The Multiversity

La Keisha, une boite de nuit en périphérie de la ville, était connue par les libertins pour sa discrétion et surtout d'être sans jugement et ouvert à tout le monde. Pour Terumi et Hakuo, c'était le lieux idéal pour s'amuser sans personne pour vous juger. Ils auraient voulue venir avec d'autre, mais Emi était quelque peu... sociophate. Il avait vécu la plus grande partie de sa vie loin de la société par sa famille. Eiko et Kazuhiko avaient refusé, se sentant pas encore prêt et Koichiro devait faire des heures supplémentaires.

Le duo étaient donc seule, pour le plus grand plaisir de Haruo, qui allait être en tête à tête avec Terumi. Il était amoureux de lui et Terumi tentait vainement de faire genre que ce n'était pas réciproque, afin de garder son image de garçon farouche et rebelle sans attache. Mais leur maître avait abattue toute barrière et tabou, ainsi que les frontières entre relation. Aussi leur relation était nébuleuse, mêlant vice et luxure aux sentiments pure, se vautrant dans le sexe et le stupre.

Il était tout juste 22h32 et le duo entra dans la boite de nuit, en habit provocateur et déchiré, collier clouté et brassard de chaîne, botte de cuir et ceinture à pointe. Bien que les deux aient des traits féminins, Haruo était le plus proche d'une femme, de par sa transition en futa, ce qui trompa la plupart des hommes, attirant regard et mains au cul. Et ils en étaient ravie, distribuant mains au cul et sourire ravageur, rigolant de l'ignorance des hommes qui croyait avoir à faire à des filles. L'ambiance, l'alcool et quelque substances illicites, facilita les comportements limite, et leur attira plus de d'attention que d'ordinaire.

La piste de danse était bondé, mais ça ne les empêcha pas d'y aller, après un cocktail chargé. La musique était forte, intense. Les corps se frottaient, les mains se baladaient, oubliant le temps et la réalité, les esprits embrumés. Terumi et Hakuo se frottaient langoureusement, faisant preuve d'une sensualité limite obscène, dansant avec intensité, provocant moult réaction. Ils dégageaient une aura sensuel, presque sexuelle, d'aucun dirait inhumain. Quoi de plus surprenant pour des adeptes d'un incube ? Si tout le groupe était réunit, sans doute que la soirée aurait finis en orgie. Ils étaient devenue un peu plus que des humains, à force de rituel et de baisé, des énergies démoniaques les habitaient, les rendant plus attractif et facilitant les comportements libidineux.

Ils firent quelque pauses, uniquement pour boire un verre, rigoler, s'embrasser et lancer des regards langoureux à quiconque les regardaient. Assez rapidement, quelque hommes et femmes les rejoignirent sur la piste, bien moins libidineux que eux deux, mais plus que les autres, se frottant, dansant, se touchant, s’embrassant. Le duo fut peu à peu séparé, Haruo se focalisant sur un homme plutôt mignon, se promettant de lui éclater le cul et Terumi lui, s'amusait avec un homme bien batit et une femme, dansant entre eux deux.

Mais la nature se rappelant à lui, Terumi s’éclipsa et se dirigea vers les toilettes des femmes, sans y faire attention, afin de soulager sa vessie. Une fois fais, il se dirigea vers le lavabo pour se laver les mains.

Valeria avait faim. Cela faisait des jours qu’elle devait se satisfaire d’une secrétaire ou d’un subalterne, bien trop soumis et peu endurants pour elle. Ce soir, elle voulait du bon, de l’intense, du long. La Keisha était une boîte toute indiquée car elle brassait une population très éclectique, bien souvent dopée de bien des manières.

Une proie soumise à l’influence de stupéfiants était généralement plus aisée, plus entreprenante, moins inhibée et, en fonction de l’effet de la substance sur son organisme, plus déchaînée et endurante.

C’était parfait. Elle avait revêtu une tenue adéquate, excessivement sexy, presqu’entièrement en cuir et en noir : petit top en lingerie, pantalon de cuir horriblement moulant, petite veste de cuir, hautes cuissardes rouges en cuir également.

L’ambiance battait son plein et les sons de basse s’entendaient déjà plusieurs rues à la ronde. Quand elle franchit la porte, il était près de minuit. Immédiatement assaillie par la chaleur, les vapeurs d’alcool, de sueur et d’autres substances moins légales, elle se fraya aisément un chemin vers le bar, les mâles s’écartant naturellement avec un regard plein d’étonnement et d’admiration en la voyant s’avancer en roulant des hanches.

Entre sa démarche, son regard de braise et sa bouche un peu trop voyante, le message était des plus clairs : elle n’était pas venue pour repartir seule. A peine commandé, son verre était déjà payé par un entreprenant auquel elle sourit avant de subir un début de conversation lourd et sans saveur. Elle fit mine de repérer une connaissance et s’éclipsa, le laissant seul avec son désir libidineux et une demi-érection déjà bien trop annonciatrice d’un plaisir plus qu’éphémère entre ses bras. Non. Elle voulait un vrai coup, pas une pauvre petite pucelle incapable de se contrôler.

Alors qu’elle progressait vers la piste de danse, l’atmosphère se réchauffa brutalement. C’était bien plus intense, plus sexuel, par ici. Sans aucun effort, elle identifia la source de cette perturbation : un couple de jeunes gays qui se trémoussait sur la piste de danse. La population proche de la piste avait cédé à un comportement bien plus libertin ici. Les attouchements étaient explicites, certaines caresses provoquaient des réactions déjà avancées. Une magie rose relativement peu subtile était à l’œuvre.

Elle se laissa bercer par elle, entra sur la piste de danse et s’approcha du plus proche des deux hommes qui en étaient la source. Ils étaient à présent séparés par la foule qui se les accaparait petit à petit ou qui profitait de leur impulsion pour s’adonner à un comportement plus licencieux.

Elle se glissa entre un grand gars baraqué et le jeune homme pour se retrouver lascivement frottée de part et d’autre. Ses mains glissèrent sur eux, leurs torses, leurs peaux sous les t-shirts déjà humides d’une transpiration imprégnée de tension sexuelle. Des baisers s’échangèrent rapidement. Chacun savait ce que voulaient les autres. Les grosses pognes se refermèrent sur ses seins, elle pressa ses fesses contre sa queue déjà bien raide tandis qu’elle attirait l’éphèbe à elle pour un baiser langoureux dans lequel elle mit une passion qui ne manqua pas de provoquer entre ses cuisses une réaction qu’elle sentit de sa main caressante.

Elle lui sourit. Il était inexpérimenté avec cette magie. C’était tout nouveau, tout à fait évident pour elle. Elle pivota, plaça le garçon entre l’homme et elle tout en l’embrassant à nouveau, agrippa les hanches du costaud pour presser le mignon entre eux. Elle se reput du regard de celui-ci lorsqu’il sentit l’érection puissante contre ses fesses à travers leurs pantalons. Elle se reput du regard de l’autre quand elle l’attira encore un peu à elle, le forçant à vraiment comprimer le jeune homme entre eux et provoquant un spasme de plaisir en lui.

Ils jouèrent ainsi quelques longues minutes avant que le jeune homme s’éclipse pour une raison évidente. Elle continua avec le gars un court instant, histoire de le chauffer encore un peu puis provoqua d’une chiquenaude une éjaculation précoce qui le laissa aussi stupéfait qu’horriblement gêné.

La magie du mignon était démoniaque. La signature de celle-ci provenait à coup sûr d’un démon du sexe. Succube ou incube, c’était plus difficile à dire, mais avec un peu de proximité et de calme elle pourrait sans doute même identifier cette signature.

Elle descendit au sous-sol, là où se trouvaient les toilettes et aussi des pièces accueillant des comportements plus clandestins, tels que vente de drogues, coups vite-fait…

Le garçon était… chez les filles.

Elle entra et se glissa derrière lui tandis qu’il se lavait les mains.

« C’est ici que tu te caches… Je veux finir ce qu’on a commencé. »

Ses mains glissèrent sur le corps de sa proie, découvrirent son torse, le parcoururent, puis descendirent de manière explicite sur son sexe. Une bouffée de pouvoir émana d’elle et percuta le mignon. Sa main entra dans le pantalon, agrippa la queue tendue.

« Tu vas me surprendre, je le sens. Prouve-moi que je ne me trompe pas ! »

Terumi était entrain de finir de se laver les mains, une femme vint le prendre par surprise, glissa et balada ses mains sur son corps. Il fut surprit, tandis qu'elle glissa une mains vers son sexe, qu'il ressentit une étrange sensation.

« C’est ici que tu te caches… Je veux finir ce qu’on a commencé. »
-T'es pas du genre patiente hein ?

Pour tout dire... Terumi aurait préféré l'homme baraqué. Passé l'ambiance et le contexte, il n'était pas aussi excité et emballé par une fille. Mais.... pourquoi pas. Il pouvait s'amuser et voir de quoi elle était capable. Qui sait ? Il ondula quelque peu contre contre le corps de l'inconnue, qui pourrait constater que malgré son aura de luxure, la verge de Terumi resta sans vigueur. Et elle pouvait sentir que l'aura sensuel de Terumi était plus passif que actif volontairement. Un pouvoir latent, induit par un autre. De ce fait, il avait une certaine accoutumance.

« Tu vas me surprendre, je le sens. Prouve-moi que je ne me trompe pas ! »
-De la surprise ?

Il se retourna, restant coincé entre elle et le lavabo, sourire narquois, glissant un doigt de ses seins jusqu'à ses lèvres.

-Chui pas un mec qui s'excite sous quelque caresse et une jolie voix. Dit-il sans se séparer de son sourire. Tu veux de la surprise ? Y'a que les exceptions qui me font bander, j'espère que tu l'ais.

