The Multiversity

La construction du Domaine von Nacht avait nécessité des années de construction. Déjà trouver le bon site n'avait pas été simple, mais en prime il avait fallut faire avec les matériaux présents à Nachtheim. Les carrières ne manquaient pas, pour ce qui était des excavations souterraines qui allaient accueillir le futur complexe de recherche d'Ishtar, et tout allait être utilisé. La moindre pierre arrachée au sol de Nachtheim servirait à la construction. Le moindre arbre couché deviendrait une poutre ou un meuble. En clair Ishtar avait souhaité que le moins d'export soit nécessaire à la construction du Domaine von Nacht. Il était en profondeur de la jungle de Nachtheim, non loin d'un bras d'eau ayant servit à l'acheminement des matériaux et à la construction d'une marina privée. En clair ce domaine s'étendait sur des hectares de terrain. Il se composait d'un manoir central imposant et presque lugubre dans la nuit perpétuelle de Nachtheim nommé le Manoir Naviento. L'intérieur gothique et baroque laissait voir le style noble de la famille Naviento, avec la touche colonialiste des von Nacht. On pouvait y trouver de nombreuses chambres et un quartier pour les domestiques, mais Ishtar n'avait pas lésiné. Une serre, un bar, un dressing gigantesque, des salles d'art, une bibliothèque géante et même un boudoir que la dragonne affectionnait beaucoup composaient ce lieu. Mais il cachait de nombreux souterrains, labo de recherches et salles secrètes également. Dans une prolongation de ce manoir, un long chemin de promenade bordant un labyrinthe de haie, couvert et même doté de son wagonet donnait sur la Tour Stanov, une construction en pierre de taille renforcée servant de docking au Fort Stanov, le mécha de Theorem. Et complètement à son opposé, dans un chemin accessible à pieds comme en véhicule, l'Usine Dahu Zuida, qui était le lieu de travail, l'atelier et le lieu d'expérimentation de Chengzu. On avait fait pousser les plus gros Moracés Titans, des arbres donnant les célèbres Durians Noirs dont raffolait Theorem, mais aussi le latex le plus pur servant à la confection de vêtements, de colles, et de bien d'autres applications quotidiennes. En clair ce domaine était le lieu de vie, la résidence principale des von Nacht.

Depuis l'Accord de Navgrad signé il y a peu, les von Nacht devenaient les propriétaires de Nachtheim. La colonie sans réelle prétention qui galérait à vivre en exportant et en important avait apprit à vivre avec sa jungle exotique hostile. Elle pouvait désormais jouir d'une indépendance politique avec sa nation mère et la colonie était désormais la Nation Autonome de Nachtheim. Sous contrôle d'une Junte Militaire par la Marine d'Inferis, Ishtar en devenait l'Amirale Gouverneur et s'occupait de son administration sans réel partage. De par sa place à la tête de cette nation nouvelle, mais aussi de sa place de choix dans le triumvirat d'Inferis, les deux pays étaient intimement liés. Nachtheim avait son propre gouvernement mais aussi ses propres règles. Ainsi, la population était soit militaire, soit civile, mais il était clair que les civils n'avaient que peu de droits de parole. Les postes à responsabilités étaient tenus par des marins, de même que tous les ministères clés étaient tenus par des marins. C'était le cas de la Propagande, gérée étroitement par Theorem, ou de sa politique étrangère gérée par des accords que faisaient Chengzu. En clair ils pouvaient maintenant vivre une vie de passion, d'un peu de travail, et de beaucoup de plaisir. Alors que le Domaine venait d'être intégralement meublés, Theorem se perdit un peu dans ses songes. Son nouvel uniforme mettait en valeur les formes. Il regardait les quelques tableaux installés ça et là dans l'entrée principale du Manoir Naviento et appréciait le son de ses bottes sur le marbre du sol. Un éclair illumina d'avantage la pièce et l'échos lointain de son tonnerre survint plusieurs secondes après. Nullement affecté par cette météo dont ils avaient l'habitude, Theorem remarqua le passage d'Aria qui se dirigeait vers les cuisines.

"Oh Aria, qu'est-ce la chef nous prépare ce soir."

"Heum, rôtie de Mante Géante avec des tubercules rouges."

Il valida ce choix avec un pouce levé et un clin d'oeil avant de tourner sur lui même en observant la pièce. Il avait souffert pour en arriver là. Mais maintenant il pouvait juste profiter, administrer à distance et constater du luxe dans lequel il allait pouvoir finir ses jours. Entre ce manoir, son fort et sa résidence secondaire à Juichigai, le femboy avait tout. Une porte s'ouvrit et remarquant qu'il s'agissait de Chengzu, Theorem vint lui empoigner les mains en tournant un peu avec lui.

"J'y crois pas Chengzu ! Tu as vu dans quoi on vit ?! C'est juste grandiose ! Je suis là que depuis quelques heures et j'ai tellement envie de faire de choses..."

Son regard se tourna vers le petit espace derrière les marches qui conduisaient normalement à un des sous-sol du Domaine. Mais on passait rarement ici... C'était un endroit idéal pour faire des folies un peu exhib... Il fit un sourire qui en disait long à son homme en se mordillant la lèvre inférieure avant d'amener Chengzu derrière la parois en pierre. Sans dire un mot, Theorem se baissa doucement... Il n'eut qu'à soulever le pan de la veste d'uniforme de Chengzu avant de doucement dégager l'accès à sa verge qui alla du confort de son sous-vêtement en latex à la bouche chaude de son chéri. Un autre éclaire illumina la zone, mais entre la lumière et le son du tonnerre, les succions et les petits gémissements de Theorem occupèrent l'espace...

