The Multiversity

Aiko Iwase avait été une camarade de classe d’Aoki Kou lors de ses études, de l’école primaire à l’université. Cette jeune brunette très stricte était très solitaire, car elle passait beaucoup de temps à étudier. Très douée, elle était maintenant devenue une avocate à Yoake. Célibataire, elle avait aussi comme fantasme l’écriture de fanfics et était une mangaka. Elle avait percé dans l’édition sous un pseudonyme, et passait son temps ainsi. A priori, sa route, qui avait croisé celle d’Aoki, ne semblait jamais devoir la croiser à nouveau… Mais Aiko avait récemment eu des clients particuliers, des clients qui souhaitaient lancer une procédure contre la société « Aoi Kitsune ». Une société très connue qui aidait de jeunes élèves à devenir des idols. Les parents reprochaient à cette société d’avoir corrompu leur fille, et affirmaient qu’elle avait des relations sexuelles avec l’une des éducatrices de la société, Aoki Kou. La direction de la société avait nié en bloc toutes les accusations des parents, rappelant que leur fille n’avait jamais porté plainte, et qu’elle ne s’était pas associée à ce mouvement des parents, deux conservateurs qui avaient déjà tenté de faire des procès contre le lycée Jinmu.

La jeune avocate en savait quelque chose, car elle avait aidé les parents à fonder une association destinée à combattre le lycée Jinmu. Un procès avait même eu lieu, mais l’association avait été déboutée. Aiko était donc chargée de lancer un nouveau procès, mais, en apprenant qu’Aoki était ciblée, elle avait décidé de faire un rendez-vous avec elle. Si elles n’avaient jamais été intimes, elles avaient tout de même été proches au lycée, avant de progressivement s’éloigner au fur et à mesure que les années passaient.

Le dossier d’Aiko était solide, car les parents de la jeune fille, Minako Mimoto, avaient fouillé son ordinateur personnel, ainsi que son téléphone portable. Ils avaient également contacté un informaticien qui avait restauré des mails érotiques supprimés échangés entre Minako et Aoki, des mails où Minako l’appelait « Maîtresse », et se photographiait dans des tenues particulièrement indécentes. Bunny girl, maid érotique, ou des ensembles en latex moulant… Aiko n’arrivait pas à croire qu’Aoki, une femme enjouée et calme, puisse être devenue une telle dégénérée. Elle voulait donc la confronter, et lui avait proposé un entretien dans son cabinet.

Aiko n’avait pas de secrétaire, car, quand on commençait, le métier d’avocat n’était pas facile. Elle avait de lourdes charges à payer, et, comme elle travaillait beaucoup, dormant parfois dans son cabinet, elle n’en avait pas besoin. Il n’y avait donc personne quand Aoki arriva.

Aoki avait de quoi être inquiète, car une enquête interne avait eu lieu. Elle avait rencontré sa patronne, mais l’enquête interne n’avait rien donné, car Aoki disposait de l’aide de Félicia. La Chatte Noire veillait sur elle, et, pour Aiko, une autre approche avait été décidée. Elles avaient encore répété la veille, tandis que Félicia, pour calmer Aoki, lui faisait compulsivement l’amour. Couchée en missionnaire sur Aoki, elle la prenait. Aoki avait un bandeau sur les yeux, son corps recouvert d’une tenue érotique noire, tandis que, dans sa combinaison de Chatte Noire, Félicia la pénétrait longuement.

« La direction connaît cette avocate… Les Morimoto ont souvent envisagé de leur infliger leur traitement, mais… Je crois qu’il va être temps de nous en occuper, hmmm… »

La préparation conduisait donc Aoki ce jour dans le bureau d’Aiko. Celle-ci était venue avec un lourd et long manteau, car Félicia avait tenu à bien la préparer. Dessous, Aoki portait une tenue très érotique, un body moulant et sanglé en latex avec des vibromasseurs remuant dans son corps. Tout ce qu’Aoki avait à faire était de discuter un peu avec Aiko, car Félicia comptait leur rendre visite en passant par la fenêtre du bureau d’Aiko.

Aoki n’eut pas trop à attendre quand elle entra. Sans secrétaire, Aiko sortit de son bureau, qui était juste devant la salle d’attente, et la salua.

« Kou-san, je suis ravie que tu aies acceptée mon invitation. Viens, entre ! »

Son bureau était plutôt agréable, avec une fenêtre juste derrière son fauteuil. Il y avait de nombreuses piles de dossiers s’entassant sur des armoires, et commençant même à s’empiler sur le sol, signe que son activité marchait plutôt bien…

Le cas était sérieux ? Oui et non... Ce n'était pas la première fois que la société avait ce genre de problème. Aoki n'avait pas sauté ses élèves par simple envie, disons que c'est une déformation professionnelle. Elle a vu ses collègues – hommes et femmes – agir de la sorte, c'était presque naturel d'agir de la sorte. Sinon comment expliquer un tel taux de réussite avec leur boite ? Pourquoi toutes ses idols, ses apprentis mangaka, petites stars grimpent si vite et surtout, ne chute pas ? Leur asservissement servait à les garder en forme pour continuer de voler de leurs ailes. Certes, Aoki avait un principe qui, elle ignorait si les autres étaient ainsi, celui de ne pas forcer le sexe. Elle essaie une première fois, en douceur. Si ça plaît, elle peut continuer dans des déviances de plus en plus hard si ça plaît, si c'est non, d'accord, ça n'entachera pas leur relation. C'était ce qui s'était passé avec Kanzaki, elle l'avait invitée et fait l'amour une fois, pour l'initier, mais faire l'amour à une femme ne semblait pas être sa tasse de thé. D'accord, elle n'a pas recommencé et Aoki n'a pas saboté sa carrière, elle avait même réussi à lui décrocher un petit rôle avant que... bref...

Donc là, même avec des preuves et un dossier, Aoki ne s'en faisait pas vraiment même si c'était quand même la première fois que ça lui arrivait. D'ordinaire, personne ne tente le coup, il faut dire que tous ses élèves l'aimaient bien, là, la faute venait des parents. Toujours à croire que leur gosse avait cinq ans, mais Minako devenait une jeune femme, autant qu'elle ai la sécurité à ses côtés plutôt que tomber dans les bras d'un connard qui va profiter d'elle ! Aoki lui assurer sécurité et une belle carrière si elle s'en donne les moyens ! La seule personne à l'avoir « menacer » en connaissant ses petits secrets, c'était Reto et maintenant, ça se passait plutôt bien même si Aoki devait encore former Doutzen mais elle n'allait pas tarder à la revoir maintenant que les vacances à Novac sont passé et qu'elle a réussi à tourner la page Kanzaki avec l'aide de sa fiancée, officielle ! Même si elle n'était pas totalement paniquée, Felicia était là pour l'épauler et cette dernière avait même un plan en voyant que l'avocate de la famille qui porte plainte souhaitait les voir. D'autant plus que cette Aiko Iwase était une connaissance d'Aoki. Une sorte de rivale/amie de sa période scolaire, toujours aux coudes à coude pour la première place dans les cours qu'elles suivaient.

