The Multiversity

La réalité était parfois tangible, friable. L’espace-temps pouvait parfois se frictionner, se déchirer, sous l’influence de puissances extérieures à la réalité. Entre les dimensions solides et tangibles, il y avait des dimensions instables, chaotiques, où aucune règle logique ne semblait s’appliquer. C’était comme si le monde quantique, incompatible avec la physique générale, s’étendait à l’échelle d’une dimension. On appelait sous bien des noms ces plans intermédiaires, qui étaient nécessaires pour voyager d’une dimension à l’autre, ou même d’un point d’un Univers à un autre. Comment rejoindre autrement des galaxies situées à des milliers d’années-lumière ? Puisqu’il était prouvé qu’on ne pouvait aller au-delà de la vitesse de la lumière, la vitesse supraluminique consistait à quitter provisoirement l’univers pour y retourner ensuite. C’était comme un saut quantique. Habituellement, le voyageur galactique qui empruntait ces dimensions ne les voyait jamais. Mais, parfois, des incidents pouvaient survenir, des déchirures pouvaient se former. Les trous noirs consistaient parfois l’une de ces déchirures, absorbant toute la matière pour la ressortir ailleurs. Généralement, on appelait ces dimensions instables « le Warp ». Et, parfois, le Warp avalait même des planètes.

Le Warp n’était pas une zone vide ou inhabitée. Des créatures dangereuses y vivaient, des Dieux Noirs et des êtres maléfiques, qui étaient liés aux dimensions plus stables. Les planètes qui s’y perdaient en finissaient corrompues, et, quand elles ressortaient du Warp, elles devenaient des vecteurs malfaisants, comme des bouées infernales. Les Dieux ne pouvaient laisser ces choses se faire, et c’est pour cette raison que la Déesse Aphrodite, du temps où elle s’appelait Ishtar, avait conçu son propre royaume au sein du Warp… On l’appelait « le royaume de Lust », une oasis au milieu d’une partie du Warp animée par la luxure, une zone qu’on appelait « Luss’tghaa ». Et, au-dessus du royaume de Lust, flottait désormais une planète.

Cette planète avait été absorbée par le Warp, et les forces de Lust s’efforçaient de la purifier, puis de la réhabiliter. Les énergies du Warp avaient déformé les forces de cette planète, les forêts étaient devenues hostiles, dangereuses, les animaux et les humains avaient muté en d’horribles créatures difformes, sauvages et voraces. Même l’eau était empoisonnée, toxique, polluée. Cette planète flottait dans le ciel au-dessus du royaume de Lust, maintenue en place par la magie divine de Lust, une magie qui, au sein du royaume, atteignait des sommets de puissance. D’énormes tours magiques projetaient ainsi sur la planète des rayons magiques rosâtres qui la retenaient, et Aphrodite supervisait la purification de cette planète.

C’est dans ce contexte qu’Aphrodite ordonna à l’une de ses Anges, Isidora, de lui ramener les Reines de la Cavalerie de Lust. Cette cavalerie était une sorte de brigade équine de luxure, qui avait son siège sur Volony, dans un grand ranch. Aphrodite avait déjà évoqué avec la Cavalerie cette planète, et le fait qu’elle aurait besoin d’elles pour repeupler cette planète. Le moment était venu. Isidora, qui était une Ange très obéissante, et assez soumise (ce qui la rapprochait beaucoup de Sya, qu’elle aimait beaucoup), accepta donc cette mission, et s’envola dans les airs, avant de générer un Portail qui l’amena tout droit à Volony.

*De mémoire, le ranch n’est pas très loin…*

Elle s’envola rapidement, filant vers le ranch de la Cavalerie, ne sachant pas sur qui elle allait tomber en premier…

La Cavalerie a toujours servi Lust, elles donneraient leur vie pour leur déesse. Depuis que la divinité était venue sur Volony pour trouver de nouveaux fidèle, les plus éminentes créatures de ce coin du monde et quelques-unes de leurs amies/fidèles avaient suivie cette femme. Simple hasard ou bien avait-elle vue un certain potentiel en elles Celestia et Luna, son épouse avaient de suite adhérer à sa demande avec une poignet d'autres juments/pégases/licornes. Les adultes furent de suite formées auprès d'elles, puis vint les plus jeunes, de façon éducative avant qu'elles ne grandissent un peu pour la partie pratique. Sya fut d'ailleurs souvent auprès des plus jeunes pour apprendre ses leçons. Depuis, elles étaient en quelque sorte sa garde rapprochées, non pas que Lust ait des ennemis, mais on ne sait jamais. Cette dernière avait une mission spéciale pour elles, mais avant de remplir cette mission, elles méritaient un peu de se ressourcer chez elles, sur leur monde. L'occasion de rameuter de nouveaux fidèles et pour les plus jeunes, de retrouver leur famille. Instaurant la doctrine de Lust, inutile de dire que ce peuple « aimait » beaucoup leurs proches. Mères et filles couchaient ensemble, de grandes orgies eurent lieu pour fêter les retrouvailles, bref, Lust fut honorée de mille et une façon ! Mais après le repos vient le travail !

Isidora avait rejoint le monde de Volony, arrivant non loin de leur territoire. Un monde très vert et luxuriant, beau et idéal pour le repos de prime abord, ce qui était vrai. Mais dans ce coin du monde, le repos rimait aussi avec le sexe. Approchant de ce qui était leur royaume, elle vit moult équidé de toutes sortes, mâle et femelles, se balader nu ou non, vivre leur vie banale même si dans certains coins de rue, ça baisait fortement aussi ! Quoi qu'il en soit, comme dans tout royaume, la maison des chefs était forcément le bâtiment le plus grand et elle ne s'y trompait pas. Personne ne cherchait à la stopper, au mieux, bien des regards intéressée se posaient sur elle. Dedans, une nouvelle orgie avait lieu, moult cris de plaisir se faisait entendre, les jeunes couchaient avec leurs mères, même si les mamans se partageaient les enfants dans cette situation, bref, tout était si beau. Celestia et Luna s'embrassaient au milieu d'elles, leur fille était perdue dans un des groupes de jument, le niveau de luxure était bien haut, comme souvent dans leur aile du palais, mais là, l'effet famille rendait cela plus grand ! Luna vit leur invitée arrivée et ralentissait le mouvement, montrant à son épouse Isidora qui approchait. Elle ne se retirait pas de la licorne blanche, mais cessait le mouvement, pour qu'une émissaire vienne ici, ça voulait dire une seule chose.

