes, recommandant aux jeunes Uatéenes de se méfier du viol, mais leur enseignant aussi le sexe… Et, généralement, il y avait une diffusion de films pornographiques. Les seuls à s’offusquer contre ce schéma étaient les représentants de l’Ordre Immaculé, mais la réponse sénatoriale était toute tracée. « Le sexe fait partie intégrante de la vie, il assure la reproduction de la race, existe depuis l’aube des temps, et ne disparaîtra qu’avec la mort de l’humanité. Que l’école refuse d’en tenir compte et de l’éduquer est tout simplement une faute morale, une faute que le Sénat, créé et élu pour diriger la société, ne peut se permettre de faire »… La surabondance du sexe était une résultante de cette féminité écrasante, qui entraînait de graves problèmes de stérilisation de la population, les hermaphrodites ayant du mal à se reproduire. Il fallait donc stimuler leur activité sexuelle, seul moyen, avec les techniques médicales, pour parvenir à forcer la nature en amenant les membres d’un même sexe à se reproduire.

Poison, donc, était plus qu’une simple actrice, c’était une vraie icône médiatique, qu’on invitait sur des talk-shows. « Quelle a été votre première expérience sexuelle ? Votre plus grand record ? Votre meilleure amante ? Vos meilleurs souvenirs ? ». Ce genre de questions étaient récurrentes quand sa fille était invitée sur les plateaux. Poison avait usé de sa fortune pour embaucher des détectives privés, afin de retrouver les traces de sa seconde mère. Cependant, ces derniers avaient déchanté. Les Forge ne tombaient pas si facilement, a fortiori quand il y avait des bâtards. Ils avaient beau avoir épluché tous les hôpitaux et toutes les cliniques, toutes les informations concernant la seconde mère de Shirley avaient disparu.

Shirley ne trouverait jamais cette information si Miranda ne la lui donnait pas. Elle pouvait le faire, là, maintenant, mais… Elle attendait le bon moment. Alors, à défaut, elle parlait de rapprocher Shirley d’elle-même. N’était-ce pas, après tout, ce qu’une mère souhaitait ? Rester proche de ses enfants, tout en les voyant s’épanouir. Shirley ne remplacerait jamais Kara, qui resterait toujours l’héritière légitime et officielle de l’empire Forge, mais elle restait sa progéniture… Et une amante exceptionnelle.

Les trois esclaves de Miranda se partageaient donc sa queue, tandis que, du regard, Poison voulait inviter Miranda à venir, tout en lui proposant ses idées. Elle voulait se constituer une « team Poison », mais ne souhaitait guère abandonner les films. Miranda sourit donc, et décroisa alors ses magnifiques jambes, avant de se redresser. Ses talons claquèrent sur le sol, et elle se glissa dans le dos de Poison, et posa ses mains sur ses épaules, venant les masser.

« Il va de soi que tu continueras à produire des films, Shirley… Mais je pense avant tout aux fans de Poison. Pense à elles, les pauvres, qui doivent attendre entre chaque film. Alors, il va de soi que tu continueras à faire des films, car tu as les hanches assez solides pour ça. Quant à ton équipe… »

Miranda se pencha vers elle, et déposa un baiser sur son front, fléchissant les genoux pour se rapprocher.

« Pourquoi ne pas organiser un concours ? Une Coupe du sexe, où les participantes devraient accomplir de multiples épreuves, et qui te serviront, justement, à choisir lesquelles rejoindront ton équipe… »

Ses mains se déplacèrent de ses épaules pour s’enrouler contre elle, et elle déposa un baiser dans le creux de son cou, tout en voyant Candy sucer ce gros sexe. Les trois esclaves de Miranda étaient toutes issues du programme GeoSlave, et elles étaient particulièrement douées. De magnifiques beautés, aussi belles que sexuellement endurantes.

« Ma firme a les moyens de financer cette compétition… Et aussi de financer tes films. Tu es une star, Poison, alors je peux créer un studio de cinéma juste pour toi. »

Les films pornographiques étaient généralement des films à petit budget, mais, à Uatis, certains étaient de vrais blockbusters, et c’était justement ça que Miranda voulait faire avec Poison. Elle était sa fille, après tout, et Miranda l’avait ignoré pendant de nombreuses années. Il était temps de rattraper ses erreurs. Avec les bâtards, il n’y avait que deux solutions : soit on les tuait, soit on les éduquait… Mais les laisser dans l’abandon n’était jamais une bonne option.

Miranda déposa un baiser sur la joue de Poison, remontant jusqu’à son oreille.

« Je sais beaucoup de choses sur toi, ma chérie… Tu as de nombreuses fans ici, dont une ingénieure, Aemiliane Ganis. Tu l’as sodomisée, n’est-ce pas ? Moi aussi… Et tu pourras le faire, ça, et bien d’autres choses. Ne crois surtout pas que je cherche à restreindre ta carrière, c’est tout le contraire. Je veux que tu brilles comme aucune actrice porno’ n’a jamais brillé auparavant, que tu passes du statut de star à celui de légende vivante. Je veux que tu comprennes que l’argent ne sera plus jamais un problème pour brimer ta créativité, et que je veillerai personnellement à ce que chacun de tes souhaits et fantasmes sexuels soit exaucé. Je pourrais même t’organiser une rencontre avec la Grande Sénatrice en personne pour que tu viennes la fourrer ! »

Ce n’était pas compliqué, Miranda avait son numéro de téléphone dans son répertoire…

Poison se sentait bien ici, elle ne savait jamais comment voir Miranda Forge ? Comme cette bimbo qui n’hésitait pas à baiser la première passante qu'elle croisait sur sa route ou bien ceci n'était qu'une image et en privé, elle était plus sérieuse. Elle n'avait pas atteint cette fortune en sodomisant des petits culs, contrairement à Poison. Son petit bonbon continuait de jouer avec sa sucette pendant que ses deux copines se tenaient contre elle en caressant son ventre, caressant doucement sa poitrine. Oui, elle se sentait bien. Puis Poison en faisait autant, elles n'avaient pas de planche à pain sous leur combinaison. Elle n'avait rien contre les petites poitrines mais quand elle veut ranger son matériel entre deux bons coussins, les petites poitrines manquaient d'argument, ce qui était dommage mais ce genre de filles avaient un autre rôle bien mieux distraire leurs partenaires.

