Dès l’instant qu’elles sont entrées dans un Onsen, Kim savait pertinemment qu’une douche et un bain dans les sources chaudes seraient inévitables. Ce genre d’évidence qui saute aux yeux est en partie ce qui lui permet d’agir avec proximité à l’égard du maître d’armes et de banalement retirer des pièces de vêtement sans un mot soufflé entre ses lèvres. Mais savoir manier et forger le sabre comme une pro ne veut pas dire avoir de la perspicacité. Voir Yami réagir avec une impuissance et une timidité aussi criantes. Qu’elle soit adulte ou pas – même s’il n’y pas lieu de contester l’âge – Kim voyait un aspect très charmant chez cette femme et comme tout personne logique elle suit le filon dans l’espoir de trouver davantage enfouie dans ce cœur dérouté.
Kim approche le pommeau et s’en sert pour arroser le corps nu de Yami ainsi que sa chevelure de minuit bleu. En demandant pour la famille Yamaoka, elle donne le temps pour passer le jet chaud sur tout le dos. Préparant ensuite le savon moussant, elle écoute ces tristes souvenirs sur le trépas d’une mère et la mort héroïque d’un père. Si sa propre mère est toujours vivante, le sacrifice du paternel est une douleur que Kim reconnait bien quand sa mère futa est tombée face à un ennemi plus dangereux que des hommes rebelles. Sa main passe une éponge imbibée de mousse et frotte le dos de Yami en douceur. Elle passe sur toute la colonne vertébrale, remonte vers les épaules puis sur la nuque en dégageant les cheveux.
- Je vois…ton père a eu la chance de tomber et de ne pas être disgracié par Edoras. Les hommes restants après cette horrible nuit ont été réprimés avec force. J’ai même entendu que certains ont fuis vers Auris.
Kim sentait que la discussion autour des hommes peut encore être un sujet délicat même après ces quelques années. L’obligation de se refermer comme une huître et garder des souvenirs pour soi-même, la jeune femme membrée commence à sourire au reflet dans le miroir quand elle voit un bel éclat venant du visage de Yami. C’était cela, une fleur qui s’épanouie pour une étrangère devant plus près du maître d’armes ? Kim prend son temps avant de répondre. Avec un seau en bois elle asperge la tête courbée vers l’avant ainsi que l’arrière de la femme. La douceur de ce corps au toucher après le savonnage est si lisse, comme la peau d’un bébé. Utilisant de nouveau l’éponge savonnée, son mouvement du bras passe sur les clavicules. Kim se penche également, sa poitrine frôlant les omoplates de l’Edorienne.
- Je voulais te faire rappeler l’importance d’une famille et combien elle est essentielle pour se connaître soi-même et où on va dans l’avenir. Même si nos raisons diffèrent, nous avons toutes les deux marchées sur les pas de nos pères. Tu as choisis de suivre la tradition familiale et tu y trouves la reconnaissance et un sentiment de valeur, c’est exact ?
Ses mains couvertes de savon moussant ne s’arrêtent pas au niveau de la clavicule. Elles suivent le chemin de l’avant-bras jusqu’aux mains croisées. Kim écoute avec attention les possibles sons venant de Yami tandis qu’elle va sur les cuisses. Chaque partie du corps doit être lavée. Mais il est trop tard pour la laisser terminer seule. La brune est dédiée à cet acte de douceur et de sensualité. Sa tête se rapproche de la joue, embrassant la joue d’une bise délicate.
- Toutefois, ne serais-tu pas trop attachée à ton passé ? Je regrette que tes parents ne soient plus là, mais il faut accepter de tourner la page ailleurs que sur le plan émotionnel. Le bonheur existe autrement qu’en forgeant des armes et je trouve cela injuste que tu t’empêches d’expérimenter de nouvelles sensations.
Kim approche le pommeau et s’en sert pour arroser le corps nu de Yami ainsi que sa chevelure de minuit bleu. En demandant pour la famille Yamaoka, elle donne le temps pour passer le jet chaud sur tout le dos. Préparant ensuite le savon moussant, elle écoute ces tristes souvenirs sur le trépas d’une mère et la mort héroïque d’un père. Si sa propre mère est toujours vivante, le sacrifice du paternel est une douleur que Kim reconnait bien quand sa mère futa est tombée face à un ennemi plus dangereux que des hommes rebelles. Sa main passe une éponge imbibée de mousse et frotte le dos de Yami en douceur. Elle passe sur toute la colonne vertébrale, remonte vers les épaules puis sur la nuque en dégageant les cheveux.
- Je vois…ton père a eu la chance de tomber et de ne pas être disgracié par Edoras. Les hommes restants après cette horrible nuit ont été réprimés avec force. J’ai même entendu que certains ont fuis vers Auris.
Kim sentait que la discussion autour des hommes peut encore être un sujet délicat même après ces quelques années. L’obligation de se refermer comme une huître et garder des souvenirs pour soi-même, la jeune femme membrée commence à sourire au reflet dans le miroir quand elle voit un bel éclat venant du visage de Yami. C’était cela, une fleur qui s’épanouie pour une étrangère devant plus près du maître d’armes ? Kim prend son temps avant de répondre. Avec un seau en bois elle asperge la tête courbée vers l’avant ainsi que l’arrière de la femme. La douceur de ce corps au toucher après le savonnage est si lisse, comme la peau d’un bébé. Utilisant de nouveau l’éponge savonnée, son mouvement du bras passe sur les clavicules. Kim se penche également, sa poitrine frôlant les omoplates de l’Edorienne.
- Je voulais te faire rappeler l’importance d’une famille et combien elle est essentielle pour se connaître soi-même et où on va dans l’avenir. Même si nos raisons diffèrent, nous avons toutes les deux marchées sur les pas de nos pères. Tu as choisis de suivre la tradition familiale et tu y trouves la reconnaissance et un sentiment de valeur, c’est exact ?
Ses mains couvertes de savon moussant ne s’arrêtent pas au niveau de la clavicule. Elles suivent le chemin de l’avant-bras jusqu’aux mains croisées. Kim écoute avec attention les possibles sons venant de Yami tandis qu’elle va sur les cuisses. Chaque partie du corps doit être lavée. Mais il est trop tard pour la laisser terminer seule. La brune est dédiée à cet acte de douceur et de sensualité. Sa tête se rapproche de la joue, embrassant la joue d’une bise délicate.
- Toutefois, ne serais-tu pas trop attachée à ton passé ? Je regrette que tes parents ne soient plus là, mais il faut accepter de tourner la page ailleurs que sur le plan émotionnel. Le bonheur existe autrement qu’en forgeant des armes et je trouve cela injuste que tu t’empêches d’expérimenter de nouvelles sensations.
- Hinata Kaguya
- Messages : 444
- Enregistré le : 24 août 2024 16:19
Yami parlait de son passé, elle n'en avait pas honte, elle n'était pas spécialement triste non plus. Certes, elle aurait aimé vivre plusieurs années de plus avec son père comme sa mère, mais elle n'était qu'une fille comme les autres, elle n'était pas une divinité quelconque. D'autant plus que dieu ou non, une loi semblait régir pour tout le monde, peu importe le statut. Celui de ne pas pouvoir ramener un mort à la vie. Certains diront « nécromancie » mais c'était mal vue et de plus, ce n'était pas vraiment ramener à la vie. C'était plutôt jouer les marionnettistes. Certains seraient assez doué pour redonner à la chair et à la peau son éclat d'antan, mais l'évidence serait là, un mort reste un mort. Kim continuait de lui laver le dos, s'éloignant peu à peu de cette zone tout en continuant de laver sa peau. Elle avait une belle peau, douce et délicate, le creux de ses mains étaient certes moins doux, même avec des protections adéquates, battre le fer restait éprouvant et ses mains en gardait les marques.
Kim disait sûrement vrai concernant l'après-incident, une fois l'affaire calmée, certains ont fuit ailleurs, coupable ou non mais il était délicat de choisir un camp. Oui, Hinata avait été sûrement trop brusque à en faire autant aux hommes de son pays, mais si on se met à sa place, sa réaction était « normal ». Voir sa famille décimée, voir et sentir sa petite sœur souffler son dernier souffle entre ses bras, tout ça à cause de son frère qui en avait profiter pour soulever un pays à agir de même. Comment la pointer du doigt pour tout ça ? Depuis le mariage, les choses allaient mieux pour les hommes du pays, doucement, mais sûrement, ils retrouvaient un semblant de liberté et cela ne fera qu'aller mieux au fil du temps. De toute façon, son père avait sauvé des gens et Hinata n'avait jamais dis du mal de ce dernier, Yami ne pouvait lui en vouloir. Tous les hommes ne s'étaient pas rebellés cette nuit, juste une poignet qui avait fait couler beaucoup de sang cette nuit-là. Kim continua de la laver, se penchant plus sur elle, sa poitrine s'appuyant doucement dans son dos, faisant frissonner la jeune femme un bref instant.
« O-oui, je suppose ? Les Yamaoka ont longtemps servi la famille royale. Notre famille a toujours été auprès des Kaguya et j'espère qu'il en sera de même encore pour les générations à venir. »
Edoras était en paix, elle fabriquait des sabres plus pour renouveler ceux qui étaient usé, parfois en décoration comme aujourd'hui, mais elle n'avait pas de commande spéciale pour un capitaine, un haut gradé ou sa majesté. Il lui arrivait d'en forger en guise de cadeau pour des invités, mais c'était différent encore. Kim s'avançait de plus en plus, la demoiselle lâchait de petits soupirs, de légers gémissements qui l'étonnait elle-même à dire vrai. Tout comme cette bise sur la joue, elle ne l'avait pas vraiment vue venir.
« Qu-que veux-tu dire ? »
S'empêcher d'expérimenter de nouvelles sensations ? Voilà une phrase bien étrange pour elle. Oui, elle aimait forger des armes, elle ne pouvait pas le nier, c'était son savoir, son talent qui s'exprimait, mais elle ne s'empêchait pas d'aimer la vie autrement ? Yami voyait mal ce que Kim voulait dire et pourtant, sa nouvelle amie avait raison. Mais plutôt que se priver, disons plutôt que Yami ne savait pas quel chemin emprunter pour accéder à ce genre de bonheur que la jeune femme sous-entendait. Yami était une femme comme une autre après tout. Oui, elle avait du mal avec certaines choses banales pour certaines personnes, mais de là à se dire qu'elle se privait... Oui ? Non ? Une chose est sûre, sa proximité, ce bisou sur la joue, cela faisait battre son cœur qui raisonnait dans sa poitrine comme le choc du marteau sur une lame chaude faisait vibrer son bras. L'amour et tout ce qui s'en rapproche de près ou de loin était une véritable énigme pour elle. C'est comme regarder un problème de mathématique très avancé, quand on ne connaît que les bases, ça ressemble à n'importe quoi mis côte à côte, irréalisable et pourtant, ceux qui savaient lire cela y voyait toute une histoire, tout un problème ! Pour Yami, l'amour, c'est pareil. Elle sait que deux personnes, peu importe le sexe pouvait s'aimer de bien des façons, fondé une famille, mais comment y arriver ? Là était le souci à son problème...
Toujours assise, immobile, son corps vibrait doucement aux légers mouvements contre son dos, aux légers mouvements de Kim en la lavant, en parlant si près d'elle. Kim lui tenait la main pour l’amener vers un chemin qu'elle ne connaissait pas. Elle n'était plus vierge mais bien trop inexpérimentée en ce qui concerne le sexe et totalement novice en ce qui concernait l'amour.
Kim disait sûrement vrai concernant l'après-incident, une fois l'affaire calmée, certains ont fuit ailleurs, coupable ou non mais il était délicat de choisir un camp. Oui, Hinata avait été sûrement trop brusque à en faire autant aux hommes de son pays, mais si on se met à sa place, sa réaction était « normal ». Voir sa famille décimée, voir et sentir sa petite sœur souffler son dernier souffle entre ses bras, tout ça à cause de son frère qui en avait profiter pour soulever un pays à agir de même. Comment la pointer du doigt pour tout ça ? Depuis le mariage, les choses allaient mieux pour les hommes du pays, doucement, mais sûrement, ils retrouvaient un semblant de liberté et cela ne fera qu'aller mieux au fil du temps. De toute façon, son père avait sauvé des gens et Hinata n'avait jamais dis du mal de ce dernier, Yami ne pouvait lui en vouloir. Tous les hommes ne s'étaient pas rebellés cette nuit, juste une poignet qui avait fait couler beaucoup de sang cette nuit-là. Kim continua de la laver, se penchant plus sur elle, sa poitrine s'appuyant doucement dans son dos, faisant frissonner la jeune femme un bref instant.
« O-oui, je suppose ? Les Yamaoka ont longtemps servi la famille royale. Notre famille a toujours été auprès des Kaguya et j'espère qu'il en sera de même encore pour les générations à venir. »
Edoras était en paix, elle fabriquait des sabres plus pour renouveler ceux qui étaient usé, parfois en décoration comme aujourd'hui, mais elle n'avait pas de commande spéciale pour un capitaine, un haut gradé ou sa majesté. Il lui arrivait d'en forger en guise de cadeau pour des invités, mais c'était différent encore. Kim s'avançait de plus en plus, la demoiselle lâchait de petits soupirs, de légers gémissements qui l'étonnait elle-même à dire vrai. Tout comme cette bise sur la joue, elle ne l'avait pas vraiment vue venir.
« Qu-que veux-tu dire ? »
S'empêcher d'expérimenter de nouvelles sensations ? Voilà une phrase bien étrange pour elle. Oui, elle aimait forger des armes, elle ne pouvait pas le nier, c'était son savoir, son talent qui s'exprimait, mais elle ne s'empêchait pas d'aimer la vie autrement ? Yami voyait mal ce que Kim voulait dire et pourtant, sa nouvelle amie avait raison. Mais plutôt que se priver, disons plutôt que Yami ne savait pas quel chemin emprunter pour accéder à ce genre de bonheur que la jeune femme sous-entendait. Yami était une femme comme une autre après tout. Oui, elle avait du mal avec certaines choses banales pour certaines personnes, mais de là à se dire qu'elle se privait... Oui ? Non ? Une chose est sûre, sa proximité, ce bisou sur la joue, cela faisait battre son cœur qui raisonnait dans sa poitrine comme le choc du marteau sur une lame chaude faisait vibrer son bras. L'amour et tout ce qui s'en rapproche de près ou de loin était une véritable énigme pour elle. C'est comme regarder un problème de mathématique très avancé, quand on ne connaît que les bases, ça ressemble à n'importe quoi mis côte à côte, irréalisable et pourtant, ceux qui savaient lire cela y voyait toute une histoire, tout un problème ! Pour Yami, l'amour, c'est pareil. Elle sait que deux personnes, peu importe le sexe pouvait s'aimer de bien des façons, fondé une famille, mais comment y arriver ? Là était le souci à son problème...