« Hmm, approche, mon ange... Han, est-ce urgent au point d'arrêter ou bien, hm, veux tu sucer ma grosse queue ? »

Changer de sexe était simple pour elles, mais Celestia aimait garder cet attribut en place le plus souvent. Jouir en même temps que Luna, balancer son foutre et risquer de se rouler dedans dans la prochaine manche, c'était si plaisant. Sa verge aussi longue que son bras remuait, l'approche de l'orgasme était là, mais tout dépendait du message de cette dernière ? Ses amies l'avaient aperçu et si son message n'était pas urgent ou qu'elle déclinaient l'offre, elle risquait bien de finir au milieu d'un gangbang.

Les Anges de Lust n’étaient pas les plus sages des Anges. Presque exclusivement de sexe féminin, elles étaient très perverses. On ne devenait pas Ange de Luxure sans l’être un peu ! Alors, forcément, il était tentant de se laisser aller. Faute de ranch, Isidora constata vite que la Cavalerie avait en réalité fondé un petit royaume ! Elle était impressionnée, voyant qu’il y avait toute une ville située au cœur de vastes provinces. Isidora constata que la Cavalerie avait bien progressé. Leur royaume se situait dans des régions assez sauvages de Volony, loin des grandes villes.  C’était un royaume de chevaux et d’équidés. Elle pouvait voir des hommes-chevaux qui se déplaçaient sur les plaines, chassant les animaux à l’aide de lassos. Isidora sentait surtout la présence de sa Déesse, et comprit rapidement que ce royaume, Equestria, était dédié à une seule divinité : Lust. Elle rejoignit donc la capitale de ce royaume, Canterlot, qui était comme un puits de luxure. Isidora pouvait voir, en utilisant ses sens magiques, que la ville abritait la cathédrale de Lust, et qu’elle canalisait toutes les énergies sortant des églises et des chapelles de Lust installées sur Equestria.

Ville féérique, Canterlot était installée à flanc de montagne, surplombant le vide. Depuis des bassins, une eau sacrée descendait pour nourrir Equestria. En survolant la ville, Isidora put voir que de multiples personnes batifolaient dans les bassins sacrés, leurs fluides intimes se mélangeant à cette eau divine.  L’Ange sourit doucement.

*Je comprends pourquoi Sya veut toujours venir ici…*

Battant des ailes, Isidora rejoignit un balcon. Elle sentait des émanations de luxure fortes qui en émanaient, et, quand elle s’aventura à travers la pièce, elle fit irruption dans une chambre où elle vit deux juments faire l’amour. Isidora les reconnut vite, et son doux visage s’illumina d’un sourire jovial : Princesse Luna et Princesse Celestia ! Luna pénétrait sa sœur, et, quand elle vit Isidora venir, lui fit signe d’approcher. Isidora obtempéra, rougissant doucement devant ce spectacle. Son entrejambes était également en train de luire, signe qu’elle était en train de mouiller.

« Bon-Bonjour, Maîtresse Luna… La Déesse Lust souhaite s’entretenir avec vous, mais… Je dois d’abord m’assurer que vous êtes en forme. »

Isidora se rapprocha encore, et s’agenouilla devant Luna. Comme Sya, Isidora faisait partie des Anges de Lust soumises.

« Comment Isidora peut-elle vous servir, Maîtresse Luna ? » demanda-t-elle, de sa douce voix innocente…

C'était une chose de venir en spectatrice voir les sœurs et reines de ce pays coucher ensemble, s'en était une autre de les rejoindre. Cela pouvait être un honneur qui pouvait vite devenir une punition si cette personne n'arrivait pas à tenir la cadence. La belle Isidora saurait tenir la distance en tant que fidèle de Lust, mais quand on n'était pas habituée, ça restait tout de même une sacrée charge a supporter. La belle avait un message, mais voulait avant tout s'assurer du bien-être du couple, ce qui en fit sourire une, glousser la seconde. Luna redressait bien Celestia, sa longue verge pointait presque sous le nez de l'ange qui ne pouvait louper un morceau aussi épais et long, turgescent avec une pointe de pré-sperme au bout. Leur petite séance était loin de se terminer, mais elles pouvaient bien y faire venir une troisième personne.

« Alors, empale-toi dessus... Fous-y ta petite chatte luisante dessus... Celestia aura de quoi jouer, ha, pendant que la prend. »
« Han~ Luna~ Tu penses à moi. »

Elle avait beau être sa femme et sa sœur, elle prenait soin d'elle, même si Celestia était à priori la plus puissante des Cavalière, dans le lit, c'était Luna qui portait la culotte. Redressant son épouse, elle laissait l'ange s'insérer dessus, ce n'était pas la première fois qu'une ange de Lust séjournait sur sa queue pendant un ébat, c'était quelque chose de supporter ça, pire, d'être prise en sandwich ! Mais après ça, on pouvait comprendre comment Sya, malgré son apparence, soit si endurante et que toute forme de luxure, aussi tortueuse soit-elle, semblait à peine essouffler ! Elle a grandi pendant sa formation au milieu de ses amies équines. Jument, pégase et licorne, elle a subi tant de plaisir avec son petit corps ! Sans compter Lust et ses plaisirs plus ou moins cachés, oh oui, Sya en connaissait des choses sur sa déesse, elle n'avait pas mérité de porter sa fille pour ses beaux yeux innocents, elle servait Lust aussi bien qu'elle la connaissait intimement. Une fois la belle ange sur sa verge, Celestia se penchait sur elle, embrassant l'émissaire de la luxure pendant que Luna reprenait le rodéo, remuant son épouse, qui agitait Isidora sur sa verge. Elle allait avoir un avant-goût du plaisir à côtoyer deux reines servant Lust... C'était une chose de jouer avec la Cavalerie, s'en était une autre de jouer avec les reines !

« Tiens la bien, chérie... Je veux pas qu'elle nous quitte, han, quand tu jouiras en elle ! »

Non pas que ce serait un geyser qui allait l'expulser de là, mais vue leur carrure, il y aura de quoi remplir facilement sa petite chatte. L'ange allait vite déborder, elles parlaient en connaissance de cause. Ses mains libérées, Celestia la maintenait par son petit cul, elle allait en profiter pour mieux la baiser jusqu'à la base avant de la remplir.

