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Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 21 oct. 2024 02:01
par Azelia
Il y a quelques mois, Sire Archibald Lanturien était mort à Atarashï Yoake. Une crise cardiaque. Si certains soupçonnaient un empoisonnement, la mort de cet homme très riche avait déclenché une guerre de succession entre les héritiers de Lanturien. La famille Lanturien disposait en effet d’une confortable fortune, acquise par Sire Archibald Lanturien grâce à ses propriétés foncières et à ses fructueux investissements boursiers. Dans le cadre des opérations de succession, l’un des héritiers, Asuka Lanturien, représentante de la « branche japonaise », affirmait qu’elle bénéficiait d’un testament olographe par laquelle Sire Archibald Lanturien avait transmis à la jeune femme l’universalité de son patrimoine. Face à elle, il y avait la branche occidentale, issue du mariage de Sire Lanturien, représentée par Henry Lanturien, le fils aîné de la fratrie Lanturien. Les Lanturien descendaient de l’aristocratie anglaise, d’où l’usage d’un titre seigneurial. Asuka, elle, était le fruit d’une relation adultérine lorsque Archibald Lanturien, qui disposait d’une propriété secondaire à Atarashï Yoake où il s’y rendait fréquemment, l’avait conçu avec sa secrétaire. Asuka avait donc toujours été éloignée de la puissante fortune des Lanturien, et avait comme avocate Aiko Iwase. Sire Lanturien étant décédé à Atarashï Yoake, le procès avait été ouvert ici. Henry Lanturien était venu exprès à Yoake pour gérer ce litige, et avait pris le prestigieux cabinet Dowell.

Asuka devait absolument récupérer le testament olographe. Pour cela, Iwase-san avait sollicité l’aide d’une détective privée, Tsukiko Seishi, afin de récupérer le testament. Il se trouvait dans un coffre-fort d’une banque. Asuka avait le numéro de compte et la procuration permettant d’obtenir le testament. Tsukiko avait réussi à récupérer le testament, mais, plus tard, un van s’était arrêté devant son domicile, et des individus musclés et cagoulés avaient enlevé la jeune femme, avant de partir à toute allure. Ils étaient des Yakuzas, recrutés par Henry, pour récupérer la détective. Henry avait en effet mené son enquête de son côté. Son plan était simple : détruire le testament, mais il devait s’assurer que la jeune femme n’avait conservé aucune copie de ce maudit document.

La jeune femme se réveilla dans la cave de la villa des Lanturien. Quand elle émergea, ce fut pour voir plusieurs hommes devant elle, debout. Henry était le seul à être assis, et fumait nerveusement.

« Tu es réveillée, salope ? Tu as bien dormi, j’espère ? Elle m’entend, là, hein, on est d’accord ?
- Elle vous entend, patron.
- Bien, bien… On va essayer de faire simple, et court. »

Henry se redressa.

« Je sais qui tu es, ma chérie… Je sais que cette autre pute de bâtarde t’a engagé pour retrouver le testament. Mes hommes ont fouillé ton trou, mais ils n’ont rien trouvé. Je veux retrouver ce putain de testament ! Ensuite, on te laissera tranquille. Donc, contentons-nous d’agir comme des gens civilisés. Dis-moi où tu l’as planqué, et on en restera là. »

Au-dessus de la cave, la petite-amie de Henry, Rebecca DeLean, attendait que ce dernier revienne. Rebecca sentait néanmoins la nature particulière de la prisonnière de Henry, ce qui allait la forcer à revoir ses plans. Car Rebecca n’était pas une simple humaine, elle était une démone, Azelia, et sa présence ici était directement liée au litige successoral entre les Lanturien.

*Je vais devoir sauver cette femme… J’ai senti sa nature démoniaque… C’est une hybride.*

Pour l’heure, elle allait devoir réfléchir. Henry n’aimait pas la violence, il allait sûrement laisser ses gorilles la molester, Azelia pourrait alors intervenir plus facilement à ce moment…

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 22 oct. 2024 00:46
par Tsukiko Seishi
Les héritages... Cette douce connerie capable de déchirer une famille à cause de la cupidité de certains cons... C'est quelque chose à laquelle, par chance, je n'ai pas souvent été confrontée. Quoique ma situation de vie actuelle est plus ou moins le fruit de l'héritage de notre père. Mais dans notre cas, ça nous a rapproché plus que séparé avec mes sœurs. On ne peut pas en dire autant de ce Lanturien qui a démarré une véritable guerre familiale en quittant ce monde. On pourrait se demander pourquoi ce sujet m'intéresse et en quoi ça me concerne. Eh bien, la réponse est plutôt simple en réalité puisque j'ai été commandité par une certaine Asuka Lanturien pour récupérer le possible testament qui devrait donner une progression à cette histoire. Apparemment, Asuka doit hériter de l'intégralité de la fortune de ce bon vieil Archibald. Forcément, ce n'est pas le genre de nouvelle qui devrait faire plaisir à ses opposants. Est-ce que tout cela est vrai ? Quel parti est le plus méritant dans cette histoire ? Qui dit vrai, qui ment ?

Tout ça, je n’en ai franchement rien à faire. Je fais mon taf et ciao. Du moins, c'est ce qui était prévu à la base, d'autant plus que récupérer ce fameux testament me fut d'une facilité déconcertante. Et c'est justement ce qui m'intrigue. Comment quelque chose d'aussi important et précieux pouvait-il être aussi simple d'accès ? Il allait me falloir quelques réponses et, pour cela, je devais m'assurer d'être retrouvée par mes nouveaux ennemis. J'avais deux objectifs. Trouver des réponses et, si au passage, je pouvais m'assurer de mettre fin à ces conneries en révélant des trucs compromettants, c'était bénéf. Disons que j'aime le travail bien fait et il m'arrive parfois de faire du zèle.

Alors, tout se passe comme prévu. J'ai fait en sorte d'être trouvable et on m'a trouvé. J'ai bien entendu pris le soin de m'assurer que le testament, contrairement à moi, soit introuvable. Le seul truc que je n’avais pas tant prévu, c'est que mes opposants étaient plus vénères que prévus et n'ont pas hésité à me mettre KO et me kidnapper alors que je les aurais suivis docilement. Et c'est ainsi que je me suis retrouvée enfermée dans une cave, en petite tenue en plus car on m'a kidnappé en plein sommeil, dans un décor ultra cliché des films.

J'ouvre les yeux et, face à moi, se tiennent sûrement ceux qui m'ont enlevé et leur patron. J'émerge et je remarque que je suis attachée à une chaise. Je tire un peu mais forcément, c'est bien serré et je ne risque pas de m'échapper aussi facilement. Habituellement, je n’ai rien contre d'être attachée, je trouve ça même plutôt amusant et excitant mais, étrangement, cette fois, c'est moins mon kink. J’ai tout de suite droit à quelques salutations et compliments qui laissent clairement entendre que je suis des plus bienvenues ici. J’écoute le patron parler et franchement, il se la joue passif agressif avec un ton qui le rend à peine agréable. Je soupire, agacée, et le son de ma voix se fait finalement entendre.

- Quand on est aussi civilisé que vous le prétendait, on ne kidnappe pas une femme en la laissant si peu vêtue… On ne vous apprend plus les bonnes manières chez les aristocrates anglais ?

Mon regard soutient celui de l’homme qui me fait face. Je remarque alors la nervosité de celui qui me parle et j’y trouve là un angle d’attaque, reprenant :

- Habituellement, c’est un autre trou qu’on fouille chez moi mais il semblerait que je sois forcée de vous laisser fouiller un autre. De toute évidence, vous êtes un échec en matière de bienséance. Je suis soudainement moins surprise qu’Archibald ait décidé d’évincer un tel boulet de son héritage. J’aurais sûrement fait la même à sa place.

Un sourire amusé et mesquin se dessine sur mon visage. Je fais peut-être un peu trop la maline pour quelqu’un qui se trouve dans une situation aussi désagréable et potentiellement dangereuse que la mienne. Mais que voulez-vous ? On ne se refait pas. Je vais sûrement payer cher cette petite humiliation mais il a clairement besoin de moi vivante puisque seule moi sait où se trouve le testament, alors je ne risque pas non plus trop cher.

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 23 oct. 2024 01:37
par Azelia
Pour Azelia, prendre une forme humaine n’avait rien de difficile. Elle était ici dans le cadre d’une mission d’infiltration sollicitée par Lianor. Archibald Lanturien aimait bien Atarashï Yoake, car c’était ici qu’il avait découvert les Portails vers Terra. Archibald avait été un partenaire d’affaires de Lianor, et Asuka était sa fille. Récupérer l’héritage des Lanturien permettrait à la Duchesse d’avoir une emprise sur Terre. Elle avait donc envoyé sa fidèle Azelia mener à bien cette mission. Plutôt que de se rapprocher d’Asuka, Azelia avait choisi de séduire ce benêt de Henry. Il était aussi arrogant qu’idiot, un homme né avec une cuillère en argent dans la bouche, du style à croire que tout lui était dû, sans jamais se remettre en question. Elle n’avait eu aucun mal à le séduire. C’était elle qui avait retrouvé les coordonnées du compte et du coffre-fort en banque abritant le testament, et encore elle qui avait donné les informations à l’avocate d’Asuka. Elle ne s’était pas attendue à ce que Henry surveille la banque… Sans doute avait-il un complice au sein de la banque.

