The Multiversity

Travailler pour Miranda Forge, être dans son cercle intime, c’était renoncer à toute séparation entre vie privée et vie professionnelle. Sio on avait une femme, il fallait s’attendre à ce que Miranda veuille coucher avec elle et son employée en même temps. C’était une chose qu’Isabelle avait bien compris. Esclave de Miranda, elle était destinée à devenir l’assistante personnelle de sa fille, Kara Forge. Miranda avait élevé Isabelle par ses propres moyens, et elle faisait partie de son cercle d’intimes, au même titre que Hannah LaBelle, sa fidèle majordome. Ce soir, Miranda avait longuement travaillé.

Récemment, celle-ci avait renoué des liens avec l’une de ses filles illégitimes, la célèbre et puissante Poison. L’actrice pornographique la plus célèbre et la plus riche de Uatis City avait participé à une épreuve de longue haleine, qui avait nécessité, pour elle, de réaliser des défis sexuels très intenses, jusqu’à pouvoir apprendre qui était sa mère biologique. Une révélation qui avait profondément ravi Poison, et avait évidemment amené les deux femmes à se faire copieusement l’amour. Tout en conservant son indépendance financière, Poison avait conclu avec Miranda un partenariat intense. Elle s’était rapprochée des GeoMistresses, mais animait surtout une émission spéciale de téléréalité, le GeoShow. Un show spécial, où Poison allait pouvoir se balader dans les locaux de la GeoTower.

Miranda comptait confier une nouvelle mission à Isabelle en ce sens : accompagner Poison, la guider… Mais, pour l’heure, Miranda avait passé plusieurs heures à travailler, et sentait ses hormones revenir en elle. Elle dormait peu, et compensait ce manque de sommeil par une pratique sexuelle excessive, se ressourçant dans les bras de ses partenaires. Miranda finit par sortir de son bureau. Hannah, qui l’accompagnait, connaissait particulièrement bien sa Maîtresse. Miranda l’embrassa longuement, et glissa sa main contre les fesses d’Hannah, sentant rapidement la forme bosselée et appétissante de son plug anal.

« Han, Maîtresse…
-  Est-ce qu’Isabelle s’est bien reposée ?
-  Elle dort depuis environ deux heures… »

Miranda acquiesça, estimant cette science entièrement suffisante. Isabelle avait appris à aimer le sexe rapide. Miranda l’avait violé ainsi, en lui faisant l’amour sans son consentement, et toujours dans des endroits improbables. Elle la baisait dehors, dans la rue, elle la prenait contre un mur, elle s’enfonçait en elle en plein milieu d’une conversation… Miranda se déplaça donc, et rejoignit la chambre d’Isabelle. Son bureau menait à un grand couloir central, avec plusieurs encoches où on entreposait périodiquement différents esclaves issus de GeoSlave, que ce soit des hommes avec des cagoules en latex ou des femmes. Ils étaient perpétuellement excités pendant des heures, avec de superbes érections, illustrant la démesure de Miranda.

Elle rejoignit donc la chambre. Isabelle était couchée sur un lit, dormant paisiblement. Chaque chambre avait une tonalité particulière, et celle-ci était une chambre « mignonne », avec des murs roses. Souriant doucement, Miranda retira la couverture d’Isabelle. Celle-ci dormait paisiblement, dans sa tenue de travail. Miranda laissa pointer sa verge, et se déplaça doucement, grimpant sur le lit. Sa main caressa le visage d’Isabelle, glissant doucement sur sa joue. Une peau si douce, si agréable…

« Oh, ma belle Isabelle… »

Isabelle n’avait pas de culotte. Miranda se déplaça encore…

…Et la pénétra brusquement, enfonçant sa verge dans sa chatte.

Isabelle avait bien travaillé, comme tous les jours d'ailleurs ! Sa maîtresse lui avait appris à bien faire son travail et la brave petite chienne aimait faire plaisir à sa maîtresse, c'était le but de sa vie, toujours la rendre heureuse. Alors aujourd'hui, elle n'avait pas manqué à sa tâche, quand elle travaillait, Isabelle se trouvait juste dans le bureau à côté du sien. Fidèle à sa race de chienne, elle aimait beaucoup être avec sa maîtresse, à ses côtés, mais elle avait appris à ne pas coller toujours sa maîtresse. Disons qu'être dans la pièce à côté de la sienne, ça allait, elle sentait son odeur proche de la sienne, ça la rassurait et elle ne paniquait pas. Mais dés que sa maîtresse était en déplacement ou qu'elle-même était ailleurs, elle s'inquiétait vite pour elle. Malgré que Miranda la rassurait à chaque fois qu'elle n'était pas loin ou que rien ne pouvait lui arrivé, elle se faisait toujours une joie de revoir sa maîtresse. Même cinq minutes loin d'elle, c'était une grande absence pour elle. Ce n'est pas pour rien que, tel un bébé, Isabelle avait pris l'habitude de dormir avec un objet appartenant à sa maîtresse pour dormir paisiblement sans forcément être avec elle. Cela pouvait être un vêtement, souvent un dessous ou parfois un objet, ça lui arrivait de piocher dans sa table de nuit pour dormir avec un gode ou autres.

Laissant Miranda travailler, Hannah s'était charger d'occuper un peu la petite chienne de la famille Forge, allant jusqu'à satisfaire une de ses envies. La jolie majordome s'était amusé à la doigté dans son lit jusqu'à l'orgasme alors qu'elle reniflait un des strings de sa maîtresse. Mais s'il y a une chose que Miranda n'avait jamais réussi à « corriger » chez sa petite chienne chérie, c'était le fait qu'elle contrôlait mal sa vessie. Non pas qu'elle était incontinente, mais quand elle était excitée, elle avait du mal à se retenir et l'orgasme s'accompagnait souvent d'un jet doré. Cela dit, elle aimait beaucoup ça, l'urine. Ça lui arrivait de se cacher dans un coin de la maison ou du travail pour passer derrière une personne – sa maîtresse le plus souvent – pour en renifler son odeur aux toilettes. Même si la chasse était tiré, l'odeur restait encore un peu. Puis avec Miranda qui aimait faire plaisir à sa petite chienne, c'était arrivée plus d'une fois de recevoir une golden shower pour la félicité. C'est pour cette raison que Miranda avait retrouvé sa chienne sans culotte, en jouant avec Hannah, elle l'avait souillé. Pour sa jupe, aucun risque, elle était en cuir donc l'urine ne s'infiltrait pas puis en jouant, elle avait relevé sa jupe.

Pendant qu'elle rêvait de câlin et de caresses et sa maîtresse, Isabelle fut brusqué tiré de son sommeil, Miranda voulant absolument prendre soin de sa petite chienne. Bien qu'assoupi, le sourire se dessinait vite sur ses lèvres, sa queue ne tardant pas à s'animer aussi dans son dos.

« Haaaan, Maîtresse... mmmhhh Isabelle à été sage, Maîtresse, waaaaan.... »

Dit-elle doucement, le string noir de Miranda posé près de sa tête, tel un doudou accompagnant la petite chienne dans son sommeil. Les cuisses écartées, elle laissait sa maîtresse et sa grosse virilité venir la tirer de son sommeil alors qu'elle gémissait doucement, toujours si ravie de recevoir tant d'affections de la part de sa maîtresse. Isabelle était toujours impatiente de rencontrer un jour sa vraie maîtresse et elle ignorait comment se passera la séparation, mais si c'était le souhait de sa maîtresse, alors elle le fera. Elle voulait rendre sa maîtresse heureuse après tout. Sentant la chaleur monter dans son corps, la petite chienne tirait doucement sa langue, en tendant ses bras vers Miranda pour se tenir à elle. Elle voulait tant jouer avec elle. Des câlins, des baisers, des pénétrations, bref, tant qu'elle était avec sa maîtresse, elle se contentait du plus soft au plus hard, c'est ça aussi l'esprit de fidélité d'une chienne pareille. Sauf que... bon, elle savait que Miranda ne dira rien, mais en deux heures de dodo, sa vessie avait eu le temps de travailler, sa maîtresse l'excitait beaucoup en la baisant... il n'était pas impossible et c'était même sûre à vraie dire, que son orgasme risque de tâcher quelque peu sa maîtresse...

« Haaaan ! Isabelle est heureuuuuuuuse, waaaan ! »

Très heureuse, comme toujours quand la belle blonde lui accordait quelques minutes de son précieux temps. La petite chienne était toujours heureuse après tout, sauf si elle faisait une bêtise, mais sinon, toujours, toujours souriante et heureuse !

C’était sa petite chienne, une hybride que Miranda avait formé depuis de nombreuses années. Isabelle était totalement soumise à la famille Forge, avec pour objectif d’être offerte à Kara, le jour où Kara découvrirait son existence, et sa filiation. Pour l’heure, Kara, sa fille légitime, gravitait au sommet de GeoWeapon Corp., tandis que Miranda disséminait quelques indices destinés à lui permettre de trouver sa filiation. Mais, pour l’heure, Isabelle était sienne, avec tous ses petits fantasmes, sa passion pour les culottes, mais aussi… Pour l’urine ! Miranda avait dû lutter contre une incontinence natale, chez Isabelle, qui avait duré de nombreuses années. Isabelle avait été éduquée pour corriger cela, mais n’avait jamais pu totalement soigner son incontinence, qui s’exprimait de manière sexuelle. Sa vessie se gonflait très vite. Chaque fois qu’elle prenait un bain, elle avait envie d’uriner, ce qui avait dû amener Miranda à inventer des dispositifs spéciaux, en lui faisant prendre un bain avec une culotte spéciale en latex pour absorber l’urine, et pouvoir ainsi la nettoyer. Sa petite chienne était ainsi.