Il claqua ses fesses, tout en la poussant vers lui, la plaquant contre lui, frottant son bassin. Même si il préférait les hommes, il avait déjà quelque expériences avec les filles avant. Il était le moins coincé avec les filles. Il l'embrassa goulûment, glissant ses mains sous son pantalon de cuir, les pressant. Le baiser était intense, baveux, obscène et bruyant. Leur langue se mélangèrent, dansant une salsa endiablé, avant que Terumi ne le brise, libérant quelque filet bave.

-Mmmmh... pas trop mal. Presque une demi-molle. Dit il avec un sourire provocateur.

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Haruo était entrain de mettre à bas les barrière et tabous d'un mignon qu'il avait dans le viseur, plus petit et légèrement efféminé, dévoilant sa nature de futa en l'obligeant à moitié à glisser une mains dans son pantalon, lui faisant palper sa bite, bien plus grosse que la sienne.

-J'peux te la faire goûter tout de suite si tu veux mon jolie.
-Je..euh je....

Sans rien ajouter, Haruo le tira par la main, l'amenant dans une des pièces sécrètes.

La résistance du jeune homme à son pouvoir ne la surprit pas vraiment. Elle sentait sur lui cette aura de luxure inhumaine. C’était ce qui l’avait attirée. Mais elle n’était pas sienne. Il appartenait à quelqu’un. Ou quelqu’une. Du coup, il faudrait mettre un peu plus d’intensité pour le « décoincer ».

Il se retourna en souriant, un peu provocant.

« Chui pas un mec qui s'excite sous quelque caresse et une jolie voix. Tu veux de la surprise ? Y'a que les exceptions qui me font bander, j'espère que tu l'es.
- Oh mon lapin, tu ne vas pas être déçu… »

Il lui claqua les fesses puis se mit à se frotter contre elle tout en parcourant son corps de ses mains, l’embrassant avidement et bruyamment jusqu’à quelques mots supplémentaires.

« Mmmmh... pas trop mal. Presque une demi-molle.
- Pfffff ! Charlatan ! »

Elle posa une main chargée de pouvoir sur l’entrejambe du garçon et mit la dose pouvoir et le temps nécessaires pour lui forcer une érection digne des plus intenses qu’il ait jamais eues. Qu’il sache dès maintenant qu’il n’avait pas affaire à n’importe qui.

Elle l’embrassa lourdement en le plaquant contre le lavabo, ondulant contre sa cuisse et laissant « pousser » son propre chibre, long et épais, afin de le « rassurer » quant à ce qui allait se produire, puisqu’elle pouvait sentir sa nette préférence pour les hommes ou à tout le moins les attributs masculins.

« Je vais te défoncer le cul. Ca va être sale, brutal, intense. Je vais tellement te vider que tu en auras mal aux couilles. Et te remplir au point que tu auras l’impression de trimballer un bidon de liquide dans ton ventre. »

Elle l’embrassa à nouveau, plus intensément.

« Pour l’heure à venir, tu es mon vide-couilles. Puis on ira chez moi, tu ramèneras tes copains si tu veux, et on baisera jusqu’au KO total des participants. »

Elle laissa son regard s’enflammer et son aura se révéler, juste assez pour signer le début de soirée. Puis, un sourire plein de morgue et de promesses aux lèvres, elle plaça l’estocade :

« Ton maître sera le bienvenu… »

- Pfffff ! Charlatan !

Il n’eut même pas le temps de réagir ou de répondre. Cette dernière lui palpa le paquet, et ce n’est que grâce aux énergies démoniaques l’habitant, qu’il résista une dizaine de seconde, avant qu’une érection d’enfer ne déforme son pantalon, mettant à mal les boutons déjà abimé et avec un peu de douleur aussi. Sa bite réclamait la liberté. Il eut le souffle court, peinant à réaliser cette tension et ces sensations intenses

-Bordel…

Sans repos, elle enchaîna avec baiser vorace et intense, prenant de court Terumi qui n’avait pas repris son souffle correctement. Il tenta bien de résister et d’être tout aussi vorace, mais il était dominé en totalité, surtout quand quelque chose remonta sa cuisse, se plaquant contre son érection. Plus longue. Plus épaisse. Lui qui avait une sexe d’une taille plutôt appréciable pour un homme de sa carrure, il ne pouvait tenir la comparaison. Le manque d’oxygène, les sensations, les désirs… son esprit était en ébullition et plongeait dans les brumes de la béatitude. Quand enfin, elle libéra sa bouche, laissant des simples filets de bave relier fugacement leur lèvre. Il haletait, respirant de l’air frais, mais le regard empreint de ce voile de plaisir dévorant.

« Je vais te défoncer le cul. Ca va être sale, brutal, intense. Je vais tellement te vider que tu en auras mal aux couilles. Et te remplir au point que tu auras l’impression de trimballer un bidon de liquide dans ton ventre. »

Nulle promesse en ces mots, mais les prédictions d’un futur proche. Terumi comprit bien vite à qui il avait à faire, alors qu’à nouveau elle l’embrassa, toujours aussi vorace, quoi que de manière plus brève avant de reprendre. Même en étant légèrement vaseux, assommé de plaisir et de désir, son esprit forgé par un Incube, parvenait à faire des raisonnements logiques et de faire preuve d’analyse. Il lui était impossible d’en douter ou d’avoir des raisons de réfuter la nature de cet être. Une succube, une démone de la luxure, le penchant féminin de son maître ! Et elle avait senti l’aura démoniaque émanant de lui, mentionnant son maître. Elle savait tout de lui, il ne pouvait lutter ni rien cacher. Et ce n’était pas pour lui déplaire.

Il avait un sourire presque dément, le regard remplit de folie extatique, son esprit tourbillonnant de désir et de fantasme, nourrissant la démone de délicieuse vision. D’un coup, il déchira en deux son short, qui était plus ou moins prévue pour ce genre d’action, envoyant valser les boutons, libérant son sexe turgescent, dure et veinés, semblant plus gros qu’a l’origine, gaver d’énergie démoniaque, dégoulinant de pré-sperme. Il avait arraché par la même occasion sa culotte.

Il s’était mis à nue, en position, ceinturant la démone. D’une main, il plaqua sa bite contre celle de la luxurieuse succube, qui était plus grande de quelque centimètre, et plus large. Il branla les deux sexes en même temps, venant ceinture sa partenaire à la taille, la plaquant contre lui et il alla chercher ses lèvres, son autre main venant saisir un de ses seins. Il allait devenir son jouet, mais ce n’était pas une raison pour ne rien faire de son côté et de se laisser faire passivement.

Avec les succubes et incubes, il fallait tout de même montrer du mordant, il n’était pas un pauvre homo refoulé et timide sans expérience. Son baiser fut intense, dévorant les lèvres délicieuse à s’en damner, jouant avec sa langue, faisant preuve de son savoir, acquis durement, avant de le briser, léchant ses lèvres avec avidité.

-J’espère que tu vas tenir tes promesses, car moi je vais pas te lâcher jusqu'à ce que tu les réalise ! Souffla-t-il.

Il relâcha son étreinte, ses jambes douces et fines se repliant, lâchant le sexe de la démone. Il cessa donc se branler, et alla écarter ses fesses, tirant sur sa rondelle avide.

-Remplis moi ! Dit-il en se léchant à nouveau les lèvres.

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-Tu es prêt ?
-Je… je sais pas trop…

Hakuo était face à sa proie, elle-même couché sur le dos sur un fauteuil qui avait connue de meilleur jours. C’était un lycéen, peut être tout juste majeur, adorable et délicieuse à voir. Hakuo allait s’en donner à cœur joie, le plonger plus loin dans la luxure, cette délicieuse créature qui se cherchait encore. Il ne lui avait pas fallu grand-chose pour le convaincre, bientôt il sera aussi perverti que les autres. Le maître allait être ravie.

-Ne t’inquiète pas, je serais doux. Susurra Hakuo.

L’aura démoniaque de Hakuo, sa voix suave et douce, son comportement avenant et polie, son sourire charmeur et confiant, n’eurent aucun mal à faire céder le garçon, qui acquiesça de la tête. Ayant au préalable lubirifer son sexe et le trou de son partenaire, Hakuo s’enfonça sans trop de mal, faisant lâcher un crie de surprise, avant d’enchainer les gémissements, quand Hakuo s’enfonça lentement jusqu’au bout, jusqu’à ce que son bassin ne cogne les fesses. Aucune douleur, que du plaisir, et le regard du garçon, confirma à Hakuo, qu’il était totalement soumis à son emprise. Et lentement, son bassin claqua ses fesses.

Le discours de Val ainsi que ses manifestations de pouvoir ouvrirent les yeux et l’esprit du mignon. Son expression changea et elle put voir dans son regard toute sa compréhension et sa terrible acceptation, sa soumission sans partage. Il était magnifiquement dressé.

Elle sourit et lui caressa la joue. Il prenait la mesure de ce qui allait se passer. Dans son esprit, le tourbillon de ses désirs, de ses aspirations, de ses fantasmes emporta Val dans une vision de débauche que les toilettes de cette boîte de nuit ne pourraient jamais contenir. Elle sentit le pouls de l’humain s’accélérer, déjà, et son désir déjà boosté s’exacerber à la limite de ses capacités. Il était gay, le fantasme du futa était déjà énorme chez les hétéros, mais chez les gay, où dominait aussi cet amour de l’esthétique parfaite, c’était encore pire. Enfin, chez une certaine frange de la population gay rectifia Val, consciente de l’évolution terrible des mœurs dans cette étrange époque. C’était tout bonus pour elle : tant de nouveaux terrains de jeux à explorer et exploiter !

Son nom lui apparut aisément : Terumi. Il lui allait bien…

D’un geste sûr, le jeune homme arracha son short et sa culotte, faisant valser les boutons sur le sol, et présenta à la vue de Valeria un sexe plutôt très honorable pour quelqu’un de sa condition et corpulence. Boosté quelque peu par l’énergie démoniaque qu’il avait en lui, ses veines exacerbées, un présperme abondant déjà suintant, il était parfaitement appétissant et Val l’aurait avalé avec plaisir.

