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La chérie du Don [PV]

Posté : 05 nov. 2024 13:45
par Reine Alice Korvander
Les deux policiers allèrent la chercher à l’université, en indiquant avoir besoin de l’interroger sur son père. Celui-ci était le gérant d’un bar, Takeshi Hittori, mais il avait disparu il y a environ un mois, laissant sa famille dans l’embarras. Sa femme, Masori Hittori, n’avait aucune idée de où il avait pu partir, tout comme sa fille Tifa Hittori, et son plus jeune frère, Benshiro. La jeune femme était une jeune étudiante en première année à l’université, et elle aidait normalement son père à tenir leur bar, le 7th Heaven, un très bel établissement.

Pour financer son bar, Takeshi, qui n’avait pas réussi à obtenir de prêt, avait choisi de se rapprocher du chef du crime organisé de la ville. Il tenait audience dans un palais japonais médiéval reconstitué par lui dans un grand quartier qui était entièrement sous son contrôle, Don Cornéo. Cornéo avait fourni à la famille Hittori les moyens de financer le bar, mais, finalement, Takeshi n’était plus en état de rembourser. Son bar s’effondrait, et Cornéo n’acceptait pas de délais de paiement. Paniqué, Takeshi s’était enfui quand les gros bras de Cornéo avaient commencé à fureter autour du bar. Un geste courageux, qui laissa sa famille dans l’embarras. Don Cornéo avait envoyé l’un de ses hommes discuter avec Masori. Elle n’était que locataire, et n’avait rien de valeur pour permettre de rembourser Don Cornéo. Alors, Don Cornéo avait trouvé une autre option.

C’est pour ça que les deux policiers étaient venus cueillir Tifa en plein lycée. Ils lui demandèrent de prendre ses affaires.

« Vous allez en avoir pour la journée, Mademoiselle… »

Tifa l’ignorait, mais elle saluait une dernière fois avant longtemps ses amies, ainsi que son petit-ami. Masori avait avoué à Cornéo que sa fille avait un petit-ami, mais qu’elle était encore vierge. C’était ce détail qui avait achevé Cornéo de la convoquer chez lui. Dans la voiture de police, Tifa constata vite que la police n’empruntait pas le chemin du commissariat. Toutefois, les portières étaient fermées, et les policiers rejoignirent en réalité Wall Market, un quartier spécial qui appartenait intégralement à Don Cornéo. Officiellement, ce quartier ne situait pas, et, pourtant, il comprenait plusieurs bars, des magasins, des bordels, et un immense palais… Le palais de Don Cornéo.

« Avance, Don Cornéo souhaite te voir ! »

Les policiers se montraient brutaux, et poussèrent Tifa. Ils entrèrent à l’intérieur du palais, et la jeune femme fut conduite dans une pièce, un salon avec un rétroprojecteur. Une belle robe bleue se trouvait sur la table.

« Enfile cette robe.
Tu devrais te dépêcher, avant que Don Cornéo ne vienne. »

Ils partirent ensuite, la laissant avec ses questions.

Alors qu’elle s’installait et qu’on la laissait entendre, le rétroprojecteur s’illumina brusquement, et montra des photographies de sa famille… De Masori en train de travailler, de préparer la cuisine, de faire les courses… De Benshiro en train de dormir, de jouer au parc avec ses amis, ou d’aller à l’école, ou même dans la classe maternelle. L’image était claire : ils savaient tout d’elle, et elle avait intérêt à obéir.

Une double porte s’ouvrit devant, et Don Cornéo fit finalement irruption.

« Bonjour, ma Tifa d’amour ! Es-tu prête à devenir ma chérie ? » demanda-t-il, tout de go, un sourire pervers sur les lèvres.

Re: Re: La chérie du Don [PV]

Posté : 05 nov. 2024 13:46
par Chloé Faure
La vie de la pauvre Tifa avait pris un tournant pour le moins radical ces derniers temps, après la disparition de son père, qui la laissait elle et sa mère les seules à la gestion du bar familial qui était criblé de dettes. En plus de ses études, Tifa avait donc enfilée le soir le rôle de barmaid dans le but d'aider sa mère, afin qu'elle ne soit pas la seule à tenir leur affaire familliale, mais c'était un rythme de vie qui deviendrait rapidement ingérable. La jeune femme était toutefois loin d'être au courant des réelles raisons de la disparition de son père, des dettes qu'il avait auprès de Don Cornéo, le parrain de la mafia locale, et était donc loin de s'imaginer la potentielle épée de Damoclès qui se trouvait au dessus de ses épaules. Ainsi, lorsque des policiers vinrent la chercher à l'université, même si il était plutôt de notoriété publique que ces derniers étaient corrompus par Don Cornéo pour qu'ils restent loin de ses affaires, Tifa n'aurait pas pu s'imaginer que ces derniers venaient en réalité pour un sujet tout autre. Elle s'était attendue à ce qu'elle soit effectivement emenée au commisariat mais...se rendit vite compte qu'il ne s'agissait pas de la bonne route.