Souriant lentement, Miranda la pénétra donc, et entendit Isabelle gémir doucement. Elle dormait toute habillée, signe que c’était une « sieste ». Avec Miranda, on apprenait à hachurer son cycle de sommeil. Si Isabelle pouvait parfois vraiment avoir une bonne nuit, souvent, il s’agissait de siestes, où elle dormait habillée. Miranda utilisait Isabelle comme une esclave classique. Elle se soulageait en elle, elle urinait dans sa bouche, et elle la torturait sexuellement. Miranda étant déjà très hautaine avec de simples humains, elle n’allait clairement pas se retenir pour une chienne, quand bien même Isabelle était d’une grande beauté.

Gémissant dans son sommeil, Isabelle émergeait peu à peu. Miranda alla l’embrasser sensuellement, frottant son corps contre le sien, sentant Isabelle gémir encore, se tortiller sur place.

« Han, ma chérie, hmmm… »

Elle l’embrassa alors, et vit les yeux d’Isabelle s’ouvrir rapidement. De fait, Isabelle avait pris l’habitude de ce genre de réveils, car elle était souvent réveillée par du sexe que par autre chose. Véritable nymphomane, elle avait été éduquée ainsi, et, sur ce point, avec toute la perversité de Miranda, sa fortune, et sa technologie, tout était possible ! Elle sentit les parois vaginales d’Isabelle s’écarter lentement, son esclave accueillant sa puissante verge avec plaisir.

« Ah, j’aime toujours autant te baiser… Mon petit parking à bite… »

Parfois, la puissante femme d’affaires pouvait se montrer très crue, surtout quand elle faisait l’amour. Les parois internes d’Isabelle s’humidifiaient fortement, et elle l’embrassa à nouveau, s’unissant à elle, sentant l’agréable corps ferme et ample de la chienne se presser contre le sien.

« Là, là, oui, tu es si bonne, hmmm… »

Un réveil de ce type, c’était fabuleux, non ?

Pour Isabelle, peu importe ce qui se passait du moment que sa maîtresse était de bonne humeur et qu'elle n'était pas loin. La savoir heureuse, c'était la rendre heureuse alors quand c'était elle qui la rendait heureuse... autant dire la joie de la petite chienne atteignait bien des sommets ! Miranda pouvait venir à l'improviste pour la baiser, se servir d'elle comme de toilette ou lui faire faire une petite balade, elle était toujours heureuse de pouvoir la rendre heureuse – et accessoirement elle aussi. Si sa maîtresse était venue la baiser directement sans passer par la case réveil, c'était qu'elle avait beaucoup envie de jouer avec elle et c'était toujours une chose qui la rendait heureuse. De la sentir elle et sa puissance queue la pénétrer pour bien arrivée au fond et la fait couiner le plus possible. Isabelle n'était pas avare en couinement, c'est même le contraire, la discrétion n'était pas son point fort, mais Miranda se fichait de cela. Elle aimait sa petite chienne, c'est tout ce qui comptait pour elle.

« Hyyyyaaaaaaaan, ouiiiii, Isabelle est... han, Isabelle est une gentille parking à biiiiiite, hhaaaan ! »

Même si elle s'embrouillait parfois sur des basiques de la grammaire, ce n'était pas grave, ça ajoutait un point de plus à son charme et puis malgré son job de secrétaire – qu'elle réussissait plutôt bien – ce n'était clairement pas pour ça qu'elle avait été avant tout embauchée. Du coup, elle continuait de couiner de plaisir, remuant de plaisir sous ses coups de reins de sa maîtresse qui continuait de la prendre avec plaisir, enlaçant sa maîtresse avec ses pattes pour venir l'embrasser, même si avec elle, un baiser était plus une série de coups de langue qu'un véritable baiser entre deux bouches bien fermées. Elle n'avait rien contre un vrai baiser, mais si elle commençait, elle partait plus dans cette direction où sa langue nettoyait le visage de sa maîtresse plutôt que quelque chose de doux. Mais ce trop-plein de joie s'accompagnai d'un autre genre de trop-plein qu'Isabelle n'avait pas eut le temps de gérer étant donné que Miranda était venue à elle directement sans lui donner son avis.

« Huuuuuuuu-haaaaaaaaaaaaaaaaoooouuuuuuuuuu... »

La petite chienne ferma les yeux en se cambrant en arrière, sentant sa vessie lâcher naturellement la pression, venant une fois de plus mouiller son lit en même temps qu'elle urinait sur Miranda par la même occasion. Cela n'avait rien de surprenant depuis le temps, c'était même presque une habitude de la petite chienne. Pas seulement avec Miranda, mais avec n'importe qui. À moins de faire une vraie pause pour savoir où en était sa vessie toutes les dix minutes, Isabelle relâchait naturellement la pression. Le jet doré et chaud coulait sur le lit, mais aussi sur ses cuisses et sur sa maîtresse, ouvrant les yeux qu'une fois soulagée. Le regard si léger, elle n'oubliait pas de demander pardon à sa maîtresse.

« P-pardon, Maîtresse... Huuum... Isabelle à fait pipi... »

Évidemment, une habitude et Miranda étaient aux premières loges pour l'avoir sentie, mais une bonne chienne se devait d'être sage et demander pardon en cas de bêtise, elle le savait. Il ne restait plus qu'à savoir si cela avait excitée Miranda pour passer l'éponge sur cette habitude, ou bien si elle va être punie d'une façon ou d'une autre par sa maîtresse pour s'excuser de ce petit tracas ?

Miranda aimait toujours autant sa petite chienne. Honnêtement, son statut de secrétaire importait assez peu, car, si Miranda lui donnait des fonctions, sa principale fonction était avant tout d’être sa chienne. Une délicieuse esclave sexuelle qui avait des problèmes d’incontinence ! Miranda la pénétrait donc, et sourit en voyant les beaux yeux d’Isabelle se réveiller. Elle se crispa sur place, et les minutes passèrent vite. Miranda aimait tant coucher avec sa chienne ! Oh, Kara adorerait l’avoir, même si, avec ses problèmes d’incontinence, la PDG se demandait si elle n’allait pas la garder pour elle… Sa belle petite chienne !

« Oh, Isabelle… »

Un orgasme foudroyant la traversa après plusieurs minutes, et Isabelle jouit aussi… Un orgasme très humide, puisque, à sa mouille, se mélangea des jets d’urine. Comme toujours, Isabelle urinait au moment de l’orgasme, et Miranda sentit le jet chaud, collant, légèrement acide, sur sa queue, ainsi que sur ses cuisses. Elle soupira alors, reprenant ses esprits, et appuya son corps contre celui d’Isabelle. Rougissant timidement, Isabelle lui présenta ses excuses.

Sa Maîtresse sourit doucement, et posa un doigt sur les lèvres d’Isabelle.

« Tu n’arrives toujours pas à te contrôler, hein ? Comment pourrais-je vendre une petite esclave qui passe son temps à se faire dessus ? C’est à croire que tu fais ça pour je te punisse à chaque fois… »

Miranda avait pris goût au fait de la sodomiser avec une culotte étanche, absorbant son urine. Quand elles n’étaient pas dans le lit, c’est ce qu’elles faisaient, car Miranda ne pouvait pas la nettoyer à chaque fois. Mais là, dans le lit, la situation était bien plus calme. Miranda pouvait prendre le temps d’éduquer Isabelle, ce qui passait généralement par une punition bien sentie. Rien de bien méchant en soi, car Isabelle était habituée, et Miranda se demandait même si, inconsciemment, elle ne le souhaitait pas. Fort heureusement, Miranda avait toujours un certain penchant pour l’ondinisme, alors, somme toute, elle était peut-être, elle aussi, responsable de l’évolution de la jeune femme.

Soupirant encore, la PDG se redressa donc. Isabelle nettoyait toujours son lit après avoir pissé dedans, mais il fallait déjà s’occuper de la verge de Miranda et de ses cuisses.

« Je vais encore devoir te punir, ma belle Isabelle… »

Elle dit cela presque avec regret, même si c’était en vérité tout l’inverse. Isabelle connaissait suffisamment sa Maîtresse pour savoir que les « punitions » étaient toujours agréables. La femme blonde se redressa doucement, et se mit debout sur le lit.

« Allez, petite chienne insolente ! Viens me nettoyer, et utilise ta langue, comme tu en as l’habitude ! »

Le ton était plus ferme, plus autoritaire… « Miranda-la-Maîtresse », comme on pouvait parfois l’appeler, revenait à la charge… Ce qui devait être très excitant pour la belle Isabelle !

Pour Isabelle, c'était incontrôlable. Autant dans sa jeunesse, elle n'avait jamais eu de réel soucis avec ça, une ou deux fois, elle avoir ce genre de souci, mais pas plus que n'importe quelle petite fille. C'est vraiment en découvrant le sexe et l'orgasme qu'elle a remarqué ce souci, ne sachant pas retenir sa vessie quand l'envie de jouir se montrait. Car sinon en journée, elle allait aux toilettes comme tout le monde et n'était en rien incontinente, il n'y a que dans ce genre de situation que cela se produit. Miranda, sa maîtresse avait forcément l'habitude, depuis le temps, c'était devenue une vraie habitude de la part de la petite chienne, le sexe rimait avec urine pour elle, avec ou sans protection, pour éviter la fuite, il fallait vraiment qu'Isabelle aille d'abord aux toilettes avant de partir jouer, comme une enfant. Alors oui, une fois de plus, elle se sentait si légère grâce à son orgasme qui a aussi vidé sa vessie contre sa maîtresse, mais la gentille petite chienne demanda pardon, car c'est ainsi que les chiennes bien dressées agissent, c'est ce que Maîtresse lui avait appris !

« Huuuuuu, pardon Maîtresse, ne vendez pas Isabelle... »

Même si c'étaient de fausses menaces, Isabelle était très crédule et la moindre réprimande était un véritable drame pour elle. Mais Miranda savait y faire avec elle et se redressa en lui demandant d'être nettoyé, comme très souvent. Ça arrivait parfois que sous l’excitation Miranda se fiche d'être sale ou bien presser par son emploi du temps, elle se rinçait rapidement, mais la plupart du temps, c'était à elle de la nettoyer. Isabelle se redressa pour se mettre à genoux, les mains posées sur son lit, ce qui, indirectement venait mettre sa poitrine plus en valeur, compresser entre ses bras. Sa queue remuait doucement dans son dos alors qu'elle levait les yeux entre Miranda et sa queue juste sur son nez. Elle avait mis sa tête juste en dessous, que sa queue encore un peu dur se pose sur son visage, entre ses yeux. Ce qui faisait qu'Isabelle louchait un peu dessus.