Ainsi présenté, il enlaça la taille de Valeria, l’attira à lui et baissa son pantalon de cuir souple à ceinture élastique, dégageant le monstre qui s’était manifesté entre ses cuisses et l’avait fait chavirer. D’une main assurée, il souda les queues et se mit à les masturber tranquillement, les maculant de son présperme ainsi que sa main.

Elle rit de sa prise d’initiative, rire vite étouffé par le baiser avide qu’il lui imposa. Sa main quitta sa taille et empoigna son sein. Val gémit quand les doigts habiles pincèrent son téton gonflé de désir. L’humain savait parfaitement se comporter. Soumis, offert, mais pas passif. Elle l’enlaça et s’abandonna à son jeu, l’étreignant plus intimement, ondulant lentement des hanches dans sa main et laissant sourdre son propre présperme. Il allait falloir lubrifier convenablement ce jeune éphèbe, faute de quoi il ne raconterait pas son expérience avant longtemps. Et profiter du mignon d’un autre, ça se faisait, mais pas les dégrader, question de correction…

Terumi avait de l’expérience. Il était impliqué, avide, doué. Une recrue de choix pour tout harem digne de ce nom. Son baiser aurait fait se pâmer presque n’importe quel humain. Evidemment, Valeria ne succomba pas, mais elle apprécia fortement une telle capacité et un tel abandon.

« J’espère que tu vas tenir tes promesses, car moi je vais pas te lâcher jusqu'à ce que tu les réalises !
- Tu as de la chance que je respecte ton Maître, ton insolence mériterait que je te mette à rien… »

Pratiquement nu, il se dégagea, lâcha leurs sexes et se tourna, prenant appui sur le lavabo, écartant ses fesses sans façon pour s’offrir totalement.

« Remplis moi ! » demanda-t-il en se léchant les lèvres de plaisir anticipé.

Val sourit, laissant apparaître des canines pointues, et posa la main entre les omoplates de Terumi pour le faire ployer plus fort. Elle cracha sur sa rondelle puis joua de sa queue maculée de présperme dans les fluides, puis, enfin, alors que le jeune homme semblait ne plus pouvoir attendre, força l’entrée de son sphincter.

Elle le sentit se crisper alors qu’elle n’avait même pas encore passé celui-ci de son gland. I était trop étroit.

« Tu n’es pas encore prête, petite pute… »

Elle s’accroupit et se mit en devoir de lui bouffer littéralement le cul pour l’ouvrir mieux. Ce faisant, d’une main, elle lui massa les couilles et de l’autre, elle le masturba avec une efficacité chirurgicale. Quiconque aurait vu le spectacle n’aurait pas pris ça pour autre chose qu’une traite.

Sa langue l’ouvrait, le découvrait, appuyait sur sa prostate sans ménagement, alliant l’utile à l’agréable. Ce petit mignon allait juter sur le carrelage, gaspillant honteusement une belle salve de foutre, et il allait adorer ça. Puis il serait certainement prêt, son orgasme l’ayant rendu brièvement plus détendu, ce qui, cumulé à cet anulingus du feu de Dieu, devait être assez pour qu’elle le prenne.

Val sourit en l’entendant haleter. Malgré son entraînement, il était déjà au bord.

Viens, petit mignon, donne ton foutre à Maman…

Terumi était un provoquant et insolant comme le souligna la succube, c'était son caractère et sa manière de faire, il savait que les succubes et démones adoraient les personnes comme lui, de ce que lui avait dit son Maître. Du moins certaine. Mais finir punir par une Succube pour son insolence avait quelque chose d'excitant. A quoi donc s'attendre d'autre d'un adepte d'un incube ?

La succube prépara rapidement son cul, à l'aide de salive et de prés-sperme, faisant grimper son excitation. Ses mains se serrèrent, il tremblait d'excitation, il avait envie. Il l'a sentit presser son gland contre sa rondelle. Il gémit et serra les dents, il n'attendait que ça ! Il l'a sentit s'enfoncer, écartelant sa rondelle. Il fut parcourue d'un spasme, s'était douloureux, mais avec son maître, la barrière entre douleur et plaisir était tenue. Valéria aurait put s'enfoncer complètement, et Terumi aurait sûrement jouit. Mais elle ne le fit pas, considérant qu'il n'était pas assez prêt.

Au début il ne comprit pas, mais quand il sentie langue, il se cambra et lâchant un profond soupir de plaisir.

-Oouuuuwwwmmmmh...

Comme pour son maître, la succube fit preuve d'une maîtrise et d'une expérience inhumaine. Un pauvre hère aurait déjà jouit, mais Terumi était plus entraîné que cela ! Mais il ne pouvait en aucun réprimer ses gémissements et ses tremblements de plaisir, docile et soumis à cette bouche et cette langue vorace, travaillant son cul. Ses parois étaient raclé, limer, lécher, aucune parcelle épargné. Sa rondelle se détendait et s'agrandissait à chaque coup vorace. Sa prostate n'était pas épargné, attaqué par une langue assassine, stimulant son corps par à coups électrifiant.

Mais loin de l'épargné, la succube s'attaquait aussi à son service trois pièces, avec des mains agiles et expertes, stimulant sa verge turgescente et veiné, mais aussi ses couilles, ses bourses plutôt grosses, chaudes, s'emplissant de sperme crémeux. Il haleta et gémit. Le pré-sperme coula, abondamment, mais il tint bon, contenant son orgasme. Une fine pellicule de sueur le recouvrit, il tremblait, la tension était forte, son bassin irradiant de sensation et de chaleur. Il parvint à résister plus longtemps que la succube aurait pus estimer, mais finis par jouir. Un orgasme libérateur, lui provoquant un râle de plaisir intense.

Son orgasme fut généreux, intense ! Une belle quantité de foutre macula me sol, ses jambes et une de main de Valéria. Ce n'était pas un orgasme humain, trop intense et généreux. Terumi s'était presque relever, en lâchant son râle. Il retomba, le souffle court et intense. Son sexe se dégonfla, redevenant mi-mou, tandis que ses couilles avaient perdue en volume. Mais habité par les énergies démoniaque, son sexe redevint rapidement dur, et ses couilles gonflèrent à nouveaux. Il était à nouveau prêt.

Les effluves de la sueur et du sperme remplit l'espace, rajoutant une couche de luxure sur leur ébat.

-He...hehehe... c'est bon ? Demanda Terumi, bavant un peu, les pupilles roses, le sourire béat, en caressant ses fesses. Je veux ta bite !!

Si Terumi ne comprit pas immédiatement pourquoi Val ne le perforait pas comme la salope qu’il était, il se fit très rapidement au changement de programme et se cambra outrageusement afin de s’offrir au mieux.

La langue fouisseuse ne tarda pas à lui arracher un long soupir de plaisir. Le succube n’en attendait pas moins à ce stade des préliminaires.

« Oouuuuwwwmmmmh... »

C’est parfait ! Vu comme cette petite pute parfaite réagit, elle va vite succomber et je vais pouvoir la prendre…

Son cul était soumis à une exploration et une ouverture en bonnes et dues formes, le jeune homme n’en menait pas large tandis que les poussées et insistances sur sa prostate notamment faisaient tressauter sa queue avec la régularité d’un plaisir intense. Sa réactivité crût de manière étonnante quand les mains de Val s’emparèrent de sa queue et de ses bourses. Le présperme macula rapidement les mains et le chibre, dégoulina sur les couilles qui de l’autre côté se couvraient de la salive qui dégoulinait de son cul.

Résister devenait une véritable performance, une forme de supplice même, qu’il s’infligeait lui-même, cherchant à tenir la distance le plus longtemps possible, pour une raison connue de lui seul, puisqu’il ne voulait que se faire défoncer le cul comme promis et que tant qu’il n’aurait pas joui il ne les aurait pas.

Il tint plus de temps que prévu, même si c’était tout à fait normal, Terumi étant un mignon après tout, donc forcément bien plus résistant aux jouissances (mais pas au plaisir), ce qui lui permettait de tenir suffisamment longtemps pour satisfaire un amant démoniaque. Valeria saluait mentalement la performance, mais ne lui fit aucune concession. Comme prévu, il explosa enfin, son foutre crémeux, épais et abondant, s’écrasa sous l’évier ébréché, sur les conduites d’eau et le mur mal peint sous celui-ci, sur le carrelage sale et rugueux des toilettes de la boîte de nuit. La main de Val reçut également sa part puisque pendant tout l’orgasme elle continua de le stimuler de la langue et le masturber pour l’amener au maximum de plaisir possible, s’en nourrissant par la même occasion et pompant d’autant dans sa belle réserve de résistance et d’énergie.

Elle se relécha la main en se relevant tandis qu’il s’écroulait sur la vasque, essoufflé et suant. Elle posa sa queue sur sa raie, ondula paresseusement tandis qu’il encaissait et redescendait parmi les vivants. Il se tourna quelque peu, dévoilant à sa vue un visage au regard rosé et au sourire béat, un filet de bave coulant sur son menton.

« He...hehehe... c'est bon ? Je veux ta… AAAAAAH ! »

Elle savait ce qu’il allait dire alors qu’il se caressait les fesses. Elle ne voulait pas l’entendre, elle savait ce qu’il voulait et il était temps de le lui donner.

D’un mouvement ferme et précis, elle força son cul et y glissa la moitié de sa queue d’un seul coup. Parfaitement lubrifié et ouvert, il l’accueillit sans trop d’efforts, ses chairs s’écartant pour lui faire place et la masser tant elles l’épousaient. Elle se retira, recommença, s’enfonçant un peu plus profondément. Recommença encore, et encore, jusqu’à l’ouvrir complètement, écarteler ses intestins jusqu’à ce qu’ils l’acceptent totalement, et, enfin, claquer la peau de son bas-ventre contre ses fesses rebondies.

