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La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:03
par Les Bouchères
Cité de Mayard, ville marchande de son état, dans le girond de Mijak. Ce n'était pas une ville aussi imposante que la capitale, ni la plus importante ville marchande du pays. Mais elle était un bon carrefour pour à peu prêt toute les denrée et produits de l'empire, lieu de rencontre des différentes peuplades sous son joug. On pouvait y trouver de tout, et parfois des produits rares et luxueux. C'était plus une ville marchande pour les grossistes, les achats ou ventes de gros volumes, même si il y avait des marchants pour des produits et des ventes plus classiques, des ventes d'esclaves et parfois des produits peu courant ou commun. C'était aussi une ville assez prisé des mercenaires, services de protections et autre. Les offrent d’emplois étaient nombreuses, au vue du nombre de caravanes.

Le meilleur lieux pour ça, c'est l’auberge de la chope-épée, lieu de regroupement privilégier des mercenaires, qui avaient évoluer en bureau de recrutement et de d'annonce, mais restait une auberge avant tout. C'était dans ce bâtiment, que les bouchères avaient loué une chambre, mais y dormaient pêle-mêle. Oksha était tombé du lit, ronflant, tonnelet de bière vide contre elle. Shakh'zhul était coincé de l'autre côté, enlacé par Oksha, contre son sein. Narz-gora était la tête entre les seins de Oksha, et non plus dans le sien, couchée de biais sur Shakh'zhul. Urbsha en travers sur les autres tombé du siens aussi, sa tête sur la cuisse de Oksha. Toute à moitié nue.

Comme dans leur habitude, elles s'étaient bourrées la gueule, pété la pense, avant de finir en s'écroulant. Mais comme d'habitude ce fut Shakh-zhul qui se leva en première. Du moins elle ouvrit les yeux et dégagea Narz-gora et Urbsha rageusement, et repoussa le bras de Oksha, avant de se relever, ignorant le concert de grognement et d'insulte de ses deux comparses.

-Debout gros tas ! Siffla t-elle en donna un coup de pied dans les côtes de Oksha, ne lui arrachant qu'un balbutiement, avant de se retourner, emportant Narz-gora contre elle.

Narz-gora parvint à se dégager et se releva, avant de s'étirer, craquant son dos, et baillant bruyamment. Urbsha fut plus rapide à se rétablir, rassemblant déjà ses affaires, avant que Oksha finisse par se relever, après un second coup de pied dans ses fesses. Son bâillement fut mélanger à un rôt qui fit trembler la pièce, vestige de sa cuvé d'hier soir.

-Gnnaa ? Fit elle en se frottant les yeux. Quise passe ?
-Faut qu'on bouge, on a l'boss qu'nous a d'mandé d'être à l'porte nord à l'première heure. Lui répondit la chef en s'habillant.
-Euh... Fit Oksha.
-Celle qu'y a offert l'sejour avant-hier. Précisa Urbsha, en mettant son pagne.
-Ah ouais ! Celle qu'était chaude ! Lâcha Oksha en se releva, se cognant contre le plafond.
-Une vrai salope ! Brailla Narz-gora en rigolant, finissant d'ajuster ses protections d'avant bras.

Il leur fallut encore 10 minutes pour finir de se préparer et de descendre, puis de prendre un petit déjeuner au frais de la princesse. Elles n'avaient pas fait les pingres et en avait bien profité par ailleurs, n'ayant pas vraiment le sens de la demi-mesure, aussi leurs soirées furent bien arrosé. Et quand il fut l'heure, on pouvait remercier leur chef pour ça, Les Bouchères se dirigèrent vers la porte nord, sans oublier de prendre des provisions et Oksha de la bière. Surtout de la bière.

-C'est quoi l'boulot déjà ? Demanda cette dernière sur le chemin, en ajustant la sangle de son marteau.
-Extermination d'vermines. Répondit Urbsha, un sourire sanguinaire qui terrifia un passant.
-Gaffe, t'vas encore attirer la garde. Ria Shakh'zhul en se curant l'oreille.
-Des Gnolls à massacrer 'vec la boss et d'autre gars sûrement. Rajouta Narz-gora.

Et alors que le quatuor parlaient de tout et de rien, elles se présentèrent au lieu de rendez-vous, comme convenue.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:06
par Valeria
Valeria en avait assez. Depuis l’Olympomachie, la sécurité des routes était en chute libre. Les attaques de bandit ou autres créatures se faisaient de plus en plus fréquentes. Plusieurs de ses caravanes avaient déjà été attaquées, certaines avec succès d’ailleurs. Elle avait renforcé les protections, engagé des mercenaires supplémentaires. Ces coûts supplémentaires lui faisaient désormais perdre de l’argent. Et les coupables étaient principalement une bande de Gnolls bien organisée. Ce qui d’ailleurs était surprenant, ces créatures n’étant pas spécialement connues pour leur vivacité d’esprit.

Pas plus tard que la semaine dernière, ils avaient à nouveau essayé de s’emparer de son convoi. Ils avaient été repoussés, mais si le problème n’était pas rapidement résolu, les convoyeurs refuseraient de prendre la route. Et ils auraient raison ! Leur vie ne valait pas le salaire qui leur était versé, aussi généreux qu’il fût !

Valeria avait décidé de passer à l’offensive et de rayer cette bande de raclures de la carte, et tant pis s’il y avait des femmes et des enfants. Fallait pas la faire chier deux fois ! Elle avait engagé trois mercenaires puis avait entendu parler de l’arrivée des Bouchères en ville. Leur réputation n’était plus à faire et s’adjoindre leurs services pour une expédition d’éradication semblait plus qu’indiqué.

Elle était allée les recruter deux jours auparavant, jouant sans aucune honte sur leurs trois penchants les plus connus : la soif de bagarre et de sang, l’or et le sexe. En cinq petites minutes, l’affaire avait été pliée et le contrat verbal entériné. Elle espérait même bien pouvoir recevoir leurs dons généreux lors de certaines étapes du voyage, les Gnolls étant normalement à sept journées à l’est, près de la Colline des Ombres, dans le Val Morne.

Ce lieu était connu pour être très souvent sujet aux nappes de brouillard, ce qui était une aubaine pour les brigands. Le premier des mercenaires qu’elle avait engagés, Wayland, avait déjà été repérer les lieux. C’était un pisteur hors pair, celui qui devrait leur servir de guide pour l’expédition. Elle avait également engagé deux combattants : un vétéran nommé Gornulf et Dashia, ne guerrière habile dont la réputation n’atteignait pas les sommets qu’elle aurait mérité du fait de son caractère « difficile ».

Alors que l’heure du rendez-vous approchait, les quatre compagnons attendaient à la porte nord, comme convenu.

« Elles vont venir vous croyez ?
- Bien sûr ! Quoi qu’en pensent certains, ce sont des professionnelles.
- Peuh ! Des brutes assoiffées de bière et de femmes, oui, des professionnelles, je demande à voir.
- Prie pour que ce ne soit pas sur ta pomme qu’elle te montrent ce que tu veux voir…
- Ta gueule Gornulf ! »

Le vieux guerrier ricana et cracha au sol.

« Les voilà !
- Parfait ! »

Valeria s’avança vers l’impressionnant quatuor.

« Mesdames, je suis ravie de vous voir. Nous serons donc huit. Je vous présente Dashia, Gornulf et Wayland" »

Elle désigna tour à tour les mercenaires avant de faire de même en sens inverse avec les orques.

« Je vous ai prévu des montures. On a un cheval de bât pour les vivres. Nous en aurons pour un peu plus de deux semaines, si tout va bien. J’aimerais qu’on se mette en route tout de suite. Je répondrai à vos questions en chemin, sauf si vous en avez une qui ne peut attendre. En avant ! »

Elle monta en selle avec souplesse et le groupe s’ébroua.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:06
par Les Bouchères
Les Bouchères rejoignirent rapidement le point de rendez-vous. Elles virent 4 personnes regroupés, près de chevaux, et juste après, elles reconnurent leur employeur. Enfin sauf Oksha, mais ce n'était pas grave, car en voyant ses camarades se diriger vers eux, elle comprit rapidement. Leur employeur vint à leur rencontre et s'occupa des présentations. Shakh'zhul resta impassible, se contentant d'un signe de tête. Urbsha maintint le regard plutôt antipathique de Dashia, avec un rictus moqueur, Narz-gora reluqua leur employeur et Oksha regarda avec intérêt Gornulf.

Le tableau avait de quoi être impressionnant car les Bouchères les dominaient de taille et de masse. Shakh'zhul était la plus fine et petite pour 2m. Suivait Urbsha et Narz-gora, pour 2m15 et 2m20 à chaque fois plus imposante. Mais le trophée revenait à Oksha, 2m50 et presque 2 fois plus large que Shakh'zhul. Leur nouveaux camarades pouvait difficilement autant imposer.

On leur amena des chevaux, mais il fallut prendre une autre monture plus robuste et large pour Oksha. Même si elle n'était pas des cavalières, elles avaient déjà eu l'occasion de monter à cheval. Elles n'étaient pas les meilleurs mais elles pouvaient se démerder seul. Elles rassurèrent au mieux leur monture, tandis que leur employeur leur intima de devoir partir tout de suite si il n'y avait pas de question.

-Pas d'probleme boss. Répondit Shakh'zhul en se mettant à cheval. C'bon pour nous.
-On n'est pas d'genre à s'prendre la tête. Surenchéri Narz-gora. D'moment qu'on est payé !

Et la troupe se mit en branle, filant vers l'horizon. Pour ménager les montures, on ne poussa pas triple galops, prenant une petite vitesse de croisière. Shakh'zhul était pas loin de leur employeur, Urbsha sur le flanc droit de la troupe, Narz-gora à l'opposé et Oksha en arrière garde. Toute surveillaient l'horizon, surtout Urbsha. Narz-gora se retourna, regarda leur compère à l'arrière et rigola avant de se retourner. C'est bien ce qu'elle pensait. Elle se rapprocha de Gornulf.

-Eyh ! Gaffe à toi si Oksha est bourré. Dit-elle en riant en désignant sa comparse de son pouce avec un grand sourire. T'a l'air d'lui plaire ! L'aime bien les gars virils.

Oksha était occupé à regarder sur sa droite, aussi elle ne vit pas le manège de sa consœur, avant de regarder à nouveau devant elle, croisant le regarde Gornulf. Elle lui fit un sourire avec un petit coucou, ce qui déclencha un nouveau rire de Narz-gora qui donna une claque dans le dos du mercenaire. De son côté, Shakh'zhul se rapprocha de leur employeur.

-Heya boss ! Dit elle pour s'annoncer. J'voulais savoir si c'tait une gros nid d'salop'rie. 'vec les miennes on aime bien s'faire concours quand y'a plein de tête à coupé.

Shakh'zhul fit un sourire et un regard, qui se voulait complice, mais qui fut plus sanguinaire par réflexe, l’équivalent orc pour la sympathie en ce qui concerne les affaires de combat et de carnage. Urbsha cavala soudainement au loin, à la poursuite d'une bête qu'elle avait du voir, lame au clair. Même si personne ne pouvait le voir, elle avait un rictus sanguinaire, presque la bave au lèvre.

-Tsss. Fit Shakh'zhul en la regardant s'éloigner. Urbsha à du voir une bête, peu pas rester sans action. Z'inquiétez pas. Dit-elle en se tournant vers Valéria. L'est un peu conne, mais pas complètement, s'ra d'retour d'ci un p'tit moment, 'vec une prise ou bredouille.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:08
par Valeria
Une fois les derniers préparatifs réglés, comme un autre cheval pour Oksha, la petite troupe se mit en route sous l’impulsion de Valeria. Le chemin serait aisé pendant quelques journées, surtout à l’allure imposée, notamment par Oksha et sa monture, puis ils entreraient dans les défilés forestiers qui posaient généralement problème.

Les Orques avaient naturellement pris position de manière à encadrer l’équipe. Wayland chevauchait en éclaireur, laissant Valeria et une Dashia quelque peu nerveuse au centre de l’équipée.

« Eyh ! Gaffe à toi si Oksha est bourré. Dit-elle en riant en désignant sa comparse de son pouce avec un grand sourire. T'as l'air d'lui plaire ! L'aime bien les gars virils. »

Gornulf lança un regard surpris à Narz-Gora puis se retourna pour regarder Oksha.

« Bourrée ou non, elle finira ainsi si elle est partante. »

Le vétéran avait l’air de trouver la colosse orque largement à son goût, comme l'illustrait cette réplique tout en finesse. Il se retourna à nouveau et croisa son regard. Elle lui sourit et fit un signe de la main. Il sourit à son tour, dévoilant une dentition qui avait connu pas mal de bagarres.

Narz-Gora rit en lui donnant une claque dans le dos. Gornulf appréciait déjà les orques. C’étaient des natures brutes et franches, sympathiques, portées sur la boisson et le sexe. Comme lui. Ils étaient faits pour s’entendre.

Dashia renifla avec mépris en haussant les épaules. Elle semblait désapprouver mais finalement, chacun faisait ce qu’il voulait avec son cul.

« Heya boss ! J'voulais savoir si c'tait un gros nid d'salop'rie. 'vec les miennes on aime bien s'faire concours quand y'a plein de tête à couper. »

Val tourna la tête vers Shakh’zhul qui venait de se porter à sa hauteur, fronça les sourcils en réfléchissant avant de répondre.

