L'arrivé des Paladins du Griffon, emplit de joie le peuple, qui avait été évacué de moitié. Remontant l'allée principale, ils forcèrent le passage vers le Palais, rejoignant les forces restante de Honral, sauvant au passage ce dernier, qui du être évacué. Ils permirent de reprendre le contrôle de la porte et permirent de commencer une évacuation en catastrophe de plusieurs personnes du Palais en établissant un couloir avec les Sentinelles d'Ivoire et les Protecteurs d'Ivoire et les forces restante de Honral.
En même temps que les Paladins du Griffon rejoignirent le Palais, l'air fut surchargé de magie, des crépitements et des vrombissement se faisaient entendre et ressentir. En effet, sur les artères principales, sur quelque grandes place, des portails s'ouvrirent, guidé par les balises magique installé par suivants de Azertus. Au total, une dizaine de portail était ouvert, droit sur la ligne de défense, droit sur les milliers de soldats qui firent trembler le sol de par leur crie, annonçant leur arriver
Oriflammes claquant au vent, cors de guerres résonnant comme le grondement d'un titan se réveillant, tambours de guerre rythmant la marche, l'armée était là. Les légions de Gardes de Fer, d'Exécuteurs et de Lance Écarlates avancèrent en rythme des cries de guerre, les spadassins ardents du fort de Brelmar, les compagnons du fort Olgor, les montagnards du superfort Stronghold, les flèches d'argent de Sviper, l'ordre de Chevalerie des Chevaliers d'Alserac, des Cerf d'Argent, des Basilic et tant d'autre. Pesamment, des catapultes et des balistes étaient poussé et même des tours de sièges, alors que des chariots de munitions était tirés. Le plus incongrue, fut sûrement la présence d'un dragon rouge, portant les blasons de Lumen, mais aussi ceux de la maison de Draconor, qui s'envola rejoindre son maître, mais aussi de bande d'ogre, mercenaire ou asservie, mais pour une grande partie, soumit à Jhorne depuis qu'il avait tuer le seigneur Ogre Grull le saigneur, avançant d'un pas pataud et menaçant, brandissant de lourde lame et marteau.
Mais ce ne furent pas les seules, car des portails déjà ouvert, l’ennemie déversa des siens un flot de myrmidons, de Hoplites, de minotaure, de troll et même de géant. Cinq géant, haut d'une dizaine de mètre pour le plus grand, portant d'immense masse d'arme, partiellement recouvert d'armure, avançant d'un pas lourd et terrifiant. L'ennemie n'avait pas tout envoyé, gardant une réserve, promettant une bataille titanesque.
Le dragon rouge réapparue, chevauché par le grand générale Olnard Draconor, IIIème du nom. Un héritage de sa famille, une jeune dragon élevé pour servir de monture au chef de famille. Le dragon rugit, et porté par la magie, la voix de Olnard résonna à travers Lumen.
-SOLDAT ! C'EST ICI QUE COMMENCE LA FIN DU MONDE ! ET C'EST ICI QUE NOUS L'ARRETERONS ! C'EST ICI QUE NOUS REPOUSSERONT LES DIEUX ! C'EST ICI QUE NOUS SAUVERONS TERRA !!!
Une ovation aussi puissante que le tonnerre lui répondit, et les troupes chargèrent, mener par des capitaines endurcies, des Lords et des Commandants de forteresses, se dispersant dans les ruelles, pour se heurter à l'ennemie. Un fracas si puissant que toute la citée le ressentie, que la terre en trembla. Un déchaînement de violence et de puissance, les coups, les cries et l'acier frappant l'acier, les rochers des catapultes, les traits de balistes, jugée sur des tours de siège ou placé au plus près du front, emportèrent bâtiments et soldats, de l'un comme de l'autre. La bataille forma une mélodie chaotique, une ode à la violence, alors que La Mort réclamait son dû implacablement.
