The Multiversity

L’ambiance était au beau fixe, comme toujours concernant le cercle de la luxure. Encore une fois le clan Magoa avait organisé une fête, invitant moult démon et démone du cercle de la luxure. Les raisons étaient diverses : asseoir son pouvoir, montrer son statut ou simplement pour le plaisir, mais finissaient toujours sur une bonne orgie. C'est tout ce que retenais Daëlnia, le plaisir, la luxure et l'extase de ces événement. D'autant qu'il n'en était pas à sa première.

Même si il n'était pas de haut rang, ni n'avait de clan attitrer, ni de grand domaine, Daëlnia était convié. Les succubes et incubes de son genre, vagabond et guidé seulement par leur pulsion, bien loin des affres des jeux de pouvoirs était très apprécié. Aucun risque d'avoir parmi eux des individues cherchant à porté atteinte au clan Magoa ou ses membres. Même certain seraient tenter de les servir et de mettre fin à leur vie de solitaire. Ils ne sont que pulsions et luxures, guidé par des instincts primaire dénué de toute velléité.

Aussi, Daëlnia rejoignit le domaine des Magoa, et entre dans leur demeure, rejoignant la salle princiape. Il se retrouva en haut d'un double escalier en courbe, surplombant une salle de réception haute de plusieurs mètres, et bien plus vaste encore, des torches de feu rose illuminant la salle, de reflet chatoyant, flottant ici et là. Des rires fusaient de toutes part, des clameurs, des bruits de claquement de la chair contre la chair, des fouets, des cravaches, des chaînes ! Mais aussi de la musique, qui aurait vite fait de vrillé l'esprit d'un mortel dans un tourbillons de fantasme et de pensés lubrique.

Ici et là, on pouvait voir des démons et des démones, sur des podiums, au milieu de foule avide et lubrique, ou sur des disques flottant, dansant et faisant preuve de telle prouesse physique, que le plus talentueux des humains serait considéré tout juste pitoyable en comparaison. Un spectacle qui aurait condamné des âmes faibles. Détail curieux pour les néophytes, les danseurs et danseuses étaient dans des cages, pour éviter que la foule ne les emporte dans un gang bang inopiné avant la fin de leur prestation ayant pour but de galvaniser les spectateurs.

Il descendit l'escalier, attirant les regards langoureux pour ceux le montant, ou le descendant, ou encore en haut. Pincement et claquement de fesses, embrassade baveuse et sonore furent de mise, ainsi que le frottement de cuisse et les promesses de sulfureux ébats rapidement. Il promit aussi et fit tout autant, attrapant un verre au passage d'une servante, une pauvre âme condamné, des jouets vivants remuant en elle. Plus loin, une démone jouait avec deux servantes, et non loin, une autre était prise à partie par un duo de démon.

Ici et là, on pouvait voir des âmes en peines suspendue dans les airs, dans des positions aussi humiliante que excitante, leur mouille et bave tombant sur des démons et démones avides ou bien engoncé dans des tenue de latex, maintenue dans des positions facilitant les pénétrations. Mais rien de tout ça n'attira Daëlnia, car il venait de repéré une cible particulier. Il vida d'une traite son verre, le mis sur le plateau d'une autre servante, se rapprocha de sa cible, ignorant les appels et les caresses. Il enlaça par derrière sa cible, par dessous les aisselles, calant sa queue contre ses fesses, glissant une main contre son torse, l'autre glissant vers son sexe.

Il était légèrement plus petit, se mettant un peu sur la pointe des pieds, pour venir lécher sa joue, sourire mutin au lèvre, avant de la poser sur son épaule et de susurrer à son oreille, d'une voix si suave et sensuelle, qu'une humaine pourrait en jouir.

-Hell'ooo beau diable !

Il venait de rejoindre Alastar, le fils du clan Magoa, un incube de haut rang. Malgré leur différence de statut, les deux s'étaient déjà rencontrer lors d’événement semblable, et avaient baisé comme des bêtes quelque fois. Le revoir était toujours un délice. Un ignare penserait que Daëlnia tentait de se rapprocher de la famille et donc de se démarquer, mais il n'agissait qu'en suivant ses pulsions, et ses pulsions l'avaient amener vers Alastar, se moquant qu'il soit en discussion ou en train de besogner une personne. Et un habitué saurait que c'était un comportement normale. Après tout, une succube entrain de punir une servante, fut mise à 4 pattes par un démon, qui l'empala et la baisa sans retenue, au grand plaisir de sa partenaire qui n'avait pas prévue ce retournement de situation plaisant.

Régulièrement, la Matriarche du clan Magoa, Onyxian Magoa, organisait de fastes orgies au sein du clan de la Luxure. Le Palais du clan Magoa était un grand et luxueux palais, à l’image de ce clan de Luxure, un clan qui, au fil des siècles, et sous la férule d’Onyxian, était devenu l’un des plus puissants clans du Cercle de la Luxure. L’architecture du Palais était atypique, il était construit autour de ce qu’on appelait les « Fosses ». C’était la cour centrale, où les âmes damnées étaient jetées dans une orgie permanente, perpétuelle, qui n’avait toutefois plus rien de sensuelle. Cette orgie perpétuelle était une manière de détruire les âmes des humains jetées ici pour en faire des démons. Ceux qui parvenaient à s’extirper des Fosses avaient acquis le grade pour devenir des démons de luxure. Mais, quand une fête avait lieu, on refermait les Fosses, et la cour centrale devenait alors le cœur de la fête. C’est donc ce que fit Onyxian, tout en réunissant les succubes et les incubes du clan. Les fêtes des Magoa étaient toujours un très bon moyen de rappeler aux autres Cercles leur puissance, ainsi qu’aux autres clans de la Luxure.

Le clan disposait de beaucoup d’esclaves humains, mais il y avait aussi des convives venant même de Terra. Onyxian avait construit son pouvoir sur une alliance avec la Déesse Sha, la Déesse des Sorcières. Les sorciers et les sorcières étaient donc les bienvenus ici. Alastar, qui était un électron libre au sein du clan, était toutefois naturellement de la partie. Une fête chez les Magoa, cela se faisait toujours dans le stupre. Alastar n’allait pas déroger à cette tradition séculaire, et, quand Daëlnia vint le voir, il était en train de coucher avec une sorcière, justement. Maîtresse Suzanne, comme on l’appelait, était une sorcière élégante et belle, une dominatrice qui dominait un manoir rempli d’esclaves sexuels. Elle était en train de se faire prendre en levrette par Alastar, et l’incube y allait de bon train.