En soi, Isidora n’avait pas spécialement besoin de vérifier l’endurance des Cavalières. Ce n’était qu’un prétexte, mais qui irait s’en plaindre ? Isidora était, comme Sya, une magnifique Ange de Lust. Les Anges de Lust se classaient en deux catégories : les soumises, ou les dominatrices. Les soumises étaient souvent les plus perverses. Pour autant, Isidora n’avait pas encore eu droit à sa récompense ultime : pouvoir porter le bébé de sa Déesse. Si Sya avait pu le faire, Lust ne l’avait pas encore enfanté. Isidora savait que ce moment arriverait, mais, d’ici là, l’Ange se surpassait pour honorer dignement le culte de sa Déesse ! Là où Sya était à l’origine une Ange traumatisée, amnésique, Isidora, elle, avait accepté de servir le culte de Lust. Elle n’était encore qu’un Chérubin quand le Royaume des Cieux l’avait chargé e faire office d’intermédiaire entre les Anges et Lust. D’intermédiaire, elle avait rapidement été conquise par le charme de la Déesse. Elle avait accepté de la servir, et elle attendait désormais que le moment soit propice, que sa Déesse l’enfante.

Isidora frémit devant ce couple équin. Les Cavalières étaient réputées au sein du culte. Elles formaient une sorte de corps d’élite du culte, des femmes très endurantes, dominantes, qui, quand elles vous baisaient, vous envoyaient souvent dans le coma. Elles se félicitaient d’ailleurs d’assommer leurs partenaires, de les pousser jusqu’au moment où leur esprit se fracturait et qu’elles tombaient dans le coma entre leurs bras seyants. Isidora battait doucement des ailes, et, comme à chaque fois qu’elle était excitée, ses belles ailes blanches prenaient une teinte rosâtre, libérant des spores aphrodisiaques. Luna ne cessa pas de pénétrer sa sœur, mais elle se coucha sur le dos, aidant ainsi Celestia à se redresser. Empalée sur la solide verge de Luna, Celestia ordonna à Isidora de venir la rejoindre, et de s’empaler sur sa verge. Une union du lotus qui ne pouvait qu’emballer Isidora.

« Oh, Maîtresse, vous allez baiser la belle Isidora ? »

Perverse, l’Ange se concentra, et modifia son sexe. Elle reconstitua son hymen, puis s’envola pour rejoindre Celestia. Elle se positionna contre elle, et l’embrassa, tout en sentant l’énorme vit de Celestia glisser contre ses fesses. Sa queue monstrueuse pulsait chaudement contre elle, et elle sentait le corps de Celestia s’abaisser et se relever, sous l’effet de la verge tendue de Luna en elle. Isidora se pencha vers l’un des gros seins de Celestia,, et le suçota avec amour, mordillant le téton. Avec sa main libre, elle empoigna la hampe de chair de Celestia, et l’orienta vers sa petite chatte serrée. Elle commença alors à s’empaler, et ses joues s’empourprèrent.

« Nyaaaaa… Maî-Maîtresse Celestia a une si grosse queue… Il… Il faut qu’elle y aille doucement, avec la petite Isidora, haaaa… »

Isidora parlait de sa voix fluette, si innocente… Elle sentit les solides, fermes, mais non moins douces, mains de la Princesse Celestia sur ses fesses, maltraitant son cul, et Celestia commença à remuer des hanches. Isidora se mit à pousser de délicieux cris de douleur, ayant même des larmes. Ce n’était pas une douleur simulée, elle était réelle… Mais ô combien excitante ! Oh oui, comme elle aimait ça ! Encore, encore, voilà tout ce qu’elle souhaitait vraiment !

Depuis le temps qu'elles étaient au service de Lust, la Cavalerie en avait vécu des choses, surtout des orgasmes. Experte ou débutante, les femmes qui sont passées par chez elles garderont un sacré souvenir de ce moment, gravé à vie. Dire que Sya avait aussi vécu à leurs côtés pour s'améliorer, elle avait grandi avec les autres cavalières, leurs premières fois étaient aussi excitante qu'adorable. Les sœurs n'osaient pas les déranger quand elles les éspionnaient, leurs jeunes corps qui se découvraient, elles faisaient leur propre petite orgie en cachette, entre elles, mettant en pratique ce qu'elles apprenaient, s'essayant à bien des choses même si le plus souvent, c'était Sya et Fluttershy qui servaient de jouet pour les autres filles mais cela ne déplaisaient pas aux principaux concernée donc, inutile de trouver quelque chose à redire. Et aujourd'hui, Sya était une grande prêtresse et les autres filles étaient de solides soldates de Lust, que demander de plus ? Si Isidora avait une chose à leur dire, ce n'était pas urgent pour interrompre leur petit jeu, mais assez pour pouvoir prendre son pied avant.

La belle ange se montrait obéissante en venant près d'elles, approchant Celestia en se lovant contre son corps. Les corps des cavalières étaient toutes recouvertent d'une fine fourrune, les rendant très douce, un petit bonus pour celle qui venait se frotter à son corps en profitant de son sein, tandis que la longue queue de la reine n'attendait qu'une chose... Se cacher en elle ! Malgré la taille monstrueuse, leur magie opérait et ne leur fera aucun mal à leurs partenaires, elles le sentiront passer, oui, mais tout était là pour le plaisir, pas la torture. La belle avait fait le choix de redevenir vierge, un beau geste pour Celestia, mais qui ne changera rien à son destin. Elle va finir empalée. Soulevant ses petites fesses avec ses mains pendant que sa sœur ralentissait, et doucement, son poids venait faire le travail une fois son intimité posée sur son large gland. Doucement, mais sûrement, elle s’empalait dessus, tandis que Celestia, telle une maman, lui caressait les cheveux en cherchant à la rassurer, la voyant glisser jusqu'à la base de sa verge. Une telle chose en elle, le plaisir devait être grands, mais elle devait s'y habituer si elle espérait recommencer tôt ou tard. Ce peuple étant naturellement grand, elle était plutôt petite face à elles, pas autant que Sya cela dit, mais ça n'allait pas influencer sur la suite.