Toujours assise, immobile, son corps vibrait doucement aux légers mouvements contre son dos, aux légers mouvements de Kim en la lavant, en parlant si près d'elle. Kim lui tenait la main pour l’amener vers un chemin qu'elle ne connaissait pas. Elle n'était plus vierge mais bien trop inexpérimentée en ce qui concerne le sexe et totalement novice en ce qui concernait l'amour.

Kim affiche un sourire de fierté. Certes, elle n’a aucun lien de parent, sa connexion à Yami est encore nouvelle et en évolution, mais en une phrase cette Edorienne affiche un fort attachement à la famille royale. Servir une dynastie, surtout si les dirigeantes sont bonnes, est un privilège inestimable. La loyauté du sang fascine la brune dont le service militaire n’avait aucun rapprochement aussi fort avec l’état d’Uatis. Elle souhaite de tout cœur que Yami respecte la volonté des ancêtres et donner un futur à sa famille. Toutefois, Kim constate beaucoup d’inexpérience en matière d’amour et un manque de volonté qui ralenti les progrès accomplis jusqu’à présent. Non, c’est plus de l’hésitation. Quand l’aveugle ignore où il marche il ne court pas vers l’inconnu et boîte, prend des virages dans toutes les directions. Ce qu’il manque c’est un guide, une main qui puisse tenir une jeune fille et faire fleurir toute la bonté dans son coeur.
La jeune femme membrée embrasse la joue une seconde fois. Ses mains frottent l’intérieur des cuisses en prenant soin de les écartes de quelques pouces supplémentaires. Elle commence à expirer contre la nuque de Yami, une excitation qui fait palpiter son cœur et trembler sa poitrine tandis que ces dernières pressent les omoplates. Une pression sensuelle les submerge avec ses tétons touchant le corps du maître d’armes pour la première fois. Ses doigts frottent le ventre plat et lisse. Kim fixe avec douceur et avec un silence réconfortant le visage de sa partenaire ainsi que sa belle longue chevelure bleue lui collant au dos. La douche devient plus chaude tout d’un coup et la brune se rapproche jusqu’à déposer ses lèvres contre la bouche de Yami. Elle les conserve sur les douces lèvres légèrement rosés, soupirant chaudement avant de les ouvrir et d’y enfoncer le bout de sa langue. Une main agrippe la nuque, permet à l’Edorienne de se pencher vers l’arrière de quelques degrés. Mais surtout, l’autre main vient tenir la sienne avec les doigts entrecroisés.
Kim retire sa bouche après une longue minute. Comme un prince charmant, elle bise le dos de la main du maître d’armes. Son corps se redresse en invitant la gente demoiselle à la suivre, à la laisser passer cette pluie chaude sur tout le corps et terminer. Un second baise est donné une fois le rince terminé.
- Je te rejoindrai dans un moment. Vas-y, vas dans les bains.
Kim n’allait pas échapper au même traitement. Son corps aussi doit subir un lavage dans les règles. Mais voulant donner un répit à sa partenaire, elle la laisse prendre du recul et réfléchir à leurs baisers, à la portée des gestes posés dans la meilleure des intentions. La touriste en profite alors pour dévoiler son petit secret entre les cuisses : Une lame de chair au repos mais dont les contacts physiques éveillent légèrement. L’inévitabilité d’être nu est que ce sexe finit par être découvert et Kim n’a aucunement besoin de le cacher plus longtemps, pas envers Yami. Avec ses mains de nouveau pleins de savon elle sifflote sous la douche avec l’eau qui déferle sur son corps plus mature en apparence avec des traces de musculature au niveau des courbes et des abdominaux. Sa peau est tout aussi douce et luisante une fois son propre rinçage amorcé. 7 minutes passent avant que Kim Uzuki retourne auprès de la jeune femme. Son corps descend et l’eau monte jusqu’à ses tétons. Avec un bras fébrile, elle le passe au-dessus des épaules de Yami et attend de voir une réaction, une possible décision que l’Edorienne pourrait choisir vis-à-vis cette relation grandissante.
La jeune femme membrée embrasse la joue une seconde fois. Ses mains frottent l’intérieur des cuisses en prenant soin de les écartes de quelques pouces supplémentaires. Elle commence à expirer contre la nuque de Yami, une excitation qui fait palpiter son cœur et trembler sa poitrine tandis que ces dernières pressent les omoplates. Une pression sensuelle les submerge avec ses tétons touchant le corps du maître d’armes pour la première fois. Ses doigts frottent le ventre plat et lisse. Kim fixe avec douceur et avec un silence réconfortant le visage de sa partenaire ainsi que sa belle longue chevelure bleue lui collant au dos. La douche devient plus chaude tout d’un coup et la brune se rapproche jusqu’à déposer ses lèvres contre la bouche de Yami. Elle les conserve sur les douces lèvres légèrement rosés, soupirant chaudement avant de les ouvrir et d’y enfoncer le bout de sa langue. Une main agrippe la nuque, permet à l’Edorienne de se pencher vers l’arrière de quelques degrés. Mais surtout, l’autre main vient tenir la sienne avec les doigts entrecroisés.
Kim retire sa bouche après une longue minute. Comme un prince charmant, elle bise le dos de la main du maître d’armes. Son corps se redresse en invitant la gente demoiselle à la suivre, à la laisser passer cette pluie chaude sur tout le corps et terminer. Un second baise est donné une fois le rince terminé.
- Je te rejoindrai dans un moment. Vas-y, vas dans les bains.
Kim n’allait pas échapper au même traitement. Son corps aussi doit subir un lavage dans les règles. Mais voulant donner un répit à sa partenaire, elle la laisse prendre du recul et réfléchir à leurs baisers, à la portée des gestes posés dans la meilleure des intentions. La touriste en profite alors pour dévoiler son petit secret entre les cuisses : Une lame de chair au repos mais dont les contacts physiques éveillent légèrement. L’inévitabilité d’être nu est que ce sexe finit par être découvert et Kim n’a aucunement besoin de le cacher plus longtemps, pas envers Yami. Avec ses mains de nouveau pleins de savon elle sifflote sous la douche avec l’eau qui déferle sur son corps plus mature en apparence avec des traces de musculature au niveau des courbes et des abdominaux. Sa peau est tout aussi douce et luisante une fois son propre rinçage amorcé. 7 minutes passent avant que Kim Uzuki retourne auprès de la jeune femme. Son corps descend et l’eau monte jusqu’à ses tétons. Avec un bras fébrile, elle le passe au-dessus des épaules de Yami et attend de voir une réaction, une possible décision que l’Edorienne pourrait choisir vis-à-vis cette relation grandissante.
- Hinata Kaguya
- Messages : 444
- Enregistré le : 24 août 2024 16:19
Pour Yami, tout cela était un domaine inconnu, plutôt, inexploré. Elle savait que c'était là, elle en connaissait certaines choses, mais c'était des terres qu'elle n'avait jamais vraiment foulé. Au mieux quelques petit pas dedans. Ce n'est pas que la demoiselle n'aimait pas cela ou qu'elle en avait peur, c'est juste qu'elle n'en sentait pas de réels besoins d'y aller. Elle faisait parti de ce genre de personne qui ne courait pas derrière le sexe. Elle a expérimenté des choses de son côté, seule ou avec quelques partenaires au cours de sa vie, mais, étant donné qu'elle n'avait pas ce puissant carburant qu'était l'amour, elle ne se voyait pas aller trop loin là-dedans. Elle-même ne pouvait pas dire ce qu'elle aimait chez les gens. Homme ou femme, déjà, peu importe. Ensuite, devait-elle trouver une personne douce et innocente à protéger comme c'était le cas avec Hinata avant qu'elle ne soit mariée ? Ou au contraire une personne grande et forte qui saura user de sa force pour protéger Yami ? Non pas qu'elle en ai vraiment besoin, mais c'est sûr que physiquement, elle était loin d'être une armoire à glace. Donc, au final, elle n'était pas plus avancée. Que pouvait-elle attendre de l'autre personne ? Une bonne question dont la réponse est un mystère.
Kim de son côté profitait doucement de tout cela pour tenter de charmer la jeune femme, la guider doucement vers ce chemin qui lui était inconnu. Sa peau caressait la sienne, sa main se liait à la sienne et leurs lèvres finirent par se toucher et s'embrasser. Pas de refus, pas de recul de sa part, Yami se laissait faire, fermant juste les yeux lors de ce délicat baiser ou sa main serrait doucement celle de Kim. Elle avait beau avoir l'air d'une frêle demoiselle, elle avait pour habitude de tenir une lame et de la cogner à grand coup de marteau ! Elle pourrait sûrement briser la main de Kim si elle s'énervai vraiment ! Mais elle restait prudente et la serrait juste un peu. Ce n'est pas comme si cela était son premier baiser après tout. Elle ne saurait pas dire combien de temps avait passé, mais quand elle pouvait sentir l'oxygène gagner sa bouche, elle émit un léger gémissement, les joues rouges en observant la jeune femme. Cette dernière termina de la rincer avant de lui voler à nouveau un dernier baiser, la laissant aller se prélasser un peu toute seule le temps que Kim en fasse de même.
N'aurait-il pas été plus simple que Yami lui rende la pareille ? Au moins pour lui laver le dos ? Une certaine hésitation était palpable chez elle, surtout qu'elle remarquait que Kim était du genre à avoir une lame cachée entre les cuisses. Non pas qu'elle était contre, elle avait déjà perdu sa virginité après tout, mais pour le coup, elle n'aurait pas deviné que sa nouvelle amie ait cela entre les cuisses. Elle ne disait rien, gagnant juste l'Onsen, où elle tentait de se détendre, cherchant où tout cela menait ? Kim lui avait parlé de bien des choses avant ce baiser, qui était loin d'être désagréable d'ailleurs. Mais qu'est-ce que ça voulait dire ? Juste une envie brûlante sortie de nul part ? Une envie qu'elle avait refoulée depuis leur rencontre ? Le hasard ? Le destin ? Yami voguait dans un domaine inconnu, Kim pourrait lui tendre une perche qu'elle ne saurait peut-être même pas la réceptionner. Perdu dans ses pensées, elle ne vit pas Kim entrée dans l'eau à son tour, elle ne la remarquait qu'une fois qu'elle tendit son bras vers elle, se rapprochant ainsi d'elle, qu'elle le veuille ou non. L'Edorasienne jetait un regard vers Kim, toujours un peu gênée, les joues roses n'étaient pas seulement dû à la chaleur de l'eau.
« Je... c'était un baiser très agréable, Kim... Mais je voudrais m'excuser... Tu as dû le remarquer, je ne suis pas habituée à tout cela. Ce... ce genre de chose, je... je n'arrive pas à les exprimer, avec des mots ou des gestes... J'ignore même si te remercier est préférable ou non ? »
Oui, Edoras était à cheval sur la politesse, mais Kim n'était pas une geisha, elle n'avait pas besoin d'être payé pour embrasser, et remercier... c'était à la fois poli mais peut-être pas idéal ? Elle ne saurait pas dire, comme elle l'avait dit, ce n'était pas son élément donc elle ignorait si c'était une bonne ou une mauvaise chose ? La grande Yami Yamaoka, épéiste de talent, de même pour ses talents de forgeronne, était perdue, presque toute chétive face à tout cela. Un monde séparait le maître d'arme de la jeune femme qu'elle était. Une occasion en or peut-être pour Kim.
Kim de son côté profitait doucement de tout cela pour tenter de charmer la jeune femme, la guider doucement vers ce chemin qui lui était inconnu. Sa peau caressait la sienne, sa main se liait à la sienne et leurs lèvres finirent par se toucher et s'embrasser. Pas de refus, pas de recul de sa part, Yami se laissait faire, fermant juste les yeux lors de ce délicat baiser ou sa main serrait doucement celle de Kim. Elle avait beau avoir l'air d'une frêle demoiselle, elle avait pour habitude de tenir une lame et de la cogner à grand coup de marteau ! Elle pourrait sûrement briser la main de Kim si elle s'énervai vraiment ! Mais elle restait prudente et la serrait juste un peu. Ce n'est pas comme si cela était son premier baiser après tout. Elle ne saurait pas dire combien de temps avait passé, mais quand elle pouvait sentir l'oxygène gagner sa bouche, elle émit un léger gémissement, les joues rouges en observant la jeune femme. Cette dernière termina de la rincer avant de lui voler à nouveau un dernier baiser, la laissant aller se prélasser un peu toute seule le temps que Kim en fasse de même.
N'aurait-il pas été plus simple que Yami lui rende la pareille ? Au moins pour lui laver le dos ? Une certaine hésitation était palpable chez elle, surtout qu'elle remarquait que Kim était du genre à avoir une lame cachée entre les cuisses. Non pas qu'elle était contre, elle avait déjà perdu sa virginité après tout, mais pour le coup, elle n'aurait pas deviné que sa nouvelle amie ait cela entre les cuisses. Elle ne disait rien, gagnant juste l'Onsen, où elle tentait de se détendre, cherchant où tout cela menait ? Kim lui avait parlé de bien des choses avant ce baiser, qui était loin d'être désagréable d'ailleurs. Mais qu'est-ce que ça voulait dire ? Juste une envie brûlante sortie de nul part ? Une envie qu'elle avait refoulée depuis leur rencontre ? Le hasard ? Le destin ? Yami voguait dans un domaine inconnu, Kim pourrait lui tendre une perche qu'elle ne saurait peut-être même pas la réceptionner. Perdu dans ses pensées, elle ne vit pas Kim entrée dans l'eau à son tour, elle ne la remarquait qu'une fois qu'elle tendit son bras vers elle, se rapprochant ainsi d'elle, qu'elle le veuille ou non. L'Edorasienne jetait un regard vers Kim, toujours un peu gênée, les joues roses n'étaient pas seulement dû à la chaleur de l'eau.