Quand Miranda s'adressa à elle par son nom, cela la surprenait un peu. Il n'était pas tenu secret mais rare étaient les personnes qui l’appelaient ainsi, que ce soit privé ou non. Quand un acteur ou un chanteur prend un pseudonyme, on utilise son nom d'artiste après tout... Cette idée de coupe/concours était... bof. Il faut voir plus en profondeur ce que ça puisse donner ses épreuves mais pour le moment, elle était plus tentée par l'idée de piocher dans les membres de l'entreprise. Elle comprenait qu'elle pourrait ainsi voler de bons éléments pour la boîte mais cela permettait aux gens de mieux s'attacher aux candidates et aussi faire leur vte et leurs prognostiques sur le long terme plutôt qu'en quelques heures ou jours.

« Hummm va falloir se pencher sur la question si je puis dire... Mais pour le moment, je préfère mon idée. »

Son petit massage et son petit baiser dans le cou étaient relaxant, avec ses quatre filles autour d'elle, elle pourrait presque avoir l'air dans une boite à orgie de Uatis. Sauf que c'était moins sexe pour commencer. Mais rien n'était lancé donc elles avaient le temps de prévoir cela et de bien ficeler le concept pour rendre cela bien meilleure que l'idée de base. Poison avait déjà son label, elle n'avait peut-être pas sa propre boite de production avec ses propres décors et matériel mais quand elle demandait à une boîte, ils acceptaient de suite ! Un film de Poison est toujours rentable après tout.

« C'est bien gentil mais sans vouloir être malpolie, je n'ai pas besoin de tout cela. Je suis assez grande pour diriger moi-même le bateau, du moins pour mes films. Je me suis toujours débrouillé, de mes premiers rôles jusqu'à aujourd'hui, j'ai toujours réussi à faire ce que je voulais faire et ça a toujours fonctionné. À quoi bon une boîte de production ? Je suis déjà assez débordé pour à peine réussir à me détendre le week-end sinon tous les jours, je bosse comme une dingue. Alors gérer ce genre de truc, je n'ai plus qu'à m'astiquer le poireau en repensant en bon vieux temps ou une de ses petites beautés l'aurait fait pour moi. »

Géré un tel truc, ça devait bouffer des heures de boulot et plus de paperasse que de petits culs donc ça ne la tentait pas tellement. Caressant leur poitrine sous ses mains, ses deux petites choses étaient bien ravissantes et bien utiles. Quant à Candy, elle avait encre sa belle sucette à finir. Eh oui, Poison n'éjacule pas aussi facilement. Allez, aidons cette petite un peu.

« Caresse mes boules ma chérie, tu verras, elles sont toutes douces. »

Un petit plus qui ne peut faire que du bien après tout. Miranda avait de grands projets pour elle, ce qui l'étonnait un peu mais pourquoi pas ? Cela dit, elle avait quand même une arrière-pensée face à tant de belles choses étalé devant elle.

« Mais je suis déjà une star, LA plus grande actrice porno que Uatis n'ai connu ! Devenir une légende vivante, pourquoi pas mais l'argent n'est pas un problème. C'est pas comme si j'avais pou but de construire une ville à mon nom mais si j'oublie des folies pharaoniques, je peux me débrouiller seule. Tu est la plus riche de cette ville grâce à ton cerveau, moi, c'est ma bite. Je suis sûr que si demain un hacker te vide jusqu'au dernier centime ton compte en banque, dans deux jours, ta récupéré au moins la moitié de ta fortune sans bouger le petit doigt. »

Ce n'était pas un reproche, juste un fait. Et puis Poison ne voyait pas dans l'avenir, elle avait des projets mais rien qui lui vaudrait de passer par la case Forge afin de prendre un crédit pour cela. Sa team Poison peut se faire sans son aide déjà et les autres projets ? À part des idées de films, elle n'avait pas grand-chose en tête. Terra-Sexe lui prenait du temps, les démarches à voir avec les empereurs, roi, reine, dictateurs, c'était usant mais pas insurmontable.

« Mais puisqu'on parle de fantasme et pas d'argent... ça veut dire que si je veux d'abord vous prendre le cul sur votre bureau, devant ses trois poupées, vous diriez oui ou je dépasse la limite ? »

Miranda n'était pas vraiment son plus grand fantasme mais ce qui motive Poison, c'est toujours de dominer et si la plus grande actrice arrive à baiser comme une chienne la plus riche de ses habitantes, ce sera une victoire en plus à son tableau de chasse, que cela reste secret ou non. Elle n'en oubliait pas sa recherche de parent et que Miranda pouvait être potentiellement un de ceux dont à Uatis, le nom et les relever ADN sont protégé, d'où sa venue ici. Quand bien même elle baiserait sa mère, à l'orphelinat, elle a bien faire cela avec ses « frères et sœurs » selon l'ordre alors, ça ne fera qu'ajouter cela à l'ordre pour la haïr.

« Pour la grande sénatrice, on verra cela un peu plus tard, un cul à la fois. »

Elle attendait la réaction de Miranda, voir si la belle blonde acceptait cela ou bien si elle dépassait déjà les limites.

Il ne fallait pas avoir froid aux yeux pour refuser ainsi la générosité de Miranda Forge. On savait les Forge arrogants, et c’était particulièrement vrai pour Miranda, qui utilisait volontiers la fortune de sa compagnie pour développer autour de sa personne un véritable culte de la personnalité. Miranda Forge fonctionnait ainsi, elle était une femme très arrogante, très orgueilleuse, et il fallait bien une autre Forge pour refuser tout en bloc, et demander ensuite, non sans provocation, si elle pouvait sodomiser Miranda. De la part d’une autre femme, la blonde aurait peut-être senti une pointe d’agacement, mais elle n’oubliait pas que Shirley était sa fille. La vénéneuse Poison était fidèle à sa réputation. On la disait provocatrice, très sensuelle, du genre à coucher avec une policière qui voudrait lui mettre une amende pour un mauvais stationnement en la prenant sur le capot de sa voiture.