« Mmmmh, voilà... Maintenant, profite bien. »

La licorne au pelage blanc remuait autant sur la queue de sa sœur que pour Isidora, Luna venait un peu l'aider en remuant, chaque coup de rein venait faire remuer le cul de sa sœur qui gémissait tendrement. Livrer un message aux Cavalière n'était jamais de tout repos, sauf si par miracle, elle tomberait au moment où elles s'écroulent de sommeil mais là, c’était une chance sur combien ? Vu comment c'était parti, elles allaient faire la chaîne, Luna qui jouis dans sa grande sœur et Celestia qui remplis l'utérus déjà bien remplis de l'ange. Il faut pouvoir accueillir un tel membre après tout !

« Haaaan ! Oui, hurle ma petite... Libère-toi... pour mieux en profiter~ »

La première fois avec une Cavalière, c'était toujours un grand moment, mais Isidora ne couchait pas avec n'importe laquelle, elle couchait avec une reine.

La réputation des Cavalières de Lust n’était plus à faire. Leur ranch était très apprécié des adorateurs et cultistes de Lust, même si on en ressortait que très rarement en bon état. Même pour une Ange de Lust comme Isidora, c’était une épreuve ! Isidora frémit donc en voyant la puissante verge de la Reine, et grimpa sur elle. Elle posa ses douces petites mains sur les épaules larges et puissantes de Celestia, puis s’en approcha… Et finit par s’empaler dessus. Ayant choisi de redevenir vierge, ses parois intimes se dilataient très difficilement, ce qui fit qu’au début, elle serra les dents en suant, avant de sentir les mains de Celestia appuyer sur ses hanches.

« Kyyyaaahh… Maî-Maîtresse Celestia a une queue beaucoup trop grosse pour la pauvre petite Isidora… Haaaa… »

Tout comme Sya, qui aimait jouer la carte de la fausse prude juste pour le plaisir de se faire tringler et insulter plus sévèrement, Isidora aimait aussi jouer cette carte de l’Ange innocente. Il fallait croire que les Anges soumises de Lust aimaient bien ce rôle, qui leur permettaient de se faire joyeusement prendre. Elle sentit les muscles de Celestia se bander. La Reine finit par se redresser, attrapant le corps d’Isidora, et Luna vint dans le dos de Celestia. Elle s’enfonça dans le cul de sa femme, ce qui eut pour effet de crisper celle-ci. Celestia attrapa le corps d’Isidora, et commença donc à l’enfiler, s’enfonçant brutalement en elle. Et, quand sa verge perfora son hymen, Isidora se mit à gémir, rougissant furieusement. Quelques larmes coulèrent de ses yeux fermés, et ses ailes d’Ange se mirent à battre rapidement, libérant de la poussière spectrale rose.

Quand Celestia lui indiqua de hurler, Isidora gémit encore. Elle reposait contre les bras de la Cavalière, et posa ses mains sur ses épaules, puis les enroula autour de la nuque de Celestia, dont la verge continuait à s’enfoncer, déformant le ventre de l’Ange. Les Cavalières utilisaient instinctivement la magie rose pour fourrer leurs proies, donnant aux séances de sexe avec elle une ambiance démesurée et surréaliste.

« NYYYYYYUUU… Maî-Maîtresse Celestia me dé-Défonce la chatte, haaaannn… Maî-Maîtresse Celestia devrait avoir h-honte, kyyyyaaa… I-Isidora est une Ange de Lust, elle… Hnnnn… Elle va t-tout raconter à… À la Dé-Déesse, haaaaaa… !! »

Inutile de nier qu’elle prenait son pied, et qu’elle faisait tout pour que Celestia la baise et la punisse encore plus… Elle n’était pas une Ange de Lust pour rien après tout !

Les sœurs reines avaient chacune leur façon d'agir, Celestia était l'ainée et pourtant, la plus douce, mais la plus forte sur le plan magique. Elle avait le dernier mot et pourtant, elle se laissait dominer dans le lit par sa petite sœur qui était plus forte physiquement. Donc, quand Isidora venait s'empaler sur elle, même si elle l'empalait de force, elle n'était pas brusque, elle ne faisait cela que pour mieux la serrer contre son corps. Elle n'avait aucune raison de lui faire mal, elle aimait la douceur des prêtresses de Lust. Bien sûr, là-bas aussi, il y en avait de tout genre, mais elle aimait ce côté petite et douce de ses anges, ça les rendait plus adorables ! Elle la forçait peut-être à crier, mais ce n'était que pour mieux profiter de tout cela, de plus, ses paroles étaient nullement prise au sérieux. Certes, c'était assez agréable, surtout pour Luna, mais quiconque rejoint Lust... n'aurait pas ce genre de discours. Puis si le sexe était une chose plus qu'encourager dans ce culte, forcer une personne contre son gré reste un interdit ! Donc, ce genre de « jeu », c'était à faire avec des personnes sachant lire entre les lignes. Personne a leur connaissance à oser aller contre cette règle, mais pour sûr que Lust en personne devrait venir châtier celle qui contourne cette loi sacrée.

« Han, oui, raconte lui tout~ Dis-lui haa, comme tu as aimé ça ! »

Celestia restait douce, ses bras entourant le petit corps, sa peau nue frottait sur son doux pelage, le duo remuait grâce à Luna qui redoublait de force pour se faire sa femme, tout en secouant l'envoyée de Lust, ce petit rodéo devenait de plus en plus amusant ! Le couple aimait quand les filles – ou même juste une – venaient jouer les curieuses et leur lit accueillait ainsi plus de monde, que ce soit leur fille, Twillight ou d'autres, la Cavalerie aimait autant leur déesse que leurs reines. Un peu plus Lust quand même, mais c'était le cas pour tout le monde ici, la déesse restait plus haut, forcément. Secoué, remué de plaisir, Celestia venait jouir à l'unisson avec sa petite sœur, remplissant la petite ange qui voyait son petit ventre gonflé. C'est une chose de contenir magiquement leur membre équin en elle, s'en était une autre de contenir tout ce foutre naturellement. Il fallait au moins supporter cela, sinon, ce n'était pas drôle. Celestia savourait le savoir faire de son épouse, tout en passant la main sur la tête de la petite ange le temps que sa sœur se retire d'elle.

