Cette puissante province impériale, très autonome, est sous la gouvernance de la sensuelle, mais non moins redoutable, Nyotengu Hattori.
Répondre

La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
Depuis l'intronisation de Nyotengu comme Shogun du Tao-Bong, une paix relative avait commencé à s'installer. Une paix fragile, toutefois, car le shogunat sortait d'une guerre civile qui avait été importante, et qui avait vu le clan du Scorpion arriver en tête du pouvoir, ce qui n'était pas arrivé depuis des années. Or, le clan du Scorpion n'était clairement pas le clan le plus honorable. Le clan était toujours accusé d'avoir trahi le Shogunat il y a des siècles en s'alliant avec les Mijakiens, et leur irrespect du Bushido tendait toujours à faire d'eux des menaces potentielles, car ils déséquilibraient le Tao. Takeshi était bien placé pour le savoir, et Nyotengu aussi, alors celle-ci avait décidé d'entreprendre un voyage diplomatique à travers le shogunat, en rencontrant chaque daimyo. Le choix de Nyotengu s'était porté initialement sur le Cygne, car le clan du Cygne était central. Peu de soldats, mais beaucoup d'argent, et, surtout, un important vivier agricole. Le clan du Cygne disposait des plus grandes rizières et exploitations agricoles du pays. Il était donc capital d'avoir ce clan comme proche allié.

Fort heureusement, Nyotengu avait vu une bonne occasion. Le daimyo du Cygne, Nijoto Doji. Les Doji étaient de fiers administrateurs, qui avaient toujours bénéficié de la protection du Dragon. Or, un village frontalier du Cygne, juché dans les montagnes, était tombé entre les mains des yokai suite à la guerre. Une sinistre tragédie avait eu lieu ici. Le père de Takeshi avait massacré une bonne partie de la population pour rappeler son autorité, et, en conséquence, un onryoki avait envahi les lieux, en compagnie d'autres yokai et de bandits. Nijoto avait demandé l'aide de Nyotengu, et celle-ci avait ordonné à Takeshi de partir sur place avec un contingent. Takeshi avait évidemment accepté, mais, avant cela, Nyotengu avait tenu à s'amuser une dernière fois avec son petit-chien. Elle l'avait furieusement frustré en l'amenant pendant toute une nuit à devoir lécher longuement ses pieds, ses jambes. Elle avait ensuite attaché Takeshi, et avait fait l'amour avec deux de ses kunoichi, Ty-Lee et Mai. Takeshi avait passé une nuit entière de frustration, mais, juste avant de partir, Nyotengu lui avait ordonné de revenir en vie, et qu'il aurait droit à une grosse récompense.

« Oh, Maîtresse... »

Takeshi était donc parti. Il portait toujours sur lui une cage de chasteté dorée conçue par Nyotengu. C'était une cage enchantée, qui permettait de décupler l'énergie sexuelle de son porteur en proportion de son degré de frustration. Takeshi avait enfilé son armure rouge, et était parti avec les soldats en direction du Cygne. Aux yeux du monde extérieur, personne ne pouvait se douter qu'il était aussi soumis à Nyotengu, car il était un redoutable guerrier.

Quand ils arrivèrent au village, Takeshi et ses soldats constatèrent qu'il y avait déjà des soldats du Cygne, moins bien armés, mais surtout menés par l'une des filles du daimyo, Suzuka Doji, le « Vent Céleste ». Elle maîtrisait l'Omnyo de l'Air.

Takeshi inspecta l'entrée de la ville, et constata que le torii, cette porte céleste qui était supposée protéger la ville des yokai, ne fonctionnait plus.

« Comment est-ce possible ?
C'était l'un des nombreux pouvoirs de l'ancien Shogun... Il pouvait corrompre les sanctuaires sacrés à l'intérieur des villes, privant ainsi les torii de leur protection. »

Takeshi était toujours autant surpris par la malfaisance de son père. Comment celui-ci avait-il pu sombrer à ce point dans la démence ?

La ville en elle-même était un petit village à flanc de montagne. Pendant plusieurs jours, Takeshi et ses hommes entreprirent donc de reprendre la ville. Takeshi finit par affronter seul l'onryoki. C'était un combat redoutable, car le démon, fait de feu et de soufre, était très puissant. Il l'affronta dans le temple, sous les yeux hallucinés des soldats, sauvant ainsi la vie de Suzuka, qui avait tenté d'utiliser sa magie contre lui, sans succès. La bataille fut très impressionnante. Takeshi dansait autour de sa proie, évitant ses ondes de choc, ses jets de feu, et réussit finalement, par un ultime coup d'épée, à le détruire.

De son côté, Nyotengu avait rejoint le palais du Cygne, où elle croisa le futur daimyo, un jeune homme s'appelant Yuki Doji. Un prénom mixte pour cet homme androgyne, qui était grandement instruit, et qui assura à Nyotengu toute sa sympathie.

Quand Takeshi revint au palais le soir, il était assez exténué. Le combat contre l'onryoki avait tout de même été éprouvant, et il avait reçu plusieurs coups. En fait, s'il avait réussi à vaincre le yokai, il s'était ensuite effondré au sol, car le monstre avait percé son armure avec sa corne, et avait heurté sa chair, faisant couler son sang. Ses plaies s'étaient rétablies ensuite, mais le hasard avait voulu que le monstre frappe à l'emplacement où, jadis, il s'était fait hara-kiri devant Nyotengu pour lui montrer sa dévotion. La nouvelle que le Prince était blessé était donc remonté, en même temps que celle selon laquelle il avait réussi à tuer tout seul l'onryoki, sauvant ainsi la vie de la fille du daimyo. Trop de gens avaient déjà perdu la vie à cause des fautes de son père, alors Takeshi ne voulait pas faire couler du sang.

Quand il revint au manoir, on lui apprit que l'Impératrice était dans l'onsen. Takeshi s'y dirigea donc, et constata que, si on avait fait chauffer l'onsen, Nyotengu n'y était pas encore. Hanzo veillait à l'entrée de l'onsen, de sorte qu'il n'y avait qu'eux.

Dès qu'il entra, Takeshi s'agenouilla sur le sol, en signe de respect et de déférence envers sa Shogun.

« Maîtresse, me voilà de retour. J'ai terrassé l'onryoki qui hantait ce village, réparant ainsi les abominables fautes de mon père, et contribuant ainsi à pacifier notre royaume. »

Elle portait un léger voile, et il se demandait tout de même pourquoi elle n'était pas déjà dans l'onsen en, compagnie d'Hanzo. Car il était somme toute assez fréquent qu'elle le frustre ainsi, en couchant avec son fidèle guerrier dans le bain tandis que lui devait remettre de l'eau chaude en les regardant...

Mais, ce soir, c'était un programme légèrement différent qui semblait devoir l'attendre...
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Nyotengu Hattori »

Avatar du membre
Nyotengu Hattori
Messages : 35
Enregistré le : 15 août 2024 13:23
La guerre pour venger la mort de sa famille et conquérir le trône de Shogun était terminée, mais celle pour le conserver ne faisait que commencer, et elle s'annonçait longue. Nyotengu n'avait jamais été dupe quand au fait que sa simple ascencion au titre de Shogun ne résoudrait pas les problèmes auxquelles ses terres étaient confrontées, la rébellion avait laissée des marques, et au delà de la simple destruction de villages, c'était une période de transition qui était forcément marquée par des troubles internes. Les Yokai sévissaient à bien des endroits, de même que des bandits qui étaient avant des membres de l'armée de l'ancien Shogun, qui avaient déserté suite à sa défaite et se lançaient dans le banditisme. Du côté de ses "vassaux", les autres Daimyos, la situation n'était guère mieux. Certes, l'élection de Nyotengu avait fait l'unanimité, mais il avait s'agit d'un vote de confiance plus que modéré, et certains étaient assez vocaux quand à leurs doutes concernant le fait que le clan du Scorpion soit en charge du Shogunat.
Des temps difficiles s'annonçaient, mais Nyotengu n'avait désormais plus que de très vagues souvenirs des périodes de sa vie qui n'étaient pas des temps difficiles, l'insouciance de l'enfance disparaissait très tôt, surtout lorsque l'on naissait dans un clan dont les assassinats, l'espionnage, et la duperie, étaient des armes maniées de mains de maîtres. Ce n'était donc pas la pression de cette charge sur ses épaules qui allaient la faire fléchir, mais tout de même, elle était bien consciente qu'un moindre faux pas pouvait lui coûter tout ce qu'elle cherchait maintenant à bâtir. Ce faux pas, elle avait craint d'avoir bien failli le faire lorsqu'elle avait reçue une missive l'informant de l'état de la mission de Takeshi, son mari, parti s'occuper d'une invasion de Yokai dans un village du Cygne, dont elle tâchait de s'assurer la loyauté. Un tour complet du Shogunat était à venir, et le Cygne n'en était que la première étape, mais la sécurisation de leur potentiel agricole et de leur administration à toute épreuve était cruciale, peut-être même encore plus que les hordes de soldats du Lion, ou la terrible cavalerie de la Licorne. La dernière guerre avait été la preuve que le nombre seul de soldats ne conférait pas forcément la victoire...

Le Cygne avait néanmoins été réceptif à ses arguments, et à la volonté de Nyotengu de prendre à coeur ses fonctions de Shogun. Nijito et Yuki Doji avaient en tout cas été exemplaires dans leur rôle d'hôtes, et Takeshi, en apportant la nouvelle que les Yokai avaient été éradiqués, tout en ayant sauvé la vie de l'une des filles du Daimyo, avait de toutes évidences joué un rôle essentiel pour faciliter les négociations entre le Scorpion et le Cygne. Nyotengu avait toutefois été...troublée en lisant dans cette même missive que Takeshi avait été blessé, sans pour autant que la gravité de ses blessures ne soit précisées. Troublée était en réalité un doux euphémisme pour dire que Nyotengu avait été inquiété, et avait envoyée des éclaireurs à chevaux pour qu'ils lui fassent part d'un rapport plus détaillé, jusqu'à ce qu'il lui soit confirmé que son Prince et époux allait bien, et était en route pour la rejoindre ici, au palais du Cygne.

Le nuit commençait à doucement tomber lorsque Takeshi arriva au palais, et Nyotengu elle s'était préparée pour l'acceuillir. L'onsen était l'endroit rêvé, tout ce qu'un guerrier sortant victorieux d'une rude bataille pouvait espérer, mais surtout, il y avait elle.
Lorsque Takeshi rentra dans la zone correspondant au onsen, il pourrait alors voir Nyotengu de dos, portant un léger voile blanc pour dissimuler le fait qu'elle l'attendait...nue. Il lui parla en se mettant à genoux, et elle tourna alors légèrement son visage pour pouvoir le voir, un léger sourire aux lèvres.

En effet Takeshi, j'ai eu vent de tes exploits et de la réussite de ta mission. Je vois que je ne me suis pas trompée en te la confiant...

Sensuelle et belle, la jeune femme laissa alors délicatement tomber le voile qu'elle portait, accompagnant cette chute de ses mains pour qu'elle soit délicate et progressive, afin d'offrir aux yeux médusés de son petit chien la vue de son corps nu, de dos, avant qu'elle ne se retourne pour lui faire face.

Relève toi.

Il s'exécuta bien entendu, alors qu'elle s'approchait de lui dans le plus simple appareil, et qu'il devait sans nul doute s'attendre à ce qu'elle fasse à ce moment appel à des amants pour qu'il la regarde se faire prendre devant lui. C'était souvent ce qu'elle faisait, pour le frustrer...mais pas ce soir. Ce soir, elle vint se lover contre lui, avec la même sensualité qu'une petite chatte, sa poitrine venant se heurter à son armure, elle glissa une main derrière la nuque de Takeshi, et rapprocha alors son visage pour lui donner un baiser. La jeune femme soupira d'aise en sentant enfin comme un léger poids sur son ventre se dissiper, maintenant que son petit chien lui était revenu, ce que Takeshi pourrait sans doute sentir à la façon dont elle l'embrassait et faisait danser sa langue contre la sienne dans sa bouche. Lorsqu'elle rompit le baiser, elle passa quelques secondes alors à plonger son regard carmin dans le sien, tout en faisant glisser sa main de sa nuque vers sa joue, et en posant sa deuxième sur le torse de Takeshi.

On m'a également fait savoir que tu avais été blessé, mais sans mentionner la gravité de ces blessures. Ne me laisse plus jamais dans l'expectative de la sorte Takeshi, j'étais...morte d'inquiétude à t'imaginer estropié, ou pire.

Nyotengu laissait rarement parler ainsi ses sentiments, mais ceux qu'elle éprouvait à l'égard de Takeshi étaient uniques, et elle s'en était un peu plus rendue compte en se sentant ainsi inquiète de son sort. Au delà du fait qu'il était son mari et un allié politique et militaire important sur l'échéquier du Shogunat, Nyotengu s'était surprise à véritablement le vouloir à nouveau à ses côtés.

Mais je vois que tu as obéi à mes ordres mon petit chien...tu m'es revenu en vie, et de ce que je vois en un seul morceau...c'est bien...

Takeshi était sans doute l'un des très rares hommes en face de qui Nyotengu parvenait à, parfois, laisser tomber un peu le masque, même si le naturel reprenait très vite le dessus. En effet, l'homme pourrait rapidement sentir que son épouse, sa maîtresse, avait glissée l'un de ses mains à la hauteur de son entre-jambe, et qu'elle flattait délicatement cette partie de son anatomie en glissant ses ongles sur l'armure qui le protégeait.

J'ai néanmoins une question, petit chien. Comment se fait-il que tu portes encore ton armure alors que je suis nue en ta présence, hum ? Serait-tu devenu pudique ? Ou peut-être estime tu que je ne suis plus assez bien pour toi ?
Image

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
C'était une vue enchanteresse, presque divine. En voyant le corps de Nyotengu de dos, sa chute de reins, ses fesses magnifiques, ses longues jambes fuselées légèrement dissimulées par le châle qu'elle portait, Takeshi sentit des fourmillements à hauteur de son sexe. Difficile d'avoir une érection, car la cage de chasteté bloquait tout accroissement naturel de son sexe, mais le jeune Prince sentait le désir monter, et s'attendait à chaque instant à ce qu'Hanzo vienne coucher avec sa Maîtresse. Il était d'ailleurs surpris que l'ancien ronin ne soit pas déjà là, dans l'onsen.