« Je... c'était un baiser très agréable, Kim... Mais je voudrais m'excuser... Tu as dû le remarquer, je ne suis pas habituée à tout cela. Ce... ce genre de chose, je... je n'arrive pas à les exprimer, avec des mots ou des gestes... J'ignore même si te remercier est préférable ou non ? »
Oui, Edoras était à cheval sur la politesse, mais Kim n'était pas une geisha, elle n'avait pas besoin d'être payé pour embrasser, et remercier... c'était à la fois poli mais peut-être pas idéal ? Elle ne saurait pas dire, comme elle l'avait dit, ce n'était pas son élément donc elle ignorait si c'était une bonne ou une mauvaise chose ? La grande Yami Yamaoka, épéiste de talent, de même pour ses talents de forgeronne, était perdue, presque toute chétive face à tout cela. Un monde séparait le maître d'arme de la jeune femme qu'elle était. Une occasion en or peut-être pour Kim.

Kim pensait beaucoup à Yami, au point que se faire laver le dos en retour serait trop demander. Venir d‘Uatis signifie pour beaucoup de gens une affinité avec la sexualité, avec la quête de besoins parfois purement hédoniste. Elle est loin de les contredire ou de blâmer quiconque pour ce préjugé car c’est une réalité perceptible dans plusieurs recoins de la cité. À Edoras, Kim Uzuki cherche une approche différente et plus saine vis-à-vis de sa compagne de chambre. Simplement être informel et juste demander une relation sexuelle sans saveur la dégoûte. Le manque de respect serait impardonnable pour elle-même, une Uatéenne avec de la moralité dans une société aussi corrompue par la luxure. La volonté de donner et de rien recevoir en retour est son moyen de présenter cette relation comme remplie de bonnes intentions.
Leur premier baiser est un bon départ. Elle n’espérait pas meilleure réaction, surtout que le maître d’armes lui accorde sa confiance et se laisse emporter. Maintenant, Kim doit montrer la voie et surtout montrer que ce chemin est pavée de bonheur. Mais il est impossible d’écarter toutes les embûches. Kim retient encore Yami par les épaules et l’écoute s’excuser pour un détail qui fait sourire gaiement la touriste. En effet, une timidité presque infantile semble retenir la redoutable sabreuse. La responsabilité avant de s’occuper de soi-même, Ça devient évident avec le temps passé auprès d’une demoiselle dont l’apparence chétive ne masque en rien une élégance que Kim voit et à laquelle elle s’accroche. Sa main retourne contre la sienne et serre de nouveau. Elle admire Yami du regard, plonge sans peur dans son regard si profond qu’il est facile de s’y perdre. Un nouveau baiser scelle leurs bouches avec une langue glissant sur les lèvres du maître d’armes.
- Je pense que ta dévotion pour ton art te voile les yeux sur des aspects aussi importants de ta propre identité. Tu es Yami, une grande guerrière capable de me vaincre dans un combat juste et équitable. Mais tu es aussi une jeune femme. Peut-être as-tu peur de faire face aux gens ? Ou à tes propres sentiments ?
Le but n’est pas de la traiter d’un nom vulgaire ou d’insinuer la moindre insulte. Si les barrières de Yami sont robustes de son côté de la muraille, alors Kim se donne le droit de lui montrer l’autre côté du mur. Elle tire le bras de sa partenaire jusqu’à la faire s’asseoir sur ses cuisses. La brune sourit avec un charme venant du cœur. Sa main chaude frotte le dos de la forgeronne avec une tête penchée vers l’avant pour déposer des bises sur chaque sein. Ils sont petits, peut-être même au bord de l’inexistence. Mais Kim les voit et leur donne de douces léchouilles jusqu’à en faire durcir chaque téton. Son pouce et son majeur capture l’un d’entre eux. Avec douceur ils pincent le bout sensible. Puis afin d’éviter un gros couinement qui se ferait entendre par d’autres clientes, La bouche de Kim se pose contre ses lèvres et prolonge ainsi ce baiser plus chaud, plus fort. À cet instant, leurs corps se pressent harmonieusement. Cette étreinte remplie la mutante d’une émotion incroyable qu’elle veut absolument partager en sa compagnie.
- Yami…je crois au Destin. Ce moment en est la preuve.
Leur premier baiser est un bon départ. Elle n’espérait pas meilleure réaction, surtout que le maître d’armes lui accorde sa confiance et se laisse emporter. Maintenant, Kim doit montrer la voie et surtout montrer que ce chemin est pavée de bonheur. Mais il est impossible d’écarter toutes les embûches. Kim retient encore Yami par les épaules et l’écoute s’excuser pour un détail qui fait sourire gaiement la touriste. En effet, une timidité presque infantile semble retenir la redoutable sabreuse. La responsabilité avant de s’occuper de soi-même, Ça devient évident avec le temps passé auprès d’une demoiselle dont l’apparence chétive ne masque en rien une élégance que Kim voit et à laquelle elle s’accroche. Sa main retourne contre la sienne et serre de nouveau. Elle admire Yami du regard, plonge sans peur dans son regard si profond qu’il est facile de s’y perdre. Un nouveau baiser scelle leurs bouches avec une langue glissant sur les lèvres du maître d’armes.
- Je pense que ta dévotion pour ton art te voile les yeux sur des aspects aussi importants de ta propre identité. Tu es Yami, une grande guerrière capable de me vaincre dans un combat juste et équitable. Mais tu es aussi une jeune femme. Peut-être as-tu peur de faire face aux gens ? Ou à tes propres sentiments ?
Le but n’est pas de la traiter d’un nom vulgaire ou d’insinuer la moindre insulte. Si les barrières de Yami sont robustes de son côté de la muraille, alors Kim se donne le droit de lui montrer l’autre côté du mur. Elle tire le bras de sa partenaire jusqu’à la faire s’asseoir sur ses cuisses. La brune sourit avec un charme venant du cœur. Sa main chaude frotte le dos de la forgeronne avec une tête penchée vers l’avant pour déposer des bises sur chaque sein. Ils sont petits, peut-être même au bord de l’inexistence. Mais Kim les voit et leur donne de douces léchouilles jusqu’à en faire durcir chaque téton. Son pouce et son majeur capture l’un d’entre eux. Avec douceur ils pincent le bout sensible. Puis afin d’éviter un gros couinement qui se ferait entendre par d’autres clientes, La bouche de Kim se pose contre ses lèvres et prolonge ainsi ce baiser plus chaud, plus fort. À cet instant, leurs corps se pressent harmonieusement. Cette étreinte remplie la mutante d’une émotion incroyable qu’elle veut absolument partager en sa compagnie.
- Yami…je crois au Destin. Ce moment en est la preuve.
- Hinata Kaguya
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- Enregistré le : 24 août 2024 16:19
Toujours un peu perdue, dans tout ce qui venait de se passer, la jeune femme cherchait tant bien que mal à faire le point en séparant les bonnes et les mauvaises choses. Non pas que sa rencontre avec Kim soit une mauvaise chose, mais même en étant un peu perdue avec tout cela, elle savait que faire un tri dans tout ce qui se passait et pourrait se passer, l'aiderait à voir plus clair. La jeune femme l'avait rejoint une fois lavée et elle restait près d'elle, passant son bras par-dessus son épaule. Difficile à dire ce qui allait suivre même si Yami n'était pas totalement inculte, elle savait que vu la proximité de la jeune femme, il y avait que deux chemins possible. Du blabla pur et simple en toute amitié ou bien une chose plus intime dans l'immédiat ou sous peu. Elle ne savait pas trop ce qu'elle devait faire, elle s'excusa donc un peu, ignorant si c'était la bonne chose à faire ou non ?
Kim lui serra la main, venant l'embrasser doucement une nouvelle fois en lui expliquant sa vision des choses, concernant la jeune femme. Avait-elle peur de faire face aux gens ou à ses propres sentiments ? Non. Non ? À dire vrai, elle ne savait pas trop, elle était un peu perdue, l'amour, tout ça, elle n'était pas contre, mais ça n'était pas son domaine. On peut aimer la littérature et être incapable d'écrire une histoire, l'un n'empêchait pas l'autre. Mais du coup, est-ce qu'elle se mentait à elle-même ? Elle n'eut pas le temps de vraiment penser à ses paroles, Kim la tirait doucement vers elle, se retrouvant sur ses cuisses pendant qu'elle venait titiller sa poitrine. D'abord avec quelques coups de langue puis en pinçant cette zone, tout en l'embrassant. Mais après cela, Kim lui posa une nouvelle question et elle n'aurait pas pu mieux demander. Edoras était une ville ou les superstition étaient nombreuses, bien entendus, on y croit ou pas, cela varie des individus à un autre. La reine Hinata y croyait beaucoup par exemple. On rabat le kimono de gauche sur le côté droit et non l'inverse qui porte malheur – car c'est ainsi que sont habillé les morts – on ne parle pas publiquement du fait d'être enceinte avant trois mois, de même que le landau du bébé se monte une fois le bébé venue au monde ! Il y avait des tas et des tas de choses à faire ou ne pas faire et, sans croire forcément à tout cela, Yami avait été éduqué en apprenant cela et en les respectant. Et le mot Destin, lui rappelait cette légende du fil rouge qui reliait deux âme sœur ensemble, liée au petit doigt.
Sa petite poitrine remontait haut, elle en avait le souffle tout épuisée ! Ne perdant pas son regard, elle rougissait, sans forcément s'en rendre compte vu la chaleur ambiante, mais depuis les derniers mots de Kim, tout en elle se plaçait automatiquement du côté positif de la chose.
« Tu veux dire que... nous étions destinées à nous croiser et à... partager du temps ensemble ? »
Elle savait bien que ce le mot Destin voulait dire, mais elle devait faire le vide, comme elle pouvait pour mieux se concentrer sur tout ça. Yami levait une de ses mains, la sortant de l'eau, caressant doucement la joue de Kim, sans perdre son regard du sien.
« Kim, je ne suis pas douée avec tout ça, donc... essaie d'aller droit au but avec moi, d'accord ? »
Au-delà de la franchise, c'était vraiment d'éviter de tourner autour du pot ou de tendre certaines perches à saisir, non, si Kim devait ou voulait lui dire quelque chose, elle devait le dire directement. Du moins, quand cela concerne ce domaine, là, c'est elle qui voyait mal comment les choses s’emboîtaient. Involontairement, vu qu'elle était sur ses cuisses, elle sentait le sexe de Kim contre elle, elle n'était pas gêner, elle avait déjà coucher avec des futas. Pas souvent, mais c'était déjà arrivée.
« Donc, si tu veux qu'on... passe plus de temps, en intimité... Je suis d'accord. »
Elle ne savait pas tout mais elle n'était pas idiote, ses baisers, ses caresses, ce n'était rien que l'on pouvait juger de juste amicale, c'était un peu au-dessus quand même !
Kim lui serra la main, venant l'embrasser doucement une nouvelle fois en lui expliquant sa vision des choses, concernant la jeune femme. Avait-elle peur de faire face aux gens ou à ses propres sentiments ? Non. Non ? À dire vrai, elle ne savait pas trop, elle était un peu perdue, l'amour, tout ça, elle n'était pas contre, mais ça n'était pas son domaine. On peut aimer la littérature et être incapable d'écrire une histoire, l'un n'empêchait pas l'autre. Mais du coup, est-ce qu'elle se mentait à elle-même ? Elle n'eut pas le temps de vraiment penser à ses paroles, Kim la tirait doucement vers elle, se retrouvant sur ses cuisses pendant qu'elle venait titiller sa poitrine. D'abord avec quelques coups de langue puis en pinçant cette zone, tout en l'embrassant. Mais après cela, Kim lui posa une nouvelle question et elle n'aurait pas pu mieux demander. Edoras était une ville ou les superstition étaient nombreuses, bien entendus, on y croit ou pas, cela varie des individus à un autre. La reine Hinata y croyait beaucoup par exemple. On rabat le kimono de gauche sur le côté droit et non l'inverse qui porte malheur – car c'est ainsi que sont habillé les morts – on ne parle pas publiquement du fait d'être enceinte avant trois mois, de même que le landau du bébé se monte une fois le bébé venue au monde ! Il y avait des tas et des tas de choses à faire ou ne pas faire et, sans croire forcément à tout cela, Yami avait été éduqué en apprenant cela et en les respectant. Et le mot Destin, lui rappelait cette légende du fil rouge qui reliait deux âme sœur ensemble, liée au petit doigt.
Sa petite poitrine remontait haut, elle en avait le souffle tout épuisée ! Ne perdant pas son regard, elle rougissait, sans forcément s'en rendre compte vu la chaleur ambiante, mais depuis les derniers mots de Kim, tout en elle se plaçait automatiquement du côté positif de la chose.
« Tu veux dire que... nous étions destinées à nous croiser et à... partager du temps ensemble ? »
Elle savait bien que ce le mot Destin voulait dire, mais elle devait faire le vide, comme elle pouvait pour mieux se concentrer sur tout ça. Yami levait une de ses mains, la sortant de l'eau, caressant doucement la joue de Kim, sans perdre son regard du sien.
« Kim, je ne suis pas douée avec tout ça, donc... essaie d'aller droit au but avec moi, d'accord ? »
Au-delà de la franchise, c'était vraiment d'éviter de tourner autour du pot ou de tendre certaines perches à saisir, non, si Kim devait ou voulait lui dire quelque chose, elle devait le dire directement. Du moins, quand cela concerne ce domaine, là, c'est elle qui voyait mal comment les choses s’emboîtaient. Involontairement, vu qu'elle était sur ses cuisses, elle sentait le sexe de Kim contre elle, elle n'était pas gêner, elle avait déjà coucher avec des futas. Pas souvent, mais c'était déjà arrivée.
« Donc, si tu veux qu'on... passe plus de temps, en intimité... Je suis d'accord. »
Elle ne savait pas tout mais elle n'était pas idiote, ses baisers, ses caresses, ce n'était rien que l'on pouvait juger de juste amicale, c'était un peu au-dessus quand même !