Cela avait finalement eu lieu. La grande bulle temporelle qui avait placé Nachtheim dans une faille spatio-temporelle. Le temps avait défilé très lentement à l’intérieur de la bulle, et les Nachthois en avaient profité. Quand la bulle s’était finalement rompue, Nachtheim n’était plus une colonie, mais une nation indépendante. Kaori avait bien grandi, et les von Nacht avaient décidé de s’étendre un peu. Un grand manoir avait été construit en utilisant les ressources naturelles de la colonie. Chengzu avait supervisé dans la mesure de ses compétences la construction du grand manoir, car Ishtar s’était chargée de l’essentiel. Chengzu avait laissé à Malaurie le choix, soit de rester ici pendant la durée de la bulle, soit d’en ressortir. Elle avait choisi, comme beaucoup de migrants nachthois, de sortir. De l’autre côté de la bulle, le temps passerait très vite, et on estimait qu’il ne s’était écoulé que quelques mois, tandis qu’à l’intérieur du dôme, le temps avait défilé à vive allure. Cette faille était une conséquence d’un Portail dimensionnel situé sous Nachtheim, qui avait déclenché une forte secousse.

Pendant ces quinze ans, Nachteim avait vécu en autarcie, et, maintenant que la bulle était levée, Ishtar avait célébré l’indépendance de la colonie. Nachtheim était devenu un État. Cela ne valait pas forcément dire grand-chose au sein du Rustworld. Chengzu était devenu un ambassadeur. Le Maître-Latexand ne souhaitait pas abandonner la conception du latex, mais profiterait de ses voyages sur Terra, essentiellement, pour vendre et obtenir des clients. Nachtheim s’intéressait aussi au Rayon Indigo, à sa précieuse technologie, ainsi qu’aux esclaves de Volony. Le souhait des von Nacht était de faire de Nachtheim un véritable État transdimensionnel. Cela n’était pas pour lui déplaire, et il avait envoyé beaucoup de lettres. Il était impatient de retrouver Malaurie, curieux de voir si elle avait pu l’oublier pendant ces quelques mois. Dans sa lettre, il l’avait invité à rejoindre leur manoir, et il avait même conçu une chambre pour elle. Les von Nacht étaient ambitieux, et, maintenant qu’ils formaient une famille soudée, Chengzu avait envie de diversifier leur famille.

Akimbo disposait également de sa chambre, dans ce grand et vaste manoir. Il était destiné à devenir un von Nacht, et c’était le souhait de Chengzu. Il souhaitait néanmoins qu’Akimbo devienne son « frère de sang », ce qui impliquait qu’il soit mordu par la même vampire que celle qui avait mordu Chengzu, soit Mélinda. Akimbo avait donc eu le temps de creuser la question, et de voir s’il se sentait vraiment prêt.

L’un dans l’autre, Chengzu n’avait pas chômé. Les von Nacht préparaient une grande fête pour célébrer leur avènement, leur nation naissante. Chengzu quittait alors la salle de réception, et rejoignit le hall d’entrée. Il releva la tête des notes de son Tara-21, et sourit en voyant Theorem.

« Bonjour, Theorem… »

Ils avaient profité de leur long séjour dans cette bulle pour changer les uniformes de Nachtheim. Theorem était magnifique dedans, et invita Chengzu à le suivre.

« Oui, immense… Et encore, nous n’avons fait qu’en apercevoir une partie, c’est Ishtar qui a géré personnellement les plans. Moi-même, je n’ai pas pu tout voir. »

De curieuses histoires circulaient quant à ce qui se passait dans les souterrains du manoir. Ils rejoignirent un petit couloir discret situé derrière le hall, avec une lourde porte en pierre qui menait justement vers les souterrains. On disait que, lors de la construction, les mineurs étaient tombés sur des monstres en procédant à d’importantes excavations pour poser les fondations du manoir. Chengzu se retrouva contre le mur, et Theorem, sans attendre, libéra l’accès à son sexe. Son sexe ne passa qu’une poignée de secondes à l’air libre, avant que Theorem ne le suce. De l’autre côté, des servantes descendaient l’escalier. On pouvait entendre leurs éclats de voix, le son de leurs pieds sur le sol…

« Hum… Ça, par contre, je ne m’en lasserai jamais. Suce-moi bien fort, mon petit Theorem. Tu as beau avoir mon esclave, tu restes toujours ma suceuse préférée ! »

Chengzu sourit encore, et ferma les yeux, avant de regarder son amant, soucieux de s’abandonner en lui, mais de faire durer le plaisir entre-temps…

Theorem suça longuement son maître jusqu'à lui donner une belle érection. pendant tout ce process, Theorem garda son regard émeraude planté dans celui ambré de son homme. Ses mains délicatement posées sur ses cuisses, il se maintenait accroupis en suçant son chéri. De là où ils étaient, impossible pour les servantes de les voir, mais eux les entendaient très distinctement. La porte en pierre derrière eux donnait sur les souterrains et il fallait deux clés spéciales pour ouvrir ce lieu... Ishtar elle-même avait supervisé cette partie de la construction et donc aucun vrai plan n'existait... Les ouvriers disaient entendre des gémissements bestiaux, comme si une créature erraient dans ce sous-sol... Mais entre les légendes de créatures créé par la Dragonne, ou d'une prisonnière malchanceuse, la possibilité qu'il s'agisse d'une créature de la jungle qui s'était perdue dans le chantier ou de l'alcool de durian que les ouvriers buvaient... Theorem et Chengzu en étaient bien loin car désormais le Haiena posa cette verge tendue et gluante sur son front pendant que ce dernier léchait ses testicules. Cette fois il était bien en forme.

"Notre première baise en uniforme..."

Dit-il avec un grand sourire avant de déchirer un emballage de préservatif qu'il venait de retirer d'une de ses poches. Mettant le réservoir entre ses lèvres, il posa l'anneau de latex rose sur son gland et baissa la bouche dans une autre gorge profonde très serrées où il déroula la capote avec juste ses lèvres. Quand il se retira, Chengzu avait son sexe intégralement recouvert d'une couche de latex rose lubrifié, saveur fraise.

"Baise-moi contre cette porte qui fait si peur aux servantes..."