Mais...où vous m'emmenez ?

Le regard hostile du policier dans le rétroviseur qui lui était adressé était clair, et elle se tut tout en sentant alors une boule de stress lui monter au ventre, alors que la voiture de police s'enfonçait dans les quartiers les plus mal famés de la ville. Pour les policiers, le fait d'avoir une entente avec Don Cornéo leur était aussi profitable dans le sens où ils n'avaient pas à avoir peur d'entrer dans certains quartiers de la ville, du moment qu'ils n'entravaient pas le bon fonctionnement du business du parrain. La jeune femme se retrouva donc comme mortifiée en arrivant, sous escorte, au palais de Don Cornéo qui était officiellement un cabaret...mais en réalité la plus grande maison close de la ville, ce qui n'avait rien pour la rassurer.
Tifa savait toutefois que tenter de fuir serait inutile, après tout les flics étaient de mèche avec le propriétaire des lieux...mais pourquoi diable était elle ammenée ici ? Tifa savait qu'elle était belle et donc pouvait potentiellement...servir ici, mais Don Cornéo était aussi connu pour éviter de faire trop de vagues, comme enlever des jeunes filles à la volée pour les mettre dans son bordel, alors tout ça la surprenait. Tifa se retrouva dans une pièce, une sorte de grand salon, où se trouvait entre autres une tenue que les policiers lui intimèrent d'enfiler. Dans le même temps, un projecteur s'alluma, et diffusa sur le mur des photos de sa famille, sa mère et son petit frère, dans des situations de la vie de tous les jours...ce qui était clairement une menace. Tifa, malgré le fait qu'elle soit à ce stade terrorisée, obtempéra et entreprit de se déshabiller, et retira même ses sous-vêtements puisque en plus de la robe, d'autres étaient fournis avec qui ne laissaient guère de doutes sur certaines des raisons de sa présence ici. Tifa fini juste à temps de se préparer quand la porte s'ouvrit, et qu'elle vit alors l'obèse parrain mafieux entrer, lui demandant alors si elle était prête à devenir sa chérie, ce qui était un "affectueux" surnom pour désigner ses putes.

D-Don Cornéo mais...je ne comprends...je...je n'ai pourtant rien fait qui...

Tifa avait un peu du mal à parler car elle était terrifiée. Sous ses airs de gros homme bedonnant affichant un large sourire, Don Cornéo était un mafieux terrible, mais qui était pourtant aussi réputé comme étant "juste", du moins pour un mafieux. Alors effectivement, Tifa ne comprenait pas pourquoi le Don souhaitait de toute évidence la traîner contre son gré dans la spirale de la prostitution, ou bien la forcer à même devenir sa pute personnelle, car elle n'avait ni de dettes chez lui, ni n'avais entravée son business.

Re: Re: La chérie du Don [PV]

Posté : 05 nov. 2024 13:46
par Reine Alice Korvander
Ouw, comme elle était magnifique ! Don Cornéo sentit très rapidement une belle érection pointer dans son pantalon, déformant son caleçon. Magnifique, vraiment superbe ! Il le savait dès qu’il avait vu les photos la concernant. Tifa-chan était une élève talentueuse, débrouillarde, mais aussi une sportive. Quand elle ne travaillait pas au 7th Heaven, elle s’entraînait dans une salle de boxe, s’entraînant à l’autodéfense. Tout ça, Don Cornéo le savait. À Tokyo, Don Cornéo contrôlait tout. Il était le chef secret de la ville, et disposait de son propre quartier, Wall Market, un quartier qui n’apparaissait sur aucune carte, et qui était un quartier dédié au vice. Sexe, jeux clandestins, casinos, colisée… Don Cornéo offrait de tout, et menait une vie hédoniste et débonnaire. On le savait homme à femmes, et c’était là son seul point faible.

Tifa-chan paniqua en le voyant. Tout le monde, ici, connaissait Don Cornéo, sa légende, sa réputation. Il était officiellement un simple prêteur sur gages, offrant de l’argent à quiconque en demandait. En revanche, quand on ne respectait pas le remboursement ou les engagements pris, on le regrettait chèrement ! Don Cornéo avait du sang sur les mains, mais il était toujours possible de susciter sa pitié. En criminel, il pouvait se montrer impitoyable. Il avait déjà incendié des bâtiments, battu des hommes en leur brisant les jambes, ou fait pire. Alors, la crainte de Tifa était tout à fait naturelle.