« Et si tu nous disais ce que tu es venue faire ici, ma jolie petite ange ? »

Toujours sur sa verge, elle la caressait tendrement, sans la presser, Celestia avait des airs de Maman, ce qui lui allait bien, en laissant l'ange reprendre ses esprits, si elle était venue ici avec un message de leur déesse, c'est que c'était important, sinon, elle aurait juste demandé à rejoindre leur petite sauterie.

Isidora était très endurante, comme on pouvait s’y attendre d’une digne Ange de Lust. Et, comme toute Ange de Lust, la perspective de se faire troncher par la Cavalerie ne pouvait que lui faire plaisir ! Du moins, pour les Anges du Cercle de la Soumission, comme elle ou Sya…  Sentir les deux puissantes Cavalières la ramoner ne pouvait que l’amener à jouer la carte de la fausse prude, à menacer de les dénoncer à la Déesse… Menace aussi vaine qu’absurde, et qui amusa tout juste les deux Cavalières. Celestia la comprimait contre ses puissants bras, et Isidora adorait ça. Elle aimait bien coucher avec des amants musclés, gros, ou à tout le moins plus massifs qu’elle. Elle aimait se sentir rabaissée, elle aimait sentir leur force tandis que la jeune Ange se faisait aplatir, qu’elle sentait l’air lui manquer, et qu’elle était étouffée sous un magnifique cocon de chaleur. Oh oui, comme c’était agréable ! Isidora se faisait prendre, remplir, elle sentait les deux Cavalières en elle, l’une devant, l’autre derrière. Délicieusement écrasée entre leurs corps aux formes très généreuses, Isidora vivait sa meilleure vie !

« Nyyyuuu… Haaaaa…. Haaaaaaaaaannnn… !! »

L’Ange poussait de longs soupirs entrecoupés de cris, et même de larmes, tant les sensations ressenties étaient fortes ! La douleur, bien sûr, mais aussi le plaisir, et ce à un niveau très élevé, extrêmement intense ! Oh, que c’était bon ! Isidora n’hésitait pas à embrasser Celestia goulûment, sa salive se mélangeant à la sienne, sa délicieuse salive sucrée et aphrodisiaque d’Ange de la Luxure ! En étant aux services de la Déesse, Isidora avait déjà fait l’amour un nombre incalculable de fois, et cela impliquait aussi bien des humains que des animaux ! Sa Maîtresse divine l’offrait même comme esclave à des succubes pour qu’Isidora les épuise. Son petit ventre fécond était aussi fertile que celui d’autres Anges comme Sya, alors Isidora comptait bien en profiter ! Oh, elle n’allait pas avoir un bébé… Du moins, pas encore. Mais elle aussi, elle comptait participer à la fécondation d’Equinoa. C’était un très grand moment en perspective !

Isidora en était tout excitée, et, sous l’imminence de l’orgasme, ses ailes blanches prenaient une teinte rose de plus en plus prononcée, chaque mouvement de ses ailes libérant de la poussière spectrale aphrodisiaque. Quelque chose d’assez irrésistible, qui imprégnait vos narines. Elle sentait les muscles des Cavalières se tendre, se crisper sous l’effet du désir, et elles se mirent finalement à jouir compulsivement et férocement en elle. Les yeux d’Isidora se révulsèrent dans ses orbites, et elle ouvrit la bouche dans un cri silencieux en jouissant à son tour… Puis en scandant le seul mot qu’elle pouvait scander à ce moment précis :

« Maî-MAÎTRESSES… !! »

La vague l’envahit ensuite, et Isidora jouit donc. Quand les Cavalières en eurent terminé, le ventre d’Isidora s’était joyeusement arrondi, et elle fut couchée sur le lit, sonnée. Elle reprenait lentement son souffle, le corps en sueur, et releva sa main pour caresser doucement le visage de Celestia.

« Haaaa… Je… Je suis venue vous apporter un message de la Déesse… »

Un message qui n’impliquait pas nécessairement de se faire baiser avec autant de force, mais autant joindre le plaisir à l’agréable ! Isidora déglutit lentement, ayant des mèches de cheveux collés sur son front. Sa lourde poitrine se soulevait et s’abaissait rapidement et profondément sous l’effet de sa respiration précipitée.

« La… La Déesse souhaite que la Cavalière la rejoigne. Equinoa est prête à recevoir la vie, et l’intégralité des effectifs de la Cavalerie va se rendre sur cette planète avec des femmes pour y fondre les premières générations de nouveaux habitants de ce qui, par la suite, deviendra une planète entièrement dédiée à la Déesse. »

Aussi bon soit le plaisir qu'elles prenaient avec cette ange, le principal restait d'obéir à Lust, leur mission sacrée ne tarderait pas à commencer. La déesse leur en avait parlées, mais elles ignoraient quand cela allait être mis en place. Maintenant, que la petite ange était venu à elles, c'est que cela concernait sûrement cette mission ? Même remplit de foutre, elle était prête à délivrer son message. Elle était plus résistante qu'elle en avait l'air, heureusement. Comme elles le pensait, il était temps de passer à l'action ! Après un regard échangé entre elles, Celestia se penchait sur elle pour la prendre entre ses bras, l'ange n'était pas aussi petite et fine que Sya, mais dans les bras de la reine, elle semblait à peine plus grande qu'une enfant. Il faut dire que leur carrure les rendait naturellement plus grandes et fortes qu'une humaine normalement constituée. Le doux regard de la reine était posé sur l'ange qu'elle gardait dans ses bras, comme une princesse. On sentait que des deux, c'était elle qui avait le côté maternel, c'est aussi elle qui avait porté leur fille, pas étonnant que Cadence lui ressemble autant, physiquement parlant.

« Allons voir notre déesse, le temps de convoquer la Cavalerie, on devrait pouvoir rapidement se mettre au travail. »

Fait d'un monde, celui de Lust... C'était incroyable comme projet ! Même si ici, la nudité était en rien un défaut, à la manière de Sya, d'un léger mouvement de la main, elles étaient de nouveau habillées, rien de bien fantastique ou incroyable, mais face à une telle mission, il fallait un minimum de sérieux. Leur toge blanche rappelait celle des Grecs, souvent représentée ainsi dans leur fresque, autant sur Celestia, ça faisait presque une seconde peau, sur Luna et sa peau sombre, ça ressortait beaucoup mieux. Le temps d'arrivée auprès de leur déesse, leurs « filles » étaient là, toute la cavalerie était là en même temps, dans la même pièce. Chose assez rare, surtout qu'il n'était pas question d'une orgie spéciale pour une fois. Mais face à leur mission, tout le monde était sérieux, ne voulant pas faire tache face à leur divinité.