Mais aujourd'hui, elles devaient réussir à faire pencher la balance de leur côté. Pas question de foutre sa vie en l'air à cause d'une bourde d'une de ses élèves alors que tout lui sourit en ce moment ! Par chance, Felicia avait un plan et comptait agir de paire avec Aoki, mais pour ça, elle devait d'abord se rendre dans son bureau et la distraire un peu. Bien entendu, Felicia n'allait pas simplement la laisser aller là-bas comme ça et bosser, non, elle devait y aller en pleine condition. Fidèle à elle-même, la Black Cat avait habillée Aoki avec son goût si particulier pour les choses moulantes. Et pas uniquement, car Aoki avait de quoi vibrer en elle et sur elle. C'était donc dur de ne pas garder son calme, mais par chance, elle avait une certaine expérience. Gagnant le bâtiment où elle se trouvait, ainsi que son cabinet, elle finie par passer la porte du bureau d'Aiko.

« Merci, Iwase-san... C'est bizarre de te revoir ici, toi, en avocate. Tu as enfin réussi, mmh... Je suis contente pour toi... j'aurais préféré te revoir dans d'autres conditions cela dit. »

Aoki prenait place sur l'un des fauteuils et ne mentait pas. Jamais mentir à un avocat. Aiko était toujours aussi mignonne, elle était la Japonaise typique, cheveux court, sérieuse, une beauté froide, voilà ce qu'elle était à l'époque du lycée et de la fac en tout cas. Quand Aoki a commencé à découvrir l'amour avec Hitomi, elle avait par la suite lorgné sur Aiko, sans jamais rien laisser paraître cela dit. À cette époque, Hitomi n'avait été qu'un coup de cœur, il ne s'était jamais rien passé. Aoki ignorait quand Felicia allait montrer le bout de son museau, mais elle devait continuer de jouer le jeu pour le moment...

A priori, le plan de Félicia apparaissait comme… Très surprenant. Elle avait habillé Aoki bien comme il fallait, et, tandis que la jeune Japonaise filait vers le cabinet d’Aiko, Félicia, elle, la suivait à distance. La Chatte Noire avait toujours été psychologiquement instable. À ses débuts, pour témoigner son amour envers Spider-Man, elle n’avait rien trouvé de mieux que de voler des œuvres d’arts et des pierres précieuses, afin qu’il la poursuive, et réussisse à rejoindre le nid d’amour qu’elle avait conçu pour lui. Somme toute, Félicia était une femme très passionnée, qui agissait avec extrême. Tandis qu’Aiko recevait Aoki, Félicia, elle, rejoignit le toit de l’immeuble, et se laissa lentement descendre.

Dans le bureau, Aiko contemplait son amie en fronçant doucement les sourcils.

« Oui, j’aurai moi aussi aimé que les circonstances soient différentes. Mais je ne pouvais pas croire à ce que j’ai lu sur toi, Aoki. »

Aiko soupira doucement, croisant les doigts, loin de s’attendre à ce qu’Aoki portait sous son manteau. Elle était un peu surprise que celle-ci ne l’ait pas retiré, et nota la présence de gouttes de sueur sur son visage, des signes de nervosité, comme des rougeurs sur ses joues.

« Mais j’ai monté un dossier solide, tu sais. J’ai des preuves. Comment as-tu pu faire ça ? Ces clichés, ces mails… »

Le dossier était justement devant ses yeux. En soi, Aiko commettait une faute en recevant directement son adversaire, mais celle-ci n’avait pas d’avocat, et Aiko espérait surtout pouvoir obtenir son aide. Car sa cible n’était pas tant Aoki que le lycée Jinmu, lycée face à qui elle avait déjà perdu plusieurs procès.

« Je ne veux pas en arriver jusque-là, Aoki, tu sais… Sincèrement ! »

Pendant ce temps, Félicia se rapprochait délicatement, et prudemment.

« Je pense que tu as été endoctrinée, manipulée… Tu es proche du lycée Jinmu, et ces gens ne sont pas très recommandables. Je souhaite t’aider, Aoki, tu es mon amie, mais ce que tu as fait est grave. »

Aoki put alors apercevoir la main de Félicia sur une vitre, puis son visage, et le reste de son corps. Elle s’était suspendue à un filin, et constata que l’une des fenêtres était légèrement entrouverte. Elle se rapprocha encore, lentement, car le moindre faux-pas pourrait la trahir.

L’avocate se racla doucement la gorge, conservant un ton professionnel, très strict, comme pour signaler clairement sa désapprobation face au comportement profondément immoral et dégradant d’Aoki !

Aoki était dans son bureau, le plan allait pouvoir se mettre en place doucement. Pour le moment, elle devait juste parler avec elle, normalement, dire simplement ce qu'elle avait en tête, comme si aucun piège n'était tendu. En soit, c'était simple. Même si évidemment, elle sentait certaines choses vibrer doucement en elle, lui provoquant de légères sueurs, c'était délicieux à ressentir, mais là n'était pas la question. Pour le moment en tout cas. Évidemment, Aiko observait son ancienne amie, cherchant à l'aider sans pour autant comprendre son geste ? Elle ne pouvait pas lui en vouloir, Aoki aurait réagit de la même façon dans d'autres circonstances. Aux premiers jours de son job, elle était ainsi, elle ne voyait pas l'ombre qui rôdait dans les couloirs de sa boîte, ce qui se passait en priver, mais il ne faut pas voir tout noir. Pour ses collègues, elle ne pouvait pas parler, mais la concernant, elle ne forçait pas. Sauf la première fois, que son élève sache si oui ou non, il pourrait aimer ? Si c'est non, soit, elle restera professionnelle.

Aoki remit une de ses mèches derrière son oreille en relevant le regard vers Aiko, les joues quelque peu rougit par tout cela.

« Hm, je n'ai rien à voir avec ce lycée, tu sais. Certaines... de mes élèves y sont, évidemment, mais je n'ai rien à voir avec eux. »

Et aussi, sa fiancée travaillait là-bas, mais elle n'avait aucun lien avec ce lycée, rien de rien.