Il y eut un bruit humide alors que Theorem plaça sa main entre ses fesses et il en extirpa un plug anal qu'il posa sur la première table basse qu'il trouva. Une fois soulevé et le dos contre cette porte épaisse, il sentit la verge chaude et puissante de son homme contre sa cage de chasteté. Ses jambes se serrèrent autour des hanches de Chengzu alors qu'il avait les bras autour de son cou. Sans se deshabiller d'avantage, Theorem embrassa le bélier avec appétit, avant de guider cette verge épaisse dans son fondement. Dès qu'il entra en lui, les gémissements de Theo se firent entendre, même s'il en étouffa une partie en plongeant son visage dans le creux du cou de son chéri. Il se fit besogner comme il se devait et ses petits cris et ses gémissements couvrirent par moment les craquements de cette maison, autant que bien d'autres choses...

"Han oui Chengzu... Hmmm... Baise-moi dans notre uniforme... Gnnn... Aheeee !"

"Guuuuuuhhh.... Nguuuuhhhh..."

"Huh ? Aaaah ! Hmmm ! Baise-moi fort !"

D'être contre cette porte, Theorem était aux première loges pour entendre un drôle de gémissement au loin derrière elle...Il avait sûrement rêvé... Ou alors un échos de sa baise torride s'était perdu dans le sous-sol, d'une manière ou d'une autre... Dans tous les cas il était bien trop occupé à se faire défoncer par son bélier d'amour !

Beaucoup de mystères habitaient encore ce manoir, et même Chengzu ne savait pas trop ce qui se passait là-dessous. Il savait que Nachtheim était une terre ancestrale, baignée de magie et de mystères. Les exploitations minières étaient souvent interrompues à cause de ça, lorsque les mineurs nachthois tombaient sur des colonies de monstres. Alors, qu’avait-on bien pu trouver (ou mettre) lors des excavations ayant permis de poser les fondations de ce manoir ? Seule Ishtar avait la réponse, et Chengzu, pour être totalement honnête, ne s’interrogeait guère à ce sujet en ce moment. Il était après tout occupé à percer d’autres horizons, et serrait sa main sur les cheveux de Theorem. La fin du vortex temporel qui avait plongé Nachtheim dans une paralysie temporelle pendant une quinzaine d’années avait aiguisé l’appétit de Chengzu, et Theorem pouvait sans aucun doute le sentir. Son envie de revoir Malaurie, Alice, Mélinda, était réel, et, malgré tout le plaisir qu’il avait à être en compagnie de sa famille, la possibilité de quitter à nouveau Nachtheim le motivait.

« Hmmm… ! »

Theorem ne souhaitait pas se contenter d’une simple fellation… Ni lui. Son amant lui fit observer, à juste titre, qu’il s’agissait de leur première séance dans leur nouvel uniforme. Chengzu sourit doucement à cette idée, et, quand Theorem se retira, et alla rejoindre la porte grillagée, Chengzu frémit lentement. Comme toujours, son Theorem arrivait à lui faire oublier tout le reste. Il le rejoignit, ne pensant qu’à lui. Les grilles de la porte grincèrent quand le corps de Chengzu heurta celui de Theorem, et il alla lui voler un nouveau baiser, tout en le pénétrant.

« Oh, Theorem… !! »

Combien de fois avait-il coulissé ainsi en lui ? Chengzu n’avait jamais fait le compte, mais Theorem était de loin l’amant avec lequel il avait eu le plus de relations sexuelles. Il l’aimait, tout simplement ! Alors, Chengzu le pénétra donc, s’enfonçant dans son fondement, le corps de son amant se pressant contre le sien. Il serra avec sa main l’un des barreaux de la porte. Il y avait un hublot assez opaque qui donnait de l’autre côté, mais on ne voyait rien à travers, et Chengzu préférait concentrer son regard et son attention sur son amant. Sa main relâcha la grille, et, s’il entendit bien un soupir venant du couloir, il n’y prêta pas attention, préférant rouler une pelle magistrale à Theorem, tout en tenant ses fesses avec son autre main. Avec l’engouement dont il faisait preuve, et l’énergie qu’il devait dépenser pour offrir à Theorem une sodomie propre, Chengzu n’avait guère le temps de penser à autre chose !

« Là… Là… Hmmm… Bo-Bordel, t’es toujours aussi serré ! »

Une chose qui n’empêchait nullement Chengzu de prendre son pied… Bien au contraire, même !

Theorem sentit son Maître accélérer ses vas et vient. Pas de doutes il allait enfin jouir en lui. Serrant ses jambes autour des hanches du bélier, il lui roula une nouvelle pelle en gémissant de plus belle. Le travestit sentit le sexe de son amant prendre encore plus de volume, devenir dur et puissant avant que sa capote se remplisse de semence chaude par acoups ! La sensation rendit totalement fou de désir du uke qui serra un peu plus son emprise sur son seme, cherchant le support de son homme. Il frotta son dos et les crissements du latex de ses gants sur celui de l'uniforme de son époux le rendit encore plus dingue. Quand enfin celui aux cheveux bleus termina sa besogne, Theorem sentit clairement son inmon s'ajouter une marque. S'il avait envie de jouir, il lui restait 29 jouissance à gagner.

"Han mon bélier ! Le plaisir a été si intense pour moi... Cette première baise dans nos nouveau uniforme sera mémorable..."

Il attendit que Chengzu ne le dépose au sol pour récupérer le préservatif encore installé sur la queue de ce dernier. Il la décrocha soigneusement avant de la nouer au string en latex noir qu'il portait dessous. Pour ce faire, il décrocha sa ceinture et ouvrit les boutons sur le côté, dévoilant son corps androgyne, couvert de sueur avant de venir l'accrocher. La malédiction du inmon avait révélé quelques mots clés qu'avait dit Chengzu sur son corps... *suceuse préférée* et *trou serré* apparurent sur son corps comme si quelqu'un l'avait écris au feutre. Ces mots resteraient là pendant trois heures... Une fois son trophée accroché ainsi que son plug anal replacé, il referma son uniforme et de l'extérieur, personne ne pouvait se douter.

"Vient, j'ai une autre pièce que je veux te faire voir..."