« Je dirais que oui. Il s’agit d’un clan guerrier. Les Gnolls sont connus pour leurs talents de combattants, mais ceux-ci sont supérieurs à la moyenne. Wayland a déjà été repérer leur campement et en est revenu avec des informations préoccupantes. De nombreux guerriers, l’un ou l’autre chaman, c’était difficile à distinguer. Ce devrait vous réjouir »

Elle sourit à l’orquesse avant de jeter un coup d’œil surpris à Urbsha qui détalait à vive allure dans la plaine herbeuse.

« Tsss. Urbsha a dû voir une bête, peut pas rester sans action. Z'inquiétez pas. L'est un peu conne, mais pas complètement, s'ra d'retour d'ici un p'tit moment, 'vec une prise ou bredouille. »

Val fronça les sourcils. Ce n’était pas un comportement attendu. Pas très professionnel non plus. Mais comme le danger n’était pas présent pour le moment, ça ne portait pas à conséquence.

« J’espère qu’elle saura se tenir quand les circonstances l’exigeront. »

Avec le départ soudain d’Urbsha, la compagnie se retrouva déséquilibrée et des binômes se créèrent, certains plus bavards que d’autres : Val et Shakh’zhul, Dashia et Narz’Gora, Oksha et Gornulf.

Le guerrier ne cachait pas son admiration pour la plastique de l’orquesse, et quand celle-ci se tourna vers lui, il la gratifia d’un clin d’œil égrillard.

Les heures s’écoulèrent et bientôt arriva le temps de dresser le campement. C’est à ce moment que Wayland réapparut.

« J’ai trouvé un endroit parfait pour la nuit : le Relais de la Gargouille. C’est à une demi-heure de route. J’ai fait réserver des chambres et des stalles à votre nom. Ca a permis d’ouvrir les portes d’ailleurs.
- Parfait ! Les terres civilisées nous accueilleront encore demain, puis nous sortirons de l’autorité de la cité pour les terres vierges. C’est là qu’il faudra se montrer plus vigilants. »

Ils prirent la direction du dernier relais avant les terres libres, une grosse ferme fortifiée.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:10
par Les Bouchères
« J’espère qu’elle saura se tenir quand les circonstances l’exigeront. »

Shakh'zhul rigola, un rire rocailleux et puissant.

-Doute jamais d'une berserker ! Sont p'te limité et instable, mais son fiable quand faut aller ferrailler ! Rassura l'orc. Urbsha s'ra là au bon moment, z'inquiété pas. Conclue Shakh'zhul avec un sourire qui se voulait rassurant.

La troupe se reforma en l'absence de Urbsha, principalement en binôme et relativement en rang. Shakh'zhul resta avec leur employeur, discutant de chose et d'autre, principalement sur la mission, Oksha avec Gornulf, et les deux se faisant naturellement les yeux doux, ne cachant pas leur intention, s'échangeant un peu leur anecdotes et fait d'arme, roulant des mécaniques. Narz-gora se retrouva avec Dashia, mais elles se contentaient de se regarder avec hostilité et à savoir la qu'elle cédera la première, l'orc n'hésitant pas à lui faire des sourires goguenards.

Après un long moment, Urbsha fit sa réapparition, une bête sur la croupe, visiblement un cervidé, l'air ravie, du sang ayant éclaboussé son visage.

-T'a été long. Gronda Shakh'zhul en allant à sa rencontre.
-C'te saloperie courrait vite. Se justifia Urbsha avec un grand sourire, en tapotant sa prise et en se mettant au niveau de sa chef. Et ch'ui tombé sur une patrouille d'la ville. 'Paremment des brigands os'raient des rapines dans l'coins. J'ai pris l'temps d'pister les alentours, pas vue d'traces.
-D'ja ça. Répondit Shakh'zhul en regardant en l'air, comme observant une carte imaginaire. Mon avis qu'sont plus au nord, plus proche d'une des routes principales.
-J'r'tourne faire un tour, au cas zou. Lâcha Urbsha.
-Nan. Lui dit Shakh'zhul du tac au tac. S'ra mieux si on est toute là, si ça d'vait arriver.
-Oka.

Opinant du chef, Urbsha se dirigea vers l'arrière de la troupe et Shakh'zhul reprit sa place, rassurant Valéria. Ce fut à peine 1h plus tard, alors qu'on parlait de monter le camps, qu'un cavalier surgit du bout du chemin. D'instinct les Bouchères se tinrent prêtes à se battre en quelque seconde, Urbsha grognant. Mais elles se calmèrent et se détendirent tout aussi vite, quand Valéria vint à sa rencontre.

« J’ai trouvé un endroit parfait pour la nuit : le Relais de la Gargouille. C’est à une demi-heure de route. J’ai fait réserver des chambres et des stalles à votre nom. Ca a permis d’ouvrir les portes d’ailleurs.

- Parfait ! Les terres civilisées nous accueilleront encore demain, puis nous sortirons de l’autorité de la cité pour les terres vierges. C’est là qu’il faudra se montrer plus vigilants. »
-Mmmh... Emit Shakh'zhul, avant de se tourner. Narz-gora ! L'Relais d'la Gargouille, c'pas celle de...
-Yep ! La ptite Gretta ! Brailla l’intéressé, grand sourire. Sacré suceuse ahahah !!!
-R'ppel toi surtout du daron. Coupa Urbsha. L'a faillit t'choper l'dernier soir dans la grange.
-Ah ouais ! Clamât Oksha, grand sourire moqueur. T'avais pas r'çu une fourche dans l'cul ?
-C'ma bite que tu vas avoir dans l'cul !

Oksha ria bruyamment, terrifiant une lapin et quelque oiseaux, alors que Urbsha se sécha une larme tellement elle riait, Shakh'zhul se contentant d'un sourire moqueur, alors que Narz-gora grinça des dents, caressant le manche de sa hache, avant de rire à son tour. La troupe se remit donc en route, jusqu'à atteindre le fameux relais de la Gargouille ! Du moins il fallut d'abord passé la muraille de bois, qui avait connue de meilleurs jours. Elle ne tombait pas en ruine, mais elle était plus de première jeunesse. Une fois fais, en suivant le sentier, la compagnie rejoignit finalement le fameux relais.

Une bâtisse solide, de conception et de réputation. C'était une des nombreuses fermes rattaché à Mayard, participant à l'économie de la ville, fournissant aussi bien de la matière première, qu'un logis pour les voyageurs. L'endroit était tenus par un dénommé Clovis, et était assez connue pour apparaître sur les cartes. Évidemment, un tel lieu pouvait être sujet à des attaques de vandales, aussi un muraille rustique mais robuste et quelque garde suffisait à défendre l'endroit. Seule le domaine principale était concerné, le reste des champs ne craignant que les insectes, et trop vaste aussi.

Le propriétaire des lieux, un homme dans le force de l'âge, transpirant le vécu, la mine renfrogné et son œil valide sévère, se tenait sur le seuil de la demeure. À ses côtés une femme du même acabit, plus jeune que lui, mais qui était sans nul doute sa femme. Une jeune femme arriva, l'air détaché, suivit d'une autre.

-Bruno ! Bruno ! Héla l'homme. Crénom... BRUNO !!!
-J'arrive 'pa !
-Boudiou... 'ccupe toi des chevaux de nos invités 'vec Margot et Caroline, direct dans l'écurie ! Et au ptit soins vec les bêtes !

Un jeune homme arriva au niveau des deux filles et qui allèrent s'occuper des chevaux, alors que la troupe mit pied à terre. Clovis s'avança jusqu'à Valéria, l'air plus sympathique et accueillant.

-Bienvenue au Relais d'La Gargouille ! Clamat t-il, faisant une courte révérence. V'nez à l'intérieur, vous d'vez être harasser après vot' voyage, perdons pas d'temps, vous s'rez mieux à l'intérieur. J'ai fais faire préparer une collation si vous voulez, ça vous f'ra du bien ! Posez vot'e barda à l'entré, on se chargera de les transporter dans vos chambres !

Guidant ses invités, le maître des lieux les conduisit à l'entré.

-Ma douce, amène nos invités dans la grande salle, j'vais donner un coup de main aux petiots 'vec les chevaux, j'sens que l'ptit à encore besoin de son vieux. Dit-il d'une voix douce de sa voix grave.

Sourire complice et yeux doux échangé, la maîtresse des lieux prit le relais et conduisit la troupe dans la grande salle. Les bouchères entrèrent en dernière, mais Clovis leur barra la route avant. Bien qu'il soit plutôt bien bâtit pour un homme de son âge, il faisait pâle figure devant les orcs, mais pourtant il avait du courage pour le faire, tout autant pour les toiser d'un regard sévère.

-Croyez pas que j'vous ais oublié vous 4. J'vous préviens, s'ra tarif triple si vous mettez encore le bazar dans mes réserves et avec les autres clients !

-Pas d'soucis Clovis. Promit Shakh'zhul avec un sourire. Et puis c'était l'autre gars qu'avait commencer !
-C'tais pas une raison pour le finir dans 3 murs à la suite ! J'vous ais à l’œil. Et elle devrait aller s'laver le visage elle, ça risque d'attirer les mouches. Dit il en pointant du pouce Urbsha.

Clovis finir par partir, sous les rires mutins des orcs qui rattrapèrent le reste, Urbsha allant faire un saut dans un tonneau non loin avant toute chose. Visiblement il n'avait toujours pas découvert que Gretta c'était offerte aux orcs, il ne les aurait pas accuillit aussi gentiment. D'ailleurs elles se demandèrent si il était courant des pratiques de sa dernière fille. Ce n'était pas la première fois que Les Bouchères venez ici, elles n'y allait pas tout les 4 matins, plutôt une ou deux fois pour une nuit, sur 1 mois sur 2 selon leur mission et leur clients. Ils y avaient eu quelque échauffourée avec des voyageurs de passage, dont un chevalier sans fief en quête de gloire. Le quatuor rejoignit le reste de la troupe. Les affaires furent posé dans le hall, tandis que la maîtresse des lieux leur remis des clés.

-Vous êtes au dernier étage, nos plus belles et confortable chambre ! Installez vous sur la grande table, le grand ménage et bientôt finit, on finit de changer le draps et vous pourrez allez vous reposer après ! On va vous servir une petite collation !

Le hall était spacieux, étagère à chaussures, paillasson, armoire et râtelier à arme, qui furent rapidement remplit. Suivait ensuite le halle principale, avec des fauteuils et une cheminé, le foyer éteint, il faisait encore chaud, avec une décoration somme toute classique. Adjacent au halle, une autre salle, avec une grand table, un lustre rustique, et quelque placard.

-Installez vous ! Indiqua la maîtresse des lieux. Gretta ! Thomas ! Allez ça devrait déjà être prêt !

D'une autre pièce, sûrement les cuisines vue les odeurs, sortie Thomas et Gretta, portant des plateaux, remplis de terrine, de pains, de saucisse, beurre, fromage et hydromel. On mangeait bien dans la campagne. Entre temps, la maîtresse des lieux leur souhaita un bon séjour et alla contrôler le travail dans les chambres.

On disposa les plateaux et on servit les verres ! Si Thomas fut plus distant et professionnelle et les laissa tranquille, retournant à ses fourneaux, Gretta était plus... tactile et démonstrative. Un léger frottement, se penchant en avant plus que de raison, sa poitrine semblait prête à sauter de son haut, un léger sourire et un clin d’œil éloquent. Juste ce qu'il faut pour ne pas être envahissante, ni gênante juste joueuse. Uniquement les hommes et les trois orc futa, ce qui en disait beaucoup.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:11
par Valeria
Après le retour de Wayland, les compagnons atteignirent rapidement la bâtisse fortifiée. A les écouter pavoiser, les orques semblaient être des habituées des lieux.

Ils franchirent une muraille de bois qui, dans l’état où elle se trouvait, tenait plus lieu de la palissade que de la muraille, et parvinrent un peu plus loin au corps principal du relais, auquel étaient attenants une écurie de grande taille ainsi qu’un atelier de maréchal-ferrant.

Un couple les attendait sur le seuil. L’homme, borgne, le visage buriné par les années, semblait avoir un caractère bien trempé. Il toisait les orques avec un drôle d’air. A ses côtés, son épouse, plus jeune et plutôt jolie, avait un sourire accueillant accroché aux lèvres. Deux jeunes femmes les rejoignirent rapidement, d’un âge que Valeria jugea être la fin de l’adolescence. Elles tenaient clairement de leur mère car elles étaient bien jolies elles aussi.

L’homme, que les Bouchères nommèrent Clovis, héla son fils afin qu’il vienne prendre soin des montures de l’équipe. Un jeune gars bien bâti arriva alors et il emmena les montures, accompagné de ses deux sœurs.

Leurs hôtes les firent entrer.

« Bienvenue au Relais d'La Gargouille ! V'nez à l'intérieur, vous d'vez être harassés après vot' voyage, perdons pas d'temps, vous s'rez mieux à l'intérieur. J'ai fait préparer une collation si vous voulez, ça vous f'ra du bien ! Posez vos bardas à l'entrée, on se chargera de les transporter dans vos chambres !
- Merci à vous. »

Puis Clovis se campa devant les bouchères. Le spectacle aurait pu être amusant si l’homme n’avait pas dégagé autant d’assurance et d’autorité. Il les mit en garde par rapport à leur dernière visite.