Don Cornéo se rapprocha d’elle, une haleine empoissée dans la bouche et un fort parfum s’échappant de son corps pour couvrir sa sueur abondante. Sa grosse bedaine remuait de droite à gauche, dans une chemise beaucoup trop moulante. On disait de Don Cornéo qu’il avait une mauvaise hygiène de vie. Il était responsable de l’implantation des fast food dans la ville, et adorait les hamburgers, la nourriture grasse, l’alcool. C’était un homme gras et sale, débonnaire, qui se savait puissant. Les politiciens le craignaient, et la ville lui mangeait dans la main. Certains policiers avaient vainement tenté de mettre fin à son empire, et avaient disparu dans les méandres souterrains de Wall Market. Pour autant, et paradoxalement, alors même qu’il restait sale, Don Cornéo tenait à ce que ses épouses aient une hygiène de vie irréprochable.

Il se rapprocha d’elle, et sourit alors.

« N’aie pas peur, Tifa-chan. Si je te voulais du mal, tu ne serais pas chez moi. Tu es mon invitée d’honneur, ma petite Princesse, et j’ai jeté mon dévolu sur toi. »

Il se rapprocha d’elle, et fléchit le genou devant elle. Petit et trapu, il lui fit un baisemains, et se releva ensuite, son gros ventre frottant sur la belle robe de Tifa.

« J’étais sûr que cette robe t’irait. J’ai le chic pour ça, tu sais ! J’aime les femmes comme toi ! Belles, fortes… Cette robe a été conçue rien que pour toi, c’est mon cadeau ! »

Don Cornéo se déplaça alors, et ouvrit un placard. Il récupéra une bouteille de cognac, et en remplit un verre, buvant quelques gorgées.

« Tu es une jeune fille très motivée, au comportement exemplaire, reprit-il alors. Mais tu sais comme moi que ton père est un mauvais gestionnaire. Il a racheté le bar que vous utilisez… Pour ça, il a eu besoin de moi, car les banques refusaient de lui prêter de l’argent. Mais pas moi ! Cependant, j’ai pris quelques garanties. Tu sais, les banques le font aussi. Quand elles acceptent un prêt, on signe une hypothèque avec… Et vous n’avez pas respecté vos dernières mensualités. Logiquement, je pourrais vous exclure, toi et ta mère, en toute légalité, vous foutre à la rue, et fermer votre bar. »

Il le dit calmement, en regardant les yeux de Tifa. Don Cornéo savait qu’elle le savait, car sa mère était dépassée, et elle avait dû jeter un œil sur les registres de comptabilité du bar. Il se rapprocha d’elle. Officiellement, Takeshi avait eu un prêt auprès d’une agence bancaire, mais cette banque était l’une des couvertures légales de Don Cornéo, qu’il utilisait à des fins de blanchiment d’argent. Ce qu’il avait prêté à Takeshi Hittori était de l’argent sale, venant de différents trafics illégaux.

Don Cornéo se rapprocha de Tifa, et caressa sa joue. Son pouce glissa sur ses lèvres.

« Je sais que tu es encore vierge, que Masori ne t’a pas encore défloré. Je suppose que tu t’es déjà demandée pourquoi… C’est moi qui le lui ai interdit. Je voulais te faire une proposition, Tifa-chan. Je souhaite que tu m’offres ta virginité, et que tu sois ma femme pendant un mois. Si tu acceptes cela, sachant que tu pourras continuer à aller en cours, mais que tu passeras toutes tes soirées et tes week-ends avec moi… J’annulerai toutes les dettes contractées par ton père. Votre bar ne sera plus endetté, et je m’engage également à envoyer des employés dans le bar pour compenser ton absence. »

Une proposition très osée… Mais Tifa avait-elle vraiment le choix ?

Re: Re: La chérie du Don [PV]

Posté : 05 nov. 2024 13:47
par Chloé Faure
En temps normal, un gros pervers de ce genre n'aurait pas fait long feu face à la jeune Tifa, qui avait été inscrite dès le début de son adolescence à des cours réguliers d'autodéfense, et elle allait même occasionellement s'entraîner à faire un peu de musculation. Belle comme elle était, sa mère avait mis un point d'honneur à ce que sa fille sache se défendre surtout dans une ville aussi grande et mal famée que Tokyo, et cela avait effectivement servi à Tifa à quelques reprises. Seulement, là, un coup de genoux dans les parties de Don Cornéo n'aurait pour ainsi dire rien arrangé, bien au contraire. L'homme la dégoûtait, et Tifa du d'ailleurs se faire violence pour ne pas trahir son dégoût lorsqu'il s'approcha d'elle et se mit à genoux pour un baisemain.

M-merci Don Cornéo mais je...je ne comprends toujours pas ce...ce que je fais ici...