Theorem lui prit doucement la main et guida Chengzu. Il prirent de suite la porte au fond du hall, non loin d'eux, donnant sur une salle d'exposition d'art. Il y avait des éléments de science, un globe terrestre imposant, des étranges bocaux contenant des éléments indescriptibles. Sûrement qu'Ishtar avait intialement prévu cette pièce pour devenir une sorte de lieux d'exposition, mais Theorem avait déjà posé son véto pour transformer cette pièce plus tard. Il passèrent la zone pour atteindre une plus petite pièce, contenant ce coup-ci un grand miroir.

"C'est ici que je ferais bien un de nos cocons d'amour... On pourrait se mater dans ce miroir pendant qu'on fait des choses... Ca te dirait de l'exploiter ? Je pourrais me mettre à quatre pattes, juste ici..."

Il s'exécuta, se mettant sur ses genoux sur le tapis central, avant de poser les paumes au sol. Cette fois, il s'offrait en levrette à son homme... Il se cambra généreusement pour dévoiler ses fesses, mais aussi son anus décoré à nouveau de son plug anal... Comme pour l'aguicher, Theorem plaça un préservatif fermé dans l'élastique de son string...

Chengzu s’abandonna en lui… Ou presque ! Car le préservatif retint naturellement son jus. C’était quelque chose que Theorem appréciait… Lui, moins. Il se sentait toujours engoncé dans ces sachets en plastique, et préférait sentir sa peau être au contact de la peau des autres. L’homme se relâcha toutefois avec son amant, et cet orgasme le laissa quelque peu heureux, pantois, flottant de joie. Il en oublia même les mystères entourant la construction de ce manoir, les pièces secrètes et les souterrains fermés. Une certaine effervescence régnait dans le manoir à l’approche des réceptions qui auraient lieu. Chengzu, soulagé, attrapa Theorem par la main. Il ignorait ce que Theorem avait prévu, et celui-ci le guida vers l’une des nombreuses pièces du manoir. Ils ne rejoignirent pas la réception, mais une salle d’exposition dans l’une des ailes. Theorem semblait déjà bien mieux connaître le manoir que lui, qui se perdait à chaque fois dedans. Ils rejoignirent une pièce que Chengzu n’avait encore jamais visité, une salle d’exposition artistique. Il vit un globe terrestre dans un coin, des tableaux dans des cadres… Theorem fila dans une autre pièce, accessible depuis la salle d’exposition. Chengzu l’inspecta silencieusement, notant un grand miroir contre le mur. La pièce était encore vide, comprenant tout juste un grand tapis qui recouvrait le sol. Son amant expliqua avoir envie de faire cette pièce un « cocon d’amour ».

« Oh… Je vois que tu as déjà des idées concernant l’aménagement, Theorem. C’est… C’est très bien. »

Il faudra sans aucun doute y rajouter un lit, mais Chengzu doutait de pouvoir y mettre autre chose. Un lit ici, devant le miroir, où ils s’enverraient en l’air… L’idée n’était pas pour lui déplaire, et, tandis qu’il y songeait, sa verge se redressa, s’élevant dans les airs. Chengzu reporta alors son attention sur Theorem, qui se mit à quatre pattes devant lui. Un geste clair. Chengzu sourit, et se rapprocha, libérant sa verge. Elle sortit à l’air libre, impatiente, assoiffée… Le préservatif ne le stimula en revanche guère, et il frotta sa verge sur les fesses de Theorem, son membre glissant contre sa croupe. De sa main, il écarta le string, et, avec l’autre, caressa ses fesses.

« Désolé, mon chéri, mais je n’ai jamais été fan de ces objets en plastique… »

Sa main palpa le fessier de son partenaire, pressant l’une de ses fesses entre ses doigts. Il approcha ensuite sa verge, et l’enfonça dans le fessier de Theorem. Sa main relâcha la pression sur les fesses de Theorem, et il le fessa ensuite, sa main claquant joyeusement dessus, tandis qu’il commençait à le sodomiser, grognant à ce contact, sentant sa queue remuer difficilement dans le fondement de son partenaire…

Face à cet immense miroir, Theorem pouvait parfaitement voir son partenaire et l'intégralité de la pièce. Le tapis épais sous leurs pieds et les différents drapés autour d'eux rendait la zone étrangement chaleureuse malgré le paradoxe de cette zone... Par exemple, quelle était l'utilité d'une pièce comme ça à la base ? Elle n'avait pas plus de logique qu'elle succédait à une salle d'exposition d'art... Mais en prime, comment avait on fait entrer ce miroir géant dans cette pièce ?! Il ne passait pas la porte et encore moins le virage pour l'installer... Il était d'un seul tenant, ce qui imposait qu'il avait été mit ici pendant la construction... Mais bien loin de ce questionnement, Theorem put sentir le sexe de son homme entrer en lui alors qu'il tenait encore le préservatif entre ses lèvres. Comprenant que Chengzu n'en ferait rien, il le replaça dans l'élastique de ses jarretelles avant de se concentrer sur cette baise intense. Le femboy n'avait plus qu'à lever les yeux vers le miroir pour voir parfaitement la salle, son homme et lui-même en train de faire la bête à deux dos.

"Han fuck... Tu es déjà si dur en moi... Ton gland matraque ma prostate..."

Il soupira d'avantage qu'il put sentir son sexe accélérer son rythme, l'os de son bassin tapant ses fesses, ses mains puissantes sur lui. Dans ces cas là, il se sentait totalement possédé. Tout en soupirant d'aise et en se regardant en plein acte, le haiena s'empara de son téléphone et envoya un message à Aria. La louve maid ne tarda pas à entrer, portant sa combinaison de latex, ses ornements de chasteté et un bête tablier lui servant à plus ou moins le dissimuler. Quand elle entra, malgré qu'Aria commençait à en avoir l'habitude, elle rougissait devant eux. En fait ce n'était pas de la gêne, c'était de l'envie ! Des mois sans aucun rapport sexuel, pas même un doigt en elle... Elle était chaude comme tout.

"Maître Theorem, Monsieur Chengzu..."