« Oui, Maîtresse ! Isabelle va nettoyer Maîtresse ! »

Reprenant son sérieux, elle venait prendre la queue en bouche, sans s'aider de ses mains, sa langue venait d'abord nettoyer sa verge, en long comme en large, sa queue était bien nettoyer par la petite chienne qui agissait toujours avec assiduité, car Miranda sa maîtresse aimait bien quand c'était bien fait ! Mais avant de continuer à s'amuser avec sa queue, sa maîtresse n'étant pas encore entièrement nettoyée, elle continua de faire passer sa langue sur ses cuisses partout où son urine avait pu la salir. Elle aimait bien faire ça, Isabelle ne le disait pas – même si sa maîtresse le savait, car elle était forte, elle savait tout tout tout, même ce qu'Isabelle cachait des fois – mais la chienne aimait sentir l'urine des autres gens. Par forcément le boire, ça, elle aimait bien le faire quand Maîtresse le lui demandait, mais sinon elle pouvait s'en passer. Mais sentir le pipi des autres personnes qui travaillait avec Isabelle, ça, elle aimait bien. C'est pour ça qu'elle avait tendance à suivre les autres personnes au bureau quand ils se levaient pour aller aux toilettes. Certes, elle en profitait pour se soulager, mais avant ça, elle aimait sentir leur odeur. Ça, et aussi quand maîtresse se soulageait sur elle. Elle préférait même ça, sur elle plutôt que le boire, mais elle ne contredisait pas Maîtresse.

Soigneuse dans son travail, sa queue ne cessait de doucement se balancer dans son dos, mais après tout, elle nettoyait sa maîtresse alors Isabelle était heureuse, forcément ! La chienne faisait bien son travail, veillant à ce que sa maîtresse soit propre, de son nombril à ses pieds, car son urine avait pu aller jusque-là, pas plus haut. Quand elle termina, même si elle se trouvait devant la belle queue tendue de Maîtresse, elle ne lui avait pas encore donné l'ordre de jouer avec. Elle était encore « punie » après tout. Donc ne pas aller trop vite.

« Isabelle à fini, Maîtresse ! Maîtresse a fini de travailler ? »

Elle ignorait si sa visite n'était qu'une pause après tout ou si sa journée de travail était bien finie et donc, qu'Isabelle pouvait espérer passer plus de temps avec sa maîtresse. Tant qu'elle était avec elle, c'est tout ce qui comptait pour elle.

Miranda sourit doucement devant Isabelle, sa Isabelle. Il n’avait jamais été possible de la soigner de son addiction, de son incontinence, car ce n’était pas quelque chose de physique. Cela se passait dans sa tête, et, chez n’importe quelle autre Maîtresse, ça aurait pu sonner la fin d’Isabelle ! Mais Miranda, elle, avait trouvé ça… Assez craquant, et suffisamment pervers pour en profiter, utilisant volontiers Isabelle comme son urinoir personnel, en plus de son sac à foutre. Alors, peut-être bien que, finalement, elle était aussi responsable de cette paraphilie chez sa petite chienne ? Se hissant à quatre pattes, Isabelle se rapprocha, et la PDG frissonna doucement. Elle voyait les lourds seins d’Isabelle remuer de gauche à droite, et elle la lécha ensuite, aventurant sa langue sur ses cuisses, faisant le tour de son sexe.

Miranda n’était pas dupe, et sourit lentement, observant la jeune femme en frémissant sur place.

« Tu renifles ma queue, ou ton urine ? Tu crois que je ne sais pas comment tu fonctionnes, ma chère Isabelle ? »

La PDG ne se formalisait pas toutefois de cela, et caressa d’une main les cheveux d’Isabelle. Sa queue caudale remuait de gauche à droite, et elle lécha ensuite son membre, la nettoyant précautionneusement, méticuleusement. Miranda frémit une nouvelle fois, et attendit encore, jusqu’à ce qu’Isabelle termine par un ultime coup de langue, et fasse la belle devant elle. Elle avait préparé sa queue, et put constater que l’érection de Miranda n’avait pas diminué. Esquissant un soupir, Miranda caressa encore son visage, et posa sa main sur sa queue.

Souriant encore, elle approcha sa verge de son visage, et commença par bifler doucement Isabelle, fouettant ses joues, avant de fourrer son membre sous son nez.

« Tu aimes cette odeur sale et puante, hein ? Je t’ai toujours entouré de magnifiques aromes, de longs parfums… Mais, finalement, cette odeur que tu as toujours préférée, c’est l’odeur de ma verge… Cette odeur de sexe, de renfermé, ce mélange de sueur… Inhale bien, ma belle… »

Miranda sourit encore, et approcha ensuite sa queue de ses lèvres.

« Mais je ne sais pas comment tu fais… Chaque fois que je veux juste te faire un quickie, tu me donnes toujours envie de… De te baiser plus férocement. »

Et plus longuement aussi ! Son membre s’approchait de sa bouche, et elle soupira à nouveau.

« Allez, ouvre bien la bouche, je vais te la fourrer entre tes belles petites lèvres d’amour… »

Isabelle était la plus heureuse des chiennes et elle ne le cachait, oh non, non, non ! Elle était toujours contente que sa maîtresse passe du temps avec elle ! Depuis que Maîtresse l'avait adopté, c'était toujours une joie pour elle de passer du temps avec elle ! Quand elle était encore petite, elle lui montrait ses dessins, ses devoirs ou ses diverses activités manuelles, et même si elle n'était pas toujours la meilleure, Miranda était contente. Et depuis son adolescence à peu près, depuis que son corps se formait et qu'elle avait des périodes de chaleur, Miranda aimait passer plus de temps avec elle et ça, Isabelle en était ravie ! Le simple fait que partager la même pièce que sa maîtresse la rendait heureuse alors pouvoir la toucher et rester contre elle, elle ne pouvait pas faire mieux ! Même là, quand elle nettoyait la peau de sa maîtresse, humant par la même occasion son odeur, elle aurait pu faire ça pendant des heures ! Sa queue caudale remuait de plaisir, mais Isabelle exprimait tant sa joie que ses fesses étaient souvent emportées dans cet élan de joie manifesté par sa queue.

Sa maîtresse se plaisait à la bifler avec sa queue, soulignant le fait que la chienne aimait renifler les odeurs de sa maîtresse, même quand c'est « sale ». Ce n'est pas pour rien qu'en son absence, elle avait tendance à piocher des choses à Miranda, souvent des dessous et, qui plus est, traînait dans le linge sale. Oui, elle avait la gentillesse au moins de ne pas salir ce qui était propre. Même si elle dormait avec seulement, ça lui arrivait de l'avoir à la bouche, comme un doudou alors même si ce n'est que de la bave, elle n'allait pas salir les culottes propres de sa maîtresse.

« Huuuuuuuu ! Isabelle adore l'odeur de Maîtresse ! Surtout de sa grosse bite ! »

Oui, Isabelle étant une chienne, Miranda trouvait ça normal qu'elle ai son os à mâchouiller... Sauf que le sien, c'était la queue de sa maîtresse et, dressage oblige, Miranda préférait quand sa petite chienne était vulgaire pour ce genre de choses. Évidemment, elle le mâchouillait qu'avec ses lèvres, mais généralement, sa chienne était très sage, elle la laissait jouer avec, ce qui rendait Isabelle toute heureuse ! Même si techniquement, cet organe n'avait aucun os, ça restait l'os à mâchouiller de la petite chienne des Forge. Toujours agenouillée devant elle, elle ouvrait en grand sa bouche, sortant même sa langue en continuant de remuer sa queue alors que Miranda venait y fourrer son épais pénis dans sa bouche. Même si du coup, elle était plus silencieuse, ça ne l'empêchait pas de gémir et d'apprécier tout cela avec le plus grand de tous les plaisirs. Elle tentait de garder un œil sur sa maîtresse, mais c’était dur, elle voyait surtout son corps qui se rapprochait vite de ses yeux pour reculer et recommencer, encore et encore.

Elle aimait sentir la queue de sa maîtresse dans sa bouche, elle avait son goût et sa dureté venait s'enfoncer en elle, parfois jusqu'à la gorge, chose que sa maîtresse aimait beaucoup faire. Mais Isabelle était toujours heureuse à ses côtés, elle aimait jouer avec elle et, savoir qu'elle rendait heureuse sa maîtresse, ça faisait d'elle la plus heureuse des petits chiennes d'Uatis, non, même du monde !

« Mmmmmhhhh huuuuuuuum ! Huuuu-uuuum ! »

Tellement heureuse de servir sa maîtresse ! Et comme Miranda venait si bien de le dire, un petit coup rapide se transformait très souvent en une longue séance où Isabelle hurlait de plaisir ! Oui, sur ça, la petite chienne n'était pas du genre discrète, non pas que cela déplaise à Miranda d'ailleurs.

Le projet initial était d’offrir Isabelle à Kara, que sa fille légitime ait une belle petite chienne à disposition lorsqu’elle apprendrait qu’elle est une Forge. C’était un noble cadeau, mais, plus le temps passait, et plus Miranda se disait qu’elle conserverait plutôt Isabelle pour elle. Sa chienne était magnifique ! Intellectuellement, elle n’était pourtant pas très douée. Miranda l’avait formé, elle l’avait éduqué, mais Isabelle n’avait jamais montré de grands intérêts pour les études. Miranda lui avait tout de même appris à lire, à écrire, mais le fait est qu’Isabelle serait incapable de se débrouiller toute seule. Elle ne pouvait vivre qu’en étant une esclave dont on prendrait soin, qu’on choierait et qu’on protègerait ! Fort heureusement, avec Miranda, elle n’avait rien à craindre ! Difficile de dire, toutefois, si sa passion pour l’ondinisme venait de Miranda ou d’elle-même, car, sans avoir l’impression d’avoir insisté sur l’urine, Miranda aimait quand même uriner sur ses partenaires !