Elle se tenait dans le salon, au rez-de-chaussée, près de la porte menant à la cave. Azelia hésitait désormais à griller sa couverture. Le testament était la pièce qu’il fallait pour qu’Asuka récupère légalement la succession d’Archibald. Avec cette succession, il y avait aussi le Portail qui permettait de rejoindre le château de Lianor. Azelia avait donc tout intérêt à réaqgir. Fort heureusement, Henry était aussi lâche.

Face à la résistance de la femme, il grogna sur place, et la gifla sèchement.

« Tu veux la jouer comme ça, hein ? Très bien ! Je ne m’abaisserai pas à ça, mais eux, ils vont tous te baiser, les uns après les autres ! Et crois-moi, ce ne sont pas des tendres ! »

Henry se retourna, et fit signe aux Yakuzas d’agir. Ceux-ci esquissèrent des sourires cruels, pervers. Quand Henry partit, ils se rapprochèrent de Tsukiko. La pièce comprenait des sangles suspendues au plafond et au sol, avec des cordes solides.

« On va bien te câliner, salope…
- Sache qu’on est payés pour ça, mais que ça ne m’empêchera pas de prendre mon pied. T’es sacrément gaulée ! »

Les Guramu n’étaient pas un clan très fidèle à la réputation ou à l’honneur des Yakuzas. C’était des brutes avinées. Tandis qu’ils détachaient Tsukiko et la mettaient en position, Henry remonta. Azelia lui avait préparé un verre, en y répandant un somnifère. Quand il monta, elle le salua. Il l’embrassa.

« Il y a un souci, mon amour ?
- Oh, euh… Une fuite d’eau, j’ai dû aller voir. Du coup, on va fermer l’accès à la cave. Ces tuyaux pourris ont fini par se rompre, mes employés sont dessus. »

Un mensonge peu crédible, mais Azelia s’en moquait. Il avala son verre, et, au bout de quelques instants, sentit ses yeux s’alourdir. Henry s’excusa, et Azelia le laissa partir. Dès qu’il s’esquiva, elle descendit l’escalier, et rejoignit la cave. Fort heureusement, il avait peu d’hommes de main. Les Guramu coûtaient cher, mais Henry était aussi paranoïaque, convaincu que ses agents pourraient le trahir… Et, après tout, il savait qu’il y avait une taupe, puisqu’il avait sciemment dissimulé les informations relatives à ce coffre. Azelia se déplaça, et reprit sa forme démoniaque, délaissant sa robe satinée au passage, inadaptée à sa corpulence. Elle put ainsi mieux sentir la nature de cette femme.

*Iwase m’a dit qu’elle avait embauché une détective privée… Mais elle devait ignorer que cette fille avait des gènes démoniaques…*

Raison de plus de l’aider ! Quand Azelia rejoignit la pièce où ils se trouvaient, elle vit que la jeune femme était attachée debout, retenue par les poignets et les chevilles. Devant elle, un Yakuza rigolait, nu, et, derrière, un autre s’apprêtait à la sodomiser à sec, lui aussi nu. Azelia se rapprocha, et le Yakuza près de la porte, surpris, se retourna en sentant une présence…

« Que… ? »

Il avait une cigarette à la bouche, son autre main se masturbant. Il croisa le regard d’Azelia, qui usa alors de sa magie. Une onde jaillit de sa main, et projeta le Yakuza contre le mur en face. Son comparse, surpris, se redressa, et récupéra une matraque.

« Putain ! Mais t’es qui, toi ?!
- La protectrice de cette jeune femme. Azelia. »

Dans sa tenue classique, Azelia était surréaliste. Le Yakuza s’élança vers elle en hurlant. Azelia envoya une autre onde psionique, qui souleva l’homme. Son corps rebondit contre le plafond, et il s’écroula à son tour sur le sol. Azelia fit ensuite claquer ses talons, puis marcha sensuellement vers la femme. Ils l’avaient déshabillé, et elle était nue, ses vêtements déchirés sur le sol. Azelia caressa son visage, faisant preuve de douceur.

« Comment tu vas, ma jolie ? N’aie pas peur, je suis une démone, mais je ne te veux pas de mal. C’est moi qui ai aidé Iwase-san à retrouver le testament. Enfin, tu dois savoir ça, non ? Tu es quoi ? Je sens ta nature démoniaque… »

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 06 nov. 2024 11:58
par Tsukiko Seishi
Dans la vie, il y a des moments où un adage se met en place sous la forme d’une phrase stupide. Qui fait le malin, tombe dans le ravin. Et pourtant, cette phrase a beau être très débile, elle décrit un peu trop bien ma situation. Certes, je me suis volontairement foutue dans la merde mais là, je réfléchis encore à comment me sortir de ce merdier.

L’héritier évincé a, forcément, pas trop aimé mon humiliation mais comme je pouvais m’y attendre, c’est juste un lâche. Une gifle plus tard, il se casse en me laissant avec les abrutis qu’il paie pour faire le sale travail. Si l’idée de me faire baiser n’est clairement pas quelque chose qui me déplaît en général. Là, j’avoue que ça m’emmerde. Déjà car j’aime choisir mes partenaires et il y a un type dans le groupe qui a la gueule de Gollum, ça donne clairement pas envie, à moins qu’il soit bien fourni, mais aussi car j’y gagne rien du tout à me faire sauter dans la situation actuelle. En gros, va falloir que je trouve un moyen de me sortir d’ici. Je vais jouer la fille docile et attendre que ces types baissent leur garde en se croyant en position de force pour la jouer fine et tirer mon épingle du jeu.

J’ai le droit à quelques mots aussi mignons qu’eux et autres compliments. Franchement, je pourrais leur répondre mais là, j’ai bien la flemme et puis, être silencieuse, c’est parfait pour jouer la jouvencelle sans défense. Tout se passe comme prévu si on retire le fait que je ne vois pas encore comment me sortir de là. Mais ça, c’était sans compter sur ce concept qu’est la chance.

J’étais à deux doigts de me faire péter le cul, ouais, pas très subtil mais je ne vais pas tourner autour du pot en fait, totalement attachée et sans possibilité de réagir, qu’une meuf – plutôt canon au passage – dégomme l’un des types en un coup, ce dernier volant carrément contre le mur. Et là se passe une scène qu’on croirait voir que dans les films. Le preux chevalier ayant été remplacé par une chevalière à moitié nue qui vient sauver la demoiselle en détresse que je suis. Il lui aura pas fallu longtemps pour tous les mettre KO et s’approcher de moi. Je sais pas qui est cette femme mais je lui en dois une, clairement.

Elle approche, sa démarche étant clairement pas anodine, et me fait face pour caresser mon visage avec une douceur aux antipodes de ce que je viens de subir. Je la regarde, l’incompréhension se lisant sûrement dans mon regard, tant sur ce que j’apprends d’elle que sur ce qu’elle me demande.

- En gros, on est dans la même équipe. Je suis bien contente de pas t’avoir comme ennemi vu comment t’as dégommé ces types.

Cela dit, je reste quand même dans un petit flou. J’ai bien des questions du genre de lui demander d’où elle sort et comment on va pouvoir sortir de ce trou à rats mais, dans l’immédiat, il y a surtout un truc qui attise ma curiosité dans ce qu’elle a dit.

- Je sais pas trop ce que tu veux dire par nature démoniaque mais j’aurais tendance à dire que je suis moi, c’est déjà pas mal. Je lui souris, un peu amusée par l’aspect ridicule de ma réflexion, avant de reprendre. Sinon, pour te répondre, habituellement, je fais au moins les présentations avant de finir nue devant quelqu’un mais on va dire que je fais exception pour cette fois. Tsukiko, pour te servir, et j’irais bien mieux quand je serais plus libre de mes mouvements.

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 08 nov. 2024 22:42
par Azelia
Azelia sourit doucement quand Tsukiko demanda à récupérer ses mouvements.

« Oui, bien sûr… »

Azelia se concentra, et usa de sa magie psychique. Les liens retenant Tsukiko se défirent alors d’eux-mêmes, et elle retrouva rapidement sa liberté.

« Je suis en lien avec Iwase, l’avocate qui t’a donné ce contrat. Elle ne pensait pas que Henry Lanturien t’attraperait si rapidement. Je t’expliquerai tout plus tard, ma jolie, suis-moi. »

Elle aurait pu reprendre sa forme de Rebecca, mais cela la restreignait dans ses pouvoirs. Elle fit donc signe à la belle Tsukiko de la suivre. Le duo rejoignit ainsi l’escalier menant au rez-de-chaussée. Henry Lanturien était toujours là, occupé à dormir, mais d’autres agents s’étaient rapprochés. Surpris, ils virent la démone, puis Tsukiko, et saisirent leurs armes à feu. Les armes à feu étaient rares au Japon, ce qui confirmait la fortune de Henry Lanturien. Azelia invita Tsukiko à rester derrière elle, et projeta des arcs électriques sur les hommes. Pas de quoi les tuer, Azelia n’avait pas envie d’attirer sur elle la colère des Anges, mais elle en cloua deux au sol.