Hmmm pas étonnant qu’il leur en garde rigueur…

Il laissa finalement entrer les quatre guerrières avant d’aller aider ses enfants aux écuries, les laissant avec la Maîtresse de maison sur un regard amoureux et complice. Celle-ci les guida montra les quartiers qui leur étaient dévolus avant de revenir à la salle commune où elle héla ses cuisiniers afin qu’ils apportent le repas.

« Vous êtes au dernier étage, nos plus belles et confortable chambre ! Installez-vous sur la grande table, le grand ménage et bientôt finit, on finit de changer les draps et vous pourrez allez-vous reposer après ! On va vous servir une petite collation ! »

Ils entrèrent dans une grande salle meublée de fauteuils, tables basses et quelques étagères, le tout réparti autour d’une grande cheminée où pour le moment aucun feu ne crépitait. A côté de cette pièce s’ouvrait une autre, presqu’aussi grande, avec une énorme table en son centre.

Manifestement, le Relais accueillait tous ses visiteurs à la même table.

« Installez-vous ! Gretta ! Thomas ! Allez, ça devrait déjà être prêt ! »

Lesdits Thomas et Gretta sortirent des cuisines attenantes, portant à bout de bras d’énormes plateaux remplis de diverses terrines, pains, saucisses, beurre, fromages et hydromel.

C’est une collation ça ?

Alors que ses compagnons se jetaient sur les victuailles sans attendre, Valeria regarda autour d’elle. Elle vit la maîtresse de maison s’éclipser, étudia le manège des serveurs et principalement Gretta, qui semblait attirée par tout ce qui était capable de la monter.

Elle épargna donc à Dashia, Oksha et Val ses attentions tentatrices tout en les servant avec professionnalisme.

Val pouvait sentir d’ici la tension sexuelle et les appétits de la jeune femme. Elle sourit doucement en notant l’attitude d’Urbsha et Narz-Gora à son encontre. Wayland était plutôt discret tandis que Gornulf et Oksha se dévoraient littéralement du regard. Là aussi, la tension sexuelle était déjà à son paroxysme.

Ce soir, ça va dérouiller dans tous les coins…

Car les autres enfants n’avaient pas l’air frigides, eux non plus. Valeria se demanda ce qu’il en était de la mère, la seule dans cet endroit qui n’ait pas encore révélé son prénom.

Elle se servit en pain, terrine et fromage mais refusa l’hydromel.

« Vous n’auriez pas plutôt du vin s’il-vous-plaît ? » demanda-t-elle à Gretta, juste pour faire grimper la tension d’un cran en l’interrompant et l’obligeant à aller en chercher en cuisine. Ca l’amusait de voir les regards des autres qui n’en avaient que pour son joli minois et ses seins opulents.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:11
par Les Bouchères
La solide collation pouvait paraître un peu exagéré, mais ce n'était pas le cas pour les orcs, qui étaient celles à qui la quantité offerte n'était pas un problème, d'autant qu'elles concentraient une partie de la nourriture, Oksha privilégiant d'avantage l'hydromel. Ce qui était normale, étant donné leur carrure, elles avaient une bonne fourchette et un besoin de manger conséquent. Mais les autres avaient de quoi bien mangé eux aussi, les orcs ne prenant pas tout. Mais pour autant, ils étaient fort à parier que si on leur en laissait le temps et l'occasion, elles mangeraient tout.

Outre la faim et le plaisir de se sustenter, il y avait dans l'air une tension tout bonnement sexuelle. Oksha comptait bien finir dans un lit avec Gornulf, et casser le dit lit, et peut être Gornulf, ayant déjà eu des précédant. Et Gretta chauffait les orcs et Wayland, ce dernier ayant même eu droit à une vue plongeante sur ses seins, alors qu'elle venait remplir son verre, sa généreuse poitrine reposant sur son bras, et un clin d’œil éloquent. Petit manège que Valéria mit fin avec une demande.

-Pas d'problème vot' seigneurie ! Dit elle d'une voie clair et douce en se relevant, avec le ton typique des paysans. On a de bon vin d'la région !

Elle se dirigea vers les cuisines passant à côté de Narz-gora, qui la gratifia d'une claque au cul, claque plutôt sonore, avec un grand sourire. Gretta sursauta, et tourna la tête, le teint légèrement rouge, et sûrement pas de honte ou de colère, sourire complice. Elle reprit sa route de manière aguicheuse, en faisant exprès de remuer ses hanches. Au même moment, la maîtresse de maison arriva, les mains chargés de clés dont elle en fit la distribution. Chaque clés était en fer forgé, de bonne facture, avec une plaquette en bois, un numéro inscrit dessus. Les Bouchères en avaient qu'une.

-Vos chambres sont prêtes, mes p'tits gars ont transporté vos affaires. Les orcs, me semblent qu'vous préférez avoir qu'une chambre.
-Pas d'problème. Répondit Shakh'zhul. Z'avez bonne mémoire Maria.
-Facile à se souvenir. Dit-elle d'un air pincé.

Visiblement, les orcs avaient du laissé des souvenirs, surtout au rire de Urbsha et Narz-gora, et au vue des personnages, il fallait pas réfléchir bien loin. Mais elle ne semblait pas leur en vouloir outre-mesure, elle avait vue d'autre. Et fallait pas s'attendre à autre chose avec des orcs. Elles étaient civilisé, soit au niveau d'un homme sauvage, ce qui était déjà très bien.

-On sert le dîné dans 3h, on à l'habitude de faire table commune, mais vous pouvez manger dans vot' chambre si vous voulez, ou dans une salle privé à l'étage ! Prévenez moi juste avant ! Pour l'repas on fait dans l'sanglier, l'porc, l'boeuf, soupe, légume, potage, ragout, pot au feu... bref on à a de quoi vous satisfaire ! D'mandez ce que vous voulez, on vous le fera !

Maria prit les commandes, demanda pour le fromage et la boisson, puis alla dans les cuisines. Entre temps, Gretta était revenue et remplit le verre de Valéria. Le vin était fruité, un peu acide, mais goutu. Pas une grand cru, mais un bon vin tout de même. Et c'est tout ce qu'il fallait pour que Oksha ne se lève, après quelque carafe d'hydromel, des gouttes coulant de ses lèvres et plongeant entre ses seins massif. Sa tête venant frotter le plafond tandis qu'en deux pas trembler le mobilier, elle attrape et soulève Gornulf, et partie avec par dessous son bras comme un sac. La subtilité et la brusquerie des femelles orcs dans sa splendeur, surtout quand cette dernière ont est bien plus massif que son male.

Elle se dirigea vers l'étage, sous les sourires et le rire de Narz-Gora. Un craquement sonore indiqua que la clés ne fut pas nécessaire pour ouvrir la porte de la chambre des orcs, d'autant que  Shakh'zhul réalisa qu'elle l'avait en main. Elle haussa les épaules et préféra boire à nouveau, tandis que Gretta était sur les genoux de Narz-gora, sa main plutôt baladeuse.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:11
par Valeria
Amusée, Valeria laissa les orques mener la danse, s’assurant simplement que chaque membre du groupe ait ce qu’il lui fallait, avant de s’asseoir aux côtés de Shakh’Zhûl.

La grande table était noyée de victuailles, une profusion rare à cette heure de l’après-midi, et les convives manifestèrent leur approbation avec force bruits et exclamations.

Valeria prit le temps d’examiner ses troupes alors que celles-ci se sustentaient, certaines avec plus de retenue que d’autres. Les appétits des orques étaient affichés, tant sexuels que sustentatoires. Le vin et la bière, la nourriture et le sexe auraient cours aujourd’hui. Il était d’ores et déjà acquis qu’Oksha ne laisserait probablement pas Gornulf terminer son repas, tandis que la certitude de voir Gretta terminer avec au moins deux colonnes de chair dans le corps se dessinait avec clarté.

Wayland semblait lui aussi intéressé par la jeune blonde aux formes généreuses. Amusée, Valeria se demanda quelles chances il pouvait bien avoir face aux trois orques, mais il ne fallait jamais préjuger de rien. Seule Dashia semblait détachée, assise en bout de table, un pied contre la table à découper une saucisse de belle taille au couteau. A bien y réfléchir, le regard qu’elle lança à Narz-Gora ce faisant pouvait être pris comme une menace ou une invitation. Il aurait été dangereux de parier sur l’un ou l’autre à ce stade.

La Maîtresse de maison – Maria – arriva sur ces entrefaites et donna leurs clés aux voyageurs, non sans un regard sévère aux orques qui, manifestement, avaient laissé un souvenir vivace de leur dernier passage, ce qui se confirma avec les rires gras d’Urbsha et Narz-Gora.

Maria prit ensuite les commandes pour le repas du soir puis les laissa. Gretta amena le vin demandé, non sans aguicher Val elle aussi. La petite jeune femme n’était décidément pas farouche et ses appétits ne semblaient nullement exclusifs. Le succube sourit, la gratifia d’un signe de tête et la laissa retourner à ses occupations.

L’ambiance était plutôt bonne, même si Dashia et Wayland avaient l’air d’avoir un peu de mal à s’intégrer, la première volontairement, le second ayant un peu de mal à se faire une place au sein de l’exubérance orquienne. Ils restèrent ainsi un moment à boire et manger, jusqu’à ce qu’Oksha décide qu’il était temps de passer aux choses sérieuses et se dresse, déjà à moitié ivre, pour empoigner Gornulf et le mettre sous son bras sans aucune façon.

Le guerrier manqua s’étouffer avec un morceau de pain, eut juste le temps de lâcher sa chope avant de se faire embarquer, amusé par les manières de la colosse. Elle l’emmena à l’étage, défonça la porte d’un coup de pied relativement calme et le jeta sur le lit. Il leva alors une main devant elle.

« D’accord ma belle mais deux choses : la première, tu ne déchires pas mes vêtements, j’en ai pas de rechange. La seconde, tu te déshabilles devant moi. Après, on baise jusqu’au matin. »

Pas sûr que ça suffise mais elle lui ferait peut-être ce plaisir ?

Gretta était désormais assise sur les genoux de Narz-Gora et avait laissé sa main glisser sous le pagne de celle-ci pour masturber tranquillement le membre dont elle se souvenait si bien. A côté, Wayland regardait le spectacle avec le rouge aux joues, apparemment subjugué par la taille de l’engin de l’orque et, d’après les sens de Valeria, rudement excité. Il tourna la tête, croisa le regard de Shakh’Zhûl, rougit plus fort.

Intéressant…

Dashia se leva et quitta la pièce sans un mot avant de sortir dans la cour intérieure.

« Eh bien, chère Shakh-Zhûl, il me semble que ce voyage commence parfaitement et que les équipes s’entendent plutôt bien. Je me demande cependant dans quel état ils seront tous demain… »

Elle sourit, but une gorgée de vin, tranchant par ses manières avec la tablée.

Au vu de l’excitation sexuelle ambiante, elle se demandait si l’orquesse allait lui demander une avance sur le paiement en nature promis. Après tout, il semblait que les partenaires soient occupées, mais il était vrai que le personnel était encore nombreux avec, notamment les deux palefrenières.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:12
par Les Bouchères
Oksha avait plus ou moins jeter Gornulf sur le lit, dans toute la délicatesse qu'une orc pouvait faire. Elle avait l'intimité en feu, la faute a l'alcool, ses envies et ce mâle qui l'avait chauffé. Elle était déjà a moité monté sur le lit, quand le guerrier la stoppa d'un geste. Et il avait de la chance, car Oksha était la moins sauvage, brusque certes, mais pas sauvage comme Urbsha qui l'aurait mit à nue sans sommation en déchirant ses vêtements pour baiser rapidement. Aussi elle comprit et lui fit un grand sourire.

-Hihihihi ! Dakodak ! Alors toi aussi, sinon j'arrache tout !


Elle se retira du lit, et entreprit de se déshabiller, de manière normale, le concept de strip-tease étant très relatif chez les orcs, connue que des orcs instruites sur les manières de faire des autres, ou qui ont une idée de la sensualité. Les bouchères étaient plus basique et simple. Elle jeta ses plaques d'armure et ses habits de lin, commençant par le haut, libérant ses seins lourds et imposant, plus gros que la tête de Gornulf, dodue et rebondissant. Vint ses abdomens ciselé, malgré un peu de gras la rendant chubby, ses hanches larges et dodue, finissant sur ses cuisses musclés et solides, encadrant une intimité velue. Même sans mettre les formes, elle en avait assez pour donner envie.

Une fois fait, elle fixa Gornulf, en se léchant les lèvres, son intimité, luisant déjà de mouille. Gornulf était en érection et une belle érection. Oksha vint sur le lit, le faisant grincer et domina son mâle, se mettant au dessus de lui, assez large pour que ses jambes soit de part et d'autre de son corps et l'encadra, se léchant les lèvres. Elle se retourna et écrasa son intimité sur le visage de Gornulf, plongeant son visage entre ses cuisses, dominant son partenaire. D'une main ferme, elle saisit sa verge et le branla, éprouvant son sexe de sa main large qui le tenait entièrement. Elle allait se régaler.
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L'ambiance était au beau fixe, entre la nourriture, la boisson et la bonne compagnie, le groupe avait une bonne ambiance, le voyage promettait de bien se passer. Gretta était sur les genoux de Narz-gora, lui palpant le sexe, excitant l'orc qui lui faisait un grand sourire carnassier, laissant aucun doute sur ce qu'elle allait lui faire. Urbsha de son côté, avait remarqué les réactions de Wayland, alors qu'il observait Narz-Gora, avant de croiser le regard Shak'zhul, qui elle aussi le remarqua. Les deux se firent la même réflexion, Shak'zhul surprise, Urbsha amusé. Son sourire en coin laissant sous-entendre qu'elle avait une idée en tête pour s'amuser, en fixant Wayland, commençant à avoir une demi-molle. Mais l'appel du ventre était plus fort pour le moment.