En attendant, elle fourrait sa queue dans la bouche d’Isabelle, et soupirait longuement. Son membre filait d’avant en arrière, et elle serrait ses mains sur ses cheveux. Oui, comment aurait-elle pu abandonner sa Isabelle ? Non, Miranda avait d’autres projets ! Des projets dont elle n’avait pas encore parlé à Isabelle, mais qu’elle comptait bien faire ensuite !

« Han, Isabelle, hmmm… »

La PDG se pinça les lèvres, et continuait à s’enfoncer en elle. Elle enchaînait les gorges profondes, sachant combien Isabelle aimait ça. Sa chienne avait au moins hérité de toute la perversion de sa Maîtresse. Rien de bien surprenant, vu que Miranda avait assuré elle-même son éducation sexuelle. Isabelle avait vraiment eu une vie de rêve, et on pouvait dire qu’elle était vernie. Miranda la besognait sèchement, encore et encore, s’enfonçant douloureusement en elle.

« Hmmm… !! »

Miranda continuait ses coups de reins, encore et encore. Le temps passait rapidement, et elle finit enfin par s’abandonner dans la délicieuse bouche d’Isabelle. Un orgasme exquis et puissant, où sa queue se relâcha compulsivement en elle. Elle cracha se semence en gémissant fortement, et se calma ensuite progressivement. Elle retira finalement sa verge de sa bouche, et lui sourit tendrement, caressant ses cheveux.

Elle avait des choses importantes à lui dire, sur son futur, sur ce qu’elle envisageait pour sa petite chienne… Mais, avant ça, Miranda avait d’autres préoccupations.

« Bien… J’ai un rendez-vous, Isabelle, alors je vais ensuite revenir dans mon bureau. J’aimerai que tu récupères le dossier M0-115, que tu imprimes les nouveaux éléments qu’on a reçu aujourd’hui dans ce dossier, et que tu déposes le tout sur mon bureau, puis que tu m’attendes sur place. »

La PDG traitait beaucoup de dossiers elle-même, généralement des dossiers sensibles, qu’elle numérotait. Isabelle savait où les trouver, et, même si tout était numérisé, Miranda aimait encore travailler sur des dossiers physiques, explorer le papier, et prendre des notes. Cependant, elle connaissait aussi suffisamment Isabelle pour savoir que celle-ci, tout en lui amenant le dossier, préparait sûrement le retour de Miranda pour qu’elle s’occupe d’elle comme la PDG savait si bien le faire…

Isabelle n'avait pas vraiment à se plaindre, à voir sa queue caudale qui remuait fortement d'un côté puis de l'autre, on devinait facilement qu'elle était très heureuse de ce qui se passait pour le moment. Sucer sa maîtresse, c'était une habitude, ça arrivait au moins une fois par journée, tout dépendait de l'horaire, c'était la seule variable. Parfois, c'était au réveil quand Isabelle dormait encore dans le lit de sa maîtresse, parfois sous le bureau, parfois avant de se coucher, ça dépendait. Malgré son âge, la petite chienne ne dormait pas toujours avec elle, Miranda avait parfois des invités rien que pour elle. Mais Isabelle s'invitait parfois dans le lit de sa maîtresse, par envie, à cause d'un mauvais rêve, bref, elle ne manquait que rarement d'excuse pour la rejoindre. Les mains de sa maîtresse posée sur sa tête instauraient le rythme et la petite chienne docile avalait avec plaisir sa grosse queue, tapant parfois le fond de sa gorge, mais elle adorait ça ! Elle s'accrochait à elle, ses mains posées sur ses hanches, allant parfois voir ses délicieuses fesses.

« Mmmmh ! »

Toute heureuse de son traitement, Isabelle ne tardait pas à recevoir la semence de sa maîtresse en bouche et elle fut heureuse d'en sentir le goût et de l'avaler avec plaisir ! Elle prit autant de plaisir à nettoyer sa queue, mais Miranda la rangeait cette fois, sa pause était terminé. Cette dernière avait même une mission pour elle. Ha, donc la journée n'était pas encore finie ? Isabelle faisait souvent des siestes quand elle n'était pas auprès de sa maîtresse alors elle en perdait un peu la notion du temps. Mais elle écoutait attentivement Miranda qui lui demandait une tâche précise. Isabelle n'était pas forcément idiote, mais elle était très maladroite et avait du mal à rester concentrer sur sa tâche. À vrai dire pour qu'elle travaille bien, il fallait qu'elle soit auprès de sa maîtresse et que cette dernière travaille aussi sérieusement, car si elle en profitait à ma moindre occasion pour jouer avec sa petite chienne, c'était fini.

« D'accord Maîtresse ! Isabelle va bien faire son travail ! »

La petite chienne quitta la chambre et allait vers le bureau de Miranda, bien décider à faire son travail pour que sa maîtresse soit fière d'elle ! Elle ne manquait pas de motivation, c'est juste sa concentration et sa maladresse qui lui faisait défaut. Dans le grand bureau, elle fit bien tout comme il faut, sortant le bon dossier et imprimant ce qu'il fallait, Miranda sera fière d'elle ! Mais elle ignorait quand elle sera de retour par contre ? Un petit rendez-vous ou un grand rendez-vous ? Avec sa maîtresse, on ne pouvait pas savoir... D'abord bien droite à attendre près de son fauteuil, elle finie par se lasser et allait plutôt s'agenouiller devant le fauteuil de sa maîtresse pour le renifler, son odeur était bien présente, mais pas que son odeur. Il sentait le sexe. Évidemment, combien de fois Isabelle avait danser dessus pendant que sa maîtresse la prenait ? Puis elle ne fut pas la seule. L'excitation la gagnait de nouveau, elle chercha à se changer les idées, allant préparer le café de sa maîtresse en espérant qu'à son retour, il ne sera pas trop froid ? Sauf que pendant que son café se préparait, elle se frottait sur le coin du meuble. N'ayant pas de culotte sous sa jupe – vu qu'elle avait eu une petite fuite – sa mouille coulait facilement le long de ses cuisses.

Allant déposé le café bien chaud sur le bureau, elle observait la tasse avec envie. Non pas qu'elle raffolait de ce breuvage amer, mais elle avait une autre envie. Elle grimpa donc à quatre pattes sur le bureau, bien au-dessus de la tasse pour se toucher, laissant ainsi quelques gouttes tomber dans le liquide noir. Sa maîtresse aura un café qui a un petit goût d'Isabelle comme ça. Ce n'était pas la première fois qu'elle le faisait. Bien qu'elle se calmait après ça, l'excitation restait bien présente et sa maîtresse n'était pas. Elle tourna un peu en rond, cherchant à se changer les idées avant de sortir son portable. Non pas qu'elle s'en servait beaucoup, dedans, il y avait surtout le numéro de sa maîtresse et les principales personnes qui saurait ou la trouver ou, au contraire, aurait besoin de faire appel à la petite chienne. Mais Isabelle ne comptait pas appeler sa maîtresse à l'aide, elle navigua sur Internet et allait sur des sites pour adultes dessus.

Accouder sur le bureau, les fesses diriger vers la porte d'entrée, elle fit l'effort de ne pas se toucher en regardant cela, mais elle se « calmait » un peu en observant des vidéos, principalement des hybrides, à poil ou comme elle, qu'en partie, se faire prendre. Des hommes, des femmes à queues, peu importe, elle adorait voir d'autres hybride comme elle se faire prendre comme ça. C'était beau et excitant ! Isabelle avait grandi auprès de Miranda après tout, alors forcément, elle n'avait pas beaucoup de façon de passer le temps, mais vu qu'elle était excitée, ça coulait de source que ses pensées allaient par là. Elle observait le petit écran en soupirant fortement, sa salive venait à doucement couler pendant que sa queue s'agitait dans son dos. Bien qu'elle n'en avait pas le sang, ça restait bien une Forge !

Miranda ne pouvait pas faire que l’amour, après tout. Elle avait une entreprise à diriger, une compagnie surpuissante, l’une des plus puissantes sociétés uatéennes ! Miranda se déplaçait lentement dans les couloirs, tout en participant à la réunion, et en songeant doucement à sa belle Isabelle. Elle savait combien sa chienne était gourmande. Parfois, Miranda envoyait plusieurs hommes beaux et musclés pour la soulager, mais elle était infatigable. Plus le temps passait, et moins Miranda se voyait la donner à Kara, et préférait plutôt la conserver pour elle-même. C’était sa petite chienne, une assistante dévouée, mais qui avait été façonnée par et pour le sexe. Ses capacités intellectuelles limitées étaient compensées par une endurance sexuelle à toute épreuve. Miranda savait qu’elle était incapable de rester trop longtemps en place, et elle y songea donc, tout en participant à son rendez-vous avec plusieurs cadres de la compagnie.

Il fallut bien une demi-heure pour évoquer les questions logistiques, et elle se prépara ensuite à une heure de dictée. Miranda dictait ses courriers à ses secrétaires, qui se répartissaient ensuite les tâches. La PDG disposait d’un matériel de pointe, et elle se dirigea donc vers son bureau. Quand elle entra, elle sourit en voyant Isabelle pencher vers le bureau, bombant son cul vers l’arrière, un postérieur superbement moulé dans une minijupe noire moulante en cuir. Elle avait la tête penchée vers son téléphone portable, et écoutait à travers les oreillettes un film pornographique sur son téléphone portable, un Geo-Phone. Elle s’était connectée au GMN, le Geo Media Network, désignant le réseau de média privé de GeoWeapon Corp., avec quantité de films disponibles en streaming. Elle regardait en l’occurrence un film de Poison, « Poison Zero IV », relatant les aventures spatiales de Poison, forniquant avec des espèces extra-terrestres, et devant, dans ce numéro, sauver une planète de la fécondité en usant de la magnifique qualité de son sperme. Un classique du genre qui fit sourire Miranda.