Miranda, effectivement, ne s’en faisait guère pour Poison. Elle était riche, car tous les studios voulaient s’arracher cette femme, très populaire. Il était donc naturel que la PDG ait de grands projets pour elle, mais, à travers les refus successifs de Shirley, elle comprit que la jeune femme tenait beaucoup à son indépendance. C’était normal, c’était le comportement typique d’une Forge. Miranda sourit donc, tout en réfléchissant rapidement. Se faire sodomiser par sa fille ? Ça lui semblait être un excellent programme, qui amena logiquement sur ses lèvres un délicieux sourire.

« Un cul à la fois... »

Avec amusement, elle répétait la philosophie de Poison, et se releva alors, puis se déplaça, et rejoignit son bureau, situé à côté de ce coin détente, et se mit dos face à sa fille illégitime, bombant ses fesses vers l’arrière, écartant également les jambes, tout en tournant la tête. C’était bien sa fille, ça, motivée et énergique, pendant que les trois esclaves continuaient à jouer avec son sexe. Elles léchaient et caressaient ses testicules, ou sa verge, mais, très bientôt, toutes n’eurent plus qu’un même regard, tourné vers la minijupe de Miranda, et vers ce délicieux cul qu’on devinait dessous.

Miranda esquissa un léger sourire, et remua un peu son corps, de gauche à droite, avant de lui faire un clin d’œil.

« Tu viens, ma chérie ? Sache que mon cul a déjà connu bien des bites... Alors, tu penses pouvoir relever le défi, ma chérie ? Être à la hauteur de Miranda Forge ? Si tu veux me défoncer le cul, ne te retiens pas... Baise-moi bien fort ! »

C’était presque le cœur de son entretien d’embauche, en fait... Offrir à Miranda une superbe sodomie.

Poison veut bien venir au rendez-vous, elle veut bien faire de nouvelles choses mais de là à se faire graisser la patte ? Mais en quel honneur ? Elle avait assez d'argent pour agir seule, elle n'avait pas de projet super couteux comme acheter un building mais en regardant bien le marché, elle pourrait surement faire ça. Tant qu'elle avait assez d'argent pour mener sa petite vie et vivre de sa passion qu'était son métier, elle n'en demandait pas plus. Le reste n'était pas important. C'est pour ça qu'elle restait proche de ses fans, c'était eux qui faisaient sa fortune, pas les grands projets ou réunion ici et là. Alors Miranda Forge est bien gentille e vouloir lui promettre tout ce qu'elle voulait mais Poison pouvait gérer seule. Puis si c'est vraiment un cadeau, on offre, on ne demande pas l'avis.

Puisque Miranda était d'accord pour se faire prendre - sa petite phrase semblait plaire à l'intéresser – Poison devrait se mettre au travail mais elle préférait la regarder dandiner son petit fion pendant que les gourmandes jouaient avec elle, une avait le service trois pièces, les deux autres la caressait et la léchaient autant qu'elles le voulait. Elle n'oubliait pas que Miranda était une candidate possible pour être sa mère mais faire ça avant en supposant que c'est elle, bah elles ne savaient pas puis y a pas mort d'homme. Elle voyait mal Mirande outré par ça, même Poison. Elle ne disait pas rêver d'inceste, juste qu'elles sont deux adultes et que Poison savait les risques. Oui mais si elle demande de suite à faire le test, ça risque de casser l'ambiance. Les filles avaient arrêté de lécher Poison pour regarder leur patronne, halala, ses petits dingues de leur boss.

« Excusez-moi les filles, votre boss m'attend. Mais ne t'en fait pas mon petit bonbon... je reviendrais lâcher la sauce dans ta petite gueule d'amour. Idem pour vous les deux coquines. Mais pour l'heure... »

C'était un autre type de cul qui l'attendait, plus ferme, plus âgée aussi, certes et qui devait avoir de l'expérience. Poison était assez experte en la matière pour savoir que même la plus grande des dominantes aiment se faire prendre le cul et être inférieur de temps en temps. Reste à savoir si c'est le vice caché de Miranda ou bien si elle lui faisait cette petite fleur ? Poison se pencha sur elle, laissant sa queue frotter ses fesses pendant que son souffle réchauffait son oreille en faisant voler quelques cheveux blonds.

« Ne t'inquiète pas pour moi. On ne reste pas la meilleure actrice porno de cette ville juste avec un joli minois. Si je reste la meilleure, c'est que Je suis la meilleure ! »

Prétention ? Oh à peine car Poison avait commencé en vas de l'échelle pour se retrouver pratiquement tout en haut ! Sans compter les autres activités, dans le porno, elle était la meilleure actrice, réalisatrice, directrice de boîte, plus riche, bref, elle était la Miranda Forge du porno. Elle n'en avait pas honte, dans le porno, elle était la meilleure. Peut-être pas pour toujours mais autant que possible, elle gardera sa place. Vu l'âge de Miranda, elle était encore très bien pour un petit film de cul, reste à savoir si elles pourront monter ça un jour ? Qui sait ? Sa main venait claquer sa fesse mais sans grand bruit, elle avait encore sa jupe et ses dessous, si jamais elle en avait en dessous. Mais elle l'avait quand même senti passer. Elle continua de caresser sa fesse en murmurant à son oreil.

« Puisque tu veux que ce soit bien fort, c'est que tu en as envie hein ? Après tout, si ça te gênait, tu me demanderais d'être douce ou commencer par autre chose mais là, on entre dans le vif du sujet ! Alors sans plus attendre... Serre les dents, j'arrive ! »

Sa main releva sa jupe et abaissa ce qui pouvait servir à cacher son beau petit cul jusqu'à mi-cuisse avant que sa queue ne force dessus. Sans pénétrer, Miranda pouvait quand même sentir cette belle queue qu'elle avait surement vue bien des fois sur une grande télé mais là, elle va la sentir ! C'est mieux ! Trouvant son petit trou, elle s'y enfonçait ni trop vite, ni trop lentement, se sentant bien au fond en se tenant à ses hanches.