Tifa espérait sincèrement que tou ça était une sorte de plaisanterie, ou quelque chose du genre, car elle n'avait aucune envie de finir au service de Don Cornéo. L'homme était obèse, gras, son haleine puait l'alcool, et le parfum dont il utilisait des quantités astronomiques sur lui ne rendait au final que plus détestable l'odeur qui se mélangeait à sa sueur. le problème, c'était qu'il était LE parrain mafieux de Tokyo, son influence et son argent se ressentaient quasiment partout dans la ville, et dans tous ses services, même la police qui se gardait bien de le coffrer malgré toutes ses activités illégales. Pour autant, l'homme était réputé pour ne pas être complètement un taré, car il ne faisait jamais rien sans de raisons valables, comme par exemple enlever une jeune femme en pleine université en ayant recours à des flics, pour la faire venir dans son propre bordel.
Mais hélas, Tifa eût rapidement la réponse aux questions qu'elle se posait intérieurement, et elle écarquilla les yeux de surprise lorsque Don Cornéo lui révéla que son père...lui avait emprunté de l'argent. Tifa était bien entendu au courant des difficultés financières que sa famille avait, le bar fonctionnait pourtant bien, mais les mensualités à payer étaient bien trop énormes. Tifa s'était d'ailleurs toujours demandée pourquoi son père n'avait tout simplement pas négocié un étalement plus long des remboursements auprès de la banque, mais c'était parce qu'il devait de l'argent à des mafieux...

*Papa...espèce d'imbécile...*

Subitement, hélas, la présence de Tifa ici faisait du coup bien plus de sens, de même que cette tenue qu'elle portait, et si elle en fut effectivement choquée, elle ne fut pas vraiment surprise par la demande de Don Cornéo qui vint juste ensuite. L'homme posa sa main sur une de ses joues, et la jeune femme sentit son pouce boudiné se poser sur ses délicates lèvres. Rougissant en apprenant que son petit ami, Masori, ne lui avait pas encore fait l'amour car Don Cornéo l'avait menacé, elle l'entendit faire sa proposition, et sentit comme un gigantesque poids lui tomber dessus. Si elle avait été seule dans l'équation, ou même si son père seul avait été concerné, Tifa aurait refusée net d'offrir sa virginité, et de coucher avec ce porc pendant un mois entier. Mais il y avait sa mère, qu'elle adorait, qui faisait tout son possible pour conjuger son rôle de mère et son travail, et Benshiro son petit frère. Elle doutait que vraiment Don Cornéo aille jusqu'à exécuter deux femmes et un enfant pour les dettes du mari et père, mais il pouvait tout à fait les rendre sans abri et sans ressources. A contrario, si elle acceptait cette..."offre", alors le Don s'engageait à annuler toutes les dettes du bar, et même à envoyer des gens pour assister sa mère tandis que Tifa ferait...la pute du Don, pour le dire franchement. l'idée la révulsait, d'offrir sa première fois à ce gros porc puant, mais elle était attachée à sa famille plus que tout...alors elle se pencha respectueusement en avant pour effectuer une courbette.

Je...je vous remercie pour cette offre généreuse Don Cornéo. J'ignorais que mon père était venu à vous pour son emprunt, et je vous remercie aussi de ne pas nous avoir expulsé. J'accepte votre offre Don Cornéo, même si vous devez vous en douter je...je n'ai pas les talents de vos autres hôtesses.

Voilà, elle scellait son sort pour le mois à venir. Tifa tâchait de mentalement rester forte en se disant qu'elle avait au moins un horizon de fin vers lequel se tourner, et qu'elle pourrait au moins assister à ses cours pour ne pas rester ici tout le temps...difficile toutefois, de se défaire de l'ombre du fait qu'elle allait perdre ce soir sa précieuse virginité avec cet..."homme". Elle mettait toutefois son dégoût de côté, là aussi, pour sa mère et pour son petit frère, car la seule alternative était une vie de misère alors...elle se sacrifiait pour le bien être de ses proches.

Re: Re: La chérie du Don [PV]

Posté : 05 nov. 2024 13:47
par Reine Alice Korvander
Sale, gras, pervers, Don Cornéo était un véritable mufle. Il n’avait rien d’un galant homme. Né laid, l’homme ne s’était pas arrangé avec l’âge. Il avait grandi dans les milieux souterrains de Tokyo, devenant initialement un informateur, puis, au fur et à mesure de commercer sur l’information, était devenu le Roi des bas-fonds. Il vit une lueur de répulsion dans les yeux de Tifa-chan, mais il savait qu’elle allait réfléchir. Cette fille était intelligente ! Don Cornéo avait même pu accéder à ses résultats scolaires. Elle était très talentueuse, douée dans tous les domaines. Masori avait toutes les raisons du monde de l’aimer. Autant dire qu’il avait été particulièrement déçu quand il avait appris que Tifa avait été marquée par Don Cornéo. Mais ainsi fonctionnait l’homme. Il sélectionnait ses concubines sur des critères très précis, optant pour des femmes à la fois belles et intelligentes. Les gourdasses ne faisaient l’objet que d’un one-shot avec lui, mais Tifa était très différente.