Shak'zhul finissait une tartine de terrine de sanglier en regardant de biais Dashia, quand Valéria entama la discussion. Elle finit sa bouché avant de répondre. Par ailleurs, Valéria pouvait sentir que Shak'zhul était la tête froide du quatuor, car c'était la seule à ne pas être excité, calme et sereine. Faut dire que Shak'zhul était une maître lame, ce qui chez les orcs, était une sorte de moine guerrier. Elle était bien plus calme et réfléchit que les orcs, moins prompte à céder à ses pulsions et maniant avec expertise, une énorme lame d'acier. L'opposé de la berserker comme Urbsha en somme.

-Pas d'inquiétude 'vec mes guerriers, elles s'ront en forme ! Par contre j'dirais pas d'la même des autres. Surtout Gornulf. Oksha à un gros appétit qu'elle maîtrise pas, j'spère qu'il tiendra !

Elle eu un petit rire et glissa un regard vers où était partie Dashia.

-J'remarque que Dashia est mal en not'e présence. L'aime pas les orcs ?

Urbsha perdit son sourire, et tourna la tête vers la discussion, mais le regard glacial de Shak'zhul, la dissuada de faire quoi que ce soit et retourna a ses occupations. Et maintenant elle avait envie de se défouler. Et Wayland, croisa son regard, et elle lui fit un clin d’œil, avec un sourire révélateur, sa main glissant sous la table. Il allait y passer.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 sept. 2024 15:12
par Valeria
Gornulf fut étonné de voir l’orque obéir à sa demande. Ça semblait l’amuser en fait.

« Hihihihi ! Dakodak ! Alors toi aussi, sinon j'arrache tout !
- Evidemment, ma beauté farouche… »

Il se délesta de ses chaussures et vêtements avec précipitation, jeta le tout pêle-mêle au sol et la laissa se dévoiler. Ce n’était pas terriblement érotique, mais elle portait pas mal de couches et donc son anatomie mit un peu de temps à se révéler, ce qui provoqua une érection de plus en plus triomphante chez le guerrier qui, ne put s’empêcher de se masturber lentement en la voyant à moitié nue.

« Ouais Oksha, tu es vraiment trop belle… »

Il était complètement conquis et s’affala sur le lit sans aucune résistance quand elle put finalement le rejoindre. Il attrapa une de ses mamelles, la suça avec avidité mais très vite l’orque changea de position pour un tête-à-queue. Sa chatte s’écrasa sur le visage de l’humain qui empoigna ses fesses généreuses et se mit à littéralement la bouffer, avec une passion et un désir au moins équivalents à ceux de son amante du soir.

Dans la main de celle-ci, la queue ne mit pas bien longtemps à suinter de fluides mais s’arrêta à ce stade. Il n’allait pas se laisser traire ainsi simplement et gâcher un bel orgasme ! Il voulait tenir toute la nuit, ou le plus possible.

****

L’ambiance était bonne à table. Les mercenaires mangeaient, riaient. Gretta avait déjà trouvé sa place, Wayland prenait la température. Urbsha et Narz-Gora étaient autant en appétit devant les victuailles que dans un état de désir sexuel.

Seule Dashia semblait plus détachée.

Valeria hocha doucement la tête à la réponse de Shak’zhul. C’était ce qu’elle pensait. Elle se demanda si Gornulf tiendrait le choc. Le guerrier semblait à toute épreuve, mais le défi représenté par Oksha pouvait paraître peut-être démesuré.

« J'remarque que Dashia est mal en not'e présence. L'aime pas les orcs ? »

Elle nota l’échange silencieux entre Urbsha et Shak-zhul.

« Je ne crois pas. Je pense qu’elle est plutôt du même acabit que vous et que comme vous occupez le terrain de chasse, elle est partie chercher une autre proie. »

Elle observa le manège d’Urbsha avec Wayland. L’homme rougissait fortement à présent, mais pourtant ne faisait pas mine de quitter la table. Il se leva et se déchaussa devant l’âtre ronflant près duquel il déposa ses bottes trempées par les hautes herbes qu’il avait parcourues longuement durant toute la journée.

Il se rassit, approcha sa chaise au maximum de la table, face à Urbsha.

Valeria sourit en voyant l’orque réagir avec surprise. Wayland avait tendu les jambes et son pied se posait à présent sur la un-quart molle de celle-ci. Il se pencha en avant et lui souffla quelques mots.

« Je parie que tu es encore plus belle quand tu jouis. T’es cap de me montrer, là, maintenant ? »

Les orteils de l’homme se refermèrent sur le gland épais de l’orque.

« Mais faut que tu en aies une digne de ce nom. T’attends quoi ? »

Avec une telle provocation, si elle suivait le jeu, après, il allait ramasser comme pas possible. Son esprit lui donnait déjà le tournis. Il espérait cependant que s’il se faisait baiser, elle aussi le serait. Il voulait goûter à la moiteur de sa chatte. Il n’en avait encore jamais connu de pareille, plutôt des culs humains.

Valeria reporta son attention sur Narz-Gora. Gretta ne cachait plus ce qu’elle faisait, même si ça restait sous la table, sous ses jupes. Mais le mouvement de ses mains – eh oui, ses – était sans équivoque. L’orque allait-elle la laisser aller au bout, ou voudrait-elle déjà plus alors que le repas n’avait pas encore commencé ?

****

Dans les écuries, les deux palefrenières s’occupaient des chevaux. Appuyée contre un énorme poteau, Dashia les regardait en sifflotant doucement…

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 01 oct. 2024 12:17
par Les Bouchères
Oksha soupira d’aise et gémit de plaisir en sentant la langue et les lèvres avide de Gornulf explorer sa chatte humide et spacieuse, la dévorant avec passion, faisant fi des poils et de sa position. Elle adorait ce genre d’homme, des vrais, virils, forts et gourmands. Elle remua son gros cul sous les mains de Gornuld, remuant ainsi sur sa bouche, l’aidant à mieux s’enfoncer dans sa vulve qui était de belle taille, allant de pair avec son gabarit. Elle avait hâte de le sentir en elle, mais il fallait prendre son temps et puis c’est mieux quand c’est le guerrier qui s’impose. Les rapports de force se retrouvaient partout chez les orcs.

Elle libéra la verge turgescente et pulsante, renifla sa main et la lécha goulument. Elle se pencha, mais trop grande elle ne pouvait pas faire de 69, mais elle avait une poitrine généreuse et opulente, aussi, elle saisit ses énormes seins et les claquas contre la verge. Seins si gros, que la verge de belle taille fut juste engloutit entre ses collines de chaires, chaudes et suintante de sueur. Oksha, entre deux soupires et gémissement, eu un petit rire, c’était toujours rigolo à ses yeux, rare était les verges qui pouvaient dépasser de ses seins. Narz-gora était la seule de ses sœurs d’arme à le faire.

Elle joua avec ses seins, malaxant, tournant, frottant, secouant, autour de la verge, les soulevant et les laissant tomber, deux masses de chaires provoquant un claquement sourd. Elle pouvait sentir la verge, dur comme le rock, imposante. Oh oui elle allait en profiter le plus possible ! Mais à voir si il allait tenir à ce petit jeu, sinon il risquerait bien de pas tenir le rythme !
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« Je ne crois pas. Je pense qu’elle est plutôt du même acabit que vous et que comme vous occupez le terrain de chasse, elle est partie chercher une autre proie. »

Shak’zhul eu un sourire en coin, avant de finir sa pinte et d’en prendre une nouvelle.

-Elle pourrait bien trouver c’qu’elle veut, si on partage l’même terrain. Et l’a pas l’air d’avoir une bite.
-Ou une vachement p’tite. Ajouta Urbsha.

Les deux rigolèrent grassement et trinquèrent, avant de vider leur chope et de se resservir.

Et dans la foulé, Wayland aussi c’était lever, mais juste pour retirer ses bottes et revenir. Et jouer avec la feu, car il joua avec Urbsha en flattant sa bite avec ses pieds, jouant les provoquants avec une berserker. Mais par chance ce n’était pas pendant une rixe ou un combat à mort, il n’allait pas mourir, mais il allait comprendre sa douleur. La dernière provocation, était de trop pour Urbsha. Elle claqua sa pinte sur la table, faisant sauter une bonne partie du contenue qui atteignit presque le plafond pour quelque goutte et se leva. Elle arracha son pagne, dévoilant une bite de belle taille, presque en érection complète. Elle avait le regard fou, la bave aux lèvres et un sourire carnassier. Elle allait prendre Wayland maintenant, sur la table.

-GHOLL ! Cria Shak’zhul.

Urbsha s’arrêta, alors qu’elle s’était penchée pour attraper Wayland par le col, sortant de son état berserk.

-Dans la chambre, on casse pas les tables ‘vec la bouffe.
-Warwarwarwar, on va casser l’lit !

Elle prit Wayland sur son épaule, et claqua ses fesses.
-Si t’es à la hauteur de t’es provocation, j’te laisserais p’etre me peter l’cul !

Elle grimpa quatre à quatre les marches, et fonça dans la chambre de wayland, sa clé en main. Rabroué par Shak’zhul plus tôt, elle se contint et ne fracassa pas la porte. Mais ça ne l’empêcha pas de jeter Wayland sur le lit et de déchirer ses vêtements à eux d’eux avec rapidité. En amazon sur, elle le regarda lubriquement, et tapota son torse de sa trique qui était désormais aussi dur que l’acier, pulsant d’avidité, épaisse et longue.

-Warwarwar, plutôt bien gauler p’tit homme !

Et sans ménagement, elle le retourna et fit monter ses fesses à son visage, en calant les jambes de sa proie sur ses larges épaules. Elle écarta les fesses et cracha dessus, avant de plonger se langue de manière avide et frénétique. Il fallait préparer à minima le terrain.

Et dans cette position, la verge Urbsha caressa le ventre de Wayland.
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Au même moment où Urbsha embarqua sa partenaire, Greta sauta des cuisses de Narz-gora, se dirigeant vers l’arrière de la maison. Narz-gora se leva, finit sa pinte, et la suivit. Elles allaient finir dans le foin, Greta adorant se faire prendre dans la grange, son père ne s’occupait plus trop de cette partie, laissant ça à ses enfants, qui s’en occupaient bien et comme ils voulaient. Le pauvre homme, bien que coutumier que les voyageurs baisent, était ignorant que ses enfants se laissé aller facilement, et que sa petite dernière, Greta, était celle qui avait le plus de partenaire à son compteur. Il avait des doutes, mais était bien loin de la réalité. Sa femme était bien moins ignare de la situation, mais elle les laissait faire.

En quelque minute, Greta et Narz-gora se retrouvèrent dans la grange, à côté de la maison, et après avoir esquivé son père. A la orc, Narz-gora chopa Greta et la jeta dans le foin, retira son armure et se jeta sur elle. Greta adorait être dominé et coincé sous ses partenaires, tandis qu’ils déchirent ses vêtement et Narz-gora en profitait bien. Après quelque caresse, Narz-gora se releva, et mit Greta à genoux et la bifla à plusieurs reprises, pour son grand plaisir.

Sa bite désormais réveillé et turgescente, elle cala le gland dans la bouche de sa partenaire, la laissa en profiter, avant de s’enfoncer d’un coup en elle. Une gorge profonde intense, coupant tout respiration, déformant à l’extrême la gorge et ouvrant en grand la bouche de Greta, qui révulsa presque des yeux, tandis qu’elle lâcha des borborygmes inaudibles, palpant les fesses de l’orc, quelque larme au yeux, mais mouillant généreusement.
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Il ne restait plus que Shak’zhul et Valéria dans la salle, tandis que le cuistot revint avec sa mère pour commencer à débarrasser ce qui avait été finis ou le trop plein.

-Je pense que pour le diner on remettra à demain ! Ironisa la matriarche des lieux, habitué à ce genre d’évènement.

Que ce soit des couples en voyages, des nobles avec leurs esclaves, des succubes avec leur proie ou des inconnues qui ont trop bue, ou que les clients partent directement au lit, ce n’était pas une nouveauté dans l’empire que des gens baisent dans une auberge, surtout dans l’Empire où tout était possible. Très souvent les raisons d’une collation bien garnie !

-Gardez quand même que’que chose de côté, même froid. Répondit Shak’zhul, en piochant dans les dernières saucisses. Urbsha s’rait bien capable d’aller grailler un morceau de barbaque au milieu de la nuit.
-C’est noté ! Répondit la maîtresse de maison en repartant.

Shak’zhul finit sa pinte, lâcha un rôt de satisfaction et s’adossa à sa chaise, regarda le plafond un moment, puis regarda son employeuse, avant de se lever quand elle eut finit ce qu’elle faisait.