Une différence plus importante encore entre Uatis et Edoras va au-delà de la comparaison superficielle des deux sociétés. Il est indéniable que l’un est plus avancé technologiquement que l’autre. C’est surtout au niveau des valeurs et des croyances que le fossé est béant et presque sans fond. La science est objective et tente de résoudre tout les mystères un à la fois. Le talent inné devient une génétique qui n’apparait qu’une fois sur des millions, par exemple. Même le pouvoir de Kim entre dans cette même logique avec la probabilité mathématique qu’elle soit née mutante. Toutefois, Edora n’explore pas ses superstitions en profondeur. Elle l’enlace et accepte de vivre en communion. La brune peut alors croire en la destinée, en une force guidant ses pas vers un avenir dont elle a l’option d’enlacer ou d’ignorer. Ses bras se promènent sur le dos de Yami qu’elle attirer légèrement contre son buste un peu plus développé. Malgré la petite paire de son amante, Kim sourit et savoure la vision de ces tétons se heurtant aux siens.
- Ça peut paraître comme une incroyable coïncidence mais notre duel amical est l’étincelle qui a éveillée mon intérêt à ton égard. Ta force, ta douceur, tes défauts et ta franchise sont toutes des qualités que je crevais d’envie de voir plus souvent à Uatis.
Là-bas, l’image et la réputation primaient sur bien trop d’aspects de la personnalité. Ici, Kim peut se détendre et afficher ses pensées, les dire à haute voix et défendre des valeurs qui en ville sont purement secondaires. Quand Yami demande plus de sincérité, elle hoche la tête et se met à la tâche. Elle tire alors sa compagne de l’eau pour la faire s’assoir contre le bord de la source chaude. Un baiser sulfureux atterri à pleine vitesse contre la bouche du maître d’armes. Cette pulsion est si rapide, Kim sent des fourmis dans ses doigts et dans ses jambes. Encore plus et son pouvoir risque de se réveiller. Dans l’eau, cela serait très dangereux. Elle inspire profondément et penche son corps vers l’avant. Sa bouche poursuit son périple sur cette peau soyeuse et pâle de L’Édorasienne. Le ventre plat et fin de Yami est un chef-d’œuvre que la futa admire de près avant que sa bouche fiévreuse appose son sceau d’approbation. Les courbes de chaque côté aide énormément à rendre ce jeune corps si désirable. Ses baisers se parsèment tout autour du nombril jusqu’à y laisser de légères marques rouges signe d’un passage sensuel dans la région. Ses mains s’appuient ensuite sur les cuisses qu’elle écarte sans gêne.
- Si tu veux la franchise et rien que la franchise alors oui, je veux être intime avec toi. Je veux rester avec toi toute la nuit et au-delà. Je souhaite sincèrement que cette relation aille plus loin que le sexe.
Kim s’avance et passe une langue chaude et humide sur la fente intime de sa partenaire. Les mains se crispent et malaxent chaque cuisse avec douceur mais aussi une poigne de désir. Les léchouille sont saccadés, touchent directement la vulve et les pétales avec répétition jusqu’à lui donner un lustre issu de sa salive. Son nez pressé sur le clitoris qu’elle frotte avec un gloussement de joie, sa langue s’enfonce alors entre les pétales intimes. Cette organe s’agite fébrilement et vient stimuler les parois internes. À ce moment, la verge de Kim commence à durcir et à pointer son gland au-dessus de la surface du bain.
- Ça peut paraître comme une incroyable coïncidence mais notre duel amical est l’étincelle qui a éveillée mon intérêt à ton égard. Ta force, ta douceur, tes défauts et ta franchise sont toutes des qualités que je crevais d’envie de voir plus souvent à Uatis.
Là-bas, l’image et la réputation primaient sur bien trop d’aspects de la personnalité. Ici, Kim peut se détendre et afficher ses pensées, les dire à haute voix et défendre des valeurs qui en ville sont purement secondaires. Quand Yami demande plus de sincérité, elle hoche la tête et se met à la tâche. Elle tire alors sa compagne de l’eau pour la faire s’assoir contre le bord de la source chaude. Un baiser sulfureux atterri à pleine vitesse contre la bouche du maître d’armes. Cette pulsion est si rapide, Kim sent des fourmis dans ses doigts et dans ses jambes. Encore plus et son pouvoir risque de se réveiller. Dans l’eau, cela serait très dangereux. Elle inspire profondément et penche son corps vers l’avant. Sa bouche poursuit son périple sur cette peau soyeuse et pâle de L’Édorasienne. Le ventre plat et fin de Yami est un chef-d’œuvre que la futa admire de près avant que sa bouche fiévreuse appose son sceau d’approbation. Les courbes de chaque côté aide énormément à rendre ce jeune corps si désirable. Ses baisers se parsèment tout autour du nombril jusqu’à y laisser de légères marques rouges signe d’un passage sensuel dans la région. Ses mains s’appuient ensuite sur les cuisses qu’elle écarte sans gêne.
- Si tu veux la franchise et rien que la franchise alors oui, je veux être intime avec toi. Je veux rester avec toi toute la nuit et au-delà. Je souhaite sincèrement que cette relation aille plus loin que le sexe.
Kim s’avance et passe une langue chaude et humide sur la fente intime de sa partenaire. Les mains se crispent et malaxent chaque cuisse avec douceur mais aussi une poigne de désir. Les léchouille sont saccadés, touchent directement la vulve et les pétales avec répétition jusqu’à lui donner un lustre issu de sa salive. Son nez pressé sur le clitoris qu’elle frotte avec un gloussement de joie, sa langue s’enfonce alors entre les pétales intimes. Cette organe s’agite fébrilement et vient stimuler les parois internes. À ce moment, la verge de Kim commence à durcir et à pointer son gland au-dessus de la surface du bain.
- Hinata Kaguya
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Yami était une excellent forgeronne, une excellente combattante mais concernant les relations humaines, il y avait bien mieux, surtout quand on commence à parler de relation plus intime. Elle était du genre à ne pas voir la perche s'agiter sous son nez. Au mieux, elle se demanderait ce que cette perche faisait là, mais elle ne la saisirait pas, ou pas comme il fallait. Donc face à Kim, elle préférait la voir lui dire les choses clairement, quitte à ce qu'elle les dises de façon vulgaire comme le ferait Tsukasa, au moins elle verrait clairement de quoi elle parlait plutôt que tourner trop longtemps autour du pot comme certaines personnes le faisait. En guise de réponse, Kim la fit sortir de l'eau d'abord avant de l'embrasser, ce à quoi elle y répondait mais, était-ce encore une forme de réponse ou juste une envie dicté par son corps ? Elle n'en savait trop rien et profitait juste de cela comme il se devait, d'autant plus que Kim délaissa ses lèvres pour doucement descendre le long de son corps avec ses lèvres. Arrivée près de son nombril, elle sentit un petit frisson, difficile de dire si c'était son point faible ou juste la perspective que Kim continue de l'embrasser plus bas ?
Elle écarta ses cuisses avant d'enfin donner plus de détails à sa réponse, voulant continuer sur sa lancée pour ce soir, même pour après. Une relation qui allait plus loin que le sexe... Donc plus, intime et privée ? Une vie de couple. Kim était assez clair pour les gens, Yami y avait encore de légers doutes même si, ça laissait peu de place à une autre forme d’amitié ou de sex-friend. Yami n'eut pas le temps de vraiment pousser réflexions plus loin, la jeune femme venait s'attaquer à son intimité à coup de langue et de baiser, la faisant sursauté alors qu'elle retenait un léger gémissement. Elles étaient seules pour le moment mais qui sait quand d'autres personnes pourraient débarquer ? Gardant sa main près de sa bouche, elle préférait réagir vite plutôt que devoir se faire remarquer.
« Mmmmmmmh... ouuuuuh, Kim.... »
Elle devait bien avouer que faire ça dehors, c'était audacieux, elle avait toujours fait ça dans une chambre, bien en privée. Son corps tremblait légèrement, laissant sa seconde main lui caresser la tête, elle ne pouvait pas voir que sa queue se mettait au garde-à-vous, même si elle n'était pas idiote et devait s'en douter. Et puis même si elle restait assez immobile, Yami n'allait pas juste rester là à subir et une de ses jambes se tendait doucement, caresser avec le dos du pied les courbes de Kim, passant doucement de sa cuisses à sa hanche et inversement, elle ne pouvait pas faire grand-chose. Elle aurait pu caresser son sexe avec son pied mais, vu qu'elle se trouvait entre ses cuisses, ça allait être difficile d'agir comme ça. Mais après quelques minutes de plaisir, ses deux mains venaient écarter doucement le visage de la jeune femme de son entrecuisse, toujours plus rouge de gêne, elle détourna légèrement le regard même si elle osait affronter son regard.
« Kim, je... je voudrais te rendre... la... la pareille... »
Reste à voir si Kim avait les deux ou un seul attribut ? Elle avait bien vu sa queue, tout comme sa poitrine, mais y avait-il quelque chose derrière son pénis ? Elle n'y avait pas fait attention. Mais Yami qui faisait une telle demande, ce n'était pas rien.
Elle écarta ses cuisses avant d'enfin donner plus de détails à sa réponse, voulant continuer sur sa lancée pour ce soir, même pour après. Une relation qui allait plus loin que le sexe... Donc plus, intime et privée ? Une vie de couple. Kim était assez clair pour les gens, Yami y avait encore de légers doutes même si, ça laissait peu de place à une autre forme d’amitié ou de sex-friend. Yami n'eut pas le temps de vraiment pousser réflexions plus loin, la jeune femme venait s'attaquer à son intimité à coup de langue et de baiser, la faisant sursauté alors qu'elle retenait un léger gémissement. Elles étaient seules pour le moment mais qui sait quand d'autres personnes pourraient débarquer ? Gardant sa main près de sa bouche, elle préférait réagir vite plutôt que devoir se faire remarquer.
« Mmmmmmmh... ouuuuuh, Kim.... »
Elle devait bien avouer que faire ça dehors, c'était audacieux, elle avait toujours fait ça dans une chambre, bien en privée. Son corps tremblait légèrement, laissant sa seconde main lui caresser la tête, elle ne pouvait pas voir que sa queue se mettait au garde-à-vous, même si elle n'était pas idiote et devait s'en douter. Et puis même si elle restait assez immobile, Yami n'allait pas juste rester là à subir et une de ses jambes se tendait doucement, caresser avec le dos du pied les courbes de Kim, passant doucement de sa cuisses à sa hanche et inversement, elle ne pouvait pas faire grand-chose. Elle aurait pu caresser son sexe avec son pied mais, vu qu'elle se trouvait entre ses cuisses, ça allait être difficile d'agir comme ça. Mais après quelques minutes de plaisir, ses deux mains venaient écarter doucement le visage de la jeune femme de son entrecuisse, toujours plus rouge de gêne, elle détourna légèrement le regard même si elle osait affronter son regard.
« Kim, je... je voudrais te rendre... la... la pareille... »
Reste à voir si Kim avait les deux ou un seul attribut ? Elle avait bien vu sa queue, tout comme sa poitrine, mais y avait-il quelque chose derrière son pénis ? Elle n'y avait pas fait attention. Mais Yami qui faisait une telle demande, ce n'était pas rien.

Il n’y avait que le bruit de l’eau qui remue sous le moindre mouvement du corps de Kim et les couinements mignons de sa partenaire. Ses mains agrippent chaque cuisse avec une douceur marquée avec une prise solide mais légère. À aucun moment la mutante membrée exprime de la dominance agressive. Si Yami désirait arrêter il suffisait de se retirer ou de dire le mot. Kim Uzuki préfère se jeter dans un nid de Xénos plutôt que de maltraiter une femme pour qui elle s’éprend. Sa langue lèche avec ampleur, va au-delà la barrière de lèvres intimes pour récolter les premiers suintements de cyprine. Quand la jambe d’Édorasienne se pose sur son dos, elle sourit et applique des coups de langue plus humide. Son nez se presse ensuite sur le bouton rosé du clitoris. Ce parfum féminin qui l’enivre est aussi vibrant que le plus frais bouquet de fleurs.
Elle frotte les jambes de Yami avec ses paumes de haut en bas, glissant aussi loin que possible jusqu’aux talons. Si lisses et fines, c’est fort agréable de les toucher et de sentir toute leur douceur avant que la brune se retire de l’antre intime. Sa bouche humide, elle sourit gaiement à la demoiselle au visage pivoine dont la gêne est si craquante. Kim se rapproche et l’embrasse avec affection. Se faisant, le parfum du fluide parvient jusqu’au maître d’armes prêt à rendre la pareille. Le corps de la jeune femme sort à son tour de l’eau thermale. Ses jambes et ses abdominaux montrent son entraînement militaire passé et que sur le plan physique elle ménage sa force sans avoir l’apparence d’une amazone baraquée.
- Avec plaisir. Prends ton temps et agis sans regret, d’accord ?
Kim s’assoit contre le bord de l’eau et ouvre ses cuisses. Son sexe masculin fait dans les 15 centimètres de longueur. Pour Uatis, c’est une taille modeste mais normale pour la majeure partie de la population. Mais comme les plus insatiables perverses, elle ne cache pas son excitation et un sourire coquin à la seule pensée qu’une belle demoiselle viendrait la sucer. Outre la luxure primale, le geste revête une symbolique avec deux différentes définitions; La soumission totale ou un lien de confiance émotionnel et affectif. La brune sait déjà où va son cœur sur le sujet, sa main caressant les joues de Yami avant de la guider plus près de son corps. Puis elle soulève ses bourses afin de lui montrer sa vulve intime. Elle possède les deux sexes fonctionnels avec la fente suintante comme celle de l’Edorasienne. C’était à sa tendre amante de choisir par où commencer. Kim lui donne de l’encouragement avec sa langue venant lécher le cou avec sensualité.
Elle frotte les jambes de Yami avec ses paumes de haut en bas, glissant aussi loin que possible jusqu’aux talons. Si lisses et fines, c’est fort agréable de les toucher et de sentir toute leur douceur avant que la brune se retire de l’antre intime. Sa bouche humide, elle sourit gaiement à la demoiselle au visage pivoine dont la gêne est si craquante. Kim se rapproche et l’embrasse avec affection. Se faisant, le parfum du fluide parvient jusqu’au maître d’armes prêt à rendre la pareille. Le corps de la jeune femme sort à son tour de l’eau thermale. Ses jambes et ses abdominaux montrent son entraînement militaire passé et que sur le plan physique elle ménage sa force sans avoir l’apparence d’une amazone baraquée.