Elle s'inclina poliment avant de prendre son téléphone et de commencer à les filmer. Tout en continuant à les regarder à travers l'objectif, elle se mordilla la lèvre inférieure. Pas de doute, elle enviait la place de Theorem, et Theorem adorait la rendre folle de désir. En plus ils allaient avoir un souvenir de cette baise ! Comme pour chauffer son partenaire et leur observatrice, le Haiena ne se priva pas de décrire l'action, entrecoupé de ses gémissements.

"Hmmm... han... Chengzu tu tapes si fort ma prostate... Gnnn... C'est tellement intense ... Hmmm... On dirait que tu veux me mettre enceint !"

Un petit filet de cyprine glissa le long de la cuisse d'Aria alors qu'elle se mordilla plus fort la lèvre...

Ce fut une sodomie endiablée, énergique, comme Chengzu les aimait. Dans cette chambre isolée et agréable, ce nid douillet, il remuait en lui, le prenant avec une énergie croissante. Theorem s’empara de son téléphone, et contacta Aria. Chengzu ne l’en empêcha pas, laissant sa verge s’approprier à nouveau ce fondement. Theorem était un amant exceptionnel, et Chengzu aimait toujours autant le sodomiser. Même s’il n’était plus un esclave, et qu’il avait été affranchi, il restait quand même le fucktoy de Chengzu et d’Ishtar, et c’était une chose qu’il fallait régulièrement lui rappeler… Et ce surtout depuis que Theorem avait réussi à domestiquer sa propre esclave, Aria. Celle-ci leur rendit d’ailleurs visite. Chengzu la sentit venir, repérant son groupe sanguin, et elle se glissa dans leur dos. Il sentit aussi l’emballement sanguin de la jeune femme, et comprit que Theorem continuait à la frustrer sexuellement. Cela ne pouvait que l’amuser. Theorem avait finalement répété le même cycle qu’Ishtar, à une dose moins brutale, mais en en reprenant l’essence : la domination par la frustration, par une certaine forme d’humiliation et de castration. Theorem lui tendit le téléphone portable, et, quand Aria le récupéra, Chengzu en profita pour écarter sa main du corps de Theorem, et donna une gifle sur le cul en latex d’Aria.

Aria retourna ensuite derrière, et dut les filmer, tandis que Theorem complimenta les talents sexuels de Chengzu. Souriant doucement, celui-ci fessa le cul de Theorem, donnant une belle claque sur son postérieur.

« Petit cochon… Tu aimes la frustrer, hein ? Son sang bat furieusement, tu sais… Je suis sûr que ta louve mouille déjà… »

Chengzu sourit donc, et attrapa les longs cheveux de Theorem, tirant dessus, relevant son corps, le faisant encore couiner en distillant une dose de douleur, et accéléra encore, amplifiant le rythme de ses pénétrations. L’homme-bélier continuait à le prendre avec force, avec vigueur, tout en allant dans le jeu de Theorem :

« Tu aimes ça, hein ? Être ma petite pute à qui je défonce le cul ? Hmmm… ! Tu es ma salope, Theorem ! »

Il parlait d’une voix forte, multipliant les insultes, employant sciemment des insultes féminines, comme pour que cela rebondisse sur leur spectatrice !

Theorem gémissait comme un animal, comme une pute, comme une salope en manque, une nympho qui n'avait pas eut sa dose quotidienne de queue. Pas de doutes, Theorem allait faire de cette salle son petit coin privé pour des baises bien hard et filmés. Bien sûr, ça se ferait dans les prochains jours, mais au moins il avait les moyens de vivre dans une opulence rare. Il avait connu une extrême pauvreté au début du mouvement de libération d'Inferis conduit par Ishtar... Maintenant il avait ce manoir, le Fort Stanov, un pays à gérer et en prime il n'avait plus vraiment de compte à rendre. Ils s'étaient hissés en haut. Plus rien ne pouvait les descendre...

"Han fuck... Hmmm... Je t'aime Chengzu ! Han tu es si doué ! Hmmm !!!"

A cause de la malédiction du inmon, les insultes récurrentes ou qui faisaient frissonner Theorem s'inscrivaient sur sa peau... Tout en se faisant pistonner de la sorte, le Haiena se regardait, à quatre pattes, en train de se faire grimper par son homme. C'est sans une once de décence qu'il commença à se caresser en se matant dans l'image, en matant son homme... Quand enfin il fit assez érotisé pour aller plus loin, il se retourna pour venir entourer Chengzu de ses jambes, croisant les chevilles dans son dos. Ses mains se posèrent sur le torse de son homme, sentant ses pectoraux durs et musculeux sous ses mains. Theorem déboutonna doucement son uniforme pour voir enfin son harnais dessous apparaître, magnifiant son corps imberbe et son ventre plat et tonique. Theorem passa ses mains autour des sangles pour coller son homme contre lui et l'embrasser avec fougue. Sa langue tourna avec celle de son chéri, sous les yeux d'Aria qui les jalousaient comme jamais. Une fois le baiser échangé, Theorem noyait son regard dans celui de Chengzu. Pas de doutes, vu comme il le dévorait des yeux, il l'aimait comme personne.

"J'adore nos nouveaux uniformes ! Han il te va si bien !"

Il recommença à caresser doucement son torse avant de venir lécher en douceur ses pec et ses tétons. Theorem garda ses jambes bien écartés pour son homme avant de l'embrasser à nouveau. Une fois son patin terminé, le femboy avait complètement lâché son self control et s'ouvrait à 100% à son chéri. Dans ses yeux on pouvait voir toute la perversion et la passion sexuelle pour son homme. Plus rien n'existait... Il voulait juste ne faire qu'un avec son bélier d'amour !