« Huuum, c'est que ton petit cul est encore... bien étroit... Va falloir que je passe plus souvent, huum ? »

Ce serait étonnant que Miranda dise non mais elle n'allait pas la forcer à le lui dire, la faire jouir et déverser ses bourses en elle, pour faire couler une partie sur ses dessous. Une de ses mains était toujours sur sa hanche, l'autre caressait son joli petit cul, pas encore de claque, une chose à la fois. Faisant de léger vas et viens pour se mettre en forme et en pas trop forcer, elle claqua enfin sa fesse, signe que la vitesse allait changer. Lâchant son cul pour mieux la maintenir, Poison venait donner de grands coups de reins contre Miranda, faisant cogner ses bourses aussi entre ses jambes, la jeune actrice n'y allait pas de mainmorte ! Après tout Miranda n'attendait que ça, non ? Alors au boulot.

« Hhhhhuuuuuum ! C'est quoi qui t'excite le plus ? Han, te faire baiser le cul par moi, rhaaaa, ou que tes coquines te voit te faire baiser comme ça ? »

Les gens avaient parfois de drôles de fantasmes... Mais bon, là, c'était forcément l'un ou l'autre. Sans demander son avis, elle se pencha sur elle pour attraper ses bras et lui maintenir les avant-bras, laissant le haut de son corps se frotter plus ou moins sur son bureau mais surtout, ponctuer un peu plus cette histoire de la prendre avec force. La belle Miranda Forge prise en sodomie sur son bureau, voilà qui ferait une belle affiche de film... et qui sans le savoir donnait déjà une belle relation mère-fille.

« Haaaaa ! Ho quel cul putain !!! »

Poison n'allait pas jouir de suite... mais pour sa défense, Candy l'avait sucé longuement sans la faire jouir alors elle ne va pas tenir aussi longtemps que d'habitude. La faute à Candy mais comment en vouloir à une belle petite bouille comme elle ? Elle se fera prendre le cul aussi et l'éponge sera passé, voilà tout.

Mine de rien, Miranda était fière. Comme quoi, le trait commun à toutes les Forge était indéniablement leur fierté. Elles étaient catégoriquement contre le fait qu’on les aide, qu’on les assiste. Ce trait de caractère était chez Miranda, tout comme il était chez Kara, sa fille légitime, et visiblement aussi chez Shirley, qui refusait qu’on l’aide, fière de sa propre fortune, de son indépendance, et de son autonomie. Au-delà de la perversion, de la richesse affolante, et de tout le reste, c’était cet élément qu’il fallait retenir : la fierté. Miranda était fière, terriblement fière, probablement l’une des femmes les plus fières de Uatis, des plus autoritaires et des plus orgueilleuses. La perversion n’était que la mousse se massant autour de ce noyau dur. Shirley était comme elle, à la fois très proche et très différente. Pour autant, Miranda ne portait pas sur elle le même regard qu’elle portait sur Kara. Jamais Shirley ne pourrait prétendre être officiellement une Forge. Ce statut ne reviendrait qu’à Kara, et elle seule mériterait de reprendre le flambeau familial, de l’évincer du pouvoir, et de prendre la direction de la société, ainsi que de recevoir, en sa totalité, l’héritage des Forge. Shirley, elle, ne serait qu’une fille officieuse, une bâtarde, comme il en avait existé dans le passé. Les Forge cherchaient autant que possible à les limiter, car, dans leur fierté familiale, il y avait, pour corollaire, une sorte de sentiment de pureté familiale. Multiplier les Forge reviendrait un peu à atténuer la qualité globale des Forge, et c’était en suivant cette logique, toute simple, que Miranda, comme sa mère, et comme sa grand-mère avant elle, veillaient à éviter la multiplication de filles bâtardes. Shirley, en ce sens, était une erreur, mais une erreur que Miranda ne regrettait pas, car Poison était revenue à elle... Comme si, inconsciemment, la fille était retournée voir sa mère, avec cette conviction profonde que sa mère devait être une femme puissante.

La PDG était donc là, sur le bureau, entendant Shirley se rapprocher. Elle abaissa sa minijupe, puis tira aussi sur sa culotte, dévoilant ainsi rapidement l’accès aux fesses de la femme. Sa virilité caressa son postérieur, et Miranda se mordilla les lèvres, crispant ses mains sur le bureau. Pour rien au monde, les esclaves de Miranda n’allaient rater ça. Elles faisaient partie de ses assistantes personnelles, et connaissaient donc le lien de filiation existant entre Miranda et Poison. Toutefois, il n’y avait aucun risque que ces dernières ne la trahissent, car elles lui étaient totalement dévouées.

« Hmmm... »

Miranda la sentait, cette verge, ce vit qui se frottait contre elle, tapant doucement dans sa rondelle.

*Bigre, qu’est-ce qu’elle est membrée !*

Les ongles de Miranda s’agrippèrent pendant quelques secondes au rebord du bureau, avant que les mains de Shirley ne viennent saisir ses poignets, les tirant en arrière, soulevant un peu son corps. Miranda se mit à soupirer profondément, sentant la queue s’enfoncer plus profondément en elle. Shirley, tout en commentant l’étroitesse de ce cul, demanda alors ce qui l’excitait le plus. Miranda sourit, et, tout en soupirant, et en sentant ses seins glisser le long du bureau, ses longs cheveux blonds tombant dessus, répondit rapidement :

« T-Toi, haaa... Toi, Poi... Poison, hummm... Vas-y, vas-y, ma chérie, remue, remue... ! »

Miranda soupira profondément, encore, sentant les mouvements de Poison se multiplier. Elle ferma les yeux, gémissant de plaisir, serrant et décrispant ses doigts, Shirley continuant à la prendre.

Han, quelle énergie ! Sentir sa beauté la prendre ainsi, c’était... Tout simplement magique.