-Bon on va baiser ! Vot’e chambre est libre j’crois.

C’était une évidence pour Shak’zhul, et même pas une invitation ! Elle aurait pu tout aussi bien dire qu’elle allait prendre une douche. C’était juste naturel. Et c’était pareil pour son employeuse d’après son instinct. Et à moins d’être un prêtre, un ange ou un paladin, il était inconcevable que ça ne finisse pas au lit alors que chacun était partie baiser dans son coin. Ça ferait tache et ça se verrait. Shak’zhul alla donc dans la chambre de Valéria, se mettant nue, son sexe de belle taille pendouillant entre ses jambes, mais déjà l’excitation se faisait sentir.

Elle se mit dans le lit, s’adossa à la tête de lit, et contempla Valéria, laissant son sexe entré en érection tout seul, mains derrière la tête. Shak’zhul n’était pas aussi sauvage que ses comparses, elle laissa à Valéria le loisir de se faire plaisir et de prendre son temps. C’est à ça qu’on voit qu’elle est la chef, elle est plus civilisé, et dégage une aura d’autorité, qui n’attend pas de demander qu’on fasse les choses comme il se doit.

P.S : couleur a venir, je suis sur portable, trop compliqué et j'ai pas mes couleurs sous les yeux xp

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 04 nov. 2024 17:39
par Valeria
La chatte était à l’image de tout le corps de sa propriétaire : généreuse, velue et charnue, trempée d’une cyprine odorante et visqueuse à souhait. Gornulf s’en délectait et y frottait son visage entier, littéralement en train de la bouffer avec une passion qui trouvait un écho dans l’empressement dont avait fait preuve la belle Oksha pour l’emmener dans la chambre.

Il n’en revenait pas de sa chance. Il avait toujours désiré une compagne de cet acabit, plus grande, plus forte, plus opulente que lui. Et ce n’était pas une mince affaire quand on voyait son propre gabarit ! Il était terriblement excité et la taille de sa queue s’en ressentait, car elle avait lui semblait-il gagné des proportions qu’elle n’avait que très rarement.

Le traitement que lui prodiguait l’orque était délicieux, les sensations le rendaient dingue de désir et le bruit charnu et légèrement humide achevait de conquérir son petit cœur d’artichaut. Son corps réagissait au quart de tour, en quelques minutes le présperme avait maculé le fourreau de chair qui l’enserrait et un bruit humide voire collant vint s’ajouter aux effusions déjà présentes tandis que son visage était à présent couvert des sucs de la belle dont il ne cessait de s’abreuver.

Ses doigts n’étaient pas en reste, fouaillant les chairs avec la délicatesse d’un burin sans même obtenir la moindre récrimination de son amante. Il fallait avouer que même s’il se montrait plutôt brusque, ce n’était rien à côté de ce que pouvaient faire les comparses d’Oksha.

Au bout d’un moment, il ne tint plus. Elle l’avait aguiché toute la journée, lui avait fait miroiter ces délices de manière affolante au repas.

« Arrgh mon amour ! »

L’orgasme le prit sans prévenir et il lâcha la purée au milieu des seins, à tellement gros bouillons que plusieurs giclées parvinrent à en sortir pour suinter à l’extérieur et dégouliner sur les globes ahurissants.

« Oh ma mie ! Je n’ai pu résister à ton enthousiasme. Mais sois assurée que je te rendrai au moins l’équivalent de ce que tu m’offres ! »

Sa langue reprit sa besogne et il enfonça quatre doigts entre les lèvres charnues pour les insinuer dans l’intimité offerte, ne gardant que le pouce hors d’elle, pour le moment. Si Oksha avait gagné la première manche, il ne comptait pas lui laisser emporter la seconde !

****

Dashia regardait les deux palefrenières faire leur besogne en sifflotant doucement. Bruno n’était visible nulle part. Appuyée au chambranle de l’entrée de l’écurie, elle avait une belle vue sur leurs fesses alors qu’elles rajoutaient le foin et emplissaient les auges de son et d’avoine.

La guerrière s’avança soudain, entra dans leur champ de vision.

« Je… Madame ? » demanda la rouquine, Margot, surprise.

Dashia déposa une pièce d’or dans la paume de la blonde. Elle enlaça Margot et l’embrassa sans lâcher la main de Caroline. Sans cesser son baiser impérieux, elle poussa la femme dans une stalle, entraînant la seconde avec elles.

Le souffle court, la voix rauque de désir, elle les regarda tour à tour.

« Vous attendez quoi ? Désapez-vous !
- Mais…
- D’habitude c’est Gretta qui…
- Aujourd’hui, vous vous y collez aussi. Exécution !
- Oui Madame.
- Bien sûr Madame. »

Dashia les regarda se dévêtir avec une maladresse trahissant leur manque d’habitude dans ce genre de prestation, mais la pièce d’or faisait des merveilles. Elles furent nues en quelques instants.

« Maintenant embrassez-vous, embrassez-moi et déshabillez-moi. »

Les filles se mirent en devoir d’obéir. Leurs penchants importaient peu à présent. Elles étaient richement payées.

****

Wayland avait réussi au-delà de ses espérances, et ça lui faisait un peu peur. Il savait parfaitement à qui il faisait des avances, mais il n’avait pas calculé une telle réaction. Il espérait que la belle orque réponde à ses provocations, mais s’attendait au moins à ce qu’elle profite un peu de la situation avant de se dresser comme une furie.

Si elle le fit sursauter en claquant sa chope sur la table, le regard qu’elle lui jeta et l’état de sa queue plurent beaucoup au jeune homme. Elle était prête à le démonter sur place et il n’y voyait pas vraiment d’inconvénient, après tout, c’est ce qu’il cherchait.

Shak’zhul coupa Urbsha dans son élan d’un seul mot. L’autorité de la Chef ne souffrait aucune contestation.

« Dans la chambre, on casse pas les tables ‘vec la bouffe.
- Warwarwarwar, on va casser l’lit ! »

La berserker contourna la table et jeta Wayland qui se levait sur son épaule avant de lui claquer les fesses.

« Si t’es à la hauteur de tes provocations, j’te laisserais p’être me péter l’cul ! »

J’y compte bien ! Et même déposer ma signature dans ta chatte…

Si le chemin vers la chambre fut très rapide, voire précipité, Urbsha fit montre d’une étonnante retenue devant la porte, usant de la clé plutôt que d’un bon coup de pied. Elle jeta néanmoins Wayland sur le lit et arracha leurs vêtements en quelques instants. Elle se mit alors à califourchon sur lui, leurs queues reposant côte à côte sur le ventre du jeune homme. Elle lui tapa le torse de son membre épais et désormais parfaitement raide.

« Mon Dieu, on dirait de l’acier ! » gémit-il, des cœurs au fond des yeux tandis qu’il humait l’odeur d’Urbsha en admirant les pulsations du membre long, épais, veineux à souhait, qui lui chauffait les sens.

« Warwarwar, plutôt bien gaulé p’tit homme !
- Entre ce que j’vais t’mettre et ce que toi tu vas me mettre, y a pas de comparaison possible ma belle brute. »

Entre eux c’était du simple au double malgré tout.

Avec brusquerie, elle se redressa et l’attrapa pour se le jeter à califourchon sur les épaules, amenant sans effort son cul à sa bouche. Wayland posa ses cuisses sur les épaules musclées tandis que déjà la langue d’Urbsha se perdait entre ses fesses pour lui cracher sur l’anus qu’elle se mit en devoir de dévorer sans retenue. L’homme hoqueta tandis que sa queue faisait des bonds contre le torse de l’orque, le gland allant jusqu’à se perdre entre ses seins.

Il pouvait sentir la queue de son amante contre son ventre. Sa chaleur et son odeur lui donnaient le tournis, il tendit les mains, l’une se posa sur une cuisse pour se maintenir tandis que l’autre s’emparait des bourses pleines et épaisses.

« Ooohh !!! ❤ »

Le traitement qu’elle lui faisait subir lui faisait un effet incroyable. Il n’avait jamais rien connu de tel. Entre la brusquerie, la brutalité maîtrisée, la langue fouisseuse, l’odeur et le reste, il sentit un plaisir précoce se déclencher en lui.

« Gghhh haa haa aaarrgghh !!! ❤❤❤❤ »

Il jouit sans retenue sur les seins d’Urbsha, grognant de plaisir en sentant la langue entrer en lui et le dilater petit à petit.

Dieux qu’il avait envie que ce membre l’écartèle !

****

Une fois tout le monde parti, Valeria sourit discrètement en regardant Shak’zhul, se demandant combien de temps allait encore tenir la cheffe orc.

« Je pense que pour le diner on remettra à demain ! »

Pleine d’ironie, la maîtresse de l’auberge commença à remballer petit à petit les victuailles délaissées par les convives trop pressés de passer à un autre type de nourriture.

« Gardez quand même que’que chose de côté, même froid. Répondit Shak’zhul, en piochant dans les dernières saucisses. Urbsha s’rait bien capable d’aller grailler un morceau de barbaque au milieu de la nuit.
- C’est noté ! »

La femme repartit vers la cuisine. Elle semblait seule pour ce service. Il fallait avouer qu’entre le travail des autres et celles qui venaient de se faire réquisitionner pour d’autres besognes, il ne restait sans doute plus grand monde.

Valeria effleura néanmoins son bras avec légèreté.

« Ma chambre vous accueillera avec plaisir.
- Merci Madame, mais je ne crois pas que je vais avoir le temps. »

Une fin de non-recevoir comme une autre, mais le toucher de Valeria avait instillé un désir lancinant qui ne ferait que croître jusqu’à son assouvissement. Elle s’attendait à la voir débarquer dans le courant de la nuit, si ce n’était plus tôt. Le contraire l’étonnerait fortement.

Shak’zhul termina sa pinte et la posa sur la table avec un soupir satisfait, rota, attendit un moment que Valeria reporte son attention sur elle avant de se lever.

« Bon on va baiser ! Vot’e chambre est libre j’crois. »

Valeria sourit avec indulgence et suivit l’orkesse tandis qu’elle montait les escaliers, matant son cul avec délices en tirant des plans sur ce qu’elle allait lui faire subir.

Sans attendre, l’orkesse se dévêtit et s’allongea dans le lit, appuyée contre la tête de lit pour mieux profiter du spectacle qu’allait offrir son employeuse en se déshabillant. Pendant ce temps, son sexe, long et épais comme celui de ses congénères, se dressa lentement, tandis que le succube laissait son aura sexuelle emplir la pièce et saturer les capteurs de Shak’zhul.

Elle prit le temps d’user de magie, modifiant ses vêtements de manière qu’une fois sa cape enlevée elle apparaisse en sous-vêtements de dentelle, guêpière et porte-jarretelles rouge et noirs. Taquine, elle se caressa un moment, faisant monter la température et le désir de l’orkesse avec un savoir-faire maîtrisé, jusqu’à l’amener à la limite de ce qu’elle pouvait encaisser en contrôle.

Souriant, elle posa alors un pied sur la queue de Shak’zhul et la caressa lentement de celui-ci d’un mouvement lascif de va-et-vient diaboliquement efficace.

« Dis-moi, Shak’zhul, est-ce que tes comparses et toi utilisez des contraceptifs ? »

Elle sentait l’émoi de l’orkesse sous son pied dont le bas qui l’enveloppait s’humidifiait petit à petit.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 27 nov. 2024 00:40
par Les Bouchères
Oksha n'y était pas allé de main morte ! Une branlette intense avec ses énormes seins bien dodue. Elle sentit d'abord le sperme gicler de la verge, se répandre entre ses seins, se mélangeant à sa sueur, avant de gicler et de lui offrir une faciale. Un orgasme intense et généreux, dégoulinant sur ses seins. Elle se redressa et lécha tout ce qu'elle pouvait avec application. C'était une promesse d'une bonne nuit ! Non content d'avoir une bonne bite, il était généreux ! Par contre elle n'entendit pas son partenaire, ressentant plus le mouvement de ses lèvres sur les siennes intimes, sans pour autant comprendre ce qu'il disait. Cela attira d'avantage son attention et se concentra d'avantage sur son travail. Il était tactile, agile de ses doigts et sa langue n'était pas en démérite.

Mais il fallait plus pour Oksha. Le doigtage n'était pas son adage, aussi habile qu'il était de ses doigts. Les orcs n'étaient pas connue pour leur préliminaire, ni la subtilité de l'art du doigt. La force, la vigueur et l'endurance prime, ainsi que la bestialité. Oksha aimait les guerriers, et elle savait comment les provoquer pour avoir les bêtes qu'elle voulait. Elle remua du bassin, frottant sa chatte suintante sur le visage de son amant, venant frotter ses seins.

-J'savais pas qu't'étais un barde. T'vas faire une balade après ?

Son ton était faussement moqueur et provocateur à outrance. Elle eu même un rire franc après sa boutade, avant de s’asseoir un peu plus sur lui, se relever et recommencer. Elle jouait avec lui, et bien qu'appréciant ce qu'il faisait, ce n'était pas ce qui l’excitait le plus. Elle se pencha à nouveau et saisit le sexe à demi-mou entre ses doigts, le secouant légèrement, jouant avec comme essayant de le réveiller. Plus qu'a voir comment le guerrier se réveille.
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Urbsha était une vorace, une sauvage. Wayland se faisait refaire le cul à la langue, tant et si bien qu'il en jouit presque directement, entre les seins de cette dernière. On pouvait la félicité de faire un orgasme aussi vite et juste avec un cunnilingus intense et vorace. Mais c'était pas au goût de Ursbsha. Cette dernière cessa et le mit sur le dos, ses jambes toujours sur ses épaules, soulevant à moitité l'homme, seul les homoplates touchant le lit. Elle avait le regard réprobateur, la gueule dégoulinant de bave qu'elle essuya d'un revers de la main. Elle chopa sa bite et vint taper les fesses de son gigolo.

