Le Champion et la Reine [PV : La Reine Ivory]
Posté : 27 sept. 2024 11:28
Alserac, ville-forteresse de Lumen, puissant et fière bastion de la ligne de défense contre les armées de Mijak. Ancrée dans une montagne, disposant de ramification sur ses flancs, offrant un large champs de vision à la forteresse, pouvant repérer une menace de loin. Et ça, malgré le fait que la forteresse soit ceinturer par une grande forêt, bien que séparer par une centaine de mètre par un terrain vaque, parsemer de rocher et d'une couche d'herbe qui semblait avoir connue des jours meilleurs.
Alserac n'était pas une ville-forteresse pour rien, elle abrite en son sein une petite ville, où vivent les famille des soldats, artisans de tout genre, marchant et tavernier, participant à la vie d'Alserac, son entretien et son bien être. Loin d'être de simple civil que l'ont doit à tout prit protéger, Maxime, commandant d'Alserac avait mit un point d'honneur à ce que tous apprenne à ce battre afin de défendre Alserac et combattre l’envahisseur si il avait besoin d'eux, malgré les cavernes dans la montagnes fournissant d'excellent abris et entrepôt. Vivant presque en Autarcie, Alserac se repose beaucoup sur la chasse, la cueillette et une rivière souterraine passant sous Alserac et parfois d'échange avec les Superfort ou autre ville forteresse, les ravitaillement leur fournissant juste de quoi compléter leurs réserves, pouvant tenir plusieurs mois grâce à elles.
Aujourd'hui Alserac était particulièrement agitée, chaque personne s'activer ardemment à un grand nettoyage de la ville, fessant en sorte que les maisons et les rues brilles au soleil, chassant la poussière et la crasse. Les murailles étaient parcourue par des centaines de bâtisseur tentant de redonner une nouvelle vigueur aux murs abîmer par l'âge et les combats, des ingénieurs vérifiant et revérifiant le fonctionnement de chaque arme de défense, afin qu'aucune d'entre elles ne fassent défaut en cas d'utilisation. Dans les cuisines, les cuistots étaient en pleine préparation de recettes, fessant l'inventaire de leur stock pour préparer de somptueux plats et préparant des petits encas.
Près des portes, des centaines hommes se mettaient en ligne, de par et d'autre de l'immense porte d’ébène grande ouverte. Des sergents remontaient la ligne de soldats, fessant avancer ou reculer des soldats pour qu'ils soient correctement aligner, inspectant la propreté des armures et la tenue de leur immense hallebarde, d'où pendait des oriflammes, au couleur de Lumen. Au dessus de la porte, des hommes étaient en train de positionner des tonneaux assez petit, préparant le comité d'accueil, tandis que du haut des tours, des sentinelles devaient annoncer l'arriver de la Reine.
La foule commençaient à se rassembler, armer de bouquet de fleur, une lueur d'impatience brûlant au fond de leur regard. Loin de la porte, dans l'enceinte du fort Doron, ses murs et murailles intacte, aucune armée n'ayant réussit à prendre d'assaut ce fort, Maxime, générale de l'armée de Lumen et commandant d'Alserac, rassemblait ses officiers et chevaliers, donnant ses dernières instructions.
-Son Altesse doit arriver d'un moment à l'autre, si vous devez régler une affaire c'est plus le moment ! Je ne veux pas le moindre écart. Capitaine Hidas, vous êtes responsables du maintien de l'ordre, si il y'a un seule débordement, même insignifiant, je jure de vous faire comprendre l'immensité de ma colère. Sir Tristan, la sécurité de la Reine est entre vos mains, j'espère que vos arbalétriers sont placer et près à tirer.
Les deux hommes acquiescèrent, avant de se retirer, rejoignant leur poste respectif, tandis que Maxime prit deux secondes pour respirer pronfondément. Autour de lui, il ne restait que les officiers les plus importants, qui devait faire bonne figure devant la Reine et servir indirectement d'escorte. Il souffla profondément une seconde fois.