Comme si prendre le cul de Miranda Forge allait lui poser problème ? Poison rêvait de soumettre les plus grandes personnalités alors la femme la plus riche et puissante de Uatis ? Où est le souci ? Pas besoin d'être super riche ou influente, les gens laissent leur nature refaire surface face au sexe. On a beau tenter de le cacher, ça fini toujours par revenir au galop. Une simple proposition avait fini par faire flancher Miranda, c'est bien la preuve que la belle blonde rêvait elle aussi d'avoir Poison pour la soumettre et lui fouetter le cul... son rôle au cinéma a fini par la rendre ainsi dans la vie de tous les jours, c'est pour dire. C'est tellement demandé. Se penchant sur elle, elle chercha à savoir ce qu'elle désirait et ce n'était pas bien compliqué au final... elle. Toutes les mêmes.

« Huhu, ok... alors, Savoure ! »

Et hop, un nouveau coup de reins pour la prendre sur le bureau alors qu'elle continuait de se tenir à ses avant-bras en enchainant les coups de reins dans son fondement, sentant sa queue aller toujours plus profondément, c'était d'ailleurs tellement bon ! En plus quand il y avait un public, c'était toujours plus gratifiant, même en restant silencieuse, se savoir observer et envier... Comment ne pas considérer cela comme un petit plus à la situation ? Une claque vint résonner dans le bureau, celle de la main de Poison sur la fesse de la belle blonde, elle était moins fière avec sa queue dans son fondement ! Elle reprit son avant-bras avant de continuer de plus en plus fort.

« Allez ma belle Miranda, hum... montre à tes coquines combien... huuum, tu peux être aussi salope qu'elles ! »

Peu de gens serait contre cette idée, qaund on est du genre fière, grande, supérieure, se mettre au même rang que de simples jouets vivants... mais bon, Poison le désirait et ce qu'elle voulait, elle l'obtenait, tôt ou tard. Tirant un bon coup sur ses bras, elle la relâchait le temps de les passer autour de son corps, une main filait entre ses jambes pour caresser sa petite rivière et la seconde passait entre les boutons de son chemisier – et tant pis si un bouton ou deux se détachaient ! – pour venir palper cvette oppulente poitrine ! Combien de femmes et d'hommes ont tété la mamelle nourricière de la Forge ? Beaucoup. D'ailleurs, cette image rappelait que Miranda avait une fille.... Va-t-elle devoir se la faire aussi sous les yeux de sa mère pour juste elle suffira ? Elle venait baiser son cou, le léchant, le mordillant aussi, c'était un délice de baiser une femme de haut pouvoir. Ça avait toujours un petit plus que les autres n'ont pas.

« Huuuum ouaiiiiis ! Tu pues le cul ! Ton corps... toi... t'es un appel au viol ! »

Léchant son cou jusqu'à la joue, elle savourait ce goût si unique. Poison était assez crue mais c'était aussi sa marque de fabrique, crue, hard, sans limite, si on retirait cela, Poison ne serait plus celle que les gens adorent ! Sa main pressait avec plus de passion son sein et sa main hésitaient entre la doigter et pincer son bouton d'amour. Ha que c'était bon ! Après quelques minutes en plus comme ça, Poison venait donner ses derniers coups de buttoir, faisant couler sa semence dans son fondement, pressant ses formes d'amours. Elle soupirait dans son cou, reprenant son souffle en retirant ses mains pour la caresser tout en douceur aussi, de même, sa langue se transformait en baiser.

« Alors... heureuse pour cette première fois...? »

Mais pas la dernière. Ça, c'est sûr. Mais maintenant que Miranda avait eu sa dose, était-elle satisfaite ou elle était gourmande et elle en voulait plus ? Ce n'était pas un problème pour Poison mais il y avait du beau monde autour d'elle... avoir un public, c'est bien, avoir plus de copines pour jouer aussi.

Shirley s’avérait être une amante aussi talentueuse que ce qu’on en disait. Largement à la hauteur de sa réputation, la femme la pénétrait rudement, se moquant bien de son statut, et faisant précisément ce que Miranda attendait d’elle : la sodomiser avec force. Le corps de la PDG s’aplatissait contre son bureau, et, devant ce spectacle, ses esclaves ne restèrent pas spécialement inactives. Elles s’amusèrent surtout à filmer cette scène, se relayant ensuite pour s’embrasser. Comme toujours, voir leur Maîtresse faire l’amour était particulièrement excitant, et elles ne ressentaient aucune jalousie. De l’envie, bien sûr, mais elles n’auraient jamais osé s’interposer entre les deux femmes. Miranda voulait profiter de Poison, de sa fille naturelle. Shirley Gold avait la hargne des Forge, Miranda le sentait dans ses coups de butoir, elle avait ce mélange d’insolence, de témérité, et de fierté, qui avait toujours été le cocktail dans lequel les Forge grandissaient. Elle était trop fière de son statut pour accepter l’aide de Miranda, si cette aide apparaissait comme une forme de charité.

C’était une chose dont Miranda allait devoir tenir compte, mais, pour l’heure, elle se contentait de subir les assauts de Shirley dans ses fesses, crispant ses mains sur le rebord du bureau, hurlant et gémissant, ses jambes écartées, acceptant ainsi, sans problème, le passage de l’épaisse verge de Shirley. Poison était en forme, visiblement très excitée par l’idée de coucher avec Miranda. Le pire était que Poison ne réalisait pas encore toute la dimension incestueuse de cette sodomie... Sera-t-elle encore plus brutale le jour où elle le sera ? Miranda, elle, n’en était en tout cas que plus excitée, et mouillait joyeusement, tout en soupirant, et en répondant aux invectives de la femme :

« Ouuiii, hummm... Vas-y, vas-y, baise-moi... Baise-moi comme si j’étais la pire des putes, hmmm... ! Baise-moi, allez !! Baise-moi comme si j’étais la Reine des salopes, explose-moi le cul !! »

Si Poison pouvait être crue en matière de sexe, c’était aussi le cas de Miranda, dont le corps glissait d’avant en arrière, ses seins rebondissant contre le rebord du bureau. Poison était sauvage, intense, énergique, d’une vigueur incroyable, et le temps filait à toute allure, rythmé par les coups de trique de son amante. Miranda, elle, en retour, en pouvait qu’hurler et se gémir, se tortillant sur place, de profonds soupirs s’échappant de ses lèvres. Et, encore et encore, la femme la prenait, jusqu’à finir par avoir son orgasme.