-J'espère qu't'ais pas une tarlouze qui jute dès l'début puis plus rien. Dit-elle, sur un ton plus neutre que son regard. J'vais t'enculer, si tu r'trouve le barreau et qu'tu jouis, j'te laisserais m'péter l'cul s'tu peux après qu'j'me sois vidé. Dit-elle sur un ton de défis. Sinon, j'me sers de toi comme sac à foutre pour le reste d'la nuit. Conclue t-elle avec un énorme sourire. A toi d'jouer.

Dans les 2 cas elle était gagnante, mais lui avait tout intérêt à être la hauteur si il voulait pas juste subir. Sans plus de préliminaire, elle cala son gland contre la rondelle de Wayland, et l'enfonça d'un coup. Le gland d'abord, puis par coup, le reste de sa bite. Jusqu’à la garde, enfonçant son glaive de chair dans son nouveau fourreau. Elle lacha un bon râle de plaisir, et de part leur position, la peau du ventre tendu, on pouvait deviner une bosse, preuve de la présence de la bite de Urbsha. Rapidement, elle commença à donner des coups de reins, lentement.

A chaque coup, elle était plus rapide, plus forte, et toujours aussi profonde. Elle le tenait par le bassin, le manipulant en même temps qu'elle donnait des coups de rein. De ce fait les coups étaient plus fort et intense, limant avec férocité le fondement, pilonnant sans vergogne. Il voulait du sexe avec une futa orc, il était servit.
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Narz-gora ravageait la gorge de Greta, limant son œsophage, raclant sa gorge avec férocité. La paysanne n'était qu'une poupée de chaire, perdu dans cette démonstration de force. Elle avait les yeux presque révulsé, des filets de bave giclant en quantité, éclaboussant son corser, dégoulinant à foison. Et elle adorait ça.

-GGRRRAAAARRR !!!

Narz-gora donna un dernier coup de boutoir, et se vida, à grand goulot. On pouvait presque voir la gorge se déformer sous le passage des flots de spermes. Sa verge étaient si épaisse, que rien ne remonta, tout finissant dans le ventre de Greta. Elle gicla plusieurs fois, et le ventre de Greta gagna quelque rondeur, une giclée fit remuer le ventre par la puissance et la masse. Narz-gora se retira presque complétement, ne laissant que son gland en bouche, se vidant dans la bouche de Greta, gonflant ses joues, avant que le sperme ne gicle du nez et des lèvres, avant de se retirer pleinement, lui faisait une faciale de son ultime jet.

Greta cracha un enorme flot de sperme, un jolit jet qui s'écrassa juste devant, elle, avant de se finir dans son corse, inondant sa tenue. Elle haletait, hagard, langue pendante.

-Moaharharharhar ! Toujours d'attaque ? Demanda Narz-gora.

Greta se contenta de lever le bras, pouce en l'air, sourire béat. Narz-gora rigola, et retourna sa favorite sur une meule de foin, la dépouillant de sa tenue, claquant ses fesses, avant de s'enfoncer en elle.
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Shak’zhul n'afficha aucune surprise, relevant tout juste un sourcil, quand leur employeuse afficha des vêtements érotique à souhait en enlevant sa cape. Shak’zhul n'était pas dupe. Pour quelqu'un en mission d'extermination, sans armure ni arme apparente, c'était stupide de venir habiller comme ça en voyage. Y avait de la magie en dessous, ce qui n’impressionnait pas la Chef des Bouchères.

Ce fut d'avantage la nouvelle tenue qui l'intriqua que son apparition. Plus habitué à des filles en robe, en tissus un peu provocateur et plus direct, l'approche de Valéria était très originale, car ne venant pas directement et jouant seule pour commencer. Shak’zhul se sentit très vite excité et avide de baisé, à deux doigts de craquer pour lui sauter dessus. Ce qui la surprit, elle avait un meilleur contrôle de sa libido que ça. Bien plus que ses consœurs. Sa verge était devenue dur comme du fer, et Valéria vint poser le pied sur sa verge, avec une question bizarre.

« Dis-moi, Shak’zhul, est-ce que tes comparses et toi utilisez des contraceptifs ? »
-Des quoi ?

Elles passaient leur temps à baiser celle qui voulait, sans jamais se soucier de ce genre de chose. Insouciance ou ignorance, en tout cas il était clair que les Bouchères ne se préoccuper pas de si des personnes pouvaient tomber enceinte. Shak’zhul se releva et attrapa Valéria et s'arrangea pour la faire tomber sur le lit et se retrouver au-dessus d'elle.

-Z'êtes pas humaine, j'lsens. Dit-elle. Zêtes une démone.

Shak'zhul l'avait sentit. Peut de chose pouvait autant la troubler et presque lui faire perdre pied. N'importe la qu'elle de ses camarades seraient déjà au pied de cette démone. Mais ce n'était pas son cas. Elle était une moine guerrière, une maître lame. Aussi, prenait conscient de ce fait, elle se montra plus résistante au effluve et autre manipulation de la démone. Mais c'était loin de lui couper l'envie.

-T'as pas à t'casser l'cul pour m'donner envie
. Dit-elle avec un grand sourire. Ça c'est mon job d'la nuit. Mais j'vais pas passer à côté d'eux. Moins d'blabla, plus de d'baise.

Elle se releva et se mit en amazone, calant sa verge entre les seins généreux de Valéria, venant embrasser les lèvres de la démone de son gland. Elle saisit les monts généreux, commençant à ce branler en de long mouvement de bassin, tout en les massant. Sans trahir la rudesse et l'ardeur de sa race, Shal'zhul était plus délicate et attentionné, jouant avec les mamelons, titillant les lèvres de la démone, sans plus de brusquerie. Quand on voyait ses camarades, ces dernières n'aura sans doute pas fait preuve d'autant de retenue.

Shak'zhul faisait exprès. Elle était chef, dominatrice. Si on vient pas direct à elle, c'est elle qui vient. Et jouer ainsi avec une démone, c'était plus grisant que de subir les influences de la démone. Elle savait les démones fières et orgueilleuse, elle ignorait si elle avait l'habitude de cette position, mais elle prête à parier que c'était pas une habitude pour elle. Elle donna encore un coup de bassin, et laissa son gland contre les lèvres de Valéria. Elle avait encore de la marge quand que son bassin ne cogne les seins. Elle n'avait pas à explicité ce qu'elle voulait, surtout en poussant un peu.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 20 janv. 2025 15:59
par Valeria
Gornulf avait joui fort. Dire qu’Oksha l’excitait était en-dessous de la réalité. Cependant, c’était un homme aussi généreux dans les mots que dans les actes, et son énergie ne manquait pas. Oksha le titilla quelque peu, ce qui eut pour effet de le stimuler encore plus. Il s’enivrait de son odeur et de ses sucs intimes, elle le plaquait plus encore en jouant du bassin sur son visage. Déjà, elle empoignait sa queue et déjà il répondait présent, se raffermissant rapidement sous les manipulations aussi péremptoires que musclées et pleines de savoir-faire.

Il grogna en l’entendant parler de barde et de balade. Il n’était pas une donzelle !

Bien que la belle soit d’un gabarit très imposant, l’homme se redressa sans réel effort et la retourna sur le lit, qui grinça péniblement. Dans la main de l’orke, la queue était dure comme de l’acier trempé.

Il l’embrassa à pleine bouche, ondulant des hanches pour faire coulisser son membre entre les doigts fermes puis la regarda, le visage couvert de cyprine luisante.

« Oh ma mie, nul besoin de balade pour ton cœur de jouvencelle. J’espère que ma pique va le cueillir et que jamais tu n’oublieras les attentions dont tu vas faire l’objet ! »

Il s’introduisit en elle d’un coup de hanches maîtrisé, puis y glissa son mandrin jusqu’à la garde avant de commencer à limer avec vigueur.

Les mains posées de part et d’autre des épaules d’Oksha, il admirait la vue que lui offraient son beau visage et ses seins lourds qui se secouaient à chaque coup de rein. Il était aux anges et ne semblait pas prêt de laisser les choses changer.

« T’as encore un peu de foutre au coin des lèvres… »

**

Trop vite, trop fort. Wayland en voulait depuis des heures. L’orke lui retournait les sens, ses muscles, son attitude brutale et dominante, il voulait se faire baiser à mort, sentir sa grosse queue lui écarteler les entrailles et ses intestins emplis de foutre lui donner l’impression de se balader avec un seau d’eau dans la bidoche pendant des jours. Mais il n’avait pas pensé que ça pourrait arriver si vite, ni que ce serait si bon.

Urbsha l’avait retourné comme une crêpe et soumis en un rien de temps. Il en avait joui violemment de surprise, de honte et d’excitation. Elle en avait profité pour le retourner de nouveau et là il sentait le gland pousser contre son sphincter.

« J'espère qu't'es pas une tarlouze qui jute dès l'début puis plus rien. J'vais t'enculer, si tu r'trouves le barreau et qu'tu jouis, j'te laisserai m'péter l'cul s'tu peux après qu'j'me sois vidée. Sinon, j'me sers de toi comme sac à foutre pour le reste d'la nuit. A toi d'jouer. »

Il ne savait pas s’il voulait juste servir de sac à foutre ou s’il voulait plus. Il savait que rien que dans ce rôle il cumulerait les orgasmes et serait assouvi pleinement ? cependant, la perspective de péter le cul d’Urbsha était magnifiquement tentante. Il fantasmait sur ces fesses depuis qu’il les avait vues, se demandait quelles seraient les sensations au sein d’une telle masse de muscles.

Elle poussa un grand coup sec et même s’il était prêt, il s’étonna de la sentir entrer si facilement.

« Aaargh ! ❤ »

Elle l’avait bien ouvert avec sa langue. Il ne résistait pas. Cependant, son gabarit était autrement plus conséquent que tout ce qu’il avait connu. Mais elle était si puissante !

« Ghaaa… Haaa ! Haaannn ! Ggghhhh… ❤❤❤❤ » furent les seuls sons qu’elle tira de lui jusqu’à ce que son bassin tape contre ses fesses et que sa queue lui distende le ventre. Il était mince et musclé, son corps svelte ne pouvait pas cacher grand-chose et surtout pas un mandrin de cette taille.

Il faisait visiblement un effort pour la regarder dans les yeux parce qu’il était emporté par le plaisir. Ses entrailles complètement ouvertes, forcées par ce pieu de chair lui chamboulaient les sens. Urbsha se mit à le pilonner et il ne put qu’ahaner en rythme, poupée désarticulée entre ses bras si puissants.

« Je vais… je vais… aaannnhhh… faire de mon… oh ouais ❤ mieux. Ton cul… lui aussiiiii… mérite son dûûûûhhhh ! »

A peine deux minutes et déjà il rebandait comme un taureau ! La goutte déjà présente au bout du gland, son corps montrait peut-être encore mieux que ses mots à quel point il appréciait le moment alors qu’Urbsha le pilonnait de plus en plus fort, de plus en plus vite, toujours à fond. C’était une vraie défonce et il adorait ça ! Il resserra son sphincter autour de la queue d’Urbsha.

« Vas-y… Oooh ! Emplis-moi… de foutre ❤ Donne tout ske t’aaaaaaaarghhh ❤❤❤ »

Il se sentait totalement dominé, totalement en harmonie.

« ‘tain ! J’vais encore juter, j’sens qu’ça vient ! »

Oh oui, elle allait l’assouvir comme il ne l’avait jamais été !

**

Dashia se laissa dévêtir par les deux servantes. Celles-ci y mirent du cœur à défaut de compétence, leurs bouches et leurs langues parcourant son corps au fur et à mesure que sa peau se découvrait.

Elles s’attardèrent sur ses seins, leurs bouches avides de ses mamelons et leurs mains de ses fentes intemes. C’était aussi saugrenu que délicieux. Les filles semblaient prendre plaisir à ce qu’elles faisaient et Dashia se fondit dans leur binôme, ses mains partant à l’exploration de leurs fesses et leurs rondelles.

Elle poussa soudain l’une des deux à descendre lui prodiguer une attention toute particulière tandis que sa seconde bouche accrochait celle de la restante pour un baiser enfiévré. Elle lui caressait le dos, la maintenant fermement contre elle, les mains de la jeune femme se perdirent dans son cul et sur ses seins. Elle grogna de plaisir. La langue de l’autre fouissait avec appétit son antre qu’elle ouvrait aussi de deux doigts intrusifs et curieux, bien plus habiles qu’elles ne l’avaient laissé sous-entendre.