Deux autres gardes du corps pointèrent leurs armes. Azelia enroula sa queue caudale autour de Tsukiko, et bondit sur le côté. Les balles la loupèrent donc, et, le temps pour les agents de pointer leurs armes, Azelia relâcha le svelte corps de Tsukiko, et bondit en avant, déployant ses ailes. Elle frappa le torse de l’un des hommes, et sa queue caudale fusa sur le pistolet de l’autre, frappant sa main, l’écorchant, mais déplaçant surtout le canon de son pistolet. Les balles allèrent donc se loger dans le mur, ; et Azelia repoussa ensuite le dernier agent avec sa main, envoyant une onde d’Air qui le projeta contre un mur.

« Viens, ma chérie, ne traînons pas ici ! »

Azelia se retourna vers Tsukiko, et attrapa sa main. Les deux femmes rejoignirent le jardin intérieur, avec le ciel en hauteur. Azelia se retourna alors vers Tsukiko.

« Agrippe-toi à moi. »

La démone déploya ensuite ses ailes, et s’envola dans les airs. Elle maintint la jeune femme contre elle, et se déplaça ensuite, s’éloignant du manoir. La démone vola vers le centre-ville, et se posa sur une terrasse située au sommet de l’un des gratte-ciel du centre-ville. Une grande terrasse avec une piscine. Elle reposa alors Tsukiko, puis lui sourit, tout en caressant sensuellement sa joue.

« C’est bon, nous sommes en sécurité, ma belle. Désolée de t’avoir un peu secoué, mais il fallait quitter rapidement ce sinistre manoir avant que les choses ne se compliquent. »

Azelia se dirigea ensuite vers l’appartement, qui était en réalité un penthouse luxueux. Les lumières s’allumèrent quand elle ouvrit la baie vitrée, et se dirigea vers la cuisine.

« Je dois prévenir Asuka Lanturien que je t’ai récupéré. Tu veux boire quelque chose d’ici là ? Je ne veux pas te ramener vite à ton appartement, les hommes d’Henry vont sûrement t’y attendre. Et puis, j’imagine que tu dois avoir bien des questions à me poser. »

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 18 nov. 2024 22:19
par Tsukiko Seishi
Finalement, cette femme, Azelia, me libère de mes chaînes. J’apprends que nous travaillons pour la même personne et je ris doucement à sa remarque sur le fait qu’Henry m’ait attrapé.

- Disons qu’il est possible que je me sois volontairement laissée capturer même si j’ai un peu merdé…

Je m’approche de mes habits sur le sol qui ont été partiellement déchirés. Franchement, déjà que je n’étais pas très habillée, je ne suis pas aidée. J’ai un bout du sein gauche encore à nu ainsi que mon chemisier qui a encore des trous par ci et là. Et mes collants, bon, on va dire que j’en ai plus. Par chance, le micro qui était dissimulé dans mon chemisier est encore intact. Je pourrais en parler à ma nouvelle amie mais… je ne sais encore rien d’elle et mieux vaut que je rester un peu sur mes gardes. M’enfin, elle a l’air de vouloir m’aider alors autant en profiter pour le moment.

Vu que les explications attendront, je la suis sagement et nous montons les marches pour remonter au rez-de-chaussée. Je m’attendais à un possible comité d’accueil et je ne suis pas déçue puisque d’autres types viennent s’en prendre à nous. Je reste derrière ma protectrice qui se fait une joie de mettre KO nos différents ravisseurs. Je ne remarque même pas sa belle et longue queue qui m’attrape jusqu’à ce qu’elle m’attire carrément à elle, me sauvant de quelques balles qui auraient pu me toucher. La scène semble tout droit sortie d’un film et franchement, cette Azelia, elle assure de fou ! Enfin, on est dans une situation où on peut se faire buter à tout moment et c’est limite si tout ça a l’air d’un jeu chez elle tant elle s’en sort avec une véritable aisance.

Une fois que tout le monde est finito, j’obéis docilement à ma sauveuse qui me propose que nous nous tirions d’ici. En partant, je remarque que l’autre abruti d’Henry était tranquillement en train de dormir malgré le bordel autour de lui, sûrement encore un coup d’Aze. Vous vous souvenez quand je disais que la scène à l’intérieur avait déjà l’air issue d’un film ? La suite est dans le même délire. Nous sortons dehors et je m’agrippe à la mystérieuse femme comme elle me le demande avant que nous décollions du sol pour finalement se tirer définitivement d’ici. J’ai le droit à un vol en première classe et j’avoue que je profite clairement de l’instant pour me blottir contre celle qui m’a sorti de ce merdier et… profiter aussi un peu de ses formes héhé ! Sans abuser bien entendu. Faut savoir apprécier les petits cadeaux de la vie. Cela dit, j’avoue que j’me les cailles.

Nous volons encore quelques minutes et même si j’ai froid, je savoure ce genre de moment qu’on ne vit pas tous les jours avant que nous arrivions sur une grande terrasse au sommet d’un immense immeuble. Je souris à sa petite caresse sur ma joue quand elle me dépose.

- La fin justifie les moyens comme on dit ! Et puis… l’expérience n’était clairement pas déplaisante, j’ai bien aimé le moment.

Azalea se dirige ensuite vers ce qui semble être ses appartements puisqu’elle a accès à l’endroit. Genre, on s’est pas déposé ici par hasard ? Cet endroit qui transpire le luxe, c’est chez elle ?! Mais que fout une femme pareille à s’emmerder avec cette pauvre histoire d’héritage alors qu’elle pourrait profiter de la vie ici ? Et bien, je vais avoir l’occasion de lui demander puisqu’elle m’y invite clairement, mais avant…

- Si t’as quelque chose pour me réveiller un bon coup, j’suis pas contre. Encore merci de m’avoir sauvé les miches. C’est vraiment chez toi ici ? Ca a du te coûter une blinde cet endroit.

Je fais un peu comme chez moi, prenant mes aises et m’installe dans le canapé, allongée sans le moindre complexe, avant de reprendre :

- Mais pour les questions, j’avoue que j’en ai. Qu’est-ce qu’une femme comme toi fout dans cette affaire ?! Quelle est ta place dedans ? D’où tu sors exactement ? T’es invincible ?

Bon, j’ai un peu sorti les premières conneries qui me passaient par la tête en vrai…

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 29 nov. 2024 13:08
par Azelia
Azelia présenta à Tsukiko le salon du penthouse, mais, avant de lui répondre, elle commença par aller chercher du vin à la cuisine, et l’invita à s’asseoir. Une fois à la cuisine, elle, utilisa un téléphone portable pour prévenir Asuka, puis prépara aussi le repas, à savoir une pizza qu’elle mit au four. Elle revint ensuite en tenant dans sa queue une bouteille de vin, et deux verres dans sa main. C’était un vin français onéreux, du Pétrus.

« Ce vin attendait depuis un certain temps, je pense que ta venue est l’occasion parfaite de le déboucher. »

Azelia remplit donc les deux verres, sa queue caudale tenant toujours la bouteille, avant de la poser sur la table basse. Elle s’assit ensuite face à Tsukiko, et trinqua avec elle. Elle avait laissé Tsukiko reprendre ses esprits, et lui expliqua qu’Asuka viendrait les voir demain matin. D’ici là, l’ordre était simple : rester ici. Azelia en profita pour observer Tsukiko. Ses formes étaient ravissantes, et, avec ses vêtements en haillons, elle était vraiment magnifique, Azelia fixant sans aucune discrétion le sein gauche dénudé de Tsukiko, en se visualisant le prendre en bouche, le suçoter, et mordiller cet insolent téton rosé qui pointait vers elle comme une carte postale.

Consciente que Tsukiko avait posé ses questions, Azelia y répondit donc :

« Je m’appelle Azelia, et je viens d’un autre monde… Ce monde est relié à la Terre par des Portails qui se focalisent à Atarashï Yoake. Archibald Lanturien le savait très bien, et était tombé amoureux d’une femme de Terra. Ta cliente, Asuka, est la fille de cette union. Sa mère est la duchesse Anelia Lianor, qui est aussi mon employeuse. Ce penthouse que tu vois a été financé par Archibald Lanturien pour accueillir la duchesse. J’étais là, moi aussi, Archibald était un amant plutôt vigoureux. Suite à son décès, nous avons décidé de récupérer l’héritage d’Archibald, cette villa où je t’ai récupéré, afin de disposer d’un pied-à-terre sur Terre. »

Azelia but un peu de ce délicieux Pomerol, puis continua ensuite à parler :

« La Duchesse savait que Henry Lanturien allait poser difficulté. Je me suis donc fait passer pour sa petite-amie pour pouvoir l’espionner, et c’est comme ça que nous avons fait filtrer l’information sur le testament séquestré dans un compte en banque. Tu as été notre appât pour récupérer le testament et mettre en échec Lanturien. Sinon, je ne suis pas invincible, non, mais je maîtrise la magie, et ma constitution démoniaque est supérieure à la vôtre. Si leurs balles m’avaient atteint, j’aurai saigné comme toi. »

Finissant son verre, Azelia entendit alors le cliquetis du four.

