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Dans la toile du Drider (PV)

Posté : 13 oct. 2024 23:17
par Jaezreth Z'Ress
Quelques semaines s'étaient écoulées depuis la mutation réussie de Jaezreth en Drider, et après avoir passé quelques jours encore dans le laboratoire secret de Zila pour faire divers examens, ce dernier avait été pour ainsi dire relâché. Secrètement guidé par Streeaka qui était alors venu le chercher, cette dernière l'avait emmené dans une gigantesque caverne sous-terraine, non utilisée, et dont les galeries menaient au manoir Z'Ress. Un endroit parfait, à l'écart, où il avait pu commencer à se familiariser avec ses nouvelles capacités. Tisser des toiles, grimper aux parois sans le moindre problème, mais aussi sa nouvelle taille et sa nouvelle force. Plus que tout, il avait pu ici commencer à établir son nid, et à engrosser des esclaves qui lui étaient amenées afin qu'il s'en serve comme de mères porteuses. Il avait tué les premières qui avaient eu le malheur de lui servir de...mannequins d'entraînement, mais depuis il s'était bien raffiné dans l'utilisation de ses divers organes, et si ses premières victimes avaient été des pertes sèches, il arrivait maintenant à maintenir ses proies en vie, et à les engrosser.

Hnnn...M-Maître....

Jaezreth était présentement pendu au plafond de sa caverne, qui était intégralement recouvert de ses toiles. Dedans, enfermées dans des cocons solides, une bonne dizaine de femmes s'y trouvaient, et il était en train d'achever de recouvrir la dernière d'entre elle de sa toile. Symbole qu'il était bel et bien une aberration même parmi des aberrations, ses cocons une fois tissés agissaient comme des organismes vivants, dont l'intérieur devenait un subtil mélange de toile et de matière organique qui était capable d'agir, notamment en formant des tentacules visqueux qui stimulaient leurs prisonnières, et les nourrissaient. Ne prêtant guère d'attention aux gémissements de cette humaine, il acheva de recouvrir son visage d'une épaisse couche de toile. Elle comme toutes celles qu'il avait placé dans ces cocons étaient enceintes, il avait pondu des dizaines d'oeufs dans chacune d'entre elles, et d'ici quelques temps, elles allaient donner naissance à une multitude de jeunes araignées géantes qui pourraient continuer leur croissance. Jaezreth terminait tout juste sa phase d'expérimentation, car il s'agissait là de sa deuxième portée d'araignées. Fort heureusement, lorsque ses enfants naissaient, ils ne dévoraient pas leurs mères porteuses de l'intérieur, ce qui lui laissait donc l'opportunité de les réutiliser. Il n'en était toutefois pas encore au stade de comprendre comment il pouvait faire éclore des Driders, car les quelques esclaves qu'il avait tenté de féconder ainsi étaient rapidement mortes, dévorées par les foetus de leurs enfants monstrueux, comme si ils rejetaient le fait d'être portés par des humaines.
Il termina sa toile, puis, à l'aide d'une de ses multiples pattes, sentit des vibrations parvenir depuis sa toile, l'avertissant de visiteurs qui approchaient.

Hmmm...

Le Drider fit tourner sa tête en direction de l'unique entrée de la caverne, il y avait des visiteurs au pluriel, effectivement, il discernait aisément une nouvelle arrivée d'esclaves qui étaient escortées par des guerriers Drows. Mais ce qui le surprit, ce fut de voir que sa chère soeur et maîtresse, Streeaka, se trouvait à la tête de cette cohorte. Rapidement, à la vue de toute cette visite, Jaezreth se mit à glisser le long de ses toiles, se dirigeant vers un long pilier de roche qui allait du plafond au sol dont il se servit pour descendre, puis finalement arriver à proximité de la procession. Il parvint face à face avec Streeaka, et là où ses gardes comme les esclaves semblèrent au mieux inconfortables face à sa présence, Streeaka elle conservait son assurance de toujours. Cela serait forcément d'autant plus le cas que Jaezreth plia ses pattes de façon à abaisser sa taille, et il se courba sur le devant pour montrer son respect, et sa soumission, à la Drow.

Maîtresse Streeaka, quel plaisir de vous revoir. Je vois que vous m'apportez de nouvelles concubines et je vous en remercie, mais que me vaut l'honneur de votre présence ?