Scylla finit par se désintéresser du palais après quelque minute, hurlant à en faire briser la terre, avançant passement pour réduire en bouillit l'armée. Mais venant de toute part, du haut de tour d'observation, des casernes-forteresse encore debout, ou du haut des remparts, les suivants d'Azertus déchaînèrent la puissance d'un rituel de bannissement, usant de multiple pierre d'énergie, d'artefact et se de potion d'énergie, soutenue par tout les mages qu'ils avaient put rassembler. Scylla fut frappé par une dizaine de rayon magique, formant des chaînes qui s'enroulèrent tout autour de ses têtes, tentacules et corps, le paralysant, alors que très lentement, le ciel se brisait au dessus de la créature.
Un rituel de bannissement, conçue par les elfes du temps des Grands Anciens, afin de lutter contre eux et leurs créations. Il était le rituel le plus puissant dans son domaine, le plus puissant et vorace en énergie, certain allait perdre toute leur magie, d'autre peut être même un peu de leur espérance de vie. Un sort que Azertus avait retrouvé il ya des années, dans sa quêtes perpétuelles de connaissance et de savoir, qu'il avait appris à ces plus proches disciple. Leur unique et seule chance pour se débarrasser de Scylla. L'ennemie le remarqua, et redoubla d'effort pour les atteindre, mais les troupes de Lumen se surpassèrent pour les repousser.
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La garde de la Reine fit à une dizaines d'hoplites, autant de myrmidons et 5 minotaures, armés de deux haches chacun et portant de lourde cuirasse, arrivèrent, le souffle court et rauque, bataillant depuis longtemps. Le rapport de force semblait évidant, mais derrière eux, sortant d'une alcôve secrété et d'un balcon dissimuler dans le décors juste au dessus de la porte, 5 Sentinelles d'Ivoire braquèrent leur arbalètes sur les minotaures, un léger signe de tête à l'encontre de la Reine et du paladin. Ils étaient visiblement en embuscade ou ils venaient juste passer un coup d’œil en allant à un autre conflit.
La grand salle contenait 4 entrés, en tenant compte d'aucune salle voisine. Celle qu'avait prit la reine et l'ennemie se faisait face. La troisième sur la gauche de la Reine, était jonché de cadavre en pagaille, une rencontre fatal entre 2 groupes. De l'autre, des clameurs se firent entendre violemment brusquement, un combat et des beuglements se faisant entendre, puis dans un lourd fracas, sortant d'une pièce à quelque mètre de l'entré, on put apercevoir un minotaure se faire soulever par un homme une armure lourde, aussi imposant que la bête, qui finit par jeter la bête dans la pièce d'en face. Il grogna, posant un genou à terre, avant de se relever, rejoignant la pièce ou se faisait face les deux groupes suivit par une femme en armure élégante, ses lames couverte de sang, suivit d'une troupe de Garde de Fer.
-ON OSE SE DRESSER SUR LE CHEMIN DE LA REINE ? Hurla Beredor en s'avançant lourdement, fissurant les carreaux sous ses bottes.
J'VAIS VOUS BRISER LES OS ET VOUS ARRACHER LA TÊTE ! Beugla t-il en levant sa lourde lame.
Bérédor, l'Homme de Lumen, celui qui refusa de devenir champion avant Jhorne. Un des meilleurs combattants de Lumen, une légende vivante, un homme qui à combattu au côté de Liam Ivory de nombreuse fois. A ses côtés,
Valziria la Valkyrie, une femme chevalier, venant d'un royaume tombé sous le joug de Mijak, se tenait fièrement. Elle avait jurée allégeance à Lumen qui l'avait sauvé elle et les siens, et depuis, 1 millier de tête était tombé sous ses lames au nom de Lumen, dont celle de plusieurs commandants Mijakiens, se taillant une solide réputation dans l'armée. Les deux et leurs hommes rejoignirent les forces de la Reine, prêt à charger.
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Arkadia s'était laissé dominer par cette puissance, la fusion élémentaire demande de long préparatif, aussi, le faire aussi violemment lui coûta une part de son équilibre mentale. Elle engendra une puissance, certes impressionnante, mais inutile si elle ne la contrôlait pas. Aussi Arkadia fut une proie facile pour la magie de Circé, plongeant à pied joint dans ce tourbillon d'illusion. En emprisonnant son esprit ainsi, Circé força indirectement Arkadia à reprendre ses esprits par la même occasion. Ce fut d'abord une terreur primale, à la vision de la main se refermant sur elle, la plongeant dans le noir, avant de les rouvrir, pour voir son ancien maître, Arduin.