« Et puis, c'était... consentie... Je ne la force à r-rien... Elle me respecte beaucoup, c'est tout et, hum... je lui rend la pareille.... T-tu sais... Ce genre jeu ha, les aident vraiment... Ils travaillent mieux et ils sont mieux r-récompenser... Si tu compares deux cas, avec ou sans ce... ce genre de choses, tu verrais q-que... Ma façon de faire... fonction m-mieux ! »

Aoki avait un peu de mal à parler, non pas par honte, mais le plaisir parcourait son corps et tout cela n'était qu'un avant-goût ! C'est ça qui était bon !

« Pour moi, ce n'est pas... abuser de la situation... C'est l'ouvrir à une chose à laquelle... elle n'avait pas pensé... Si elle aurait trouvé que ce n'était pas son genre... Soit. Mais on ne peut pas dire... ne pas aimer sans y avoir goûté, non ? »

Sexe et nourriture ce n'était pas pareil, mais faut bien avouer que ce n'était pas faux pour autant.

« Loin de tout ça... je suis sûre qu'elle aurait été heureuse, hum... de faire ta connaissance... et t'appeler aussi, Maîtresse. »

Aoki avait bien changé depuis qu'elle n'était plus à l'école, mais les gens changent après tout. En tout cas, elle se serait bien vue avec Aiko avec sa petite chérie entre elles, à servir ses maîtresses avec amour et plaisir. Mais pour le moment, ça ne semblait pas être possible. Mais si Aiko savait ce qui se préparait... Elle devait la croire folle, mais sans Felicia, elle n'aurait pas agi de la sorte, c'est sûr. Mais maintenant que leur vie se mêlaient doucement, Felicia ne pouvait pas laisser sa chérie couler pour une si petite chose, oh que non...

Le plan était aussi simple que risqué, et pouvait entraîner un certain nombre de complications. Mais il fallait le tenter. Aiko était en l’état trop dangereuse pour que Félicia la laisse ruiner la vie d’Aoki, et, partant, la sienne. Somme toute, ce ne serait pas la première fois, loin s’en faut, que Félicia allait franchir la voie de la légalité. La Chatte Noire se rapprochait lentement, et regarda Aoki, qui s’en sortait du mieux qu’elle pouvait. Souriant doucement, Félicia poursuivit sa progression, aussi silencieuse qu’une souris… Ou qu’une chatte en train de traquer sa proie.

« Tu n’es pas sérieuse, Aoki… Tu penses sincèrement leur faire du bien ? »

Aiko ferma les yeux en soupirant, et secoua la tête.

« Mais qu’est-ce que tu racontes ? Maîtresse ?! Je… Je ne peux pas croire ce que je vois, et ce que tu es devenue… »

L’avocate semblait sincèrement scandalisée, ce qui n’émouvait pas particulièrement Félicia. Dans le dos d’Aiko, celle-ci venait enfin d’entrer dans le bureau. Aoki n’eut plus qu’à achever de déconcentrer Aiko en montrant son attirail. En voyant ce qu’elle portait là-dessous, Aiko écarquilla les yeux en se redressant. Aoki, de son côté, laissa doucement l’orgasme la saisir, et Félicia bondit alors sur Aiko, posant sa main sur sa bouche, une main portant un mouchoir imbibé de chloroforme.

Surprise, l’avocate se débattit, mais, face à la Chatte Noire, tout cela est vain. Elle la ceintura avec son autre main, et plaqua son corps contre le sien.

« Shht, shhhtt, soupira-t-elle dans le creux de son oreille. Tu m’as tourné autour, et, maintenant, me voilà, Iwase-chan… Et toi aussi, tu auras bientôt le bonheur de m’appeler Maîtresse.
-  Hmm-hmmm… »

Elle tenta encore de se débattre, mais, bientôt, les yeux d’Aiko se révulsèrent dans ses orbites, et elle tourna de l’œil, venant s’effondrer. Son corps devint plus mou, et Félicia la relâcha, avant de la laisser se coucher sur le sol. Sans prendre encore le temps de la bâillonner ou de l’attacher, Félicia se retourna vers Aoki, et lui sourit doucement… Avant d’aller brusquement l’embrasser en l’enlaçant. Un baiser empreint d’affection et d’amour, où elle libéra un peu Aoki de sa tension sexuelle en retirant les vibromasseurs, puis en poursuivant le baiser.

Le plan était très risqué, et ne faisait que commencer. Félicia avait déjà été amenée à séquestrer des gens, mais toujours pour une bonne raison. À l’époque, il s’agissait de combattre le Caïd et son emprise sur la criminalité organisée de New York. Ici, c’était bien différent, et elle maintint donc le contact avec celle qu’elle considérait déjà comme sa femme.

« Tu as réussi à gérer toute seule, hein ? Désolée d’avoir été si longue, j’ai fait comme j’ai pu… »

Elle était heureuse de revoir Aoki, et surtout que la première partie du plan ait marché… Mais rien n’était encore joué !

La distraire, Aoki pouvait le faire, elle avait facilement de quoi bavarder avec Aiko que ce soit avec cette affaire ou autres. Mais pour que ce soit plus crédible, oui, elle parlait de ce souci, de ce qui se passait, de la femme qu'elle était et du bien qu'elle offrait à cette demoiselle, et même à bien des autres filles plus ou moins de l'âge cette fille. Aoki aimait profiter de leur innocence, de leur apprendre des choses et se sentir aimée par elles. Elle n'était pas que leur maîtresse, elle devenait plus ou moins une grande-soeur pour elles. C'était plus ou moins ça qu'elle partageait avant avec Kanzaki et maintenant que la page était tournée, elle voulait retrouver cette proximité avec ses élèves. Elle s'était calmé pourtant, avec sa rencontre au début de leur relation, elle avait commencé à stopper tout ça, mais son amie qui donnait des cours de théâtre à su la remettre sur cette voie et... quel plaisir. Quand elle reverrait Doutzen, elle irait sûrement lui proposer de passer la nuit chez elles...

Mais revenons en à ce dossier. Aoki ne lui cachait rien sans pour autant rentrer dans les détails. Il ne faut pas mentir aux avocats après tout. Même si Aiko semblait choqué par cela, Aoki était toujours heureuse en sachant ce qui allait arriver par la suite, mais ça, son amie l'ignorait. Voyant sa belle voleuse entrée discrètement, elle la laissait faire, une fois qu'Aoki avait ouvert son imper qui montrer ce qu'elle cachait en dessous. Elle aurait pu venir à poil, mais ça n'aurait pas eu le même impacte. Une fois qu'elle dormait profondément, elle allait vers la Balck Cat pour l'embrasser en se pressant contre elle, gémissant quand elle lui retirait certaines choses pour la soulager alors qu'une femme était étendue à leurs pieds.