« Le four est chaud, je vais y enfourner la pizza. Tu as faim ? Je dois t’avouer que, par rapport aux Enfers, votre nourriture est bien plus délicieuse. »

Azelia s’était relevée, et sa queue caudale se déplaça encore, venant caresser la joue de Tsukiko.

« Tu n’as plus rien à craindre, ma chérie, Maîtresse Azelia veille sur toi… » glissa-t-elle, sur un ton plus sensuel.

Elle rajouta ensuite :

« La pizza va mettre un peu de temps à cuire, une quinzaine de minutes… Voudrais-tu que je te montre comment fonctionne la douche d’ici là ? Elle est moderne, tu sais, le genre de trucs où tu pourrais te brûler par inadvertance… Et je dois après tout veiller sur toi et sur ton magnifique petit corps. »

Azelia dit cela en retournant lui caresser affectueusement la joue, attardant son pouce près de ses lèvres…

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 29 nov. 2024 20:40
par Tsukiko Seishi
Lorsque je parlais d’un remontant, je ne pensais pas qu’on allait m’amener du vin et encore moins de très bonne qualité. Je m’y connais pas plus que ça en vin mais je sais que celui qu’elle me présente coûte très cher. Je suis surprise qu’elle considère ma présence ici comme une occasion de déboucher un tel millésime mais je ne vais pas faire la fine bouche sur une bonne boisson !

Alors, je me redresse finalement sur le canap’ et prends le verre qui m’est servi pour trinquer avec mon hôte et finalement prendre une première gorgée du liquide. Et franchement, même sans s’y connaître, on sent que c’est du bon vin. J’ai rarement goûté un truc aussi bon. Mon regard se porte sur celle qui me fait face et je remarque assez facilement qu’elle reluque ma poitrine qui s’expose quand même pas mal avec mes vêtements déchirés. Ça ne me dérange pas qu’elle matte, on aura qu’à dire que c’est sa récompense pour m’avoir sorti de la merde ! Puis franchement, elle est giga bien foutue elle aussi alors savoir que je suis fixé par elle, je prends clairement ça comme un compliment.

Une deuxième gorgée et je l’écoute répondre à mes questions. Et on peut dire que je ne suis pas déçue de ce que j’apprends. Au final, elle est un engrenage dans un véritable bordel qui dure depuis pas mal de temps. C’est limite moi qui avait rien à foutre dedans au final. Une partie de ce qu’elle me dit, je le savais déjà, mais ce n’est pas le cas de tout. Elle était un peu comme une espionne. Nos travails ne sont pas si différents que ça. Je continue de l’écouter et de boire ses paroles aussi bien que je savoure le vin. Je ris en l’écoutant me dire que j’ai servi d’appât. Ce n’est pas la première fois que je m’amuse à prendre cette position et ce ne sera pas la dernière. Elle prend même le temps de me dire qu’elle n’est pas invincible, ce qui continue de me faire doucement rire, répondant :

- Pour me parler aussi ouvertement de tes faiblesses, tu n’as pas peur que je te trahisse ? C’est pas si rare dans notre situation. Mais soit, c’est dommage, adios mes rêves d’une Wonder Woman !

En tout cas, j’ai capté. Ce soir, c’est repos et profiter d’être dans un cadre aussi sympathique avant que les emmerdes reprennent demain. Merci pour les infos qu’il me manquait en tout cas.


Nous finissons notre verre presque en même temps et Azelia nous propose une bonne vieille pizza pour le repas. J’ai un petit sourire à cette proposition.

- Ça tombe bien, j’adore la pizza ! Je pourrais en dévorer une entière.

Finalement, mon hôte se lève et sa queue vient me caresser. Je suis un peu surprise sur le coup mais profite de la petite attention. Le ton de sa voix change quand elle s’adresse de nouveau à moi et je peux y sentir un soupçon de séduction, ce qui n’est clairement pas pour me déplaire. Joueuse, je me prête même au jeu en me faisant un peu plus docile.

- Je vous remercie de prendre soin de moi Maîtresse. J’espère pouvoir me montrer redevable.

Switchant entre un possible petit jeu entre nous et un ton plus sérieux, Azelia me fait une proposition qui me paraît comme une bénédiction sur le coup : une bonne douche. Je mentirais si je disais que je n’en avais pas besoin. Le simple fait d’imaginer l’eau chaude sur mon corps me rend subitement heureuse. Clairement, je ne vais pas refuser un tel cadeau et… j’ai même peut-être ma petite idée pour embellir ce présent. Et je profite d’avoir sa main sur mon visage pour suçoter brièvement son pouce pour lui donner une petite idée de ce que je peux avoir en tête, histoire de confirmer ce petit début de tension entre nous. Je la libère ensuite et réponds dans la continuité de ce petit jeu :

- Vous avez raison Maîtresse. Il serait dommage que je me blesse. Nous pourrions prendre cette douche ensemble pour gagner du temps et s’assurer que je ne me brûle pas.

Et cette fois, c’est moi qui prends les devants en tendant la main à cette sublime demoiselle une fois la pizza enfournée. Puis nous partons vers cette fameuse douche redoutable et dangereuse, me laissant guider jusque cette dernière. Une fois sur place, mes vêtements – enfin ce qu’il en reste en fait - ne perdent pas de temps à finir au sol et j’entre tout aussi rapidement dans la douche en forçant un petit déhanché qui met un peu mes courbes en valeur avant de faire signe à Azelia de me rejoindre, lui lançant un regard aguicheur qui laisse sous-entendre que cette douche pourrait être très agréable et… potentiellement longue.

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 03 déc. 2024 19:24
par Azelia
Lorsque le ton d’Azelia se fit plus badin, Tsukiko employa alors presque naturellement un mot qui ne pouvait que plaire à Azelia : « Maîtresse ». Elle sourit, puis conserva sa main contre celle de Tsukiko. Elle la guida ainsi vers la cuisine. Azelia avait une très belle pizza, assez grande, qu’elle glissa dans le four, puis chauffa le tout. Il allait falloir attendre un bon quart d’heure pour que la cuisson soit prête.

Une fois ceci fait, Tsukiko la guida vers la salle de bains. Une salle de bains luxueuse, avec une grande douche à l’italienne, et une baignoire à côté. Azelia referma la porte derrière elles avec sa queue, et se lova dans le dos de sa partenaire. Elle l’embrassa dans le creux du cou, et déplaça ensuite ses mains sur le corps de Tsukiko, pelotant son corps.

« Tu es vraiment très spéciale, toi… Laisse-moi te délester de tes habits. »

Le déshabillage d’Azelia fut assez sonore. En effet, elle usa de sa force pour déchirer les vêtements de Tsukiko. On put entendre le craquement du tissu, tandis que les lambeaux de vêtements tombaient les uns après les autres. Azelia déchira ainsi le haut de Tsukiko, puis sa queue caudale en profita pour filer contre la cuisse de Tsukiko. La pointe passa ensuite entre sa peau et l’élastique de sa culotte, puis la queue tira ensuite, déchirant sa culotte, tandis que les deux mains d’Azelia vinrent malaxer les seins de sa partenaire.

Tsukiko finit ensuite toute nue, et Azelia partagea avec elle son regard aguicheur. Elle était très faiblement vêtue, et le corset d’Azelia tomba au sol. Il ne restait plus que son string en forme de chauve-souris. Azelia se concentra ensuite, et la magie fusa en elle. Son string s’ouvrit alors en deux, comme une porte libérant le passage d’un épais phallus. Sa verge remonta sur sa peau cuivrée, et Azelia sourit encore, un sourire plus prédateur, tout en se rapprochant sensuellement de son amante.

« Tu es vraiment très belle, tu sais… Je ne saurais dire pourquoi, mais, dès que je t’ai vu, j’ai été saisie de l’irrésistible envie de… »

Tout en parlant, Azelia avait rejoint Tsukiko, et posa sa main sur son menton, relevant son visage. Elle se rapprocha encore d’elle. Leurs seins se caressèrent, et la verge tendue de la démone se redressa contre le bassin de Tsukiko. Azelia la glissa ainsi dans la cabine de douche, et le dos de Tsukiko heurta le mur carrelé.

Si proche d’elle, Azelia finit alors sa phrase :

« …Te baiser. »

Azelia l’embrassa ensuite, très sensuellement, tandis que sa queue caudale glissa contre le robinet de la douche, et déclencha l’eau chaude, tout en s’appuyant sensuellement contre Tsukiko, en goûtant à ses délicieuses lèvres, et en caressant son corps avec ses mains.