- Avec plaisir. Prends ton temps et agis sans regret, d’accord ?
Kim s’assoit contre le bord de l’eau et ouvre ses cuisses. Son sexe masculin fait dans les 15 centimètres de longueur. Pour Uatis, c’est une taille modeste mais normale pour la majeure partie de la population. Mais comme les plus insatiables perverses, elle ne cache pas son excitation et un sourire coquin à la seule pensée qu’une belle demoiselle viendrait la sucer. Outre la luxure primale, le geste revête une symbolique avec deux différentes définitions; La soumission totale ou un lien de confiance émotionnel et affectif. La brune sait déjà où va son cœur sur le sujet, sa main caressant les joues de Yami avant de la guider plus près de son corps. Puis elle soulève ses bourses afin de lui montrer sa vulve intime. Elle possède les deux sexes fonctionnels avec la fente suintante comme celle de l’Edorasienne. C’était à sa tendre amante de choisir par où commencer. Kim lui donne de l’encouragement avec sa langue venant lécher le cou avec sensualité.
- Hinata Kaguya
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Yami s'ouvrait un peu plus dans ce monde qui lui était si étrange et inconnu. Elle n'était plus vierge, ayant eu diverses petites expériences ici et là, mais jamais rien de bien sérieux. Une chose qui pourrait bien changer dans un avenir très proche, mais pour le moment, elle se laissait faire, laissant Kim entre ses cuisses, passant sa langue sur sa petite fente intime. Des coups de langue de plus en plus fort, se faufilant de plus en plus en elle. Le plaisir se faisait de plus en plus présent en elle, même si elle cherchait à le cacher, du moins, à ne pas faire trop de bruit. Elle n'avait rien contre cette pratique, elle était une femme, avant tout attiré par les femmes, même si elle n'avait rien contre les hommes, la jeune femme préférait partager son lit avec une jeune femme plutôt qu'un homme. Alors la sentir lui lécher cet endroit si intime la rendait toute chose, une sensation bien agréable. Elle gardait quand même une de ses mains près de sa bouche, au cas où.
Finalement, elle prit un peu son courage à deux mains, voulant lui rendre la pareille. Elle n'avait rien contre le fait qu'on s'occupe d'elle, mais elle ne voulait pas trop rester de marbre, elle pouvait aussi participer. Elle n'était pas la plus active, ni la plus libérée sur le sujet, mais elle pouvait participer. Kim sortit de l'eau, exibant ses muscles et surtout, son intimité. Elle le vit bien cette fois, sa queue dressée, la paire de testicules en dessous, mais y avait-il encore un truc derrière ? Assise sur le rebord à son tour, elle bougeait elle-même ce qui gênait la vue et Yami pu donc voir qu'elle était les deux à la fois. Mais vu sa position, elle se posait une question... à quoi s'attaquer ? Sa queue ? Elle l'avait déjà fait par le passé donc elle pouvait le faire, mais si elle devait lui rendre la pareille à l'identique, ça allait gêner, non ? Quand elle avait couché avec une futa, c'étaient juste les deux sexes, sans testicules. Au moins sur ça, Kim était sa première fois. La jeune femme lui caressait les joues, venant ensuite l'embrasser dans le cou, peut-être à cause de son hésitation ? Yami s'en dégageait doucement, se penchant un peu en plongeant son corps dans l'eau.
Avec ses doigts, délicatement, elle bougeait les testicules de Kim, venant glisser sa langue entre ses cuisses, son nez frottant donc involontairement contre ses bourses. Mais elle sentait qu'elle devait en faire plus. Pour le moment, elle ne fit que ça, sa seconde main se posait sur la cuisse de la jeune femme, mais très doucement, elle se rapprochait, venant entourer son sexe masculin. Elle sentait la douce chaleur, les palpitations qu'il pouvait y avoir autour de ce membre. Doucement, elle remuait sa main aussi sur son manche. Elle la masturbait donc doucement, pendant qu'elle léchait son intimité. Kim était royalement servi. Oh certes, ce n'était pas une prestation digne d'une professionnelle de métier, mais on ne crachait pas dans la soupe, surtout que Kim n'était pas insensible à ses charmes.
Finalement, elle prit un peu son courage à deux mains, voulant lui rendre la pareille. Elle n'avait rien contre le fait qu'on s'occupe d'elle, mais elle ne voulait pas trop rester de marbre, elle pouvait aussi participer. Elle n'était pas la plus active, ni la plus libérée sur le sujet, mais elle pouvait participer. Kim sortit de l'eau, exibant ses muscles et surtout, son intimité. Elle le vit bien cette fois, sa queue dressée, la paire de testicules en dessous, mais y avait-il encore un truc derrière ? Assise sur le rebord à son tour, elle bougeait elle-même ce qui gênait la vue et Yami pu donc voir qu'elle était les deux à la fois. Mais vu sa position, elle se posait une question... à quoi s'attaquer ? Sa queue ? Elle l'avait déjà fait par le passé donc elle pouvait le faire, mais si elle devait lui rendre la pareille à l'identique, ça allait gêner, non ? Quand elle avait couché avec une futa, c'étaient juste les deux sexes, sans testicules. Au moins sur ça, Kim était sa première fois. La jeune femme lui caressait les joues, venant ensuite l'embrasser dans le cou, peut-être à cause de son hésitation ? Yami s'en dégageait doucement, se penchant un peu en plongeant son corps dans l'eau.
Avec ses doigts, délicatement, elle bougeait les testicules de Kim, venant glisser sa langue entre ses cuisses, son nez frottant donc involontairement contre ses bourses. Mais elle sentait qu'elle devait en faire plus. Pour le moment, elle ne fit que ça, sa seconde main se posait sur la cuisse de la jeune femme, mais très doucement, elle se rapprochait, venant entourer son sexe masculin. Elle sentait la douce chaleur, les palpitations qu'il pouvait y avoir autour de ce membre. Doucement, elle remuait sa main aussi sur son manche. Elle la masturbait donc doucement, pendant qu'elle léchait son intimité. Kim était royalement servi. Oh certes, ce n'était pas une prestation digne d'une professionnelle de métier, mais on ne crachait pas dans la soupe, surtout que Kim n'était pas insensible à ses charmes.

Sa main brosse l’alléchante hanche de Yami et savoure la douceur de la chaire. Un doigt passe alors sur la jolie ligne qu’était la courbe. Malgré le risque d’être découvertes par de potentielles clientes, Kim montre une patience olympienne vis-à-vis de son amante sur le point de prendre l’initiative. Dès que l’Edorasienne glisse dans l’eau, la brunette écarte ses cuisses et l’aide à accéder à la partie intime désirée. Sur Uatis, il est très fréquent de s’occuper de la partie virile. Les Futas se saoulent d’orgueil et de vanité de par leur sexe masculin, le symbole civil de leur supériorité sur les femmes d’Uatis. Elle est reconnaissante de ne pas finir aussi gonflée par l’égo que bien d’autres demoiselles de son calibre. Sa main retourne dans la cascade bleutée, la caresse avec affection et couine sensuellement à la léchouille sur sa féminité. Sa pauvre fente si souvent négligée au profit de la tige masculine suinte sa cyprine sur la langue timide de Yami. Une douce pression de sa fente directement contre la bouche la fait couiner de nouveau. C’est comme un baiser pervers entre le maître d’armes et un vagin.
La masturbation la fait pencher sur la droite. Kim soupire, inspire en profondeur avec sa jeune poitrine remuant de haut en bas. Bon sang qu’elle adore sentir un paume autour de son membre en guise d’invitation et des ébats plus sulfureux. Elle caresse les joues de Yami et susurre son nom avec un nouveau filet de cyprine éclaboussant les lèvres de l’amante. Son membre durcit et devient raide, prêt à l’emploi. Elle commence à tirer sur la chevelure pour faire remonter la tête tout en laissant une partie de jeune corps submergée dans l’eau chaude. Ses yeux étincelants de douceur fixe Yami, son visage rapprochant du sien pour échanger ce fluide sexuel entre leurs lèvres. Ses pouces frottent chaque joue dans une rotation circulaire pour ensuite apposer un baiser délicat sur son front.
- Tu te débrouilles merveilleusement bien.
Kim le dit d’un ton doux empreint de sincérité. Toutefois, son côté Uaténien se réveille avec un sourire coquin qui se dessine sur ses lèvres. Ses mains guident la belle sabreuse contre son phallus rigide. Le gland est alors dirigé contre la bouche de Yami et en poussant avec prudence le fait entrer dans sa bouche chaude. Elle la retient au niveau des épaules et l’aide à remuer la tête. La verge glisse contre les lèvres et va quelques centimètres plus loin à mesure que la salive lubrifie l’engin. Après deux minutes où le présperme aide à lubrifier la bouche de Yami, Kim s’arrête et laisse à sa partenaire l’opportunité de continuer de son plein gré.
La masturbation la fait pencher sur la droite. Kim soupire, inspire en profondeur avec sa jeune poitrine remuant de haut en bas. Bon sang qu’elle adore sentir un paume autour de son membre en guise d’invitation et des ébats plus sulfureux. Elle caresse les joues de Yami et susurre son nom avec un nouveau filet de cyprine éclaboussant les lèvres de l’amante. Son membre durcit et devient raide, prêt à l’emploi. Elle commence à tirer sur la chevelure pour faire remonter la tête tout en laissant une partie de jeune corps submergée dans l’eau chaude. Ses yeux étincelants de douceur fixe Yami, son visage rapprochant du sien pour échanger ce fluide sexuel entre leurs lèvres. Ses pouces frottent chaque joue dans une rotation circulaire pour ensuite apposer un baiser délicat sur son front.
- Tu te débrouilles merveilleusement bien.
Kim le dit d’un ton doux empreint de sincérité. Toutefois, son côté Uaténien se réveille avec un sourire coquin qui se dessine sur ses lèvres. Ses mains guident la belle sabreuse contre son phallus rigide. Le gland est alors dirigé contre la bouche de Yami et en poussant avec prudence le fait entrer dans sa bouche chaude. Elle la retient au niveau des épaules et l’aide à remuer la tête. La verge glisse contre les lèvres et va quelques centimètres plus loin à mesure que la salive lubrifie l’engin. Après deux minutes où le présperme aide à lubrifier la bouche de Yami, Kim s’arrête et laisse à sa partenaire l’opportunité de continuer de son plein gré.
- Hinata Kaguya
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- Enregistré le : 24 août 2024 16:19
Yami était loin d'être une experte en amour, mais elle avait tout de même quelques notions en ce qui concerne le sexe. Sans être doué pour cela, elle n'était pas perdue dans cette situation, mis à part que d'ordinaire, c'était dans un endroit assez clos où l'on ne risquait pas de la voir en pleine action. Mais bon, ce n'était qu'un détail. Yami continuait de s'occuper du côté féminin de Kim, son nez passant près de son membre viril, le boudant un peu pour le moment, car elle voulait faire les choses bien. Son corps était encore immergé dans l'eau chaude, caressant avec sa langue sa féminité qui ne cessait de ruisseler, son délicieux nectar régalait ses papilles, mais tout cela n'était que le début de leur petite affaire. Kim vint lui tenir les joues pour la redresser un peu et ensemble, partager un délicieux baiser plein de douceur, avant que son excitation ne vienne la guider ailleurs, approchant ses lèvres de son sabre de chair. Yami n'en avait pas peur et le prit doucement en bouche, guidé d'abord par sa nouvelle amie qui imposait son rythme au début, et cela lui convenait. Elle avait plus l'habitude des femmes que des futas, mais elle y a déjà goûté.
Tout doucement, elle la suçait, à chaque passage, elle allait plus loin, sans pour autant allez jusqu'à la gorge profonde pour le moment. C'était une chose qu'elle n'avait même jamais essayée donc, elle pourrait bien tenter, mais elle sera plus maladroite qu'autre chose. Même une fois que Kim avait retiré ses mains pour la laisser faire, elle allait toujours à son rythme, doux et lent, voyant sans cesse le ventre de Kim, son petit nombril, qui se rapprochait et s'éloignait à chaque fois. Bien entendu, le plaisir était partagé, mais de son côté, son fluide ne faisait plus qu'un avec l'eau chaude de l'Onsen. Donc, quelque part... s'y baigner, c'est un peu baigner dans son jus intime ? Vu le peu de quantité, dedans, ce n'était pas grand-chose... Mais ça restait vrai. Yami finissait quand même par sortir sa queue de sa bouche, la masturbant doucement en levant les yeux vers Kim. Même sans rien dire, il y avait quelque chose dans le regard, une communion entre elles.
« Je.... Je te laisse décider, de comment tu voudrais finir ça ? »
Voulait-elle jouir dans sa bouche ou sur son visage ? Yami s'en fichait un peu, le résultat sera un peu le même à la fin, à peu de choses près. Mais ainsi, elle verrait un peu mieux les goûts de Kim concernant cela. L'idée de jouir dans sa bouche et la voir avaler ou recracher ? Ou préférer plutôt asperger son visage de sa semence blanche et crémeuse ? Yami y retourna donc, avec un peu plus de passion dans le mouvement, plus rapide et plus passionné, s'arrêtant toujours avant que son gland ne passe le seuil et se glisse dans sa gorge. Elle restait prudente sur ça pour le moment, mais elle voulait faire jouir Kim. Elle ne sera pas sa plus grande partenaire sexuel – ce serait étonnant si c'était le cas – mais elle y mettait du cœur à l'ouvrage en tout cas. Elle ignorait encore quand elle allait se laisser aller, mais ça s'approchait, c'est sûr. Et après ça, allaient-elles allez plus loin, ici ou dans leur chambre ? Et de quelle façon ? Tout était encore à écrire pour elles.
Tout doucement, elle la suçait, à chaque passage, elle allait plus loin, sans pour autant allez jusqu'à la gorge profonde pour le moment. C'était une chose qu'elle n'avait même jamais essayée donc, elle pourrait bien tenter, mais elle sera plus maladroite qu'autre chose. Même une fois que Kim avait retiré ses mains pour la laisser faire, elle allait toujours à son rythme, doux et lent, voyant sans cesse le ventre de Kim, son petit nombril, qui se rapprochait et s'éloignait à chaque fois. Bien entendu, le plaisir était partagé, mais de son côté, son fluide ne faisait plus qu'un avec l'eau chaude de l'Onsen. Donc, quelque part... s'y baigner, c'est un peu baigner dans son jus intime ? Vu le peu de quantité, dedans, ce n'était pas grand-chose... Mais ça restait vrai. Yami finissait quand même par sortir sa queue de sa bouche, la masturbant doucement en levant les yeux vers Kim. Même sans rien dire, il y avait quelque chose dans le regard, une communion entre elles.