Ca c’était de la finesse, de la douceur. Ce n’étaient pas des courtisanes mais quand même, c’était bien autre chose que ces bourrines d’orkes ! Dieux qu’elle regrettait ce soir de ne pas avoir de queue pour leur faire rentrer dans la tronche leur arrogance et leur condescendance ! Oh oui ! Surtout la berserker. Quelle sauvage celle-là ! Elle ne méritait rien d’autre que…

« Aaaaaaaaaaaaaaahhh ! »

Le plaisir la prit sans prévenir et la secoua violemment. Tandis qu’elle tremblait de tout son corps, les deux femmes profitèrent de leur avantage et intensifièrent leurs stimulations. Parti comme ça, elle allait en avoir pour son argent !

**

« Des quoi ? »

Bien entendu, ce concept était étranger à Shak’zhul et ses comparses. C’était étonnant qu’Oksha n’ai pas encore donné naissance à un enfant.

La guerrière se redressa soudain, attrapa Valeria et la bascula sur le lit de façon à se retrouver sur elle.

« Z'êtes pas humaine, j'lsens. Zêtes une démone. »

Valeria éclata d’un rire spontané, si plein de joie et d’amusement qu’il en aurait fait frissonner de plaisir un ermite sourd au fond d’une grotte humide depuis dix ans.

L’orke amusait la succube. Elle avait un peu plus de maîtrise que ses amies, elle n’avait pas déjà succombé. Peu n’auraient pas joui rien qu’à la pose du pied sur la queue. Et désormais la peau-verte entendait mener les débats ? Pourquoi pas après tout ? Elle était le repas et peu importait si la viande était bleue, saignante ou en papillote tant qu’elle était consommée.

« T'as pas à t'casser l'cul pour m'donner envie. Ça c'est mon job d'la nuit. Mais j'vais pas passer à côté d'eux. Moins d'blabla, plus de d'baise.
- J’espère bien. Parce que là, tu fais que parler et moi je veux des orgasmes et du foutre. »

Elle lui lança un regard lubrique à faire bander un mort. La réponse qu’elle vit s’allumer dans le regard de Shak’zhul lui plut. Elle pouvait se contrôler encore à présent, bientôt elle ne pourrait plus et la débauche serait encore plus grisante.

Shak’zhul se redressa, se plaça en amazone sur le ventre de Valeria, sa queue tendue entre ses seins ronds et fermes. La douceur de sa peau n’avait aucune commune mesure avec celles des mortelles, rien que glisser sur elle était presqu’un orgasme en soi. La queue glissa entre les globes de chair, le gland vint se poser contre les lèvres purpurines. L’odeur de Shak’zhul emplit les narines de Valeria, les émanations de son désir étaient diablement appétissantes, encore plus depuis qu’elle utilisait ses disciplines mentales pour tenter de les contrôler.

Elle attrapa les seins, joua avec les mamelons, les tétons. Bien qu’un peu rustre, c’était une compétence que très peu d’orkes avaient. Valeria sourit, le gland vert sombre trancha sur la blancheur de ses dents. Elle fit disparaître tout vêtement de son corps d’une pensée.

« Tu as raison, belle Shak’zhul, dit-elle d’une voix de gorge profonde et envoûtante,je suis démone. Succube plus exactement. Et nous allons passer une nuit délicieuse… »

Il ne fallait pas être grand clerc pour deviner l’intention immédiate de l’orke. La langue de Valeria sortit de sa bouche, rampa autour de la queue en une longue torsade, jusqu’à la base, jusqu’aux couilles autour desquelles elle se raffermit et termina sa course. Elle sourit et sa langue commença à masser queue et bourses. Sa salive était un aphrodisiaque puissant, son contact une promesse de félicité à nulle autre pareille. La bouche grande ouverte, elle regardait l’orke sans cesser de la stimuler, attendant simplement le craquage.

Ses mains caressèrent les cuisses de Shak’zhul avec une délicatesse digne des plus grandes courtisanes, grimpant jusqu’à ses fesses musclées qu’elles se mirent à pétrir doucement, expertement, les massant et caressant, ses doigts s’aventurant petit à petit de plus en plus près de la rondelle.

Elle sondait l’esprit de Shak’zhul à la recherche de ses désirs. Que voulait-elle vraiment pour ce soir ? Juste une baise basique ? Des ébats plus mouvementés ? Plus originaux ? Valeria allait-elle devoir matérialiser un pénis elle aussi ? le cul semblait en avoir reçu plus que son dû avec les bouchères. Mais Shak’zhul en voudrait-elle ce soir ?

Déjà les premiers spasmes arrivaient et Valeria pouvait goûter le présperme de son amante. Un goût fort, une odeur présente. Une semence qu’on n’oubliait pas. Elle sourit. La soirée débutait parfaitement.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 28 mars 2025 00:40
par Les Bouchères
Ça avait marché, le Gornulf réagit comme le voulait Oksha, avec force et vigueur. Oksha n’était pas un poids léger, mais il parvint à la faire basculer et à la retourner ! Ses muscles n’étaient pas là pour la décoration, ça c’était un guerrier comme Oksha les aimes ! Et sa bite était à nouveau dur, ça c’était le pied ! Oksha eu un rire de joie, dévorant son guerrier du regard, se léchant les lèvres. L’embrassade fut sauvage, partageant la cyprine de la guerrière. L’homme semblait avoir pris une douche, tant il dégoulinait de fluide, ce qui n’était pas pour déplaire à Oksha. De ses mains, elle tâta ses muscles, fort et vigoureux, attendant de voir comme il allait la prendre.

« Oh ma mie, nul besoin de balade pour ton cœur de jouvencelle. J’espère que ma pique va le cueillir et que jamais tu n’oublieras les attentions dont tu vas faire l’objet ! »
-hihihi viens m’piquer ‘vec ton gros dard !

L’envolé lyrique lui était un peu passé au-dessus de la tête. Oksha était simple, pas prise de tête, direct et avait envie d’une bonne baise. Il faudrait attendre demain pour qu’elle réfléchisse un peu plus que son envie de baisé et comprenne pleinement le sens des paroles. Elle mit ses mains au-dessus de sa tête, attrapant le dossier, laissant pleine latitude à son guerrier pour qu’il s’amuse sans restriction.

-MMmmmhhaaaAANNHH. Minauda Oksha.

Il savait y faire, un mouvement maîtrisé et il était dans l’intimité caverneuse de l’orc, jusqu’à la garde ! Il pouvait le sentir, son intimité était à la grandeur de son gabarit, elle l’acceptait entièrement, sans restriction, dans son intimité moite et suintante ! Il convenait à ses lieux malgré leur différence de gabarit, car Oksha avait le sourire et adorait le sentir en lui. Elle se mit bien, et lâcha à chaque pénétration de doux son de plaisir sincère. Il fallait bien être un guerrier pour la contenter ! Le lit tremblait, ses seins se ballottait, Oksha souriait, adorant ce moment.

« T’as encore un peu de foutre au coin des lèvres… »
-Et toi mmmaannnhh la gueule qui dégouline d’mon jus. Lança Oksha avant de rire aux éclats, grand sourire.

Elle se lécha les lèvres, l’air de rien, avant de contracter son bassin. Comme un étau, son vagin se resserra sur la bite de Gornulf, et au vue de sa force, presque comme un serpent constricteur. Elle avait beau aimer les guerriers, elle était elle aussi une guerrière, aussi elle ne se contentait pas d’être spectatrice. Et ce n’était que le début, car la lutte ne faisait que commencer !
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Urbsha n’avait aucun scrupule à taper fort. Elle voulait le baiser point. Elle le remuait comme une chaussette, avide et vigoureuse, pilonnant son corps sans vergogne et elle savait qu’il aimait ça aussi elle se privait pas. La preuve, il allait déjà à nouveau jouir ! Ni une ni deux, elle le retourna à nouveau, restant planté dans son cul, cessant un moment de le bourriner. Elle le plaqua contre le lit, gardant ses fesses levé, et pinça sa bite. Oh pas trop fort, mais ce qu’il fallait pour bloquer toute éjaculation. Elle se mit sur ses pieds, se surélevant et dominant entièrement l'homme et s’enfonça profondément, l’enculant de tout son poids, l’écrasant contre le lit.

-WARWARWARWAR ! T’me rassure t’pas une tarlouze ! Mais pour l’instant j’t’encule !

Elle le dominait totalement, et ses coups devinrent plus intense, en y mettant son poids, allant bien profond en lui. Elle relâcha son pénis, prit appuies des poings sur le lit, et le baisa intensément. Il était sa chose, sa monture ! Elle chevauchait avec ardeur et fureur ! Même en resserrant son sphincter, il n’arrivait pas à la ralentir, et même pire ou mieux ça excité l’orc qui redoubla d’effort. Le signe était fort, il n’était pas le dominant, et elle ne serait pas dominé. Elle grogna, s’embarquant dans une fureur sexuelle, sa bite semblait encore grossir, remuant tout son corps. Elle terraformait son trou du cul à coup de trique, il était devenue un trou à orc et allait le rester un moment.

On pouvait se demander si elle le laisserait la sodomiser ou si elle n'allait pas juste se perdre dans sa fureur sexuelle et se servir de lui toute la nuit comme vide couille. C'était en tout cas, ce qu'elle laissait comprendre, vue les cries de plaisir et l'ardeur qu'elle mettait à lui défoncer l'arrière train.
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Si Shak’zhul avait une bite à la place du cerveau comme Narz-gora, autant de patience que Oksha en avait pour compter autre chose que ses chopes de bières quand elle y arrive, et autant de contrôle que Urbsha en combat, elle aurait déjà jouit et lui baiserait sa gueule d’amour sans vergogne. C’était une lutte de l’esprit pour la moine-guerrière, un duel de grande intensité pour la maitre-lame. Se branler entre les seins de cette succube, c’était comme baisé l’intimité d’une femme. Ses sœurs de sang n’auraient aucune chance au lit face à cette succube. Et ça ne plaisait pas à Shak’zhul. Non pas parce qu’elle voulait en garder le privilège, mais elle craignait l’influence que pourrait avoir la succube. A Mijak, ce n’était pas un secret que les démons étaient reconnue pour leur influence sur les autres créatures. Et les orcs n'étaient pas le peuple le plus haut et mieux placé à Mijak.

-OOuurrggmmpfff

La succube avait sortie sa langue, juste après s’être mise nue en faisant disparaître ses vêtements. Shak’zhul en fut déboussolé, elle n’avait jamais sentit une langue aussi longue s’enrouler autour de sa queue jusqu’à ses couilles et les lécher avec faciliter. La bave était comme brûlante, nappant sa queue d’une couche ardente, la rendant plus qu’avide. Le pré-sperme coula presque à flot, une veine palpita au niveau de son cou, tandis que la sueur commençait à dégouliner. Puis les mains vinrent, caressant sa peau, d’une douceur à nul autre pareil, remontant ses cuisses, caressant ses fesses. C’était incroyable. Ses sœurs de sang n'aurait jamais pus résister.

En sondant son esprit, la succube put découvrir que Shak’zhul était très rarement celle qui prenait, et plus celle qui donnait des coups de bites. Et là tout de suite, y avait qu’une chose dans son esprit. Baisé la succube dans tout les sens, et remplir ses trous.

Shak’zhul, se leva, prit appuies sur ses pieds, pliant les genoux et agrippa la tête de la succube, et sans autre forme de procès, s’enfonça entre ses lèvres, plongeant dans sa gorge, descendant son œsophage. Direct, sans même lui laisser le temps de rétracter sa langue, qui s'aventura dans son propre œsophage, avec la bite de l'orc.

Elle plaqua la bouche de la succube contre son bassin, dans sa touffe de poil roux comme ses cheveux, comme cherchant à étouffer, claquant ses couilles contre son menton. Mais rien que ça, elle jouit. Une bouche sans comparaison ! Qu'aucun vagin normale ne saurait égaler en sensation. Elle se vida directement dans Valéria, restant bien planté dans et plaqué contre sa bouche. Shak’zhul lâcha un profond râle de plaisir, alors que des vagues de foutre se deversait dans la succube, directement dans l'estomac. Plusieurs jets épais et chaud, s'échappant de la commisure des lèvres et du nez de la succube, en de petite bulle.

Mais loin de la refréner, après quelque seconde à jouir à grand jet, elle entama de lui baiser la gorge. Vigoureusement, elle remua son bassin, et baisa la gorge de la Succube, avec ardeur et force. Elle bavait, se perdant dans le plaisir, mais sans faiblir dans son mouvement. Un rythme constant et soutenue.
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Narz-gora culbutait Greta avec ardeur. Elle donnait même pas de coup, elle agitait Greta comme une marionnette, la sodomisant avec force et ardeur. Gretta se tenait a une barre au mur, bavant et hurlant son bonheur sans aucune gêne et honte. Narz-gora rigolait, tout en la bourrant, limant ses parois. Le ventre de la paysanne était déformait par la bite de l'orc, gonflant et dégonflant à chaque mouvement. Elle pouvait même sentir ballotter la charge de sperme dans son estomac.

Greta était au ange. Elle avait toujours été une nympho, et chaque visiteur avait droit à sa visite. Avec les Bouchères, elle se sentait rassasier pour quelque jour. Le Relais de la Gargouille, une ferme auberge qui devait une partie de sa réputation grâce à Greta. Et aussi grâce à elle que les murs et lits furent renforcer, pour étouffer les sons. Sauf si les portes sont ouverte, comme avec Oksha.
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Les propriétaires de ces lieux, le chef de famille et sa femme, étaient dans la cuisine. Ce dernier était revenue avec son fils, avant que Dashia n'arrive. Ils étaient dans la cuisine, dans l'optique de faire le diner.