Elle n’attendit pas pour se mettre à le baiser, elle avait déjà fait montre de bien des égards et le moment était venu de prendre elle aussi son plaisir. Il avait aussi démontré qu’il était prêt à souffrir pour prendre son pied puisqu’il s’attendait à une pénétration totale bien avant qu’elle ne l’ait réellement préparé.

Alors elle s’accrocha à ses hanches et se mit à matraquer son cul de coups de reins puissants, qu’il avait du mal à encaisser sans broncher. Le coït était comme prévu, sale et brutal, le corps du jeune homme ne parvenant pas à se stabiliser correctement contre l’évier, son visage toujours plus proche de s’écraser contre le miroir qui le surplombait et dans lequel se reflétait la perfection physique de Valeria qui n’avait même pas encore dégagé son opulente poitrine de son décolleté. Une lueur rougeâtre couvait dans son regard.

« Allez Terumi. Vide-toi encore comme la salope que tu es. Je veux que tu gicles. Maintenant. Et je te remplirai pour te récompenser… »

Dans son cul, la verge muta légèrement, se couvrant d’excroissances parfaitement adaptées qui se mirent à stimuler impitoyablement toutes les zones, connues et inconnues, propices à provoquer une jouissance immédiate.

Le coup sec lui avait arraché un crie d'extase. Aucune douleur, son cul contenant l'assaut et se resserrant par réflexe autour de le verge intrusive, à moitié enfoncé. Il haleta, le souffle court savourant la pénétration. Puis elle se retira et recommença, plus profondément.

-Putain ouais~ Minauda Terumi.

Ses mains serrèrent les rebords du lavabo, lâchant des petits râles d'extase, sentant la bite turgescente pénétrer son corps, écartant ses chairs, creusant ses entrailles, s'enfonçant loin en lui, écartelant ses parois avec délice. Des allées et venues toujours plus profond, chauffant ses parois, sa rondelle exultant de sensation, et au rythme de chaque pénétration plus profonde, Terumi lançait des petits cries qui montait crescendo. L'ultime pénétration, claquant bassin et fesse, lui provoquant un crie d'extase, sentant toute la puissance et les dimensions de la verge en elle. Il caressa son ventre, pouvant sentir la déformation légère, témoignant de la massive présence en lui.

-Oh Sainte Putain !! Clamât-il, se caressant le ventre. Mmmmmh~

Et la succube le culbuta, le saisissant aux hanches, la chair claquant avec force, rougissant peu à peu les fesses dodues de Terumi. Elle le chevauchait rudement, une ardeur et une fougue intense, limant ses parois, chauffant son cul, le ballottant d'avant et en arrière, remuant ses entrailles, électrisant ses nerfs de plaisir. Terumi serrait les dents, bavant, le souffla brûlant, malmené et se faisant éclater le cul, adorant ça ! Il menaçait de s’écraser contre le miroir, contemplant son reflet, les traits déformés par le plaisir, le regard hagard, la bave coulant sur son menton, surplombé par la succube, admirant son faciès envoûtant et son regard dévorant d'envie, attisant son désir. Et d'une voix aussi délicieuse que envoûtante, elle lui intima sa volonté et lui fit par de sa promesse. Difficile d'y résister !

Son sexe était tendu, tressautant de plaisir, le pré-sperme s'écoulant du vit et gouttant sur lavabo. Mais il ne ferait pas l'affront de se branler, trop facile. Il se mouva, bougeant son bassin, faisant des petit rond ou se calant sur le rythme de Valeria. Il partait en arrière alors que Valeria entamait un coup de rein, rendant la pénétration plus brutale, cul et bassin se percutant avec force et allant en avant quand elle se retirer. Les frictions intenses, chauffèrent intensément son cul, le choc remontant à son cerveau comme les fulgurances d'une drogue, lui arrachant un puissant crie de plaisir.

Et pour en rajouter, la succube laissa parler sa nature et fit muter sa verge. Terumi senti comme des langues partout en lui, dans des zones rarement stimulé. D'autant plus que son maître l'avait rendu plus sensible. Ce surplus de stimulation coupa son souffle et le cambra, et lui arracha un puissant râle d'extase et d'agonie perverse, bavant de plaisir, les yeux se révulsant presque. L'orgasme éclata, aspergea ses jambes, son torse, le lavabo et le miroir. Un foutre épais, chaud, odorant et en quantité généreuse se déversèrent. Un orgasme inhumain, mue par les énergies démoniaques de son maître. Il se relâcha, le foutre s'écoulant lentement de sa verge, quelque pulsions venant provoquer quelque jets, mais sa verge était toujours aussi dur et ses couilles semblant être prête à exploser, un nouvelle orgasme attendant d'être provoqué.

Il resserra ses muscles autours de la verge, serrant son anus, tout en passant ses mains sur sa verge et le foutre, venant le goûter avant de passer une main autour du cou de la succube, remuant doucement.

Il voulait se faire péter le cul ? Très bien. Valeria n’était pas du genre à ne pas offrir ce qu’ils attendaient à ses amants, quel qu’ils soient. A grands coups de boutoir, elle le ploya, l’enfonça, le perfora, jusqu’à ce qu’enfin il soit totalement sien, prêté parfaitement à ses dimensions surhumaines.

Et tandis qu’elle le défonçait et en faisait sa chose, il s’abandonnait en criant et couinant, n’attendant pas autre chose, s’offrant sans limite à cette domination sans partage.

Valeria goûta pleinement ces capacités hors normes de son amant du soir. Son Maître l’avait bien formé. Il était parfait. Il encaissait les coups de reins sans frémir, allant même jusqu’à participer et venir à sa rencontre pour une pénétration encore plus brutale.

Ce faisant, il n’arrêtait pas de se mater dans le miroir. Son visage si parfaitement maquillé ruiné par les larmes de plaisir et la bave qui s’écoulaient de ses orifices. Le plaisir était intense et le succube pouvait sentir qu’il retirait une satisfaction supplémentaire à se voir ainsi chevauché comme une salope dans les toilettes de cette boîte bondée.

Elle pouvait voir sa queue tressaillir, dégoulinante de présperme, et son ventre se déformer légèrement à chaque passage de la queue qui lui labourait les entrailles. Il se caressait à cet endroit par moments, afin de bien se sentir ramoné, et semblait adorer ça.

Valeria quant à elle profitait allègrement de ce cul qui lui était si gracieusement offert. Ca faisait longtemps qu’elle n’avait pas pu donner sa pleine mesure – humaine bien entendu – avec un amant et elle lui en était reconnaissante. Décidément, cette rencontre avait vraiment bien démarré !

Soudain, peu après qu’elle eût fait muter son chibre en lui, il se redressa sur un long râle de plaisir et succomba. Son foutre gicla abondamment sur ses jambes puis le lavabo, son torse et le miroir enfin. Et la quantité était là, en une fois bien plus que ce qu’un homme normal aurait produit sur toute une nuit…

Il se relâcha enfin, le visage rendu un peu hagard par le plaisir, des filets de bave dégoulinant de son menton sur son torse et le lavabo, la bite toujours aussi raide, prête à un nouveau round.

Mais ce n’était plus son tour et il glissa une main derrière lui autour du cou de Val tandis qu’il se mettait à onduler des hanches et jouer du sphincter avec une expérience largement supérieur à une expérience humaine. Val sourit, grogna de plaisir, lécha sa joue sur laquelle elle recueillit un peu de sa bave.

« Tu es un sacré coup, petite salope… »

Elle profita de la position, le cul était bien plus resserré encore, et le ramona un moment avant de le repousser en avant. D’une poigne de fer, elle lui écrasa le visage dans son foutre, entre le lavabo et la base du miroir, coincé par le robinet. Elle se mit alors à lui défoncer le cul, comme promis. Deux, trois, cinq, six minutes à le voir se presser tout le temps un peu plus contre la vitre, le visage déformé par le plaisir, le maquillage ruiné au-delà de toute rédemption.

Enfin, son plaisir arriva et elle se vida en râlant dans son cul si accueillant, brûlant ses entrailles de sa semence épaisse et abondante. Elle le maintint le temps de son plaisir puis le redressa toujours d’une main de fer. De l’autre, elle lui prit le sexe. Dans le miroir, leurs regards se croisèrent, rouges et flamboyants. Un aller-retour sur la verge suffit pour qu’il jouisse deux fois plus fort que peu avant. Elle dirigea l’éjaculation sur lui puis sur le miroir, les maculant consciencieusement, avant de le laisser enfin reprendre son souffle.

« J’avais dit une heure. On en est à peine à la moitié… »

Elle sourit, toujours fichée dans son cul. Ses talons claquèrent sur le sol alors qu’elle reprenait position.

« Tu as une demande particulière ? Ou je te noie dans ton foutre pendant que je remets ça ? »

« Tu es un sacré coup, petite salope… »
-T'es pas trop mal non plus dans ton genre ma salope. Dit il d'un sourire narquois.

Comme pour le punir de son arrogance, elle le plaqua contre le lavabo, dans son foutre crémeux et encore chaud, avant de le reprendre de plus belle, défonçant son petit trou du cul déjà chauffé à blanc. Terumi serra les dents, sourire carnassier, encaissant chaque coups, grognant, éructant de plaisir, la douleur se confondant dans le plaisir. Par chance, Valéria le tenait bien, l’empêchant de se cogner la tête contre le miroir à répétition, ce qui aurait beaucoup impacté le plaisir de la baise. Son foutre finit par avoir raison de son maquillage par contre, maculant consciencieusement son visage, imbibant son haut, une image dégoulinante de plaisir pervers.