Après avoir baisé la messagère avec force, les Cavalières étaient désormais prêtes à recevoir les instructions complètes de leur Déesse bien-aimée. Isidora battait faiblement des ailes, et se lova contre Celestia. C’était chaud, doux, et Isidora se mit à suçoter le téton de la Reine. Elle savait que Celestia était beaucoup plus « maman poule » que Luna. Cela ne voulait pas dire que Luna n’avait aucun instinct maternel, mais, des deux, Celestia était la plus encline à se montrer douce. Ce n’était donc pas une surprise si c’était elle qui avait porté leur Princesse. Isidora avait le corps bien rempli, la peau du ventre bien tendue, et l’estomac distendu par les quantités astronomiques de sperme qui avaient fusé en elle. Elle avait donné son message, et les Cavalières se déplacèrent donc. La Cavalerie disposait d’accès directs vers le royaume de Lust, situé à Lusst’ghaa. Qu’elles empruntèrent donc. LIsidora sde chargea de générer le Portail au bon endroit, et les deux femmes débarquèrent dans une grande pièce.

C’était un vaste hall, où les autres membres de la Cavalerie ne tardèrent pas à arriver. Le ventre d’Isidora avait repris sa taille normale tandis que les Reines s’habillaient sobrement, enfilant des toges. La grande salle était comble, et un brouhaha ambiant régnait. Isidora câlina une dernière fois Celestia, puis s’envola ensuite. D’autres Anges se trouvaient également là, flottant dans les airs, tandis qu’une mezzanine au fond de la pièce attendait que quelqu’un vienne. Les Portails finirent par se fermer, et le toit de la grande salle s’ouvrit alors en deux. Derrière, les Cavalières purent apercevoir le ciel perpétuellement rosâtre de Lusst’ghaa, sans cycle de jour et de nuit. Mais, surtout, elles ne tardèrent pas à voir une énorme planète qui flottait dans les airs. Une grande et massive planète tellurique qui semblait si proche qu’elle aurait pu s’écraser sur Lusst’ghaa à chaque seconde, et semblait retenu par une quelconque force divine. Elles voyaient cette planète comme depuis une station spatiale qui graviterait en orbite. Pourtant, si on s’éloignait de cette zone, la planète disparaîtrait, s’éloignant pour flotter dans les airs. D’énormes tours magiques diffusaient depuis le Royaume une énergie magique qui englobait la planète.

« Vous la voyez, mes chéries… C’est Equinoa, la planète sur laquelle vous allez fonder votre royaume. Car, après tout, que sont des Reines sans une couronne ? »

Aphrodite se trouvait sur le balcon. Il y avait du monde qui l’accompagnait. Isidora et Sya s’étaient toutes les deux posées sur la balustrade, pour recevoir les caresses de leur Déesse. Elle était aussi en compagnie de sa fille, Alice Korvander, qui portait une sensuelle robe chinoise moulante, ainsi que de Mélinda Warren. La main d’Aphrodite caressa brièvement leurs têtes. Magnifique et envoûtante, Aphrodite changeait régulièrement d’apparence, mais sans jamais oublier d’être belle.

« Cette planète a été soignée et purgée. Elle est désormais viable, et nous avons utilisé la magie temporelle pour accélérer le temps à l’intérieur. La flore s’y est développée, ainsi que la faune, et la magie est présente, sauvage et puissante. Avec l’aide de ma fille et de sa grande amie, nous avons réuni plus d’un millier de candidates. Vous allez devoir les féconder, et ainsi peupler cette planète. Cela vous semble-t-il réalisable, Mesdames ? »

Il ne fallait pas prendre Lust à la légère. Déesse de l'amour, du sexe, selon le nom qu'elle portait, on croyait que c'était juste une grande amoureuse et une grand perverse, mais elle restait une puissante déesse. De même que ses prêtresses, si les petites prêtresses qui commençaient leur formation étaient cantonnées au rôle de jouet de la luxure pour résumé grossièrement, il y avait sa force armée pour la protéger. Et cette force, c'était la Cavalerie. Elles étaient aussi belles que puissantes, tant au lit que dans un conflit. On ne dirait pas, et pourtant, que ce soit à main nue ou avec l'aide de la magie, cette petite bande n'était pas à sous-estimer. Recevoir donc une mission de la part de la déesse en personne, ça voulait dire combien cette mission était capitale et importante. Arrivant sur Lusst'ghaa, elles observaient cette planète qui n'y était pas, jadis, avant que Lust n'arrive, expliquant la situation en charmante compagnie. Isidora, Sya, Mélinda qu'elles avaient formée – et déformée dans leurs ébats – ainsi qu'une des filles de la déesse. Instinctivement, la troupe posait un genou à terre.

« Si vous nous donnez aucune limite de temps, nous honorerons notre rôle et cette planète sera votre, grande déesse Lust. »

Un milliers de candidates, que ce soit un chiffre rond ou approximatif, ce n'était pas important. Toutes ses femmes ne seront pas enceintes dès le premier soir, évidemment, mais Lust aura rapidement de bonnes nouvelles pour ce grand projet. Des femmes, des femmes et encore des femmes... Elles savaient ce que ça cachait, elles étaient le bras armé de Lust, elles étaient au courant des projets les plus secrets, nul doute que ce monde devait avoir un sort puissant ou une barrière, qui allait donner naissance qu'à des femmes et des futas. Un monde entièrement féminin, un monde où Sya pourrait se balader sans crainte, un monde qu'Uatis rêverait de visiter, ce serait un petit paradis pour bien des personnes. Nul doute que parmi ce millier de candidates, il y ait de toute sorte de races, car avec elles pour ensemencer le monde, il risquait d'y avoir une forte partie équidé. Non pas que ça dérange, mais il fallait continuer de garder une certaine mixité de races. Après tout, il ne sera pas interdit que les filles couchent entre elles en attendant, elles n'allaient pas faire une dizaine de queues pour attendre leur tour quand même.