Elle accepta donc, tout en lui rappelant qu’elle était inexpérimentée. Don Cornéo sourit alors, un sourire de rapace. Sa main descendit un peu, caressant sa belle robe, l’ourlet de ses seins. Il pinça un téton à travers la robe, faisant couiner Tifa, et se rapprocha un peu.

« Hinhin, je m’en doute, ça, ma chérie… Mais, sportive comme tu es, tu dois être très endurante… Ceci étant dit, je te concède que tu es la première vierge que je choisis. Initialement, je voulais plutôt me taper ta mère. Les femmes mariées, j’adore ça ! J’adore les dévergonder et les rendre accrocs à ma queue. Tu crois que toutes mes concubines n’ont pas été comme toi ? À l’idée de coucher avec moi, j’ai toujours vu ce même regard de répulsion chez elles. Pourtant, je les ai toutes rendues accrocs ! » affirma-t-il fièrement.

Sans doute était-ce une marque de prétention, mais Tifa allait vite comprendre de quoi Don Cornéo était capable ! Il attrapa alors sa chaude et douce main, et sortit ensuite de la salle. Le duo rejoignit la grande pièce centrale, qu’ils voyaient depuis la mezzanine. Don Cornéo ne s’attarda pas longtemps, et rejoignit une double porte centrale qui leur permit de rejoindre un grand couloir. Ils rejoignirent ainsi les appartements de Cornéo. Tifa était toujours aussi nerveuse, ce qui était compréhensible.

Derrière le couloir, ils arrivèrent dans la chambre de Don Cornéo, qui comprenait un énorme lit. Il y avait également des barres de pool dance, le tout dans une ambiance assez tamisée. Don Cornéo avait un grand lit violet en soie, et referma la porte derrière eux. On pouvait sentir des odeurs d’encens et de parfum, afin de masquer la sueur et la transpiration du criminel. L’homme bedonnant se déplaça encore, et rejoignit le lit, où il s’assit sur le milieu de ce dernier.

« Tu vois ce pendentif autour de mon cou ? C’est un artefact magique… Ma vie a changé quand je l’ai récupéré. C’est un vieux mage qui me l’a donné, et qui fait de moi une vraie bête sexuelle. Voilà comment les choses vont se passer, Tifa-chan. Je vais te baiser pendant un bon mois. Chaque jour. Tout le temps. Je vais ravager ton corps, te baiser dans tous les sens, te défoncer la chatte, le cul, tant et si bien que tu auras du mal à marcher ou même à rester éveillée en cours. Et, ensuite, quand tout ça s’arrêtera, tu reviendras vers moi. »

Cette fois, son sourire se fit plus confiant, plus pervers. Il savait très bien ce qu’elle pensait en ce moment, qu’il était fou, qu’elle ne reviendrait jamais vers lui.

« Mais, ce soir, je vais être gentil avec toi. Tu ne le réalises pas encore, Tifa-chan, mais je t’offre l’opportunité de ta vie. Quand tu auras goûté à moi et que tu reviendras voir Masori-kun et sa petite queue rabougrie avec ses deux minuscules noix, tu dormiras sur place. Alors, grimpe sur moi, je veux te sentir contre moi. Susurre contre mon oreille, dis que tu as envie que Tonton Cornéo vienne te péter la rondelle ! »

Personne n’avait jamais dû lui parler si crûment de sa vie. Don Cornéo allait bouleverser ses habitudes, et s’en délectait d’avance !

Re: Re: La chérie du Don [PV]

Posté : 05 nov. 2024 13:48
par Chloé Faure
Hum !

Tifa se tendit sur place lorsque Don Cornéo descendit sa main jusqu'à l'un de ses seins, pour venir pincer l'un de ses tétons qui, naturellement, se durcit sous l'effet de ce toucher. Rien n'avait encore vraiment commencé que Tifa se haïssait déjà pour ce qu'elle allait devoir faire. Intérieurement, l'envie de juste s'enfuir lui parcouru l'esprit, tant l'idée de coucher avec ce porc la révulsait. Une idée qu'elle rejeta toutefois très rapidement, surtout lorsque le Don avoua qu'il avait initialement songé à faire subir ça à sa mère, avant de jeter finalement son dévolu sur elle. Si Tifa se sacrifiait de la sorte, elle éviterait alors aussi à sa mère de devoir faire ça, et cela l'acheva de se convaincre qu'elle devrait serrer les dents et endurer, pour le bien de tout ce qui restait de sa famille.