« Hmmm… Quel plaisir de te revoir, Suzanne !
-  Ooohh… Hmmm… !! Pu-Putain !! »

Maîtresse Suzanne perdait de son sang-froid légendaire. Et, tandis qu’Alastar la prenait, il sentit une silhouette se lover dans son dos. En reconnaissant cette odeur, en sentant cette verge contre ses fesses, le cœur du Diablotin bondit dans sa poitrine. Il tourna la tête, et, quand Daëlnia l’embrassa, Alastar se mit à jouir. Son corps se relâcha instantanément, et il tapissa le cul de Suzanne de son foutre.

« Hmmm… »

C’était lui… Daëlnia ! Il n’était pas un Magoa, mais Alastar le connaissait bien. Cet incube libre n’appartenait à aucun clan, et, si bien des succubes le méprisaient en ne voyant en lui qu’un vulgaire saltimbanque gaspillant son talent, Alastar, lui, ressentait toujours de curieuses choses à côté de lui. Alastar avait à vrai dire suffisamment rencontré d’amants et d’amantes pour savoir qu’il était amoureux de Daëlnia. Il ne cherchait pas à le nier, et se retourna vers lui, venant l’enlacer. Sa main descendit naturellement vers ses fesses, qu’il pressa, sa verge caressant celle de Daëlnia.

« Tu es venu, finalement… Je t’ai envoyé une invitation, mais je ne savais pas si tu accepterais. Tu es plutôt indiscernable, tu sais… »

Maîtresse Suzanne se redressa lentement, clignant des yeux en observant ce curieux duo. Alastar rompit son nouveau baiser avec Daëlnia.

« Tu n’as pas amené les membres de ta secte ? Je ne crois pas qu’ils auraient été de trop… Mais je saurai amplement me contenter de toi, tu sais ! » sourit-il malicieusement.

Daëlnia profita que le Diablotin tourna sa tête vers lui pour venir l'embrasser, un baiser plein de vice, intense et obscène, comme les démons savent si bien les faire. Leur langues se mêlèrent, dansant une salsa du diable, se dévorant les lèvres avec une avidité certaine. Leur baisé s'étendit encore quelque instant, tandis que Alastar se tourna vers l'incube, saisissant ses fesses en glissant une main le long du dos, tandis que leur verge se frottèrent, toute deux dure et solide, pulsant d'avidité. Daëlnia en fit autant, le gratifiant même d'une petit claque.

« Tu es venu, finalement… Je t’ai envoyé une invitation, mais je ne savais pas si tu accepterais. Tu es plutôt indiscernable, tu sais… »
-Hihihi ! Fit Daëlnia. C'est ce qui fait mon charme.

Ils s'embrassèrent à nouveau. Daëlnia avait conscience des sentiments de Alastar à son égard, mais il avait plus de mal à les définir tout comme ses propres sentiments, car amour, sexe et luxure se mélangeaient avec lui, sans frontière ni limite, dans un tourbillon d'intense sensation et d'extase. Sans pouvoir dire qu'il était amoureux, il savait que tout était plus intense avec Alastar, et que ses pensés le concernant l'excitait d'avantage que d'autre, le préférant donc à tant d'autre. N'ayant donc que d’œil pour Alastar, il ignora totalement la sorcière qui se remettait de sa rude sodomie.

« Tu n’as pas amené les membres de ta secte ? Je ne crois pas qu’ils auraient été de trop… Mais je saurai amplement me contenter de toi, tu sais ! »
-La prochaine fois gros gourmand. Susurra Daëlnia avec un petit rire. Ils sont pas totalement prêt, j'ai pas envie qu'ils se brisent trop vite.

Il l'embrassa à nouveaux, une main venant le branler doucement, caressant habilement le sexe, frottant son pouce contre le gland, palpant ses couilles avec une douceur obscène. Daëlnia mordilla la lèvre inférieur de Alastar, tout en la suçotant, avant de glisser sa langue à nouveau, pour venir l'enrouler autour de celle de son beau diable, dégustant sa bouche dans tout les sens. Le baisé dura un long moment, jusqu'à ce que Daëlnia sépare à nouveau leur lèvre, libérant quelque filet de bave.

-Mmmh je pourrais faire ça des siècles ! Une éternité c'est écoulé depuis notre dernière rencontre j'ai l'impression. Lui susurra Daëlnia en se léchant les lèvres.

Il se laissa glisser à genoux, se retrouva face au sexe en érection de son beau diable, luisant de foutre. Levant son regard, Daëlnia lui fit un clin d’œil en embrasant le gland, avant de glisser une longue langue qui s'enroula 5 fois autour du sexe, allant et venant, ses mains serrant ses fesses, avant qu'une ne glissa vers sa hanche pour revenir par les couilles, les massant avec douceur et plaisir.

-Mmmh. Émit Daëlnia.

Il lécha de long en large le sexe, suçotant le gland à moitié, avant de glisser ses lèvres le long de la hampe de chair, mordillant doucement, enroulant à nouveau sa langue, léchant avant de revenir sur le gland, et de le prendre entièrement en bouche, le suçotant avec gourmandise, glissant sa langue tout autour du prépuce, mordilla doucement une nouvelle fois, et finis par avaler lentement la verge.

L’amour était un sentiment curieux, un sentiment qu’on disait propre aux humains, et que les démons ne connaissaient pas. Alastar était bien placé pour le savoir, car l’incube ciblait généralement comme amants sur Terre des personnes en couple. Il aimait coucher avec des femmes frustrées, jouer avec leurs sentiments. Alastar aimait que les humains l’aiment sans que cela ne soit réciproque. Pour autant, il savait que les démons pouvaient être amoureux. Cela s’était déjà vu, historiquement, notamment avec les anges. Les Nephalems étaient une réalité que les deux camps avaient souvent nié, mais qui avaient bien existé. Et ce que Le Diablotin ressentait avec Daëlnia s’apparentait à cela, à ce doux poison. Il savait où se trouvait la secte de Daëlnia, et Alastar était bien décidé à s’y rendre lorsqu’il ne voyait pas assez cet incube insolent. Daëlnia lui ressemblait beaucoup, mais en un peu plus efféminé. Là où Alastar avait un physique d’éphèbe masculin, Daëlnia était un éphèbe plus androgyne, un incube à la peau rosâtre. Ils s’embrassèrent longuement, de manière assez obscène. Ici, au sein d’un palais de la Luxure, la chasteté n’avait pas de raisons d’être. Toute fête de Luxure était une orgie en soi, à des degrés différents.