« Je voudrais juste savoir, ô grande Lust, ce monde abrite déjà des édifices, même sommaire pour nous y reposer, ou Tout est à construire ? »

La magie permettait bien des choses, mais s'en était une de raccommoder une tenue déchirée, s'en était une autre de construire une maison ou un bâtiment. Après, si tout était à faire, il devait y avoir quelques filles dont ce savoir était en leur possession, il faudrait prendre soin d'elles si c’était le cas, et ne pas trop les secouer, il en va de leur futur monde à peupler. Même si vivre d'amour et d'eau fraîche, restait facilement envisageable puisqu'elles avaient grandi ainsi, dans la nature, certaines personnes comme Rarity ou Cadence tenaient à leur petit confort maintenant qu'elles y avaient pris goût. Après tout, c'est plus agréable de faire l'amour dans un grand lit que sur l'herbe ou à même la terre. Mis à part ce détail de confort et de vivre sur place, elles étaient prêtes à mener à bien leur noble mission.

Les Cavalières étaient naturellement enjouées à l’idée de concevoir Equinoa, une sorte de monde parfait dédié à Lust et à la luxure. C’était une vaste opération pour Lust, un projet ambitieux et complexe. La Déesse leur répondit rapidement en leur montrant une image.

« La planète dispose déjà d’un Palais, où vous pourrez vous installer. Mais il faudra effectivement fonder la première ville, puis les autres à venir. »

Elle leur montra le Canterlot Castle, un château installé au flanc d’une montagne, près d’un lac, et qui comprenait plusieurs ailes s’installant sur des plateformes aquatiques suspendues au-dessus d’une grande vallée entourée par les montagnes. C’était ici que la Déesse avait choisi l’implantation de la première ville d’Equinoa. Il allait falloir tout construire. Pour cela, Aphrodite avait aussi sollicité l’aide d’Alraunes, envisageant des villes qui s’étendraient progressivement. La perspective motivait en tout cas les deux Reines.

« Nous avons figé Equinoa dans une bulle temporelle. Le temps que vous passerez là-bas sera différent du temps qui s’écoule ailleurs. Donc, oui, vous aurez tout le temps. Ceci étant dit, je pense venir vous assister. »

Aphrodite descendit de son balcon, et rejoignit la Cavalerie. Ses femmes-juments se trouvaient là, nombreuses, puissantes, fortes et belles. Sa main caressa la verge de Celestia sous sa toge, et elle sentit avec joie cette verge se tendre.

« Les volontaires ont été choisies grâce à Mélinda et à Alice. Elles ont acheté plus d’un millier de femmes qui étaient des esclaves, et les ont affranchies avec la promesse d’une nouvelle vie à Equinoa. »

Elle sourit doucement, son autre main venant masturber la verge de la reine Luna.

« Je compte vous assister au début de votre entreprise, mes belles… Ce n’est pas tous les jours qu’on féconde une planète, il faut bien que je m’y intéresse, non ? Et puis, je suis sûre que vous saurez toutes nous contenter… »

La divine mission était là. Les Cavalières étaient le bras armé d'Aphrodite/Lust. Rare étaient les fous qui voulaient l'attaquer ou se moquait d'elle, mais le peu qui sont essayé ont fini détruite physiquement dans un premier temps, puis mentalement ensuite. Les quelques malheureux qui étaient punis ne peuvent plus ressentir que peur et crainte, privée d'un plaisir primaire qui est synonyme de souffrance à présent pour eux. Elle montrait des images de ce qui sera leur royaume, même si tout le reste était encore à faire, cela ne leur faisait pas peur. Le royaume n'allait pas se faire brique par brique, leur magie allait servir autrement que pour le sexe ou punir, ça les changeras un peu, même si certaines mettront la main à la pâte purement et simplement. La puissance de la déesse se montrait là, elle avait fait en sorte que le temps se déroule différemment sur ce monde, ce n'était pas à la portée de n'importe qui. La déesse venait en profiter pour titiller ses souveraines, leur sexe étant déjà bien grand au naturel, excitée, elles pouvaient effrayer les plus prudes. Elles étaient habillées de toges pour faire face à leur déesse, mais avec leur érection, leur toge n'était pas assez grande pour masquer cela et pourtant, au repos, on distinguait à peine leurs pieds.

« Huuum, ô Déesse, nous vous ferons honneur dans cette noble mission... »

Luna remarquait surtout la fin de sa phrase, « nous contenter » ? Si elle venait, évidemment que leur déesse ne cherchera pas forcément la nouveauté des esclaves, mais le plaisir donc, elle va s'amuser avec elles, mais à quel point ? Elle verra bien cela. Même si Aphrodite pouvait changer d'apparence, taille et forme, face à sa Cavalerie, elle n'était pas, au naturel, la plus impressionnante ici. Plus grandes, un peu plus massif, la Cavalerie pouvait impressionner, surtout si elles venaient pour vous, mais depuis le temps, la déesse était habituée à cela. Sans faire trois mètres de haute, elles frôlaient facilement les deux mètres chacune, à peu de choses près.

« Nous irons accomplir notre noble mission quand vous le désirez, Déesse Aphrodite. »
« Avant ça, j'aurais une question sur notre mission... Concernant le fait de peupler ce monde, en terme de gestation... comment ça va se passer ? »

Si la majorité des filles tombaient enceinte facilement, d'ici six mois pour elle, le projet allait beaucoup ralentir si la moitié des femmes devaient éviter les efforts physiques pour ne pas mettre en danger la vie du bébé. C'était une bonne question de Twillight néanmoins. Profitant qu'une de ses amies pose une question, Fluttershy en profitait aussi pour effacer une zone de floue. Gênée et timide, elle levait le doigt, attirant l'attention de sa déesse à elle avant d'ouvrir la bouche.

« Nous devons toutes ensemencer les femmes ou l'inverse est possible ? »

Du groupe, c'était la soumise par excellence. Elle avait déjà eu une verge, elle avait déjà pris la place de la dominatrice, mais ce n'était pas pour elle, elle était de celles qui se font grimper dessus à la moindre occasion.