Pour autant qu'il s'en souvienne, Takeshi avait toujours aimé Nyotengu, et s'était toujours senti coupable à son attention. Il avait grandi avec un père instable, qui avait peu à peu succombé à la folie, et, quand il s'était rendu chez Nyotengu, il s'était immédiatement pris d'affection pour elle. Il se rappelait encore de la première fois où ils s'étaient rencontrés, dans le jardin de sa maison. Elle portait un délicat yukata, et lui, qui était aussi petit qu'elle, avait de suite ressenti un étonnant sentiment à côté d'elle. Il avait vu sa douceur, sa beauté, et s'était surtout heureux. Takeshi avait juré de la protéger sur sa vie et sur son honneur. Ce n'était pas rien pour lui, et il avait objectivement échoué dans sa promesse, à cause de son père, qui avait tué la famille de Nyotengu. Alors, Takeshi étant son fils, il devait naturellement accepter cet héritage maudit. Il méritait tout ce que Nyotengu lui avait fait subir, et sans doute plus encore.

Elle lui ordonna de se relever, alors il obtempéra. Takeshi l'observa encore. Elle marcha vers lui, nue, d'une démarche simple, presque féline. Une beauté sans pareille. Sa peau pâle lui donnait un aspect irréel, comme ces kami qui venaient vous bénir. Un corps somptueux, avec ce tatouage rouge serpentant sur sa cuisse. Takeshi avait déjà eu la chance d'embrasser les magnifiques jambes de Nyotengu, de les lécher pendant des heures. Hanzo avait souvent voulu le tenter avec des prostituées, mais Takeshi avait toujours su résister. Comment avoir envie de quoi que ce soit d'autre, quand vous étiez mariée à une telle femme ?

Nyotengu vint vers lui, se blottissant presque. Quand il sentit l'ourlet de ses seins contre le plastron de son armure, Takeshi déglutit doucement. Il frémit sur place, serrant ses poings, et Nyotengu, tout en le regardant de son regard irrésistible, l'embrassa alors. Takeshi en fut si surpris qu'il écarquilla les yeux, et couina quand sa queue tapa contre sa cage de chasteté, diffusant une onde de douleur. Il répondit à ce baiser, ne sachant pas quoi faire de ses mains, et se risqua à les poser sur les hanches de l'Impératrice. Il fut un temps où la seule idée qu'il la touche suffisait à l'horripiler, car elle voyait en lui les péchés de son père. Mais elle s'était déjà surprise une fois à l'embrasser, et là... Takeshi ferma les yeux, voulant graver ce moment pour jamais dans sa mémoire. Et, loin de se contenter de frotter leurs lèvres ensemble, elle enfonça sa langue dans sa bouche !

« Hmmm... »

Sans cette cage, il aurait sans doute déjà joui. Takeshi releva doucement sa langue, mais le fait est qu'il était totalement inexpérimenté dans ce domaine. Là où tous ses hommes avaient déjà des enfants et couchaient avec bien des prostituées, lui était vierge. Il connaissait la théorie par cœur, à force de voir Hanzo coucher avec sa Maîtresse, mais n'avait jamais eu l'occasion de ressentir lui-même ce genre de choses... Ce plaisir électrique, ce frisson, ce mélange incompréhensible de douleur et de douceur. Une jouissive ivresse qui vous faisait oublier tout le reste.

Quand elle mit fin au baiser, il rouvrit les yeux, et on aurait presque pu croire que ceux-ci s'étaient embués. Il ne savait plus quoi dire, alors elle se mit à parler, posant sa main sur son torse, à l'emplacement de son cœur, et, quand elle avoua qu'elle avait été « morte d'inquiétude » en apprenant qu'il avait été blessé, Takeshi sentit ses joues s'empourprer.

« Oh, Maîtresse, je vous présente mes excuses... »

Ce fut tout ce qu'il parvint à dire, et il rougit ensuite quand la main de Nyotengu vint flatter son sexe. La surprise se lut même sur son visage, car elle avait toujours touché son sexe uniquement avec ses pieds, jamais avec ses mains. Elle lui demanda ensuite de se déshabiller. Le jeune Prince déglutit. S'il pouvait se montrer très autoritaire avec ses hommes, ou même en manière diplomatique, en rappelant toujours les préceptes du Bushido, face à Nyotengu, tout s'effondrait. Il n'était plus qu'un Prince en apparats, et un véritable soumis... Son petit-chien.

« Je... Pardon Maîtresse, je le fais tout de suite ! »

Takeshi défit les nœuds et les lacets de son armure, et se déshabilla promptement. Il commença par les gants, les épaulières, les bottes, et défit ensuite le plastron, puis les cuissardes. L'homme portait sous son armure un très léger kimono noir, et hésita à le retirer. Sa Maîtresse avait parlé de son armure, mais avait spécifié qu'elle était « nue », alors... Il prit le risque de retirer ausis le kimono et se présenta à elle, tout nu.

Il avait toujours une cicatrice à hauteur du ventre, là où il s'était jadis fait hara-kiri. Le yokai l'avait précisément blessé là, et il avait retiré le pansement. Pour le reste, il était absolument imberbe, et portait dans le dos un long tatouage en forme de ryu, ainsi que sur la cuisse, symbole de son clan. Et, enfin, il portait toujours cette cage de chasteté dorée, qui devenait de plus en plus contraignante en ce moment.

« Voi-Voilà Maîtresse, je... Je vous prie de bien vouloir pardonner mon insolence. »

Il avait encore le goût de la bouche de Nyotengu sur ses lèvres... Et de sa langue ! Car elle avait bel et bien fourré sa langue entre ses lèvres ! Elle avait enfoncé un bout d'elle en lui ! Il devait se forcer pour ne pas avoir des larmes de joie et d'émotion s'échapper de ses yeux.

Ce qu'il vivait là relevait déjà du rêve pour lui. Le simple fait que sa Maîtresse ait pu exprimer qu'elle s'était inquiétée pour lui et qu'elle l'ait embrassé... Après des semaines de frustration, c'était bien plus que tout ce que le jeune Prince aurait jamais imaginer. Pourtant, il était encore loin s'attendre aux autres surprises qui allaient venir...
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Nyotengu Hattori »

Avatar du membre
Nyotengu Hattori
Messages : 35
Enregistré le : 15 août 2024 13:23
Les sentiments que Nyotengu éprouvaient à l'égard de Takeshi avaient bien évolués au fil du temps, jusqu'à en arriver à ce point où leur mariage n'en était plus un simplement de politique, et où elle avait un ascendant psychologique absolument total sur lui, ce qui le rendait parfaitement loyel et soumis à sa volonté. Takeshi était véritablement devenu son "petit chien", comme elle adorait l'appeler, et alors qu'il s'exécutait en se déshabillant promptement, la jeune femme contempla songeuse le corps androgyne, imberbe, mais avec néanmoins une belle musculature de son époux...ainsi que cette cage de chasteté dont l'étreinte de fer continuait depuis maintenant des mois de brimer ses érections. Elle s'approcha de nouveau de lui lorsqu'il se retrouva nu, et posa délicatement sa main sur le flanc de son ventre, là où il s'était jadis harakiri pour prouver sa loyauté, mais là aussi où le Yokai qu'il avait affronté était parvenu à le blesser, résultant d'une cicatrice plus grande qu'avant.

Insolence, c'est le terme. Tout comme je trouve insolent que tu n'aie pas pris plus à coeur mon ordre de me redevenir indemne.

Elle vint se lover contre lui, pressant ses seins chauds contre son torse, et le regardant droit dans les yeux.

D'aucuns prétendent que l'on peut juger la valeur d'un guerrier au nombre de cicatrices qu'il porte sur son corps, mais c'est une erreur. Chaque cicatrice est la trace d'une erreur, ainsi qu'une tâche indélébile sur le corps de mon époux. Je n'aime pas les cicatrices, Takeshi, elles rendent laid ce qui était beau, alors tu ferais mieux à l'avenir de ne pas en obtenir d'avantage. Non content de m'inquiéter, tu fais en sorte de te rendre moins attirant envers moi. Alors...plus de cicatrices...

C'était sa façon à elle de dire à Takeshi de se montrer bien plus prudent, mais le tout en conservant son impression et son rôle d'impératrice et de maîtresse. Tout en faisant cela, et en restant collée à lui, Nyotengu avait descendue l'une de ses mains jusqu'à la cage de chasteté de Takeshi, allant même jusqu'à la prendre pleinement entre ses doigts pour titiller l'homme, et lui donner quelques pics de douleur en sentant son érection se faire réprimer à plusieurs reprises.

Je t'aurais bien retirée cette cage...petit chien...mais tu va la porter encore un peu comme punition pour m'avoir autant inquiétée.

L'amour de Nyotengu ne pouvait être exprimé de façon conventionnelle, mais Takeshi comprendrait sans doute malgré sa frustration à quel point elle s'était faite un sang d'encre. Elle se tourna alors, mais en prenant Takeshi par la main, et en l'enjoignant à la suivre. Elle l'amena jusqu'au niveau de leur onsen dont ils allaient disposer pour la nuit en plus de leur chambre. Relâchant la main de Takeshi, Nyotenu prit alors place en s'asseyant au rebord de l'eau, plongeant ses délicates jambes dans l'eau chaude, le tout en tournant encore le dos à son époux et soumis.

J'ai été très stressée durant ces dernières heures, et je suis toute tendue Takeshi. Viens me masser.

Et c'était bien évidemment un ordre qui ne souffrirait d'aucune "contestation".
Image

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
La soumission totale de Takeshi envers Nyotengu était quelque chose qui était assez difficile à croire pour les gens qui ne partageaient pas leur stricte intimité. Nyotengu confiait à très peu de personnes ce secret, qui, en de mauvaises mains, aurait pu compliquer sa vie. Car, même si Takeshi était le fils d’un despote, et que Nyotengu était la Shogun, le Tao-Bong restait encore un État très traditionnel. Qu’une femme soit au pouvoir, et a fortiori une femme venant du clan du Scorpion, était une double offense. Takeshi était la caution qui permettait à Nyotengu de gouverner. Il était donc important que le peuple n’apprenne pas que le populaire Prince était totalement soumis à sa femme, qu’il portait une cage de chasteté, et que celle-ci prenait régulièrement plaisir à le torturer sexuellement. Aujourd’hui, Takeshi s’offrait d’ailleurs à elle sans aucune défense. Nu, ne portant plus que sa cage, il laissa les magnifiques doigts de la Shogun glisser sur sa peau, caressant ses cicatrices. Takeshi était confus à l’idée d’apprendre que Nyotengu s’était fait du souci pour lui. D’un côté, cela le touchait, mais, de l’autre, il n’aimait pas l’idée que Nyotengu aille mal à cause de lui. Cela était contraire à son serment. Elle caressa sa cicatrice, celle où il s’était jadis fait hara-kiri pour elle.

« Pardonnez-moi, Maîtresse, je… J’ai fait de mon mieux. »

Elle s’était inquiétée qu’il soit blessé… Et blessé, il l’avait de fait état. Takeshi n’était pas un lâche, il prenait toujours des risques quand il partait en campagne. C’était aussi pour ça qu’il était apprécié, car les soldats savaient qu’ils ne seraient pas dirigés par un planqué, par quelqu’un qui n’hésiterait pas à les sacrifier. Il déglutit en sentant la douce et parfaite main de sa femme et Maîtresse caresser sa hampe de chair.

« Hmm… » grogna-t-il au contact de sa verge contre la cage de chasteté.

Une cage bien douloureuse, à n’en pas douter. Il crispa ses mains en soupirant faiblement, croisant encore le regard de Nyotengu. Son cœur remuait dans sa poitrine, et il se tortilla encore, tout en l’écoutant. Elle décida de conserver cette cage comme signe de sa punition. Takeshi baissa respectueusement la tête.

« Oui, Maîtresse… »

En soi, il ne fallait pas être trop gourmand. Sa Maîtresse l’avait quand même embrassé ! Il avait pu sentir tout son corps contre lui, il avait même pu effleurer ses fesses ! Et il avait senti sa bouche suave, sa langue s’enfonçant entre ses lèvres. Pour Takeshi, cela représentait beaucoup, car Nyoptengu ne le laissait jamais l’embrasser si facilement. Les rares baisers qu’elle lui offrait devaient être mérités, il devait montrer sa fidèle dévotion et son obéissance absolue. Et cela impliquait très souvent de la voir faire l’amour avec d’autres personnes. Il déglutit donc, et la rejoignit dans l’onsen. Marcher normalement n’était pas si simple pour lui, car il avait tout de même une belle érection, et, même si la cage de chasteté comprimait sa queue, celle-ci restait dure, cherchant à forcer le passage. C’était donc assez douloureux ! Elle rejoignit l’onsen, et demanda à ce qu’il la masse.

Dans son dos, Takeshi s’agenouilla.

« Je suis navré de vous avoir tant tracassé, Maîtresse… Mais j’ai fidèlement accompli vos ordres, je ne me suis jamais planqué, et j’ai défendu vos sujets comme vous le souhaitiez. Lorsque nous avons gagné, j’ai fait scander votre nom… »

Tout en parlant, il massait ses épaules, et attendit qu’elle se penche en avant pour masser ensuite le haut de son dos. Il rejoignit l’onsen pour pouvoir plus facilement la masser, observant son corps avec adoration. Oui, on pouvait lire une véritable adulation dans ses yeux. C’était le regard transi d’un homme profondément amoureux, un amour absolu et sincère… Ce n’était pas un amour qui attendait d’être réciproque. Elle aurait pu le tuer maintenant, cela ne changerait rien. L’amour était une prison, et Takeshi était juste heureux d’être avec elle, de pouvoir toucher son idole. Il avait déjà offert sa vie à Nyotengu, il avait déjà entièrement prouvé sa dévotion envers elle, une dévotion qui ne cessait jamais.

« Votre peau est toujours aussi douce, Maîtresse… » avoua-t-il lentement.