« Hum… »

Alastar avait mis du temps à admettre ses sentiments à l’encontre de Daëlnia, et, en bon incube digne de ce nom, Daëlnia s’amusait avec cela. Mais, après tout, ils n’étaient pas des humains. Alastar ne se voyait pas fonder une famille avec Daëlnia et s’ennuyer comme les humains en ayant qu’un seul amant, aussi délicieux fut celui-ci ! Les incubes devaient avoir plusieurs amants, et lui avait beaucoup de femmes qu’il aimait régulièrement revoir, enfanter, besogner, baiser sans ménagement. Le Diablotin aimait rappeler à tous ces humains soi-disant civilisés qu’ils étaient avant tout des êtres faits de chair et de sang, pour qui le sexe comptait plus que n’importe quel diplôme ou position sociale. Alors, il couchait volontiers avec des bourgeoises, des aristocrates… Pour autant, rien n’avait plus de saveur que le goût des lèvres de Daëlnia contre les siennes. Sa verge durcit joyeusement, et il pressa sa main sur ses fesses.

Daëlnia se défaussa alors, et s’agenouilla devant lui, venant approcher son visage de son membre turgescent. Ce vit assoiffé n’avait qu’une envie, c’était qu’on s’occupe de lui. Alastar soupira doucement, sentant la langue reptilienne de Daëlnia s’enrouler sensuellement autour de sa verge, la comprimant avec appétit. Il ferma les yeux en serrant sa main sur les cheveux de Daëlnia.

« Hum… Au moins, sans tes mignons, je t’ai pour moi seul… Mon bel incube… »

Une éternité depuis leur dernière rencontre… C’était fort possible ! Le temps ne s’appréciait pas de la même manière pour les démons que pour les humains. Incontestablement, cela avait manqué à Alastar, qui remua d’avant en arrière, accompagnant les mouvements buccaux de son partenaire.

« Là, oui… Suce bien fort, mon chéri… »

Sa main se crispa sur les cheveux de Daëlnia, et il commença à enfoncer sa trique dans sa bouche, optant pour une délicieuse et savoureuse gorge profonde. C’était un bon moyen de célébrer leurs retrouvailles… Quelque chose qu’Alastar ne pouvait qu’approuver !

Le contact de la main sur ses cheveux flamboyant d’un feu éthéré inoffensif, fit ronronner Daëlnia, savourant ce contact plus que de raison, comme tout bon incube. Il émit un petit gloussement, quand son beau diable fit allusions à ses mignons. Oui, seul à seul pour une folle et enivrante soirée au aspect éternel. Mais nul doute que dans un avenir proche, ou plus tôt que prévue, ils seront 7 à s’occuper de son beau diable, un harem dont il se souviendrait ! Ou plutôt un harem qu’ils savoureront à deux.

Daëlnia avalait tranquillement la verge, comme une délicieuse friandise, prenant le temps de lécher et suçoter chaque centimètre avalé, quand son beau diable se mit à remuer. Sa verge coulissa tendrement entre ses lèvres et sa langue, langue vorace qui s’enroula à nouveau autour de la verge, comme une deuxième couche de vice compriment la verge, alors que Daëlnia se mit à aspirer la verge, creusant les joues, comprimant la verge dans un étau de chair et de langue, noyé de bave chaude, dont la teneur en aphrodisiaque suffirait à faire tomber d’envie un simple mortel. Et ne parlons pas de la langue, qui d’un simple coup, suffirait à faire mouiller ou bander comme un taureau, homme ou femme.

Puis finalement, Daëlnia, dans une longue succion, avala complétement la verge, l’enfournant dans sa gorge étroite, chaude, humide, baignant sa bouche de bave, embrassant le pubis de ses lèvres pulpeuses. Sa langue glissa, venant lécher les couilles avec appétit, émettant des gémissements étouffés et déglutissant bruyamment, de douce mélopée accompagné d’autre éructation obscène. Sa gorge s’était gonflé sous le passage de la verge, et une de ses mains vint caresser cette dernière, tandis que l’autre fila entre les fesses du Diablotin, titillant sa rondelle, caressant avec tendresse ses fesses.

Daëlnia resta ainsi un long moment, son regard ardent brulant de plaisir et de désir, fixant son beau diable. Un regard qui aurait vite fait de vriller l’esprit d’un faible d’esprit. Daëlnia ne se retirait en arrière que d’un ou deux centimètre pour mieux les ravaler ensuite. Et Alastar pouvait avoir l’impression de s’enfoncer toujours plus loin dans la gorge apparemment sans fond de son amant, baignant et comprimer dans un cocon de chair douce et de bave chaude. Daëlnia finit par enfoncer un doigt dans le fondement de son beau diable, l’agitant tandis que sa langue s’enroula autour des couilles, bavant généreusement dessus. Il bougea sa tête à droite et à gauche, faisant bouger la verge dans sa gorge. Caressant sa gorge, il se concentra et força ses muscles à des mouvements inhumains, normale pour un incube, avant de glisser sa main vers sa propre verge, se branlant doucement. Il comprima la verge, mimant des anneaux le contraignant et le branlant, témoignant de sa maîtrise.

Un temps infini s’écoula, suçant et branlant en même temps la verge délicieuse de son beau diable dans une gorge profonde intense, incomparable à ce qu’un mortel pouvait faire. Il doigtait son cul en même temps, tout en se branlant. Daëlnia était dans une extase intense, se perdant dans cette gorge profonde, créant toute une symphonie avec ses gémissements étouffés, éructation humide et autre bruit délicieux à entendre. Une ode à luxure et à la dépravation, à la décadence et à l’obscénités. Il n’y avait plus que cette gorge profonde à son beau diable, sa verge épaisse et savoureuse. Ses yeux semblaient semblables à des tourbillons de plaisir et de luxure.