Toute concentrée, elle constata qu’Isabelle se tortillait sur place, sans avoir noté sa présence, tout en ayant préparé le dossier MO-115, ainsi qu’un bon café. Miranda sourit encore, et referma doucement la porte, puis se rapprocha à pas feutrés… Et se lova dans le dos d’Isabelle. Elle la sentit frémir sur place, et l’empêcha de se relever, serrant au contraire sa main dans ses cheveux, et retira une oreillette.

« Petite catin, tu es vraiment incorrigible, à croire que notre séance de tout à l’heure ne t’a pas suffi… »

Isabelle était toujours aussi belle, et elle put sentir, contre ses fesses, que la verge de Miranda pointait à nouveau. Miranda savait qu’Isabelle adorait beaucoup Poison, comme si, inconsciemment, elle devait ressentir leur lien de paternité. Miranda avait annoncé il y a plusieurs semaines un partenariat étroit avec Poison, qui allait devenir une égérie de la firme, sans pour autant renoncer à ses films. Poison savait maintenant qu’elle était une fille adultérine de Miranda, chose qu’elle avait plutôt bien vécu. Qui sait ? Miranda le révélerait sans doute à Isabelle un jour… Mais, pour l’heure, elle releva avec sa main la minijupe d’Isabelle, et coinça le bout sous sa ceinture, et frotta ensuite sa queue contre ses belles fesses.

« Mais je me dois bien de te soulager… Après tout, c’est le rôle de ta Maîtresse, non ? »

Et, sur ce, joignant l’utile à l’agréable, Miranda s’enfonça doucement dans le fondement d’Isabelle, remuant sa verge dans son fondement, et grogna encore, se redressant doucement en sentant sa chienne se frotter sensuellement contre elle.

« Ah… Oui, là, comme ça ! »

Miranda gémit doucement, et donna une fessée sur le cul d’Isabelle.

« Incorrigible catin, haaaa…  Tu es si bonne, ma Isabelle, si bonne, hmmm… »

Isabelle était une Forge après tout. Elle avait grandi sans manquer de rien, en petite fille chienne heureuse puis quand vint ses premières chaleurs, son corps prenant forme, Miranda l'avait éduquer personnellement, passant tôt ou tard par le porno. Commencer le porno avec Poison, c'était déjà commencer avec du haut de gamme, mais maintenant elle savait qu'il y avait toujours une solution à ses problèmes. Quand Maîtresse était occupée, quand ses autres amies étaient aussi occupée et que son cerveau était fatiguée, elle pouvait regarder ce genre de film sur son portable ! Au début, elle n'avait fait que regarder, prenant son mal en patience, mais Miranda tardait un peu... Le temps de préparer son dossier et son café, elle en avait eut pour un bon quart d'heure, vingt minutes au grand max, mais sa maîtresse était une femme très demandée si bien qu'elle ne pût pas revenir aussi vite que la petite chienne le voulait.

Le café avait très certainement refroidi malgré l'amour qu'elle y a versé dedans, et elle était passé de la catégorie hybride à une des recommandations de ses vidéos les plus regardées et ce fut un des films de Poison. Isabelle avait toujours été fan de Poison, peut-être, car elle lui faisait penser à Maîtresse ? C'est vrai, l'actrice était toujours sévère, dominante avec tout le monde, homme ou femme, gringalet ou madame muscle et pour avoir vu beaucoup de ses films, Isabelle n'avait jamais vu Poison dans un rôle comme le sien. Elle avait déjà parlé de ça avec Maîtresse, car parfois, elle la surprenait à regarder ses films, elles regardaient même parfois ensemble, mais elles voyaient rarement la fin... Dix minutes de regarder, c'était déjà beaucoup ! Isabelle aimait beaucoup la belle actrice, elle aimerait un jour devenir sa chienne le temps d'un film, mais elle avait peur de trop s'éloigner de Miranda, peur de l'abandon ou qu'elle se sente mal de voir Isabelle proche d'une autre maîtresse... La petite chienne savait qu'elle sera offerte à Kara, c'était son but quand Miranda l'avait acheté, mais elle ne savait pas quand et elle s'en fichait, quand ça arrivera... elle sera sûrement triste mais elle aura une nouvelle maîtresse... C'est comme la mort, ça arrivera un jour, mais elle n'y pensait pas tous les jours.

Plongée dans son film, elle n'avait pas sentie ni entendue – bon ça encore, elle avait ses gros écouteurs de son casque sur ses oreilles tombantes – elle avait garder la même position sauf qu'entre ses jambes, il y avait une belle petite flaque, preuve qu'elle n'en était pas à son premier orgasme depuis leur séparation ! Quand Miranda venait dans son dos, lui plaquant le visage sur le bureau, la traitant de catin, la petite chienne était si contente de revoir Miranda !

« Ha, Maîtresse !!! »

Relevant sa jupe, elle n'avait toujours pas de culotte, la sienne étant souiller, elle en rarement de rechanger, la belle blonde planta sa queue entre ses fesses, sa queue caudale se tendit avant de reprendre son balancement rapide de gauche à droite. Sa maîtresse était heureuse de la baiser, Isabelle était elle aussi heureuse !

« Haaaaaouuuuuuuuh ! Isabeeeeeeelle est heureuuuuuse, si heureuuuuuuse !!!! Huuuuuuuuuuuu !!! »

Plaquée sur le bureau, elle remuait ses fesses même si cela était surtout dû à sa queue qui remuait beaucoup trop, mais quel plaisir de sentir sa maîtresse se presser contre elle, enfonçant son long pénis en elle ! La petite chienne était si, si heureuse ! Le film tournait encore, son portable sur le bureau, elle le regardait, mais sans le regarder, préférant évidemment quand sa maîtresse s'occupait d'elle. Sur le petit écran, Poison se branlait vigoureusement pour asperger les autres filles de sa semence, il fallait bien en profiter maintenant que la planète était en train d'avoir un taux de natalité qui avait un pique plus haute qu'une érection de Poison justement ! Mais à trop être heureuse et, bien que ce soit un sacré bureau bien solide, il remuait quand même un peu vu le nombre de fois où la chienne était prise dessus, mais il n'y avait pas eut qu'elle, bref, ce beau bureau remuait un peu, et il risquait d'y avoir un accident sous peu. La tasse risquait bien de finir au sol, cela pourrait être une nouvelle bêtise de la petite chienne.

Mais bon, le café était froid, et ce, même si elle avait mis dedans du jus d'Isabelle, puis bon, ce ne serait pas la première bêtise de la chienne des Forge, elle était volontaire, prête à tout pour aider Miranda, mais elle était le plus souvent un peu gauche, mais cela faisait aussi son charme. Une tasse de café perdu, un café froid en plus, ce n'était pas une grande perte. Au moins, Miranda pourrait en avoir un tout chaud en veillant bien à ce que sa chienne y mette son ingrédient spécial, elle aimait montrer à sa maîtresse combien elle était heureuse avec elle. Plus jeune, elle lui faisait des tas de dessin avec un grand sourire, maintenant, elle fait ce genre de choses en plus de bien travailler comme il faut, car c'est comme ça que les gentilles chiennes doivent travailler.

« Huuuuuuuu, Maî-Maîtreeeesse ! Haaaaa Isabelle... Isabelle doit faire pipiiiiii, huuuuuuuuuuuu !!!! »

Plus d'une heure d'attendre, d'orgasme, il est vrai qu'elle avait besoin de se vider sa petite vessie, mais reste à savoir si Miranda allait la laisser s’échapper comme ça, lui demander de se retenir ou au contraire de se relâcher ? Ce ne serait pas la première fois que la petite chienne avait une fuite dans son bureau. Trop concentré sur son film, elle avait oublié les alertes de sa vessie et là, comme Miranda titillait son petit trou, ça remuait bien en elle et donc... elle remarquait l'urgence.

Sa solide queue s’enfonçait dans le fondement d’Isabelle, et Miranda soupirait lourdement. Isabelle avait tout préparé, comme à son habitude, et même le café. Miranda savait tout de sa petite chienne, elle avait veillé sur elle, pourvu à son éducation. Sa chienne était devenue un baisodrome ambulant, une femme qui n’avait que comme objectif de faire l’amour, et de se faire baiser. Pour autant, elle n’était pas bête ni illettrée, elle avait même reçu une forte éducation, une instruction importante. Miranda lui avait même appris des bases de comptabilité, d’informatique, afin qu’Isabelle soit polyvalente, mais le fait est que sa soif de sexe dominait tout le reste, si bien qu’elle passait l’essentiel de son temps à faire l’amour avec les autres, et en particulier avec sa Maîtresse.

La verge de Miranda s’enfonçait dans son fondement, remuant en elle. Son membre s’enfonçait jusqu’à la garde, et elle se mit à soupirer fortement, crispant ses mains sur ses fesses. Son corps filait d’avant en arrière, et entendait les couinements d’Isabelle, qui indiqua alors qu’elle devait faire pipi. En réponse, Miranda frappa ses fesses, une belle claque qui résonna dans toute la pièce.

« Tu veux pisser contre mon bureau, hein ?! Alors que je reçois des invitées ici… Retiens-toi ! »

Cette vessie était vraiment une spécificité d’Isabelle. Aucun traitement n’avait permis de comprendre pourquoi ses sphincters se relâchaient aussi vite quand on lui faisait l’amour. Il y avait eu des études scientifiques là-dessus, Miranda avait confié son corps parfait entre les mains de scientifiques, et rien n’avait permis de déterminer ce problème. La seule explication semblait être davantage psychologique que vraiment organique, mais Miranda ne s’expliquait pas quelle construction avait pu amener Isabelle à aimer autant uriner, ou à avoir autant besoin d’uriner.

Les mains d’Isabelle se crispaient sur le rebord du bureau, qui filait d’avant en arrière. Le bureau tremblait sous leurs mouvements, et la PDG pouvait noter que sa tasse de café remuait doucement. Elle accéléra encore, besognant la femme, voyant sur son téléphone portable le film qui défilait, un film où une Poison en latex sodomisait une femme par l’arrière contre un mur, et mordillait son cou. Miranda sourit, et retourna ensuite Isabelle. Elle la pénétra ensuite à nouveau très rapidement, et continua à la besogner.