Poison alla ainsi se vider dans le cul de Miranda, tout en ayant commencé à la déshabiller, et se retira ensuite, toute excitée, et avec un seul désir en tête, similaire à celui de Miranda : continuer. Cette dernière se retourna donc en lui souriant, et, assez rapidement, se déshabilla, enlevant son chandail, puis sa minijupe, finissant toute nue, face à Poison. Ses mains caressèrent tendrement ses épaules, tandis que les esclaves de Miranda s’approchèrent, et déshabillèrent à leur tour Poison.

« Vous êtes encore pleine de vigueur, Madame Poison...
- Vous êtes si belle, ainsi... »

Molly étant en train de filmer, c’était Candy et Dorothée qui s’occupaient du corps magnifique de Shirley, l’une à sa gauche, l’autre à sa droite, chacune la masturbant en même temps. Malgré son orgasme, la queue de Shirley restait toujours bien grosse, bien raide, et bien tendue. Mais, pour autant, les deux femmes l’entretenaient avec leurs douces mains, glissant dessus, remontant sur ce monceau de chair, caressant cette queue, la pressant parfois ensemble.

« Hihi, votre queue est toute dure...
- ...Toute grosse ! »

On pouvait admirer leur talent, leur expertise, et cette symbiose dont elles faisaient preuve, tout en déplaçant Shirley, l’amenant ainsi à s’asseoir sur un canapé. Elles s’agenouillèrent ensuite à côté d’elle, embrassant son sexe, avant de s’écarter quand Miranda se rapprocha des femmes... Et se mit à son tour à genoux devant Shirley.

« Vu la taille de ta queue, tu dois avoir une grosse soif, ma chérie... »

Et elle la prit alors en bouche.

Poison ignorait qu'elle baisait sa mère et même si elle le saurait, sur le coup cela lui couperait certainement l'envie, c'était après tout l'objectif de sa vie pour le moment que retrouver ses racines mais une fois la pilule avalé, elle continuerait son petit jeu sexuel. Poison avait pris ce cul, l'avait fessée, cogner à coup de butoir pour en jouir dedans avant de laisser Miranda se déshabiller. C'est clair que pour parler affaires, ce sera plus tard, la belle blonde voulait faire mumuse. Cela ne la gênait pas, elle laissait les esclaves en faire autant avec elle pour la mettre à nue, il n'y avait pas grand-chose à retirer sur elle, cela dit.

« Les filles, oubliez les Madame et les vous, soyez plus naturelle avec moi. »

Enfin, sauf si elle le demande mais pour le moment, pourquoi dresser ces filles déjà bonnes à ça ? Elle voulait soumettre Miranda Forge, ce qui serait actuellement son meilleur trophée à son tableau de chasse. Les filles la caressaient, elle autant que sa queue pendant que l'actrice en faisait autant avec leur corps, ce serait idiot de s'en privée. Guidée jusqu'au canapé, elle reposa ses fesses dessus en laissant les petites beautés jouer avec son attirail, avant que Miranda ne vienne prendre leur place. Comme la chef d'une meute, les autres s'écartaient sur son passage.

« Une grosse soif je sais pas mais envie de me vider en chacune de vous, ça, c'est clair ! »

Elle laissait Miranda venir la sucer à sa façon, elle la laissait faire pour commencer, elle verra plus tard pour imposer ses choix, elle restait là, comme une reine à se laisser faire. La bouche de cette femme – d'un certain âge mais bien conservé – était délicieuse aussi sur sa queue, pour sûr qu'elle irait surement lui titiller la glotte si jamais elle ne prend pas l'initiative avant. Mais avec les trois petites beautés à ses côtés, il faut les occuper aussi, sinon elles vont s'embêter.

« Dorothé... Toi que j'ai déjà, hum, défoncé le cul... va donc nettoyer celui de ta maîtresse... Et régale-toi. »

Elle pourra aller boire sa semence si elle veut, ce n'était pas interdit. Quant aux deux autres poupées, leur petit film allait attendre car elle avait autre chose à proposer. Les bras écartés et tendus sur le canapé, elle leur souriait, exposant sans aucune gêne sa poitrine. Elles aussi peuvent s'amuser avec !

« Venez vous deux, faites-vous plaisir. »

Si belle, si riche et si généreuse, Poison était quelqu'un de très naturelle, généreuse de nature, aussi sévère de nature ! Quand il s'agissait de cul, elle avait toujours ce faible pour tout diriger mais en dehors de ça, elle était plutôt agréable à vivre.

« Hmmm... vous êtes délicieuses... Toutes autant que vous êtes... »

Miranda et ses filles, quel délice. Elle n'avait pas fini de leur montrer tout ses talents mais après s'être défoulé sur Miranda et son petit cul, un peu de repos ne faisait pas de mal.

« Hmmm t'en rêvait hein ? De me sucer... Hmmm... Je vais adorer me vider les couilles dans ta petite bouche, Miranda... »

Était-ce une façon de parler à sa mère ? Gardons ce secret encore caché un peu, ce serait dommage de briser un tel élan. Gardant un œil sur tout le monde, elle observa Dorothée qui se regelait à lécher le trou anale de sa patronne, pendant que les deux petites voraces s'occupaient bien de ses seins, tant avec leur bouche que leur main. Très bien. En un coup d'œil, elle voyait les filles sur ses seins, Miranda sur sa queue et Dorothée derrière sa patronne, cela donnait une vue royale ! N'empêche, le cul, la bouche, en si peu de temps elle va avoir fait les trois trous de Miranda, reste plus que le plus important. Et pour ça...

« Mes chéries... je baiserais bien votre patronne après, mmmhh... ça vous plairait ? Que je lui défonce sa petite chaaaaaaatte ? »

Poison était un peu trop confiante ? Non, elle était juste Poison. On ne stop pas le poison, au mieux, on croit le freiner mais au final, elle obtient toujours ce qu'elle veut. Cette réunion ne faisait que commencer. Tout cela n'était qu'un début, voilà ce que son regard disait en observant Miranda qui la suçait.

