Elle finit par retrouver l’usage de sa bouche, et implora qu’on la prenne, qu’on continue à la baiser, autant de demandes qui ne purent que faire sourire les deux femmes... Du moins, surtout Samara, car Kazuha, elle, était entièrement concentrée sur le beau corps de Sya. Il fallait bien admettre que Kazuha avait goûté à des centaines de corps, qu’elle avait apprécié une quantité impressionnante de courbes, et que, pour le dire simplement, Sya avait un corps aux proportions magnifiques. Elle avait beau être petite, elle n’en était pas moins dépourvue de formes, et, surtout, d’une peau douce, tellement douce, tellement, tellement douce... Kazuha s’était redressée, et délaissa ses pieds au profit de sa bouche, venant embrasser le ventre de Sya, léchant sa peau, remontant le long de cette dernière.
« Hum... Oh, quelle douce peau, ma belle Sya.. »
Kazuha remonta, et lécha l’ourlet de ses seins, puis alla lécher son cou, mordillant sa peau. Les mains de Samara, quant à elles, se déplacèrent, continuant à caresser les épaules de Sya, avant glisser le long de ses cordes, les frottant, ses ongles venant gratter sa peau, la griffant très doucement. Tout était fait pour frustrer au maximum la belle Sya, pour lui faire goûter aux joies du sexe, des joies qu’elle avait rarement dû goûter par elle-même, tant elle était entreprenante et dynamique.
« La frustration, ma douce... C’est la base de la Luxure, non ? Plus une femme est perverse, et plus elle est encline à succomber à n’importe quel fantasme osé et extrême... Il faut bien te la faire ressentir, ma charmante fille. Tu veux qu’on te baise, hum ? Nous le ferons... Mais, pour l’heure, il faut jouer avec toi. Ta peau est si douce, ma chérie, que nous avons toutes les deux envie de la parcourir intégralement... »
Ou presque intégralement, car les deux femmes évitaient soigneusement ses parties intimes. Elles léchaient ainsi son corps, ses joues, son cou, ses épaules, ses bras, ses mains, son estomac, son ventre, l’espace entre ses seins. Des langues expertes qui se faufilaient, tandis que la pauvre Sya, elle, était toujours attachée, et incapable de faire autre chose que de sentir ces deux femmes la lécher... La lécher, elle et son corps parfait, ce corps qu’elle auraient, en réalité, pu lécher pendant des heures.
« Humm... Que tu es bonne, Sya... Je pourrais lécher ta peau pendant des heures, ma puce...
- Supplie-nous de te prendre, ma chérie... Montre-toi vulgaire... Je veux que des jurons sortent de ta bouche, que ta si belle voix devienne grossière, hummm... Régale nos oreilles, mon amour. »