« Re-Redresse-toi, viens m’embrasser… ! »

Miranda était une femme très sophistiquée, très élégante, mais elle pouvait aussi se montrer terriblement vulgaire et sale. Ambivalente, Miranda aimait le sexe dans tous ses aspects, dans cet aspect sophistiqué, élégant, et beau, mais aussi vulgaire, sale, crade. Isabelle se redressa, et enroula ses jambes autour de sa taille, posant sa main sur sa nuque. Miranda se redressa ainsi, épargnant le bureau, et plaqua Isabelle contre le mur. Sa queue s’enfonçait dans sa chatte trempée, et sa chienne gémit encore, tandis que Miranda se mit à remuer à plusieurs reprises en elle. Elle la pénétrait joyeusement, grognant contre elle, et l’embrassa fougueusement. Sa langue se mélangea à la sienne, et elle continua à remuer, frappant le mur avec le corps d’Isabelle.

La PDG se déplaça encore, et rejoignit une autre pièce, attenante au bureau, une sorte de cuisine, là où Isabelle avait dû préparer le café. De la main, elle écarta divers ustensiles sur une table, les renversant sur le sol, envoyant valser des couverts, des sachets de cafés et des filtres, et la prit encore ici. Miranda savait qu’Isabelle n’allait pas pouvoir se retenir éternellement, que sa vessie allait finir par lâcher… Mais, ici, l’odeur ne risquait pas de déranger ses futurs interlocuteurs, et, si Isabelle urinait sans l’autorisation de sa Maîtresse, cela lui fournirait un prétexte pour la punir ensuite !

« Hmmm… Isabelle, tu es si bonne, ma petite salope… »

Elle sentait sa mouille, mais elle savait qu’elle sentirait bientôt son urine… Et cela lui donnait à vrai dire fortement envie de jouir d’un coup !

Toujours affalée sur le bureau, Isabelle sentait sa maîtresse dans son dos, qui la prenait avec énormément de passion, montrant là autant son affection que son autorité, secouant sa petite chienne en la sodomisant. Cela était pourtant très banal entre elles, la petite chienne était la chienne de Miranda Forge après tout ! Elle se tenait au bureau tant elle avait l'impression que, tant elle était forte, sa maîtresse voulait la faire passer par-dessus, mais tenir le coup était dur, d'autant plus qu'elle sentait sa vessie qui avait allumer l'alarme. Malgré les tests et autres observations de la part de sa maîtresse, Isabelle n'avait pas de soucis particulier. Sa vessie était normale, pas de maladie, problème de rein, alors pourquoi une telle tendance à avoir envie d'uriner ? Déjà, il faut savoir que, logiquement, quand une personne boit quelque chose, en toute logique, d'ici une heure, il aura envie de passer par les toilettes, de façon plus ou moins urgente. Cela faisait plus d'une heure depuis sa dernière fuite en compagnie de sa maîtresse. Après, la chienne des Forge n'avait pas forcément la tête à penser à aller aux toilettes, sauf quand c'était urgent. Et le sexe ne faisait qu’accélérer cette envie. Après, oui, elle qui aimait renifler l'odeur de l'urine et jouer avec, on peut se dire qu'instinctivement, elle ne se contrôlait pas.

Mais pour Miranda, c'était un non, elle devait se retenir ! C'était plus facile à dire qu'à faire ! Elle tentait, mais étant en plein acte sexuel, ce n'était pas si simple ! Elle se mordait la lèvre inférieure pendant que Miranda continuait de lui prendre le cul. Ses fuites n'étaient en rien un problème de santé, car, tant que le sexe ne rentrait pas en jeu, elle était propre. Quand elle dormait avec Miranda, au réveil, le lit était toujours propre. Mais si Miranda la taquinait dans la nuit ou au réveil, là oui, son envie se réveillait elle aussi. Le bureau remuait et la tasse de café froid tenait bon pour le moment, n'ayant pas encore fini au sol. Changeant de position, elle se retrouva face à sa maîtresse, ce qui la rendait heureuse, mais elle devait se contenir et résister, tout en se redressant pour venir à elle. Elle entourait Miranda de ses pattes arrière alors qu'elle se faisait soulever pour se plaquer contre le mur.

« Haaaaaaaaaaaaaaaa-ooooooooooooouuuuuuuuuuuu !!!! »

C'était si bon ! Mais dans cette position, par la chatte, elle avait l'impression que la grosse queue de sa maîtresse faisait tout pour la faire craquer, mais elle tenait bon, tâchant de retenir son urine et laisser son jus de chienne en chaleur s'échapper. Et pas l'inverse. Mais Miranda venait encore changer de place, l'amenant dans le coin cuisine, virant tout ce qui encombrait la table pour la prendre dessus et continuer de bourrer son entrejambe pendant que sa maîtresse la traitait de salope. Mais c'était affectif venant de sa part alors Isabelle était heureuse ! Mais aussi heureuse soit-elle, avec tous ses efforts, à force d'être remué ainsi, elle fini par lâcher et sa vessie se relâchait. En même temps que son orgasme. Un jet de cyprine était expulsé en même temps que son liquide jaune et chaud, éclaboussant la queue de sa maîtresse en se répandant tout autour d'elle sur la table de travail.

« Huuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »

Cela faisait un bien fou... aussi coupable se sentait-elle, elle était en même temps libérée de ce poids qui faisait mal à son petit ventre. Maintenant, elle baignait dans la joie et la honte, mais, cela serait mentir de dire que ça ne lui plaisait pas de voir sa maîtresse la regarder comme ça. Même si elle avait des petites larmes aux coins des yeux, elle ramenait ses poings, essuyant doucement ses petits yeux de chienne battue.

« Pa-pardon, Maîtresse, huuuuu... Isabelle n'a pas... tenue... en plus... Isabelle est sûre que le café qu'elle avait préparer avec amour est froid maintenant.... Pardon, Maîtresse... Isabelle va se rattraper et, et, et... elle va tout nettoyer pour commencer... »

Elle tentait de ne pas obtenir de punition même si depuis toutes ses années, Miranda était habituée au caractère de sa petite chienne. Depuis qu'elle a découvert le sexe, l'urine faisait partie de leur quotidien. À moins de la secouer toutes les cinq minutes pour voir si elle devait aller aux toilettes, elle avait au moins une fuite par jour. Cela explique aussi pourquoi sa mini-jupe était en cuir, un peu d'eau et ça partait. Tant que Miranda ne donnait pas son jugement, elle gardait son air de chienne battue. Si elle pardonne, Isabelle sera heureuse et affectueuse, si elle serait en colère, elle allait devoir se faire toute petite et tristounette jusqu'à ce que sa maîtresse la rappelle et passe l'éponge. Elle était très émotive cette petite chienne.

Miranda besognait sa partenaire sans ménagement, consciente de ce que cela allait déclencher. Elle la prenait énergiquement, faisant remuer la table, sentant qu’Isabelle approchait du plaisir suprême. Sa petite chienne se mordillait les lèvres en rougissant. Si Isabelle préférait la sodomie, c’était parce que cela stimulait moins sa vessie. La PDG aimait ainsi la provoquer en s’enfonçant dans son vagin, déclenchant en Isabelle des émotions contradictoires. D’un côté, celle-ci voulait évidemment jouir, mais, de l’autre, elle n’avait pas envie d’uriner, car chaque jouissance s’accompagnait irrémédiablement d’une projection de son divin jet doré. Souriant malicieusement, Miranda la laissa faire, grognant sur place, et se pinça les lèvres à nouveau. Elle atteignait le plaisir suprême, et sentait Isabelle mouiller frénétiquement.

Sa main sur ses cheveux, elle pinça son téton, et mordilla ensuite son cou, se frottant longuement et langoureusement contre elle.

« Vas-y, hmmm… J-Jouis, hmmm… Jouis, ma petite traînée… ! Ma délicieuse chienne rien qu’à moi, jouis, ma belle petite pute ! »

Elle continua à s’enfoncer en elle, et sentit avec délectation Isabelle jouir. Elle couina longuement, frénétiquement, répandant sa mouille, ainsi qu’un liquide plus chaud, plus poisseux. Miranda se lova contre elle, souriant silencieusement, un sourire qu’Isabelle ne pouvait pas voir, car le visage de Miranda était contre sa joue. Isabelle se relâcha encore, urinant sur sa queue, et Miranda sourit ensuite en la voyant paniquer, toute confuse d’avoir pissé sur elle.

Un sourire moqueur sur les lèvres, Miranda se recula doucement. Sa queue était encore bien tendue. Miranda avait joui à l’idée de sentir Isabelle lui pisser dessus. Sa solide queue s’était décontractée, et avait craché d’épais filaments de semence, venant remplir le beau petit ventre d’Isabelle. Un orgasme puissant et intense, dans lequel Miranda s’était pleinement abandonnée… Mais elle était encore loin d’avoir fini de jouer avec sa proie.

« Hum, on va réchauffer le café, mais il est trop pour me laver, mes invitées sont là, alors… Je crois bien que tu vas devoir passer sous le bureau, ma petite chienne. Tu vas me nettoyer et tu prendras soin de toutes mes envies pendant que je ferai l’entretien. Ensuite… Ensuite, je te punirai, ma petite chienne perverse. »

Sous le bureau… Pour Isabelle, ça devait être tout, sauf une punition ! Il s’agissait de se mettre sous le bureau, et, pendant toute la durée de l’entretien, de la queue de sa Maîtresse. Mais, pour l’heure, Isabelle alla réchauffer rapidement le café sur une plaque, et Miranda s’assit ensuite. Le temps qu’Isabelle ramène le café et s’installe, la porte s’ouvrit ensuite, et Hannah laissa entrer deux prestigieuses invitées… Mélinda Warren et sa délicieuse femme, Vanillia Warren.