Il réfléchit alors, et prit un risque en lançant une question assez osée :

« Pardonnez ma curiosité, Maîtresse, mais pourquoi vous êtes-vous tant inquiétée pour moi ? »
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Nyotengu Hattori »

Avatar du membre
Nyotengu Hattori
Messages : 35
Enregistré le : 15 août 2024 13:23
Nyotengu était parfaitement consciente que Takeshi avait du faire de son mieux, mais pour des raisons évidentes de standing, elle ne pouvait pas se permettre de "juste" se montrer inquiète envers son époux, qui était aussi et surtout son petit chien soumis. Une maîtresse se devait de se montrer rude et difficile à vraiment satisfaire, du moins étais-ce ainsi qu'elle concevait la chose et qu'elle voyait leur relation, quand bien même son amour pour lui avait fini par devenir sincère. Mais on n'était pas élevée dans un clan aussi particulier que celui du Scorpion, et en ayant une vie aussi mouvementée que celle de Nyotengu, en pouvant espérer avoir un rapport "normal" vis à vis de l'amour...c'était tout simplement sa façon à elle de l'exprimer.
Inquiète, elle l'avait donc été, et un massage par les mains expertes de son soumis était de rigueur avant de pouvoir passer à la suite, dont Takeshi n'avait sans doute encore aucunement l'idée. Même depuis leur mariage, Takeshi et elle n'avaient jamais couché ensemble, et Nyotengu l'avait à de multiples reprises frustré en le "forçant" à la regarder baiser avec d'autres personnes, ses amants et amantes de confiance, qui étaient à même de garder le secret. Là en revanche, il n'y avait personne pour les accompagner, seulement le couple composé de la Shogun et de son époux, et c'était d'ailleurs bien la première fois depuis le tout début de leur relation si particulière. Nyotengu sentit progressivement ses muscles se détendre à mesure que Takeshi lui massait les épaules puis le dos, cette mission dans laquelle elle l'avait envoyée avait été d'une importance cruciale pour commencer à s'assurer le respect d'un des autres principaux clans composant le Shogunat. Il en restait encore un certain nombre à aller visiter en personne, dont certains qui ne faisaient presque aucun effort pour dissimuler leur dédain à l'idée d'avoir une femme du clan du Scorpion à leur tête, et même si elle maintenait les apparences en bon état, Nyotengu n'était pas immunisée au stress et aux angoisses. Ces dernières années n'avaient vraiment pas été de tout repos, avec la guerre civile puis son ascension au rang de Shogun, qui ne marquait que le début finalement de ses épreuves. Takeshi était un pilier solide et crucial sur lequel elle pouvait se reposer, autant de par sa loyauté inébranlable, son statut politique fort, et celui plus dissimulé d'exutoire et de sex toy...et l'idée de le savoir blessé en ayant échappé de peu à la mort l'avait bouleversée...plus qu'elle ne l'aurait pensée. Ainsi, lorsqu'il se risqua à lui demander pourquoi elle s'était tant inquiétée pour lui, Nyotengu se redressa, alors qu'elle s'était penchée en avant pour le laisser lui masser le dos. Elle leva une de ses mains vers l'arrière pour saisir Takeshi au niveau de sa nuque, et rapprocher fermement son visage, au point qu'il n'en pose son menton sur l'épaule de la Shogun, qui lui murmura alors tel un secret.

Je me suis inquiétée, parce que je suis amoureuse de toi, Baka...

Quand bien même leur relation n'avait vraiment pas débutée sur de bons termes, Nyotengu en était venue à peu à peu apprécier Takeshi, au point de l'aimer à sa manière. Il était vrai toutefois que la Shogun avait sa manière bien à elle de montrer son "affection", alors elle se permit cette exception à la règle, pour vraiment clarifier les choses avec Takeshi, et en le maintenant dans cette position, lové contre son délicat dos et le menton posé sur une de ses épaules, elle poursuivit.

Tu es mon époux, un pilier important sans lequel je risquerais de tout perdre...et malgré les torts de ton père et de ton clan à mon encontre, j'ai appris à t'aimer sincèrement Takeshi. Alors...crois moi lorsque je te dis que si tu venais à mourir parce que tu t'es montré trop imprudent, même la mort ne saurait te protéger de mon courroux...

Même dans un moment aussi intime que celui-ci, Nyotengu ne pouvait pas laisser complètement tomber cette barrière de femme terrible et intransigeante, mais Takeshi avait la réponse à sa question. Nyotengu se releva alors, émergeant de l'onsen pour en sortir, afin d'aller récupérer un petit tabouret en bois qu'elle alla positionner dans le plus petit bassin possible de l'onsen, là où l'eau de monterait guère plus haut que ses chevilles, et prit place dessus...en croisant élégamment ses magnifiques jambes, et en superposant ses deux pieds l'un sur l'autre en faisant face à Takeshi.

Maintenant mon petit chien, si tu n'a plus de questions stupides comme celle que tu viens de me poser, j'attends toujours de toi que tu accomplisse ton devoir.

Et avec ses pieds et ses longues jambes tournées ainsi dans sa direction, Nyotengu dans une position évidente d'attente, Takeshi devait forcément savoir ce qu'elle attendait justement de lui...
Image

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
Dos à elle, Takeshi était un homme heureux et comblé. Il aimait sa femme, il l’aimait profondément, de manière déraisonnable et totalement irrationnelle. Takeshi l’aimait autant qu’il lui était soumis. Il connaissait chaque partie du corps de l’Impératrice, et il avait souvent eu l’occasion de la voir faire l’amour. Nyotengu aimait l’enfermer dans un placard, dans une pièce secrète, et il la regardait s’envoyer en l’air. Elle allait parfois jusqu’à le faire sortir, notamment quand elle couchait avec Hanzo, un ancien ronin qui était l’un de ses plus proches hommes, et son amant régulier. Quand Hanzo venait lui faire l’amour, Nyotengu aimait croiser le regard de Takeshi, qu’il soit là pour l’essuyer, pour la voir se faire prendre par Hanzo. Takeshi était à chaque fois partagé entre la colère, la frustration, le désir, et une jalousie féroce. Nyotengu faisait tout ça pour l’humilier, pour le casser, pour qu’il lui soit totalement soumis. Mais le pire n’était pas Hanzo, mais ses deux kunoichi. Elles étaient les fidèles amantes et gardes du corps de Nyotengu, et, quand les trois faisaient l’amour, Takeshi se trouvait dans un état particulièrement fébrile. Les voir s’embrasser toutes les trois, lécher la peau parfaite de Nyotengu, l’embrasser encore longuement pendant des heures… Aucun homme ne pouvait résister à ça !

Takeshi sursauta quand Nyotengu attrapa sa tête, le penchant sur son épaule. Il renifla son odeur, et déglutit quand elle lui expliqua qu’elle était « amourteuse » de lui. Takeshi sentit ses joues s’enflammer, et rougit donc. Nyotengu crut alors nécessaire d’atténuer sa position et ses sentiments, lui rappelant combien Takeshi lui était indispensable pour gouverner.

« Je… Maîtresse… »

Elle l’avait pourtant bien dit : amoureuse. Takeshi ne savait pas quoi dire devant un tel aveu, il en aurait presque eu les larmes aux yeux ! Cela convainquit donc Nyotengu de lui dire que leur alliance était avant tout intéressée, et qu’il lui était indispensable pour qu’elle continue à gouverner le Tao-Bang sans difficulté. Elle se déplaça ensuite, et rejoignit un tabouret en bois, sans doute assez inconfortable pour son délicat séant, et étira ses jambes vers lui. Takeshi déglutit doucement, mais, avant de la rejoindre, il s’agenouilla devant elle, et posa sa main sur la cicatrice à son ventre.

« Maîtresse… Je me dois de vous dire que je vous ai déjà offert ma vie. Je me suis suicidé pour vous, et, dans votre mansuétude, vous m’avez ramené. L’amour que je vous porte a déjà survécu à la mort, et vous avez déjà montré à la mort que je vous appartiens. Alors, comment pourrais-je mourir autrement que de votre main ? Vous seule, Maîtresse, avez le droit de mettre fin à ma vie. »

Il se pencha alors en avant, et continua à se courber, en position de soumission totale, de prosternation contrainte, cette position de subordination totale qu’on appelait le dogeza.

« Je vous aime, Maîtresse ! »

Takeshi releva alors la tête, et se rapprocha du pieds droit tendu de Nyotengu. Combien de fois avait-il embrassé et léché ce pied ? C’était ces pieds qui le masturbaient quand Nyotengu avait la générosité de retirer sa cage. Elle le faisait jouir en frottant ses pieds sur sa verge. Il n’avait encore jamais senti autre chose sur sa verge, pas même les mains de Nyotengu. Elle le masturbait quand elle estimait qu’il le méritait. Takeshi devait bien admettre qu’il attendait impatiemment ce moment, mais, pour l’heure, il préférait se focaliser sur les pieds de Nyotengu. Sa langue glissa sur la plante de son pied, puis sur ses orteils. Sa peau était d’une douceur infinie, tendre et chaude. Il lécha ses orteils, les embrassant l’un après l’autre, sa langue glissant sur les ongles, remontant dessus, embrassant ensuite le dessus de son pied. Takeshi était concentré, bien décidé à honorer comme il se doit les magnifiques pieds de sa femme…
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Nyotengu Hattori »

Avatar du membre
Nyotengu Hattori
Messages : 35
Enregistré le : 15 août 2024 13:23
Le niveau de soumission de Takeshi à l'encontre de sa femme était exceptionnel, surtout dans une société dont les racines patriarcales étaient encore bien ancrées dans bien des strates de la société. Le clan du Scorpion avait toujours fait office d'exception à cette règle, parmi tous les autres clans majeurs qui pouvaient composer le Shogunat, et qui outre le fait qu'ils aient été les inventeurs de la doctrine du Ninjutsu, avait été l'une des raisons principales pour lesquelles ce clan était considéré comme ayant un honneur...particulier, pour ne pas dire aucun. Nyotengu avait certes pour elle une beauté et une présence que d'aucuns considèreraient comme surnaturelle, mais cela n'ôtait en rien le côté tout à fait unique de cette dévotion de son époux, qui était allé jusqu'à se Seppuku devant elle pour lui prouver sa loyauté et son amour. Ce fait revint dans la bouche de son petit chien, alors que ce dernier se prosternait devant elle dans une position de soumission complète, visiblement fort « perturbé » par le fait qu'elle venait de lui avouer, du moins à sa manière, que l'affection qu'il ressentait pour elle était réciproque. A cela...Nyotengu poussa un soupir, et glissa alors l'un de ses pieds sous le menton de Takeshi pour le faire se redresser, avec toute la sensualité qui émanait naturellement d'elle.

Tu m'en vois ravie Takeshi...mais tu parles trop. Mes pieds, maintenant.

Nyotengu aimait toujours entendre son petit chien se rabaisser de lui même face à elle, surtout qu'il semblait bien prendre lui même du plaisir à se considérer comme bien inférieur à son épouse...mais sur ce moment précis, c'était tout sauf ce que la Shogun avait envie qu'il fasse. Parler l'empêchait de venir lui lécher les pieds, et Nyotengu avait envie de quelque chose de bien plus physique et concret que des paroles, elle voulait des actes, alors la Shogun les exigea d'un ton qui était sec, mais qui montrait aussi son impatience et son désir. Takeshi se décida alors enfin à s'exécuter, et Nyotengu poussa un délicat soupir en sentant sa langue parcourir la plante de son pied, avant de filer en direction de ses orteils dont il entreprit de s'occuper l'un après l'autre.

Oui là...continue...

La Shogun adorait qu'on s'occupe ainsi de ses pieds, car au delà de la sensation en elle même, il y avait aussi la position de dominante complète que cela lui conférait, surtout dans le cas de Takeshi. Lui qui se devait d'apparaître comme un guerrier fort en public, devenait une toute autre personne dans l'intimité, humilié et cocu à bien des reprises, mais qui pourtant en redemandait...et c'était bien cette relation si particulière qu'elle entretenait avec Takeshi qui rendait leur couple possible sans doute sur une très longue durée, car il se laissait entièrement dominer par elle, et en tirait même un plaisir certain. Après l'avoir laissé lécher et sucer les orteils de son pied droit pendant un moment, Nyotengu le déplaça de façon à plaquer la plante de son pied contre le visage de Takeshi, sur toute sa longueur, écrasant même quelque peu son nez pour rendre sa respiration juste un tout petit peu plus difficile.

Ça t'avait manqué hein ? Petit chien...

Elle n'attendait pas de réponse de sa part car elle était partiellement en train de l'étouffer, d'autant qu'elle plaquait bien la plante de son pied contre son visage dans l'optique qu'il lèche, encore et encore. Du moins, jusqu'à ce qu'elle ne retire son pied, mais c'était uniquement pour le remplacer par l'autre qui avait été jusque là complètement laissé de côté. Aucun ordre n'était nécessaire à ce stade, puisque Nyotengu maintenait son pied tendu en direction de Takeshi juste en face de sa bouche, orteils pointant dans sa direction et juste à quelques millimètres de ses lèvres...pendant qu'elle était en train de descendre son autre pied bien plus bas, afin d'aller délicatement titiller avec ses orteils le sexe de Takeshi toujours emprisonné dans la cage de chasteté.

Une fois que tu en aura fini ici, tu remontera pour venir me satisfaire. Et si j'estime te performance satisfaisante, peut-être que je pourrais considérer l'idée de te retirer ta cage...alors applique toi.

De la qualité de ce léchage de pied puis du cunnilingus qu'elle exigeait de lui, allait donc dépendre sa libération...ou non.
Image

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
Satisfaire Nyotengu était le principal objectif de Takeshi. C’était même sa raison de vivre. Pour elle, il avait sacrifié sa vie, et il endurait toutes les humiliations qu’elle lui faisait subir. Il l’endurait d’autant plus qu’il avait même fini par l’accepter, par apprécier tout ça… Ce sentiment de lui appartenir pleinement, cette soumission totale et absolue… Il aimait ça, et il l’aimait, elle. Tous ceux qui pensaient l’inverse, tous ceux qui pensaient que Takeshi ourdissait un complot contre elle… Ils se trompaient totalement. Comment lutter contre une telle beauté ? Qu’elle lui permette de lui baiser les pieds, voilà qui était déjà un immense respect, une preuve d’amour qu’il ne pensait pas mériter. Tout ce qu’elle lui offrait était un don du Ciel. Takeshi ne se contentait pas de l’aimer, il la vénérait, tout simplement. Toute autre interprétation serait erronée !