Chengzu était un amant toujours assez endiablé, mais, quand il avait du public, il gagnait en bestialité, en sauvagerie, en provocation. Il grognait, sifflait, donnant des gifles, des fessées, tirant sur les cheveux de Theorem, l’insultant dans la foulée. Voilà qu’il le traitait de pédale, de sale fiotte aimant se faire enculer comme une grosse pute. Il commentait ensuite la façon dont sa verge s’enfonçait dans son cul, pilonnant son derrière, le dilatant comme un boulevard. Chengzu grognait, haletait, et, les rares fois où il se calmait, il regardait Aria, comme pour la provoquer, et aussi pour s’assurer qu’elle filmait bien. Il savait ce qu’elle faisait, car il sentait son sang. Et il sentait son intense frustration. Piégée dans sa combinaison en latex et sa cage de chasteté, elle ne pouvait pas soulager, et devait donc, impassible, les regarder baiser… Et quelle baise ! Si on se contentait juste de diffuser la vidéo avec le son, tout le monde aurait cru à un viol, voire à une scène de torture ! C’était une sorte de véritable tornade sexuelle, qui agvait commencé crescendo. Theorem lui présentant son harnais,s a cage de chasteté draconique, les deux s’embrassant avec appétit, et Chengzu qui le prenait désormais avec force. Theorem s’était enroulé autour de lui, et le corps de Theorem alla heurter un mur, dans un coup violent. La main de Chengzu glissa sur le mur, entaillant le papier peint, condamnant ce dernier à devoir être changé. Le bélier tapa ensuite violemment le mur, faisant sauter un tableau à côté d’Aria, et il continua à le prendre, le corps de Theorem rebondissant contre le mur, si bien que, quelques minutes après, ce fut au tour d’un vase posé sur une table basse de tomber sur le tapis.

Leur baiser avait de toute évidence galvanisé Chengzu. Le vampire puisait dans ses instincts vampiriques pour maximiser les effets de cette sodomie, et s’écarta du mur. Il se rapprocha de la table basse, et la tête de Theorem bascula dessus, lui permettant de voir Aria.

« Dis bonjour à la caméra, Theorem ! Dis à ton public combien tu aimes que je te défonce le cul ! Dis-leur à quel point tu es une pute ! »

La voix de Chengzu était rauque, grave, et il attrapa le collier en cuir de Theorem, tirant dessus pour le relever, et croisa son regard, parlant alors d’une voix plus basse, mais tout aussi perverse :

« Et dis-le à Aria, dis-lui combien la queue est grosse, combien elle te fait hurler… Combien tu aimes te faire défoncer ! »

Aria était l’esclave de Theorem. Juridiquement, Theorem étant libre, Chengzu n’avait donc aucun droit sur elle, même si, dans leurs relations au sein du couple, Theorem restait l’esclave d’Ishtar et de Chengzu. Chengzu avait déjà eu l’occasion de s’entretenir avec des avocats de ces questions. On lui avait parlé d’opposabilité des droits aux tiers, de terme technique mentionnant les chaînes translatives de propriété, mais, tout ce qu’il avait retenu des règles terranes en la matière, c’est qu’il n’avait aucun droit sur Aria. Alors, il la provoquait, il jouait avec elle quand il le pouvait.

Chengzu continuait à le prendre, et déplaça sa main venant alors étrangler Theorem, serrant son cou jusqu’à ce qu’il y ait des larmes dans les yeux de son amant, et que sa langue jaillisse de sa bouche. Il relâcha alors sa gorge, et continua à grogner.

« Ne t’endors pas trop vite, Theorem, je compte encore te fister comme il se doit… Et je veux que ta louve regarde ça, qu’elle filme au plus près… Et, ensuite… Je t’offrirai un cadeau. »

Une petite annonce pour la suite, de quoi entretenir la flamme, tandis que les minutes défilaient encore. Chengzu avait toutefois avant ça une idée, et, subitement, il se retira du fondement de Theorem. S’il n’était pas le Maître d’Aria, en pareille circonstance, jamais la louve n’oserait le désobéir.

« Aria ! Récupère les préservatifs, et mets-en un sur ma queue. Je vais jouir, puis tu m’en mettras un autre, et tu garderas sur toi les traces de ma semence… »

Ce sperme auquel elle n’avait pas le droit… Pour que Chengzu se décide à mettre une capote, il fallait qu’il ait une idée perverse en tête. Ce faisant, Aria pouvait aussi comprendre que la séance allait durer, puisque Chengzu avait parler de mettre plusieurs préservatifs sur Aria…

Visiblement la célébration de posséder ce manoir se transformait lentement en film porno... Avec Aria à la caméra. Et comme elle était formée à ça et particulièrement excitée et frustrée, elle allait faire les angles de caméra les plus chauds. Theorem n'en était pas à son premier tournage et donc, il regarda l'objectif en faisant le double V de victoire en cachant à peine qu'il se faisait durement défoncer.

"B-Bonjour fidèle spectateurs ! Haaa... Actuellement je me fais baiser bien dur ! Hmmm haa... Chengzu en a une énorme qui écrase bien fort ma prostate ! Ha-Haaa ! Je le sens en moi bien profond et en prime... Hiiii... Son mât comprime si fort mon point P que je... haa... Je sens déjà un orgasme en moi qui est bloqué par mon inmoooooooon !"

Tout en se faisant défoncer, il essayait de garder son cool, mais c'était impossible de rester impassible pendant un tel matraquage anal en règle. Alors qu'il se faisait durement sodomisé, Theorem s'agrippa au tapis. Il ne tarda pas à pousser des petits cris presque bestiaux puis des gémissements franchement animaux. Il se bavait dessus, ses cheveux étaient en bataille et son maître lui ordonna de reprendre la parole. Theorem transpirait dans son uniforme, ça devenait vraiment très intense !

"Haaaa ! J'adore me faire défoncer ! Haaan ! Me faire enculer bien fort par mon maître ! Gnnnn ! C'est une sensation unique ! J'adore lui appartenir !!! Haaan ! A ce niveau là je suis devenue la pire des salopes de Nachtheim !"