Il était naturellement curieux, car Streeaka ne se déplaçait pas sans une bonne raison. Elle était la matriarche de la maison Z'Ress, mais aussi de toute la cité de Menzoberranzan, alors elle ne perdrait sans doute pas son précieux temps sur juste une livraison d'esclaves qui pouvait être effectuée par des sbires. Il se montrait en tout cas extrêmement attentif à l'étiquette et à ne pas parler de façon familière avec sa soeur ainée, tout du moins pas en public.

Re: Dans la toile du Drider (PV)

Posté : 13 oct. 2024 23:17
par Streeaka Z'Ress
Zila avait réussi un mince exploit, quelque chose qui avait à nouveau amené la maison Z’Ress à faire l’objet de vives critiques : elle avait réussi à convertir leur petit-frère en Drider sans qu’il ne reçoive la malédiction de Lolth. Jaezreth était un membre de leur fratrie, qui, comme Streeaka et Zila, avaient connu le monde d’origine des elfes, avant qu’ils ne rejoignent Terra et le continent principal. Cette relation particulière faisait que, quand Streeaka s’était emparée du pouvoir (en empoisonnant sa mère), Jaezreth avait fait partie des membres de sa fratrie qu’elle n’avait ni tués ni exilés, mais l’avait au contraire conservé près de lui. Il avait toujours été une sorte d’amant privilégié, tant de Streeaka que de Zila. Un guerrier particulièrement redoutable, qui avait depuis toujours eu une certaine affinité avec les araignées. Lorsque Streeaka avait pris le pouvoir, Jaezreth l’avait aidé, et avait tué ses propres frères aînés qui aimaient le martyriser et pour qui Streeaka n’avait aucune affection. Elle se rappelait encore lui avoir retiré à ce moment la cage de chasteté cruelle imposée sur lui par sa mère, qui contenait des pointes et le faisait saigner quand il bandait régulièrement. Ils avaient fait l’amour comme ça, et elle avait ensuite repris son habitude régulière de le sodomiser, de le fouetter, de le griffer, de le torturer sexuellement… Quand on était un Drow, il fallait s’attendre à cela.

Récemment, Zila avait envisagé sur Jaezreth une expérience génétique et magique très risquée. La grande-sœur de Streeaka était une magicienne redoutable, talentueuse, mais qui respectait peu de règles d’éthiques. Elle avait souvent conçu d’horribles mutants, des monstres hideux qui avaient tué bien des gens. Elle avait essayé sa formule sur d’autres cobayes, mais elle était convaincue que cela marcherait sur Jaezreth. Il avait donc accepté, sans rechigner. Créer un Drider n’était pas facile, a fortiori en s’éloignant des rituels macabres de Lolth, qui rendaient les Driders fous et inféconds. Streeaka caressait depuis longtemps l’idée de disposer de sa propre colonie d’araignées géantes et de Driders, des guerriers terriblement efficaces. Cela était d’autant plus vrai que les Skavens étaient plus que jamais actifs, et attaquaient en masse les frontières du royaume drow.

Pour réussir ce tour de force, Zila s’était aidée des élixirs et des manuscrits que Streeaka avait obtenu en contactant les habitants de la surface, les « Surfaciens ». Le rituel avait nécessité un élixir magique infusé avec le sang de la Déesse Aphrodite, et l’usage de la redoutable magie rose. Le rituel avait été un succès, et Jaezreth était devenu un Drider insatiable. Plutôt que de laisser la folie le consumer, Zila avait utilisé certains rituels de magie rose permettant de « soigner » des névroses et des maladies mentales en les convertissant sexuellement. Les cultistes d’Aphrodite pratiquaient souvent ce genre de thérapie rose. Tandis que Jaezreth avait suffisamment de partenaires et d’amantes, son état mental restait stabilisé.

« Nous y sommes… »

Le monte-charges s’enfonçait dans les profondeurs de Menzoberranzan, dans une grotte spéciale qui n’était accessible par aucun autre endroit. C’était la tanière de Jaezreth. Quand elles entrèrent, la demi-douzaine d’esclaves frissonna en sentant les odeurs fortes de cette première galerie, et les toiles d’araignée qui s’y trouvaient, signalant leur présence.