Face à elle, il tremblait doucement, sentant son sexe lui faire mal. Elle lui présenta naturellement son pied, et l’écrasa même sur son visage. Chaque portion de son corps était un raffinement en soi, une perfection inégalée. Il sentit ce pied caresser  son visage, tandis qu’elle lui intima un ordre simple…

Celui de lécher.

Elle avait posé préalablement son pied sur son menton, pouvant sentir une absence totale de poils. Ses orteils finement entretenus, légèrement tranchants, glissèrent sur sa peau, lui arrachant des frissons. Pour elle, il était totalement imberbe, et elle pouvait le punir fortement quand il avait l’audace de venir en étant mal rasé. Il sentit son érection rugir quand elle posa son pied sur son menton, sa gorge s’assécher quand elle le redressa, puis elle lui ordonna donc de lécher.

« Haaa… Maî-Maîtresse… »

Il déglutit, et sa langue lécha le dessus du pied, filant de la base des orteils pour remonter. Il sentait l’os sous sa langue, et embrassa ensuite le haut du pied, à la jonction avec le tibia. Il embrassa cette zone, y frottant son visage, léchant ensuite autour du gros orteil, déposant des baisers supplémentaires. Un silence s’instaura entre eux, rompu par les délectables soupirs de l’Impératrice, et par le bruit de ses baisers.

*Je lèche directement sa peau !*

Habituellement, elle portait des collants. Il avait fallu beaucoup de temps pour qu’il ait le droit de faire ça, car, initialement, Nyotengu refusait tout contact corporel. Takeshi avait naturellement respecté son choix, et, maintenant, son Impératrice n’hésitait plus à se déshabiller en sa présence. Difficile de compter le nombre de fois où elle l’avait « trompé », et ce d’autant qu’elle aimait beaucoup le forcer à assister à ses séances, le punissant ensuite lourdement s’il ne faisait pas un compte-rendu de ce qu’il voyait. Elle voulait notamment qu’il indique le nombre de fois qu’elle avait atteint l’orgasme, estimant que Takeshi se devait de la connaître parfaitement.

Il lui arrivait parfois de mentir juste pour le plaisir masochiste qu’elle le punisse.

Mais, là, présentement, Nyotengu lui avait trop manqué pour qu’il se permette de jouer ainsi avec elle. Il fantasmait sur l’idée qu’elle lui écrase encore le sexe avec les pieds. Il avait interdiction de jouir, et, grâce à cette cage de chasteté magique, Nyotengu savait quand il désobéissait. C’était l’une des rares fois où elle le punissait très sévèrement, et l’un des ordres qu’il n’osait donc pas violer. Il léchait donc ce pied, l’embrassait, revenant aux orteils qu’il titillait avec amour, léchant la pointe des ongles, embrassant ces derniers, filant entre les orteils ensuite…

Il frémit alors quand elle écrasa son pied sur son visage, le frappant presque. Il gémit doucement, les joues rouges, et sentit sa plante écraser ses lèvres, le reste du pied s’aplatissant sur son nez, l’étouffant partiellement.

« Hmmm… ! »

Takeshi déglutit, avant de sentir ce pied se déplacer lentement, imprimant sa peau. Nyotengu était très agile, et l’interrogea. Takeshi ne put qu’acquiescer :

« O-Oui, Maîtresse… Tout de vous me manque… »

C’est ce qu’il réussit à dire quand elle consentit enfin à écarter son pied. Pendant ce temps, il avait léché sa plante, autant qu’il le pouvait, sa queue continuant à l’élancer furieusement. Oh, quelle douleur ! Sa queue était comprimée dans l’étroitesse de sa cage, et elle déplaça ensuite ses pieds. Son pied droit fila sous lui, venant s’appuyer sur sa cage de chasteté, tandis qu’elle présenta l’autre, le pied gauche, devant lui.

« Maî-Maîtresse… » bredouilla-t-il.

Le pied droit de Nyotengu flatta sa verge à travers la cage, et il gémit, sentant la douleur revenir encore. Il se pencha vers le pied de gauche de Nyotengu, et lui appliqua le même traitement, l’embrassant et le léchant avec tendresse et amour. Elle lui avait ordonné de remonter, ce qui signifiait qu’elle était excitée. Là encore, c’était une marque de progression. Il y a encore quelques mois, elle le repoussait quand il faisait mine de trop s’approcher. Maintenant, son humeur l’amenait parfois à accepter qu’il remonte, mais Takeshi devait bien admettre être surpris (et même excité) qu’elle lui proposa aussi spontanément de remonter sur sa jambe parfaite. Toutefois, elle n’avait pas précisé jusqu’à où il pouvait remonter, laissant ainsi à Nyotengu la perspective de le punir ensuite… Chose qui ne manqua pas de l’exciter.

Mine de rien, à force d’être ainsi puni et humilié par elle, Takeshi y avait pris goût. Il aimait que cette femme à la beauté parfaite le martyrise, qu’elle l’humilie… Elle lui rappelait qu’il n’était pas son égal, tout simplement.

« B-Bien, Maîtresse… Ma… Ma verge me fait mal… » gémit-il.

Il savait que cela l’exciterait, et il continua à lécher et à embrasser son pied, jusqu’à remonter sur sa jambe. Il donna alors des coups de langue, et se risqua à relever sa main, attrapant la base du pied de Nyotengu. Il s’en servit comme appui, et commença à remonter, les minutes défilant. Il croisait son regard, espérant y lire un désir évocateur. Il aimait que Nyotengu le punisse, bien sûr, mais Takeshi aimait aussi lui faire plaisir. Nue face à lui, elle était d’une beauté surnaturelle, sa beauté qui lui offrait l’occasion de la lécher, de toucher à son corps parfait, de l’honorer… Et lui continuait à remonter, embrassant finalement sa rotule, arrivant ainsi sur le genou. Il sentait l’os, et déposa plusieurs baisers supplémentaires. Jamais il n’avait été au-delà, et, la dernière fois qu’il avait essayé, Nyotengu l’avait repoussé, puis lui avait écrasé le sexe sous son pied jusqu’à ce qu’il en jouisse. Allait-il prendre le risque cette fois ? Takeshi hésita un peu…

…Puis passa au-delà, embrassant son genou, et sa cuisse, remontant toujours plus, sans savoir comment son Impératrice allait réagir, ce qui l’excitait furieusement… Car, qu’elle le punisse ou qu’elle le laisse encore monter, il prendrait son pied dans tous les cas !
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Nyotengu Hattori »

Avatar du membre
Nyotengu Hattori
Messages : 35
Enregistré le : 15 août 2024 13:23
Existait-il une meilleure sensation au monde, surtout après avoir passée une longue journée, que de pouvoir se poser à l'Onsen et de se faire vénérer comme une déesse par son époux complètement soumis ? Takeshi était ce qu'on pouvait appeler une perle rare à ce niveau là, dont Nyotengu profitait à son plein potentiel, même si en réalité leur relation n'en était encore qu'à ses balbutiements...et que la Shogun avait encore bien des surprises en réserve pour lui. Mais pour le moment, elle se "contentait" de profiter de ce qu'ils avaient l'habitude de faire jusqu'à présent, Takeshi qui était à genoux face à elle, et lui lui léchait les pieds avant de commencer à remonter le long d'une de ses jambes. Nyotengu lui en avait donnée l'autorisation, l'ordre même, alors il avait commencé à s'exécuter...avec cette lenteur et cette dévotion qui étaient à la fois agréables et frustrantes. Le senti lécher et embrasser sa peau, en remontant le long de son mollet puis de son genou, était très agréable en soit, mais faisait aussi monter la température chez Nyotengu, qui commençait à éprouver suffisamment..."d'affection" envers son époux pour l'autoriser à aller de plus en plus loin avec elle. Les termes d'amour et d'affection chez elle étaient à prendre avec des pincettes bien évidemment, car en étant née et élevée au sein d'un clan qui enseignait que de tels sentiments pouvaient aisément être des faiblesses exploitables par l'ennemi, Nyotengu ne se laissait certainement pas aller dans les déboires de l'amour romantique, c'était un réflexe chez elle que de toujours conserver une certaine distance avec même ses plus proches. Néanmoins, il était indéniable que son attitude envers Takeshi s'était améliorée au fil des mois, au fur et à mesure qu'il lui prouvait sa loyauté et son utilité, Nyotengu le voyait de moins en moins comme le fils de celui qui avait massacré une bonne partie de sa famille...et de plus en plus comme son partenaire et époux, mais surtout comme son soumis.
Elle poussa un délicat soupir lorsque Takeshi commença à remonter ses lèvres au delà de son genoux, et qu'il commença à embrasser sa cuisses, se rapprochant un peu plus de son aine...mais prenant toujours son temps. Pour la défense de Takeshi, Nyotengu ne l'avait jusque là jamais autorisée à remonter jusque là, ou à s'approcher de son intimité d'une quelconque façon que ce soit, mais la Shogun n'était pas non plus du genre à accepter de lui chercher des excuses. Alors, quand elle nota qu'il hésitait encore, et que sa frustration atteignit un stade qu'elle n'avait plus envie de tolérer, elle prit les choses en main...littéralement.
Takeshi pourrait alors sentir l'une des mains de son épouse lui saisir les cheveux à la hauteur de son chignon, qui était extrêmement pratique pour avoir une bonne emprise sur sa tête, et sans plus de cérémonie...le poussa vers elle jusqu'à ce qu'il se retrouve avec le visage fourré entre ses cuisses, ses lèvres posées sur la vulve de Nyotengu...qui était quelque peu humidifiée par de la cyprine.

Tout grand guerrier que tu sois Takeshi, je constate que la subtilité continue de te passer par au dessus de ton petit crâne vide, alors permet moi d'être claire. Je veux que tu lèche mon sexe, et que tu me fasse jouir, "maintenant".

C'était dans ce genre de situation que l'on pouvait bien voir que Nyotengu n'avait absolument pas une mentalité de soumise, en ce sens où elle ne pouvait pas supporter très longtemps de la frustration sexuelle. Dominatrice, elle l'était entièrement, et remettait volontiers à sa place tout partenaire qui pensait pouvoir jouer avec elle. Bien entendu, c'était également là une partie du jeu pour Takeshi, qui aimait lorsque sa femme faisait preuve d'autorité à son égard, tout juste donnait-il à Nyotengu des raisons de le faire dans le cadre de leurs petits jeux intimes. Et si ce dernier souhaitait être humilié, dominé et puni par elle...et bien la Shogun n'était que d'autant plus encline à le faire. Nyotengu posa alors ses deux mains à l'arrière du crâne de son époux, saisissant ses cheveux à la base de son chignon pour tirer sa tête dans sa direction...puis il eut droit de sentir l'étau de ses cuisses se refermer autour de lui. Nyotengu resserra ses cuisses l'une contre l'autre, au point de fermement serrer la tête de Takeshi, puis croisa ses jambes dans son dos en imbriquant ses pieds l'un avec l'autre pour en quelque sorte faire un cadenas. Takeshi allait se retrouver à moitié étouffé ainsi, et il n'aurait donc pas d'autre choix que de se plier aux ordres de sa maîtresse, sans aucun moyen de repli, elle pouvait même encore serrer si d'aventure ce dernier devait avoir à être discipliné. Bien sûr, Takeshi étant un grand guerrier capable de combattre et défaire un Onryoki, ce n'était clairement pas une situation dont il lui était vraiment impossible de s'échapper...mais tous les deux savaient que ça n'arriverait pas, et qu'il allait juste se comporter comme un bon petit chien, et faire un cunnilingus à sa maîtresse. Ce serait une première pour Takeshi, la première fois qu'il avait un contact quelconque avec la fleur intime de sa femme, mais il avait en réalité toutes les clefs pour lui prodiguer du plaisir, vu le nombre de fois où il avait eu à regarder des Kunoichis de Nyotengu en faire de même, et où elle avait ordonnée à son époux d'être très attentif à ce qui se passait. Elle était aussi à peu près certaine qu'il allait se donner à fond pour cette première fois, non seulement car elle le lui avait ordonnée, mais aussi car son ego de mâle l'empêcherait de vouloir faire autre chose que de combler son épouse...et c'est effectivement ce qui se produisit.
Takeshi se mit à lui lécher son sexe, comme un bon petit chien qu'il était. De même, il s'avéra qu'il avait bien prêté attention à ses "leçons", car il ne sembla pas la lécher au hasard, mais parvint à localiser à a se concentrer sur son clitoris. Nyotengu en crispa ses doigts sur le crâne de Takeshi, et resserra encore un peu plus ses cuisses, mais surtout elle commença à pousser de petits gémissements de plaisir,

Là...là oui...hmmm...soit un bon petit chien Takeshi...lèche moi, fais jouir ta Maîtresse...

Nyotengu accompagnait les mouvement de langue de Takeshi, par des mouvements de son bassin, afin d'elle même aussi amplifier la sensation de plaisir qu'elle ressentait. La poigne qu'elle exerçait sur Takeshi était forte, elle tirait bien sur ses cheveux pour le forcer à se fourrer pleinement contre sa vulve, et serrait fortement ses cuisses pour l'étouffer. Oh bien sûr, elle prenait garde à ne pas vraiment trop l'étouffer, et Takeshi était de toutes façons physiquement bien trop en forme pour que Nyotengu puisse vraiment le faire dans cette position, mais elle lui rendait sa respiration plus difficile ainsi et ce d'une façon qu'il devrait sans doute considérer comme très excitante. Takeshi était littéralement entouré par la douceur et la chaleur du corps sublime de son épouse, qui ondulait également son bassin de façon à frotter d'avantage son sexe contre ses lèvres et sa langue, montrant un évident désir qu'il la fasse jouir. Peu à peu, Nyotengu se mit à sentir cette vague monter progressivement en elle, cette sensation impérieuse et « gênante » qui précédait l'orgasme et qui l'incitait à vouloir l'atteindre.

C-continue...encore...plus vite...Oh...oh ne t'avises pas de t'arrêter...Oh...Haaaa...