« Mmh, ne t'en fait pas, j'ai réussi, c'est tout ce qui compte. Je m'occupe de fermer les portes et de faire croire qu'elle est partie, tu la prépares ? »

Ainsi, Aoki fermait la porte de son bureau, tirait les stores, on pourrait croire qu'Aiko était déjà partie comme ça, elles pourront s'amuser en toute tranquillité. Sa tâche fut rapide, elle en profita ensuite pour aider Felicia, l'aidant à retirer les vêtements de son amie, découvrant son corps nue pour la première fois et pour lui faire enfiler une nouvelle tenue qui lui allait bien mieux ! Elle était impatiente de pouvoir la dresser avec Felicia, qu'elle aussi découvre que ce qu'elle faisait avec ses filles n'était pas un crime, elle leur ouvrait juste les yeux sur une nouvelle voie qui était bien mieux et plus intéressante. Aiko se retrouva dans une tenue similaire à celle d'Aoki, sauf qu'elle était pour le moment attachée à la chaise.

« Laissons la dormir encore deux minutes... et profites en pour me caresser encore, Maîtresse... mmmh, si tu savais ce à quoi je pensais en parlant avec elle, te sachant pas loin de nous... »

Chaude comme bien souvent, Aoki se frottait à Felicia, l'embrassant goulûment en mouillant sur sa cuisse. Elle avait beau porté une culotte en latex, Aoki était une vraie fontaine quand elle s'y mettait. Bientôt Aiko allait découvrir un autre monde qu'elle allait accepter à bras ouverts !

Félicia sourit doucement en revoyant sa belle Aoki. Leur plan était tout de même un peu délirant, un peu hasardeux et précipité… Mais elles avaient justement dû agir dans la précipitation. Fort heureusement, Aiko n’avait pas les réflexes affutés d’un Matt Murdock ! C’était là sans doute l’opération la plus risquée que les deux femmes faisaient, mais Félicia savait aussi que ce serait la seule façon de les sauver. Car, si Aiko se lançait dans une procédure judiciaire contre elles, Félicia pouvait aussi perdre son droit de séjourner ici ! Après tout, elle était à la base venue au Japon dans le cadre d’un programme de protection des témoins liée à la lutte contre Wilson Fisk, qui avait le bras très long. Mais, si elle faisait trop de vagues, il y avait de fortes chances que ce programme cesse de s’appliquer ! Elle avait donc franchi la ligne, car ce que les deux femmes allaient faire sur Aiko relèverait ensuite d’une qualification pénale lourde… Ceci étant dit, Félicia était une voleuse notoire. Elle avait déjà commis de nombreux crimes, alors… Somme toute, le kidnapping n’était qu’une autre forme de vol !

Aiko neutralisée, Aoki entreprit de la déshabiller. Félicia la laissa faire, et, une fois Aiko nue, Félicia sourit doucement, venant caresser son visage. Elle avait une peau très douce, et Félicia nota qu’elle prenait soin de son corps, mais qu’elle avait une belle petite toison brune entre les cuisses. Elle ne s’épilait pas là, ce qui la fit sourire. Félicia tenait dans sa main une seringue, et tâta le cou d’Aiko, jusqu’à sentir une veine, l’une des choses qu’elle avait appris sur le tas, et planta la seringue, diffusant un produit qui, par la suite, serait très efficace. Aoki voulait déjà l’habiller, et Félicia sourit brièvement.

« Soit… Aide-moi à bien la lubrifier, je ne crois pas que ta petite-amie soit habituée à mettre du latex. Par contre, elle a un très beau corps, comme toi. Et on ose dire que les Japonaises ont des petits seins… »

La Chatte Noire sourit doucement, et les deux femmes mirent donc de la lotion sur le corps d’Aiko, surtout à hauteur de ses bras. Fort heureusement, ses mensurations étant assez similaires à Aoki (à croire vraiment qu’elles auraient pu être deux sœurs !), la tenue qu’avait préparé Aoki lui alla très bien. Félicia s’occupa des bras, Aoki des jambes, enfilant de longs collants, puis elles lui mirent le corset, et attachèrent ensuite la jeune femme avec des sangles. Ses bras furent nouées dans son dos, et ses chevilles ligotées à ses cuisses par de longues sangles. Enfin, Félicia termina par un baiser dans le creux du cou d’Aiko, puis lui mit une gag-ball sur les lèvres, s’assurant toutefois qu’elle respire ensuite.

Aoki, de son côté,  était maintenant très excitée, car elles avaient tout de même mis plusieurs minutes à préparer ainsi Aiko. Elle se rapprocha donc de sa Maîtresse, qui sourit doucement. Elle la caressa doucement, et glissa sa main entre ses cuisses, sentant ses lèvres intimes trempées.

« Hum… Je dois admettre que je ne t’ai encore jamais baisé dans un cabinet d’avocat. Et… Je dois admettre que tu es vraiment très perverse. Tu as traversé toute la ville habillée comme une pute sous ton gros manteau, hihi… Tu es vraiment irrécupérable, Aoki, une sacrée perverse… Même face à Aiko, tu te trémoussais devant elle… »

Félicia la provoquait, comme à son habitude, et l’embrassa à nouveau.

« Tu es venue avec tes affaires, je suppose ? »

La tenue d’Aiko se trouvait dans une mallette qu’Aoki avait dû porter de chez elles à ici. Félicia caressa son visage, et l’embrassa encore, plus longuement, et délaissa sa chatte pour pincer ses fesses. Aoki avait également enfilé sa tenue en latex spéciale, que Félicia aimait tout particulièrement.

« Oui, ma chatte en chaleur a besoin d’une correction… Je vais te baiser dans tout ce cabinet, ma belle, mais… Je veux que tu m’enfiles mon strap-on… »

Avant ça, Félicia lui mit un collier autour du cou, avec une laisse.

« Et tu marcheras à quatre pattes. Va chercher le strap-on et ma cravache, puis on va faire le tour du cabinet pendant que je te frapperai ton insolent petit cul de chatte en chaleur… »

Félicia sourit encore, malicieusement.

Oui, si Aoki avait peur que Félicia ne s’exerce pas sur elle, elle se trompait lourdement !