Les premières amantes de Jaezreth avaient été des prisonnières qu’il avait tué, le temps de maîtriser sa force et ses nouvelles capacités. Son sperme abondant permettait de féconder ses amantes pour qu’elles accouchent en théorie de Driders. Il disposait à défaut d’un ovipositeur qui permettait de placer des œufs d’araignées. Pour l’heure, chaque femme ayant tenté d’accoucher d’un Drider était morte de façon horrible. Hémorragie sanguine, ou le ventre qui éclatait, ne laissant plus qu’une bébé monstrueux mort. Zila avait examiné les cadavres, fait des autopsies et des prélèvements génétiques, et elle avait trouvé la réponse.

« Il fait froid…
Ce sont des toiles d’araignée… »

Streeaka avait réuni une délicieuse brochette, incluant trois Drows :
  • Myrxyra Auvryval, la fille aînée de deux prisonnières. Elles appartenaient à la maison Auvryval, une maison obéissant à une maison drow rivale des Z’Ress, les Xorlarinn. Récemment, Streeaka s’était emparée de cette maison. Myrxyra était une guerrière et une danseuse, qui veillait sur sa petite-sœur, et avait donc accepté de la suivre ici,
  • Elvanra Auvryval, petite-sœur de Myrxyra. Elle était une magicienne talentueuse, destinée à rejoindre les Xorlarinn. Elle était la principale raison de ce siège, afin que Streeaka la récupère. Elle avait hésité entre l’adopter et la confier à son frère, et, sur les conseils de Zila, avait opté pour la seconde option,
  • Dralace Z’Ress était une petite-fille de Streeaka. Malgré son nom, elle était assez minoritaire au sein du clan, et avait donc accepté de rejoindre celui qu’elle considérait souvent comme son oncle, dans la perspective de gagner en rang au sein de la famille.
Le reste du groupe se composait ensuite de quatre elfes :
  • Elruän, capturée par les chasseurs d’esclaves de Streeaka dans une forêt,
  • Mithrora, qui avait été capturée avec Elruän, les deux femmes appartenant au même groupe, et ayant eu le choix entre se rendre ou mourir en affrontant les guerriers de Streeaka,
  • Nara, achetée au marché de Menzoberranzan, vendue vierge, et toujours vierge,
  • Caora, autre esclave achetée au marché de Menzoberranzan, et qui avait déjà fait l’amour avec Jaezreth avant qu’il ne soit converti en Drider.
Un joli groupe, donc. Elles auraient pu tenter de se rebeller, mais elles portaient toutes un collier avec un cristal en dymérite restreignant leurs capacités magiques. Au cas où, plusieurs gardes en armure accompagnaient la procession.

Streeaka huma l’air, sentant les effluves érotiques de la tanière. Les elfes commencèrent à s’agiter, surtout les deux esclaves, qui étaient de fait les plus dociles. Zila était arrivée à la conclusion que, pour accoucher d’un Drider, il fallait une constitution drow, ou elfique. Il allait donc falloir voir si cela marchait pour les deux races, et le mieux était d’expérimenter. Autant Zila n’avait aucun doute pour les Drows, mais elle se posait encore des questions sur les elfes. Ils rejoignirent la galerie menant au nid, et Streeaka entendit des bruits de pattes. Plusieurs de ses esclaves frissonnèrent, et la silhouette massive et magnifique de Jaezreth émergea ensuite. Il se dressa face à Streeaka, la dominant par sa stature. Streeaka se pinça furtivement les lèvres, le trouvant plus beau que jamais. Elle n’avait pas encore goûté à son corps, car Zila avait préféré attendre de voir que tout se passait bien.

Jaezreth s’inclina respectueusement devant elle, pliant ses pattes pour que sa tête arrive à hauteur de la sienne, et qu’il s’incline ensuite. Elle sourit donc, et promena une main sur son armure chitineuse, remontant jusqu’à son visage, tandis que son autre main caressa l’une de ses pattes. Zila elle-même ignorait encore avec certitude tout ce dont Jaezreth était capable, sexuellement parlant.

« Je te salue, Jaezreth. »

Ce n’était pas Streeaka qui convoyait les esclaves, alors sa présence était donc atypique. Derrière elle, les gardes faisaient s’agenouiller les sept femmes. Certaines étaient terrifiées, d’autres fronçaient les sourcils, et d’autres encore étaient plus confuses, rougissant déjà. Streeaka humait l’odeur de son frère, et sentait sur lui des relents sexuels. Elle se hissa sur la pointe des pieds, et l’embrassa sur les lèvres.