Si proche, elle serra fortement ses mains sur les longs cheveux de Takeshi, et quand l'orgasme la traversa, serra d'autant plus ses cuisses contre lui et se tortilla sur place au rythme des contractions de ses muscles. Takeshi eut droit à une petite déferlante de cyprine, au goût doux et légèrement sucré, définitivement altéré par le biais de la magie, et si Nyotengu n'était ce qu'on appelait communément une femme fontaine, son époux aurait tout de même de quoi s'abreuver. La jeune Shogun eut donc un bel orgasme qui dura de longues secondes, à l'issue duquel elle défit progressivement son emprise sur le crâne de Takeshi, desserrant ses cuisses, et glissant alors ses mains vers chacune des joues de son époux pour l'inciter à se redresser.
Lorsque le visage de Takeshi fut à hauteur du sien, Nyotengu s'approcha alors vivement pour échanger avec lui un baiser sensuel, où elle glissa avidement sa langue dans sa bouche pour entamer un ballet avec la sienne qui dura une bonne minute, avant qu'elle ne se retire en laissant un léger filet de salive encore lier leurs deux bouches.

Bon petit chien...

Elle se recula alors légèrement, poussant Takeshi un peu en arrière avec ses mains, avant de redresser l'une de ses jambes de façon à pouvoir poser son pied à plat sur le torse de Takeshi, et le poussa alors de façon à ce qu'il se trouve allongé au sol. Puis, tandis qu'elle déplaçait son tabouret de façon à pouvoir l'installer dans une position qui lui permettrait, avec ses pieds, de pouvoir atteindre toute partie du corps de Takeshi, elle murmura quelques mots chargés d'énergie magiques, qui firent disparaître la cage de chasteté de son époux. Cela lui permit de laisser pleinement exprimer son érection, sur laquelle Nyotengu posa alors de façon quasi immédiate ses deux pieds qui formèrent un étau sur sa queue très dure et sensible...et commença à le masturber avec.
Image

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
Peu de gens osaient remettre en doute la virilité du Prince. S’il y avait parfois des rumeurs, elles ne prospéraient jamais, car Takeshi était un guerrier d’exception. Il avait réussi bien des combats que beaucoup estimaient impossibles. Takeshi était un guerrier de légende, et sa récente victoire sur un onryoki ne ferait que s’ajouter à sa légende. Comment croire qu’un tel guerrier puisse, paradoxalement, être totalement soumis à sa femme ? C’était pourtant le cas, et même pleinement le cas ! Jamais Takeshi n’oserait se considérer comme l’égal de Nyotengu. Dès le jour où il l’avait vu, il savait qu’il l’aimerait, qu’il l’adorerait, et toute sa vie n’avait été consacrée qu’à ça. Il l’avait aidé autant que possible, et continuerait toujours à le faire. Certains pouvaient dire que c’était une manière de compenser tout ce que Nyotengu avait subi du fait de son père, mais c’était surtout parce que Takeshi était amoureux. Un amour total et plein, qui ne refusait aucune restriction. Takeshi était avant tout prisonnier de son amour, un prisonnier consentant qui acceptait toutes les humiliations que Nyotengu lui avait fait subir. Néanmoins, il ne pouvait que noter une nette amélioration chez l’Impératrice. Elle qui le considérait au début avec dégoût, avait pris peu à peu goût de sa compagnie. La première fois qu’elle avait autorisé à ce qu’il lui lèche les pieds, Takeshi avait vu cela comme un cadeau inestimable, la possibilité d’embrasser son idole. D’elle, il savait tout, car il l’avait vu se faire baiser à chaque fois. Il savait quand elle était sur le point de jouir, il pouvait le reconnaître à ses contractions musculaires, à son timbre de la voix… Il l’aimait de l’amour ultime, l’amour désintéressé et sacrificiel, un amour tel qu’il s’offrait entièrement à elle. Sa soumission était l’expression la plus pure de cet amour immense qu’il lui vouait.

Toutefois, il avait su dès son entrée dans l’onsen que sa femme était inquiète. Avait-elle réalisé qu’elle l’aimait ? Takeshi se devait bien d’admettre que cette perspective l’emplissait d’une certaine fierté. Elle avait dû apprendre que Takeshi avait affronté un onryoki. Cette perspective l’avait inquiété, et il se doutait que cela avait dû l’amener à voir qu’elle éprouvait des sentiments pour lui. Takeshi se trouvait donc dans une situation confuse. Il avait tellement appris à lécher ses pieds qu’il le faisait désormais trop bien. Il savait que chaque partie du corps de Nyotengu était sensible, et, quand il léchait ses pieds, il cherchait à titiller le nerf sciatique. Les frissons remontaient ainsi tout droit à la zone sensible, le bassin. Takeshi s’était expérimenté dans ce domaine. Pour elle, il voulait être la perfection, et il s’en sortait bien, car il devinait, à ses soupirs, que Nyotengu en voulait plus. Takeshi s’était donc naturellement dirigé vers son sexe, mais sans oser aller jusque-là… Ce qui amena Nyotengu à saisir d’une main ferme ses cheveux.

« Maî-Maîtresse… »

Il se retrouva le visage contre son sexe, et huma cette zone. Takeshi trembla en sentant cette odeur si sucrée, si intime. Il était là, contre le sexe de sa Maîtresse. Elle était parfaitement épilée, et sa fleur était en soif. Il déglutit doucement, et entrouvrit les lèvres, venant lécher cette zone. Les jambes de Nyotengu se relevèrent, et passèrent chacune par-dessus ses épaules, se croisant dans son dos. Le brave homme soupira doucement, sentant les jambes se resserrer sur son cou, l’étouffant à moitié, l’étranglant dans un cocon de chaleur et de douceur. Si proche d’elle… Si proche ! Sa langue s’enfonça en elle, et il sentit sa verge lui faire atrocement mal. De cela, Nyotengu se moquait, mais il voulait tout de même qu’elle le sache, qu’elle sache combien elle l’excitait… Combien il l’aimait ! Néanmoins, Takeshi, qui avait la chance inouïe de pouvoir ainsi s’attaquer à la zone la plus intime du corps de sa Maîtresse, s’affaira à cette tâche. Il s’était déjà entraîné sur des mannequins, et s’évertuait donc à agir au mieux. Sa langue s’enfonça en elle, et, plutôt que de chercher à juste la remplir, il chercha son organe de plaisir. Ses mains s’étaient déplacées, et se posèrent sur les cuisses de sa Maîtresse. Il s’y appuyait, et s’en servit comme soutien, utilisant sa langue pour titiller son bouton de plaisir.

« Hm… ! »

Takeshi utilisait aussi ses mains pour appuyer sur les jambes de Nyotengu, afin de serrer le plus possible. Il voulait la sentir contre lui, elle tout contre lui… Oh, que c’était bon ! Takeshi frémit lentement, continuant à la lécher. Il anticipait ses soupirs, ses contractions, et il savait quand elle allait rompre… Ce qu’elle finit par faire ! Il la sentit jouir, il sentit ses deux mains serrer fortement ses cheveux, et elle aspergea son visage de sa mouille intime, un nectar savoureux et sucré que Takeshi accueillit pleinement. Il continua à la lécher, recueillant de sa mouille, de son nectar divin, et la sentit s’abandonner. Elle soupira longuement, et il la sentit ensuite se calmer. Elle venait de jouir.

Et il venait de la faire jouir.

Elle, sa femme, sa Maîtresse. Elle venait de jouir. Grâce à lui.

Cette vision le remplit de joie, et il déglutit lentement, un peu sonné. Il sentit la douce main de Takeshi appuyer sur son menton, et le jeune Prince se releva, croisant le regard de sa femme… Un regard d’une douceur incroyable. Il venait de lui faire avoir un orgasme, et il sentait en elle un amour profond, sincère, honnête… Il sentait qu’il avait percé son armure, cette femme dominatrice qui se refusait à exprimer le moindre sentiment. Là, en ce moment, la façon dont elle le regardait… C’était de l’amour, une passion intense et sincère. Takeshi déglutit, et les deux amants s’embrassèrent avec appétit. Il se pressa contre elle, sentant la langue de sa femme, sentant ses lèvres incroyables. Sa Maîtresse était merveilleuse, tout simplement ! Elle se pressa contre lui, belle, parfaite, et il l’enlaça, caressant son dos, sa nuque, ses longs cheveux… Des sensations exquises, incroyables ! Mais rien ne valait le goût de la bouche de sa Maîtresse, sauf peut-être quand il avait pu la faire jouir. Elle se pressait contre lui, avec force, et il se sentait plus amoureux que jamais envers elle ! Il l’accueillit donc avec envie, et le baiser s’éternisa… Tout en lui semblant néanmoins trop rapide. Un paradoxe éternel en pareille matière.

Quand elle rompit le baiser, Takeshi ne savait quoi dire. Il frissonna en sentant la langue de Nyotengu sortir de ses divines lèvres pour nettoyer la salive qui les reliait, et il frémit quand elle le récompensa. La lueur dans ses yeux changea un peu, Nyotengu retrouvant cette dureté qui la caractérisait, et qu’il aimait tout autant. Après tout, il n’y avait rien d’elle qu’il n’aimât pas.

« Maîtresse… » soupira-t-il.

Bon petit chien… Que pouvait-il demander de plus ? Elle le repoussa du pied, et il se coucha sur le dos, encore sonné. Il déglutit en la sentant appuyer sur son torse avec son pied, et déplaça ses mains, caressant brièvement ce pied, ce pied qu’il avait si longuement léché. Sa verge se rappela à lui, dans une douleur exquise, et Nyotengu déplaça son tabouret. Elle se recula un peu, et il frémit quand elle usa de sa magie, pour rompre la cage de chasteté. Il soupira alors en sentant sa verge se déployer, et déglutit. Elle posa ses deux pieds sur sa verge, et commença à le masturber, glissant les orteils, puis les talons, rejoignant les deux talons pour coincer son membre durci entre ses talons.

Cette cage de chasteté n’était pas ordinaire. Magique, elle canalisait l’énergie sexuelle retenue de Takeshi pour la laisser exploser… Mais avec le risque que cette frustration emmagasinée n’éclate.

« Maî-Maîtresse… Haaa… Si… Si vous continuez, je… »

Elle le savait, puisque c’était elle qui avait conçu cette cage. Takeshi soupira, et eut son premier orgasme. Sa verge tendue, assoiffée, expulsa des filaments de foutre, qui s’envolèrent en l’air, et retombèrent sur les pieds de Nyotengu. Takeshi soupira encore, sa verge retrouvant naturellement sa dureté. Il soupira encore, toujours aussi excité, le corps en sueur. Signe de son excitation féroce, un inmon avait commencé à se former sur son pubis, témoignage du désir furieux qu’il ressentait, et d’un appétit sexuel qui ne risquait pas de diminuer…

« Maî-Maîtresse… » gémit-il à nouveau, totalement offert à elle.
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Nyotengu Hattori »

Avatar du membre
Nyotengu Hattori
Messages : 35
Enregistré le : 15 août 2024 13:23
C'était leur petit rituel, lorsque Nyotengu estimait que son époux méritait une récompense. Leur mariage n'avait pas encore été consommé en l'état même si cela faisait maintenant plusieurs mois qu'ils l'étaient, Takeshi était toujours vierge et devait se contenter de voir sa femme se faire prendre par d'autres, mais il avait déjà eu l'occasion à plusieurs reprises de se faire masturber par les divins pieds de son épouse. Nyotengu appréciait cela, sans doute pas autant que Takeshi lui même, mais elle aimait le côté hautement dominatrice que cela lui conférait sur Takeshi, qui se pliait en bon petit soumis lorsqu'elle daignait lui offrir du plaisir avec ses pieds. Pouvait-il en être autrement ? Nyotengu était une magnifique créature, dont la beauté naturelle était encore amplifiée par le fait qu'elle bénéficiait de tous les soins que pouvaient lui permettre son statut de Shogun. Ses pieds étaient donc à l'image du reste de son corps, d'une parfaite beauté, et elle portait d'ailleurs un petit vernis à ongles rouge sur ses orteils de façon à les mettre encore plus en avant...un véritable cadeau pour un fétichiste des pieds, ce qu'était indéniablement Takeshi.
Nyotengu était donc assise sur un petit tabouret en bois, très simple, dont elle se servait comme appui pour masturber son époux. Elle y allait à l'aide de ses deux pieds, se maintenant en équilibre à l'aide de ses mains sur les rebords du tabouret, pendant qu'elle frottait assez vigoureusement le sexe de Takeshi. Coincé entre les orteils et les talons de ses deux pieds, la queue de l'homme tressautait déjà à ce contact, et Nyotengu savait qu'il lui en faudrait peu pour qu'il jouisse. Ayant passé cette fois-ci une poignée de mois avec sa cage de chasteté magique, cette dernière avait permis d'enmagasiner une grande quantité d'énergie sexuelle qui était maintenant à "disposition" de l'homme, énergie qui était proportionnelle au temps qu'il avait du passer en chasteté complète.
Nyotengu souriait malicieusement en le voyant se tortiller sur place, tremblant d'excitation, ayant du mal à parler, et il lui fallu moins d'une petite minute pour jouir. La Shogun sentit le sexe de son mari se tendre encore plus et tressauter sous ses pieds, et avec ses orteils recouvrant en grande majorité son gland, ce fut eux qui intercèptèrent une grande partie du sperme chaud et gluant, qu'il éjacula en longs filaments. A l'issue de cet orgasme, Takeshi sembla reprendre un peu de son calme, le premier était toujours celui que Nyotengu tâchait de lui faire avoir le plus vite possible, car il était le synonyme de sa libération après avoir été un bon garçon. La nuit ne faisait toutefois que commencer, car après plusieurs mois consécutifs à porter sa cage, Takeshi avait bon nombre d'orgasmes en "stock" et un désir sexuel qui allait avec, n'importe quel homme se serait contenté de lui sauter dessus pour la baiser, et seule la soumission complète de Takeshi lui permettait de garder ce contrôle. C'était là leur contrat tacite, que Nyotengu restait en toutes circonstances en contrôle, et qu'en échange à l'occasion, ce dernier pouvait disposer des faveurs sexuelles qu'elle voulait bien daigner lui donner, là encore avec Nyotengu toute en contrôle.

Et bien et bien...tu n'a même pas été capable de te contrôler cette fois-ci mon pauvre Takeshi...mes pieds t'avaient donc tellement manqué que tu les salis de ton sperme gluant, regarde donc ce que tu as fait...

Tout en disant cela, Nyotengu déplaça l'un de ses pieds au dessus du visage de son époux, qui était allongé dans la partie de l'onsen où l'eau était la plus basse. Elle lui montra, pendant quelques secondes, ses orteils largement couverts de foutre, avant de justement les orienter en direction de la bouche de son époux.