Impatient, le Don la prit alors par l'une de ses mains, et la tira à l'extérieur dans un couloir, pour qu'ils changent de pièce. Sans surprise, l'homme emmena Tifa dans ce qui était évidemment sa chambre à coucher, décorée de façon aussi kitch qu'il était habillé lui même, et une odeur d'encens et de parfum émanait de la pièce, c'en était presque étouffant, et c'était là que Tifa se rendait compte d'à quel point Cornéo devait avoir recours exclusivement à ce genre d'artifices pour tenter de masquer son odeur corporelle. Sauf que si Tifa devenait vraiment intime avec lui ce soir, alors il n'y aurait aucun artifice qui pourrait la protéger du fait que l'homme allait sentir mauvais. Assis alrs sur son lit, Don Cornéo lui parla de cet espèce de médaillon qu'il portait, mais aussi et surtout du fait qu'il allait la baiser chaque jour de ce mois qui allait s'écouler, et il allait même jusqu'à affirmer qu'au delà de ce mois, elle lui reviendrais.

Je...j'ai acceptée de vous servir pour un mois Don Cornéo, rien de moins, mais rien de plus...

Tout était clair dans l'esprit de Tifa, qui rappella au Don leur accord, car il lui semblait effectivement impossible que quiconque puisse vouloir volontairement revenir se faire troncher par un proc pareil, et la jeune femme était certaine qu'il bluffait, ou bien qu'il se trompait grandement sur ses propres capacités de "séduction". Elle tâchait toutefois de ne rien en dire, juste de bien préciser qu'après un mois, elle en aurait fini d'éponger les dettes que son père avait contracté auprès de lui...mais d'ici là, elle allait devoir faire de son mieux.
Tifa reçut son premier ordre juste après que le Don se soit moqué de la virilité de Masori, et lui ordonna de le rejoindre sur le lit. La jeune femme prit une grande inspiration, comme une dernière bouffée d'air qui ne serait pas envahie par l'haleine de saoulard de l'homme, ou par sa transpiration, puis s'exécuta. Tifa le rejoignit au centre du lit, et se mit à califourchon sur l'homme obèse, sentant la graisse de son gros ventre se frotter à son corps jeune et athlétique.

Tonton Cornéo je...j'ai très envie que vous me baisiez ce soir, et de me faire péter la rondelle par vous...

C'était...difficile. Tifa était une jeune femme bien éduquée qui n'avait guère pour habitude de sortir de telles insanités de sa belle bouche, ce qui se sentait dans le ton un peu hésitant de sa voix, qu'elle essaya de cacher au mieux. Il fallait dire aussi qu'aussi proche de l'homme, les effluves de son odeur corporelle lui remontaient directement aux narines, et le parfum qu'il mettait au final n'arrangeait rien, et empirait même la chose. Néanmoins, autre chose la fit momentanément hésiter, ce fut le moment où elle avait sentit l'érection de Don Cornéo contre sa culotte en dentelle noire, et que par ce biais elle...avait bien l'impression que le bougre était monté comme un taureau. Tifa avait espérée que Don Cornéo exagère largement quand à la taille de sa queue, comme pour se rassurer lui même mais...mais là, la jeune femme sentit même une pointe d'angoisse pointer à l'idée qu'il possède en réalité un membre qu'elle devinait...long et large. Mais dans tous les cas, Tifa s'était exécutée, et se trouvait tout contre lui assise à califourchon, soit dans une position qui lui donnait de nombreux accès à son corps de rêve.

Re: Re: La chérie du Don [PV]

Posté : 05 nov. 2024 13:48
par Reine Alice Korvander
Don Cornéo sourit malicieusement quand Tifa le rejoignit. Elle était si nerveuse, si paniquée… Elle ignorait encore tout ce qui allait lui arriver ! Car elle allait vite comprendre que Don Cornéo avait une libido aussi monstrueuse et grosse que son ventre épais. Tifa grimpa donc sur lui, s’asseyant à califourchon, son petit ventre plat et musclé heurtant la grosse bedaine ventripotente de Cornéo. Il sourit encore, et posa sa main sur les cheveux de Tifa. Celle-ci s’appuya sur ses larges épaules, croisant son regard. Elle était bien évidemment nerveuse, inquiète, consciente de sa situation, et bredouilla ce qu’il avait envie qu’elle dise. Cornéo gloussa alors, un rire gras, et son autre main gifla alors le cul de Tifa. Il pinça ensuite sa fesse, faisant couiner la jeune femme.

« Gnahaha ! Tifa-chan a un beau cul bien ferme ! »

Il sourit encore, sa verge continuant à gonfler, déformant son pantalon. Elle était sévèrement comprimée contre la boucle de sa ceinture, et il savait désormais que Tifa en avait pris conscience. Elle allait ainsi comprendre qu’il ne plaisantait pas quand il parlait de la taille de son paquet.