« Je suis venue t’apporter une bonne nouvelle… Qui explique aussi pourquoi, parmi les concubines que je te propose, il n’y a que des elfes ou des Drows. »

Elle s’écarta un peu pour qu’il les regarde, les jauge, les renifle… Avec la magie rose qui était inhérente en lui, sans doute pouvait-il percevoir leur nervosité sexuelle ou non.

« Dame Zila a découvert que, si tu pouvais féconder n’importe quelle femelle avec ton ovipositeur, ton sperme, lui, est puissant… Trop puissant pour l’organisme de simples dh’oines ou d’autres races inférieures. Dame Zila a constaté que ton spermatozoïde éclatait au sein des ovules de sous-races, provoquant ces morts tragiques. Nous avons utilisé mes ovules en les croisant avec tes spermatozoïdes… Et mes ovules ont tenu. »

Elle pouvait sentir son excitation à cette idée.

« Je vais rester un certain temps avec toi, Jaezreth, car je tiens à être la première qui portera tes Driders. »

Streeaka lui sourit alors, peinant à contenir son excitation.

« Tu pourras naturellement baiser toutes ces femmes. Certaines sont vierges, comme tu peux le sentir. Mais je veux être la première, que tu me baises devant elle pour les rassurer. Et je tiens également à ce que tu me baises fort. »

Cela, Jaezreth le savait. Avant d’être un Drider, quand il couchait avec Streeaka, il pouvait se faire punir sévèrement s’il ne la baisait pas suffisamment fort, ou s’il se retenait. Elle retourna près de lui, et caressa l’une de ses pattes, avant de déposer un baiser dessus.

« Ce programme te convient-il ? »

Re: Dans la toile du Drider (PV)

Posté : 13 oct. 2024 23:18
par Jaezreth Z'Ress
Il y avait toujours une bonne raison à la venue de Streeaka Z'Ress, cela, Jaezreth était l'un des mieux placé pour le savoir, car il était avec elle et Zila l'un des membres les plus vieux encore en vie de cette maison. Heureusement qu'il avait copieusement baisé ses esclaves récemment, ce qui lui permettait de contrôler ses pulsions qui étaient devenues bien plus fortes depuis qu'il était un Drider. Mais de par sa création si spécifique, et avec l'aide et les conseils de Zila, il avait pu découvrir qu'avoir des relations sexuelles régulièrement lui permettait de garder le contrôle de son propre esprit. Autrement dit, ce nouvel arrivage d'esclaves tombait à point nommé, mais toute son attention était pourtant focalisée sur Streeaka, qui était proche de lui, et qui alla jusqu'à glisser une main sur une de ses joues, et l'autre sur l'une de ses multiples pattes arachnides. Le haut de son corps se redressa légèrement après qu'elle l'aie salué, et il fallait bien avouer qu'il était extrèmement grisant de constater à quel point sa nouvelle nature lui apportait désormais le respect qui lui avait toujours été nié jusque là. Streeaka ne l'avait jamais rejeté comme leur mère ou leurs frères et soeurs avaient pu le faire, mais il n'avait jamais été non plus d'avantage qu'une espèce d'outil utile, mais pas indispensable. Là, à présent, il pouvait le sentir, Streeaka était venue dans sa caverne pour lui annoncer quelque chose d'important, parce qu'il devenait désormais important pour la maison Z'Ress, et par extension pour elle. Servir Streeaka, véritablement la servir, au point de devenir un atout pour elle, voilà qui était la raison de vivre de Jaezreth, son obssession.
Certaines de ses pattes claquèrent au sol instinctivement lorsque Streeaka déposa un baiser sur ses lèvres, avant qu'elle ne commence à expliquer la raison de sa venue.

En effet je le constate, des esclaves moins évidentes à se procurer, et plus précieuses que de vulgaires d'hoines...mais pour quelle raison ?