Par la suite, sa queue caudale retourna ensuite, et s’enroula autour du bassin de Tsukiko, comme pour maintenir davantage sa belle invitée contre elle…

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 09 déc. 2024 16:44
par Tsukiko Seishi
À peine nous arrivons dans la salle de bain que je peux sentir une proximité entre Azelia et moi. En même temps, elle se colle littéralement à moi, difficile de faire plus proche. J'avoue que je frémis un peu en sentant son baiser et souris en sentant ses mains en train de me tripoter. Je glousse à ses mots et, provocatrice, je réponds :

- Spéciale.... Vous dîtes sûrement cela à toutes vos servantes, Maîtresse, pour les séduire, non ? ~

Bien entendu, je me fiche de ma réponse, je souhaite seulement m'amuser. Et l'amusement se veut vite remplacé par de la surprise lorsqu'elle déchire totalement mes vêtements pour me mettre à nue. Je me mords la lèvre inférieure lorsque ses mains jouent avec mes seins, reprenant :

- Y avait-il vraiment besoin de déchirer ces habits qui avaient déjà tant souffert ? Vous êtes une vraie bête sauvage...

Je continue mon petit jeu de rôle improvisé, oscillant entre la demoiselle docile et obéissante et une plus rebelle qui n'hésite pas à faire face à l'autorité de sa Maîtresse. Je trouve cela d'autant plus excitant...

J'entre finalement dans la douche et me tourne vers mon hôte qui retire aussi le peu qui la couvre, me dévoilant son corps aussi bien foutu que le mien. Et ce que je vais retenir, c'est qu'Azelia est douée pour faire des surprises et m'en dévoile une de taille lorsqu'elle retire son string si vous voyez ce que je veux dire. Je l'écoute me parler et la regarde s'approcher, mon regard ayant du mal à cacher l'intérêt que je porte à ce nouvel ajout qui se dresse devant moi. Je peux soudainement me sentir d'autant plus excitée à l'idée de sentir son engin me pénétrer et je souris à ses paroles que je bois avec désir.

Nos corps entrent finalement en contact et je peux déjà sentir sa chaleur me parcourir, retirant toute sensation de froid chez moi que je ressentais à cause du mur carrelé. Elle peut sentir que mon corps répond très positivement à sa sensualité. Je ne dois pas être des plus froides non plus, mes tétons commencent déjà à se dresser et durcir et je peux même sentir un zeste de cyprine humidifier une partie stratégique de mon anatomie. Et comme si cela ne suffisait pas, l'entendre me dire qu'elle rêvait de me baiser dès qu'elle m'a vu crée une amplification de toute cette envie d'elle naissante chez moi. Clairement, si elle ne s'était pas jetée sur mes lèvres, c'est moi qui l’aurais fait.

Je réponds donc à ce baiser avec la même sensualité dont elle fait preuve et m'aventure même à la tripoter à mon tour, mes mains caressant ses fesses, avant que l'une d'elle ne se fraye un chemin entre nous pour glisser ses doigts sur sa verge, effectuant des aller et retour sur sa longueur sans l'empoigner pour autant. L'eau qui commence à couler sur nos corps m'arrache quelques frissons de plaisir. Aaah... c'est si bon... Sa queue m'enroule finalement, et je parle de la caudale hein, pas de celle que je caresse. Un sourire se dessine sur mon visage, profitant encore un peu du baiser avant d'y mettre fin et murmurer :

- Vous craignez que je ne cherche à fuir pour me maintenir ainsi contre vous Maîtresse ?

Joueuse, je glousse de rire et amène finalement mes lèvres à son oreille, mordillant un peu son lobe avant d'y susurrer d'un ton qui en dit long sur mes envies :

- Vous n'avez pas besoin de ces artifices... J'ai moi aussi très envie que vous me baisiez et me preniez dans cette douche comme si je vous appartenais...

Puis je me retire, un fier sourire au visage, mon regard soutenant le sien, pour finalement me jeter à mon tour sur ses lèvres et l'embrasser, cherchant à donner une dimension plus langoureuse à ce nouvel échange entre nous tandis que je me colle davantage à elle, exerçant une pression sur son corps pour mieux le sentir contre le mien.

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 10 déc. 2024 13:42
par Azelia
Tsukiko était joueuse, et cela amusait Azelia. Elle sourit devant elle, sentant la main de la jeune femme glisser sur son sexe. Elle n’avait pas imploré le Seigneur en voyant une démone, donc Azelia estimait qu’elle pouvait accepter et supporter de voir une femme dotée d’une verge. Non cela elle l’acceptait, mais elle l’approuvait, aussi. Azelia le perçut sur elle en la rejoignant dans la cabine, et le perçut très clairement quand la main de Tsukiko vint la masturber. Azelia frémit doucement, et les deux femmes s’embrassèrent, tandis que la démone avait marqué son emprise sur elle en enroulant sa queue caudale autour de sa taille. Elle s’amusa des réactions de la femme, et se pencha sur elle, venant malaxer ses seins, et en suçota un. Sa langue glissa sur le téton, et sa langue devint même plus reptilienne, s’enroulant autour du téton. Elle pressa dessus, se délectant des soupirs de la jeune femme, l’une de ses mains partant à l’assaut de son autre sein.

« Hmmm… Non, vois cela comme une marque d’affection… Mais je te confirme qu’il y a quelque chose de spécial chez toi. Je ne saurai le dire, cela vient de ton aura. »

Elle ne savait pas si Tsukiko en avait elle-même conscience. Azelia s’était redressée, et posa ses mains sur les fesses de la belle Tsukiko. Elle la redressa, et sentit ses jambes s’enrouler spontanément autour de sa taille, ce qui eut pour effet de presser davantage son bassin contre celui d’Azelia, et notamment contre sa verge assoiffée. La démone soupira lentement, et déplaça un peu son bassin. Elle guida sa verge avec l’une de ses mains, puis, quand son sexe fut prêt, Azelia l’enfonça d’un coup dans le corps de sa partenaire. Tsukiko frémit sur place, comme elle, et Azelia reposa sa main sur son autre fesse. Sa queue caudale se pressa contre elle, et Azelia se pressa contre le délicieux corps de Tsukiko. Elle fut ainsi plaquée dos au mur, sentant le corps massif de la démone s’abattre sur elle.

Azelia soupira encore, et commença ses coups de reins, venant la bourrer, grognant contre elle.

« Tu ne devrais pas employer le conditionnel, ma chérie… Là, dans cette douche, tu m’appartiens… Pleinement ! »

Azelia gémit à nouveau, et continua son office, bien décidée à marquer sa belle, à lui montrer de quoi elle était capable. Une « vraie bête sauvage », avait-elle dit. Eh bien, elle allait être servie !

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 16 déc. 2024 21:39
par Tsukiko Seishi
La température ne cesse de monter entre Azelia et moi et c'est pour mon plus grand plaisir. Et du plaisir, je sens que je vais en avoir quand je vois ce superbe engin qu'elle me montre. Je ne cache pas mon intérêt et lui fait bien clairement comprendre. Elle se jette sur ma poitrine, l'assaillant, la suçotant, me faisant ressentir mes quelques premiers frissons de plaisir. Je ris lorsqu'elle insiste sur mon côté spécial même si je ne comprends pas trop ce qu'elle veut dire par là et ce dont elle parle quand elle parle de mon aura. Si j'avais conscience de mes pouvoirs, sûrement saurais-je que je laisse échapper des phéromones qui ne font que décupler l'attraction sexuelle que les gens ont pour moi et que c'est de ça dont elle parle mais... ce n'est pas le cas alors je ne capte rien !

- Je veux bien être aussi spéciale que vous le souhaitez si cela me permet de vous combler Maîtresse...

Je relève mes fesses, faisant glisser mon bassin sur la verge d'Azelia avant qu'elle ne les prenne dans ses mains pour me soulever avec une certaine aisance. Une femme de poigne... J'aime l'idée. J'en profite alors pour à mon tour pour l'enrouler et la garder contre moi, pour lui faire comprendre que, moi non plus, je ne veux pas la laisser fuir, et je sens un peu plus la chaleur de son pénis contre moi. L'envie d'être pénétrée et tout ce qu'il y a de plus palpable et Azelia la comprend très bien puisqu'il ne faut plus bien longtemps pour que sa queue finisse par entrer en moi. Elle me pénètre avec une telle vivacité qu'un puissant frisson me parcourt totalement en sentant sa queue bien dure en moi. Je m'accroche même un peu plus à elle en la maintenant aux épaules et je me retrouve bien vite totalement plaquée au mur, sentant le corps aussi bien sculpté qu'il a de belles formes de cette divine femme contre moi. Je ne vais pas tourner autour du pot mais Azelia est vraiment trop bonne... Et si elle baise aussi bien qu'elle est canon, alors je vais prendre mon pied. Je lui lance un regard des plus aguicheurs, me mordant la lèvre avant que ses premiers coups de rein ne m’arrachent un gémissement. Je mouille tellement que ça doit glisser tout seul et être vraiment des plus agréables en bas. Puis, finalement, ma partenaire revient sur ma petite remarque qui m'arrache un petit sourire amusé. Elle aime décidément avoir le contrôle et je compte bien lui donner ce qu'elle souhaite.