Sucer la queue de Shirley, c’était un petit plaisir que Miranda n’allait pas se refuser. Tout en s’activant contre sa queue, elle ne pouvait s’empêcher de se demander comment Shirley réagirait le jour où elle saurait que la personne qu’elle était en train de provoquer, en agissant comme si Miranda était une simple subalterne. Venant d’une autre femme, elle en était courroucée, mais, même en sachant que Shirley n’était pas une Forge légitime, c’était tout de même son sang qui courait dans ses veines. Miranda ne pouvait guère être totalement objective, et la laissait donc faire, prenant ses aises, fière de voir que l’héritage génétique était présent. En effet, trônant au milieu du canapé, avec son sexe qui disparaissait contre le visage de la PDG, Poison appela les autres femmes.

Dorothée agit rapidement, et se coucha sur le sol, venant glisser son visage sous le bassin de Miranda, ses mains pressant ses fesses, la femme redressant ensuite un peu son visage pour lécher ses fesses et les alentours. Candy et Molly, elles, s’assirent à gauche et à droite de la femme, souriant tandis que Shirley indiquait ne pas vouloir de familiarités... Une chose qui ne les dérangerait nullement.

« Comme tu veux, Poison...
- Nous sommes à tes ordres... »

Elles se penchèrent vers ses seins, chacune massant le sien, avant de les prendre en bouche, les suçotant, les titillant, les embrassant, leurs langues filant à l’assaut des tétons, glissant dessus. Elles en prenaient soin, tout comme Miranda, qui profitait du visage de Dorothée pour remuer un peu son bassin, se concentrant néanmoins sur sa fellation. Elle suçait ce membre, le ressortant parfois pour le lécher, et pour l’embrasser, frottant ses joues dessus, ou son nez, s’imprégnant de cette queue massive, ce chibre assoiffé et puissant, qui se recouvrait de sa salive. Elle se mordillait les lèvres, avant de le reprendre en bouche, avançant sa main pour caresser ses testicules, tout en enchaînant les gorges profondes, glissant cette queue aussi loin qu’elle le pouvait.

Candy et Molly, de leur côté, relevaient fréquemment les yeux, voyant le plaisir irradier sur le visage de la star du porno. Comment rester de marbre face à Miranda qui vous suçait ? Impossible, tout simplement ! Et là, Shirley succombait progressivement, ce qui amena parfois les deux femmes à se redresser, délaissant son sein pour l’embrasser sur la joue, la main venant remplacer les lèvres sur la douce poitrine de Shirley.

« Mmmhhmmm...
- Maîtresse était impatiente à l’idée de te rencontrer... Comme nous.
- Elle nous a forcés à regarder tous tes films, pendant une semaine... À te voir dans toutes les positions, pour te servir au mieux... »

Molly l’embrassa sur les lèvres, pendant que Candy se livrait à un commentaire supplémentaire, en léchant son oreille :

« Maîtresse tenait beaucoup à t’avoir, Poison... Et nous aussi ! »

Elle retourna ensuite mordiller son sein, puis, quand Molly termina son baiser, Candy s’empressa de la remplacer. Shirley, de son côté, leur demanda si elles seraient contentes de la voir baiser leur patronne. Pour Miranda, la réponse était évident, et l’était aussi pour les deux esclaves, qui gloussèrent malicieusement, continuant à embrasser et à peloter la femme.

« Oh oui, mais...
- ...À condition que vous la preniez fort...
- Bien fort, même ! »

Poison ne se doutait pas qu'elle se faisait sucer par celle qui lui avait donné naissance mais pour le moment, elle n'en avait aucune idée et c'était tant mieux. Elle n'était pas le genre de femme qui, en sachant cela allait se sentir sale ou sauter dans les bras de Miranda et se comporter comme une gamine. Outre le fait de savoir qui était celle qui avait engrossé sa mère et donner ce montant pour qu'elle démarre sa vie, elle voulait en apprendre plus sur ses racines, sur ses parents. Car après tout, tout l'argent du monde ne pouvait pas lui apporter des souvenirs de ses parents ou de ce qu'aurait été sa vie avec ses deux parents ? Elle savait que sa mère était une prostituée comme on en voit beaucoup à Uatis et qu'un jour, elle a eut un gros chèque – suite à un/e client/e ou car elle avait mis le nez dans un trafic louche, elle ne savait pas – et qu'au fil de sa grossesse, elle a abandonné son job de pute pour tenter de faire mieux en devenant maman. Quitter Uatis ou s'installer dans un quartier moins craignos, elle ne savait pas. Elle sait juste que sa mère a eu un accident et qu'elle a miraculeusement survécu à cela avant d'être placé dans un orphelinat de l'Ordre.

Mais là, elle était loin de tout ça, elle soumettra tôt ou tard Miranda à son test mais pas maintenant. La belle blonde si puissante entre ses cuisses en train de la sucer, celle qu'elle avait sodomisée et signer le cul en train de lui lécher la fente crémeuse et les deux autres en train de jouer avec ses seins. L'image donnait bien, Poison ne pouvait pas nier se sentir toute puissante sur le coup ! Elle caressa la tête de deux filles de temps en temps en laissant à Miranda tout le plaisir de la sucer et même de lui faire visiter sa gorge de temps à autre. Quelle coquine celle-là ! Les deux autres s'amusaient à dévoiler leur semaine de préparation, regardant toute sa filmographie pour se préparer, le genre de détail qu'elle aimait.

« Dans ce cas, il faudra me dire, toutes, hum, quel film et scène, vous avez adoré ? »

Pas tout de suite mais c'était le genre de chose qui plaisait à la jeune femme, vu sa courte mais longue liste de film qu'elle a tourner/jouer, il y avait bien des choix, parfois des réponses courantes, parfois rares, c'était plaisant de voir le goût des gens. Elle avait surtout des rôles dominant vu sa nature mais avant de devenir une star, elle n'avait pas ce genre d'exclusivité, elle avait donc eu quelques scènes soumises mais cela faisait partie des films qui à présent, coûtait une petite fortune chez les connaisseurs.