Si le visage de Jaezreth ne quitta jamais de vue sa soeur, le fait qu'il dispose de plusieurs paires d'yeux lui permettait en même temps d'observer ces sept esclaves qui lui avaient été amené. Les humaines étaient pourtant beaucoup plus faciles, et moins chères, à se procurer que des Drows et des Elfes. Streeaka rentra toutefois rapidement dans le vif du sujet, évoquant de nouvelles expériences de Zila pour comprendre pourquoi il ne pouvait pas enfanter de Driders. Il s'avérait donc que les humaines étaient tout simplement incompatibles, mais qu'il semblait en revanche que les Drows...présentaient une possible compatibilité qui semblait certaine, et ce, suffisamment pour que Streeaka ne déclare vouloir être la première à porter ses Driders.

Tu es certaine de ce que tu avance, ma soeur ?

Oh elle l'était, il suffisait de voir son langage corporel, qui peinait à trahir une excitation lancinante. Elle le confirma, et même si il allait baiser la totalité de ces esclaves, présentement, seule Streeaka avait sa pleine attention. Alors, quand elle lui demanda si ce programme lui convenait, Jaezreth n'eut qu'une seule et unique réponse à lui donner. Il posa ses deux mains sur les hanches de la matriarche Drow, pour la soulever sans la moindre difficulté, tandis qu'il se redressa à sa hauteur normale avec ses pattes, et alla directement l'embrasser. Ni l'un ni l'autre ne s'étaient encore touchés depuis la transformation, une précaution nécessaire le temps que Jaezreth puisse être à l'aise avec son nouveau corps, et entre autres, contrôler sa force gigantesque. Ce serait donc la première fois que Streeaka aurait droit à son baiser, et à sa langue monstrueuse qui ressemblait bien plus à un appendice tentaculaire qu'à une langue traditionnelle, qu'il enfonça profondément dans la bouche de Streeaka, allant jusqu'à jouer à aller dans sa gorge, avant de se retirer.

Tu le sais, tes désirs sont des ordres. Je n'ai pas pu te faire honneur depuis des semaines, mais maintenant que j'arrive à me contrôler, ce sera pour moi un plaisir et un honneur que de t'enfanter.

Il reposa délicatement sa soeur sur le sol, et commença à retirer son armure, tout en tournant sa tête en direction des gardes.

Mettez ces esclaves dans les toiles, puis retournez au palais, je m'occupe à partir d'ici de la sécurité de notre matriarche.

Visiblement peu enclins à vouloir contester les ordres de ce monstre, les gardes s'exécutèrent, et jetèrent promptement les esclaves dans des amas de toiles Drider afin qu'il s'y coincent. Le temps qu'il partent, Jaezreth avait alors fini de se dévêtir, révélant son beau torse alien, recouvert d'une sorte de chitine mais qui était douce au toucher, et aussi sensible que de la peau. Mais surtout, avec tout le bas de son abdomen découvert, Streaaka pourrait pour que depuis un emplacement où se trouvait autrefois l'entrejambe de Jaezreth quand il était encore Drow, des plaques de chitine protectrices s'écartaient pour permettre la libération d'un sexe massif et tentaculaire, ou du moins qui semblait capable d'onduler comme tel en se rapprochant du visage de la Drow.

J'espère que Zila ne t'a pas trop gâché la surprise de la découverte, ma belle maîtresse. Il y a tant de choses que je peut désormais faire, tant de façons de te baiser, enfin, proprement, comme une Matriarche est en droit de l'exiger...

Re: Dans la toile du Drider (PV)

Posté : 13 oct. 2024 23:18
par Streeaka Z'Ress
Streeaka prenait sans aucun doute de gros risques. Zila était plutôt partisane du fait de laisser Jaezreth expérimenter sur des Drows avant, mais, si jamais cela marchait, son premier enfant ne viendrait pas de Streeaka… Et cela, mine de rien, embêtait Streeaka. Elle avait dans le fond toujours été plus sentimentale que sa sœur aînée. Du temps où il n’était encore qu’un simple Drow, Streeaka avait toujours bien traité Jaezreth. Même s’il était un mâle, il n’en restait pas moins son petit-frère, loyal et désireux de faire ses preuves. Elle avait mis du temps à le soigner des sévices et des tortures que leur mère lui avait infligé, et, si elle-même le torturait sexuellement, elle s’assurait toujours de le faire jouir. Elle ne l’avait jamais humilié en public, mais elle l’avait souvent prêté comme amant pour d’autres personnes. Elle en avait fait un redoutable guerrier, mais aussi un amant très efficace. Il lui semblait donc logique qu’elle soit la première. Elle prenait donc de gros risques… Mais Streeaka Z’Ress était aussi connue pour ça, pour sa manière à briser les codes, et à s’exposer inutilement. Ne pas prendre de risques à Menzoberranzan, c’était déjà se condamner à mort.