« Tifa-chan n’est pas habituée à parler crument… J’adore quand les jolies filles parlent crument, avec leur voix si douce, gnahaha ! J’attends de Tifa-chan qu’elle se montre très vulgaire quand Tonton Cornéo viendra la baiser ! »

Sa langue jaillit alors, et il lécha la joue de Tifa. Il partit du creux de son cou jusqu’à son oreille, léchant des mèches de cheveux au passage, laissant une belle salive sur le visage si pur de Tifa. Son nez se frotta ensuite sur elle, et il remua un peu, avant de la basculer sur le lit. Tifa se coucha sur le dos, et Cornéo se dressa ensuite devant elle, la surplombant de toute sa hauteur, de tout son poids. Sa main caressa la jambe de Tifa, remontant dessus pour filer sous sa robe, et il glissa contre la culotte, et commença à la caresser intimement.

Un sourire amusé éclaira ses lèvres lorsque son index heurta ses lèvres intimes, s’y enfonçant, quoique retenu par sa culotte. Tifa allait vite comprendre que, malgré son apparence, Don Cornéo était très doué dans ce domaine. Il connaissait à la perfection l’anatomie féminine.

« Tifa-chan est toute épilée, hihi ! Je pense que tu es moins innocente que tu le laisses paraître… Est-ce que tu lis des magazines cochons ? Des mangas érotiques ? On ne peut rien cacher à Tonton Cornéo, tu sais, ni lui mentir ! »

Après tout, comme on disait qu’il savait tout sur tout, Tifa pouvait volontiers croire qu’il connaissait également la réponse à cette question. Il continua donc à la caresser intimement, et se rapprocha d’elle, jusqu’à ce que son visage soit proche du sien. Son haleine forte vint titiller les narines de Tifa, et il releva son autre main, caressant les cheveux de Tifa, puis alla l’embrasser. Sa bouche se pressa à la sienne, et il força rapidement le passage avec sa langue, l’enfonçant en elle, tout en glissant désormais sa main sous sa culotte, et la masturba à nouveau, bien décidé à la faire mouiller joyeusement…

Re: Re: La chérie du Don [PV]

Posté : 05 nov. 2024 13:49
par Chloé Faure
Tifa couina légèrement lorsque le Don posa fermement sa main sur son cul, juste avant qu'il n'y aie mis une bonne claque audible comme pour le marquer de sa propriété. En temps normal, Tifa aurait gratifiée ce gros pervers d'un coup de poing dans le visage bien senti, qui lui aurait cassé le nez et sans doute une ou deux dents...mais elle n'en fit rien, et le laissa la toucher comme il le souhaitait. Don Cornéo possédait littéralement dans le creux de sa main le destin de la famille de la jeune femme, et si elle choisissait de se rebeller, elle, sa mère et son petit frère finiraient à la rue et sans aucune source de revenus. Don Cornéo le savait parfaitement, et pouvait donc en profiter pour faire des choses à Tifa que cette dernière n'aurait jamais acceptée dans d'autres circonstances, et c'est avec une boule au ventre qu'elle se demandait même jusqu'où l'homme irait...sachant que le "non" ne serait pas une option pour elle. La jeune femme rougit de honte quand il déclara qu'elle avait un cul bien ferme, et quand il déclara attendre d'elle qu'elle se montre vulgaire par après.

Je...je ferais de mon mieux, Don Cornéo...

Il était évident qu'il lui demanderait de s'insulter, ou de le complimenter quand à ses attributs masculins. L'idée la révulsait d'avance, au même titre que son physique ingrat et ses odeurs corporelles, mais encore une fois, la pauvre n'avait d'autre choix que de subir. Les conséquences qu'un simple "non" engendrerait pour sa famille et elle étaient tout simplement trop terribles en comparaison. Alors, elle subit, lorsqu'elle le sentit lui lécher le cou et remonter jusqu'à son oreille en laissant sur sa peau une longue trainée de salive, avant d'inverser les rôles, la retournant pour l'allonger sur le lit, et Don Cornéo se retrouvant au dessus d'elle. Puis, sans perdre de temps, l'homme posa une main sur l'intérieur de sa cuisse pour la remonter, jusqu'à aller la caresser au travers de sa culotte en dentelle noire. Tifa se crispa à ce contact, et dû se retenir de ne pas instinctivement serrer ses cuisses pour interdire l'accès à ses parties intimes, mais au contraire se forcer à même les écarter légèrement. Don Cornéo ne manqua pas de noter qu'elle était épilée là en dessous, allant sous-entendre qu'elle devait être plus cochonne qu'elle ne le laissait paraître, voire même qu'elle lisait en secret du porno.

Don Cornéo je...hmmmf...

