Recherche maison pour fonder famille monstrueuse [avec Shaïra]
Posté : 22 sept. 2024 13:05
Bien entendu qu’il s’était rendu à l’adresse. Celle contenue dans l’enveloppe qu’il avait retrouvée sous son oreiller d’hôpital. Camille ne pouvait plus concevoir sa vie sans Shaïra. Il était complètement fasciné par cette femme. Non, cette femelle. Ce monstre d’amour.
Il se trouvait donc devant la porte de ce manoir. Il ne connaissait pas la propriétaire. Une certaine Mélinda Warren avait-il cru voir avant. Et là, tout seul devant cette porte imposante d’un bâtiment encore plus imposant : il devenait nerveux.
*Mais où es-tu Shaïra ?... *
Il avait récupéré et lavé les vêtements de leur rencontre. Les gants opera noirs et les collants. Tout seul chez lui, il avait eu une érection rien qu’en les enfilant. Il s’était regardé dans une glace. Habillé comme au « premier jour ». Sa main était venue se poser dessus. Il avait commencé à se caresser. La porte de la buanderie n’était même pas fermée. Ces parents pouvaient le surprendre à tout moment !
Il s’était affiché de profil. Si ce n’était cette verge tendue, il avait vraiment une physionomie de femme. Mais ça ne le gênait pas. C’était cette apparence qui avait plu à Shaïra. Elle avait aimé autant la femme en lui que l’homme qu’il était. Elle lui avait dit que sa petite taille et son apparente faiblesse était ce qui la faisait craquer. Ce qui la poussait à devenir une meilleure version d’elle-même.
Puis il avait fini par s’habiller. Il ne voulait surtout pas arriver en retard. Il avait d’abord enfilé un haut noir et moulant. Il ne voulait plus dissimuler les formes de son corps. Ce haut était raccordé à une sorte de jupe noir. Le tout était un vêtement une pièce. Il choisit de prendre des chaussures tout aussi noir mais qui avait un léger talon. L’idée de marcher avec de vrais chaussures à talons de femme le tentait. Mais pas pour rejoindre Shaïra à cette adresse inconnue.
*Est-ce que j’y vais sans sous-vêtement ou pas ? *
Il fouilla dans ses caleçons et ne trouva rien qui lui convint. Il eut alors une terrible idée… Mais avant ça, il tira la chaise pour s’asseoir derrière son bureau. Il fallait qu’il écrive une lettre d’adieu pour ces parents. Il essaya de faire concis et d’expliquer ses raisons. Mais surtout de ne pas chercher à le retrouver. Surtout pas à appeler les forces de l’ordre. Il était en âge de prendre ses décisions. Il venait d’avoir 18 ans après tout. Même s’il en paraissait moins. Il était un adulte et avait le droit de faire ce qui lui chantait de sa propre vie.
Puis il entra dans la chambre de ses parents. Il se tint une longue minute devant le tiroir du meuble. Ce qu’il voulait faire était terriblement tabou… ce n’était pas bien…. Pourtant, pourtant ses joues étaient rouges, son corps était chaud et son sexe se raidissait. Encore, car il s’était déjà soulagé une première fois après avoir enfilé les gants et les collants. Finalement, il tira le tiroir et vola une culotte de sa mère.
Maintenant, il l’attendait. Sa femelle. Celle qui portait son enfant. Sa Maîtresse. Tant de noms et de rôles pour celle qui l’avait autant corrompu qu’ouvert la porte pour s’accepter pleinement et totalement.
Il se trouvait donc devant la porte de ce manoir. Il ne connaissait pas la propriétaire. Une certaine Mélinda Warren avait-il cru voir avant. Et là, tout seul devant cette porte imposante d’un bâtiment encore plus imposant : il devenait nerveux.
*Mais où es-tu Shaïra ?... *
Il avait récupéré et lavé les vêtements de leur rencontre. Les gants opera noirs et les collants. Tout seul chez lui, il avait eu une érection rien qu’en les enfilant. Il s’était regardé dans une glace. Habillé comme au « premier jour ». Sa main était venue se poser dessus. Il avait commencé à se caresser. La porte de la buanderie n’était même pas fermée. Ces parents pouvaient le surprendre à tout moment !
Il s’était affiché de profil. Si ce n’était cette verge tendue, il avait vraiment une physionomie de femme. Mais ça ne le gênait pas. C’était cette apparence qui avait plu à Shaïra. Elle avait aimé autant la femme en lui que l’homme qu’il était. Elle lui avait dit que sa petite taille et son apparente faiblesse était ce qui la faisait craquer. Ce qui la poussait à devenir une meilleure version d’elle-même.
Puis il avait fini par s’habiller. Il ne voulait surtout pas arriver en retard. Il avait d’abord enfilé un haut noir et moulant. Il ne voulait plus dissimuler les formes de son corps. Ce haut était raccordé à une sorte de jupe noir. Le tout était un vêtement une pièce. Il choisit de prendre des chaussures tout aussi noir mais qui avait un léger talon. L’idée de marcher avec de vrais chaussures à talons de femme le tentait. Mais pas pour rejoindre Shaïra à cette adresse inconnue.
*Est-ce que j’y vais sans sous-vêtement ou pas ? *
Il fouilla dans ses caleçons et ne trouva rien qui lui convint. Il eut alors une terrible idée… Mais avant ça, il tira la chaise pour s’asseoir derrière son bureau. Il fallait qu’il écrive une lettre d’adieu pour ces parents. Il essaya de faire concis et d’expliquer ses raisons. Mais surtout de ne pas chercher à le retrouver. Surtout pas à appeler les forces de l’ordre. Il était en âge de prendre ses décisions. Il venait d’avoir 18 ans après tout. Même s’il en paraissait moins. Il était un adulte et avait le droit de faire ce qui lui chantait de sa propre vie.
Puis il entra dans la chambre de ses parents. Il se tint une longue minute devant le tiroir du meuble. Ce qu’il voulait faire était terriblement tabou… ce n’était pas bien…. Pourtant, pourtant ses joues étaient rouges, son corps était chaud et son sexe se raidissait. Encore, car il s’était déjà soulagé une première fois après avoir enfilé les gants et les collants. Finalement, il tira le tiroir et vola une culotte de sa mère.
Maintenant, il l’attendait. Sa femelle. Celle qui portait son enfant. Sa Maîtresse. Tant de noms et de rôles pour celle qui l’avait autant corrompu qu’ouvert la porte pour s’accepter pleinement et totalement.