Pendant de longue minute, Terumi était réduit à de simple jouet, baisé durement et longuement, avec intensité, tout son être totalement réduit à un fourreau à la sensibilité exacerbé, tout son être en feu. Et l'orgasme généreux de la succube, lui provoqua un grand crie de plaisir, le flot intense de foutre crémeux et chaud, épaisse, sentant ses entrailles se remplir peu à peu. Valéria le releva, tirant sur ses cheveux, la seule prise encore sur, et le branlant, continuant à jouir encore dans son cul, le flot commençant à dégouliner de sa rondelle. Tellement tendu au point d'en être douloureux, une simple rapide branlette le fit jouir, en quantité, bien plus qu'il en était capable, même sous les effets des énergies de son maître.

Les deux, le miroir et même le plafond fut recouvert de foutre, les lavabos dégoulinant de foutre et tombant sur le sol généreusement. Une baise sauvage et intense, le genre qu'un humain normale n'aurait pus tenir sans dommage. Valéria lui annonça que la moitié du temps était passé. Terumi haletait, tandis qu'elle écoutait les question de Valéria. Un sourire carnassier se dessina sur son visage, alors que du foutre couler comme des perles de nacres de sa joue, et fidèlement à son caractère fit une doigt d'honneur à leur reflet, son autre main venant enlacer le cou de la succube, se frottant contre elle, resserrant au mieux son sphincter, prenant appuis avec ses pieds, écartant ses jambes, sa bite se regonflant déjà, animé d'énergie démoniaque.

-J't'avais demandé de me remplir ma salope ! T'a besoin d'une pause pour ça ? Ou tu préfère qu'j'men occupe avec ma lance à incendie ?

Provoquer et jouer les durs, alors que Terumi n'en menait pas large, c'était tout lui. Mais il baisait avec une succube, il allait pas jouer les fines bouches et être un vulgaire onahole. Une succube ça se respecte, faut être autant salope qu'elle. En tout cas, c'est ce qu'on son maître attendait de lui ! Ça et le fait que Terumi n'avait aucune barrière mentale en cet instant, aussi il ne mesurait aucunement son comportement.

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Hakuo finit par jouir une nouvelle fois. Sa proie, était étendu sur le ventre, sur le fauteuil, nue, couvert de sueur et de sperme. Il n'aurait jamais crue ça possible de ressentir autant de bien à se faire le cul, ni qu'une trans pouvait jouir autant et avoir autant d'endurance. Elle haletait pas, en sueur, mais toujours pleine d’énergie, tout son contraire. Il en était convaincue, Hakuo pourrait le baiser pendant des heures et il adorerait ça.

Ishima aimait les femmes, mais il avait une certaine curiosité pour l'homosexualité, mais pas au point de dire oui. Terumi n'aurait pas pus le convaincre, étant un homme et pas aussi doux que Hakuo, plus « sauvage » et direct. Hakuo d'avantage féminin surtout avec ses seins de bonne taille, ce dernier avait put le séduire et le charmer, et l'acculer dans un coin. Mais là il était prenable par n'importe qui !

-Aaaaaammwwwh.... Ishima, t'es super confortable ! Jpeux continuer, mais toi ça va ?
-Aaanh anh anh.... o... oui... je... je pensais pas que ça serait... si... si...
-Bon ? Rigola Hakuo. Faut dire que je suis plutôt bonne, tu es tombé sur la bonne personne.

Hakuo se coucha sur Ishimi, plaquant ses seins contre son dos, et une mains allant a caresser le sexe de Ishima, l'autre venant caresser sa joue, tourner son visage et l'embrasser.

-Si tu veux, je peux te faire découvrir plein de chose. Je suis pas que bonne avec ma bite tu sais ! Et j'ai même des amis qui serait ravie de te rencontrer et te faire découvrir des choses comme jamais tu en as vue avant !

Tel une drogue, les paroles firent frisonner l'ados. Ses amis avaient du déjà rentré à cette heure de toute façon, c'était pas la 1er fois. Un peu plus, ça ne ferait pas de mal hein ?

-Ou... ouais je veux bien !

Et dans les ténèbres, un rire de jubilation se fit entendre.

Le mignon était délicieux. Il avait été dressé par un Maître, c’était évident à présent. Outre son énergie et son endurance, c’était son comportement que Valeria appréciait. Il ne se contentait pas de se faire simplement fourrer, non, il participait de son mieux, provoquait, essayait d’anticiper ou à tout le moins d’être un partenaire actif. Sauf quand la poigne de Valeria le dominait complètement, mais même là il continua à onduler du bassin et jouer du sphincter.

Il encaissa l’orgasme en hurlant, se fit redresser sans ménagement et branler de la même manière, toujours pleinement empalé sur la queue qui pulsait en lui. Alors que le foutre du succube achevait de se répandre dans ses entrailles en y propageant ses phéromones de plaisir et de désir, reboostant et décuplant la libido de Terumi, il succomba à un orgasme dévastateur qui échappa à son contrôle, mais pas à celui de Valeria qui s’amusa à repeindre tout ce qui était à portée avec le foutre épais qui giclait sans sembler vouloir s’arrêter.

Les toilettes ne ressemblaient plus à rien. Une vapeur de tous les diables avait envahi l’endroit dont tous les équipements proches des lavabos étaient à présent couverts de foutre. La petite salope écouta ce qu’elle disait puis sourit. Il en avait dans le pantalon celui-là ! Des amas grumeleux coulaient sur sa joue, son visage au maquillage ruiné était aussi esquinté par les larmes et la sueur, ses cheveux étaient maintenus dans la poigne de fer de Valeria dont le visage se dessinait dans le miroir juste à côté du sien.

Il leva un majeur bien raide à l’intention de son amante. Son autre main vint enlacer la nuque du succube et griffer délicatement sa peau. Son sphincter se resserra autour de la queue en lui et il écarta un peu plus les jambes.

« J't'avais demandé de me remplir ma salope ! T'a besoin d'une pause pour ça ? Ou tu préfères qu'j'men occupe avec ma lance à incendie ?
- Tu l’auras voulu… »

Le sourire de Valeria s’intensifia, elle écrasa derechef Terumi dans le foutre. Comme peu avant, une main lui bloqua la tête entre l’évier et le miroir dégoulinant. L’autre s’accrocha à sa hanche pour mieux encore pouvoir le perforer.

Valeria laissa se matérialiser sa queue caudale et s’en servit pour enserrer les couilles du mignon puis s’enrouler autour de sa queue qu’elle branla vigoureusement, se parsemant de petites excroissances qui devaient le faire jouir plus vite et plus fort.

La demi-heure s’écoula rapidement pour l’humain qui commença rapidement à jouir pour ensuite enchaîner les orgasmes tout en en recevant plusieurs. Quand enfin Valeria estima qu’il avait eu la dose promise pour la durée prévue, elle l’acheva par une dernière explosion de foutre en lui, ce qui provoqua forcément un nouvel orgasme à Terumi.

Elle se retira alors de son cul qui se mit à dégorger du foutre à gros bouillons. Elle le lâcha et le regarda s’écrouler au sol, ses jambes ne le tenant plus, petit humain misérable à l’air de Kleenex usage.

La pièce ne ressemblait plus à rien. De nombreuses fois on avait frappé à la porte pour avoir accès aux toilettes, mais personne n’avait forcé l’entrée. Valeria avait veillé à provoquer d’autres envies chez les clients et clientes.

Elle regarda Terumi, sourit devant son air hagard et son corps couvert de fluides. Tout y était passé : larmes, sueur, foutre, morve… Il ne manquait plus qu’il se pisse dessus. Peut-être que ça le rincerait un peu, pour la peine.

Valeria dégagea un petit coin du miroir, rajusta une mèche de cheveux, remit sa tenue en place. Un peu de magie la nettoya. Elle sourit au mignon qui revenait à lui.

« Pas mal. J’aurais bien continué, mais tu ne peux pas encaisser plus sans avoir de séquelles. »

Elle regarda son ventre légèrement arrondi tant il avait reçu de foutre en lui.

« Debout, salope. On passe à la suite. On va chez moi. Rameute tes potes, même ton Maître si tu veux. Ce soir, c’est orgie jusqu’au KO. »

D’un claquement de doigts, la pièce redevint aussi propre qu’à leur arrivée. Il ne restait que Terumi dans un état lamentable. Val ne voulait pas que son compère ignore ce qui venait de lui arriver. Elle usa cependant d’une légère illusion pour que les autres, eux, ne le constatent pas.

Le soutenant, elle remonta dans la salle principale.

« Où est ton pote ? »

Terumi l’avait bien cherché. Mais son rire presque hystérique, alors que Valéria l’enfonça à nouveau contre son foutre, laisser entendre qu’il n’avait plus de notion de préservation depuis longtemps. La succube ne lui épargna rien, se déchainant contre et dans son cul ! Elle lima son cul, et comme un marteau piqueur, elle lui explosa l’arrière train, le ramonant jusqu’à imprimer les dimensions de sa queue dans son organisme ! Elle lui déclencha plusieurs orgasme, fulgurant, même si moins intense en quantité. Puis elle usa de sa queue caudale, avec des excroissances vicieuses, qui renforcèrent ses orgasmes !

Il avait inondé son support, dégoulinant sur le sol en cascade crémeuse, s’étendant comme une mare de boue. Il était au-delà des limites humaines, les magies roses et démoniaques insufflé, en lui, alimentaient son organisme, le nourrissant. Il aurait pu s’y noyer, coincé contre le miroir en le lavabo. Et Valéria noya ses entrailles, enchainant plusieurs orgasmes intenses, filant le long des entrailles, remontant lentement vers l’estomac, s’accumulant et finissant par remplir Terumi, gonflant lentement sous la masse.

A mesure que les dernières minutes s’écoulèrent, Terumi finit par perdre en force, ne pouvant plus suivre, finissant un pantin désarticulé, ivre d’extase. Et finalement, Valéria donna l’ultime coup de rein, et son ultime orgasme qui finit de remplir son sac à foutre, qui lâcha un dernier râle d’extase intense et un ultime orgasme qui se perdit dans la mare à ses pieds, avant d’être relâché et que Valéria ne se retire.