« Qui n'aimerais pas, hum, passer un moment avec moi ? »

Même en star porno ou non, Poison se classait facilement dans les personnalités connues de Uatis, aux côtés des stars classiques comme Brandy Pitt ou Tyny Cruse qui tournent pourtant de gros blockbuster, du cinéma classique, pas pour adulte. Que ce soit dans les stars en général ou dans les magazines peoples, Poison était sur tous les fronts et le pire, c'est qu'elle ne se forçait pas et ne pétait pas plus haut que son cul, sauf dans ses films. Faut bien être un peu exigeantes pour qu'une film marche. Voir les deux filles impatientes de voir leur maîtresse se faire défoncer, à condition que ce soit bien fort, semblait ravir ces dernières. Pile ce qu'elle aimait, de petites cochonnes !

« D'accord les filles. Huuum, elle est douée votre maîtresse... Hum, je doute que ce soit inné un tel talent... Haha, ta du en sucer de la queue pour être aussi, hum, doué ! »

Drôle de façon de parler à sa mère mais elle en savait rien. Elle le ferait, même en sachant qu'elle est sa seconde mère ? Bonne question. Elle passait sa main vers elle, lui caressant le visage du bout des doigts, remuant doucement son bassin, sentant l'orgasme approché. Pas tout de suite mais il n'était plus très loin.

« Toi ma chérie... tu as le droit, han, de tout avaler... ou de partager... Toute façon, huuum... je vous en donnerais... à toutes les quatre... »

L'image de ses quatre visages alignée, la bouche ouverte à attendre sa queue jetant sa foutre, ça donnait envie d'être généreuse et partager sa crème avec elles tiens.

Dorothée, Molly et Candy avaient beau être des esclaves, elles n’en restaient pas moins des personnes intelligentes, qui éprouvaient de véritables fantasmes. Miranda produisait des esclaves de qualité, non seulement par leur servitude, mais aussi par le fait que leurs esprits n’étaient pas brisés. Ces trois beautés auraient pu se vendre à un prix très élevé sur le marché de l’esclavage, mais la PDG les conservait pour elle, à son propre compte. Elles voyaient donc leur Maîtresse sucer Poison, et, effectivement, Miranda était douée... Très douée. Des queues, elle en avait sucé tellement qu’elle ne pouvait même plus les compter, le chiffre devant bien comprendre quatre zéros derrière sa valeur. En tout cas, ça ne l’empêchait pas d’apprécier énormément le vit de Poison, qui gonflait et durcissait dans sa bouche. On pouvait entendre ses délicieux soupirs, tandis que sa tête filait d’avant en arrière, ondulant sur ce membre, ne laissant, pour ainsi dire, aucun répit à la belle Shirley.

Miranda la suçait énergiquement, ravissant Shirley, qui complimenta Miranda sur ses talents. Il aurait fallu être de la plus pure mauvaise foi pour ne pas lui reconnaître du talent, et les esclaves, ravies, gloussèrent entre elles. Quant à leur Maîtresse, elle se sentait particulièrement heureuse de faire ainsi plaisir à sa fille. Certes, Poison était illégitime, mais... On ne pouvait pas totalement se débarrasser de son instinct maternel. Elle la suçait donc, désireuse de pousser Shirley jusqu’à l’orgasme. Elle avait beau vouloir résister, on ne luttait pas éternellement contre Miranda, qui léchait encore ce membre. Elle y allait avec passion, avec énergie, et sans se presser. Respirant par le nez, elle poussait lentement Shirley jusqu’au plaisir suprême, à la projection ultime.

*Résiste aussi longtemps que tu veux, Shirley, tu ne peux pas lutter contre le courant éternellement...*

Et, effectivement, elle ne lutta pas éternellement. Le plaisir atteignit le point culminant, les muscles de Poison se contractèrent, et la femme se mit à furieusement jouir en elle, répandant son sperme dans la bouche de la PDG, qui accueillit cette projection avec le plus grand des plaisirs. Un sourire fin se dessina sur ses lèvres, et elle retira sa bouche, puis leva la tête, son regard croisant celui de Poison, ses joues gonflées par tout ce liquide crémeux qui remuait en elle. Elle s’amusa à le mastiquer, une lueur amusée dans le regard... Puis avala tout.

Un fin sourire se dessina ensuite sur ses lèvres, et elle se redressa rapidement.

« Je viens d’avoir une idée, ma Poison... Un petit jeu qui devrait te plaire. »

Miranda conserva sur ses lèvres son sourire espiègle, puis attrapa la main de Poison, et se dirigea vers une porte latérale, qui conduisit dans un couloir, jusqu’à une autre porte, sans fenêtres.

Dès qu’elle entra, des lumières s’allumèrent. Maintenant toute nue, Miranda lui présenta son donjon personnel. Il y avait un agréable lit rouge en forme de cœur, des chaînes, des fouets, des catsuits, des instruments plus futuristes... Les trois esclaves avaient poliment et respectueusement suivi les deux femmes. Miranda sourit à nouveau, et caressa le rebord d’un chevalet.

« Je te propose donc un jeu... Fais de moi ce que tu veux. Électrocute-moi, pince-moi, fouette-moi, encule-moi, frustre-moi... À chaque fois que tu arriveras à me faire jouir, je te révélerai un secret sur mon exceptionnelle vigueur sexuelle. »

Elle sourit encore. La vigueur sexuelle de Miranda était une chose dont les Uatéennes lui demandaient souvent l’origine, mais, alors qu’elle affichait toujours tout, elle avait, pour autant, réussi à conserver le mystère le plus complet sur cet élément de sa personnalité. Son regard semblait vibrer d’intensité, et elle continuait à doucement sourire en coin.

« Alors, qu’est-ce que tu en dis ? Tu pourrais percer l’un de mes plus grands secrets, ma Poison... Si tu es à la hauteur de ta réputation. »

The Multiversity

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