-Relax Max ! On est tout aussi à cran depuis l'annonce de l'arriver de son Altesse royal ! Depuis trois jours tu es sous tension ! Tu as envoyer tellement de ranger ratisser la forêt pour chasser tout danger et déblayer la route que la Reine risque de marcher sur l'un d'eux ! Lacha Eros.T'a même renforcer les défenses, obliger les habitants à aider nos hommes à laver Alserac de fond en comble et envoyer un patrouille de vingts des meilleurs chevaliers d'Alserac pour t'assurer de la sécurité du chemin et qu'ils renforcent l'escortes de sa majesté, en plus des 80 fantassins d'élite et deux avant postes qui sont prêt à envoyer près de 1000 homme en renfort, sans compter le lord Magission, qui à mit un point d'honneur sur la préparation de ses troupes ! 6000 mille hommes sur le pied de guerre et près à intervenir ! Elle ne risque rien ! Pour un peu tu envoyer Jhorne et la moitié de la garnison.
-Et bien normalement c'est ce qu'il devait faire. Répondit Maxime, en jetant un regard acérer à l'immense guerrier qui se tenait à ses côtés.
-Pas ma faute si j'ai due revenir laver mon armure. Voulue ce justifier ce dernier.
-C'est vrai que se présenter avec la gueule recouverte de sang d'ogre ça l'aurait pas fait. Souligna un autre homme, d'une stature imposante, mais nettement moins que celle de Jhorne.
-Bon, passons. Nous devons rejoindre la porte, l'escorte de la Reine doit être en vue de nos nid d'aigle. Conclue Maxime.
Les hommes grimpèrent sur leur montures de guerre, avant de partir au trot Jhorne les talonnant, ses enjambés le maintenant au même niveau que ses compères, traversant en quelque minute la ville, traversant la haie d'honneur que formait les 1000 hallebardiers d'Alserac, ainsi que les meilleurs soldats de la garnisons, leur épée tirer au clair, leur épée face à eux, pointant le ciel. À une dizaine de mètre de la porte, Maxime et ses officiers descendirent et se mirent face à la porte, près à s'agenouiller quand leur Reine passera les portes et à l'accompagner jusqu’au fort. Au dessus, des hommes étaient près à lancer des centaines de pétales et un apprentie mage devait créer un léger vent pour rendre le tout magnifique. Dés que la Reine pénétreraient les murs, les hallebardiers abaisseraient leur arme à son passage, tandis que les pétales de roses déferleraient du haut de la muraille porter par la légère brise, tandis que le habitant d'Alserac lanceraient des fleurs à son passages. C'était peut être un peu trop, mais Maxime tenait à ce que la Reine soit le mieux reçu possible.
Depuis les meurtrières de la muraille et de certains bâtiments, des arbalétrières se tenaient près à tirer sur ceux qui se montreraient une hostilité ouverte envers la Reine et si ils mettaient sa vie en danger. Des soldats, déguiser en simple habitant, se mélangeaient à la foule, surveillant de près le comportement du peuple.
Alserac n'était pas une ville-forteresse pour rien, elle abrite en son sein une petite ville, où vivent les famille des soldats, artisans de tout genre, marchant et tavernier, participant à la vie d'Alserac, son entretien et son bien être. Loin d'être de simple civil que l'ont doit à tout prit protéger, Maxime, commandant d'Alserac avait mit un point d'honneur à ce que tous apprenne à ce battre afin de défendre Alserac et combattre l’envahisseur si il avait besoin d'eux, malgré les cavernes dans la montagnes fournissant d'excellent abris et entrepôt. Vivant presque en Autarcie, Alserac se repose beaucoup sur la chasse, la cueillette et une rivière souterraine passant sous Alserac et parfois d'échange avec les Superfort ou autre ville forteresse, les ravitaillement leur fournissant juste de quoi compléter leurs réserves, pouvant tenir plusieurs mois grâce à elles.
Aujourd'hui Alserac était particulièrement agitée, chaque personne s'activer ardemment à un grand nettoyage de la ville, fessant en sorte que les maisons et les rues brilles au soleil, chassant la poussière et la crasse. Les murailles étaient parcourue par des centaines de bâtisseur tentant de redonner une nouvelle vigueur aux murs abîmer par l'âge et les combats, des ingénieurs vérifiant et revérifiant le fonctionnement de chaque arme de défense, afin qu'aucune d'entre elles ne fassent défaut en cas d'utilisation. Dans les cuisines, les cuistots étaient en pleine préparation de recettes, fessant l'inventaire de leur stock pour préparer de somptueux plats et préparant des petits encas.
Près des portes, des centaines hommes se mettaient en ligne, de par et d'autre de l'immense porte d’ébène grande ouverte. Des sergents remontaient la ligne de soldats, fessant avancer ou reculer des soldats pour qu'ils soient correctement aligner, inspectant la propreté des armures et la tenue de leur immense hallebarde, d'où pendait des oriflammes, au couleur de Lumen. Au dessus de la porte, des hommes étaient en train de positionner des tonneaux assez petit, préparant le comité d'accueil, tandis que du haut des tours, des sentinelles devaient annoncer l'arriver de la Reine.