« Je.... Je te laisse décider, de comment tu voudrais finir ça ? »
Voulait-elle jouir dans sa bouche ou sur son visage ? Yami s'en fichait un peu, le résultat sera un peu le même à la fin, à peu de choses près. Mais ainsi, elle verrait un peu mieux les goûts de Kim concernant cela. L'idée de jouir dans sa bouche et la voir avaler ou recracher ? Ou préférer plutôt asperger son visage de sa semence blanche et crémeuse ? Yami y retourna donc, avec un peu plus de passion dans le mouvement, plus rapide et plus passionné, s'arrêtant toujours avant que son gland ne passe le seuil et se glisse dans sa gorge. Elle restait prudente sur ça pour le moment, mais elle voulait faire jouir Kim. Elle ne sera pas sa plus grande partenaire sexuel – ce serait étonnant si c'était le cas – mais elle y mettait du cœur à l'ouvrage en tout cas. Elle ignorait encore quand elle allait se laisser aller, mais ça s'approchait, c'est sûr. Et après ça, allaient-elles allez plus loin, ici ou dans leur chambre ? Et de quelle façon ? Tout était encore à écrire pour elles.

Kim plonge alors sa main dans la soyeuse chevelure bleutée de sa partenaire. Des fourmillements délicats se font sentir sur sa peau avec sa main qui retient Yami dans un élan sensuel. Elle prend plaisir à sentir sa queue tressaillir et se rapprocher de la jouissance. Son souffle accélère, sa poitrine remue plus vite et ses couinements sont impossibles à contenir. Expérience ou pas, ressentir le désir et la passion dans cet acte suffit à unir deux jeunes amantes liées par le fil rouge du destin. Kim fixe son regard, lui sourit gentiment pour ensuite porter sa verge bien en profondeur dans la bouche chaude et humide. Étant donné que la clientèle de soirée peut venir profiter des bains, la jeune brunette jouie entre les lèvres de Yami. Les filets de semence jutent avec calme, offrant une dégustation salée que Kim espère la voir avaler.
L’Uatéenne profite de l’instant en râlant et couinant de plaisir. Cette excitation pompée dans ses veines lui fait accélérer les battements de son cœur et sa chaleur corporelle. Suintant quelques gouttes de sueur elle aide sa tendre partenaire à sortir le bassin hors de l’Onsen. Kim agrippe et pelote le fessier rond avec sa paume qui remue par-dessus. Leurs se collent l’un contre l’autre avec leurs seins réunis sous une douce étreinte. Son index glisse le long de la colonne de Yami tandis que la gente esper clame un baiser avec les lèvres trempées si en évidence et qui méritent l’attention de l’amante.
- Parles-moi. C’était comment de sucer une femme membrée ? Intimidant mais ô combien jouissif ?
Kim sourit gaiement sans cacher le plaisir qui continue de l’animer. Sa tête penchée vient clamer des léchouilles pervers au niveau des tétons. Sa langue lèche et conserve les pointes rosées dures ainsi que les auréoles roses humides. Bien que tentée par un échange sexuel dans la source chaude le souhait de Kim pour de l’intimité l’encourage à relever Yami et la guider vers leur chambre. Les serviettes aident à couvrir leurs corps nus au moment où les clientes débarquent enfin dans le passage avec nonchalance. Toutes sont des femmes et aucune ne prête attention au fait qu’un membre du palais impérial soit présent. La brunette, par contre, pose son regard lubrique sur le corps de Yami et l’enlace dans ses bras une fois dans leur chambre. Un nouveau baiser s’impose et se moule sur les lèvres de la jeune Yamaoka. C’est Kim quise laisse glisser sur son dos et place sa partenaire au-dessus, fessier contre sa verge encore dure.
- Si tu préfères, on peut repartir un peu plus tard. Je ne veux pas que le palais s’inquiète de ton absence.
L’Uatéenne profite de l’instant en râlant et couinant de plaisir. Cette excitation pompée dans ses veines lui fait accélérer les battements de son cœur et sa chaleur corporelle. Suintant quelques gouttes de sueur elle aide sa tendre partenaire à sortir le bassin hors de l’Onsen. Kim agrippe et pelote le fessier rond avec sa paume qui remue par-dessus. Leurs se collent l’un contre l’autre avec leurs seins réunis sous une douce étreinte. Son index glisse le long de la colonne de Yami tandis que la gente esper clame un baiser avec les lèvres trempées si en évidence et qui méritent l’attention de l’amante.
- Parles-moi. C’était comment de sucer une femme membrée ? Intimidant mais ô combien jouissif ?
Kim sourit gaiement sans cacher le plaisir qui continue de l’animer. Sa tête penchée vient clamer des léchouilles pervers au niveau des tétons. Sa langue lèche et conserve les pointes rosées dures ainsi que les auréoles roses humides. Bien que tentée par un échange sexuel dans la source chaude le souhait de Kim pour de l’intimité l’encourage à relever Yami et la guider vers leur chambre. Les serviettes aident à couvrir leurs corps nus au moment où les clientes débarquent enfin dans le passage avec nonchalance. Toutes sont des femmes et aucune ne prête attention au fait qu’un membre du palais impérial soit présent. La brunette, par contre, pose son regard lubrique sur le corps de Yami et l’enlace dans ses bras une fois dans leur chambre. Un nouveau baiser s’impose et se moule sur les lèvres de la jeune Yamaoka. C’est Kim quise laisse glisser sur son dos et place sa partenaire au-dessus, fessier contre sa verge encore dure.
- Si tu préfères, on peut repartir un peu plus tard. Je ne veux pas que le palais s’inquiète de ton absence.
- Hinata Kaguya
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La douce Yami était peu expérimentée sur le sujet, sans être inculte, elle était juste peu habituée à ce genre de choses, plus à l'aise pour battre le fer et manier les armes que parcourir le corps d'une femme avec ses doigts. Elle ne s'est jamais sentie inférieure en beauté ou autre, elle n'avait pas beaucoup de poitrine, mais ça n'avait jamais été un complexe pour elle, sa mère aussi était peu grande et ses formes pas si développé donc, on pouvait dire qu'elle avait hérité de ce côté de sa famille. Mais pour le moment, il n'était pas question de sa famille, elle était juste en train de faire une fellation à Kim, sa tête entre ses cuisses, elle remuait sa bouche et sa tête doucement dessus. Dedans, sa langue continuait de s'agiter le long de son membre épais, gémissant faiblement face à tout ce plaisir qu'elle lui offrait, mais aussi, ce plaisir qu'elle avait aussi de son côté. On ne pouvait pas dire que ce n'était qu'un plaisir à sens unique, Yami aussi profitait de ce moment, peut-être de façon moins intense ou au contraire, plus intenses, elle n'en savait rien, elle n'a jamais eu de pénis entre les cuisses après tout.
Yami enchaîna pour le plus grand plaisir de Kim, parvenait à l'amener à jouir en elle et bien qu'elle s'y attendait, ce fut une surprise de sentir son membre s'agiter un peu et cracher en elle sa semence. Elle sentait cette chose se répandre dans sa bouche, petit à petit, venant avaler cela avec une légère grimace. Ce n'était pas très bon, faut dire ce qui est. Mais elle savait que ce goût étrange était une chose à laquelle on pouvait s'y habituer avec le temps. Elle se redressa avec l'aide de la demoiselle, se redressant pour se blottir contre son corps. Son corps fin contre celui un peu plus musclée de Kim, même si Yami pouvait montrer une certaine force dans les bras – forgés des lames, ce n'est pas une partie de plaisir – si elle ne contractait pas ses muscles, ses bras restaient assez fin. La demoiselle caressait son corps en récoltant son avis sur cette expérience qu'elle venait d'avoir. Elle restait blottie contre elle, sans regarder la jeune femme dans les yeux. D'autant plus que Kim parcourait sa poitrine avec sa langue.
« C'était un peu ça... J'ai déjà couché avec une futa, mais... jamais je n'en ai sucé une... Ni... ni avaler, du coup... »
Kim pouvait s'estimer chanceuse, c'était son foutre à elle que Yami avait eu l'honneur de goûter pour la première fois. C'était peut-être idiot ou normal, mais elle aimait se sentir contre elle comme ça, un moment doux et agréable même si elles n'allaient pas tarder à quitter l'Onsen pour retourner dans leur chambre. Le temps pour elles de s'enrouler dans une serviette et de retrouver un peu d'intimité que Kim se fit de nouveau tactile en venant à elle, s'embrassant en se demandant si elles devaient rentrer. Elle le sentait, sa verge près de ses fesses, sa bosse se pressait entre ses bosses.
« Inutile, je n'ai aucun rendez-vous de prévus au palais donc... rien ne m'oblige à y retourner ce soir. »
Elle y habitait, mais rien ne l'obligeait à y dormir le soir, elle était adulte et libre de faire ce qu'elle voulait après tout. Si elle voulait passer la nuit avec Kim dans cette chambre, à pratiquer bien des choses entre adultes consentants, ça la regardait, elle n'avait de compte à rendre avec personne. Avec le stress ou en sachant ce qu'elle faisait, elle remuait doucement, ses petites fesses remuant contre sa bosse tandis qu'elle posa ses mains sur celles de Kim, déjà posé sur son corps. Quelque chose lui disait qu'elles n'allaient pas s'habiller tout de suite. Et comme si ce n'était pas assez évident...
« Mmmh, tu veux qu'on reprenne ? »
Levant sa tête vers Kim dans son dos, elle était à sa merci, prête à continuer cette soirée qui s'annonçait très agréable.
Yami enchaîna pour le plus grand plaisir de Kim, parvenait à l'amener à jouir en elle et bien qu'elle s'y attendait, ce fut une surprise de sentir son membre s'agiter un peu et cracher en elle sa semence. Elle sentait cette chose se répandre dans sa bouche, petit à petit, venant avaler cela avec une légère grimace. Ce n'était pas très bon, faut dire ce qui est. Mais elle savait que ce goût étrange était une chose à laquelle on pouvait s'y habituer avec le temps. Elle se redressa avec l'aide de la demoiselle, se redressant pour se blottir contre son corps. Son corps fin contre celui un peu plus musclée de Kim, même si Yami pouvait montrer une certaine force dans les bras – forgés des lames, ce n'est pas une partie de plaisir – si elle ne contractait pas ses muscles, ses bras restaient assez fin. La demoiselle caressait son corps en récoltant son avis sur cette expérience qu'elle venait d'avoir. Elle restait blottie contre elle, sans regarder la jeune femme dans les yeux. D'autant plus que Kim parcourait sa poitrine avec sa langue.
« C'était un peu ça... J'ai déjà couché avec une futa, mais... jamais je n'en ai sucé une... Ni... ni avaler, du coup... »
Kim pouvait s'estimer chanceuse, c'était son foutre à elle que Yami avait eu l'honneur de goûter pour la première fois. C'était peut-être idiot ou normal, mais elle aimait se sentir contre elle comme ça, un moment doux et agréable même si elles n'allaient pas tarder à quitter l'Onsen pour retourner dans leur chambre. Le temps pour elles de s'enrouler dans une serviette et de retrouver un peu d'intimité que Kim se fit de nouveau tactile en venant à elle, s'embrassant en se demandant si elles devaient rentrer. Elle le sentait, sa verge près de ses fesses, sa bosse se pressait entre ses bosses.
« Inutile, je n'ai aucun rendez-vous de prévus au palais donc... rien ne m'oblige à y retourner ce soir. »
Elle y habitait, mais rien ne l'obligeait à y dormir le soir, elle était adulte et libre de faire ce qu'elle voulait après tout. Si elle voulait passer la nuit avec Kim dans cette chambre, à pratiquer bien des choses entre adultes consentants, ça la regardait, elle n'avait de compte à rendre avec personne. Avec le stress ou en sachant ce qu'elle faisait, elle remuait doucement, ses petites fesses remuant contre sa bosse tandis qu'elle posa ses mains sur celles de Kim, déjà posé sur son corps. Quelque chose lui disait qu'elles n'allaient pas s'habiller tout de suite. Et comme si ce n'était pas assez évident...
« Mmmh, tu veux qu'on reprenne ? »
Levant sa tête vers Kim dans son dos, elle était à sa merci, prête à continuer cette soirée qui s'annonçait très agréable.

Kim agite sa langue humide contre chaque téton pour les sentir toutes dures si proche de ses lèvres avides de baisers et affamés par ce corps fin. Son hochement de tête approuve le commentaire de sa partenaire; Elle devine combien il est difficile d’apprécier le goût de la semence durant sa première fois. Même la brunette avait eu du mal quand ce fut une voisine du quartier où elle habitait qui clama sa virginité anale et orale. Avaler du sperme l’a presque fait tout recracher si cela n’a été de la douceur de l’Uatéenne hermaphrodite. Cet amour et cette pure élégance empreinte de sensualité, Kim adorait le donner à une partenaire comme Yami qui semblait tellement plus jeune que son âge réel.
Dans leur chambre, Kim fait glisser la serviette dissimulant ce corps jeune, frêle d’apparence mais très fort dans l’art du combat. Le souvenir de leur affrontement amical l’excite davantage avec le regard sérieux et délicat de Yami dans son esprit. Ce respect et cette attirance pour la puissance d’une femme donne des ailes à une freelance savourant de nouveau les lèvres de la belle Yami. Son pénis durcit par le désir frotte chaque rondeur du fessier sans entrer dans quelconque orifice. Avant cela, la brune a une intention particulière. Celle-ci guide leurs pas contre un mur de la chambre. Une main vient caresser le pelvis du maître d’armes. L’autre main glisse sur une des cuisses, le pétrit avec délicatesse pour ensuite guider la jambe plus à l’écart. Ainsi, Kim la fait presque se coller face et buste contre la surface du mur de bois.
- À mon tour de te rendre la pareille. Tu dois être si impatiente, n’est-ce pas ?