Il ne lui laissa en réalité pas vraiment le temps de répondre qu'elle ne faisait rien de tout ça, car l'homme se pencha alors vers elle pour l'embrasser, cherchant  tout de suite à fourrer sans langue dans la bouche de la jeune femme. Là encore, Tifa du faire preuve de toute sa volonté pour se laisser faire, et alla même répondre au baiser de Don Cornéo en l'embrassant aussi, bien consciente que l'homme ne se contenterait sans doute pas qu'elle soit passive. Par ce biais, elle goutait à l'haleine emplie d'alcool de l'homme qui était tout sauf agréable, et elle sentit aussi sa main repartir à l'assaut de sa fente intime, mais cette fois en se glissant sous sa culotte...et c'est même avec effroi que la jeune femme commençait à doucement sentir son corps répondre à ces stimulations. Si intérieurement elle se sermonnait et était dégoûtée, il était hélas vrai que Don Cornéo malgré son apparence physique peu ragoûtante, semblait avoir une grande connaissance du corps des femmes. Il caressait l'entrejambe de Tifa avec un doigté qu'elle n'aurait pas cru possible de la part d'une grosse brute obèse comme lui, et il titillait son cliotris...juste comme il le fallait, sans l'écraser, en envoyant au passage de progressives ondes de stimulation dans le corps de Tifa.

*Non...non je...je ne peux pas ressentir du plaisir avec ce porc...*

Pourtant, Don Cornéo sentirait bel et bien, au bout d'un moment, la douce cyprine de Tifa commencer à recouvrir ses doigts.

Re: Re: La chérie du Don [PV]

Posté : 05 nov. 2024 13:49
par Reine Alice Korvander
C’était un mufle et une brute, mais il savait aussi comment faire avec les femmes. Don Cornéo ne voulait pas la traumatiser, mais faire d’elle sa pute personnelle. Oh oui, il allait l’éduquer, sa petite Tifa ! Il allait en prendre soigneusement soin, il allait l’éduquer avec amour, avec appétit, avec cette passion dévorante qui le caractérisait si bien. N’étant pas aveugle, il savait tout le dégoût qu’il lui inspirait, toute cette répulsion. Mais elle finirait par l’aimer. Elle n’avait pas le choix, de toute manière. Elle l’ignorait, mais elle lui appartenait, corps et âme. Cornéo frémit donc en la sentant mouiller, et ricana alors, contre elle. Sa main était dans sa culotte, et il jouait avec elle, la sentant gémir, rougir sur place. Cela fit glousser l’immonde porc.

« Tifa-chan mouille comme une petite cochonne ! »

Il la provoquait pour l’énerver, pour qu’elle perde son calme, qu’elle soit furieuse contre elle-même. Rien de ce que faisait Don Cornéo n’était innocent.

« Tu crois que ton petit-ami te toucherait aussi bien que moi, hum ? Tu n’as même pas encore vu mon bracquemart, et tu mouilles déjà… »

Don Cornéo retira alors ses doigts de la culotte de Tifa, et les remua entre eux. Ils étaient légèrement humides, et il les renifla alors.

« Oui, oui, ça, c’est de la mouille, ma Tifa-chan ! Gnyhaha ! »

Surexcité, Don Cornéo se pencha alors de nouveau vers elle, et coucha Tifa sur le lit. La jeune femme avait beau être une sportive musclée avec un corps athlétique, elle était bien moins lourde que Don Cornéo, qui dépassait largement la centaine de kilos. Il s’écrasa donc sur elle, véritable buffle assoiffé, sa chemise commençant à avoir ici et là des auréoles, signe de sa transpiration, de son excitation, palpable et intense.

Don Cornéo ôta alors la culotte de sa partenaire, tirant dessus sèchement. C’était une culotte banale, sans aucune affinité, qu’il jeta avec dédain au sol.

« Je me chargerai de t’habiller, Tifa-chan. Tonton Cornéo va prendre soin de toi ! Tu sais, si j’avais une fille, je voudrais qu’elle te ressemble. Forte, déterminée, belle, perverse… Bientôt, tu me considéreras comme ton père… Papa Cornéo, ça sonne bien ! »

Il gloussa encore, puis repartit alors à l’assaut. Don Cornéo embrassa Tifa énergiquement, sentant cette dernière remuer faiblement sous lui, puis libéra ses lèvres, et fila entre ses jambes. La courte robe bleue de Tifa ne protégeait plus grand-chose, et il la releva avec ses mains, approchant sa langue de son sexe.

« Tonton Cornéo va faire jouir sa Tifa-chan ♥ ! Et, pendant ce temps, Tonton Cornéo veut savoir pourquoi Tifa-chan s’est épilée ici… Est-ce qu’elle avait envie que son petit-ami la lèche ici, hihi ? »

Don Cornéo se pencha alors, et posa ses mains sur le bassin de Tifa, en appui, puis commença à la lécher avidement, sa belle langue baveuse filant entre ses cuisses. Il commença à la lécher intimement, faisant preuve de son expérience en la matière, car il chercha rapidement son clitoris, qu’il titilla avec sa langue, avant d’approcher ses doigts, pinçant le clitoris, déclenchant des jets de mouille très délicieux qu’il avalait avec appétit. Par ce biais, il confirmait aussi sa passion très nette pour la mouille, et poursuivit son office, bien décidé à lui faire goûter à son premier orgasme…