Nettoie moi ça petit cochon.

Nyotengu avait retirée son deuxième pied également, mais le baignait dans l'eau chaude de l'onsen pour le nettoyer, n'en laissant de fait qu'un à Takeshi pour nettoyer. Si Nyotengu ne se lassait jamais du fait de sentir la langue de son petit chien sur ses pieds, elle souhaitait aussi passer à autre chose, car elle avait...de nombreuses surprises à faire découvrir à son époux. Elle attendit patiemment que Takeshi fasse son office, savourant encore la sensation de sa langue, de ses lèvres et de ses dents sur ses orteils délicats.

Bien...relève toi.

Nyotengu en fit de même, se tenant debout face à son époux. Ce dernier pu alors voir que, de la même manière qu'un inmon s'était dessiné à l'endroit de son pubis, le même ornait désormais celui de Nyotengu. Cette dernière se saisit d'ailleurs de l'une des mains de son époux pour l'amener à se poser dessus, tandis qu'elle le regardait dans les yeux avec une lueur dans son propre regard qui était...inédite.

Tu le sens Takeshi ? Ce n'était pas là encore avant...toi et moi...nous commençons à n'être qu'un. Viens, suis moi.

Tout ça était très crytpique, même si Takeshi pourrait peut-être se faire quelques hypothèses par le fait que cet inmon était effectivement nouveau, et que sa femme portait exactement le même, qui s'était manifesté au même moment que le sien. Nyotengu le tenait par la main, et le mena hors de l'onsen, traversant au passage quelques pièces des quartiers qui leurs avaient été assignés par leurs hôtes, jusqu'à une chambre luxueuse. Dès leur arrivée à l'intérieur, Nyotengu tourna sur elle même pour venir se coller contre Takeshi, et vint l'embrasser subitement pendant un petit moment. Se lovant contre lui, ses agréables seins contre son torse galbre, et son bas ventre contre son sexe dressé, avant qu'elle ne se retire, posant alors une main sur une des joues de son époux.

A ce stade, tu dois sans doute te demander pourquoi Hanzo ou des Kunoichis ne sont pas déjà venues. C'est parce que cette nuit, il n'y aura que toi et moi, Takeshi.

Elle laissa quelques secondes de silence s'installer, pour laisser à Takeshi l'occasion de commencer à comprendre où elle voulait en venir. Puis, elle posa sa deuxième main sur le sexe de son époux, l'enfermant dans l'étau de ses doigts délicats en le masturbant très doucement.

Tu as été un bon garçon ces derniers mois, et tu as prouvé ta loyauté en tant que bon petit soumis, et en tant qu'époux. Ce soir, tu as droit à une récompense. Ce soir, toi et moi, nous allons consommer notre mariage. Et comme contrairement à Hanzo ou à quiconque, tu es mon mari...tu es le seul homme que je vais autoriser à jouir en moi. Et qui sait...peut-être que tu me donnera un enfant ?
Image

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
Dans leur rituel, après chaque séance de masturbation plantaire, Nyotengu l’emmenait dans une chambre pour qu’il la regarde faire l’amour, soit avec Henzo, soit avec les deux sœurs kunoïchi. Elle lui remettait alors sa cage de chasteté, l’agrémentant parfois d’un plug anal, et le laissait voir, sans pouvoir participer. Même s’il avait senti une inquiétude inhabituelle chez sa femme et Maîtresse, Takeshi ne s’attendait pas vraiment à ce qu’elle change au point qu’ils aillent plus loin ensemble. Mais, après tout, qu’elle le masturbe avec ses pieds, c’était l’une des plus grandes marques d’affection qu’elle lui ait témoigné. Quand elle tendit son pied vers ses lèvres, Takeshi, qui oubliait toute dignité avec elle, attrapa ce délicieux pied, d’une douceur infinie, et le suçota lentement. Il lécha ce pied, avalant son propre sperme, une chose à laquelle il était habitué. Nyotengu s’appuyait avec talent sur le tabouret pour rester assise sans qu’un seul de ses pieds ne touche le sol.

« Hmmm… J-Je suis désolé, Maîtresse, de j-jouir si vite… Vous m’avez tellement manqué… »

Takeshi aimait tout d’elle. L’amour qu’il lui portait confinait à la vénération, à une sorte d’adulation profonde et sincère. Il nettoya donc consciencieusement son pied, puis, quand elle lui fit signe de se relever, Takeshi obtempéra. Il rougit doucement en la voyant, et son érection était toujours là. Takeshi fut ensuite surpris quand elle lui signala la présence d’un inmon.

« Oh… »

Il observa le pubis de Nyotengu, et rougit encore en voyant, effectivement, un inmon en forme de cœur violet. Il scintillait à hauteur de son pubis, sous son nombril, et Takeshi le toucha instinctivement. Il sentit l’inmon vibrer, s’illuminant chaudement, et constata qu’il en avait également un, lui aussi. Ces marques magiques étaient des symboles de luxure, de désir sexuel. Leurs effets étaient variables selon les types d’inmon, mais, dans l’absolu, l’idée était d’accroître le désir sexuel. Le fait qu’ils aient tous les deux le même inmon était en revanche très spécial, et témoignait d’un lien particulier entre eux deux. Ce n’était pas lié au hasard, et ce qu’elle dit le surprit également… Eux, « ne faire plus qu’un »… Takeshi savait que, avant d’être la Shogun, Nyotengu était aussi une alchimiste d’exception. Les aphrodisiaques et les élixirs en magie rose étaient fréquents, et il se demandait ce qu’elle avait fait.

Et cette lueur dans son regard… Nyotengu ne l’avait jamais regardé ainsi, et il connaissait bien ce regard. C’était celui qu’elle faisait quand elle jouissait. Takeshi l’avait suffisamment vu céder à l’orgasme pour savoir à quoi elle ressemblait dans cet état. Ce regard transi d’amour le surprenait, et il la suivit donc, attrapant sa main. Le duo fila à l’intérieur du Palais, et ils rejoignirent une chambre assez spéciale… La « Chambre d’Eau », un lit qui se trouvait devant une grande piscine intérieure, qui était dans le prolongement de la source d’eau, également à l’origine de l’onsen. Takeshi fut surpris de ne pas voir Hanzo ou les kunoïchi à l’intérieur, et, quand le duo entra, Nyotengu se retourna brusquement contre lui… Et l’embrassa alors en bondissant contre lui. Takeshi écarquilla les yeux ! Il en fut si surpris qu’il mit quelques secondes à réagir, et l’enlaça brusquement. Sa main se posa sur ses cheveux, et l’autre sur le bas de son dos.

Takeshi sentit les seins de Nyotengu heurter son torse, et le baiser dura un certain temps. Il y répondit instinctivement, et sa verge durcit fortement. Les lèvres de Nyotengu étaient magnifiques, et elle le masturba ensuite. Takeshi tremblait nerveusement, l’écoutant parler. Point de Hanzo à venir, mais eux, juste eux… Ils allaient consommer leur mariage, et, quand elle évoqua l’idée de porter son enfant…

La verge de Takeshi jouit à nouveau. Le jeune Prince ne put se retenir, et la vague l’emporta. La main de Nyotengu se recouvrit de sperme, quelques jets fusant à travers ses doigts pour décorer son bas-ventre. Mais l’orgasme lui vida aussi la tête. Sa verge n’avait cependant nullement dégrossi, et il posa sa main sur la joue de Nyotengu, la caressant. Il attrapa ensuite la main de Nyotengu, et la posa sur sa cicatrice, à hauteur de son ventre.

« Nyotengu… Je t’ai déjà offert ma vie, et tout ce que je suis. »

Il s’agenouilla alors devant elle, en position de seiza, soit la tête proche du sol, frôlant ses pieds.

« T’offrir un enfant serait la plus belle chose que je puisse faire de toute mon existence, Nyotengu. Je t’aime plus que je m’aime moi. Si tu m’estimes suffisamment digne pour que je t’offre un enfant, c’est la plus belle des récompenses pour moi. »
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Nyotengu Hattori »

Avatar du membre
Nyotengu Hattori
Messages : 35
Enregistré le : 15 août 2024 13:23
Le changement de dynamique promettait d'être radical, même si il n'allait pas non plus en changer les fondations même, et ce fut sans doute pour cette raison que Takeshi y répondit en jouissant assez vite entre les doigts de Nyotengu qui avait entreprit de le masturber à ce moment là. Elle y était pourtant allée très délicatement, mais Takeshi, après des mois à être enfermé dans sa cage de chasteté magique, avait les nerfs à fleur de peau. La paume de sa main ainsi que ses doigts se couvrirent donc d'une bonne couche de filets gluants de sperme, tandis qu'elle le regarda d'un air légèrement moqueur. Toutefois, Takeshi reprit assez vite ses esprits, et surtout sembla avoir quelque chose à ajouter, au vu de la façon dont il déposa une de ses mains sur sa joue, tout en prenant la sienne pour la poser sur sa cicatrice ventrale. Juste avant de s'agenouiller à nouveau face à elle, en position de soumission ultime selon les coutumes du Tao-Bong, il déclara lui avoir offert tout ce qu'il était, et qu'il était plus qu'honoré qu'elle l'estime digne de lui offrir un enfant.
Nyotengu demeura légèrement pensive, pendant quelques secondes, pesant le poids de ces mots, ce qu'ils représentaient. Tandis qu'il s'était agenouillé, la Shogun avait nonchalament essuyée sa main souillée par le sperme de son mari, dans un des draps du lit qu'ils allaient présentement partager. Cela pouvait sembler peu respectueux vis à vis de leur hôte de prime abord, mais la réalité était que les Doki s'attendaient sans nul doute à ce que cette litterie doive être changée après cette nuitée.
Nyotengu déplaca légèrement son pied, de façon à ce que ses orteils viennent flâter le bout des lèvres de son époux, qui ne manquerait sans doute pas de déposer quelques baisers dessus comme il avait l'habitude de le faire, mais surtout elle le déplaca encore plus en avant pour atteindre son menton. Là, elle redressa la plante de son pied, de façon à inviter Takeshi à redresser son visage vers elle. Nyotengu avait à ce moment une braise bien visible dans son regard, mais dont la signification demeurait énigmatique, comme assez souvent chez elle, il était difficile de déterminer exactement ce qui se passait dans sa tête, tant le masque de ses émotions et de ses intentions était solide.

Relève toi, Takeshi.

Sa voix était douce, posée, à un rythme parfaitement cyclique et maîtrisé, c'était dans des moments pareils que son éducation si particulière, en tant que membre de la famille dirigeante du clan du Scorpion, ressortait le plus. Elle attendit qu'il s'exacute, afin qu'il se retrouve de nouveau debout face à elle, Takeshi faisait aisément une bonne tête de plus que son épouse, et même un peu plus que ça...pourtant il était clair que le rapport de "domination "netre les deux ne se limitait pas à la taille, ou même au sexe. Elle glissa le dos d'une de ses mains sur l'une des joues de son partenaire, glissant ensuite ses doigts sur ses lèvres, tandis que ses intenses yeux rubis semblaient lire son âme.

Lorsque nous nous sommes mariés, je pensais qu'il ne s'agirait que d'une alliance politique pour les nécessités du Shogunat. La paix interne l'exigeait, un message fort envoyé aux autres clans pour marquer la fin de cette guerre civile. Ton père était responsable de la mort du mien, et malgré ta trahison pour me rejoindre, tu demeurais lié par le sang à celui que j'ai fait exécuter pour venger la mort de mon père. J'étais certaine que notre union durerait, au mieux, une poignée de mois avant qu'il ne te vienne l'idée d'écouter les murmures de certains, qui voudraient que tu me détrône, et que je ne doive envoyer mes kunoichis pour régler ce problème.

La perspective de peut-être devoir le faire un jour n'était d'ailleurs pas complètement partie de son esprit, et ne le serait jamais. La paranoïa était un trait de caractéristique très commun chez le Scorpion, car il était souvent synonyme de survie. Beaucoup utilisaient l'expression "panier de crabe" pour désigner une cour intrigante, mais au sein du Tao-Bong, nul ne correspondait mieux à cette description que le Scorpion.

Néanmoins, et envers tout ce que d'autres auraient voulu de toi, tu m'es resté loyal. Rien ne pourra jamais effacer le sang qui a coulé entre nos deux clans, mais tu t'es révélé être...un atout, et j'imagine même plus que ça. Il n'es jamais aisé pour une fille du Scorpion de tomber amoureuse, et encore moins de l'avouer, car c'est vu comme un signe de faiblesse. Tu ne me verra jamais te rendre ton affection de la même façon que tu le fais, mais elle est prise en compte Takeshi. Tu étais mon chien, et tu le restera toujours, mais je pense commencer à être ouverte à l'hypothèse que tu puisse aussi être mon époux et partenaire.

C'était la manière bien à Nyotengu de réciproquer l'amour de Takeshi, chose qu'elle ne ferait jamais en public, et certainement jamais de sa façon à lui. Elle le prit alors par les épaules, et le "jeta" alors de façon à ce qu'il se retrouve allongé sur le lit, puis vint le rejoindre en grimpant au dessus de lui.

Et être mon époux, Takeshi, va inclure ce que les Mijakiens nomment...le devoir matrimonial. En substance, toi et moi, nous allons être intimes plus souvent, au fur et à mesure que tu me prouvera que tu es capable de...satisfaire mes exigences. Considère cette nuit comme étant...un test...
Image

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
Takeshi avait dit ce qu’il avait à dire, et il en pensait chaque mot. Deux choses étaient évidentes et inébranlables chez lui : son sens de l’honneur, et l’amour qu’il vouait à Nyotengu. Si tout était clair chez lui, ce n’était toutefois pas le cas chez Nyotengu. Il était le fils d’un homme qui avait perdu son honneur, l’ancien daimyo. Takeshi savait ce que son père avait fait à Nyotengu et à sa famille, et il en portait le fardeau. Mais il était l’exact opposé de son père, et cela, Nyotengu le savait. Il était l’incarnation même de l’équilibre à trouver entre le yin et le yang, entre l’amour qu’elle lui portait, et la haine dont il héritait. Son combat redoutable contre l’onryoki av ait amené Nyotengu à réaliser qu’elle pouvait le perdre, et elle ne pouvait plus se mentir à elle-même. Cependant, admettre l’étendue de ses sentiments n’était pas non plus simple, alors Takeshi la sentait hésiter. Agenouillé devant elle, il attendait qu’elle prenne sa décision.