Elle sourit avec amusement et coquinerie. Kim s’agenouille derrière sa partenaire avec sa tête qui se rapproche des fesses et ainsi des orifices intimes. Le parfum d’une fleur rosée suintant son nectar rempli ses narines et la fait soupirer d’aisance. Leur soirée ne fait que commencer et chacune peut lire leur avenir immédiat. Ce fil rouge du destin…Kim voulait y croire absolument. Alors elle sort sa langue et à la place de l’anus l’Uatéenne va plus bas vers la fente intime. Chaque main agrippe les courbes de l’Édorienne pour éviter une agitation brusque. Exploratrice comme durant ses précédents contrats, elle s’enfonce dans l’antre chaud. Chaque coup de langue titille les parois intérieures, collecte les perles de nectar pour s’en abreuver comme une abeille butinant sa fleur. Kim agite sa tête en ronronnant. Puis avec sa prise actuelle le bassin de la partenaire soumise se relève pour permettre à la Futa d’alterner entre le vagin et l’anus tout deux stimulés par sa bouche.
Dans leur chambre, Kim fait glisser la serviette dissimulant ce corps jeune, frêle d’apparence mais très fort dans l’art du combat. Le souvenir de leur affrontement amical l’excite davantage avec le regard sérieux et délicat de Yami dans son esprit. Ce respect et cette attirance pour la puissance d’une femme donne des ailes à une freelance savourant de nouveau les lèvres de la belle Yami. Son pénis durcit par le désir frotte chaque rondeur du fessier sans entrer dans quelconque orifice. Avant cela, la brune a une intention particulière. Celle-ci guide leurs pas contre un mur de la chambre. Une main vient caresser le pelvis du maître d’armes. L’autre main glisse sur une des cuisses, le pétrit avec délicatesse pour ensuite guider la jambe plus à l’écart. Ainsi, Kim la fait presque se coller face et buste contre la surface du mur de bois.
- À mon tour de te rendre la pareille. Tu dois être si impatiente, n’est-ce pas ?
Elle sourit avec amusement et coquinerie. Kim s’agenouille derrière sa partenaire avec sa tête qui se rapproche des fesses et ainsi des orifices intimes. Le parfum d’une fleur rosée suintant son nectar rempli ses narines et la fait soupirer d’aisance. Leur soirée ne fait que commencer et chacune peut lire leur avenir immédiat. Ce fil rouge du destin…Kim voulait y croire absolument. Alors elle sort sa langue et à la place de l’anus l’Uatéenne va plus bas vers la fente intime. Chaque main agrippe les courbes de l’Édorienne pour éviter une agitation brusque. Exploratrice comme durant ses précédents contrats, elle s’enfonce dans l’antre chaud. Chaque coup de langue titille les parois intérieures, collecte les perles de nectar pour s’en abreuver comme une abeille butinant sa fleur. Kim agite sa tête en ronronnant. Puis avec sa prise actuelle le bassin de la partenaire soumise se relève pour permettre à la Futa d’alterner entre le vagin et l’anus tout deux stimulés par sa bouche.
- Hinata Kaguya
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Ce qui se passait dans cette chambre était en train de solidifier et de modifier leur avenir à toutes les deux. Une banale rencontre, un échange en guise de salutation et deux corps nus se faisant face à présent. Ce n'était pas si étrange, à Uatis, c'était même sûrement banal, vu comment la cité semblait avoir un lien si fort avec le sexe au quotidien, mais à Edoras, même si la ville était issue du grand arbre Uatis, il a eu le temps de pousser loin de cet enfer mécanique, de cette pollution sonore, visuel et aux mœurs si légère. Deux univers donc, mais pourtant, Kim y avait quelques racines ici et rencontrer Yami semblait doucement nouer leurs liens. Elle n'avait pas autant de formes que la soldate, mais la forgeronne était forte, dans un véritable combat, ses muscles seraient sûrement mieux dessiné que ça, car pour forger ne serait-ce qu'une seule lame, il fallait frapper le fer à bien des reprises. Mais là, le temps était calme, son corps semblait presque innocent et fragile, mais la vérité était toute autre. Elles se faisaient face, mais Kim voulait pourtant la mettre sur un pied d'égalité avec ce qui avait été déjà donné.
Elle la suivait, venait se mettre face au mur en se penchant doucement, laissant la jeune femme se baisser et venir glisser ses lèvres près de sa zone intime. Son anus ou son intimité ? Elle l'ignorait encore, mais elle ne tarda pas à le savoir en sentant sa langue, lâchant un premier léger soupire tandis que les mains de Kim glissait sur sa peau douce, tant pour en profiter que pour s'y tenir. De ses lèvres intimes perlait le nectar intime, délicieux de la jeune dame, récolter avec parcimonie par Kim qui n'en perdait pas une goutte. Bien que parfois elle remontait plus haut pour en lécher sa rondelle, elle mettait plus de cœur à l'ouvrage pour ce qui se trouvait entre ses cuisses. Yami était excitée, doucement la température grimpait en elle, sa position, Kim étant futa, les pièces du puzzle semblait s'emboîter naturellement, même si elle allait peut-être vite en besogne ? Tout pour elle, semblait indiquer que dans très peu de temps, elle allait la prendre, sûrement dans cette position. Yami retira ses mains du mur, venant les poser sur celle de Kim, l'aidant à remonter ses mains plus haut, arrivant sur sa petite poitrine que les mains de sa nouvelle amie cachait. Elle pouvait le sentir, son cœur qui battait si fort dans ce petit corps.
« Plutôt que me renvoyer la pareille... Tu ne veux pas qu'on... qu'on fasse l'amour ? »
Yami était nulle pour avoir ce genre de relation, avoir des sous-entendus, amener doucement le sujet dans la conversation, ou bien elle n'y arrivait pas, ou bien elle mettait les pieds dans le plat. Kim redressée, elle sentait son corps dans son dos et effectivement, elle en voulait plus, plus que se lécher doucement. Attention, elle ne voulait pas non plus que leur relation devienne un filme porno en un claquement de doigts, mais entre les bains et leur venue ici, l'ambiance ne serait pas vraiment refroidie. Son intimité ou par-derrière, elle n'avait pas de préférence pour le moment, elle devait bien essayer les deux avec Kim pour en avoir une après tout, donc, c'était selon l'inspiration de la jeune femme. Adossée contre elle, elle levait son visage vers elle, laissant ses mains sur son corps, l'érection de Kim entre ses cuisses.
« Tu... tu en as envie, n'est-ce pas ? »
Elle était si peu doué pour ça, qu'elle pouvait poser la question sincèrement en plus...
Elle la suivait, venait se mettre face au mur en se penchant doucement, laissant la jeune femme se baisser et venir glisser ses lèvres près de sa zone intime. Son anus ou son intimité ? Elle l'ignorait encore, mais elle ne tarda pas à le savoir en sentant sa langue, lâchant un premier léger soupire tandis que les mains de Kim glissait sur sa peau douce, tant pour en profiter que pour s'y tenir. De ses lèvres intimes perlait le nectar intime, délicieux de la jeune dame, récolter avec parcimonie par Kim qui n'en perdait pas une goutte. Bien que parfois elle remontait plus haut pour en lécher sa rondelle, elle mettait plus de cœur à l'ouvrage pour ce qui se trouvait entre ses cuisses. Yami était excitée, doucement la température grimpait en elle, sa position, Kim étant futa, les pièces du puzzle semblait s'emboîter naturellement, même si elle allait peut-être vite en besogne ? Tout pour elle, semblait indiquer que dans très peu de temps, elle allait la prendre, sûrement dans cette position. Yami retira ses mains du mur, venant les poser sur celle de Kim, l'aidant à remonter ses mains plus haut, arrivant sur sa petite poitrine que les mains de sa nouvelle amie cachait. Elle pouvait le sentir, son cœur qui battait si fort dans ce petit corps.
« Plutôt que me renvoyer la pareille... Tu ne veux pas qu'on... qu'on fasse l'amour ? »
Yami était nulle pour avoir ce genre de relation, avoir des sous-entendus, amener doucement le sujet dans la conversation, ou bien elle n'y arrivait pas, ou bien elle mettait les pieds dans le plat. Kim redressée, elle sentait son corps dans son dos et effectivement, elle en voulait plus, plus que se lécher doucement. Attention, elle ne voulait pas non plus que leur relation devienne un filme porno en un claquement de doigts, mais entre les bains et leur venue ici, l'ambiance ne serait pas vraiment refroidie. Son intimité ou par-derrière, elle n'avait pas de préférence pour le moment, elle devait bien essayer les deux avec Kim pour en avoir une après tout, donc, c'était selon l'inspiration de la jeune femme. Adossée contre elle, elle levait son visage vers elle, laissant ses mains sur son corps, l'érection de Kim entre ses cuisses.
« Tu... tu en as envie, n'est-ce pas ? »
Elle était si peu doué pour ça, qu'elle pouvait poser la question sincèrement en plus...

Ses mains pelotent les petits seins avec une affection méritée. La grosseur peut avoir de l’importance mais en aucun cas faut-il juger un livre par sa couverture. La brune peut ainsi lire plus en profondeur et sentir ce cœur battre plus fort et la chaleur corporelle grimper entre les deux amantes. Kim Uzuki a réussi à toucher sa partenaire là où une passion sincère commence à s’embraser dans chacun de leur être. Elle sent Yami se redresser, sa poitrine plus généreuse posée sur chaque omoplate dans un subtil mouvement de friction. Le maître d’armes est redoutable au combat mais ses bras l’enlacent comme pour une princesse et sa bouche dépose un baiser sur les fines lèvres si proches des siennes. Kim sent son cœur accélérer quand on lui propose de passer à l’acte. Après tout, aucune n’était dupe sur l’inéluctable conclusion de cette soirée.
- Si cela est ton souhait, je le ferai avec toi.
Sa verge glisse entre les belles cuisses. La taille du mât est assez grosse pour que Kim aie l’impression d’être prise dans un agréable étau. Après une retenue exemplaire et un savoir-vivre dûment respecté, la brunette était prête à répondre à l’appel du sexe et devenir l’amante que Yami a de besoin. Elle écarte le fessier de ses mains chaudes et admire la vue des deux orifices. Il aide Yami à se pencher vers l’avant afin que la fente soit alignée avec la verge tendue, encore en manque de plaisir. Kim, avec un sourire encourageant, s’immisce dans l’intimité du maître d’armes avec le bout de sa lance de chair. Cette lance non-létale est conçue pour un seul objectif; satisfaire la femme que l’Uatéenne a choisie.
- Toi aussi tu as envie de découvrir les joies de l’amour. Pour cela cette soirée ne sera pas la dernière.
Kim donne le ton sur ses intentions à venir. Sa queue s’enfonce alors dans l’intimité et y reste pour quelques secondes. Elle donne aux parois le temps de ressentir et de s’adaptr à la présence virile qui teste leur étroitesse. Deux bras viennent s’enroule autour de la taille pour qu’ensuite la futanari se colle de nouveau contre sa partenaire. À la différence près que les hanches de Kim se mettent à claquer contre le fessier rond de Yami. Un son humide coupe dans le silence de la chambre tandis que les vas et viens débutent à un rythme calme et détendu.
- Si cela est ton souhait, je le ferai avec toi.
Sa verge glisse entre les belles cuisses. La taille du mât est assez grosse pour que Kim aie l’impression d’être prise dans un agréable étau. Après une retenue exemplaire et un savoir-vivre dûment respecté, la brunette était prête à répondre à l’appel du sexe et devenir l’amante que Yami a de besoin. Elle écarte le fessier de ses mains chaudes et admire la vue des deux orifices. Il aide Yami à se pencher vers l’avant afin que la fente soit alignée avec la verge tendue, encore en manque de plaisir. Kim, avec un sourire encourageant, s’immisce dans l’intimité du maître d’armes avec le bout de sa lance de chair. Cette lance non-létale est conçue pour un seul objectif; satisfaire la femme que l’Uatéenne a choisie.
- Toi aussi tu as envie de découvrir les joies de l’amour. Pour cela cette soirée ne sera pas la dernière.
Kim donne le ton sur ses intentions à venir. Sa queue s’enfonce alors dans l’intimité et y reste pour quelques secondes. Elle donne aux parois le temps de ressentir et de s’adaptr à la présence virile qui teste leur étroitesse. Deux bras viennent s’enroule autour de la taille pour qu’ensuite la futanari se colle de nouveau contre sa partenaire. À la différence près que les hanches de Kim se mettent à claquer contre le fessier rond de Yami. Un son humide coupe dans le silence de la chambre tandis que les vas et viens débutent à un rythme calme et détendu.
- Hinata Kaguya
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- Enregistré le : 24 août 2024 16:19
Yami était bien plus habituée à avoir chaud lorsqu'elle travaillait dans la forge, car travailler une épée était tout un art ! Elle ne dit pas que chaque lame dont porte Edoras est issue de sa famille, mais les plus belles et les plus puissantes en tout cas, il y avait de fortes chances que ce soit l’œuvre d'elle, son père ou ses ancêtres. Mais avoir chaud à cause de la soirée qui s'annonçait, c'était bien plus rare pour elle. Nue face à Kim, elle était prête à passer un moment, plus ou moins long, car elle n'en savait pas beaucoup sur sa résistance et celle de Kim même si on a tendance à dire que les Uatièennes sont très porté sur la chose et donc, plutôt résistantes ! Poison était sûrement la plus grande star d'Uatis et elle était actrice porno, et même ici, Tsukasa était originaire de la cité et... elle était très perverse ! Alors sa nouvelle amie était elle aussi de ce genre là ou on faisait de deux cas une généralité ? Les deux femmes s'embrassaient doucement, Yami et son corps fin étaient presque absorbée par Kim, non pas qu'elle soit bien plus grande et plus large, mais son passée militaire ressortait bien sur son corps, là où Yami aurait presque l'air aussi mince et plate que n'importe quelle enfant du pays. Il fallait pour ça qu'elle commence à tenir la lame et le marteau pour que ses bras soient plus marqués par les muscles et l'effort. Là, l'effort à fournir ne sera pas si intense... normalement.
