RP #2 Enquête et Yakuzas
Posté : 16 nov. 2024 22:24
«Ici Watanabe Mayumi. Flash d’informations : La police de Yoake rapporte qu’une résidence appartenant à la famille des Guramus. Cette annonce soudaine se veut porteur de transparence durant une période de restauration déjà éprouvante pour la ville et une tentative claire de désamorcer tout conflit entre la famille et les forces de l’ordre. Le suspect demeure un mystère complet. Aucun portrait robot ne fut établi et ni aucune empreinte digitale fut retrouvée. »
Un verre est lancé à travers la pièce pour voler en éclats contre le mur du bureau. Un homme d’âge mûr portant une longue veste de soie fulmine sa colère entre des bouffées de son cigare. Sur le divan à proximité un autre homme en costard-cravate joue avec le briquet, le cliquetis du métal remplaçant l’actualité en direct.
- Masaru ! C’est inacceptable ! Comment un simple merdeux peut nous infiltrer sans se faire remarquer ?
- Il doit s’agir d’une technologie avancée. La police ne possède pas ce genre d’équipement. On peut les ignorer dans l’immédiat.
- Ne dis pas de conneries…pas avec moi ! Elle connait nos adresses. Même si elle obtempère avec nous, je les vois bien nous trahir. Tout le monde en dehors de la famille veut me trahir !
- Cet individu fouille ou vole nos dossiers. Personne ne peut nous accuser avec des preuves obtenues illégalement. Par contre, il pourrait nous traîner en court pour des mois…ce qui n’arrivera pas, Akihiro-san.
- Le plan de l’organisation a échoué. Si jamais ils ont vent de ce problème nous sommes morts. Le temps qu’elle règle ses propres problèmes nous devons trouver ce merdeux et savoir ce qu’il fout. Je te donne carte blanche pour agir à ta guise. Ne me déçois pas Masaru !
L’homme en costard se lève et ferme son briquet. Son pas calme mais menaçant le tourne vers la porte quand son Iphone sonne dans le creux de sa poche. Alors que le boss se remplit un verre de Saké avec la grogne, Masaru répond à l’appel couvert par des bruits de bagarre. Le Yakuza au bout du fil évoque avec frayeur le mot « fantôme » avant que le contact soit coupé subitement. Avant que le boss lance de nouveau un verre le bras droit sort en trombe avec quelques hommes de main.
Dans une zone résidentielle voisine, le Yakuza responsable de l’appel pendouille dans les airs, entouré des corps de ses compagnons au préalable vaincu par une force invisible. Les pieds au-dessus du plancher, rien ne semblait le retenir avant qu’il ne soit projeté à travers une porte une paroi de Shoji (porte en papier traditionnelle). Le malheureux panique tel un gosse en pleur en rampant comme une larve sur la rue déserte et silencieuse. Il fait nuit et une sinistre lune illumine ce corps en douleur lorsque la paroi de papier glisse d’elle-même. Un bruit pas de pas consistant se rapproche, écrase la jambe de l’homme qui gémit, trop fier pour crier à l’aide. Ce quartier discret et huppé connait bien cette résidence comme un lieu de beuverie et d’activités bruyantes. Nul ne vient en son aide quand un coup à la nuque le met K.O. La présence invisible le transporte par la jambe hors de vue d’une passante. C’est au seuil de la porte que La figure se dévoile quand l’adolescente désactive le mode furtif. Un éclat léger est suivit par ses formes révélées tel un rideau que l’on écarte.
Dans sa combinaison de combat et portant la longue perruque brune, Makoto Nijima observe les alentours afin qu’aucun Yakuza ne la voit pour rapidement chercher un bureau, des archives, n’importe quoi avec des informations sensibles dessus. Son enquête la mène vers un ordinateur portable dont elle survole les fichiers. Penchée légèrement vers l’avant, elle pitonne sur le clavier et insère une clé USB pour extraire les données. L’appel lancé aux supérieurs allait attirer des ennuis d’ici quelques minutes.
(Ordre du rp: Makoto - Lissandre - Yuriko)
Un verre est lancé à travers la pièce pour voler en éclats contre le mur du bureau. Un homme d’âge mûr portant une longue veste de soie fulmine sa colère entre des bouffées de son cigare. Sur le divan à proximité un autre homme en costard-cravate joue avec le briquet, le cliquetis du métal remplaçant l’actualité en direct.
- Masaru ! C’est inacceptable ! Comment un simple merdeux peut nous infiltrer sans se faire remarquer ?
- Il doit s’agir d’une technologie avancée. La police ne possède pas ce genre d’équipement. On peut les ignorer dans l’immédiat.
- Ne dis pas de conneries…pas avec moi ! Elle connait nos adresses. Même si elle obtempère avec nous, je les vois bien nous trahir. Tout le monde en dehors de la famille veut me trahir !
- Cet individu fouille ou vole nos dossiers. Personne ne peut nous accuser avec des preuves obtenues illégalement. Par contre, il pourrait nous traîner en court pour des mois…ce qui n’arrivera pas, Akihiro-san.
- Le plan de l’organisation a échoué. Si jamais ils ont vent de ce problème nous sommes morts. Le temps qu’elle règle ses propres problèmes nous devons trouver ce merdeux et savoir ce qu’il fout. Je te donne carte blanche pour agir à ta guise. Ne me déçois pas Masaru !
L’homme en costard se lève et ferme son briquet. Son pas calme mais menaçant le tourne vers la porte quand son Iphone sonne dans le creux de sa poche. Alors que le boss se remplit un verre de Saké avec la grogne, Masaru répond à l’appel couvert par des bruits de bagarre. Le Yakuza au bout du fil évoque avec frayeur le mot « fantôme » avant que le contact soit coupé subitement. Avant que le boss lance de nouveau un verre le bras droit sort en trombe avec quelques hommes de main.
Dans une zone résidentielle voisine, le Yakuza responsable de l’appel pendouille dans les airs, entouré des corps de ses compagnons au préalable vaincu par une force invisible. Les pieds au-dessus du plancher, rien ne semblait le retenir avant qu’il ne soit projeté à travers une porte une paroi de Shoji (porte en papier traditionnelle). Le malheureux panique tel un gosse en pleur en rampant comme une larve sur la rue déserte et silencieuse. Il fait nuit et une sinistre lune illumine ce corps en douleur lorsque la paroi de papier glisse d’elle-même. Un bruit pas de pas consistant se rapproche, écrase la jambe de l’homme qui gémit, trop fier pour crier à l’aide. Ce quartier discret et huppé connait bien cette résidence comme un lieu de beuverie et d’activités bruyantes. Nul ne vient en son aide quand un coup à la nuque le met K.O. La présence invisible le transporte par la jambe hors de vue d’une passante. C’est au seuil de la porte que La figure se dévoile quand l’adolescente désactive le mode furtif. Un éclat léger est suivit par ses formes révélées tel un rideau que l’on écarte.
Dans sa combinaison de combat et portant la longue perruque brune, Makoto Nijima observe les alentours afin qu’aucun Yakuza ne la voit pour rapidement chercher un bureau, des archives, n’importe quoi avec des informations sensibles dessus. Son enquête la mène vers un ordinateur portable dont elle survole les fichiers. Penchée légèrement vers l’avant, elle pitonne sur le clavier et insère une clé USB pour extraire les données. L’appel lancé aux supérieurs allait attirer des ennuis d’ici quelques minutes.
(Ordre du rp: Makoto - Lissandre - Yuriko)