Mais les meilleurs choses avaient une fin, et il y avait tellement d’autre plaisir ! Daëlnia finit par mettre fin à la gorge profonde, reculant, libérant dans un long et intense bruit de succion gluant, avant de libérer la verge dans un bruit sonore, dans un flot de bave qui s’écrasa sur son torse et de halètement brulant. La verge dégoulinait de bave et semblait un plus grosse et longue après son long passage dans la gorge de Daëlnia. Ce dernier l’embrassa, et reprit le gland en bouche, prenant les mains du Diablotin pour les mettres sur ses cornes, le message évidant.

Avoir Daëlnia pour soi était indéniablement quelque chose de très agréable ! Alastar restait un incube, un démon qui se nourrissait de sexe… Jamais il ne renoncerait à ses orgies, à ses amantes, à ses esclaves, à cette vie de débauche et de luxure absolue, mais cela ne signifiait pas qu’il ne pouvait pas tomber amoureux… « Tomber amoureux »… Cette expression était si bien choisie ! Elle résumait à merveille ce sentiment de chute, d’effondrement qui vous saisissait. Un sentiment que rien n’expliquait, que rien n’arrivait à justifier. Penseurs, poètes, théoriciens, s’arrachaient les cheveux depuis des éons pour comprendre le désir amoureux. Un désir qu’Alastar ressentait en compagnie de Daëlnia, sa malédiction personnelle… Il ne pouvait pas se passer trop longtemps de son Daëlnia, mais eux n’avaient jamais vraiment officialisé leur relation. Et puis, récemment, Alastar avait rencontré deux femmes, deux humaines, Fönn et Lissandre, qui étaient prêtes à se marier en Enfer. Cela l’avait amené à se renseigner sur les mariages démoniaques. Ils n’étaient pas fréquents, mais il avait été surpris d’apprendre que des démons s’étaient déjà mariés. Le rituel était quelque peu tombé en désuétude, mais il existait, et Alastar avait commencé à réfléchir… Et par comprendre que l’incube qui se tenait à genoux devant lui, et qui le suçait avec un talent incroyable, était quelqu’un dont il n’aimait pas être éloigné.

« Hmmm… »

Soupirant doucement, Alastar sentait sa grosse verge s’enfoncer dans la bouche de Daëlnia, filant en lui avec appétit. Il le laissait faire, écartant les jambes. Alastar soupira encore, fermant les yeux, et caressa ses cheveux, s’adossant contre le pilier sur lequel son dos se frottait lentement. Le contact était terriblement agréable, si tant est que Le Diablotin aurait voulu que cela dure éternellement… Tout en sachant que le plaisir sexuel trouvait sa beauté dans son caractère éphémère ! Il se tortilla un peu, laissant les doigts curieux de Daëlnia filer dans son fondement, et serra ses mains sur ses cornes. Il grogna, avant de sentir l’incube facétieux multiplier les gorges profondes,

« Là… Oh, mon beau ! »

Les mains d’Alastar se serrèrent sur ses cornes, et il commença à remuer en lui, le baisant énergiquement, reprenant du poil de la bête. Petit à petit, le rythme devenait lourd, intense. Alastar déplaça sa queue dans la foulée, et enroula la pointe autour de la verge de Daëlnia, le masturbant avec appétit.

Son beau diable passa à l'action, saisissant ses cornes, et remua d'un rythme déjà soutenue, sans préliminaire, baisant sa gorge de sa verge épaisse et longue, déformant sa gorge à l’extrême. Daëlnia avait enroulé sa langue autour de la verge de son Diablotin, formant une deuxième couche de chaire, tandis que sa gorge continuait à être serrer, formant des anneaux de constrictions. Son doigt fut remplacer par un tentacule, titillant, léchant, suçant, grattant, sa prostate, se déchaînant. Alastar le masturba de sa queue caudale, que Daëlnia ne se priva de la caresser, et de la branler, d'une main, l'autre pinçant un de ses tétons.

D'un claquement de doigt, il fit venir un pichet de vin de feu, typiquement démoniaque, d'une servante qui passait par là, et arrosa la verge de Alastar, laissant le précieux liquide couler entre ses lèvres et sur son torse, savourant cette verge au goût nouveau, ses yeux brillant d'une lueur rosâtre, intense. Il finit la carafe, ayant bue une partie à chaque pénétration de son amant. Il mordit doucement parfois, pressant ses lèvres, comprimant ses joues, comprimant sa gorge mouvante. Son tentacule prit des mouvement rotatifs dans les fesses de Alastar.

Sortant de tourbillon noir ici et là, des chaînes d'un métal noir, se tortillèrent et cliquetèrent lentement, se rapprochant de Daëlnia, s'enroulant doucement autour de ses membres. Ses bras finirent dans son dos, ses jambes entre elle, le maintenant en l'air, à la taille idéal pour que Alastar continue à baiser sa bouche avec amour. Daëlnia s'était lui même enchaîné.

Daëlnia commença à se retourner. Sans cesser d'avoir la bouche baiser, il pivota, tournant autour. Il finit ainsi à genoux, penché vers l'arrière, sa gorge se déformant à la vue de son beau diable. Ses mains furent enchaîné à ses chevilles, le bloquant dans cette position, éructant de délicieux bruits. Sur son cou, un petit collier se forma, serrant sa gorge, un ruban noir attaché par un cœur en fer. Le genre de collier prompte à se briser si on force trop dessus. Le défis était lancé.

Son visage était enfouie contre les couilles de Alastar, respirant à grande goulée d'air le musc virile, obscène et suintant du sexe de son beau diable.

Tout cela était un prélude ô combien délicieux. Amant formidable, Daëlnia ne cessait de surprendre Alastar. Entre deux gorgées, entre deux coups de reins, le facétieux incube récupéra une bouteille de vin de feu. Les seuls champs viticoles qui existaient en Enfer étaient ceux situés au sein du Cercle de la Gourmandise. De manière générale, ce cercle contenait tout le grenier de l’Enfer. Le vin de feu était un alcool infernal avec un degré d’alcoolémie très élevé, plus fort que chez les alcools humains. C’est pourquoi il n’était réservé qu’aux démons ! Joueur, Daëlnia le répandit sur sa verge, sentant cet alcool enflammer sa queue. Alastar soupira longuement en crispant ses mains sur les cornes de Daëlnia.

« Di-Diable d’incube… » siffla-t-il.