Mélinda portait une élégante robe dorée et Vanillia une très élégante tenue, aristocratique et magicienne.

« Mesdames, je vous souhaite la bienvenue à Uatis ! »

Isabelle couinait encore et encore tant Miranda aimait la torturer alors qu'elle avait envie d'aller uriner, Miranda la butinait, la privant de ce plaisir jusqu'à ce qu'elle donne son feu vert. L'orgasme et le fait de vider sa vessie se mélangeait et Isabelle laissait un double jet s'échapper, arrosant sa maîtresse. Autant dire que la petite chienne se sentait si soulager... mais après de minces excuses, Miranda lui dévoilait le programme, ses invitées étant déjà là. Faisant les choses en ordres, elle allait chercher la tasse de sa maîtresse pour aller la réchauffer, espérant que le goût de son « amour » sera toujours bien là ? Elle n'en savait rien, elle n'aimait pas le café, mais le thé, elle aimait bien. Pendant que la tasse se réchauffait, elle prit au moins l'effort de se nettoyer avec quelques morceaux de sopalins avant d'apporter doucement la chaude tasse sur le bureau de Miranda, faisant attention à ne ce qu'elle ne glisse pas ! Elle était si empotée qu'elle en serait capable...

Cela étant fait, elle prenait place sous le bureau avec une certaine impatience, sa queue commençait déjà à doucement remuer puis sa seule sortie fut bouchée, ne voyait plus que sa maîtresse, du moins, sa maîtresse sous la ceinture alors qu'elle entendait les invitées entrer dans le bureau. Elle s'en fichait un peu, elle devait s'occuper de sa maîtresse et ça ne sentait pas l'hybride en plus ! Pas assez pour que ce soit une ou deux hybrides qui pénétrait le bureau de Maîtresse. Isabelle entreprit donc de d'abord nettoyer sa maîtresse pour que son pipi ne lui colle pas à la peau. Elle se pencha sur ses cuisses pour entreprendre le nettoyage. Le bout de ses chaussures dépassait peut-être du bureau, elle ne savait pas et Maîtresse s'en fichait. La petite chienne faisait son travail en silence, mais de façon consciencieuse, cherchant son odeur sur sa peau pour la lécher, que ce soit une belle tâche ou une petite goutte qui avait été loin en éclaboussant, elle devait la nettoyer à fond, sinon Maîtresse ne sera pas contente !

Une fois son travail fini, il ne lui semblait rien avoir oublié en tout cas... Elle attendait un ordre, mais n'en ayant pas pour le moment, pour rester concentrer sur ce que disait ses invitées ou autres, Isabelle pris les devant, venant gober la queue quelque peu tendue devant elle. Les pattes sur ses cuisses ouvertes, elle se penchait en avant pour la gober, manquant à chaque fois de presque de cogner contre le haut du bureau. Mais Isabelle connaissait son travail et elle devait faire ça ! Sa queue remuait, commençant à taper sur les parois du bureau, cela risquait de s'entendre de plus en plus, mais rare étaient les fois ou maîtresse la grondait pour ça. Sauf si ça devenait trop bruyant, mais elle commençait tout juste, son corps se balançant d'avant en arrière sans arrêt pour mieux gober la queue de sa maîtresse, sa queue venait parfois de cogner au fond de sa bouche, mais elle ne restait pas longtemps, les balancements de la petite chienne empêchait de rester ainsi.

« Mmmmmmhhh !!!! »

Isabelle était contente, très contente de faire plaisir à sa maîtresse ! Elle avait fait des bêtises, mais peut-être que si sa maîtresse devient très heureuse, à cause, d'elle, elle passera plus ou moins l'éponge dessus ?

Miranda savait que les deux Warren étaient des vampires, et qu’elles venaient du Monde Ultime. Jadis, les Forge avaient des liens avec Terra. Peu de gens connaissaient l’origine profonde des Forge, mais tout laissait à croire que, originellement, les Forge venaient de Terra. Miranda envisageait-elle d’y revenir ? Elle était la garante de l’héritage des Forge, du futur de sa famille, et elle savait que ce futur ne se jouerait pas au Tekworld, à Uatis. Elle laissa les deux femmes s’asseoir, tandis qu’Isabelle reniflait ses cuisses, avant de la sucer. Miranda ne laissa rien montrer, si ce n’est un léger froncement de sourcils, et la réunion commença.

Une fois les politesses d’usage terminées, Miranda but un peu du café d’Isabelle. Les Warren avaient aussi droit à leur propre café, qu’Hannah ramena. Sa fidèle majordome était toujours là pour la servir, et resta ensuite à proximité, souriant brièvement aux deux ravissantes femmes.

« Très bien, Mesdames… J’ai cru comprendre que vous souhaitiez vous implanter à Uatis City, ce qui va nécessiter une couverture légale. Comme vous n’êtes pas des ressortissantes uatéennes, et que vous n’êtes pas nées sur cette planète, vous comprendrez bien qu’il est difficile de vous fournir des accès réguliers de manière légale.
-  Je sais tout cela, Madame Forge, répondit Mélinda. Comme je vous l’ai indiqué, j’ai déjà étendu mon commerce sur Terre, et cela a effectivement nécessité quelques truchements légaux.
-  Oui, et, globalement, nous allons faire les mêmes truchements ici. L’idée d’un partenariat est très séduisante, je dois l’avouer, et me tente beaucoup. »

Mélinda était une femme ambitieuse, un peu comme Miranda. Elle était récemment devenue la Matriarche d’un clan vampirique, et étendait de plus en plus son influence. Sa fortune l’aidait beaucoup, ainsi que sa grande beauté. Des éléments indispensables à Uatis. Les Warren avaient contacté Miranda Forge pour installer à Uatis un établissement tourné autour du sexe, ce qui, à Uatis, n’était pas très difficile à faire. Cependant, il fallait que Miranda, par l’intermédiaire de sa firme et de ses avocats, gère toute la création de la société. Mais, en retour, Miranda souhaitait aussi se développer sur Terra.

Et, pendant ce temps, Isabelle continuait à la sucer avec appétit.

« Voyez-vous, à l’origine, les Forge venaient de Terra. Mes ancêtres se sont ensuite installés sur Tekworld, et nous avons fait prospérer ma famille, au point que je dirige désormais l’une des plus puissantes entreprises de l’État uatéen. Mais mes aspirations me poussent à vouloir revenir sur Terra. Évidemment, je connais les différences technologiques entre nos planètes respectives, mais, maintenant que vos activités se diversifient à travers votre clan, Mélinda, je pense que nous devrions pouvoir trouver des arrangements mutuels.
-  Et à quoi pensez-vous en particulier ?
-  La fortune des Forge provient originellement de l’exploitation des mines. J’ai eu ouï-dire que l’un de vos alliés, le royaume de Sylvandell, cherchait à exploiter ses ressources minérales. C’est pour moi un excellent moyen de revenir sur Terra. »

Mélinda et Vanillia se regardèrent brièvement.

« Et bien, je vais y réfléchir. Je veux dire, nous pouvons appuyer votre requête, mais le dernier mot reviendra aux autorités sylvandines.
-  Tout ce que je demande est que vous me négociez une entrevue avec le Roi de Sylvandell, ou avec sa fille héritière, qui, d’après ce que je sais, gère mieux que lui ce genre de choses. »

Les deux vampires semblaient assez surprises. Miranda savait beaucoup de choses sur Terra. L’information était la clef de toute guerre, de toute opération, et Miranda maîtrisait cette information. Elle se racla doucement la gorge, tandis que Vanillia parla alors :

« Et si vous commenciez par nous montrer ce que vous avez sous la table ? »

Miranda sourit alors doucement. Mine de rien, sa petite Isabelle la rapprochait doucement de l’orgasme, mais, comme la PDG avait récemment joui en elle, elle était plutôt calme. Elle porta son regard vers Hannah, et hocha la tête, afin qu’Hannah vienne la libérer, et qu’Isabelle puisse ainsi se présenter à ses belles invitées…

Pour Isabelle, elle se fichait de ce qui pouvait bien se passer hors de sa niche. Ça avait beau être juste un petit espace sous le bureau, sa maîtresse aimait bien la laisser ici parfois, sans raison valable, juste pour l'avoir à ses côtés. Alors, c'était sa niche à elle. Elle ne voyait que les jambes et au pire, le nombril de sa maîtresse, mais c'était bien suffisant pour la petite chienne. Surtout que là, elle avait pour mission de nettoyer sa maîtresse alors Isabelle mettait tout son cœur à l'ouvrage pour la lécher et la nettoyer bien comme il faut, car Miranda devait toujours être propre et sentir bon, alors si sa chienne la rend sale, ce n'était pas bien. Une fois son opération terminée, elle pouvait se faire plaisir à jouer avec la longue queue de sa maîtresse, la suçant en silence, avec joie ! Même si elle restait silencieuse, sa queue ne pouvait s'empêcher de remuer de gauche à droite, venant taper contre les rebords de sa niche, trahissant donc que quelqu'un d'autre était dans le bureau... puis il devait sûrement y avoir ses chaussures qui dépassaient un peu du bureau aussi ?

Ignorant tout ce qui se tramait en dehors de son petit espace, tant que l'on ne disait pas son nom ou que sa maîtresse ne lui faisait pas signe, ils pourraient parler de bombe atomique et de million de morts, elle n'en saurait rien ! Elle, elle ne voyait que la belle queue de sa maîtresse qu'elle suçait avec plaisir en se jetant dessus, venant l'avaler en se balançant en avant. Toute cette histoire aurait pu juste continuer encore et encore, mais Miranda se recula un peu, alors qu'Hannah lui faisait signe de sortir. Mais la queue de sa maîtresse était bien tendue et elle n'avait pas encore joui... Les ordres sont les ordres. Elle quitta sa niche à quatre pattes avant de se relever, se retournant vers les deux invitées en restant aux côtés de sa maîtresse et d'Hannah. Isabelle avait la queue qui remuait un peu moins maintenant qu'elle ne suçait plus Miranda, elle finissait même par s'arrêter. Elle observa les deux belles femmes avant se joindre ses mains ensemble, sur sa jupe, ce qui, avec ses bras venant un peu plus presser sa poitrine, avant qu'elle ne baisse sa tête légèrement pour se présenter. C'était Miranda qui lui avait appris comment bien se présenter et donc, à faire comme ça.

