Changement de sexe [Tek_Usagi]
Posté : 19 oct. 2024 13:15
La Fut-Corp était une société florissante à Uatis, qui était installée le long du boulevard de la Sénatrice Loriana. Il était difficile de louper le siège social de cette compagnie, la Fut-Tower, qui abritait le siège administratif de la société, la Fut-Head, ainsi que les appartements de ses redoutables F-Girls, la Fut-Room. Ce n’était toutefois pas ici que le F-Gen était fabriqué. Le mutagène permettant de transformer les femmes en F-Girls et les hommes en F-Boys se trouvaient dans la zone industrielle, dans une usine protégée, la Fut-Factory.
La Fut-Tower comprenait aussi, et surtout, un harem s’étalant sur une dizaine d’étages. C’était le siège de l’activité commerciale de la Fut-Corp, qui tirait sa fortune des nombreuses relations de clients, et qui utilisait le sperme et la cyprine récupérés avec les clients pour concevoir le F-Gen. Difficile de louper la Fut-Corp, qui n’hésitait pas à faire des publicités sur les F-Girls. Il suffisait de regarder les magazines ou les écrans télévisés pour voir les publicités faites. Si la Fut-Corp n’était pas une mégacorporation, elle était une société en pleine expansion, qui n’hésitait pas, dans ses clips, à proposer aux gens de la rejoindre. Devenir F-Girl ou F-Boy, participer aux opérations génétiques de la Fut-Corp…
« …Notre compagnie travaille sur le gène humain, comme nos ancêtres avant nous. Perfectionner les corps, voilà notre objectif. Nous incarnons l’idéal uatéen, et vous pouvez en faire partie. Vous ne vous sentez pas bien dans votre corps ? Vous avez envie de changer ? D’évoluer ? Nous sommes là pour vous ! »
Clients ou futurs membres du personnel, la Fut-Corp accueillait tout le monde ! Les réceptionnistes étaient de simples salariées, elles n’étaient pas des F-Girls, qui ne s’abaissaient pas à accueillir les clients. Le hall d’accueil était une grande pièce agréable avec des écrans, des hologrammes, et une statue centrale en marbre représentant une femme musclée. Évidemment, chaque salariée avait tendance à coucher avec les F-Girls, cela faisait même partie de leurs contrats, où une clause sexuelle prévoyait qu’elles devaient s’offrir aux F-Girls dès que celles-ci le souhaitaient. L’une des standardistes, Aline, accueillait d’ailleurs les clients, et s’impatientait. Elle approchait de la fin de son service, et cela faisait plusieurs heures qu’aucune F-Girl n’était pas venue la baiser ! Parfois, elles descendaient à la réception, alors Aline se penchait sur son bureau, afin de relever son tailleur pour qu’on puisse voir une partie de ses fesses, et qu’elle se fasse prendre contre le bureau.
Pour travailler ici, il fallait en effet se montrer particulièrement perverse !
La Fut-Tower comprenait aussi, et surtout, un harem s’étalant sur une dizaine d’étages. C’était le siège de l’activité commerciale de la Fut-Corp, qui tirait sa fortune des nombreuses relations de clients, et qui utilisait le sperme et la cyprine récupérés avec les clients pour concevoir le F-Gen. Difficile de louper la Fut-Corp, qui n’hésitait pas à faire des publicités sur les F-Girls. Il suffisait de regarder les magazines ou les écrans télévisés pour voir les publicités faites. Si la Fut-Corp n’était pas une mégacorporation, elle était une société en pleine expansion, qui n’hésitait pas, dans ses clips, à proposer aux gens de la rejoindre. Devenir F-Girl ou F-Boy, participer aux opérations génétiques de la Fut-Corp…
« …Notre compagnie travaille sur le gène humain, comme nos ancêtres avant nous. Perfectionner les corps, voilà notre objectif. Nous incarnons l’idéal uatéen, et vous pouvez en faire partie. Vous ne vous sentez pas bien dans votre corps ? Vous avez envie de changer ? D’évoluer ? Nous sommes là pour vous ! »
Clients ou futurs membres du personnel, la Fut-Corp accueillait tout le monde ! Les réceptionnistes étaient de simples salariées, elles n’étaient pas des F-Girls, qui ne s’abaissaient pas à accueillir les clients. Le hall d’accueil était une grande pièce agréable avec des écrans, des hologrammes, et une statue centrale en marbre représentant une femme musclée. Évidemment, chaque salariée avait tendance à coucher avec les F-Girls, cela faisait même partie de leurs contrats, où une clause sexuelle prévoyait qu’elles devaient s’offrir aux F-Girls dès que celles-ci le souhaitaient. L’une des standardistes, Aline, accueillait d’ailleurs les clients, et s’impatientait. Elle approchait de la fin de son service, et cela faisait plusieurs heures qu’aucune F-Girl n’était pas venue la baiser ! Parfois, elles descendaient à la réception, alors Aline se penchait sur son bureau, afin de relever son tailleur pour qu’on puisse voir une partie de ses fesses, et qu’elle se fasse prendre contre le bureau.
Pour travailler ici, il fallait en effet se montrer particulièrement perverse !