-Comment ?
-Tu ne gagneras pas ainsi, Arkadia... le feu est insuffisant. Je te l'ai toujours dit. Tu es impatiente, arrogante... Jeune.
-Comment est tu encore en vie ? Je nous ais tout les deux réduit en cendre avec la sphère de haine de Vinrard ! C'est impossible !
-Je t'avais bien dit la puissance n'est rien sans l'expérience !
-Tu n'est pas réelle ! Disparaît illusion !
Arkadia tenta de faire appels à ses pouvoirs, mais elle ne sentit aucune magie. Arduin eu un rire moqueur et lança un conne feu droit sur Arkadia. Mais les flammes entourèrent Arkadia, et embrassèrent toute la pièce. Un maelstrom de flamme qui emportant Arduin et toute la vision d'Arkadia. Des flammes, un visage fait de roche noir et de lave en sortie, immense, menaçant.
IMPRUDENTE ! TU N'EST PAS ENCORE PRÊTE ! JE T'ACCORDE MON AIDE UNE DERNIERE FOIS !
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Jhorne était puissant, le plus puissant combattant de Lumen. Mais cela ne suffisait pas contre Circé. Il fut envoyé en l'air pendant une charge, lui rappelant son combat contre son premier dragon. Il se rétablie prestement, tentant une attaque aérienne, qui aurait brisé l'échine d'un petit dragon, mais il fut pris au dépourvue, Circé le contrant, percutant le sol avec force, lézardant se dernier. Mais ce fut le noir complet, pourtant il n'avait sentie aucun impact .
Il ouvrit les yeux. Le palais était loin devant, un charnier à ses pieds, un empilement de cadavre de multiple adversaire identifiable. La pluie battait fort, ruisselant de sang, formant des flaques écarlates, recouvrant Jhorne d'un linceul macabre. Ce combat avait du être si violant pour que le ciel saigne, impossible de dire si il y avait des alliés parmi eux.
« Ils sont tous morts, Jhorne… Tués par toi et par ta fureur guerrière. Tu te prétends servir une noble cause, mais tu n’es qu’un boucher, un sauvage… Une bête tout juste bonne à tuer. Et, aujourd’hui, le Champion de Lumen va accomplir sa destinée, il va tuer la Reine ! »
Ce massacre était de lui ? Non... quelque chose n'allait pas. Des ombres et des cadavres, une armée se dressa entre lui et le palais, fonçant sur lui, hurlant, l'injurant, voulant sa mort. Il leva son épée, et la planta dans le sol devant lui, mains sur le pommeau, riant à gorge déployé, alors que les premiers lames le frappèrent.
-Es là toute tes manipulations Circé ? Je ne suis qu'un arriéré ? Un soldat agitant sa lame que pour verser le sang ? D'oublier mes engagements aussi facilement. KUAHAHAHAHAHAH !
Il ria, ignorant les coups, brimant la douleur, des chatouillis comparé à la masse d'un seigneur Ogre capable d'exploser son casque, ayant faillit le tuer, à la morsure d'un dragon ou la lame en travers d'un poumon d'un Chef de Guerre Orck ou d'un démon qui manque de vous trancher en deux.
-Je suis Jhorne, Champion de Lumen, celui à qui vue l'enfer en combattant un démon, celui qui à rencontré La Mort à chacun de ses combats ! Crois tu que tes sortilèges suffiront à me faire flanchir ?
Il riait, son esprit d'acier balayant cette réalité, sa volonté brisant l'emprise de cette illusion. Il n'avait aucune peur de mourir, car il savait que ce n'était pas la réalité, pourquoi crainte une fausse mort ? Il était comme dans une sorte de rêve éveillé, Circé avait toute emprise sur l'illusion, mais Jhorne avait un esprit, une force mentale, une volonté bien trop forte pour être manipulé aussi facilement par magie, dénué de peur et de crainte. Circé aurait beau faire, elle ne pourrait faire flancher l'esprit de Jhorne, a moins d'essayer pendant des mois voir plus. Conscient de son inconscience, Jhorne n'avait aucun doute qu'il ne lui arriverait rien.