Le plan se déroulait plutôt bien pour le moment. Aiko était neutralisé, elles n'avaient plus qu'à préparer le terrain pour que leur petit jeu puisse devenir encore plus amusant. Elle venait de fermer la porte, tirer les volets, comme si le cabinet avait fermé plus tôt, mais ce n'était pas ça la réalité. En vrai, Aiko allait devoir ouvrir les yeux sur ce qui l'entourait et sauver Aoki. Elle refusait de faire une croix sur Felicia, maintenant qu'elle était heureuse en amour, qu'on ne la trompait pas, qu'on ne l'abandonne pas sans un mot, elle refusait de tirer un trait dessus tout simplement. Elle avait passé sa vie à être l'étudiante parfaite pour ses parents sans avoir des plaisirs de jeunesse, maintenant, elle voulait vivre le grand amour, elle l'avait trouvé, pas question de le lâcher comme ça ! Même si leur histoire plutôt une histoire de sexe, il n'empêche qu'Aoki était heureuse ainsi alors non, elle refuse de faire de la prison ou vivre séparer de la Balck Cat.

Son amie se trouvait dans le plus simple appareil alors que Felicia lui injectait quelque chose, Aoki se fichait de savoir quoi, elle l'aidait à l'habiller, venant user de lubrifiant pour faciliter l'installation de sa nouvelle tenue. Elle espérait qu'elle y prendrait goût, car cela lui allait plutôt bien après tout.

« Je ne te cache pas qu'à la fac, j'ai déjà imaginé faire certaines choses avec elle... Mais j'étais beaucoup plus chaste à l'époque et j'avais surtout un faible pour les étrangères. »

Hitomi était une belle rouquine après tout. Et Felicia n'était en rien Japonaise. Elle n'avait rien contre les Japonaises, elles étaient sublimes, mais allez savoir pourquoi le quotidien d'Aoki était surtout entouré de filles venant d'ailleurs que le pays du soleil levant. Sa douce chatte, Harley et Pamela, Doutzen, Natasha, ça fait pas très japonais tout ça... Mais peu importe, elle aimait tout le monde. Felicia était impatiente de commencer à jouer, même si elle n'était pas encore réveillée, Aoki se portait volontaire pour l'y aider à satisfaire ses pulsions. Elle avait beau être traitée de pute, c'est comme si elle lui disait des mots d'amour.

« Que croyais-tu que je transportais dans mon sac ? J'ai apporté mes propres jouets. »

Sortant le nécessaire, elle se blottissait contre Felicia pendant qu'elle se faisait caresser par elle, venant se faire mettre une laisse autour du cou, comme bien souvent, réveillant ainsi les instincts de sa belle maîtresse.

« Hmmm, tu es inspirée à ce que je vois... Mais si je peux te conseiller, on devra essayer le bureau en premier. Son fauteuil à l'air confortable... Et son bureau semble assez grand pour que je puisse m'y étaler dessus. »

Au moins le haut de son corps. Et puis pour l'image, Aiko ne pourra plus s'y installer sans les revoir faisant l'amour dessus, de quoi y graver un magnifique souvenir, non ? Enfin, d'abord, il fallait équiper Felicia alors, à quatre pattes, elle allait vers son sac pour y récupérer le stap-on de sa partenaire et la cravache, deux éléments qui allaient souvent de paire ensemble. Elle lui tendait la cravache avant de s'occuper personnellement de son stap-on. Elle venait lécher le côté intérieur pour le lubrifier au mieux avant de le tendre ensuite à Felicia.

« Tu veux que je te l'installe, Maîtresse ? »

Aoki avait des étoiles dans les yeux en voyant la jeune femme depuis sa taille, son jouet entre les mains. Elle était si belle, avec sa cravache, son air autoritaire. Oh oui, même si elle ne peut avoir de bagues au doigt, avoir une laisse qui lui appartient, ça lui suffisait amplement... Si seulement elles pouvaient devenir encore plus proche... Elles verront ça sûrement après cette surprise que Felicia a prévue pour elle, des vacances, mais elle n'avait pas dit où exactement... Sûrement une destination de rêve comme Hawaï ou la France ? Côté romantique, c'était pas mal, non ? Autant profiter un peu, car bientôt, le duo allait devenir un trio.

C’était leur coup le plus risqué, très largement illégal. Séquestration, enlèvement, sans parler des agressions sexuelles subséquentes. Les deux femmes prenaient de gros risques, en plus en s’en prenant à une avocate, mais, aux grands maux les grands remèdes ! Aoki et Félicia étaient toutes les deux assez perverses, mais, face à Aiko, elles allaient devoir se surpasser. Ce n’était pas du même niveau que Doutzen, car il allait falloir la pervertir. Toutefois, avant ça, les deux femmes commencèrent par un rapide examen des lieux. Elles trouvèrent rapidement les clefs du cabinet, et Félicia entreprit de le fermer, puis inspecta encore les lieux. Aiko travaillait seule, sans secrétaire, et elle mit le téléphone en mode répondeur, avant de retourner dans le bureau.

Aoki récupéra le strap-on, et Félicia hocha la tête lorsqu’elle lui demanda si elle pouvait le mettre. C’était là une très bonne idée, et c’était typiquement ce que Félicia souhaitait ! Aoki s’affaira donc, et enfonça deux godes dans le corps de Félicia, qui ouvrit sa combinaison à hauteur de son sexe et de son fondement. Elle soupira doucement, et sa main caressa les cheveux d’Aoki quand les membres s’enfoncèrent en elle, et se mirent à remuer. Ensemble, Félicia et Aoki avaient atteint des sommets de perversité mutuelle, et la Chatte Noire gémit encore, sentant les appareils vibrer doucement.

« Haaa… Aoki… »

La Chatte Noire soupira lentement, et sentit ensuite le strap-on, qu’Aoki lécha doucement. La deuxième main de Félicia se posa sur sa tête. Félicia aurait pu faire sortir sa verge, bien sûr, mais elle n’était pas aussi contre de simples jouets. Ensemble, Félicia et Aoki pouvaient se montrer aussi douces et aimantes que violentes et sauvages, aussi humaines que félines. Frémissant sur place, la Chatte Noire se pinça à nouveau les lèvres, et remua d’avant en arrière, tapant contre la bouche de sa partenaire.

