Kyōiku Mama [PV]
Posté : 15 oct. 2024 00:50
Hitomi Misoshi était une mère célibataire, qui avait divorcé de son mari il y a des années. Elle n’avait plus aucun lien avec lui, et élevait seule leur fils, Atsuya Misoshi. Hitomi était, comme sa couleur de cheveux et son corps le laissaient supposer, originaire d’Occident. Elle était une gaijin célibataire, de sorte que la vie n’avait pas été facile pour elle, surtout pour trouver du travail. Hitomi en avait sorti une mentalité de battante, et était prête à tout pour offrir à son fils, Atsuya, une très bonne vie. Pour cela, Atsuya devait réussir ses études. Il venait justement d’entrer au lycée, et Hitomi savait que le divorce avait provoqué une baisse de ses notes et de ses performances. Il avait pris du point, et, quand Hitomi avait remis de l’ordre dans sa vie, elle avait décidé de rééduquer Atsuya.
Pour le dire clairement, Hitomi était ce qu’on appelait, au Japon, une kyōiku mama, c’est-à-dire une mère prête à tout pour que son fils réussisse. Elle avait inscrit son fils à de multiples cours privés du soir, les juku, et avait imposé à Atsuya d’améliorer ses notes. Une véritable dérive qui avait fini par se résorber. À force d’acharnement, Atsuya était devenu le meilleur élève de sa classe. Mère éducatrice, elle limitait fortement les relations amicales entre Atsuya et les autres, et s’enfermait tout le week end avec lui pour qu’il révise. Si elle le grondait au début, Hitomi avait néanmoins dû faire face à un nouveau problème, plus… Plus délicat.
En grandissant, son fils avait fini par développer ses hormones, ce qui n’avait pas échappé à Hitomi. Méthodique et organisée, elle avait remarqué que plusieurs de ses culottes à dentelles manquaient quand elle faisait le ménage. Cependant, elles finissaient toujours par revenir. En réfléchissant un peu, elle avait donc compris que son fils lui volait ses culottes quand elle les mettait dans le linge, les remettant ensuite à temps pour que sa mère ne remarque rien. Aujourd’hui, alors qu’elle attendait le retour de son fils chez eux, Hitomi était assise dans le fauteuil du salon, tenant dans sa main l’une de ses culottes blanches… Qu’elle avait retrouvé en fouillant dans la chambre de son fils. Elle avait vite compris que celle-ci était sale, et, en la reniflant, avait ressenti cette odeur, et vu un ou deux poils pubiens.
*Le sexe… Ça les rend fous…*
Elle-même en savait quelque chose, car son ancien époux était justement un homme qu’elle avait aimé par idiotie. Elle était alors jeune, rêveuse, et avait surtout hérité d’années de galère. Hitomi avait réussi à acheter une petite maison, à avoir un boulot, mais elle n’avait jamais dit à son fils qu’elle avait été jusqu’à vendre son corps pour ça. Elle savait le pouvoir destructeur du sexe, et refusait qu’Atsuya se laisse séduire par toutes les midinettes du lycée, qu’il perde sa précieuse concentration. La femme allait donc prendre le problème à bras-le-corps, comme elle en avait toujours l’habitude.
Atsuya finit par rentrer à la maison.
« Bonjour, Atsuya-chan. Je t’ai préparé ton goûter, mon chéri. »
Sa voix était calme, et elle laissa Atsuya la rejoindre. Comme d’habitude, elle lui demanda de lui parler de sa journée, tout en ayant préparé pour lui des tartines avec du beurre et un chocolat chaud. Et, alors qu’il mangeait, elle se pencha vers lui. Elle avait enfilé un top mauve qui mettait délicieusement en valeur sa magnifique poitrine.
« Bon, Atsuya-chan, je dois te parler de quelque chose d’important… Car tu m’as menti. »
Atsuya, qui savait que sa mère pouvait être aussi attentionnée que redoutable, glapit sur place.
« Je t’ai dit que je voulais que nous soyons parfaitement honnêtes, toi et moi, et que, si une fille s’approchait de toi, je voulais que tu me le dises. Tout comme tu es le seul homme dans ma vie, mon chéri, je tiens à être ta seule femme jusqu’à ce que tu aies réussi tes études. Et, en faisant le ménage dans ta chambre, j’ai découvert… Ça. »
Elle exhiba alors la culotte blanche.