La foule commençaient à se rassembler, armer de bouquet de fleur, une lueur d'impatience brûlant au fond de leur regard. Loin de la porte, dans l'enceinte du fort Doron, ses murs et murailles intacte, aucune armée n'ayant réussit à prendre d'assaut ce fort, Maxime, générale de l'armée de Lumen et commandant d'Alserac, rassemblait ses officiers et chevaliers, donnant ses dernières instructions.
-Son Altesse doit arriver d'un moment à l'autre, si vous devez régler une affaire c'est plus le moment ! Je ne veux pas le moindre écart. Capitaine Hidas, vous êtes responsables du maintien de l'ordre, si il y'a un seule débordement, même insignifiant, je jure de vous faire comprendre l'immensité de ma colère. Sir Tristan, la sécurité de la Reine est entre vos mains, j'espère que vos arbalétriers sont placer et près à tirer.
Les deux hommes acquiescèrent, avant de se retirer, rejoignant leur poste respectif, tandis que Maxime prit deux secondes pour respirer pronfondément. Autour de lui, il ne restait que les officiers les plus importants, qui devait faire bonne figure devant la Reine et servir indirectement d'escorte. Il souffla profondément une seconde fois.
-Relax Max ! On est tout aussi à cran depuis l'annonce de l'arriver de son Altesse royal ! Depuis trois jours tu es sous tension ! Tu as envoyer tellement de ranger ratisser la forêt pour chasser tout danger et déblayer la route que la Reine risque de marcher sur l'un d'eux ! Lacha Eros.T'a même renforcer les défenses, obliger les habitants à aider nos hommes à laver Alserac de fond en comble et envoyer un patrouille de vingts des meilleurs chevaliers d'Alserac pour t'assurer de la sécurité du chemin et qu'ils renforcent l'escortes de sa majesté, en plus des 80 fantassins d'élite et deux avant postes qui sont prêt à envoyer près de 1000 homme en renfort, sans compter le lord Magission, qui à mit un point d'honneur sur la préparation de ses troupes ! 6000 mille hommes sur le pied de guerre et près à intervenir ! Elle ne risque rien ! Pour un peu tu envoyer Jhorne et la moitié de la garnison.
-Et bien normalement c'est ce qu'il devait faire. Répondit Maxime, en jetant un regard acérer à l'immense guerrier qui se tenait à ses côtés.
-Pas ma faute si j'ai due revenir laver mon armure. Voulue ce justifier ce dernier.
-C'est vrai que se présenter avec la gueule recouverte de sang d'ogre ça l'aurait pas fait. Souligna un autre homme, d'une stature imposante, mais nettement moins que celle de Jhorne.
-Bon, passons. Nous devons rejoindre la porte, l'escorte de la Reine doit être en vue de nos nid d'aigle. Conclue Maxime.
Les hommes grimpèrent sur leur montures de guerre, avant de partir au trot Jhorne les talonnant, ses enjambés le maintenant au même niveau que ses compères, traversant en quelque minute la ville, traversant la haie d'honneur que formait les 1000 hallebardiers d'Alserac, ainsi que les meilleurs soldats de la garnisons, leur épée tirer au clair, leur épée face à eux, pointant le ciel. À une dizaine de mètre de la porte, Maxime et ses officiers descendirent et se mirent face à la porte, près à s'agenouiller quand leur Reine passera les portes et à l'accompagner jusqu’au fort. Au dessus, des hommes étaient près à lancer des centaines de pétales et un apprentie mage devait créer un léger vent pour rendre le tout magnifique. Dés que la Reine pénétreraient les murs, les hallebardiers abaisseraient leur arme à son passage, tandis que les pétales de roses déferleraient du haut de la muraille porter par la légère brise, tandis que le habitant d'Alserac lanceraient des fleurs à son passages. C'était peut être un peu trop, mais Maxime tenait à ce que la Reine soit le mieux reçu possible.
Depuis les meurtrières de la muraille et de certains bâtiments, des arbalétrières se tenaient près à tirer sur ceux qui se montreraient une hostilité ouverte envers la Reine et si ils mettaient sa vie en danger. Des soldats, déguiser en simple habitant, se mélangeaient à la foule, surveillant de près le comportement du peuple.