- Je vois que vous aimez que je vous sois soumise Maîtresse... Vous avez raison, je vous appartiens... Voyez moi comme vous le voulez... Comme une femme, comme un objet, comme votre jouet... Utilisez moi comme bon vous semble... Marquez ce corps de votre empreinte, qu'il se souvienne de vous... Qu'il ne puisse plus accepter d'autre bite que la vôtre...

Bon, j'en fais peut-être un peu trop en vrai mais là, je dois bien avoir l'air d'une bonne petite soumise. J'espère l'avoir bien plus excitée et lui avoir doublée sa motivation. En tout cas, je sens bien qu'elle ne manque pas de vigueur... J'accompagne ses mouvements, ondulant du bassin contre elle, gémissant mon plaisir naissant de la sentir en moi. J'ai un très bon pressentiment sur la suite des choses et mon intuition ne me trompe jamais. Si me faire kidnapper pouvait m'amener à me faire sauter comme actuellement, je songerais presque à me foutre volontairement dans la merde plus souvent.

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 25 déc. 2024 15:35
par Azelia
Il était somme toute fort possible que cette jeune femme ignore tout de ses capacités latentes. Des démons prenant forme humaine et qui s’amusaient à forniquer avec des humains, c’était fréquent. Des grossesses en résultaient souvent. Béni soit ce monde qui avait renoncé aux saintes valeurs catholiques ! Azelia se demandait en tout cas si Tsukiko en avait bien conscience, vu la manière dont elle indiqua vouloir être aussi spéciale qu’Azelia le désirait.

*On verra ça plus tard, inutile d’inquiéter davantage cette petite poulotte…*

Tsukiko avait déjà eu une sacrée expérience avec son enquête, place pour la détente ! Azelia soupira en la sentant raffermir sa prise autour d’elle. Tant son regard langoureux que son corps renvoyaient à la démone le même message : oui ! Azelia en frémissait naturellement sur place, tout en enfonçant sa verge en elle. Le corps chaud de Tsukiko était un vrai régal pour la démone, qui soupira doucement, et la maintint contre elle.

Azelia l’embrassa une première fois, puis lui laissa parler, et sourit contre elle, multipliant ses coups de reins, s’enfonçant à chaque fois de plus en plus profondément. Le discours de Tsukiko était un peu long, et un peu trop élogieux pour être crédible… Mais qui lui en voudrait ? S’il y avait bien un moment où le cerveau ne fonctionnait plus normalement, et où on laissait l’ivresse de la passion vous guider, c’était bien quand on se faisait sauter ! Et quoi de mieux que cette séquence ? Azelia pénétrait et bourrait sa délicieuse partenaire, une démone puissante, belle, forte, musclée, aux formes anguleuses ? Sa peau cuivrée, ses mains pernicieuses, cette queue caudale qui caressait le corps de Tsukiko… C’était un véritable cocktail sensoriel, avec cette couche de fantastique qui ne faisait que rendre la séquence encore plus excitante !

La démone redressa un peu Tsukiko, et sa queue caudale se déplaça ensuite, puis fouetta l’une des fesses de l’intéressée. Azelia voulait l’entendre couiner sous la surprise, voire hurler ! Elle sourit donc sensuellement.

« Allons, je ne suis pas si territoriale, ma belle… Si je t’habitue à cette perfection que tu m’indiques être, tu finiras par t’en lasser. Ma petite chienne deviendra exigeante… Ce qui est rare est précieux, n’est-ce pas ce que vous, les humains, vous apprenez en économie ? Hum… »

La verge d’Azelia ne se retirait plus du corps de Tsukiko, filant régulièrement d’avant en arrière, imposant à cette dernière un rythme soutenu. Elle conservait le plus souvent ses mains sur les fesses de Tsukiko, malaxant son délicieux cul, tout en entrecoupant ses phrases de baisers sonores sur ses lèvres, ou dans le creux de son cou, qu’elle léchait ou mordillait dans la foulée.

« De la concurrence, ma belle… Que tu goûtes à d’autres amants, à d’autres amantes, et tu me verras revenir avec joie, hmmm… Moi, qui te fais l’amour, haaa… Qui t-te baise comme… La pe-petite salope que tu es, haaaa… »

La poigne d’Azelia était solide, ses coups de reins se multipliaient. Fierté démoniaque oblige, elle attendait que sa belle succombe au plaisir suprême et ait un orgasme avant de pouvoir se vider en elle !

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 26 déc. 2024 17:56
par Tsukiko Seishi
Mon petit discours a été bien reçu et en parlant de bien recevoir, c'est ses coups de rein que je me fais une joie de recevoir. Sauvages, puissants, chaque fois que je sens son membre glisser en moi avec détermination, un puissant frisson suivi d'un choc électrique ne font que décupler le plaisir ressenti. Je prends plusieurs shots de baise et j'ai clairement envie de finir ivre de sa verge. Je suis délicieusement sensible à la moindre de ses actions, allant de ses multiples pénétrations à ses savoureux baisers en passant par cette queue et ses caresses, qui ne font que m'offrir de multiples sensations qui me font voyager sur un petit nuage d'extase. Et je ne suis pas encore au bout de mes surprises.

Soudain, comme pour mettre fin à cette exquise monotonie qui s'installait dans notre rapport, elle me redressa et sa queue - démoniaque, pas celle qui me saute - met fin à sa douceur pour se faire plus vicieuse en venant me claquer le cul. Une fessée, simple, légèrement brutale mais diablement efficace qui a le mérite de me faire couiner. Un nouveau petit shot d'intensité qui est clairement le bienvenu. Alors que je succombe de plus en plus à ma merveilleuse Maîtresse, je l'écoute me parler et je ne peux me retenir de rire tout en étant toujours plus excitée par ce petit jeu de rôle entre nous. Je suis sa chienne et, comme énoncé plus tôt, elle peut me baiser comme l'animal que je suis.

- Mais l'humain aime courir... ah... après le précieux et la perfection Maîtresse... ah... Voulez-vous me pousser à... ah... vous courir après ?

Mes mots se trouvent entrecoupés de quelques gémissements, les assauts de sa queue ne s'étant pas arrêtés pour autant, bien au contraire. Ils sont plus voraces, visant très clairement à me faire perdre ou plutôt prendre mon pied. Et ses mains sur mon cul ainsi que ses nombreux baisers me rendent folle. Je bois ses paroles, ses mots raisonnant dans mes oreilles et m'apportant des réactions qui me mettent toujours plus en émoi. La petite salope que je suis... J'aime quand elle me parle de façon un peu plus crue. Et si c'est une salope qu'elle veut, elle l'aura...

- Je ferais tout ce que vous voudrez Maîtresse... J'utiliserais ces amants pour me perfectionner et donner à cette merveilleuse bite le plaisir qu'elle mérite...

Le souci, c'est qu'actuellement, le plaisir, c'est moi qui le prends surtout. Je sens mon corps être pris de petits spasmes annonciateurs de ce qui est sur le point d'arriver. Mais je n'en démords pas et je compte bien lui montrer ce dont la petite salope que je suis est capable. Mes jambes autour de sa taille et mes bras derrière sa nuque se resserrent. Son bassin s'appuie plus contre moi et sa queue – celle qui me baise cette fois, suivez quoi ! - s'enfonce plus profondément encore. Mais je ne m'arrête pas à si peu. Elle peut me sentir en train de me resserrer un peu plus sur elle aussi à l'intérieur, comme si je souhaitais la pomper avec avidité. J'ondule contre elle et me jette sur ses lèvres pour un nouveau baiser, venant chercher sa langue pour la faire danser avec la mienne avant de l'emprisonner entre mes lèvres et la suçoter. Je ne la quitte plus des yeux, une véritable ardeur dans le regard. Malheureusement, si j'aurais aimé la faire venir et la sentir me remplir, je succombe et jouis en première, taisant ma voix dans un ultime baiser pendant que mon corps est sous l'impulsion de cette délicieuse petite mort...

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 08 janv. 2025 21:43
par Azelia
Azelia amplifiait progressivement le rythme, résistant à l’envie de glisser sa queue caudale dans le corps de Tsukiko. Pas maintenant, pas tout de suite, ou elles resteraient longtemps dans cette douche ! Ce n’était qu’un prélude, un avant-goût. Azelia la sentait se resserrer contre elle, soufflant contre ses lèvres. Oh, comme elle était belle ! Se pinçant les lèvres parfois, Azelia continuait donc à la prendre, le corps de Tsukiko remuant d’avant en arrière, les mains d’Azelia se positionnant pour l’essentiel sur ses hanches, puis sur ses fesses. Elle sourit doucement quand Tsukiko commença à parler un peu salement. Cela manquait toutefois encore d’inspiration, mais Azelia appréciait le geste, et embrassa donc à nouveau Tsukiko. Elle-même était prête à se décharger, et elle ne pouvait que constater l’endurance phénoménale de son amante, qui avait tenu jusqu’à présent. Pour autant, elle le sentait, son invitée était sur le point de jouir.