Il fallait assurément être ambitieux pour vouloir peupler une planète entière ! Aphrodite avait soigneusement mis son plan à élaboration. Des femmes, il allait y en avoir beaucoup. Certaines venaient des propriétés des esclavagistes qui avaient juré de la servir, comme Mélinda Warren. D’autres venaient aussi de concours. Toutes ces femmes allaient constituer une nouvelle ville, et, à partir de là, s’étendre, en formant un peuple doté d’un sexe unique. C’était l’endroit rêvé pour Sya, un monde peuplé uniquement de femmes et de Futanaris. Tandis qu’Aphrodite leur expliquait les détails de son plan, elle leur montra des images à l’aide d’une orbe, montrant de grands gymnases remplis de femmes. Ils étaient à Uatis City. Aphrodite avait bénéficié de l’aide de Miranda Forge pour réunir toutes ces femmes et ces lieux. Certaines étaient vierges, d’autres avaient déjà des enfants, ou étaient en couple. Pour chacune, c’était un grand départ, et elles seraient affectées à différentes fonctionnalités. Gestion de la ville, agricultrices, chasseuses, gardiennes, exploratrices… Chaque femme avait droit à son propre dossier. Autant dire que c’était un plan de grande envergure.

Plusieurs Cavalières avaient des questions, et Aphrodite sourit. Ses mains caressèrent les joues de Twilight et de Fluttershy.

« Pour la gestation, c’est une grossesse classique. Sya est capable de concevoir des enfants très rapidement, mais elle est exceptionnelle, et le faire sur d’autres fœtus pourraient les fragiliser, ou épuiser les pondeuses. Nous comptons installer des cliniques. Chaque enfant ira avec sa famille respective, mais, comme vous l’aurez compris, l’idée de cette colonie est de favoriser le vivre-ensemble. »

On aurait pu parler d’une sorte d’utopie communiste sexuelle, car il allait falloir organiser le fonctionnement de cette société. Venant d’Aphrodite, le sexe aurait naturellement une place centrale. Elle embrassa Twilight, puis se retourna vers Fluttershy. Elle appartenait à une frange de Cavalières qui étaient plutôt soumises. Il en fallait aussi. Aphrodite lui sourit, et caressa avec son pouce les douces lèvres de la Cavalière rose, avant de lui répondre :

« Je prévois pour être honnête d’enfanter chaque membre de la Cavalerie, pour commencer le peuplement de ce monde. Je prévois aussi de porter les deux premiers enfants des Reines de la Cavalerie. »

Une idée assurément exquise… Quelle fidèle de Lust ne désirait pas porter son enfant ? Cela signifiait aussi qu’Aphrodite allait les accompagner sur ce nouveau monde.

« Le temps s’écoulant différemment sur Equinoa, je compte y rester une bonne année, le temps de lancer ce monde. Les Cavalières comme toi, Fluttershy, porteront des enfants tous les neuf mois. Tu n’as donc aucune obligation de faire ce que tu n’aimes pas. Equinoa doit être une paradis, mon utopie sexuelle. Tu assisteras donc les autres Cavalières, ma belle Fluttershy. »

Aphrodite l’embrassa alors, et déplaça sa main, la posant sur l’une de ses fesses, et caressa son corps, son autre main glissant sur ses cheveux.

« Je dois t’avouer que j’ai hâte que tu portes mon bébé, ma chérie… Pas toi ? »

Quelle noble mission que voilà, la Cavalerie était honoré d'une telle tâche. Quoi de mieux face aux autres divinités pour assouvir sa puissance ? Avoir son monde où l'on est la déesse suprême, pas celle d'un pays ou d'un peuple, non, un monde entier ! La Cavalerie y sera bien représentée aussi, mais elles ne cherchaient pas la gloire ou autre, juste à rendre hommage à leur déesse ! Mais avant de pouvoir y fouler le sol, il y avait bien sûr des questions. Celle de Twillight concernait la conception, en combien de temps, donc ? Cela restait classique en soi, pas de changement. Sya était une des rares à connaître une formule, une magie pour parceller ça, mais quand elle l'utilisait, l'épuisement durait quelques jours. Le repos obligatoire ou c'est à peine si elle mangeait. Les rares éveils étaient pour combler les besoins naturels, boire, uriner, retour au dodo. La licorne au pelage violet observait sa déesse, savourant ce doux contact sur sa joue. Fluttershy se demandait, elle, concernant leur rôle ? La pégase au pelage jaune était la soumise du groupe, elle ne s'en cachait pas. Elle a déjà tenté de dominer, mais ce n'était pas pour elle. Peut-être pourrait-elle arriver à concevoir un bébé en plantant elle-même la graine quand elle sera amoureuse, mais là, elle se voyait donner la vie, pas la distribué.

Lust était si douce avec elle, elle pourra toujours aider les autres au quotidien, mais la divinité ne cachait pas une autre envie, celle de féconder la Cavalerie. Il n'y avait que Luna et Celestia qui, elles, avaient la chance de pouvoir féconder leur déesse. Une licorne à moitié divin ? Enfin, deux ? Cela pourrait bien être les prochaines reines du royaume, même si pour le moment, Cadence était en liste pour ça, si bébé divin, il y avait... Oh, elle ne serait pas jalouse dans ce cas de figure, il était logique de laisser sa place à un enfant de la déesse. La pégase aux cheveux rose frissonnait en voyant Lust se rapprocher, la caressant. Son fin pelage jaune glissait sous les doigts de la déesse, l'idée de porter son bébé, le rêve de n'importe qui servant Lust.

« Oh, oui, ma Déesse... »

Sentir la divine vie de Lust en elle ? Elle prendra grand soin de ce bébé divin, se demandant comment elle sera – une fille, forcément, si la planète devait être aussi un paradis pour Sya – et quel sera le nom du bébé. Le simple fait de voir Lust si proche, la caressant, elle sentait l'excitation montrée, la cyprine coulait doucement entre ses cuisses, elle avait hâte. Chacune des Cavlières avait couché maintes fois avec leur déesse, difficile de dire qui y a eu droit le plus souvent parmi elles, sûrement les reines, mais personne n'a compté. Mais en arrivée, là, toutes les filles avaient un peu hâte à vrai dire. Ce fut Celestia qui arriva près d'elles, posant sa main sur celle de Lust en parlant doucement.

« Ma déesse, si nous partons maintenant ? Comme ça, nous pourrons toutes commencer à nous mettre au travail, non ? »

La Cavalerie avec l'armée de femmes et Lust avec Fluttershy si elle était son premier choix. Point de jalousie entre elles, Lust prônait le vivre-ensemble, il n'y aura pas de jalousie. De l'impatience, peut-être, mais il y aura quand même de quoi s'occuper en attendant leur tour.