« Hmmm… Là, vas-y, suce-moi bien, ma belle Aoki… »

Aoki obtempéra donc, remuant ses mains. Quelques instants après, Félicia la releva, et alla la plaquer contre le bureau. Elle se retrouva dos à elle, le corps appuyant sur le bureau, et Félicia vint doucement la prendre par l’arrière, la poussant ensuite en avant en appuyant sur ses cheveux, plaquant la femme au milieu du bureau. Juste avant ça, Félicia prit soin de prendre un appareil photo, et le mit sur un angle, afin de filmer la scène. Elle s’enfonça ensuite dans son corps, prenant Aoki par la chatte, et grogna doucement, ses griffes pointant à travers son latex, serrant sur les cheveux d’Aoki. Gémissant une nouvelle fois, Félicia alla la pénétrer, remuant plus vigoureusement en elle, donnant des coups de reins d’avant en arrière.

Félicia grogna, et, avec son autre main, gifla le petit cul d’Aoki, claquant dessus.

« Tu… Tu aimes ça, hein ? Petite catin… Jouer ainsi avec tes partenaires, les humilier sans relâche… Dire que tu as été jusqu’à droguer l’une de tes amies d’enfance, haaaa… ! »

Bon, Aiko n’était pas vraiment une amie d’enfance, mais il fallait bien inventer un prétexte pour punir Aoki !

« Tu es ma petite catin, hmm… Et, ensemble, nous ferons d’Aiko une autre… Haaaannn… Une autre petite salope ! »

Car c’était là leur objectif !

Outre le fait qu'elles allaient s'amuser, elles faisaient ça aussi pour leur bien, car Aoki risquait gros avec cette histoire. Et vivre séparer de Felicia, ça, non. Et s'en échapper et vivre comme une criminelle ne la tentait pas trop. Donc il allait falloir régler ça d'une autre façon. Pour le moment, Aiko dormait donc elles devaient préparer le terrain, s'assurer que tout était en ordre pour que personne ne vienne déranger Aiko avant de pouvoir jouer ensemble et commencer son dressement. Mais pour le moment, Aoki s'occupait avec joie de sa belle Felicia, lui installant son strap-on avant de le lécher avec plaisir sous les yeux de sa voleuse favorite. Aoki la suçait donc avec joie, doucement même si elle venait doucement imposer son rythme, remuant de plus en plus les hanches pour s'enfoncer dans sa bouche pendant qu'elle gémissait doucement de plaisir. Il fallait régler cette histoire avec Aiko maintenant, Felicia avait parler d'un voyage surprise après pour se changer les idées avec tout ce qui s'était passé avec l'histoire de Kanzaki... Mais d'abord, régler ce problème, après, ce sera des vacances bine mérité.

« Mmmmmh huuuuum... »

Mais une fois sa fausse bite lustrée, la Black Cat la repoussa doucement sur le bureau, tendant son cul bien moulé dans sa petite tenue vers elle, pendant qu'elle s'écrasait sur le bureau. Felicia n'avait plus qu'à faire son choix en écartant doucement sa culotte de cuir pour s'enfoncer entre ses cuisses, filmant le tout avec plaisir pendant qu'elle y ajoutait quelques fessées pour mieux instaurer une ambiance dans ce bureau qui allait devenir l'antre de la débauche. Aoki soupirait doucement de plaisir face à tout cela, une délicieuse routine pour elle-même si, caméra oblige, elle allait devoir y mettre un peu du sien pour le bien de ce souvenir.

« Haaaan, oouiiiiii, haaa ! Je suis une beeeeelle saloooope ! On sera humph, tes deux salopes, haan, rien qu'à toi ! »

Enfin, pour Aiko, elle fera ce que bon lui semble de sa vie, mais pour ce soir, elle sera une amie pour Aoki et une nouvelle esclave pour Felicia. Aoki tendait les bras pour bien s'accrocher au bureau d'Aiko, venant bomber son joli petit cul comme elle pouvait, mais Felicia était déjà bien accrocher dessus donc difficile de faire mieux. Et pourtant, elle cherchait à grimper sur le bureau, ses pieds ne touchant plus le sol petit à petit afin de mieux présenter ses charmes sous la ceinture.

« Haaan, vas-y baiser-moi, Maîtresse... Defonce-moi la chatte avec votre grosse biiiite ! »

Tout cela risquait peut-être de réveiller Aiko ou au moins agiter ses rêves. Si seulement Felicia pourrait avoir un vrai pénis, il s'en passerait des choses entre elles... De bien belles choses !

Félicia avait fait un choix ! Elle aurait pu sortir sa grosse verge et bourrer Aoki par l’arrière, mais elle avait opté pour le strap-on, comme pour se faire plaisir elle aussi. C’était un petit bijou uatéen que Félicia avait ramené de ses expéditions à Uatis, un appareil comprenant des godes internes, de discrets capteurs, et des capsules de sperme qu’elle comptait bien relâcher dans le corps d’Aoki en atteignant l’orgasme. Ensemble, elles célébraient leur acte criminel, comme si le fait d’avoir commis quelque chose de pénalement répréhensible, quelque chose tombant sous le coup de la loi, l’excitait furieusement. Félicia la prenait donc par l’arrière, s’enfonçant dans son vagin, et gémissait longuement, tout en commençant à ronronner fortement.

« Oh, Aoki…. ! »

Elles ne pouvaient que baiser ensemble après cette prise ! Aiko n’allait pas se réveiller tout de suite, et elles allaient ensuite l’emmener discrètement dans leur repaire. Mais, pour l’heure, la Chatte Noire s’enfonçait énergiquement en elle, prenant sa future femme. Elle était désormais sûre de son fait, et elle comptait l’annoncer d’ici quelques temps, lors de leur séjour à Novac. Tout cela avait été savamment réfléchi par elle, et Félicia continuait à la labourer, s’enfonçant encore en elle, gémissant à nouveau fortement. Elle couinait longuement, et sa main venait claquer le cul de sa partenaire, tandis que, avec l’autre, elle tirait sur ses cheveux, la relevant sur place, faisant doucement baver Aoki sur le bureau.

Cette séance devenait de plus en plus sauvage, tandis que Félicia ignorait la caméra. Finalement, coucher avec Aoki était bien plus exquis ! Et, tandis qu’elle la prenait, sa verge artificielle gonflait et se durcissait, déformant petit à petit les parois vaginales d’Aoki. Sa belle Japonaise se tortillait sur place, peinant à lutter contre cette vague irrésistible qui remontait en elle. Oh, que c’était bon ! Félicia continuait à gémir, et laissait passer les minutes, jusqu’à sentir le plaisir suprême arriver. Son corps se crispa sur place, et elle se mit à jouir joyeusement.

« A-Aoki, hmmm… »

Félicia gémit doucement, sentant son propre orgasme, et déchargea sa cellule de sperme dans le corps de sa partenaire.