« Oh, ma chérie, tu… Tu es si bonne, putain… »

Ce moment arrivait enfin. La délicieuse pause où tout votre corps se crispait sur place, où la vague vous envahissait pleinement, et où vous jouissiez. Azelia soupirait, gémissait, haletant elle aussi, sa queue caudale glissant contre les fesses de Tsukiko, comme pour la titiller, pour annoncer la suite, le menu principal. Azelia grogna alors, plongeant dans la mouille de Tsukiko, faisant claquer leur chair à chaque coup de reins. Elle la prenait fort, y allant sans ménagement, et remonta sa main pour saisir la nuque de Tsukiko, la tenant contre elle, et se plaqua enfin contre elle. Sa vezrge s’enfonça jusqu’à la garde, et, le visage contre l’oreille de Tsukiko, Azelia gémit en jouissant en elle. Sa solide queue se relâcha, et Azelia ferma les yeux, sentant elle aussi tout son corps se relâcher.

Azelia soupira contre elle, reprenant ses esprits après avoir balancé plusieurs giclées de sperme. Elle se redressa un peu, et sourit à Tsukiko, la laissant redescendre, revenir à elle.

« Est-ce que cet apéritif t’a plu, ma belle ? Car, cette nuit, je compte bien te baiser beaucoup plus longuement… »

La démone l’embrassa alors sur les lèvres, tandis que les jambes de Tsukiko purent retoucher le sol. Azelia put alors entendre le gong du four annonçant que les pizzas étaient cuites.

« Mais, pour l’heure, c’est le moment de manger de la pizza ! » s’exclama-t-elle, joviale.

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 09 janv. 2025 21:19
par Tsukiko Seishi
Azelia me trouve bonne. En soit, je sais que je le suis mais qu’un canon pareil me le dise ouvertement, je mentirais en disant que ça ne me fait pas énormément plaisir. Je peux sentir que ma partenaire prend son pied avec moi et ça tombe bien car je suis folle de la façon qu’elle a de me baiser. Ce mélange parfait entre violence et tendresse, j’y succombe totalement… Si bien que je ne tiens plus et finis par jouir contre elle, à mon désarroi.

Je peux sentir la seconde queue de ma délicieuse amante me caresser les fesses, me faisant frissonner alors que mon corps se remet à peine de l’orgasme qu’il vient de subir. Mais mon corps ne va pas tarder à subir une nouvelle chose qui est au moins aussi plaisante que l’orgasme. Azelia n’a plus la moindre retenue, elle continue de s’enfoncer en moi de façon brusque, agissant comme une presse qui se trouve dans un rythme d’exécution soutenu. Elle va bientôt me rejoindre et jouir à son tour. Je peux sentir que ces coups de reins qu’elle m’assène sont les derniers et il ne faut plus bien longtemps pour que l’ultime coup de bassin n’arrive.

Azelia gémit plus intensément à mon oreille, son pénis s’enfonce plus profondément en moi et, bien rapidement, je sens ma chatte se faire remplir en un rien de temps. Un nouveau frisson me parcourt, bien plus puissant lui aussi. Je ne suis pas dérangée à l’idée qu’on jouisse en moi car… J’aime la sensation de sentir le sperme en moi, ça a ce quelque chose de particulièrement addictif. Je ne saurais pas expliquer pourquoi. C’est juste… Je n’ai pas de mot pour décrire ça en fait. Nous restons collées l’une à l’autre, la queue d’Azelia se libérant de ses dernières giclées, avant de se retirer, le liquide blanchâtre ne tardant pas trop à rejoindre mes lèvres intimes. Je souris à ses mots, amusée, et répond :

- Il y avait un apéritif ? Fallait me le dire, j’adore manger des saucisses avec un peu de sauce blanche !

Je quitte, peut-être temporairement, mon rôle de la petite salope soumise, me faisant plus taquine et l’embrasse en retour quand mes jambes retouchent le sol. Ma main approche de son pénis et le caresse sur la longueur, reprenant :

- J’ai déjà hâte de retrouver cette superbe queue tout à l’heure…

Puis, je me rinçais quand même un peu avec l’eau qui continuait de couler avant de la couper. Une bonne pizza nous attendait dans le four et il était temps d’aller lui faire coucou ! Je ne me rhabille pas, comme ça, je suis prête à l’emploi pour cette nuit ! Je passe devant elle, me dandinant de nouveau dans un petit déhanché, coquine et taquine, comme d'hab quoi !

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 17 janv. 2025 22:01
par Azelia
À choisir entre une pizza et besogner Tsukiko, le choix d’Azelia était vite fait. Cependant, elle savait que les humains étaient fragiles, et, après tout ce que Tsukiko avait vécu, Azelia s’était dit qu’une bonne pizza ne serait sans doute pas pour lui déplaire. Azelia avait sans aucun doute sous-estimé les ressources de Tsukiko, et sans doute sa nature partiellement démoniaque… Une nature dont Tsukiko elle-même ne semblait pas avoir connaissance. Cela expliquait sans doute l’erreur de jugement d’Azelia. En tout cas, à la voir sortir en roulant des hanches, et en remuant de la plus insolente des manières son postérieur, le message envoyé par Tsukiko était clair : ce n’était qu’un prologue. Azelia avait répandu sa semence en elle, elle l’avait marqué, et elle ne comptait pas la lâcher avant de l’avoir enseveli sous une tornade de foutre et d’amour. S’il y avait bien un point sur lequel on pouvait faire confiance à Azelia, c’était sur sa perversion.

Elle se rapprocha donc de Tsukiko, et posa sa main sur la croupe de l’intéressée en sortant de la cabine.

« Cette queue a également hâte de s’enfoncer en toi, ma chérie. »

Inutile de se rhabiller, Azelia conduisit une Tsukiko humide et même pas nettoyée vers la cuisine, la main toujours en propriétaire sur son postérieur. Elle la guida ainsi vers la cuisine, sa verge toujours déployée. Azelia n’avait aucune gêne, pas davantage que Tsukiko ! Elles rejoignirent la cuisine. Azelia relâcha alors le postérieur de Tsukiko, puis ouvrit le four. Elle attrapa le plat avec la pizza, et rejoignit ensuite le salon, à côté de la cuisine. Tsukiko put alors constater qu’Azelia n’avait mis aucun couvert. Elle installa la pizza sur la table basse du salon, et s’assit sur le fauteuil, écartant ensuite les jambes en mettant en valeur sa verge, qui se redressa fièrement.

« On va manger ensemble, ma chérie… Je dois t’avouer que ma queue se languit déjà de ta chatte, alors viens t’installer sur moi ♥ ! »

Azelia esquissa un sourire pervers, et attendit sagement que Tsukiko la rejoigne. Sa queue caudale se chargerait ensuite d’attraper des parts de pizza pour la nourrir sa belle humaine.

« Je suis curieuse, je souhaiterai que tu me dises comment une aussi jolie poupée comme toi devient une détective privée… »

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 20 janv. 2025 15:34
par Tsukiko Seishi
Mon petit déhanché a fait son petit effet. Et c'était exactement le but après tout ! J'ai un grand sourire et je pousse même un petit gémissement sensuel lorsque la main d'Azelia vient claquer mon cul et s'y loger sans bouger. Elle me fait même l'honneur de répondre à ma petite remarque. Je me mords la lèvre inférieure en l'imaginant déjà refaire de moi sa salope. Que dis-je ? Sa chose... ~

Nous nous rendons dans la cuisine, la main de cette vile démone toujours posée sur ma fesse, et c'est presque à contre cœur que je la laisse filer jusqu'au four pour récupérer la pizza. J'en profite pour reluquer le canon qu'est cette fille. Je suis vraiment la plus chanceuse des demoiselles en détresse. Même dans mes fantasmes, je ne sais pas si j'aurais pu imaginer une femme aussi parfaite.

Une fois la pizza sortie du four, nous nous installons dans le salon. Je suis docilement mon hôte qui s'installe d'une façon toujours aussi lubrique dans le fauteuil, les jambes écartées et la colonne de chair bien dressée et prête à ce qu'on s'occupe d'elle. J'aurais bien envie de me faire une saucisse cocktail mais Azelia a d'autres projets qui me conviennent tout aussi bien. J'approche d'elle et me positionne devant elle, lui tournant le dos. Cependant, je ne m'installe pas directement. Je reste joueuse. Je fais semblant de m'asseoir mais m'arrête finalement de sorte à ce que sa sublime verge se loge pile entre mes fesses. Je frémis un peu en sentant cette bite bien dure et me redresse, avant de me rebaisser et continuer ce manège quelques secondes pour finalement me redresser et sortir d'un ton provocateur :

- Oups... Je suis tellement maladroite que je n'arrive pas à m'asseoir confortablement avec un tel barreau sur le chemin. ~

Puis, finalement, je me décide à m'asseoir. L'espace d'un instant, je me demande si elle souhaitait vraiment que je m’assieds sur elle ou si elle voulait que je m'empale de nouveau sur sa queue. En tout cas, ce serait dommage de la laisser bander dans le vide. Ce serait de la maltraitance de laisser son engin dans une telle détresse ! Je choisis donc la seconde option et, sans plus attendre, après avoir jaugé le positionnement en frottant mes lèvres contre son gland de sorte à ce que ça glisse tout seul, je m'empale comme prévu d'un coup, ce qui me vole un gémissement de plaisir bien plus expressif et sincère cette fois. Je reste alors immobile et ne bouge plus, gardant sa délicieuse queue bien au chaud en moi.