Il s’écroula par terre, haletant, l’esprit hagard et le regard vague, trempant dans le foutre, expulsant le trop plein de foutre inconsciemment. Il mit un long moment avant de revenir à lui, émergeant de brume extatique, se relevant gauchement à l’aide de ses bras, mais son esprit avait encore du mal à se remettre les idées en place. Aussi, il ne parvint qu’a comprendre pleinement ce que lui disait Valéria, qu’en milieux de phrase.

«…chez moi. Rameute tes potes, même ton Maître si tu veux. Ce soir, c’est orgie jusqu’au KO. »
-geuh… ouais… aah… ouais !

Il se releva péniblement, et manquant de trébucher, avant d’être aidé par Valéria qui le soutint. Il eu un petit haut de cœur, mais tint bon. La succube ne l’avait pas épargné, mais il avait aucun regret. Il flatta son ventre, appréciant les rondeurs du foutre, profondément en lui, assez pour que le trop plein ne s’écoule pas à gros flot et se maintienne. Nul doute que Valéria avait partiellement remplis son estomac. Néammoins, un long épais filit blanc et crémeux s’écoulant de son sphincter dilaté, glissant le long de ses cuisses. Il admira le spectacle du foutre dégoulinant de partout, juste avant d’être nettoyer. Tant de gâchis, son maître, ne serait pas content que Terumi n’est pas cherché à tout boire.

Puis le duo sortit, remontant vers la salle principale. Terumi ne pensa même pas à se remettre en état, son short ayant disparue avec le nettoyage, partie en morceau, cul et bite à l’air, laissant des traces de foutres à chaque pas. Il était groggy d’extase, son cul pulsant encore du traitement de Valéria.

« Où est ton pote ? »
-Avec les autres, très chère. Susurra une voix sensuelle, cristalline.

En haut des escaliers, se tenait Emi, le 1er mignon de Daelnia. Nue, en érection, tatoué de multiple symboles cabalistiques, suintant d’énergie démoniaque. Valéria pouvait le sentir, Emi était versé dans les arts obscurs et démoniaques. Nul doute que le jour de sa mort, ce dernier renaitra en incube. Il s’inclina. Derrière lui, on pouvait entendre plus loin, sur la piste de dance, qu’une belle orgie était en cour. Aucun doute que, Emi et son maître, y sont pour quelque chose.

-Notre maître à beaucoup apprécier que vous vous occupiez d’un de ses mignons, et vous invite dans son humble demeure !

Il joignit ses mains, puis les écartas, créant un pentacle rosâtre, dans un cercle de symboles ésotérique. Il écarta les bras et posa ses mains sur le mur avoisinant, et le pentacle grossit, jusqu’à faire sa taille et l’air miroita, un portail se forma, s’ouvrant dans ce qui semblait être une pièce à l’allure de cabale, un chaudron noire, soutenue par 4 statue de diable et des hommes autours, les regardant avec avidité.

-Je vous en prie. Invita Emi, en faisant une courbette.

Terumi, ayant maintenant toute sa tête, pris la main de Valéria et la guida, comme un valet. Emi les suivit et referma le portail.

Se tenais là Eiko, Kazuhiko, Koichiro et Hakuo, assis autour du chaudron, enlaçant un nouveau venu, Ishima. Ce dernier était très mal à l’aise, on sentait qu’il ignorait où il était et dans quoi il s’était engagé. Surtout que tout le monde était soit nue, soit en tenue provoquante. On pouvait sentir sa peur, mais aussi, son excitation. Il faut dire que Hakuo se tenait derrière lui, le masturbant, léchant son oreille, et écrasant ses seins contre son dos. Et les murs portaient des torches de feu roses, diffusant des senteurs apaisantes et légèrement aphrodisiaques.

-Alors Terumi ? Demanda Kazuhiko en se levant pour aller le voir. On trompe le maître avec une autre délicieuse maîtresse ? Dit-il avec le sourire.
- Même pour rire je n’apprécie pas que tu dis ça !

Kazuhiko rigola, et tapota le ventre de Terumi.

-D’accord. Mais du coup, c’est pour quand ?
-Lâche-moi connard ! Gronda Terumi, tout rouge, essayant de chasser sa main.

Emi vint embrasser Valéria, frottant son vit contre elle, exhale de doux parfum et phéromone typique de la magie rose. Pas assez puissante, pour affecter la succube, mais il semblait vouloir tester ses pouvoirs. Il était clairement le chef de la bande, mais pas du genre dominant, ni dominé. Hakuo se leva et fit lever sa prise, pour souhaiter les salutations à Valéria, l’embrassant à son tour, encourageant Ishima d’en faire de même. Elle était clairement une dominante, trainant Ishima comme son jouet. Eiko de son côté ne se priva, bien que timide et intimidé, clairement un soumis, plus à l’opposé du style de Terumi. Kazuhiko, finit par en faire de même, empoignant les fesses de la succube, sans ménagement. Clairement, il était plutôt du genre pénétrant que pénétré, plus « brut ». Koichiro, fut le seul qui resta en retrait, timide, derrière son masque, intimidé par la présence féminine. Lui aussi un grand soumis timide, un peu plus passif, la cible privilégier pour s’amuser. D’ailleur Emi tira sur une laisse invisible, car d’un mouvement, il força Koichiro à venir voir leur nouvel invité, retirant son masque pour l’embrasser.

-Bien, bien, bien~~

La voix sortait de nulle part. Soudain, le chaudron s’illumina de violet, tandis que les yeux des statues le portant, de rouge. De gros remous ce firent entendre, avant que ne jaillisse du chaudron à grand renfort de bruit gluant et visqueux, une colonne de foutre. Un geyser de foutre, qui prit la forme, puis les couleurs, d’un incube à la peau rosâtre, avant que des flammes éthérées n’enflamment ses cheveux, et qu’il n’ouvre les yeux. Des yeux d’une couleur intense, noyant les regards qui s’y perdent, dans un tourbillon, de stupre et de luxure. Ishima fut comme aspiré, et s’avança jusqu’au chaudron, avant de s’y mettre à genoux. Aucun humain, a moins d’avoir un égo très fort ou une grande volonté, n’aurait pu agir autrement, faisant fi des questions et des instincts de survit. Aucune menace, juste un plaisir intense éternel.

-Bonsoir mes mignons ! Hakuo, Je te félicite mon amour ! Un nouveau mignon ! Et toi Terumi, une consœur démoniaque ! Cette soirée sera merveilleuse pour intronisé notre nouveau membre ! Attendez une peu chère sœur, et nous auront tout le loisir de baisé !

Il descendit, face à Ishima, son sexe se dressant fièrement devant lui, d’une taille plutôt modeste, mais se mêlant à la perfection avec son corps. Toute autre taille, aurait avilie son apparence. La taille parfaite, une harmonie à la limite de l’obscène.

-Ishima, toi qui à découvert un nouveau monde de plaisir, et accepté cette part de toi-même. Suce mon sexe pour sceller ton allégeance aux plaisirs !

Ishima respirait lourdement, haletant, fiévreux, perdu. Il se tourna vers les autres qui l’entouraient, lui souriant, l’encourageant. Il hésita, ouvrit la bouge, posa ses lèvres tremblotante sur le gland qui s’offrait à lui et… l’avala lentement. Extatique devant toute ses nouvelles sensations et découverte, il avala le sceptre du diable jusqu’à la garde, lâchant des larmes sous la surprise, levant un regard pieux à Daëlnia. Qui lui baisa rapidement la bouche, une bonne minute, enchainant les gorges profondes, avant de jouir généreuse, longuement, avant de se finir dans la bouche et sur le visage de Ishima, qui respira à grand goulée, le musc sucré du foutre de son nouveau maître, son regard se couvant d’une lueur rosâtre.

-Te voilà baptisé ! Tu es désormais à moi, et à tous les bonheurs qu’offre ce monde ! Que la soirée commence !

Le chaudron se remplit de fluide sexuel en tout genre, des coupes au allure démoniaque flottant juste au-dessus, des mets et des breuvages apparurent sur des tables et Ishima fut happé par ses nouveaux confrères, avide de lécher le sperme de leur maître, de nettoyer la bouche de Ishima et de lui faire sa fête. Daëlnia se tourna maintenant vers Valéria et se rapprocha d’elle, venant l’embrasser, l’enlacer par le cou, lovant sa queue contre elle.

-Ma chère sœur démoniaque, ravie de te rencontrer ! Tu me suce ? J’ai envie de te connaitre oralement ! Après mes mignons viendront à nous~~

P.s : couleur a venir, je suis sur portable trop compliqué xp

D’une pensée, Valeria bloqua l’évacuation du sperme hors du corps de Terumi. Elle envisageait de le finir convenablement plus tard en emplissant le reste de son corps jusqu’à faire dégorger le trop plein par sa bouche.

« On n’a pas fini. Récupère un peu, parce que tout à l’heure, je t’achève. Tu ne m’oublieras jamais, petite chienne. »

Elle le soutint pour remonter à l’étage où les émanations de stupre et de magie rose laissaient présager d’une orgie en cours.

Pas mal pour des mignons…

Elle demanda à Terumi où était son pote, mais c’est une autre voix qui lui répondit.

« Avec les autres, très chère. »

Elle leva les yeux vers le propriétaire de cette voix sensuelle et découvrit un autre mignon, nu, en parfaite érection. Celui-ci dégageait une tout autre aura que Terumi. Il était déjà beaucoup plus avancé dans les arts occultes et dans sa dévotion à son Maître et avait atteint un stade où sa réincarnation le laisserait auprès de lui, comme serviteur incube et non mane décérébré.

Ah ! Ils ont eu de l’aide !