Elle pouvait sentir l’excitation de Jaezreth, qui ordonna aux gardes de jeter les esclaves sur des toiles, tandis que lui-même se prépara. Streeaka se pinça les lèvres, et laissa tomber sa cape. Dessous, elle portait sa traditionnelle tenue composée d’un corset avec une bande noire à hauteur de ses tétons, et de longues cuissardes noires à talons. Jaezreth pourrait également constater qu’elle avait mis autour de chacun de ses tétons un anneau doré. Elle savait qu’il l’aimait mieux comme ça. Quelle grande-sœur attentionnée serait-elle si elle ne connaissait pas ses goûts ?

Les gardes s’empressèrent de s’affairer. Ils se doutaient de ce qui allait se passer, et ils n’avaient pas envie de mourir ensuite en ayant vu leur Matriarche dans une position indigne d’elle. Quant aux esclaves, Myrxyra commença à craindre pour sa vie, car le fait de les faire assister à ce spectacle signifiait qu’elles risquaient de mourir ensuite. Elle était une Drow impitoyable, mais elle parlait surtout à sa sœur, soucieuse de la rassurer… Ce qui était ironique, car les vierges n’avaient que peu de protections face aux aphrodisiaques que Jaezreth déployait, ou imbibait ses toiles. Elvanra et Nara étaient donc des cibles privilégiées. Nara se tortillait déjà nerveusement sur place. Elle avait été achetée il y a plusieurs semaines, mais sans jamais être utilisée. Elle était généralement attachée dans la chambre de Streeaka, et la regardaitr faire l’amour en étant dissimulée dans un meuble, ou attachée au mur. Streeaka l’avait préservé pour ce moment.

La Matriarche se déplaça vers un cocon. Ils émanaient d’eux une lueur rosâtre, et elle caressa ce qui semblait être une jambe. Elle entendit des gémissements à l’intérieur, et la lumière s’intensifia brièvement, lui permettant de voir l’ombre de la pensionnaire. Des tentacules la pénétraient vigoureusement, et les toiles vibraient sur elle, la plaçant dans un état d’extase prononcé. Zila s’était inspirée des Xénos pour ce genre de choses. Jaezreth disposait d’ailleurs d’un torse recouvert d’une membrane chitineuse. Il retourna vers Streeaka ainsi, et elle pouvait percevoir son excitation. Il ne tarda pas à libérer sa verge, en écartant des plaques chitineuses à hauteur de la jonction entre sa partie arachnéenne et sa partie drow. Streeaka, comme les autres esclaves, regardèrent naturellement son membre proéminent et rose qui se durcit rapidement.

« Zila elle-même ignore l’ensemble de tes compétences, mon chéri… C’est moi qui veux tout savoir. Je veux tout connaître de toi, Jaezreth. »

Elle s’agenouilla devant lui pour être à hauteur de sa verge, qu’elle caressa entre ses mains. Sa queue avait une peau un peu gluante. Elle émettait naturellement une sorte de lubrifiant qui collait un peu aux doigts, mais qui facilitait la pénétration. Elle avait déjà pu le sentir lorsqu’il l’avait embrassé en enfonçant sa langue en elle. Elle aurait normalement dû avoir une sensation de régurgitation, mais elle n’avait rien senti, si ce n’est cette chaude langue qui avait commencé à l’exciter, ainsi que sa salive, qui était restée en elle. On pouvait le voir à ses tétons durcis. Elle masturba donc sa verge, qui se durcit et se redressa, puis commença à la lécher, comme on l’aurait fait d’une belle glace.

Streeaka sentait contre sa langue le contact de petites stries qui ornaient cette verge.

« Alors, montre-moi… Cela fait des années que Zila et moi avons préparé ta transformation, tu sais… Entre la formule à perfectionner, les ingrédients multiples à réunir, l’idée était effectivement que tu puisses baiser une Matrairche comme il se doit, mon petit-frère. Alors, montre-moi de quoi tu es capable… »

Elle embrassa ensuite la pointe de sa verge, tout en relevant ses yeux pour le regarder, et voir la manière dont le désir devait s’exprimer sur son visage…