La douleur se dilua dans son corps, partant de sa verge pour filer dans son être. Il tremblait nerveusement sur place, et retourna enfouir sa queue dans la bouche de son amant, la « séchant » ainsi. Il recommença ses bourrades, et sentit Daëlnia partir en arrière, se laissant faire. Une gorge profonde intense avait lieu, et Alastar se régalait. La douleur l’enflammait, exaltant ses sens, et il fallait à ce stade se rassurer en se disant que le visage qu’il matraquait et détruisait ainsi était celui d’un incube, capable de l’endurer. Il aurait sans doute pu étouffer un humain ordinaire, ou lui briser la mâchoire… Mais pas Daëlnia, pas son Daëlnia ! Alastar le baisait avec force, grognant, soupirant, s’enfonçant puissamment en lui. Sa queue caudale virevoltait en l’air tandis qu’il sentait la queue de Daëlnia continuer sa course dans son fondement. La douleur l’envahissait totalement, et Alastar poussait de longs râles exprimant les sensations qu’il ressentait.

Finalement, dans un grognement, Alastar jouit. Un orgasme foudroyant, intense, sa queue lui donnant l’impression d’exploser. Il inonda la bouche et la gorge de Daëlnia, l’étouffant, ravageant son magnifique visage. Il le regarda, voyant les yeux de Daëlnia s’écarquiller, son visage d’éphèbe semblant se réduire en bouillie tandis que ses joues gonflaient et enflaient sous la présence de ce foutre.

« Oh bordel !! »

Alastar se termina ensuite sur le visage de Daëlnia, balançant plusieurs chapelets de foutre sur sa figure, sa peau rosâtre prenant une teinte plus blanche. Tandis qu’il reprenait ses esprits, Alastar s’agenouilla, et l’embrassa alors, caressant les cheveux de son amant. Son autre main caressa son collier, et empoigna ensuite le cœur en fer qui se trouvait dessus.

« Un joli cœur… Est-ce à l’image de l’amour que tu me portes ? J’espère que je ne t’ai pas fait trop mal, mais… Tu l’as bien cherché, tu as enflammé ma queue ! »

Ce n'était qu'un préambule, une mise en bouche. Mais ce petit moment de baise aurait pus mettre à genoux n'importe quel mortels non initié. Son Diablotin lui ravageait la gorge, la gonflant de son pylône de chair, imprimant le collier noir sur sa peau, limant les parois, étouffant les borborygmes et les éructations obscènes, se noyant dans un flot de bave et de coup de langue. Un délice sans pareil !

Son Diablotin lui bourra la gorge de long moment, pillonant sans retenue et sans vergogne, sachant que son Diable d'incube pouvait aisément supporter pareil rythme. Sa bave gicla par à coup de ses lèvres, s’écoulant le long de son visage, reliant les couilles par des filaments se formant et se brisant sans cesses, sa langue virevoltant entre la bite et ses dernières. Le tout rendant les bruits plus spongieux et étouffé, sonate bestiale du plaisir sauvage.

Puis dans grognement, Alastar libérant les flots de nectar, étouffant dans un flot brûlant de foutre les derniers bruits de Daëlnia qui exprimait son plaisir, remontant sous forme de bulle jaillissant du coin de ses lèvres ou de son nez. Malgré la verge et le flot, l'incube parvint à déglutir, avalant le foutre tout en comprimant la verge d'avantage. Mais il ne pouvait contenir ce flot, gonflant ses joues, au point de couler de son nez et de gicler de ses lèvres pulpeuses, s'écoulant sur son visage. Alastar finit par se retirer, sortant sa verge de son fourreau de foutre et de chair, libérant un flot de sperme. Daëlnia releva la tête, avalant cette masse de foutre dans sa bouche, en deux grosses et longue déglutitions sonores.

-Glrpf...glorpf...pffoouuaaaa...

Et sans surprise, son Diablotin se finit sur son visage, du sperme s’écrasant sur son visage, le maculant d'un foutre crémeux, chaude et à la douce odeur, ouvrant la bouche pour en récupérer au vol. Puis le flot se tarit, et seulement Daëlnia recouvra ses pensés, s'extirpant à moitié de se maelstrom de plaisir, suffisant pour répondre au baiser avec passion, mêlant sa langue à celle de son Diablotin, partageant son foutre avec gourmandise. Toujours attaché, Daëlnia fit tenter ses chaînes, son sexe dresser pulsant d'avidité, l'orgasme semblant prêt à exploser, le torturant d'une douce frustration.

« Un joli cœur… Est-ce à l’image de l’amour que tu me portes ? J’espère que je ne t’ai pas fait trop mal, mais… Tu l’as bien cherché, tu as enflammé ma queue ! »
-Hihihi, qui sait ? Et comment avoir mal avec tant de plaisir. Fit Daëlnia, sa langue serpentine venant lécher le foutre coulant sur sa joue. Tu enflamme mes désirs, vil Diablotin, comment résister a ne pas jouer un peu ?

Ses chaînes noir se dissipèrent, libérant Daëlnia qui finit de se nettoyer le visage avec sa langue. Il se releva, invitant le Diablotin à faire de même en l'embrassant, et se blottit contre lui, continuant à l'embrasser passionnément. Il se retourna, plaquant son dos contre le poitrail finement musclé de son amant, collant ses fesses contre sa verge. Il reprit le baisé, passionnément en tournant sa tête, dévorant ses lèvres et glissant sa langue contre la sienne, s'enroulant, se léchant et se frottant. Il glissa une main sur ses cheveux, l'autre guidant une main de son Diablotin sur sa verge tendu.

-Mmmmh il manque quelque chose. Fit Daëlnia.

Sa main caressa le cou de son beau diable, tandis qu'un collier se forma et que Daëlnia se retrouve avec une laisse en or. Il tira dessus avec un sourire mutin, retournant l'embrasser voracement une nouvelle fois.

-Hihihi ça te vas bien~ Sussura Daëlnia en lui léchant la joue. Mon beau diable a moi !