Il frémit quand il sentit le pied de Nyotengu caresser son menton, et l’embrassa naturellement. Elle lui ordonna ensuite de se relever, mais il ne sentait pas en elle son ton retenu habituel. Au contraire, Nyotengu semblait perturbée. Takeshi obtempéra rapidement, et se redressa donc. En croisant le regard de sa femme et Maîtresse, il ne put empêcher une érection de naître encore, venant le trahir. Elle s’était relevée à son tour, et il frémit en sentant la pointe des seins de Nyotengu caresser sa peau. Il laissa sa douce main caresser sa joue, la regardant, la sentant concentrée. Elle lui indiqua que leur mariage était pour elle à l’origine un simple mariage politique, une manière pour elle d’asseoir son autorité. Il l’écouta sans rien dire, mais elle lui indiqua ensuite qu’il lui était resté loyal, et que, si elle avait du mal à lui avouer ses sentiments, il en déduisit tout de même qu’elle réalisait être amoureuse de lui.

Takeshi rougit doucement, sans trop savoir quoi dire. Elle lui assura qu’il resterait son « chien », mais qu’il pourrait désormais être plus que cela. Takeshi déglutit… Puis Nyotengu le repoussa alors. Il tomba sur le lit, et, quand elle se dressa au-dessus de lui, il prit alors conscience qu’il avait une belle érection. Ses mains se posèrent sur les hanches de Nyotengu, non pour la retenir, mais simplement pour s’y appuyer. Il soupira lentement en la regardant, puis sourit.

« Je te l’ai dit, Nyotengu : je ne vis que pour toi, et pour te servir… Quoi que ça implique. Et je te garantis que ton petit chien se montrera à la hauteur cette nuit… »

Il sourit encore.

« Mais, tu sais, le devoir matrimonial… Cela implique que tu finisses enceinte… »

Cette simple idée fit trembler sa verge, qui caressa les lèvres intimes de Nyotengu. L’idée de la voir porter son enfant… Pour lui, ce serait l’accomplissement absolu de sa vie !
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Nyotengu Hattori »

Avatar du membre
Nyotengu Hattori
Messages : 35
Enregistré le : 15 août 2024 13:23
Voilà qui allait pour le moins...altérer la dynamique qu'ils avaient jusque là établi, ce qui était toujours un risque du point de vue de Nyotengu...mais également une nécessité. La Shogun connaissait la loyauté de Takeshi à son encontre, mais ne prenait jamais rien comme étant définitivement acquis, et la vérité toute aussi inconfortable soit-elle, était qu'elle avait besoin de lui pour véritablement asseoir son autorité sur les autres Daimyo. Il se contentait jusque là d'être son "petit chien" et d'être écrasée par elle, car il considérait qu'il le méritait au vu de leurs histoires de familles, mais Nyotengu avait aussi besoin qu'il soit...plus, bien plus que ça. Toute Shogun soit-elle à la suite de ses victoires contre le précédent qui avait été exécuté, le père même de Takeshi, sa place au sommet du Tao-Bong était en revanche toute sauf vraiment acquise. C'était la raison pour laquelle elle ne se trouvait pas dans son fief, mais faisait un tour des provinces de tout le territoire afin d'en visiter les chefs de clans, et de s'assurer de leur...loyauté.
Takeshi, en tuant cet onryoki qui avait terrorisé et massacré un village sous l'influence du Cygne, avait pour ainsi dire assuré que les Doji ne seraient plus vraiment un problème pour les Hattori. Le Cygne était de base un clan qui fournissait d'avantage le Tao-Bong en diplomates, ambassadeurs et artistes, plutôt qu'en soldats, mais leur positionnement géographique qui leur donnait accès à une bonne moitié des zones côtières du Shogunat en faisait aussi une puissance commerciale non négligeable dans l'économie locale, et ils étaient des voisins direct du Scorpion. S'assurer de leur loyauté, ou plutôt de leur non intervention en cas de conflits internes, était un bon premier pas...mais il en restait encore tant à faire, et certainement pas des plus simples.
Le Crabe était acquis à la cause de Nyotengu, un clan maîtrisant la deuxième moitié des côtes, et qui disposait aisément de la flotte la plus étendue. Le Crabe était peu prompt aux notions d'honneur, un peu comme le Scorpion ce qui avait permis un rapprochement historique entre les deux clans tout au long de leur histoire, mais c'était une allégeance qui pouvait flancher à tout moment au gré des situations. Le Phoenix et la Licorne étaient plus axés sur leurs problèmes internes, et tendaient à être neutres lors de conflits internes, mais ils étaient aussi réfractaires à payer les taxes que Mijak exigeait d'eux. Et puis, il y avait les deux derniers clans, mais pas des moindres, le Lion et le Dragon.
Le Dragon, à première vue, pouvait sembler être dompté au vu du fait que Takeshi avait épousé Nyotengu, mais cette dernière était tout sauf naïve, et se doutait bien que malgré la mort d'Horohito, les Marashima ne pardonneraient jamais aux Hattori cette humiliation de la défaite, et leur révolte avec laquelle ils avaient usurpé le titre de Shogun qu'il possédaient depuis des générations. Et puis il y avait le Lion, qui était un adversaire et rival éternel du Scorpion, des samurai élevant le respect du bushido au dessus de toute considération, ce qui ne pouvait qu'entrer en conflit avec le Scorpion qui suivait la philosophie guerrière du ninjutsu. Le lion pouvait être ainsi aisé à manipuler, mais sa fierté et son honneur le rendait difficile à dompter, et ce d'autant plus que les plaines fertiles de leur domaine en faisait un bassin de population important, qui leur permettait, et de loin, de fournir les armées les plus massives de tout le Tao-Bong.
Conquérir un trône était une chose, mais se maintenir dessus en était une toute autre. Ce n'était donc plus d'un petit chien dont Nyotengu avait besoin à ses côté, ou du moins, pas uniquement, et pour cela...leur mariage se devait de passer à une étape supérieure.

Nyotengu nota le léger changement d'attitude de Takeshi à la suite de ses dernières paroles, et alors qu'elle grimpait sur lui pour se mettre à califourchon, elle nota qu'il l'appela par son prénom, quelque chose qui s'était fait plutôt rare au cours de ces derniers mois. Elle s'en serait sentie offensée, par le passé, mais elle commençait à entrevoir un Takeshi qui serait son partenaire, qui toutefois réitéra son serment de loyauté absolue envers elle. Puis, tandis qu'il posa ses mains sur ses délicates et somptueuses hanches, pour toucher sa peau douce comme de la soie, Takeshi mentionna le fait qu'il serait à la hauteur cette nuit, mais également lui rappeler que le concept de devoir matrimonial impliquait qu'elle tombe enceinte de lui. Il semblait pour le moins...motivé quand à cette perspective, de pouvoir "planter sa graine" en elle afin qu'elle donne naissance à des enfants. Nyotengu l'était, en toute franchise, moins. Non pas que la perspective en elle même la dégoûtait, mais être enceinte la rendrait vulnérable, surtout avec sa position de Shogun qui était encore à sécuriser. Le simple fait d'être une femme en position de pouvoir, dans une société aussi réfractaire que le Tao-Bong, la rendait vulnérable, et certains clans y verraient sans nul doute une opportunité de frapper dès lors que son ventre rond commencerait à l'empêcher de trop se déplacer. Mais, dans le même temps, il était aussi attendu d'elle qu'elle devienne enceinte. Toute Shogun soit-elle, il était aussi de sa responsabilité d'assurer la continuité de sa lignée. Elle était l'une des dernières Hattori encore en vie après la guerre civile, et la seule à diriger le clan principal. Elle avait des cousins, mais qui possédaient leurs propres fiefs sur le territoire du Scorpion qu'ils géraient en son nom, et qui pour la première fois depuis des générations, le faisaient sans intrigues de cour. Sans doute l'un des seuls aspects vraiment positifs de cette guerre, et de la purge dans les rangs des Hattori, ceux qui restaient avaient pris conscience de la précarité de leur situation, et se focalisaient sur leurs ennemis plutôt que de chercher à se saboter eux mêmes.

Enceinte donc...oui, effectivement. Nyotengu se l'était entendue dire un nombre incalculable de fois dans sa vie, mais s'estimait d'un autre côté heureuse...car au moins semblait-elle éprouver des sentiments à l'égard de l'homme qui était son époux, rares étaient celles qui pouvaient prétendre à une telle fortune.

Je sais Takeshi, je sais...

Elle ne laissait toutefois rien transparaître d'à quel point son esprit était un champ de bataille, car c'était une chose qu'elle faisait en permanence, et ce en vérité, comme toute fille du Scorpion désirant vivre plus longtemps que sa vingtaine. Ses délicates mains se posèrent sur celles de Takeshi, tandis qu'elle commença à onduler son bassin, et à frotter ses délicates lèvres intimes contre la verge tendue de Takeshi.

C'est pour cette raison que je pense que tu va porter ta cage de chasteté moins souvent, à partir de maintenant. Peut-être même va tu finir par regretter de la porter, mon cher époux, vu que toi et moi, nous allons faire l'amour très souvent, pour nous assurer que je sois enceinte.

Et, d'une rapidité propre à une personne ayant été formée dans les arts du Ninjutsu, Nyogentu posa alors une de ses mains sur la gorge de son époux et entreprit de serrer, pas assez pour véritablement l'étrangler, mais clairement assez pour gêner brièvement sa respiration et ainsi, pleinement capter son attention. Pendant ce temps, elle continuait de frotter son intimité contre le sexe de Takeshi, qui était pour ainsi dire "écrasé" entre ses cuisses, coulissant contre sa fleur intime, se couvrant de sa chaude cyprine.

Et tu sera désormais aux premières loges, Takeshi-chan, pour vivre ce que c'est, que de faire l'amour avec un scorpion...tu va te retenir de jouir maintenant, et ce jusqu'à ce que je t'y autorise, sans quoi je te remettrai da cage, et ce sera Hanzo qui me baisera ce soir au lieu de toi...

Tout partenaires soient-ils, tout "égaux" dans ce couple soient-ils, il ne fallait certainement pas oublier que Nyotengu était ce qu'elle était...et qu'elle avait du lutter pour y parvenir. Elle relâcha alors son emprise sur la gorge de Takeshi, puis usa de ses mains pour se saisir de celles de son époux, et les faire remonter de ses hanches jusqu'à ses merveilleux seins. Nyotengu commençait à pousser de petits soupirs d'excitation, alors qu'elle était concrètement en train de se masturber contre le sexe de Takeshi, en frottant fortement son clitoris contre ce mat de chair chaude et tendue.

Là oui...c'est bien mon petit chien...retiens toi...laisse moi jouir en première. Si tu arrive à te contrôler alors...alors je te laisserai venir en moi...

Y parviendrait-il ? Nyotengu ne lui rendait assurément pas la tâche aisée, elle ondulait son bassin rapidement maintenant, et faisait tout pour se montrer désirable ainsi, à le chevaucher, nue avec sa peau douce et parfumée, ses soupirs, son regard rubis qui ne le lâchait pas.
Image

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
Takeshi connaissait le Tao-Bong aussi bien que Nyotengu. Et, tout comme il connaissait le Tao, il savait aussi que Nyotengu allait devoir avoir des enfants. Elle devait assurer la descendance de sa lignée, et, pour apaiser la colère du clan du Dragon, elle se devait d’avoir un enfant. Les Marashima, famille dirigeante du Dragon, détestaient l’idée que le shogun soit une femme, a fortiori un membre du Scorpion. Takeshi savait aussi que le clan du Lion n’appréciait que peu la prédominance du clan du Scorpion. Le Tao-Bong avait déjà connu bon nombre de guerres civiles, et Takeshi ne souhaitait pas qu’une nouvelle guerre éclate. Le fait qu’il soit un chef militaire suffisait pour l’heure à apaiser les familles du Lion, et il savait que les forces du Dragon ne se risqueraient jamais à un affrontement direct contre la shogun sans le soutien du clan du Lion.  Le clan du Lion était composé de samourais honorables, d’individus suivant la voie du Bushido et des Sept Vertus qui en découlaient. Dans cette logique, le mariage se devait d’être un mariage vertueux. Il fallait donc nécessairement qu’il soit consommé, et que la Shogun porte l’enfant de Takeshi. Celle-ci s’y était jusqu’à présent toujours refusée, mais, ce soir, Takeshi la sentait basculer.

Oui, il l’avait appelé par son prénom. C’était un fait rare pour le souligner, et qui témoignait de l’intimité du moment. Il la touchait également, la caressant. De quoi mériter de se faire fouetter. Mais Nyotengu souhaitait toujours conserver la mainmise, et elle ne voulait pas que Takeshi mène la danse. Il rougit donc, et soupira quand elle lui donna sa condition : qu’il jouisse après elle. Vu son érection, la chose semblait impossible !

« Maî-Maîtresse… Vous êtes si cruelle… » soupira-t-il.

Cela allait être dur ! Il n’avait encore jamais pénétré Nyotengu, ni même aucune femme. Et elle, elle avait déjà fait l’amour avec Hanzo à de nombreuses reprises. Takeshi déglutit donc, et le fait de rappeler Nyotengu « Maîtresse » n’était pas anodin. Il était habitué à se retenir de jouir pendant des heures. Les premières fois, il avait bien cru en devenir fou, tant sa queue lui faisait mal, tant elle rougissait, se gonflant sous toute cette soif accumulée. Mais là, c’était différent… Les parois intimes de Nyotengu n’avaient rien à voir avec la raideur et la fermeté d’une cage de chasteté classique. Ceci dit, il sentait, dans les yeux de la shogun, qu’elle n’avait pas envie que les choses terminent ainsi. Takeshi inspira donc, et hocha la tête, de haut en bas, extrêmement nerveux…

…Puis Nyotengu joua avec lui, frottant sa verge contre ses lèvres intimes.

Tout le corps de Takeshi crispa, et il sentit le désir exploser en lui.