-Bon, j'crois bien qu'ça s'ra pas nécessaire d'faire le diner. Clamat Clovis. Ça baise plus ici qu'dans l'poulallier. Tssss, d'mon temps on passait moins temps à baisé.
-Le lapin qui critique la souris. On a eu combien d'enfant déjà ?
-Euh... 10.
-Depuis le jour qu'ton arrière arrière arrière arrière grand père à fait c'te ferme, les voyageurs en profite. J'te rappelle même que ton arrière arrière grand père était un soldat de passage.
-Et c'tait pas ton arrière grand mère qu'étais une barde ?


Les deux s'en allèrent, laissant leur deux garçons qui décidèrent de tout plaquer pour aller dans rejoindre des amis dans une ferme voisine. Clovis et Maria, à force de parler généalogie, avant de revenir sur cette manie des voyageurs de toujours finir par baiser, déclenchèrent le pouvoir latent de Valéria en Maria, qui embarqua son marie pour, pourquoi pas, faire un onzième enfant.

Re: La Boucherie va s'en payer une bonne tranche ! [PV : Valeria]

Posté : 03 avr. 2025 16:20
par Valeria
Gornulf empala Oksha sans fioritures, une énorme dinde passée au fil de sa broche ! Le ventre de l’orkesse l’avala tout entier, il se sentit comme aspiré par une bouche vorace, avide de lui. C’était une sensation délicieuse de sentir l’intimité s’écarter pour l’accepter à chaque coup de reins. Bien que les dimensions de son membre soient honorables, il n’égalait nullement les sœurs de combat d’Oksha.

Pourtant celle-ci accrocha ses mains à la tête de lit et s’offrit à lui. Il se mit à la bourrer sans façon, excité par cet abandon autant que par les gémissements de plaisir de la belle. Plus il la prenait, plus il sentait ses couilles se maculer de cyprine, ce qui l’excitait grandement. Sentir l’effet qu’il faisait à ses amantes était un délice pour lui, mais quand l’amante était une guerrière barbare comme Oksha, il ne se sentait plus.

Il était du genre à tomber facilement amoureux, mais ce genre d’amante pouvait aisément le « fixer », pour peu qu’elle le décidât.

La vue de ses énormes mamelles qui rebondissaient en tous sens, les tétons gonflés et dressés, l’allumait encore un peu plus. Il fit remarquer à Oksha qu’elle avait encore un peu de son foutre au coin des lèvres. Elle sourit en répondant :

« Et toi mmmaannnhh la gueule qui dégouline d’mon jus. »

Puis elle éclata de rire.

L’humain se mua en bûcheron. Il se mit à défoncer le ventre de l’orkesse à grands coups de cognée, son membre gonflant plus encore sous l’effet d’une excitation hors norme. Elle réagit en resserrant ses muscles vaginaux autour de la queue qui la pistonnait.

Gornulf grogna de plaisir. Les stimuli étaient délicieux. Il savait parfaitement qu’elle n’allait pas rester à jouer l’étoile de mer, même si elle continuait à s’accrocher à la tête de lit. Il augmenta la cadence, changea de rythme, de profondeur de pénétration, stimula le clitoris par ses mouvements amples ou courts, vifs ou lents. L’organe gonflé en prenait pour son grade et la cyprine dégorgeait petit à petit de l’antre malmené, plaquant de plus en plus les couilles de l’homme, rendant le coït plus gluant et collant encore.

Gornulf suait à présent et dégoulinait sur le ventre et les seins d’Oksha, admirait sa sueur se mêler à celle de l’orkesse, couler sur sa peau en lentes gouttes paresseuses bien souvent arrêtées dans le cheminement par les seins qui les écrasaient en ballottant.

Des craquements se faisaient à présent entendre. Le lit souffrait, que ce soit sous leur poids, leurs mouvements qui mettaient à mal ses pieds ou les tractions des bras d’Oksha sur la tête de lit.

Les mains de Gornulf empoignèrent les seins lourds d’Oksha et il les compressa alors qu’il changeait à nouveau de rythme et la pilonnait sans retenue, les peaux claquant violemment dans un déchainement de sueur et de cyprine.

**

Wayland se sentait déjà emmené sur le chemin d’une nouvelle éjaculation et le dit. Urbsha ne l’entendait pas de cette oreille et le retourna sans délicatesse, lui faisant faire 180° sur sa bite pour le plaquer dos sur le lit, cul relevé et jambes par-dessus tête. Elle prit son gland entre deux doigts et pinça juste ce qu’il fallait pour l’empêcher de jouir. L’orgasme de l’homme se déclencha très vite, mais il pulsa dans le vide. Son regard papillonna alors que sa queue subissait quelques vains soubresauts.

Elle se mit alors debout et le domina de toute sa hauteur. Elle s’enfonça en lui comme jamais, sa queue faisant gonfler son ventre encore plus fort dans cette position.

« WARWARWARWAR ! T’me rassure t’pas une tarlouze ! Mais pour l’instant j’t’encule ! »

Il ne put répondre, déjà elle recommençait à le démonter. Il hoqueta de plaisir et de douleur, il se faisait soumettre comme il ne l’avait jamais été et il encaissait la plus grosse queue qu’il ait connu. Il aurait pu jouir une nouvelle fois mais elle le tenait encore et il pulsa à nouveau dans le vide.

Elle le lâcha alors et un paresseux filet de foutre suinta de son urètre pour dégouliner sur son torse. Elle l’écrasa encore un peu plus, prenant appui de ses poings sur le matelas, s’enfonçant en lui avec une ardeur et une lourdeur écrasantes.

« Aaaargh !! »

Il adorait ça. Ses mains s’agrippèrent aux poignets d’Urbsha alors qu’il faisait ce qu’il pouvait pour participer, ondulant un peu des hanches, compressant et relâchant son sphincter pour lui offrir plus de plaisir. Il semblait que ce n’était qu’une goutte d’eau dans l’océan de puissance qui le ravageait mais cela eut son petit effet car l’orkesse redoubla d’efforts, comme galvanisée.

« Vas-y ! Encore ! Oui ! Oui ! Ouiiii ! EMPLIS-MOIII ! »

Elle le ravageait, il haletait en criant des obscénités. Son corps ne lui appartenait plus, il était esclave de son plaisir, réduit à un état de sac à foutre qui l’amenait à proximité du plaisir. Il bandait toujours plus fort, sa queue gonflait sous les stimuli. Les minutes s’écoulèrent, il juta. Le sperme s’écrasa sur son visage et son torse, en abondance.

« Haaaaaaa ! »

La paupière gauche lourde de striées de foutre, il leva les yeux sur son ventre déformé par l’énorme mandrin qui le perforait, puis les leva plus haut, sur le visage d’Urbsha.

« Co… Comment tu fais ? Haaaa… Encore… T’arrête pas… jusqu’à ce que tu… décides… de prendre mon jus… dans le cul… »

Il n’avait jamais rien connue de tel et malgré plusieurs orgasmes ravageurs il bandait toujours comme un taureau ! L’esprit embrumé par ces sensations iniques, il se sentait si plein, si entier, qu’il se mit à confusément s’imaginer tellement empli par la queue et le foutre que celui-ci lui déborderait par la bouche. Peut-être que si les orkes s’y mettaient à trois, ce serait faisable ?

Recroquevillé sur lui-même par la pression d’Urbsha qui ne semblait jamais devoir faiblir mais plutôt s’intensifier, il se retrouvait encore plus broyé, sa queue à présent au-dessus de son visage. Son souffle était court, sa capacité pulmonaire très réduite par la position et les coups de reins qui lui faisaient remonter l’estomac dans la gorge, et pourtant il criait et gémissait tant et plus.

**

Shak’zhul n’était pas l’orke moyenne. Plus intelligente, posée, réfléchie et sage, elle faisait montre d’une remarquable maîtrise d’elle-même tandis que la langue de Valeria parcourait son membre pour aller s’enrouler autour de ses bourses bien pleines. Le succube la sondait, cherchant ce qui lui plaisait le plus, afin de la satisfaire au mieux mais surtout d’en retirer le repas le plus exquis possible.

Les pensées de la mercenaire oscillaient entre ses sœurs d’armes, leurs capacités mentales qui les auraient amenées à être esclaves du désir qu’elles éprouveraient envers Valeria si elles étaient à sa place, son envie pressante de défoncer tous les orifices du succube là, maintenant.

Elle avait du mal avec ça car elle souffrait de l’infériorité sociale de sa race, infériorité marquée et difficile à faire oublier. Valeria se doutait que bien que d’excellente réputation, les guerrières n’avaient pas accès aux contrats les plus rémunérateurs, en grande partie à cause de leurs manières rustres et de leurs mœurs plus que libérées. Shak’zhul essayait de faire bonne figure, mais les phéromones inhérentes à la nature de Valeria, cumulées aux sensations iniques de sa bouche et de sa langue, mettaient à mal ses résolutions. Le succube s’amusait de ce combat perdu d’avance. Bien sûr, elle avait déjà largement tenu par rapport à ses sœurs, et même à la grande majorité des amants qu’elle avait eus. Mais la nature restait la nature et la chair était faible.

Avec un râle sourd, Shak’zhul succomba et se redressa pour, d’une poussée où la culpabilité de la défaite de sa volonté le disputait au désir intense, s’enfoncer d’une seule traite dans la bouche et la gorge du succube, emmenant avec elle la langue qui s’étira pour continuer à masser les couilles. Valeria encaissa sans broncher, émettant juste un petit borborygme surpris tandis que son nez s’enfonçait dans la toison rousse de son amante tandis que les couilles frappaient doucement son menton. Et à peine cela fait qu’aucun retrait de queue ne se fit sentir. Non, pour succomber, l’orke avait succombé : la queue pulsa violemment et le foutre gicla directement dans l’œsophage avant de suivre en glissant le chemin de l’estomac. Un long râle sonore quitta la gorge de Shak’zhul alors que son plaisir se déversait en Valeria et que celle-ci pompait délicatement l’énergie sexuelle afin de se sustenter.

Eh ben ! Si ça c’est pas un craquage en règle…

L’éjaculation était intense et puissante et Valeria sentit que l’orke aurait voulu que ce soit plus « sale ». Elle se débrouilla alors pour qu’un certain reflux de semence ait lieu et celui-ci s’échappa alors de son nez et de la commissure de ses lèvres pour dégouliner sur son menton et maculer les couilles.

Cette vision eut pour effet de stimuler Shak’zhul qui agrippa sa tête à pleines mains et se mit à lui défoncer la gueule comme une furie. Il n’y avait pas d’autre mot. En cet instant, seule la bestialité et le désir sexuel emplissaient l’esprit de la mercenaire et Valeria s’offrit avec plaisir, se nourrissant de Shak’zhul avec appétit, mais sans la drainer de manière ostensible : elle voulait que ça dure. Plus ça durerait, plus l’orkesse serait satisfaite et Valeria rassasiée. Elle aurait pu la finir en un instant, mais le sexe restait le sexe et c’était une institution !

Cependant, elle n’allait pas rester sans réagir pour autant. Ses mains caressèrent les cuisses de l’orkesse, ses fesses. Les muscles saillants étaient durs comme du béton, c’était délicieux ! Elle émit de petits borborygmes appréciateurs eu milieu des bruits obscènes que la défonce faisait jaillir de sa gorge. Ses doigts vinrent se maculer de semence et de bave avant de revenir à la paire de fesses et au sillon qui les séparait. Petit à petit, elle inséra ses doigts jusqu’à la rondelle, puis en elle. elle était curieuse de voir la réaction de la guerrière à cette intrusion. Elle pensait la connaître, mais on n’était jamais sûr de rien avec des orkesses imprévisibles…

Consciente des ébats qui se déroulaient un peu partout dans l’établissement, elle laissa son aura se dégager et imprégner les lieux d’une luxure intense.

**

Caroline avalait la cyprine et continuait à mettre du cœur à l’ouvrage entre les cuisses de Dashia. La mercenaire tremblait sur ses jambes sous l’effet d’un plaisir intense que la jeune femme n’avait encore jamais procuré. Cette réaction était une première et elle la savourait pleinement. Son habitude était plutôt les hommes et leurs ardeurs brutes, mais cette différence était la bienvenue.

A peine Dashia surprise par le plaisir et sa bouche libérée, Margot se jeta sur la gorge sans défense pour la dévorer de baisers enflammés et de suçons bruyants tandis que sa main massait les seins et pinçait méchamment les tétons, faisant jaillir de nouveaux gémissements de plaisir et de nouvelles giclées de cyprine.

Les deux jeunes femmes continuèrent de s’escrimer sur le corps de Dashia jusqu’à ce que ses jambes cèdent et que celle-ci s’écroule dans la paille avec un râle de bonheur. Elles reprirent alors leurs attentions, changeant de position afin que chacune ait accès aux lèvres détrempées.

Ainsi donc Margot commença un cunnilingus plus lent et sensuel et Caroline embrassa-t-elle avidement la mercenaire. Puis elle l’enjamba et monta le long de son corps jusqu’à lui présenter sa vulve elle aussi avide d’attentions. Dashia mordilla le clitoris avant de commencer à la déguster et Caroline s’agrippa aux barreaux de la stalle pour se laisser aller.