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Azertus lança ses sorts les plus puissants contre Circé, tentant de trouver une solution en même temps pour Jhorne et Arkadia. Seul il ne pouvait rien faire face à Circé. Il fallait espérer que les deux arrivent à repousser les illusions sans sombrer dans la folie et de perdre tout repère. Pour le moment il devait penser à lui et reconsidérer ses options.
« Tout cela est un plan préparé de longue date, l’étape logique après la Chute de l’Eld ! Nous avons mis fin à la lignée principale de l’Eld, nous mettrons désormais fin à celle des Ivory ! »
-Les dieux sont t-ils devenue si fou qu'ils emboîtent le pas des Grands Anciens ? Ironisa Azertus.
Vous préparez le terrain pour vos maîtres ?
Et violemment, son bouclier se brisa, le prenant au dépourvue. Il n'avait pas vue ni senti la personne derrière lui. Il fut frappé par un sort dans la seconde qui suivit, l'envoyant dans le palais, brisant des côtes, heurtant un débris, se brisant le bras. Il finit sur le bras, haletant, gémissant, lâchant un crie de douleur en touchant l'os perçant la peau de son avant bras. Il se relevant tant bien que mal, se soignant comme il pouvait. Il regarda avec une certaine peur, le héro olympien qui venait vers lui. Hector, un soldat de légende, qui avait mener la défense de Troie avec brio, repoussant moult assaut, avant que Achille ne rejoigne la bataille. Circé flottait dans les airs, le regardant avec dédain, tandis que Hector s'avançait, prêt à esquiver tout sortilège.
-Votre plan à été menée avec brio très cher Circé. Mais vous oubliez ce dont les mortels sont capable, car il n'y a pas plus imprévisible, que leur esprit et leur résilience.
Hector chargea, alors que Azertus lança un sortilège, qui ne visa ni Hector, ni Circé. Hector transperça de part en part Azertus, le soulevant, avant de retirer son épée et de dégager son corps d'un coup de pied, qui tomba inerte, le sang s'étendant rapidement. Dans les mêmes instant, Circé sentit son emprise sur Arkadia et Jhorne se briser, l'un par une force extérieure très puissante et l'autre par la force combiné de la volonté de Jhorne et le sortilège de Azertus.
Elle encaissa dans la foulé un puissant rayon ardent, ébranlant sa défense magique, avant d'être harcelé par de multiples rayons ardents, surgissant de toute part, plus petit, avant d'être prise dans une tornade de feu.
Une tornade de feu énorme et puissante, coupant l'horizon de Circé. Arkadia surgit des flammes, des ailes ardente dans le dos, toujours avec le même aspect, mais avec quelque chose de différent. Aucun colère, aucune, rage, un esprit froid et puissant. Elle n'avait plus rien à voir avec celle de tout a l'heure, dominé par une puissance incontrôlable, maintenant c'était elle qui dominait cette puissance.
-Je brûlerais ton âme.
Arkadia généra de multiple lame ardent, lance de feu et bouclier de feu, mais aussi des lames des lumières, des rayons arcaniques, des flèches d'acides, des lames de vents et même des ondes de choc, les un à la suite des autres. Elle déchaîna sa puissance, non plus du feu, mais des autres forme de magie, dressant colonne de pierre et vaque de glace. En regagnant ses esprits, Arkadia avaient put récupérer le contrôles de sa puissance, faisant face à Circé avec bien plus d'adresse et de discipline, combinant ses sorts et tentant de multiples manœuvres d'attaque surprise. Un combat d'anthologie et de puissance. Les deux déchaînèrent des puissances qui ravageraient une armée entière, si bien que le palais commençait à en ressentir les effets. Même si la différence de puissance était notable, Arkadia parvint à tenir tête, étant plus puissante que Azertus, qui lui n'était pas un spécialiste du combat.