Lui et Daëlnia s’apprêtaient à vivre une belle histoire d’amour. Des démons amoureux, voilà qui pouvait surprendre à plus d’un titre, mais Alastar était effectivement amoureux de cet incube ingénu ! Daëlnia était magnifique, après tout ! Il suffisait de le voir pour en tomber instantanément amoureux ! L’amour n’était pas fréquent chez les démons, qui étaient des individus plutôt autocentrés, et pensant avant tout à eux-mêmes. Ils étaient trop individualistes et trop égoïstes pour tomber amoureux, mais, dans les faits, des démons pouvaient tomber amoureux. Alastar n’était pas une exception unique, et il avait progressivement pris conscience qu’il aimait Daëlnia. Cela ne les empêchait nullement, l’un et l’autre, d’avoir de nombreux amants. Leur relation croissait lentement, et Alastar se demandait si elle n’allait pas franchir un cap ce soir. Après cette gorge profonde, Daëlnia semblait ravi, et désireux de continuer leur petite séance. Le Diablotin lui sourit doucement, et sentit alors un collier se former autour de son cou, avec une laisse en or. Daëlnia tira dessus, et le collier se serra. Alastar soupira, sentant son érection croître.

« Oh, tu veux me soumettre ? Moi, un Magoa ? Quel présomptueux ! »

Alastar regarda le collier, et y vit un petit pendentif. C’était un cœur en fer. Il sourit doucement. Alastar usa ensuite de sa magie, et sentit une inscription gravée dans la doublure du collier, le long de sa nuque. Trois mots simples, qui trahissaient un curieux sens du romantisme chez les incubes :
Le Diablotin ne fit aucune remarque, et se rapprocha de son amant, sa verge toujours bien dressée. Les deux s’embrassèrent alors, et Alastar en profita volontiers, sa main se serrant sur les cheveux de son incube, l’autre descendant palper ses fesses. Il joua avec, malaxant le beau postérieur de Daëlnia, ce postérieur qui avait déjà reçu un nombre innombrable de mandrins en lui, dont celui du Diablotin à la peau rouge. Ils s’embrassèrent assez longuement, chacun profitant tendrement de l’autre, leurs verges en érection venant mutuellement se frotter l’une à l’autre, provoquant chez l’un comme chez l’autre de doux frissons électriques, d’agréables palpitations qui ne pouvaient que les stimuler à faire davantage.

« Et que comptes-tu me faire, mon beau petit Daëlnia ? Tu te sens capable de me punir ? Toi dont j’ai entendu dire que tes propres esclaves prennent plaisir à te dominer ? Ce serait cocasse de te voir essayer… »

Tout en lui parlant pour le provoquer, Alastar frottait son nez contre son visage, glissant doucement sur sa joue.

« Tu sens si bon, mon chéri… » lui glissa-t-il ensuite, après un baiser sur la joue.

« Oh, tu veux me soumettre ? Moi, un Magoa ? Quel présomptueux ! »
-Tu as l'air plutôt content. Susurra Daëlnia. Ça serait jouissif~

Le petit geste de Alastar, fit bondir le cœur de Daelnia. Un flot de sensation et d'émotion parcourue son corps et électrifia son esprit. C'était visible, que cette petite attention avait déstabiliser Daëlnia, qui contempla le pendentif marqué par Alastar. Qu'un Incube de son rang fasse ça, que son prénom repose sur le cou de son beau diable, à la vue de tous, c'était inimaginable, presque... un rêve ? Avait-il rêvé de cela ? Un désir profond ? Sans doute.

Ce silence, leur rapprochement, gagna soudainement une intensité profonde. Loin du sexe dépravé, loin de la luxure démesuré. C'était plus intense, plus intime, plus personnelle. Chaque frottement, chaque embrassade, chaque contact était plus intense. Son corps tout entier était électrifié ! Chacun profitant de l'autre, baladant leur main partout. Daelnia soupira d'aise et gémit de plaisir sous les caresses, pouvant sentir toute les pulsions de Alastar, comme étant les siennes. Une aura intense se dégageait d'eux, tel qu'un humain lambda serait tomber à genoux comme un chien, suppliant qu'on le baise. Le plaisir de Daëlnia était t-elle, que du pré-sperme dégouliner de sa verge, son érection si intense qu'elle en était douloureusement délicieuse.

Finalement, Alastar mit fin à leur baisé, leur bave dégoulinant généreusement alors que leur langue finir de s’entre-lécher. Son beau Diable se mit à le taquiner, le narguant sur ses capacités pour être capable de le dominer, tout en profitant de son parfum enivrant. Daëlnia prit une moue boudeuse, et tira sur la laisse, le guidant vers un sofa absurdement large, presque un lit. Autour, des démons et démones forniquant sans leur prêter attention sur d'autre sofa, chaise, table ou autre canapé. Dans les airs aussi.

S'aidant de chaîne noir jaillissant du vide, pour menotter Alastar dans le dos, et le pousser sur le dos, sur le sofa. Tenant toujours la laisse, Daëlnia en fit apparaître une deuxième, l'enroulant autour de la verge de Alastar, serrant juste ce qu'il fallait pour bloquer toute éjaculation.

-Je vais devoir te montrer que je suis pas juste bon à te sucer mon beau Diable, même si j'adore ça !

Il grimpa sur le sofa et se mit debout, et fit glisser son pied sur la verge de Alastar, remontant ensuite vers sa bouche, en caressant tout du long le ventre et le torse du bout de ses orteils Daëlnia portait de long collant noir, en latex et au motif complexe. Finalement il fit glisser ses doigts de pied sur les lèvres de Alastar, tout en tirant sur la laisse au cou pour qu'il ne se dérobe pas et tira sur la deuxième, pour torturer un peu et doucement la verge de son beau Diable. Daëlnia se lécha les lèvres, admirant son beau diable. Qu'es qu'il est sexy ! Son érection se renforça et perla de sperme, s'écoulant le long de vit, pour tomber goutte à goutte de ses couilles, sur le ventre de Alastar.