« Haaann… »

Elle se calma ensuite, et finit par se retirer du corps de sa partenaire, soupirant encore.

« Je voudrais continuer à te baiser encore, mais il faut savoir se montrer raisonnable, ma chérie… Nous avons une avocate à nous occuper, il faut la ramener sur la voie de la raison, et cela ne sera pas simple… »

Car Aiko risquait d’être très têtue à convaincre !

Aoki nageait en plein bonheur, comme toujours, quand Felicia venait s'occuper d'elle. Se faire prendre sur le bureau, étant rempli par la fausse queue de sa voleuse, ça la laissait si heureuse ! Et pourtant elle se retenait de crier, eh oui, elles n'étaient pas chez Felicia où là, elle pouvait crier tout son amour pour le cul sans penser aux voisins ou autre. Là, c'était plus délicat ici vu la situation. Mais Aiko fera partie de leur petit groupe, elle n'en doutait pas. Allongée contre le bureau, elle sentait avec plaisir la jeune femme cogner contre son cul bien que ce soit son vagin qui était surtout utilisé par sa belle queue. Même si elle évitait de crier, Aoki ne se privait pas de couiner, espérant quelque part réveiller Aiko pour qu'elle voit tout ce bonheur qui l'attendait elle aussi.

« Huuuuuum haaaaaa Feliciaaaaaaa ! »

Aoki adorait tant sentir ses coups de reins sur son cul, ça la rendait tellement, tellement heureuse ! Mais tout cela n'était que le début, la suite allait être tellement mieux, mais bon, une chose à la fois après tout. À commencer déjà, par l'orgasme, quand Felicia venait donner son ultime coup de rein, déversant en elle, son faux sperme, Aoki fut elle aussi envoyé au septième ciel. Elle gémit de plaisir en se cambrant en arrière, sentant tout ce plaisir se répandre en elle. Un vrai délice.

« Han, laisse-moi la réveiller. Je vais lui offrir un réveil tout doux. »

Similaire à ce que Felicia pouvait avoir quand Aoki était la première à se réveiller dans son lit, mais en plus soft. Quittant le bureau en faisant quelques pas pour retrouver l'usage de ses jambes, elle se coucha doucement sur elle. Sa poitrine se pressant contre la sienne, moins généreuse qu'Aoki, mais loin d'être une planche à pain. Le latex cirssait entre elles sans pour autant la réveiller. Elle l'embrassait doucement, se doutant bien que Felicia n'allait pas en perdre une miette par la même occasion. Son baiser était doux, délicat, plein de tendresse pendant qu'elle caressa sa joue d'un côté, ses cheveux de l'autre.

« Réveille-toi, Aiko-chan... Il n'est pas l'heure de dormir, surtout en notre compagnie. »

Aoki continua doucement, profitant de sa bouche endormis, jusqu'à sentir un certain mouvement buccale pour lui rendre la pareille. Elle répondait favorablement à ce début de baiser.

« Hmmm, voilà, réveille-toi en douceur... on va jouer toute la nuit avec toi. »

Elle savait que son réveil n'allait pas être aussi favorable, mais elle allait marcher dans leur direction tôt ou tard, faut juste lui laisser le temps d'accepter cette part en elle qui ne demandait que ça. D'être asservie et par Felicia en plus, quelle chance !

Maintenant que les deux kidnappeuses avaient fait l’amour, elles se débrouillèrent pour ramener Aiko chez elle. Aoki avait très envie de commencer à la pervertir, à la corrompre, mais cela ne pouvait se faire que chez elle. Aoki réveilla lentement Aiko, ce qui fit que celle-ci ouvrit les yeux, et Félicia l’aida ensuite à se relever. Elle la souleva, et passa le bras d’Aiko par-dessus sa tête, afin de la soutenir. Aiko gémissait faiblement, sonnée, et, le temps qu’elle reprenne ses esprits, le trio avait rejoint le parking. Félicia la neutralisa à nouveau avec son somnifère, et elles déposèrent la femme dans le coffre. Ce n’était pas l’idéal, mais c’était le mieux qu’elles pouvaient faire. La Chatte Noire prit ensuite le volant, et rassura Aoki sur le fait que tout allait bien se passer.

« On la ramène chez nous, et on la prépare comme il faut, ma chérie… »
Félicia disposait d’un grand penthouse sécurisé, un appartement qui remplissait tout un étage, accessible depuis l’ascenseur en rentrant le code de sécurité connu d’elle seule. Cela assura au duo une sécurité toute relative pour rejoindre le penthouse. Aiko dormait encore profondément, et les deux femmes la déshabillèrent intégralement dans la salle de bains. Félicia l’épila proprement, puis Aoki alla ensuite chercher de quoi habiller Aiko, des collants noirs, de longs gants, et un corset noir avec un cordage et une culotte noire en latex.

Ainsi positionnée, Aiko fut ensuite attachée dans le donjon de l’appartement, une pièce sans fenêtres avec des instruments de sadomasochisme : croix de Saint-André, chevalets, et autres instruments destinés au plus grand plaisir des perverses qui s’installèrent ici. Tandis qu’Aiko émergeait, Félicia récupéra une seringue aphrodisiaque, l’un des produits venant tout droit du marché noir du lycée Jinmu, et l’inséra dans le corps de la jeune femme, tout en souriant à Aoki.

« Pense à t’habiller, toi aussi… Enfile ta belle tenue moulante en latex. »

Félicia, elle, allait se contenter de sa tenue de Chatte Noire, qui lui allait à ravir.

Quand Aiko ouvrit les yeux, elle put rapidement constater être dans une position délicate. Elle remua la tête, et gémit en voyant les deux femmes face à elle, qui lui sourirent longuement.

« Mmmh-hmmm… »

Aiko se débattit, tandis que Félicia sourit encore, et se pencha vers elle.

« Tu ne nous as pas vraiment laissé le choix, Aiko… Ton acharnement sur Aoki… Je suis sa protectrice, et nous allons nous assurer que tu ne l’embêtes plus en t’ouvrant les yeux. Ton obsession sur Jinmu va au-delà de ce que ta profession requiert, et j’ai étudié ton passé, Aiko-chan. Tout laisse à croire que tu es une perverse refoulée, et que, inconsciemment, tu envies ma Aoki pour ce qu’elle fait. »

La femme gémit encore fortement en secouant la tête, et Félicia s’écarta un peu.