« B-bonjour mesdames, Isabelle est la secrétaire et la petite chienne de Maîtresse Miranda Forge ! Isabelle est heureuse de faire votre connaissance ! »

Bien droite, poitrine bien en avant, tout sourire, elle était parfaite, comme toujours. Certes, elle aurait bien aimé continuer son travail sous le bureau, mais si sa maîtresse lui avait demandé d'en sortir, c'est qu'elle comptait bien lui faire faire autre chose ? Mais quoi ? Avait-elle besoin de café ? Non, apparemment, les invitées en avaient aussi. Devait-elle aller chercher des dossiers en plus ? Peut-être... Devait-elle jouer avec les invitées pour aider sa maîtresse ? Possible, maîtresse aimait bien la regarder entre les mains de ses invitées, ce n'était pas la première fois que la petite chienne devait jouer avec des gens pendant que Miranda ne faisait que regarder. Généralement, elle finissait toujours par venir la rejoindre, mais quand, ça variait. Bien présentée – si on oublie l'absence de culotte et ses quelques fuites qui ont dû laisser une légère odeur sur sa jupe en cuir, bien qu'elle l'avait nettoyé – et devait avoir son petit effet sur les deux femmes.

Isabelle avait des qualités comme des défauts, mais sa gentillesse, son innocence, faisait qu'on lui pardonnait ses étourderies. Elle était maladroite, oui, elle était facilement déconcentrée, oui aussi, mais elle était si sage, aimante et adorable, comment on pouvait la détester ou lui donner une lourde punition ? En général, hausser la voix et faire les gros yeux suffisaient à la rendre triste jusqu'à ce que sa maîtresse revienne vers elle pour la câliner. Pas besoin de violence, la gentille petite chienne était de nature fragile et émotive, elle comprenait ses fautes après coup et faisait tout pour ne pas recommencer.

Miranda sourit doucement quand Isabelle se redressa. Elle s’écarta un petit peu, et écarta les jambes, ce qui permit à Mélinda et à Vanillia de voir sa verge. Elle était bien tendue, et Miranda posa sa tête sur sa main, suçotant son doigt en regardant Isabelle. Elle nota que sa queue caudale avait cessé de remuer, et elle sourit, en comprenant que sa petite chienne était frustrée de ne pas avoir reçu la semence de sa Maîtresse. Isabelle adorait boire son sperme, et Miranda s’amusait souvent à la tester ainsi, remplissant plusieurs gamelles de sperme, et la sodomisant tout en lui demandant de lécher chaque gamelle et de trouver sa semence. Isabelle n’échouait jamais à ce petit jeu, et Miranda l’aimait pour ça. Elle était sa petite chienne soumise et fidèle, perverse et innocente, une fille qu’on ne pouvait qu’adorer ! Aussi enjouée que triste, elle pouvait rapidement paniquer et bouger, surtout quand Miranda s’énervait. Mélinda se rapprocha donc, et regarda la belle Isabelle, puis la verge de Miranda, et sourit alors, comprenant ce qu’elles faisaient.

« Je vois… Enchantée, Isabelle, je m’appelle Mélinda, et… Elle, c’est ma femme…
-  Vanillia Warren… »

La PDG de GWC resta silencieuse. Isabelle savait que Miranda était voyeuriste, et qu’il lui arrivait parfois d’offrir Isabelle à ses amants. C’était visiblement ce qui allait se passer ici. Mélinda se rapprochait la première. Isabelle était plus grande qu’elle, et la vampire l’observa encore, avant de sourire brièvement. Elle approcha son visage de sa poitrine, et les renifla longuement. Sentait-elle le goût d’urine, le relent d’odeurs intimes sur le corps d’Isabelle ? Mélinda déposa un baiser sur son sein, et lui sourit encore.

« Votre petite chienne est magnifique, Miranda… Mais je crois qu’elle est assoiffée. Visiblement, elle aurait bien aimé rester entre vos cuisses…
-  Isabelle aime ma semence plus que tout… Sauf peut-être mon urine ? Parfois, je ne sais pas ce qu’elle préfère le plus. J’ai tout fait pour soigner ce petit problème, mais sachez… Qu’elle a des fuites. Dès qu’elle est trop excitée et approche de l’orgasme, sa vessie se relâche. Je l’ai puni pour ça un grand-nombre de fois, mais cela ne semble faire aucune différence pour elle… »

Miranda s’était relevée, et caressa le corps de sa chienne, sa verge frottant son cul. C’était un beau membre dressé et humide. Mélinda connaissait suffisamment Uatis pour savoir que Miranda Forge avait développé autour d’elle un important culte de la personnalité. Elle aimait qu’on la vénère, qu’on envie son corps, et elle mettait même ce dernier aux enchères dans des émissions spéciales, offrant une nuit de rêve avec elle à qui réussirait diverses épreuves. Mélinda était assez fan de ça, et elle frotta les seins d’Isabelle, les pinçant doucement.

« Je vois… Brave petite chienne…
-  Elle est à vous… Maintenant que nous sommes parvenues à un accord… C’est comme ça que vous célébrez à Mijak, non ? Dans le sexe ! »

Un sourire amusé éclaira les lèvres de la vampire.

« Pas qu’à Mijak, visiblement… »

Miranda n’allait pas nier l’évidence, et Mélinda s’assit sur le bureau, à côté de Miranda, tandis que Vanillia se rapprochait lentement d’Isabelle à son tour.

« Montre-moi comment tu embrasses, Isabelle… Sois une bonne petite chienne, et fais parler ta bouche ! »

Isabelle s'était redressée, se tenant à côté de sa maîtresse, mains jointe entre ses jambes pour mieux faire ressortir sa poitrine, elle se présentait comme sa maîtresse voulait qu'elle le fasse. Sa queue remuait que faiblement, certes, elle aurait préférer finir son travail, mais elle devait être aussi obéissante puis, à l'approche de la première dame, sa queue reprenait doucement du service, cette dernière se présentant sous le nom de Mélinda, et la seconde Vanillia... Vanillia... Comme la vanille ? Isabelle aimait le sexe, mais comme toute personne normal, elle aimait ce qui était sucrée. Le chocolat, la vanille, la crème chantilly aussi ! Elle se régalait quand sa Maîtresse s'en mettait sur le corps et qu'elle devait la nettoyer partout ! Mais elle préférait la crème chantilly de sa maîtresse, ça, c'est aussi vrai !

« Isabelle est heureuse de vous connaître ! »

Elle se répétait, mais au moins, elle était polie, et sincère. Sa maîtresse se tenait dans son dos, elle sentait sa queue se frotter contre ses fesses. Elle ne savait pas vraiment si elle allait la prendre ou pas, mais elle frissonnait rien qu'à l'idée de se faire prendre devant ses invitées. Miranda n'était en rien gênée par ce genre de pratique et Isabelle aimait ça aussi. Elle aimait bien voir les gens la dévisager. En plus de l'urine, elle avait un petit faible pour l'humiliation. Non pas qu'elle irait très loin, mais elle aimait être dans des situations embrassantes. Mélinda la reniflait, surtout au niveau de la poitrine, ajoutant toujours un peu plus de frisson chez la petite chienne qui s'en sentait exciter par tout cela.

« Nuuuuuuu... »

Miranda racontait leur quotidien, ses goûts, il est vrai qu'elle même ne saurait dire si elle préférait l'urine ou la semence ? Dans un sens, elle avait honte de son attirance pour l'urine, outre ses fuites, elle aimait passer derrière les gens qui sortaient des toilettes, tout comme elle aimait aussi renifler les vêtements de sa maîtresse après qu'elles les aient portées. Ses dessous comme ses robes. Mais sa semence, pour sûr qu'elle adorait ça et elle aimait les défis de sa maîtresse, quand elle devait en goûter plusieurs, elle ne se trompait jamais ! Jamais Isabelle pourrait oublier le goût de maîtresse, mais cela va de soi qu'elle préférait avoir le sperme de maîtresse directement à sa sortie et non dans une gamelle, mais qui était-elle pour se plaindre ? Elle obéissait toujours à Maîtresse !

Tandis que Mélinda lui pinçait doucement le sein, la faisant doucement couiner, Miranda la disait « offerte » à elles. Mais Isabelle ne paniquait pas, ce n'était pas la première fois qu'elle était offerte dans son bureau. Elle savait que si elle devait quitter Maîtresse, ce serait pour sa fille, et elles, elles n'étaient pas les filles de Maîtresse. Maîtresse était assise sur son bureau, et Mélinda la rejoignais, demandant à se faire embrasser.

« D'a-d'accord ! »

Elle se rapprocha d'elle, louchant quand même sur la queue encore tendue de Miranda avant d'approcher sa bouche de celle de Mélinda, voyant bien Vanilla se rapprocher, mais pour le moment, elle embrassait. Son baiser était doux, délicat et presque langoureux. Isabelle n'était ni sauvage, ni mordante. Ça pouvait arriver qu'après une certaine absence ou en période de chaleur, elle soit plus vive dans ses baisers, mais sinon, elle était très docile et faisait donc les choses doucement, surtout les baisers. Se penchant plus vers Mélinda, sa poitrine venait doucement se coller à la sienne, tandis que sa petite patte allait doucement malgré tout entre les jambes de sa maîtresse. Avoir si une belle queue tendue à porter de main, c'était une incitation.

« Mmmmhh aaaaah... isabelle doit vous appeler Maîtresse Mélinda ? »

Elle préférait demander car parfois sa maîtresse l'offrait à des gens qui devenaient aussi leur maîtresse/maître, mais parfois non, Miranda restait SA maîtresse, seule et unique ! Ça devait dépendre des associer commerciaux mais ça pour Isabelle, c'était compliqué...