« Je sais ce que tu as fait avec, Atsuya-chan. C’est très sale, c’est indigne d’un jeune garçon bien éduqué. Alors, je veux que tu me dises à quelle fille tu songeais pendant que tu… Que tu faisais ce que tu as fait avec ma culotte… Sinon, je vais devoir te punir, mon chéri. »
Hitomi essayait de paraître la plus ferme possible, car, quand elle avait imaginé son fils en train de se masturber dans sa culotte, elle avait ressenti… Une émotion qu’elle ne s’attendait pas à ressentir. Ses tétons s’étaient durci, son corps s’était mis à frémir, vibrant doucement… Des émotions perverses, des sensations qu’elle refoulait. Une mère ne devait pas penser ça… Mais, en revanche, à l’idée qu’Atsuya puisse avoir une petite-amie, une fille qui l’embrasserait, qui le caresserait…
…Hitomi sentait à cette idée une rage peu commune l’envahir !
Pour le dire clairement, Hitomi était ce qu’on appelait, au Japon, une kyōiku mama, c’est-à-dire une mère prête à tout pour que son fils réussisse. Elle avait inscrit son fils à de multiples cours privés du soir, les juku, et avait imposé à Atsuya d’améliorer ses notes. Une véritable dérive qui avait fini par se résorber. À force d’acharnement, Atsuya était devenu le meilleur élève de sa classe. Mère éducatrice, elle limitait fortement les relations amicales entre Atsuya et les autres, et s’enfermait tout le week end avec lui pour qu’il révise. Si elle le grondait au début, Hitomi avait néanmoins dû faire face à un nouveau problème, plus… Plus délicat.
En grandissant, son fils avait fini par développer ses hormones, ce qui n’avait pas échappé à Hitomi. Méthodique et organisée, elle avait remarqué que plusieurs de ses culottes à dentelles manquaient quand elle faisait le ménage. Cependant, elles finissaient toujours par revenir. En réfléchissant un peu, elle avait donc compris que son fils lui volait ses culottes quand elle les mettait dans le linge, les remettant ensuite à temps pour que sa mère ne remarque rien. Aujourd’hui, alors qu’elle attendait le retour de son fils chez eux, Hitomi était assise dans le fauteuil du salon, tenant dans sa main l’une de ses culottes blanches… Qu’elle avait retrouvé en fouillant dans la chambre de son fils. Elle avait vite compris que celle-ci était sale, et, en la reniflant, avait ressenti cette odeur, et vu un ou deux poils pubiens.
*Le sexe… Ça les rend fous…*
Elle-même en savait quelque chose, car son ancien époux était justement un homme qu’elle avait aimé par idiotie. Elle était alors jeune, rêveuse, et avait surtout hérité d’années de galère. Hitomi avait réussi à acheter une petite maison, à avoir un boulot, mais elle n’avait jamais dit à son fils qu’elle avait été jusqu’à vendre son corps pour ça. Elle savait le pouvoir destructeur du sexe, et refusait qu’Atsuya se laisse séduire par toutes les midinettes du lycée, qu’il perde sa précieuse concentration. La femme allait donc prendre le problème à bras-le-corps, comme elle en avait toujours l’habitude.
Atsuya finit par rentrer à la maison.
« Bonjour, Atsuya-chan. Je t’ai préparé ton goûter, mon chéri. »
Sa voix était calme, et elle laissa Atsuya la rejoindre. Comme d’habitude, elle lui demanda de lui parler de sa journée, tout en ayant préparé pour lui des tartines avec du beurre et un chocolat chaud. Et, alors qu’il mangeait, elle se pencha vers lui. Elle avait enfilé un top mauve qui mettait délicieusement en valeur sa magnifique poitrine.
« Bon, Atsuya-chan, je dois te parler de quelque chose d’important… Car tu m’as menti. »
Atsuya, qui savait que sa mère pouvait être aussi attentionnée que redoutable, glapit sur place.
« Je t’ai dit que je voulais que nous soyons parfaitement honnêtes, toi et moi, et que, si une fille s’approchait de toi, je voulais que tu me le dises. Tout comme tu es le seul homme dans ma vie, mon chéri, je tiens à être ta seule femme jusqu’à ce que tu aies réussi tes études. Et, en faisant le ménage dans ta chambre, j’ai découvert… Ça. »
Elle exhiba alors la culotte blanche.
« Je sais ce que tu as fait avec, Atsuya-chan. C’est très sale, c’est indigne d’un jeune garçon bien éduqué. Alors, je veux que tu me dises à quelle fille tu songeais pendant que tu… Que tu faisais ce que tu as fait avec ma culotte… Sinon, je vais devoir te punir, mon chéri. »
Hitomi essayait de paraître la plus ferme possible, car, quand elle avait imaginé son fils en train de se masturber dans sa culotte, elle avait ressenti… Une émotion qu’elle ne s’attendait pas à ressentir. Ses tétons s’étaient durci, son corps s’était mis à frémir, vibrant doucement… Des émotions perverses, des sensations qu’elle refoulait. Une mère ne devait pas penser ça… Mais, en revanche, à l’idée qu’Atsuya puisse avoir une petite-amie, une fille qui l’embrasserait, qui le caresserait…
…Hitomi sentait à cette idée une rage peu commune l’envahir !