Les mains de Kim parcouraient son corps, surtout plus bas pour commencer à écarter ses fesses et profiter de sa peau douce avant que sa verge ne se tende un peu plus, touchant volontairement ou non son intimité, s'y enfonçant doucement. Sa nouvelle amie s'enfonçait doucement, lui arrachant un léger soupire, sentant ses mains approcher pour doucement la ceinturer tandis que sa progression restait lente et douce, ce qui n'était pas plus mal pour commencer. Même si Yami n'était pas aussi habituée que certaines de ses camarades du palais, commencer de suite un rapport dans la rapidité, la violence et le langage grossier, ça n'aurait pas été le meilleur départ. Le corps de Kim se collait doucement dans son dos, gardant une allure encore assez douce pour Yami qui gémissait doucement en fermant les yeux pour mieux profiter des sensations. Son amie n'était pas face à elle de toute façon, elle ne loupait pas grand-chose.
« Mmmmmh... Tu... t'y prends bien... »
C'était peut-être évident, mais Yami préférait dire un petit quelque chose positive que rester muette et peut-être faire croire à sa partenaire que ce n'était pas top ? Ses parois intimes n'étaient pas trop étroites, mais on était loin de se dire qu'on s'y fourrait facilement. Après, si Kim aimait bien les passages étroits, elle était pas trop mal tomber avec elle.
« Haaaam... est-ce que.... tu me trouve hum.... à... à ton goût ? »
Elle n'était pas dans son élément, elle doutait, elle se posait de drôles de questions, mais elle n'avait pas à s'en faire en vérité.
Les mains de Kim parcouraient son corps, surtout plus bas pour commencer à écarter ses fesses et profiter de sa peau douce avant que sa verge ne se tende un peu plus, touchant volontairement ou non son intimité, s'y enfonçant doucement. Sa nouvelle amie s'enfonçait doucement, lui arrachant un léger soupire, sentant ses mains approcher pour doucement la ceinturer tandis que sa progression restait lente et douce, ce qui n'était pas plus mal pour commencer. Même si Yami n'était pas aussi habituée que certaines de ses camarades du palais, commencer de suite un rapport dans la rapidité, la violence et le langage grossier, ça n'aurait pas été le meilleur départ. Le corps de Kim se collait doucement dans son dos, gardant une allure encore assez douce pour Yami qui gémissait doucement en fermant les yeux pour mieux profiter des sensations. Son amie n'était pas face à elle de toute façon, elle ne loupait pas grand-chose.
« Mmmmmh... Tu... t'y prends bien... »
C'était peut-être évident, mais Yami préférait dire un petit quelque chose positive que rester muette et peut-être faire croire à sa partenaire que ce n'était pas top ? Ses parois intimes n'étaient pas trop étroites, mais on était loin de se dire qu'on s'y fourrait facilement. Après, si Kim aimait bien les passages étroits, elle était pas trop mal tomber avec elle.
« Haaaam... est-ce que.... tu me trouve hum.... à... à ton goût ? »
Elle n'était pas dans son élément, elle doutait, elle se posait de drôles de questions, mais elle n'avait pas à s'en faire en vérité.

Kim n’est pas une artiste dans l’âme. Son talent réside dans un travail qui s’exerce durant le temps présent en accomplissant une tâche physique. Son quelconque héritage pour la postérité ne réside pas dans des lames forgées ni dans la gloire militaire. Ce n’est pas non plus un hasard si la brune parlait auparavant de famille dont la réminiscence la fait sourire. Son bassin donne des coups amples contre le fessier de la jeune et adorable Yami avec une douceur peu commune chez les Uatièennes. Les formes plates et quelque peu immatures de l’Edorienne aident à justifier sa prise de décision mais rien de cela n’enlève à l’effet désiré. Leurs bassins se connectent sous les coups répétés des hanches. La verge tendue entre avec aisance et procure une stimulation générale des parois intimes. Lorsque la cyprine viendra lubrifier la tige de chair alors Kim se permet de monter la cadence d’un cran.
Elle souffle chaudement avec un sourire jovial sur les lèvres. Le compliment meuble le silence sensuel dans la pièce et lui donne beaucoup de gratification sur sa performance. Jamais elle ne sera une superstar ou la plus incroyable des partenaires de sexe mais Kim ne souhaite qu’offrir son meilleur pour une partenaire idéale. L’ex-soldate se penche jusqu’à coller son buste contre le dos plat de Yami, promenant ses lèvres sur les épaules. Avec passion sa bouche retourne contre celle du maître d’armes pour un échange délicat. Ses mains dessinent les courbes fines permettant de glisser le bout des doigts sur cette peau si lisse qui fait ronronner la Futa.
- Ne dis pas ça. Tu parles comme si tu n’es qu’une gourmandise d’un soir. Hmppphhhfff…je peux dire une chose : Tu es la plus belle femme d’Edoras à mes yeux.
Objectivement, il existe des catins et autres femmes encore plus majestueuses et sidérantes sur le plan superficiel. Leurs beautés n’ont aucun égal dans toute la cité. Pour Kim, il y avait de plus importantes qualités chez une femme et cela l’attire encore plus que des gros seins et un visage couvert de maquillages. Son amie et partenaire est diamétralement opposé à ces critères d’excellence pourtant elle la trouve extrêmement attirante…très désirable. Kim attire Yami contre elle et ensemble elles se placent sur leurs flancs. Un bras fort vient relever la jambe de la forgeuse de lames dans une position plus perverse. La verge toujours bien alignée s’immisce plus loin dans la fente étroite, lubrifié par le fluide intime de son amante. L’autre main se pose sur les petits seins de Yami et caresse là où se trouve le cœur battant, L’Uatièenne savoure chaque mouvement de sa queue dans l’antre chaude et humide tout en dégustant les lèvres de son amie à travers de douces bises.
Elle souffle chaudement avec un sourire jovial sur les lèvres. Le compliment meuble le silence sensuel dans la pièce et lui donne beaucoup de gratification sur sa performance. Jamais elle ne sera une superstar ou la plus incroyable des partenaires de sexe mais Kim ne souhaite qu’offrir son meilleur pour une partenaire idéale. L’ex-soldate se penche jusqu’à coller son buste contre le dos plat de Yami, promenant ses lèvres sur les épaules. Avec passion sa bouche retourne contre celle du maître d’armes pour un échange délicat. Ses mains dessinent les courbes fines permettant de glisser le bout des doigts sur cette peau si lisse qui fait ronronner la Futa.
- Ne dis pas ça. Tu parles comme si tu n’es qu’une gourmandise d’un soir. Hmppphhhfff…je peux dire une chose : Tu es la plus belle femme d’Edoras à mes yeux.
Objectivement, il existe des catins et autres femmes encore plus majestueuses et sidérantes sur le plan superficiel. Leurs beautés n’ont aucun égal dans toute la cité. Pour Kim, il y avait de plus importantes qualités chez une femme et cela l’attire encore plus que des gros seins et un visage couvert de maquillages. Son amie et partenaire est diamétralement opposé à ces critères d’excellence pourtant elle la trouve extrêmement attirante…très désirable. Kim attire Yami contre elle et ensemble elles se placent sur leurs flancs. Un bras fort vient relever la jambe de la forgeuse de lames dans une position plus perverse. La verge toujours bien alignée s’immisce plus loin dans la fente étroite, lubrifié par le fluide intime de son amante. L’autre main se pose sur les petits seins de Yami et caresse là où se trouve le cœur battant, L’Uatièenne savoure chaque mouvement de sa queue dans l’antre chaude et humide tout en dégustant les lèvres de son amie à travers de douces bises.
- Hinata Kaguya
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Difficile pour Yami de mettre clairement des mots sur ce qui se passait, elle était en train de vivre quelque chose d'inédit. Non pas que le sexe soit nouveau, sans être fréquent, ce n'était pas rare, mais là, ça allait au-delà de simplement coucher avec une femme, même membrée. Elle qui n'était pas habituée à ce genre de pratique, elle perdait pied encore plus que d'habitude. Face à Kim, elle se laissait faire, la belle Uatèenne profitait en douceur de son corps, elle n'était pas une femme pulpeuse, mais même si comme partout, il y avait des femmes avec bien des formes sur ses terres, à Edoras, les femmes étaient plus souvent comme Yami, un petit gabarit, des formes, oui, mais pas si généreuse que ça. Il suffisait de voir le couple royal, Hinata et Shunya étaient deux jeunes femmes qui avaient de la poitrine, mais ce n'était pas gros au point de déborder de leur kimono, on pourrait même justifier leur taille de poitrine de « normal ». Ce n'était pas petit comme elle et ce n'était pas généreux comme certaines femmes qui usaient – ou non – de la chirurgie à Uatis pour mieux se faire voir.
Elle sentait le corps de Kim dans son dos, la retournant doucement en prononçant quelques mots avec douceur qui gênait le maître d'armes. Elle était habituée à frapper le fer, à travailler la finition des armes, de leurs fourreaux, de leurs gardes, si on en fait la demande et qu'on y met le prix, un katana Yamaoka – ou autres, selon la taille – pouvait être une arme aussi mortel sur un champ de bataille que face à un critique d'art. Elle n'y connaissait pas grand-chose à ce monde culturel, mais sa famille a toujours eu le don de faire des lames qui étaient parfois citées dans l'histoire de ce pays, autrement qu'en tant que forgeron pour la famille royale. Certaines lames aux ceintures des capitaines et vice-capitaine avaient été faites par sa famille, des lames unique, gracieuses et adaptées au mode de combat des capitaines. La verge de Kim était dressée, tel une lame tendue, elle était dure et inflexible et Yami allait devenir son fourreau, la cyprine coulait doucement dessus pour qu'elle puisse mieux glisser en elle, lui arrachant de doux gémissements de plaisir, presque dans un souffle. Elle sentait sa poitrine dans son dos pendant qu'elle soulevait une de ses jambes pour la prendre.
Allongée sur le flanc, la position était presque inédite pour elle, elle ne l'avait jamais pratiqué, mais savait que ça se faisait. Le visage de Kim passant par-dessus son épaule pour l'embrasser tandis que son autre main passait sous son bras pour presser sa petite poitrine avec douceur. De son côté, elle se tenait sur un bras, comme Kim, et l'autre remontait plus haut, se perdant dans les cheveux de son amie, rien de très érotique, mais elle sentait sur son cuir chevelu le plaisir qui venait par petite décharge dans son corps, se crispant parfois dessus, sans pour autant la griffer. Elle soupirait doucement quand leur lèvre se détachait, partageant un regard dans un silence presque total, mais leur regard avait tant à se dire. Dans un coup de rein un peu plus fort – ou non, simplement une décharge de plaisir plus forte pour elle que d'habitude. Yami lâchait un petit couinement aigu et mignon tandis que sa cyprine coulait toujours le long de la verge de Kim.
« Haaaaan~ »
Sa main remuait doucement sur sa tête profitant de l'absence de baiser pour que sa voix se fasse doucement entendre dans la pièce, cela ne serait que profitable pour elles, non ? Kim devait apprécier ? Yami ignorait beaucoup de choses sur ce genre de choses, contrairement à Tsukasa, mais bon, même si la belle blonde en savait surtout sur le sexe, c'était loin d'être incompatible avec l'amour. Au contraire. Son cœur battait un peu plus vite, elle devait le sentir sous sa main, tandis que Yami, de nouveau, lâchait quelques mots. Encore une évidence, mais elle se disaient, sans savoir si elle faisait bien ou non, que dire quelques mots, même évident, c'était mieux que juste laisser leurs gémissements envahir doucement la chambre.
« Mmmmmh, haaaa... C'est bon, Kim-chan... »
Un petit peu d'affection ne devait pas faire de mal non plus.
Elle sentait le corps de Kim dans son dos, la retournant doucement en prononçant quelques mots avec douceur qui gênait le maître d'armes. Elle était habituée à frapper le fer, à travailler la finition des armes, de leurs fourreaux, de leurs gardes, si on en fait la demande et qu'on y met le prix, un katana Yamaoka – ou autres, selon la taille – pouvait être une arme aussi mortel sur un champ de bataille que face à un critique d'art. Elle n'y connaissait pas grand-chose à ce monde culturel, mais sa famille a toujours eu le don de faire des lames qui étaient parfois citées dans l'histoire de ce pays, autrement qu'en tant que forgeron pour la famille royale. Certaines lames aux ceintures des capitaines et vice-capitaine avaient été faites par sa famille, des lames unique, gracieuses et adaptées au mode de combat des capitaines. La verge de Kim était dressée, tel une lame tendue, elle était dure et inflexible et Yami allait devenir son fourreau, la cyprine coulait doucement dessus pour qu'elle puisse mieux glisser en elle, lui arrachant de doux gémissements de plaisir, presque dans un souffle. Elle sentait sa poitrine dans son dos pendant qu'elle soulevait une de ses jambes pour la prendre.
Allongée sur le flanc, la position était presque inédite pour elle, elle ne l'avait jamais pratiqué, mais savait que ça se faisait. Le visage de Kim passant par-dessus son épaule pour l'embrasser tandis que son autre main passait sous son bras pour presser sa petite poitrine avec douceur. De son côté, elle se tenait sur un bras, comme Kim, et l'autre remontait plus haut, se perdant dans les cheveux de son amie, rien de très érotique, mais elle sentait sur son cuir chevelu le plaisir qui venait par petite décharge dans son corps, se crispant parfois dessus, sans pour autant la griffer. Elle soupirait doucement quand leur lèvre se détachait, partageant un regard dans un silence presque total, mais leur regard avait tant à se dire. Dans un coup de rein un peu plus fort – ou non, simplement une décharge de plaisir plus forte pour elle que d'habitude. Yami lâchait un petit couinement aigu et mignon tandis que sa cyprine coulait toujours le long de la verge de Kim.
« Haaaaan~ »
Sa main remuait doucement sur sa tête profitant de l'absence de baiser pour que sa voix se fasse doucement entendre dans la pièce, cela ne serait que profitable pour elles, non ? Kim devait apprécier ? Yami ignorait beaucoup de choses sur ce genre de choses, contrairement à Tsukasa, mais bon, même si la belle blonde en savait surtout sur le sexe, c'était loin d'être incompatible avec l'amour. Au contraire. Son cœur battait un peu plus vite, elle devait le sentir sous sa main, tandis que Yami, de nouveau, lâchait quelques mots. Encore une évidence, mais elle se disaient, sans savoir si elle faisait bien ou non, que dire quelques mots, même évident, c'était mieux que juste laisser leurs gémissements envahir doucement la chambre.
« Mmmmmh, haaaa... C'est bon, Kim-chan... »
Un petit peu d'affection ne devait pas faire de mal non plus.