- Ah ! Je me sens bien installée pour un bon repas maintenant ! Vous aussi... Maîtresse ? ~

Le ton de ma voix devient volontairement plus aguicheur lorsque je prononce le dernier mot, sachant qu'elle apprécie visiblement beaucoup que je me plis à ce rôle. Que je suis vilaine ! C’est alors qu’elle me pose une question à laquelle je ne m’attendais pas. Je ris un peu. Elle doit peut-être s’attendre à une vraie bonne raison pour ça alors que…

- Je dirais que… c’est une sorte de vocation. J’aime le sexe et je crois que je vous l’ai déjà prouvé Maîtresse. Et la vie m’a fait comprendre qu’on peut obtenir beaucoup de choses avec le sexe. J’aurais pu devenir une prostituée ou quelque chose du genre mais j’ai voulu que mes talents servent pour de possibles causes. Et les gens sont en général plus vulnérables et enclins à en dire plus sur eux ou à faire preuve de moins de vigilance et se faire voler quelque chose après que je leur ai offert une baise mémorable…

En gros, j’aime le cul et j’ai trouvé un moyen de gagner ma vie en baisant. C’est un peu le gros résumé. J’aurais même pu dire les choses directement comme ça, ça aurait eu l’air moins farfelu en y repensant !

- Mais je vous rassure Maîtresse… Je n’oserais pas vous causer du tort… La seule chose que votre soumise cherchera à vous subtiliser, c’est le contenu de ces belles couilles…

Ma main vient caresser les deux testicules comme pour appuyer mes propos. Je me demande quand même comment va-t-elle réagir à ce petit aveu de ma part.

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 27 janv. 2025 22:37
par Azelia
C’était à se demander qui était la véritable démone ici ! Azelia commençait à se dire que cette pizza allait être très longue. En couchant avec Tsukiko, elle lui avait visiblement ouvert l’appétit. Azelia ne l’en blâmait pas, elle-même avait très envie de la baiser dans tous les sens. Finalement, lui faire l’amour avant de manger fût sans doute une erreur. La démone n’était pas réputée pour sa grande patience, mais elle n’avait pas le choix, elle allait devoir faire avec ! Pour sa défense, plus elle était proche de Tsukiko, et plus cette aura si spéciale qu’elle percevait chez elle l’excitait. Et puis, Tsukiko en jouait aussi, s’amusant visiblement à provoquer Azelia, à la titiller davantage. Avec son sexe en érection, Azelia s’assit sur le fauteuil du salon, et vit le regard de Tsukiko rouler sur sa queue solide. Son vit se redressait, pulsant encore chaudement. Elle appréciait cette douleur exquise, ce sentiment d’excitation et ces frissons qui l’élançaient. Son joli membre se sentait seul, tout simplement !

Joueuse, Tsukiko la rejoignit, lui tourna le dos, et frotta ses fesses contre sa verge. Azelia crispa sa main sur l’accoudoir de son fauteuil, sentant le désir croîtra en elle, remontant dans son corps. Elle frémit lentement, sentant Tsukiko s’asseoir puis se relever, astiquant son membre avec ses insolentes fesses. Visiblement, luif aire l’amour avait enhardi Tsukiko ! Elle s’amusait donc, jouant avec le feu. La démone frémit lentement en la regardant faire, glissant sur sa hampe de chair.

« Haaa, petite catin… On se demande vraiment qui est la tentatrice, de nous deux… »

Tsukiko consentit ensuite à s’empaler sur Azelia. La démone s’en mordilla les lèvres, sentant un frisson parcourir tout son corps. Elle ferma les yeux avant de les rouvrir, et décala ses mains des accoudoirs pour les poser sur les hanches de Tsukiko. Elle pressa ses doigts dessus, et laissa la belle femme danser sur elle, lui tournant le dos. Au chaud dans sa chatte serrée, sa queue entourée par les parois intimes ruisselantes de sa partenaire, Azelia se sentait bien. Tsukiko lui expliqua qu’elle aimait le sexe, et qu’elle avait choisi de faire ce métier pour servir à quelque chose d’utile. Azelia s’imagina provisoirement la prostituer, s’amuser à voir de quoi cette humaine serait capable dans des tenues plus affriolantes… Elle sortit de ses pensées quand les doigts de Tsukiko effleurèrent ses tentacules.

Un sourire éclaira les lèvres d’Azelia, qui embrassa Tsukiko dans le creux du cou, tandis que la pointe de sa queue caudale tranchait la pizza avec le tranchant. L’extrémité de la pointe se planta ensuite dans une part, et elle l’approcha des lèvres de Tsukiko, l’invitant à manger, le tout se terminant par la queue caudale qui s’enfonçait dans la bouche de son amante, prenant alors une forme plus phallique. Azelia remonta ses mains pour palper les seins généreux de Tsukiko, compressant sa poitrine, la malaxant.

« Mes couilles, tu vas les sentir te remplir, ma chérie… Je crois que toi et moi, c’est le début d’une longue amitié. Je ne regrette pas du tout de t’avoir sauvé, Tsukiko, bien au contraire… Mais tu disais tout à l’heure que tu avais envisagé de te prostituer. Raconte-moi tes fantasme de luxure, dis-moi ce que tu n’as jamais osé faire… »

Tsukiko allait pouvoir parler entre chaque bouchée de pizza, tout en sentant ce gros mandrin en elle… Qui se mettait à vibrer chaudement. Azelia frémit en usant de sa magie, léchant et mordillant le creux du cou de Tsukiko, humant sa magnifique odeur, profitant de ce corps somptueux…

Re: Litige successoral [Tsukiko Seishi]

Posté : 28 janv. 2025 00:52
par Tsukiko Seishi
Qui était la tentatrice de nous deux ? La réponse est pourtant simple : nous le sommes toutes les deux. Si j’étais une démone, je serais très clairement une succube, avide de sexe, pompant les hommes – dans tous les sens du terme – et m’abreuvant de la cyprine des femmes sans jamais pouvoir rassasier mon appétit. Mais j’aime cette petite complicité coquine qui naît entre nous.

Je finis par m’empaler de nouveau sur cette belle queue qu’elle arborait avec fierté, incapable de résister à l’appel d’une bonne bite comme la nympho’ assumée que je suis. Ses mains viennent se saisir de mes hanches, confirmant qu’elle aime avoir de la poigne sur moi. Je souris, amusée, avant de frissonner en la sentant déposer ses lèvres dans mon cou. Puis, c’est à son autre queue d’entrer en action, coupant la pizza avant de l’amener à ma bouche. Toujours aussi taquine, je fais exprès de me penche légèrement, ce qui relève légèrement mon bassin qui devrait lui procurer une agréable sensation pour ce qui est de son pieu encore en moi.

Les mains de ma sublime partenaire remontent sur mes seins qu’elle tripote sans retenu pendant qu’elle me parle d’une très bonne amitié entre nous. Je ris avec espièglerie mais ce rire est vite rattrapé et modifié par un gémissement de surprise mais aussi de plaisir. Je ne sais pas comment elle fait ça mais sa propre bite est un peu devenue comme un vibro et je peux la sentir vibrer en moi, décuplant le plaisir que je ressens. Entre ça, sa question et la pizza à manger, sans parler de son autre queue qui prend étrangement une forme que j’apprécie, difficile de se concentrer. Je finis ma bouchée et tente tant bien que mal de me concentrer pour lui répondre, décidant de rouler des hanches sur ce vibromandrin – je vais déposer un brevet pour ce nom j’pense – pour mieux le sentir agir sur mes parois intimes, ce qui me fait mouiller comme une véritable catin. Puis, j’essaie de répondre à sa question même si la réponse n’est pas dure à trouver car…

- Au risque de vous décevoir Maîtresse, je n’ai pas réellement de fantasme que je n’ai jamais osé faire… Non pas car je ne rêve pas mais car un fantasme n’a pas le temps de prendre dans l’ampleur dans mon esprit car dès que j’ai envie de quelque chose, je le fais. Quoique vous pourriez bien devenir mon nouvel objet de fantasme… ~

Je souris et me plaque finalement contre elle, sentant sa belle poitrine s’écraser sur mon dos, alors qu’à l’avant, je peux maintenant bien voir sa longue tige dépasser un peu de ma grotte. J’ondule de nouveau du bassin, gémissant mon plaisir sans retenue, et reprend, sourire aux lèvres :

- Et vous Maîtresse ? Voulez-vous que je sois votre prostituée pour vous y intéresser autant ? Il y a-t-il des fantasmes que vous voudriez réaliser ? Je suis toute ouïe pour vous servir et satisfaire… ~

Au final, même si j’adore la pizza, je suis rendu à la délaisser… Il faut dire que j’ai bien plus important et intéressant à gérer en ce moment. J’ai une autre forme d’appétit qui ressent le besoin de se nourrir.