Tout en finissant sa phrase, il sentit les mains gantées de son dominant venir serrer sa nuque. Ses doigts se refermèrent sur sa gorge de telle manière à boucher certains afflux sanguins mais pas totalement la respiration. Cela donnait à Theorem des étoiles dans les yeux, la sensation de flotter et d'étouffer... Il goûtait au baiser de la mort, doux et profond... Et pourtant c'était délicieux ! Il ne fallait pas en abuser, mais son maître veillait. Quand sa saturation baissait trop bas, ses doigts se relâchèrent. Theorem put reprendre sa respiration, se laissant presque tomber alors qu'il avait encore la tête qui tournait...

"Haan fuck... Merci mon Maître !"

Puis la baise devint une véritable séance bien longue et complexe. Chengzu échangeait avec Aria qui accepta tacitement. Quand Chengzu éjaculait, Aria vint délicatement retirer la capote usagée sur son sexe et en fit un noeud à la base avant de venir le glisser dans sa cage de chasteté qui entourait ses hanches. Elle ouvrit un nouvel emballage venant du sac de Theo et enfila la capote sur le sexe tendu de Chengzu. Elle était plus que choquée de voir à quel point il pouvait enchaîner les éjaculations. Quant à Theorem, il restait presque pantois, bloqué dans l'imminence de l'orgasme, bloqué par son inmon. Cependant, il pouvait toujours ressentir les orgasmes cérébraux... Et là il nageait dans l'endorphine pure.

"Haaaar ! Gnnnn ! Haaan mon Maître ! Han... Tu veux aussi me fister ?... Hmmm... Alors entre en moi mon homme !"

Il écarta doucement ses fesses avec ses mains, révélant son anus bien ouvert.

Chengzu était possédé. Un diable sorti de sa cage, un homme-bélier qui se surpassait ! Il baisait Theorem avec une force incroyable, une énergie renouvelée. Non contente de devoir filmer la scène avec impuissance, la louve désormais châtrée remplaçait les préservatifs à chaque fois. Chengzu se relâchait toujours avec force, et elle accrochait les capotes sur sa ceinture, comme des souvenirs de sa pénétration. Theorem se lâchait aussi, heureux de se savoir filmé. Maintenant qu’ils étaient sortis de cette bulle dimensionnelle, Chengzu réfléchissait de plus en plus à développer leurs activités. Il savait que Mélinda Warren voulait se lancer dans la pornographie, et il se demandait s’ils ne pouvaient pas faire leur propre chaîne de streaming. Certes, le Rustworld n’était pas très approprié pour ça, mais il devait y avoir moyen de diffuser ça sur Megapolis, ou à Uatis. On craquerait sur lui, sur leur idole ! Chengzu grognait encore, continuant ses coups de reins, se déployant pleinement. C’était une frénésie sexuelle qui dut sans doute furieusement frustrer Ania. Elle ne pouvait qu’observer la scène, voir les puissants coups de reins de Chengzu, qui giflait et maltraitait le cul de Theorem. Il ordonna à Ania de lui donner une laisse, et s’en servit pour tirer sur un collier qu’on mit autour du cou de Theorem, comme une promesse pour l’avenir.

Quand Chengzu se relâcha après plus d’une bonne heure de baise, la chambre transpirait le stupre. Chengzu était en sueur, et il laissa Theorem s’écrouler sur une table basse renversée. On aurait pu croire qu’une dispute conjugale avait éclaté. Un vase était brisé, plusieurs tableaux renversés, le cadre en bois de l’un d’entre eux étant par ailleurs brisé. Le lit avait aussi subi leurs assauts, et l’un des oreillers était maculé de bave. Et, à chaque fois, Ania avait dû accrocher un préservatif de sperme, jusqu’à ce que les préservatifs entourent tout son bassin. Chengzau se redressa ensuite, après avoir joui dans le cul de Theorem. Il avait épuisé toute la boîte, et Ania avait dû, en rougissant, avouer qu’il n’y avait plus de préservatif. Chengzu avait donc enfin joui à même dans le cul de Theorem, inondant son cul avec passion en s’allongeant contre lui. Il l’avait baisé à même le sol, sur le tapis, une main tirant sur ses cheveux, grognant contre son oreille, l’insultant tendrement, griffant le tapis avec son autre main, son corps massif s’écrasant sur le sien, l’étouffant à moitié, faisant pleurer le jeune homme.

« Tu es à moi, Theorem… Ma petite salope… Je t’ai pris le cul depuis une heure… »

Chengzu s’abandonna donc en lui, puis se releva alors. Tandis que Theorem émergeait lentement, Chengzu demanda à Ania de lui amener un verre. Il l’avala, tout en regardant ses SMS. L’inmon de Theorem devait s’être sacrément rempli, maintenant ! Chengzu regarda Ania en souriant doucement, caressant d’une main ses cheveux, glissant sur sa combinaison, la faisant crisser.

« Tu rêves de la sentir en toi, hein ? Ma grosse queue… Mais je ne peux pas. Je veux dire, avant que Theorem ne soit affranchi, j’aurai pu le faire, mais il est libre. Alors, certes, il est mon mari, mais tu restes sa propriété personnelle, c’est lui qui décide… Il a été formé comme ça. Il lui arrivait de regarder sa Maîtresse baiser des filles et des mecs pendant des heures sans pouvoir se toucher… »

Il pouvait sentir la frustration d’Ania. Sa main n’hésita pas à palper son délicieux cul.

« Tu as un beau cul, je sens que des verges adoreront s’y planter… »

Theorem se releva alors, et offrit encore ses fesses à Chengzu. L’homme-bélier se détourna alors de la jeune femme, et se rapprocha de Theorem. Un fisting… Encore une chose qui lui semblait inconcevable il y a des années. Il sourit alors, et invita Ania à venir.

« Regarde bien le cul de ton Maître, Ania… Regarde comme il est dilaté, alors que le tien doit être tout serré… Je vais lui enfoncer ma main, puis mon bras, et je vais remonter jusqu’à la garde. »

Encore une fois, il la provoquait, puis il enfonça ses doigts gantés dans le fondement de Theorem.