« Notre maître à beaucoup apprécié que vous vous occupiez d’un de ses mignons et vous invite dans son humble demeure ! »

Le mignon invoqua un portail menant directement chez son Maître et invita Valeria à y pénétrer. Elle suivit Terumi en adressant un signe de tête à Emi qui l’invitait du geste à l’emprunter.

Elle pénétra dans un antre dédié à l’adoration d’un être dévoué au sexe. Tout faisait penser à un sanctuaire où stupre et dévotion ne faisaient qu’un. En son centre trônait un chaudron noir sur un socle formé de quatre statues de démons.

Valeria repéra le second mignon qui se trouvait dans la boîte de nuit. Dans ses bras se trouvait un jeune homme au regard hagard et emprunté, ne comprenant visiblement pas les implications de sa présence en ces lieux mais pourtant tout à fait consentant quant à celle-ci et il avait glissé une main dans son pantalon, main qui le masturbait ostensiblement pendant qu’il lui léchait l’oreille et l’excitait tant et plus. Trois autres mignons les entouraient. Valeria n’aurait pas été surprise de voir l’humain succomber au plaisir dans les instants qui suivaient.

Mazette ! Quelle belle brochette. Je me les ferais bien tous les uns après les autres. Ou ensemble, pourquoi pas ?

Les murs portaient des torches qui brûlaient d’un feu de magie rose au parfum apaisant et légèrement aphrodisiaque.

« Alors Terumi ? demanda l’un des hommes en s’approchant. On trompe le Maître avec une autre délicieuse Maîtresse ?
- Même pour rire je n’apprécie pas que tu dises ça ! »

L’autre riait en tapotant le ventre de Terumi.
« D’accord. Mais du coup, c’est pour quand ?
- Lâche-moi connard ! » gronda le mignon, entre honte et colère.
- Si ce n’est que ça, j’en ai autant à ton endroit, très cher, tu n’as qu’à demander gentiment. » sourit Valeria. « Je serais curieuse de voir si tu encaisses aussi bien que lui… »

Emi vint alors se lover contre Valeria et l’embrasser. La succube lui rendit son baiser avec ardeur, pas le moins du monde gênée par les phéromones de magie rose qui se dégageaient de lui, et laissa sa main glisser sr la queue qui se collait à elle, la caressant doucement et appréciant sa texture chaude et douce. Ils furent rejoints par le second mignon de la boîte de nuit ainsi que sa « prise ». ils eurent droit au même traitement, mais entre les attentions de Hakuo, les phéromones d’Emi et la nature intrinsèque de Valeria, il ne put que baisser les yeux quand son corps le trahit et que son plaisir gicla sur la jambe d’Emi.

Enfin les autres vinrent eux aussi présenter leurs salutations de la même manière, chacun à leur façon, et Val les reçut tous avec les mêmes égards.

« Bien, bien, bien~~ »

Une voix se fit entendre alors que le chaudron et les statues s’illuminaient soudain en nuances de violet et de rouge. Le liquide se mit à bouillonner à grands renforts de bruits gluants et visqueux, puis un geyser de foutre jaillit, éclaboussant les personnes trop près, avant de prendre peu à peu la forme et d’un incube à la peau rosâtre. Des flammes éthérées enflammèrent ses cheveux et il ouvrit les yeux. Le neo-mignon sembla comme aspiré et s’agenouilla devant le chaudron.

« Bonsoir mes mignons ! Hakuo, Je te félicite mon amour ! Un nouveau mignon ! Et toi Terumi, une consœur démoniaque ! Cette soirée sera merveilleuse pour introniser notre nouveau membre ! Attendez une peu chère sœur, et nous auront tout le loisir de baiser ! »

Valeria sourit devant cette entrée théâtrale et cette bienvenue flamboyante. Elle lui adressa un geste de la tête, un léger sourire aux lèvres, la main toujours lascivement en train de caresser le vit d’Emi.

L’incube descendit face à Ishima, son sexe d’une taille exquise par rapport à son apparence fièrement dressé.

« Ishima, toi qui as découvert un nouveau monde de plaisirs et accepté cette part de toi-même, suce mon sexe pour sceller ton allégeance aux plaisirs ! »

L’humain respirait lourdement, écrasé par l’aura de l’incube, par les circonstances, enveloppé dans une incertitude béate, n’osant pas complètement encore céder aux penchants de son âme. Poussé par les encouragements de autres, il posa les lèvres sur le gland, lécha doucement. Il était perdu. Une fois goûté, il ne poouvait plus s’arrêter et il avala le plus possible de la queue. L’incube se reput de ses expressions extatiques de cette découverte puis passa à la vitesse supérieure. Il lui viola la bouche sans façon, une courte minute suffit pour prendre la mesure de sa gorge, le coquérir et enfin le marquer en jouissant dans sa gorge, sa bouche et finissant sur son visage.

« Te voilà baptisé ! Tu es désormais à moi, et à tous les bonheurs qu’offre ce monde ! Que la soirée commence ! »

Le regard du neo-mignon se teinta de rose tandis que les autres mignons le rejoignaient et que l’incube venait à Valeria. Il l’enlaça et l’embrassa, lovant son corps et sa queue contre elle.

« Ma chère sœur démoniaque, ravi de te rencontrer ! Tu me suces ? J’ai envie de te connaitre oralement ! Après mes mignons viendront à nous~~ »

Elle sourit.

« Voilà de bien agréables manières d’accueillir une invitée. Je suis curieuse de goûter ton suc mon frère. Mais je serais ravie que tu te présentes, ainsi que ton cénacle. Je suis Valeria. »

Elle s’agenouilla cependant, huma son vit, s’imprégna de son odeur et de ses phéromones avant de le caresser de sa langue longue et agile, l’embrassant et le parcourant tout en palpant ses bourses avec une maîtrise consommée. Ce faisant, elle laissa elle aussi sa signature emplir l’atmosphère et imprégner petit à petit les convives.

Les mignons étaient à point, mais avec cette aura supplémentaire, l’orgie durerait des jours, voire plus d’une semaine, sans que rien de fâcheux ne puisse se produire, même pour des humains.

Il n'y avait bien qu'une démone pour être autant à l'aise, agir comme maîtresse des lieux. Elle était dans son élément, et ça donnait une trique d'enfer à Daëlnia.
« Voilà de bien agréables manières d’accueillir une invitée. Je suis curieuse de goûter ton suc mon frère. Mais je serais ravie que tu te présentes, ainsi que ton cénacle. Je suis Valeria. »
-Oh mais avec plaisir ma sœur ! Je suis Daëlnia, humble incube solitaire, mais plus pour bientôt... hihihi~~ mais c'est un secret !

A cette mention, sa verge devint dur et légèrement plus grosse, alors que Valéria l'avait déjà en bouche, avant du pré-sperme qui s'écoula, au goût aussi enivrant que somptueux que lui même l'était. Le genre de goût qu'un humain ne retrouvera jamais sur terre, en gardant le souvenir jusqu'à sa mort. Il caressa les cheveux de sa sœur démoniaque, la laissant faire son office, se régalant de la pipe qu'elle lui ouvrait. Il sentait chaque millimètre de sa langue, chaque parcelle de sa bouche, l'étroitesse de sa gorge, la texture de la salive, tout au centuple. Il se mordilla la langue, alors que lèvres de Valéria glissait sur sa verge.

-Alors, je te présente Koichiro. Mon mignon le plus vigoureux, qui adore explorer les trous, même les plus dangereux, sans peur~~

Ce dernier se présenta derrière Valéria, venant doigter sa rondelle de ses doigts plein de sperme, s'en servant comme lubrifiant et lécher son oreille. Il fit lever ses fesses, la mettant à 4 pattes sans effort, la tenant fermement, avant de présenter sa queue, et de s'enfoncer en elle lentement. Il gémit de plaisir, jouissant directement, généreusement mais pas autant que la succube. Mais sa queue ne se ramollit pas pour autant, semblant même devenir plus dur, avant de commencer à lui donner des coups de rein.

-Ici, Emi et Eiko, le meneur de mes mignons et mon chouchou comme tu l'as constaté et son soumit favori hihihi.

Les deux venaient à 4 pattes, de part et d'autre de Valéria, avant de se coucher sur le dos, et de glisser sous elle, venant chercher sa verge. Elle fut libéré et se retrouva entre eux deux, lâchant des exclamations de surprise, avant de l'embrasser, de la lécher, de la prendre en bouche à tour de rôle, léchant et suçant avidement, tout en se branlant et en massant les seins de Valéria.

-Terumi tu l'as déjà vue, nôtre tête brûlé qui ne sait pas se retenir, avec Hakuo, son amoureux et le petit nouveau.

Terumi et Hakuo prenait Ishima en sandwich, avec une double sodomie, étouffant ses cries de plaisir dans des baisés baveux et passionné, tandis que Kazuhiko leur versa le contenue d'un calice sur leur visage, les fluides dégoulinant des partout sur eux ; avant d'être rappeler à l'ordre par Daëlnia.

-Kazuhiko, mon mignon, vient ici, à genoux et retire ton masque. C'est notre grand timide.

Kazuhiko savait quoi faire, il se mit à genoux derrière son maître bouche ouverte, qui s’assit sur son visage. Il agrippa les fesses de son maître, et se mit à la tache, lui offrant un cunnilingus intense et vorace. Daëlnia accompagna les mouvement de tête de Valéria, gémissement tendrement, lui caressant la joue par moment.

-Des pauvres hères rejeté des leurs, par les morales stupides des humains. C'est leur havre de paix, où ils s'expriment sans honte ni regret ! Mes mignons seront à la hauteur de ton appétit ma sœur, ils sont déjà impatient de te goûter !

La queue était aussi belle que bonne et son odeur imprégna les narines de Valeria en un instant. Cependant, contrairement, aux humains, elle ne la satura pas. Si eux ne pouvaient pas résister, elle n’avait aucun problème.