Durant le même laps de temps, Hector été prit au dépourvue, les flammes le bloquant, avant que son instinct le prévint d'une menace. Il se retourna, prêt à frapper, constatant avec incrédulité, le mage Azertus finir de se relever, les yeux dégoulinant de sang, les yeux entièrement noir, et le sang coulant toujoursde son abdomen, là où il l'avait transpercé, alors que son bras brisé se remit en place à l'aide de lien magique.
-J'ai surpassé la mort, survécus à la bataille contre les grands anciens, comment une simple épée pourrait me tuer ?
Il pouffa de rire devant l'air incrédule du héro grec. Tous ses sacrifices au nom de La Mort et recherche occulte n'avait pas porté leur fruit en vain. Hector lui plongea dessus, mais Azertus le contra avec une lame arcanique, le repoussant, avant que sa lame ne disparaisse.
-Un combat pour l'éternité. Moi immortel et toi que je ne peux espérer battre, car tu ne m'en laissera pas l'occasion. Lui dit Azertus en caressant sa barbe, tout en pouffant de rire.
Hector lui fonça dessus, mais une violente impulsion arcanique le repoussa, avant d'être entraver par des chaînes magique. Azertus savait qu'il n'aurait pas d'autre occasion pour s'en débarrasser, mais il doutait d'y arriver. Aussi, encore un peu d'interdit et de contre-nature ne ferait pas de mal. Il sortie d'entre les plis de sa robe, un symbole chargé d'énergie négative, représentant un crane dans un cercle d'os. Il le mit devant lui, prononçant des paroles emplies de noirceur et de malédiction, un langage que Hector ne put identifier. Un substance noir dégoulina du symbole, en grande quantité, formant multiple symbole autour de Azertus, un cercle ésotérique de symbole mystique et sombre. Il lâcha le symbole, qui flotta dans les airs, dégoulinant toujours, mettant ses mains de part et d'autre. En même temps, les chaînes d'Hector se brisèrent, et il se précipita pour mettre fin à ce rituel. Les yeux d'Azertus saignèrent d'avantage, alors qu'il crachat une dernière parole. Des tentacules jaillirent des symboles au sol, bougeant de manière frénétique et chaotique. Ils fondirent sur Circé et Hector, de manière désordonné. Ils heurtèrent les défenses magiques de Circé, s'enroulant autour, formant une masse noir, tandis que Hector lutta ardemment pour ne pas se faire attraper.
Circé put ressentir tout l'aura macabre et maléfique qui en ressortait. Des gémissement d'outre tombe qui en sortirent, des mains qui se formèrent, avant que des visages ne se plaque contre ses boucliers. Des visages familiers, chacun des pauvres êtres qu'elle avait tuée, réclamant vengeance et son âme, ou bien qui lui furent proche, lui reprochant d'être en vie. Ce n'était aucune forme magie que Circé connaissait, une espèce d'anomalie. Ses boucliers s'affaiblirent, et seule une explosion magique intense, lui permit de briser l'étau, dispersant la masse noir dans les airs, qui tenta de se reformer.
Un rayon ardent frappa ses bouclier, à peine que Circé finit son sort, finissant de les achever. Arkadia concentrait toute sa puissance dans ce tir, formant une colonne de feu concentré blanche en continue, frappant Circé de plein fouet, parvenant à l'envoyer à terre. Et alors que Circé se remit d'aplomb, elle sentie le sol trembler. Jhorne, a pleine vitesse, traversa un mur et la distance en quelque pas, pour abattre sa lame surchargé de magie, crépitant de puissance, ne laissant à Circé que le temps de débuter un sort de protection tant Jhorne se montra rapide.
La lame s'abattit avec puissance sur Circé, fissurant et brisant le sol, emportant Jhorne et Circé dans la pièce d'en dessous, dans une explosion et flots de gravats, qui fit trembler les murs. Jhorne, s'en sortir relativement bien, son corps solide encaissant tant bien que mal le choc et les débris. Il se releva, manqua de tomber, une de ses jambes se dérobant. Boitant, il se dirigea vers Circé, qui semblait à moitié sous les gravats, visiblement encore consciente de peu qu'il pouvait voir dans toute cette poussière. Il leva sa lame, dans l'optique de l'empaler, à défaut de la couper en deux.