Leur baiser fut long, intense, et savoureux. Si Alastar taquinait Daëlnia, c’était naturellement dans le bon sens. L’amour entre Incubes ou entre Succubes était quelque chose d’assez particulier, comme on pouvait s’y attendre. Mais de l’amour, il y en avait. Alastar aimait Daëlnia, et comment aurait-il pu en être autrement ? Beau, joueur, mutin, Daëlnia avait toutes les qualités pour lui plaire ! Il ressemblait beaucoup à Alastar, de sorte que l’amour ethnocentré des démons pouvait tout à fait s’accommoder de cette liaison. Leurs langues fourchues jouèrent sensuellement ensemble, tandis qu’ils se trouvaient au milieu d’une orgie croissante. Cela aussi n’avait rien de surprenant. Deux Incubes qui se chauffaient ensemble, cela faisait exploser leurs phéromones. À ce stade, il aurait fallu être un parfait eunuque pour ne rien ressentir ! Le désir en devenait presque palpable, tandis qu’ils avaient fait longuement durer ce baiser, s’échangeant leurs salives. Alastar avait posé sa main sur l’une des belles petites fesses de Daëlnia, un joli petit cul efféminé qu’il lui tardait de visiter encore… Mais, avant ça, Alastar avait mis Daëlnia au défi, et, quand leur baiser se rompit, la lueur d’amour de Daëlnia qui brûlait dans la prunelle de ses yeux se remplaça par un regard plus acéré, et une mine chagrinée, comme s’il n’appréciait pas qu’on remette ainsi en doute ses performances.

Leurs verges tendues se caressaient mutuellement, et Alastar s’amusait à la frotter sous celle de Daëlnia, puis à la relever pour soulever également celle de son amant. Celui-ci matérialisa alors des chaînes noires, et Alastar soupira en sentant les chaînes s’enrouler autour de ses poignets, le menottant dans le dos. Alastar tomba en arrière, Daëlnia tenant la laissa reliée à son collier. Il s’affala sur le grand sofa, et soupira en sentant une seconde chaîne s’enrouler autour de sa verge, agissant comme une cage de chasteté en serrant à l’emplacement nécessaire pour qu’il puisse jouir.

« Haa… Voilà qui me parle… »

Daëlnia se tenait au-dessus de lui, debout sur le sofa. Il déplaça son pied, gainé de latex, et frotta la verge d’Alastar, avant de remonter jusqu’à sa bouche. Le Diablotin soupira doucement. Impossible pour lui de rougir, vu qu’il avait déjà une belle peau rouge, mais, à n’en pas douter, le plaisir était bien là, au rendez-vous. Alastar lécha les orteils de Daëlnia, et le sentit enfoncer la pointe de son pied dans sa bouche.

« Hrrmm… »

Alastar se tortilla lentement, suçotant son pied, et, quand Daëlnia se retira, il lécha la plante du pied, glissant dessus, enfonçant sa langue dans le latex, la pointe fourchue remontant ensuite pour s’attaquer aux orteils. Le Diablotin soupira, sa verge continuant à se durcir, caressant le second pied de Daëlnia, qui restait encore inactif. Qu’allait faire Daëlnia ? Alastar fantasmait déjà à l’idée qu’il le torture, qu’il lui écrase sa queue avec son pied. Oh, cette douleur exquise… Une ode à Loviatar, la Déesse des Douleurs !

L’amour entre démons… Cela ressemblait à une mauvaise blague, à une facétie de mauvais goût. Pourtant, l’amour était un sentiment commun à tout être intelligent. Alastar avait bien des amantes et des amants, y compris de délicieux amants androgynes. Pour autant, ce qu’il ressentait envers Daëlnia était assez particulier. C’était sa beauté, bien sûr, mais pas uniquement. Devant lui, il se laissait aller, Alastar pouvait exprimer tout ce qu’il avait envie sans crainte de décevoir, ou de froisser. Le Diablotin se devait en temps normal d’être cet incube dominateur et amusant qu’il aimait être, mais, comme toute chose, Alastar avait aussi ses fantasmes inavoués. Il gardait de sa relation avec Onyxian et les puissantes succubes de son clan un goût prononcé pour le masochisme, pour la domination. Onyxian lui avait appris à jouir en fouettant ses bourses, et c’était un fantasme inavouable qu’il avait conservé. Mais, avec Daëlnia, il sentait qu’il pouvait se lâcher. Il avait donc laissé ce dernier prendre les rênes de leur jeu. Daëlnia aimait ça, lui aussi. Il ne venait pas d’un clan aussi puissant que celui des Magoa. Onyxian était après tout une Princesse Infernale, elle était donc théoriquement une concurrente directe du Prince Asmodée. Le plaisir de pouvoir dominer un Magoa était vivace chez Daëlnia, et c’était aussi un signe de leur forte complicité.

Alastar frémit lentement quand Daëlnia se déplaça. Il lui ôta sa cage de chasteté, et coucha Alastar sur le lit, avant de se déplacer. Le svelte incube déplaça ses jambes recouvertes de ses collants en latex, et Alastar soupira quand il sentit ses deux pieds caresser sa verge. Les collants recouvraient chacun de ses mollets séparément, ce qui permettait à l’incube de coincer le bout du sexe du Diablotin entre le gros mollet et l’autre. Il frotta ensuite la verge avec ses deux jambes, puis appuya avec le talon de ses pieds, comprimant la queue d’Alastar entre ses pieds, appuyant et relâchant la pression.

« Oh… Daëlnia, hmmm… »

Croire qu’Alastar allait rester passif, c’était mal le connaître. Il posa ses mains sur les fesses de son amant, et enfonça sa langue reptilienne dans son fondement. Sa queue caudale se déplaça également, et la pointe se transforma. Elle passa d’une pointe fourchue à une bouche ouverte, qui se rapprocha de la verge de Daëlnia. De petites langues rougeâtres jaillirent de cette pointe tentaculaire, et s’enroulèrent autour du vit de l’incube à la peau violâtre. Il comprima ainsi son sexe, et commença à pomper son dard, tout en sentant sa trique durcie s’élancer fièrement… À ce stade, sa verge allait finir par jouir, et expulser d’épaisses quantités de foutre sur le corps de Daëlnia…

Assis ainsi sur Alastar, Daëlnia triomphait. Et Alastar savourait. Il avait rendu à Daëlnia son plaisir, sa queue caudale pompant la sienne, tandis qu’il sentait avec délice les pieds de son amant marteler son sexe, lui insufflant d’exquises douleurs. Alastar n’avait jamais dissimulé son masochisme, sa passion pour la douleur. C’était un dominateur, bien sûr, et il avait suffisamment de conquêtes pour le prouver, mais, au fond, il restait le frère et le fils d’Onyxian Magoa, un incube qui avait grandi entouré de succubes puissantes qui s’amusaient à le torturer sexuellement. Tout cela avait façonné Alastar, et avait fait de lui l’incube qu’il était aujourd’hui. Il soupirait doucement contre Daëlnia, sans se douter que les amants de Daëlnia les observaient, ou s’en moquant. Il ne pensait qu’à son amant, et frémit quand la cravache de ce dernier fouetta sa verge, régulièrement, de droite à gauche. Les solides coups de la cravache l’amenaient à crisper ses doigts sur les fesses de Daëlnia, à griffer sa douce peau.