« Oh mais avec plaisir ma sœur ! Je suis Daëlnia, humble incube solitaire, mais plus pour bientôt... hihihi~~ mais c'est un secret ! »

C’était certainement quelque chose de grandiose, parce qu’elle sentit la queue grossir dans sa bouche. Le présperme se mit à couler lentement, on aurait dit du miel tellement il était doux et appétant. Sentir le désir de Daëlnia ainsi augmenter provoqua une réaction chez Valeria dont les tétons se mirent à pointer durement alors que son bas-ventre s’humidifiait doucement.

Elle s’appliqua sur la verge de l’incube, laissant courir sur elle une langue aux dimensions démesurées qui serpentait jusqu’aux couilles. Elle pouvait même la scinder si elle le voulait, imprimant alors des mouvements inverses avec une douceur savamment dosée, millimétrant les attentions pour le faire gravir les marches du plaisir sans chercher à le faire basculer. Ses mains se posèrent sur les cuisses fines et musclées, parfaitement glabres. Autant elle lui faisait du bien, autant s’adonner aux plaisirs de la chair avec un semblable lui avait manqué. Cette baise allait être dantesque. Par Asmodée qu’elle en avait besoin !

« Alors, je te présente Koichiro. Mon mignon le plus vigoureux, qui adore explorer les trous, même les plus dangereux, sans peur~~ »

Aucune possibilité de parler avec ce mandrin dans la gorge, mais ce n’était pas vraiment nécessaire. Le mignon avait déjà la main pleine de foutre et sans aucune gêne la glissa entre les fesses de Valeria pour lubrifier sa rondelle qu’il envahit d’un puis deux doigts habiles. En un court instant, il la fit changer de position, releva sa croupe et s’y inséra sans autre forme de procès. Il n’avait sans doute pas appréhendé à quel point il n’était pas prêt pour ça. Le premier coup de reins n’était pas achevé que déjà il se vidait en elle en grognant de plaisir. La différence avec un humain lambda fut qu’il ne débanda pas après. Normal vu qu’il était dans le fondement d’une succube, bien sûr, mais son essence de mignon y était aussi pour quelque chose. Il commença à la pistonner à un rythme tranquille et régulier.

« Ici, Emi et Eiko, le meneur de mes mignons et mon chouchou comme tu l'as constaté et son soumis favori hihihi. »

Ces deux-là arrivaient à quatre pattes, chacun d’un côté. Ils se glissèrent sous elle et dégagèrent sa verge en moins de temps qu’il n’en fallait pour le dire. Leurs exclamations de surprise puis d’intérêt marqué firent sourire Valeria. Un sourire qui se marqua par le regard, trop occupée qu’elle était à satisfaire son frère. Les deux hommes se mirent alors à la caresser, la humer, la lécher, puis la sucer avec force bruits et gémissements de contentement. Bientôt ils se mirent à se branler en continuant de la sucer, s’occupant des seins de leur hôtesse de leur main libre.

« Terumi tu l'as déjà vu, nôtre tête brûlée qui ne sait pas se retenir, avec Hakuo, son amoureux et le petit nouveau. »

Elle prit le temps de répondre mentalement.

« D’ailleurs, je lui ai promis de le finir et il est à point. Normalement, une belle éjac suffira. Deux peut-être. Mais il a mérité ce final. Tu l’as bien dressé, malgré ses provocations. Félicitations mon frère. Après ce petit retard, l’orgie pourra véritablement débuter. »

Les deux « sorteurs » étaient en train de déboîter le néo-mignon. Ils l’avaient retourné de manière à pouvoir le sodomiser à deux. Valeria trouvait qu’ils y allaient fort pour une première. Deux heures plus tôt, son cul était vierge et là il en était déjà à une double pénétration ? Heureusement qu’il venait d’être promu mignon, sinon ce ne seraient pas des coulées de foutre qui s’échapperaient de lui !

Le dernier mignon se mit à leur verser sur le corps du foutre directement pris dans le chaudron.

« Kazuhiko, mon mignon, vient ici, à genoux et retire ton masque. C'est notre grand timide. »

L’humain obéit sans tarder et s’agenouilla derrière Daëlnia, bouche ouverte. L’incube le gratifia d’un facesit qui plut à Valeria, rien que parce qu’elle pouvait baisser un peu la tête. Avec les attentions des trois mignons, elle ne pouvait plus se mouvoir aussi aisément.

Ca commençait doucement à s’intensifier. Elle bandait terriblement et commençait à bien mouiller.

« Des pauvres hères rejetés des leurs, par les morales stupides des humains. C'est leur havre de paix, où ils s'expriment sans honte ni regret ! Mes mignons seront à la hauteur de ton appétit ma sœur, ils sont déjà impatients de te goûter ! »

« Un magnifique cénacle. Félicitations mon frère, tu as bien choisi. Et tu les as bien dressés. Cela dit, pour un baptême, le petit nouveau va être gâté. Deux démons en une fois ! »

Elle ondula doucement du bassin, joua subtilement du sphincter. Koichiro explosa sans attendre, une salve intense et abondante qui le laissa pantelant. Leur résistance empêchait tout désagrément, mais ils restaient tout aussi sensibles à la nature de leurs partenaires. Valeria ne donnait pas trois heures avant que les corps de ces humains ne soient tous saturés de foutre. Et après, Daëlnia et elle se feraient un devoir de les faire jouer aux vases communicants !

« Un magnifique cénacle. Félicitations mon frère, tu as bien choisi. Et tu les as bien dressés. Cela dit, pour un baptême, le petit nouveau va être gâté. Deux démons en une fois ! »
-Hihihihi ! Merci ma sœur ! Répondit Daëlnia d'une voix suave et délicieusement érotique. Ils avaient juste besoin d'un guide, mes adorables mignons. Et pour être gâté, si tu m'accompagne pour le prendre à deux, il le sera ! Mais avant, tu aura tout droit et désir sur notre adorable Terumi~

L'incube caressa la tête de sa sœur démoniaque, gémissant de plaisir, se mordillant la lèvre inférieur. Se faire sucer par un humain était un plaisir, mais par une succube, un extase ! Un extase qui eu raison de ses mignons qui s'occupait de la succube. Koichiro jouit une nouvelle fois, inondant les entrailles de la succube de son foutre. Il lâcha un râle intense, s’arrêtant, le temps d'encaisser la décharge d'extase, bavant et perdant pied. De leur côté, Emi et Eiko, à force de se masturber de manière intense, finir par jouir, se cambrant, sans pour autant délaisser la verge de la succube de leur coup de langue. Leur éjaculation tapissa non seulement leur corps, mais atteignirent aussi la succube.

Koichiro parvint à se reprendre et gratifia la succube d'une claque sonore sur le cul, et toujours sous l'emprise des énergies roses saturant la salle, sa verge reprenant vigueur !

-Diable ! C'cul vaut celui du maître ! Dit il, en le caressant tendrement.
-A moi ! Fit Emi, en se relevant, sortant de sous la succube. Je veux y goûter !
-Hihihihi ! Fit Daëlnia, se tortillant sous le plaisir et les sensations, tout en remuant subitement sa queue à la manière d'une tentacule dans la gorge de Valéria. Vous me ferez tous un commentaire dessus ! Dit il d'une voix de velours, l'excitation à son comble !

Koichiro laissa là place à Emi. Il ne perdit pas de temps, la succube déjà travaillé par son compagnon, et s'enfonça en elle. Mais doucement, lentement, profitant du contact, minaudant doucement, caressant les fesses. Il fit des allées et venue, mais il avait clairement moins de force que son comparse, mais il mit du cœur à l'ouvrage, et se montrant plus solide, tenant plus longtemps. Et usant des arts que lui enseignait son Maître, il modela sa queue pour la garnir de bosse et devenant plus longue et large. Mais avec un nouvelle attirail de ce genre, il ne résista pas longtemps et jouit avec intensité ! Mais il ne se laissa pas avoir, et repris ses coups de reins ! De son côté Eiko, prit en pleine bouche le gland de la verge de Valéria, et branla le sexe en même temps, laissant le pied de son maître jouer avec sa verge.

-Han ! Han ! HAN !! Scanda Emi. C'est mmmh comme le maître ! Mais le cul est plus doduaaAAH !!

Koichiro venait de l'enculer sans prévenir. Un cul à l'air libre, il fallait s'y attendre. Emi gémit de plaisir, jouissant encore une fois, avant que Koichiro n'impose son rythme, remuant Emi dans le cul de Valéria à mesure que lui même remuait dans celui de son compagnon. Daëlnia, excité de plus en plus par la scène, appuya sur la tête de sa comparse de luxure et jouit intensément, longuement, un flot de foutre délicieux ! Il n'alla pas jusqu'à la remplit à raz-bord, quand bien même en fusse t-il capable, il fallait faire durer le plaisir. Il la remplirait petit à petit, avec ses mignons. Il lâcha un long râle, avant de se retirer de sa comparse.

-Aaaawwh ma sœur, tu aura des leçons à donner à mes mignons hihihi ! Dit-il avec un regard d'extase, d'une profondeur tel, qu'une âme faible s'y perdrait. Eiko, va jouer avec Kazuhiko, je dois rendre la politesse à notre inviter avant qu'elle ne s'occupe de Terumi.

Eiko se retira, rejoignant son comparse, l'embrassa et glissa sa verge dans sa bouche. Valéria pus se relever, Emi venant saisir ses seins, continua à la pénétré, Koichiro donnant le rythme. Daëlnia embrassa sa sœur démoniaque, avant de glisser sa langue dans son cou, puis entre ses seins, embrassa le ventre et finit par lécher la verge de tout son long, avant d'embrasser le gland, et de l'avaler goulûment, puis de partir sur une gorge profonde, avalant sans sourcilier la verge, sa gorge se resserrant comme les anneaux d'un serpent, se rendant étroit comme aucun humain ne pouvait l'être. Étroit et confortable.

The Multiversity

Attirée par le miel d'Incube. [PV : Valeria]

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