Il retint son souffle, sentant sa queue tressauter, et ferma les yeux en se pinçant les lèvres, sentant sa queue sur le point d’éclater, de jouir compulsivement. Il se retint en se privant de respiration, et crispa ses doigts sur les seins de sa Maîtresse, soupirant en laissant la douleur l’envahir, comme pour le distraire de cette sensation incroyable. Car, à ce stade, tout son être lui implorait de jouir. Il suffisait qu’il l’entende soupirer, et il savait qu’il s’abandonnerait… Qu’il croise son regard, qu’il observe la forme incroyable de son corps magnifique danser sur lui, qu’elle touche ses joues avec ses mains d’une douceur infinie… Le moindre contact romprait cette sensation, et il était contraint de fermer les yeux, de se priver de la vue de Nyotengu. Il aurait aimé la voir gémir contre lui, mais, si jamais il la regardait… Takeshi soupirait donc, sentant sa queue coulisser contre la chatte trempée de sa Maîtresse.

Il sentit ses tétons durcir sous ses doigts, et les pinça tous les deux. Il rouvrit alors les yeux, croisant son regard. Elle lui avait ordonné de se retenir, ce qu’il arrivait à faire. Il malaxa encore les seins de Nyotengu, appuyant dessus fermement, les malaxant encore. Il savait qu’il ne pouvait pas tenir, mais elle ne lui avait pas interdit de parler, et Takeshi maîtrisait suffisamment bien sa frustration pour pouvoir parler :

« Tes seins sont magnifiques… Je ne compte pas laisser Hanzo jouir dessus, cette fois… C’est mon sperme qui viendra les décorer… »

Curieusement, il eut l’intime conviction de sentir la chatte de sa Maîtresse se contracter en disant cela.

« Je n’ai jamais fait l’amour lors de mes campagnes… Là où tous les hommes vont généralement au bordel, je me suis réservé pour… Pour toi, hmmm… Et cela fait des mois que je te regarde faire l’amour avec d’autres… Je suis ton petit chien, mon aimée, mais tu dois savoir… Qu’un chien se montre particulièrement vorace quand il fait l’amour… »

Il remonta alors l’une de ses mains, et caressa le visage de Nyotengu, puis titilla ses lèvres avec son pouce, cherchant à l’enfoncer dedans, pour qu’elle le mordille.

« Cette fougue dont j’ai fait preuve pour terrasser l’onryoki… Tu vas la sentir en moi, ma chérie. Ce soir, je compte bien faire ce que Hanzo te fait au centuple… Je suis ton époux légitime, alors, je suis le seul qui puisse te baiser avec force ! »
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Nyotengu Hattori »

Avatar du membre
Nyotengu Hattori
Messages : 35
Enregistré le : 15 août 2024 13:23
Nyotengu n'avait pu s'empêcher de laisser échapper un léger sourire lorsque, presque au bord du désespoir, Takeshi lui déclara qu'elle était "cruelle".

Oh ? Et ce n'est que maintenant que tu t'en rends compte, mon petit chien ?

L'échange n'était pas entièrement des plus sérieux, mais oui, Nyotengu n'en serait pas arrivée là où elle en était, si elle avait été une enfant de choeur. Elle avait du sang sur les mains, et il y avait fort à parier que ce dernier ne sècherait jamais, car il serait amplement remplacé par celui d'autres de ses ennemis, ou bien par le sien propre, si les choses ne devaient pas tourner en sa faveur. Même si elle n'en montrait rien, car elle avait été élevée dès le plus jeune âge à dissimuler ses émotions et ses motivations, Nyotengu se trouvait sous une montagne d'angoisses et de pressions dont les provenances étaient en plus multiples. Sans doute étais-ce là l'une des raisons qui l'amenaient à se montrer plus douce avec Takeshi, qui était un fidèle parmi les fidèles, mais sans non plus complètement oublier ce qu'elle était au fond...un scorpion.
La Shogun commença à onduler son bassin, pour frotter son intimité humide contre la verge tendue de son époux. Sans sa cage de chasteté magique qui l'empêchait de bander et de jouir, le défi que Nyotengu lui avait lancé allait être délicat car il n'aurait aucune assistance, hormis celle de sa propre volonté, pour le réussir. Elle n'avait pas de telles restrictions à se mettre sur son propre plaisir, en revanche, et si elle aurait aisément pu elle aussi se retenir pour encore moins faciliter la tâche de Takeshi, présentement la Shogun avait surtout envie de se détendre, alors...c'est ce qu'elle fit.

La jeune femme "dansait" pour ainsi dire, sensuellement, sur cette queue tendue, ondulant pour faire glisser la verge de Takeshi, la faire coulisser de tout son long contre sa fleur intime, mais sans jamais qu'il ne puisse la pénétrer. Oh, la tentation était grande aussi du côté de Nyotengu, qui avait bien envie de la sentir coulisser en elle, mais ce défi prenait préséance sur tout le reste. Cependant, ainsi, elle parvenait à frotter son clitoris contre ce mât de chair chaud, et la sensation était assez agréable pour qu'elle soit une forme de masturbation qui, à terme, allait la mener à un orgasme.

Hnnn...

Il n'y avait toutefois pas que ça qui lui prodiguait du plaisir, car Takeshi parvint à ne pas rester un spectateur inactif de la scène. Il avait porté ses deux mains sur les seins de son épouse, et les malaxait avec envie. Même si Takeshi était techniquement vierge, le nombre de fois où il avait "participé" plus ou moins directement aux ébats de Nyotengu l'avait tout de même formé dans l'art du sexe.
Nyotengu ne retenais ni ses soupirs, ni ses gémissements alors qu'elle se masturbait assez littéralement contre le sexe de Takeshi, et qu'elle se sentait progressivement monter vers l'orgasme. Takeshi, faisant par ailleurs preuve d'une grande maîtrise de lui même, parvenait également à parler à Nyotengu, en lui décrivant ce qu'il comptait faire pour la suite, avec notamment l'intention de jouir sur ses seins magnifiques.

Hmm...quel programme en perspective...Haa...

Plus il lui parlait ainsi, et plus Nyotengu accélérait le coulissement de sa fleur intime contre lui. À ce stade, la verge de Takeshi était bien couverte d'une couche de cyprine luisante, ce qui rendait l'action d'autant plus...humide. Le coup de grâce pour elle fut sans doute quand il remonta l'une de ses mains jusqu'à son visage, pour glisser son pouce dans sa bouche. Nyotengu le prit volontiers, et Takeshi ne pouvait que constater que son épouse, si elle léchait et suçait bien son doigt, le mordait également, et ce de plus en plus...jusqu'à ce que dans un dernier gémissement étouffé, elle vienne enfin.

Hnnnnn !!!!

Nyotengu se tendit sur place et se mit à convulser, surtout au niveau de son bassin, au rythme du bel orgasme qu'elle contracta à ce moment. Puis elle s'affaissa tout contre Takeshi, se penchant vers lui pour aller l'embrasser langoureusement. La Shogun alla chercher la langue de son partenaire avec la sienne, tout en ayant ses deux mains posées sur les pectoraux de son homme. Elle l'embrassa longuement, prolongeant encore un peu l'agonie de son époux, mais la façon dont elle l'embrassait était différente, dans le sens où ce baiser avait un goût clair de récompense. Lorsqu'elle se retira finalement, elle regarda Takeshi droit dans les yeux.

Ii ko Takeshi-chan.

Bon garçon. Nyotengu se redressa alors de nouveau, mais se dressa aussi à l'aide de ses genoux pour soulever son bassin. Puis, alors qu'une de ses mains restait posée fermement sur le torse de Takeshi pour garder son équilibre, elle deplaca l'autre pour se saisir de son sexe, afin d'en orienter le bout en direction de son vagin.

Et les bons garçons ont droit à leur récompense.

Doucement alors, elle commença à s'abaisser, et fit ainsi peu à peu rentrer le sexe de Takeshi, terriblement dur et tendu, dans sa petite chatte chaude et humide. Dans sa position ainsi allongée, Takeshi n'avait guère qu'à relever un peu la tête pour observer sa verge disparaître progressivement dans l'antre intime de sa femme, jusqu'à ce qu'il la pénétre complètement.

Ooooooh...Takeshi-chan...hmmmm ça y est, tu es en moi...Haaa...

Avec une lenteur toute calculée, mais une sensualité qui l'était tout autant, elle entreprit alors de remuer, de s'empaler sur ce sexe.
Image

Re: La Voie de la Paix [Nyotengu Hattori]

Message par Takeshi Hattori »

Avatar du membre
Takeshi Hattori
Messages : 31
Enregistré le : 12 sept. 2024 19:54
Takeshi devait faire appel à toute sa volonté pour ne pas jouir. Sentir les lèvres intimes de Nyotengu frotter sa peau, glisser sur sa verge durcie… Elle s’amusait souvent à jouer de sa frustration, à le faire jouir avec ses pieds, ou en giflant son sexe. Takeshi était aussi bon guerrier que masochiste. Il avait déjà voué sa vie à Nyotengu, mais cela ne l’empêchait pas d’être suffisamment égoïste pour avoir envie de jouir en elle, de lui faire l’amour. De telles émotions étaient indignes de quelqu’un qui avait juré de se sacrifier entièrement pour son Impératrice. C’était à ce titre qu’il acceptait de se soumettre, qu’il acceptait de voir Hanzo la besogner… Mais toute sa volonté ne pouvait pas totalement étouffer son instinct. Sa passion était présenter, elle s’exprimait au combat, où il était un guerrier acharné, capable de combattre des onis… Mais là, face à Nyotengu, Takeshi devait bien l’admettre : il enviait profondément Hanzo, et rêvait parfois de le tuer pour prendre sa place, et pour s’unir à sa Maîtresse.

Le seul moyen que Takeshi trouva pour ne pas s’abandonner au plaisir ultime fut de contre-attaquer. Il déplaça ses mains sur le corps de Nyotengu, et s’absorba dans la douceur de son corps. Il la sentit frémir quand il enfonça un pouce dans sa bouche, et pinça son sein quand il sentit les lèvres et la langue de Nyotengu se refermer sur son pouce. Elle mouilla plus fort, et il le perçut. Il l’avait vu jouir tant de fois qu’il savait quand elle approchait du point de rupture, il sentait son corps se cambrer. Quand elle était de bonne humeur, elle le laissait lécher son sexe, et Takeshi était devenu très doué dans ce domaine. Faire jouir sa femme, c’était tout ce qu’il recherchait. Et, contrairement à lui, Nyotengu n’avait pas son haut degré de frustration.

Il bandait donc ses muscles pour retenir son orgasme, et déplaça sa main du sein de son épouse pour palper ses fesses. Il la pressa, et se lâcha alors. Il aurait dû s’arracher la langue à l’idée d’oser lui parler ainsi, de dire qu’il allait « la baiser avec force », mais il n’avait pu retenir cela. Il soupira quand elle mordilla son doigt fort, et la sentit partir. Ce fut comme si tout le corps de Nyotengu s’affaissa. Elle lâcha prise, et inonda sa verge de sa mouille. Takeshi, dont les joues avaient rougi, et dont la queue était désormais bien rouge aussi, dut se mordre la lèvre fort pour ne pas jouir à son tour, tant sa queue le démangeait.

*Je n’ai jamais été aussi frustré de ma vie… Je peux regarder Hanzo lui faire l’amour toute la nuit, mais il suffit qu’elle se frotte sur moi pendant cinq minutes pour que j’envisage des choses profondément dégradantes avec elle…*

Takeshi méritait la punition que Nyotengu ne manquera sans doute pas de lui infliger, mais, pour l’heure, il savourait… Et, quand elle se pencha sur lui pour l’embrasser, il répondit avec passion. Sa main se posa sur ses cheveux, et l’autre alla se poser sur l’une de ses fesses, qu’il comprima et serra. Il n’avait encore jamais pu toucher ou lécher ses fesses… Autant dire qu’il en profitait ! Comme tout le reste, Nyotengu avait un cul divin. Il en oublia même son érection douloureuse, la douleur étant noyée par la bouche de Nyotengu, par sa langue qui joua avec la sienne, par sa salive, par toute cette passion qu’il sentait dans le corps de sa Maîtresse. Le baiser dura ainsi assez longtemps, Takeshi soupirant comme elle, et, quand elle se retira, ce fut lui qui relança le baiser, retournant goûter à ses lèvres. Il n’avait jamais pu l’embrasser ainsi, et il était à deux doigts de craquer, de la retourner, de la prendre sur le sol, ou de la mettre à quatre pattes, et de la fesser tout en la prenant avec force…

Il n’en fit cependant rien, et elle se releva alors, le gratifiant d’un « bon garçon » qui le fit soupirer. Il gémit toutefois quand elle prit en main sa verge endolorie, impatiente et assoiffée. Un long soupir le traversa, et, alors qu’elle rapprochait sa verge de sa chatte trempée, lui parvint à dire :

« Ai-Aijin-sama… »

Soit « maîtresse » !

Quand elle s’enfonça en elle, Takeshi se crispa, tout son corps sembla se crisper, puis se détendre. Il ferma les yeux, et eut un orgasme instantané. Sa queue se contracta, puis projeta des filaments de sperme dans le corps de Nyotengu. La situation était tellement irréelle, tellement plaisante, et soulageait tant le brave Prince de sa frustration que deux larmes s’échappèrent de ses yeux.

Il soupira avant de rouvrir les yeux, et posa ses mains sur les hanches de Nyotengu.

L’orgasme aurait dû l’apaiser, mais sa queue était toujours aussi dure, et ses mains se crispèrent donc sur la chair de Nyotengu.

« P-Plus fort, Maîtresse… Je… Haaaa… »

Il tint finalement cinq secondes avant de contracter un deuxième orgasme. Ses yeux luirent brièvement, ses iris prenant une teinte violette, tandis qu’un inmon se matérialisait sur son pubis. La cage de chasteté qu’il avait tant porté jouait désormais l’effet inverse, et Nyotengu allait devoir affronter un véritable « homme-fontaine », qui était comme un barrage sur le point d’exploser devant une marée de foutre accumulée depuis des mois.
DC de l'Observateur !

Pour toute demande de RP, envoyez un MP sur mon compte central, ce sera plus simple pour moi, et, ainsi, je ne risque pas de vous oublier !

Vous trouverez sur ce topic la liste de tous mes personnages jouables !
Répondre

Retourner vers « Shogunat de Tao-Bong »