« Hmmm… »

Il en était désormais convaincu : il aimait Daëlnia. Qui sait ce qui avait pu le frapper pour que cette révélation finisse par s’imposer à lui, mais il en était maintenant sûr ! Sa queue caudale pompait la queue de son amant, qui haletait et soupirait sur place. Dans sa queue, des tentacules s’enroulaient autour de la verge de Daëlnia, le masturbant longuement, le plaçant dans un état d’extase. Pour autant, son incube se concentrait, continuant à masturber Alastar avec ses pieds, et cravacha également ses testicules. Le Diablotin frémissait sur place, et la vague croissait en lui, tout comme elle montait en Daëlnia. Alastar finit ainsi par jouir, sa queue tendue crachant des filaments de sperme quand la cravache frappa encore, et que Daëlnia pressa la verge avec ses deux talons.

Dans un râle, Alastar sentit aussi Daëlnia jouir dans sa queue, son sperme remontant dans sa queue pour finir en lui. Il jouit à son tour, et recracha également par sa verge le sperme de Daëlnia. Il y eut donc de belles giclées de foutre, éclaboussant le torse de Daëlnia, ainsi que son visage. Le sperme fusait vigoureusement, un magnifique foutre d’incube, un sperme aux propriétés magiques certaines ! Le foutre d’un incube était très aphrodisiaque, on l’utilisait pour de puissants élixirs qui vous permettaient d’avoir une endurance sexuelle exceptionnelle. Les filaments de sperme décorèrent donc le torse de Daëlnia pendant plus d’une bonne minute.

« Hmmm… ! »

À chaque fois que Daëlnia pensait en avoir fini, il pressait encore la queue du Diablotin, et avait droit à des filaments supplémentaires. Quand le flux se tarit, Alastar soupira lentement, et caressa les hanches de Daëlnia, puis laissa l’incube s’asseoir contre lui, tandis que deux personnes se rapprochaient.

« Tu es recouvert de ma semence, mais aussi de la tienne… »

Alastar l’embrassa ensuite dans le creux du cou, tandis que Daëlnia était assis contre lui, leurs verges proches l’une de l’autre.

« C’est moi qui ai tenu à ce que tu sois invité à cette soirée, mon mignon… C’est aussi moi qui ai fait venir tes connaissances. Je leur ai tous fait l’amour, pour voir un peu qui ils étaient… »

Les deux hommes qui se rapprochèrent devant Daëlnia étaient deux des membres de sa secte : le jeune Eiko, ainsi que Emi, qui observaient avec fascination cette semence sur son corps.

« Eiko, je l’ai baisé au lycée… Emi, j’ai fait en sorte qu’il m’invoque. Je tenais à ce que tous ceux qui te soient proches soient là ce soir, Daëlnia… Je ne serai pas venu à cette soirée si tu n’avais pas accepté de venir. »

S’il fallait le nettoyer, Eiko et Emi semblaient tout à fait disposés à le faire, leurs verges à l’air libre bien dressés…

Eiko et Emi avaient su tenir leur langue, comme les autres mignons de Daëlnia. Il était fréquent qu’Alastar vienne les voir, de sorte que tous savaient, au fond, qu’ils étaient spéciaux l’un aux yeux de l’autre. Et, comme à chaque fois dans ce type de situation, les principaux concernés étaient les derniers à le savoir. Alastar était donc venu les voir, l’un après l’autre, soit pour les baiser, soit pour se faire baiser, selon les envies de chacun. Il avait invité chaque membre de la secte. Alastar avait lui aussi pris conscience que ce qu’il ressentait pour Daëlnia était spécial, et ne se limitait pas qu’à un simple rapport charnel.

Ils nettoyèrent donc les deux amants, puis Daëlnia finit par avouer son amour à Alastar. Une scène assurément attendrissante, où Alastar se surprit à sourire. Impossible pour lui de rougir, vu qu’il était déjà rouge, mais on pouvait voir que son regard était… Spécial. Toujours malicieux, Alastar semblait ici assez touché, sensiblement heurté. Il papillonna des yeux, sentant ceux-ci s’embuer, et sourit ensuite à son amant, un sourire franc et sincère.

« Deux incubes qui s’aiment… Il faut être fou pour concevoir telle histoire… »

Les humains disaient bien que l’amour avait ses raisons que la raison ignore. Les démons pouvaient de fait tomber amoureux. La chose était loin d’être fréquente, car l’amour supposait un dévoiement envers l’autre dont les démons étaient fort peu capables… Mais c’était pourtant bien cela qui les unissait. Eiko et Emi avaient été rejoints par les autres membres de la secte de Daëlnia, qui les regardaient tous. Ils furent en tout cas surpris de voir Daëlnia avouer si spontanément son amour pour Alastar.

Celui-ci caressa doucement sa joue, et effleura avec son pouce les lèvres de son amant, puis l’embrassa en retour. Il le retourna également, ce qui fit que Daëlnia se retrouva sous lui, enlacé dans les bras du Diablotin. Leurs verges se caressaient chaudement.

« Je t’aime, Daëlnia… J’ai organisé tout ça pour te le dire, tu sais… J’ai demandé à tes proches de ne rien dire de mon plan, parce que je voulais te faire la surprise. Nos deux mondes coexistent, maintenant… »

L’idée qu’un Magoa puisse s’acoquiner avec un incube considéré comme étant de bas étage pouvait faire sourire. Les démons avaient beau s’opposer aux humains, il existait aussi chez eux une certaine forme d’aristocratie.

« Je n’aurai cru dire un jour ces mots, tant le concept m’amuse, et tant j’aime coucher avec des femmes mariées, mais… Je veux t’épouser, Daëlnia, partager ma vie avec la tienne. Voilà pourquoi j’ai invité tes amants… Et pourquoi je t’inviterai à aller voir mes concubines… Mon chéri. »

Suite à cette déclaration d’amour assez atypique, Alastar l’embrassa avec passion, scellant leurs promesses.