« Voyons voir jusqu’où je peux aller… »

Il força le passage, et sentit les parois anales se dilater. Le plus difficile fut de glisser ses cinq doigts, et il dut tortiller ses doigts, revenant en arrière, puis repartant en avant, et sentit finalement sa main franchir un « nœud ». Sa main remonta ensuite, et s’enfonça dans son colon.

« Haha ! Tu filmes ça, Ania ? Dis-lui ! Dis à ton Maître ce que tu filmes, que Theorem sache à quel point je lui déboîte le cul ! »

La baise avait été intensive et Aria n'en manqua pas une miette malgré son excitation palpable. Elle composait avec la frustration depuis des mois maintenant et elle n'avait que peu d'occasion d'avoir plus. Du coup voir ce spectacle était quand même une source de plaisir malgré tout. Tout en les observant à travers la lentille du téléphone, par moment une main se perdait sur son corps, en vain, caressant le métal, sollicitant un peu sa cage de chasteté pour une sensation quelconque... qui ne vint pas. Quand elle observait une baise aussi intense, elle ne pensait pas que son maître était une lavette ou un sac à foutre... Non non, elle le respectait malgré tout, mais elle l'enviait aussi au possible ! Elle n'avait jamais connu l'intensité d'une telle baise et ne pouvait que transposer ça à ses propres masturbations... En plus Chengzu passait son temps à la provoquer et à la chauffer ! Ca devenait dur de résister des fois ! Quand la baise prit place au fisting et qu'elle était décorée des nombreux préservatifs laissés sur elle, la louve avait les yeux grand ouvert mais se mordillait le pouce avec une intensité rare, désireuse de se faire ramoner aussi !

*Sérieusement, jusqu'à l'avant-bras ?...*

Elle ne put y croire, mais elle put constater autre chose : Theorem ne se tenait plus, il avait basculé dans l'inconscience... La louve prit quand même son poul et s'assura qu'il allait bien. Doucement elle fit signe à Chengzu qu'il était hors-jeu.

"Vous devriez arrêter Monseigneur, Maître Theorem est inconscient."

Une fois que Chengzu ce soit retiré de lui, la louve le prit dans ses bras pour le déposer sur un canapé. Pendant quelques secondes, elle lui replaça les cheveux, avec un amour palpable avant de regarder la pièce quand même un peu bizarre... Ce grand miroir faisant tout le mur l'intriguait... Puis alors qu'elle y réfléchissait, elle pouvait voir le bélier derrière elle. En se retournant, elle lui faisait totalement face, alors qu'il avait sa verge totalement érigée. Ses yeux se perdirent sur ce membre de chair et mordilla sa lèvre inférieure... Elle était maintenant extrêmement en chaleur et seule à seule avec un homme tout aussi excité. Elle ne put s'empêcher de poser ses mains sur la poitrine en sueur de cet homme. Elle le voulait en elle ! Elle voulait du sexe ! Elle voulait un orgasme ! Son souffle était devenu presque bestial alors qu'elle le caressait mais elle se retint soudainement, serrant les poings au point de faire grincer le latex de sa combinaison.

"Monseigneur, je... Il faut vous soulager... non ?..."

Elle se plaça doucement à genoux devant lui, replaçant tout ses cheveux dans son dos. Elle fit revenir pas mal de salive dan sa bouche malgré le stress et ouvrit bien grand en tirant un peu la langue. Elle n'avait pas autant de maestria que Theorem, loin de là... Mais elle voulait le sexe de cet homme ! Quitte à se contenter de ça...

Chengzu sourit à l’idée de ce fisting, et en s’enfonçant en Theorem. Son amant en eut le souffle coupé, et se tortilla sur place. Un sourire cruel et pervers éclaira les lèvres de Chengzu, toute douceur disparaissant de ses yeux tandis qu’il coulissait en lui, déformant petit à petit le cul de Theorem. Aria, qui observait la scène, ne semblait pas en croire ses yeux. Theorem poussait de faibles couinements, ses yeux écarquillés, avant de fixer le vide. Son corps réagissait pourtant toujours. Il émettait des stimuli, des soupirs, tandis que Chengzu croissait en lui, constatant combien le fondement de Theorem était propre, savamment entretenu. Chengzu remonta donc, encore et encore, et arriva finalement jusqu’à son avant-bras. Il sourit quand Aria s’enquit de l’état de Theorem.

« Ne t’inquiète pas, ton Maître en a vu d’autres… Mais il commence à devenir un peu mollasson, je crois que je néglige… Son entraînement. »

Theorem était comme dans les vapes, groggy. C’était comme si une bombe avait éclaté dans son cerveau. Chengzu resta encore comme ça, sentant les parois anales de son amant se refermer sur son gant. Celui-ci était fort heureusement très lubrifié, et Chengzu grogna, avant de se retirer lentement. Il se pencha vers Theorem, et lui murmura dans le creux du cou :

« Je vais devoir te baiser à nouveau très sérieusement, Theorem, ton endurance laisse à désirer… »

Chengzu se releva lentement, libérant le fondement de Theorem, et contempla son gant, puis se nettoya un peu quand même. Fister ainsi Theorem lui avait ouvert l’appétit, et il avait une belle érection. Or, il n’y avait plus qu’Ania dans la pièce, et Theorem semblait hors-jeu pour un petit moment. Chengzu regarda la femme, et sourit quand elle se rapprocha, nerveuse.

« Je devrais te punir pour m’avoir dit quoi faire tout à l’heure, Aria… C’était de la désobéissance, mais aussi une marque de défiance vis-à-vis de ton Maître… Mais ton inquiétude pour Theorem est sincère, et je m’en voudrais de frustrer davantage un si joli minois. »

Elle libéra l’accès à sa verge, un gros membre qui heurta son visage.

« Tu vois comme ça m’a excité de lui briser le cul ? Renifle ma verge, Aria… Respecte-là comme tu vénérerais une idole… Tu sais quoi ? Si tu arrives à me faire jouir en cinq minutes, quand ton Maître se réveillera, je lui demanderai la permission de t’enculer… »

Une promesse qui la ferait peut-être saliver, vu comment son sang bouillonnait dans sa poitrine et dans son corps.

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