« On va bien prendre soin de toi, tu verras… Aoki, pourquoi ne pas finir ce que tu avais commencé tantôt dans son bureau, hum ? »

Félicia devait admettre qu’elle avait très envie de voir ça…

Ensemble, Aiko fut amener chez Felicia où son amie de la fac – ou sa rivale en quelque sorte – pourra changer et s'assumer. Et surtout abandonné cette histoire de procès, Aoki était là pour ça, pas juste pour le plaisir d'amener une nouvelle proie dans leur lit. Aoki risquait gros avec cette histoire. Amenant leur proie dans une chambre bien plus confortable, et ce, même si c'était le Donjon de Felicia. Mais bon, au moins elle était dans son élément plutôt que faire ça à son bureau et risquer d'être dérangé tôt ou tard. Une fois dans le Donjon, elles ne lui sautèrent pas dessus tout de suite, Aoki pris le soin de se préparer pour rendre cela le mieux possible, pour leur invitée comme pour elles. Le couple avait bien des habitudes entre elles alors une invitée, c'était presque courant. Une fois prêtes, elles comme Aiko, elles pouvaient enfin commencer une fois la jeune avocate réveillée dans un endroit qui ne lui était pas familier. Mais elle allait apprendre à aimer cette pièce, elle n'en doutait pas.

Felicia la réveilla, Aoki la voyait doucement se débattre alors qu'elle découvrait ce nouveau décor, son nouveau costume, sa belle voleuse allait lui mettre les points sur les I mais de façon douce. Pas du genre Yakuza en la passant à tabac, ce n'était pas le genre de la maison après tout. Felicia lui laissait ensuite le soin de prendre soin de son amie, devant finir ce qu'elle avait commencer à son bureau ? C'était quoi déjà ? Peu importe. Toute guillerette, Aoki se rapprochait de son amie, ses mains passant doucement sur ses joues.

« Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer et après... tu sera totalement accroc. »

Cela était dit sur un ton si aimable et doux alors que très bientôt, son corps risquait d'avoir quelques marques sur son corps. Douce avec elle, Aoki la caressait, sans forcément caresser sa poitrine ou son entrejambe, elle était très douce, la mettant en confiance. Le regard doux, elle se plaisait à l'approcher, venant lécher la salive qui s'échappait de ses lèvres, c'était aussi délicieux qu'excitant.

« Hum, je t'aime bien, Aiko-chan, mais je ne peux pas risquer de vivre séparer de ma belle maîtresse comme ça... »

Il en était même hors de question. Aoki continuait de la caresser et se faire plaisir sous les yeux de Felicia qui savourait ce qui se trouvait sous ses yeux. La jeune femme ferait tout pour le bonheur de sa chère et tendre, ojn pourrait croire que, elle se faisait manipuler, mais c'est faux. Aoki était souvent celle qui invitait Felicia à repousser ses limites dans un lit. SM, fisting, zoophilie, urophilie, elle était la première à lui demander bien pire alors non, elle n'était pas manipuler. Juste très amoureuse de sa belle voleuse. Aoki n'hésitait pas à se blottir contre elle pour mieux l'embrasser et faire envie à sa belle voleuse. Oh oui, elle savait plus ou moins ce qui allait se passer ce soir – juste l’ordre des choses qui restait à deviner – donc elle était impatiente de passer au plus gros morceau de cette soirée.

« Hmmm... N'aie pas peur, demain matin, tu seras aussi dépendante que moi et.... hihi... tu en redemanderas, j'en suis sûre et certaine. »

Aoki venait de nouveau lécher son menton, en quête se salive, léchant la balle qui l'empêchait de parler, son regard se posant sur Felicia, qui avait une belle vue... Deux salopes en manque rien que pour elle !

La belle Aiko était désormais leur prisonnière. Félicia savait qu’elle prenait de gros risques en capturant ainsi une avocate, mais elle avait aussi sa théorie. Aoki lui avait longuement parlé d’Aiko, et Félicia, avant de mettre son plan à exécution, l’avait suivie, espionnée. Elle avait noté que la jeune femme était célibataire, et était visiblement une grande frustrée refoulée. Dans une société où les femmes célibataires étaient mal vues, son manque d’intérêt pour le mariage, ou pour les hommes, n’avait pas manqué d’interpeller Félicia. Elle avait espéré trouver des failles, un historique Internet tendancieux, des revues pornographiques dissimulées chez elle, mais elle n’avait rien vu. La vie d’Aiko était tout simplement trop bien rangée pour être honnête. La jeune femme se réfugiait dans le travail, avec une prédominance pour combattre le lycée Jinmu. Cette fixation étonnait Félicia, car le profil d’AIko ne correspondait pas avec celui d’une bigote zélote. Non pas que Félicia irait jusqu’à dire que tout ce qui se passait au lycée Jinmu était moralement acceptable, mais, dans un pays où l’insertion sociale dominait sur le reste, les résultats impériaux du lycée Jinmu comblaient les critiques qu’on lui faisait. La conclusion de la Chatte Noire, c’était donc qu’Aiko avait des désirs sexuels refoulés qui ne cessaient de croître, et qu’elle s’absorbait dans le travail pour ne pas y penser.

C’est en arrivant à cette conclusion que Félicia avait mené à bien ce plan risqué et hasardeux : capturer Aiko, et réussir à la neutraliser dans un court laps de temps avant que sa disparition n’inquiète. Le créneau était serré, et Félicia avait consulté l’agenda du cabinet de la jeune femme avant, découvrant que celle-ci n’avait pas d’audiences ou de rendez-vous pendant les prochains jours. Aiko avait sans doute libéré son planning pour se plonger pleinement sur le dossier Jinmu. C’était donc le moment idéal pour attaquer ! Félicia avait branché le répondeur téléphonique, et répondrait aux courriels, afin que personne ne se doute de sa disparition.

Aoki se présenta donc à Aiko en se frottant contre elle, et Félicia sourit alors. Aiko gémit sur place, secouant la tête, sentant la langue d’Aoki sur sa joue. Félicia avait pris soin de la droguer avant, utilisant les produits aphrodisiaques de Poison Ivy. Il fallait juste que ces derniers fassent effet, et, pour ça, il n’y avait rien de mieux que le sexe.

« Notre pensionnaire est timide, Aoki-chan, tu le sais comme moi. Il va falloir la motiver un peu… »

Félicia avait élaboré un plan, qui allait sans doute devoir laisser sa place à l’improvisation. Elle et Aoki n’avaient jamais osé faire quelque chose d’aussi risqué. C’était un kidnapping, après tout, ce qui était un cran au-dessus des vols dont Félicia se rendait coutumière. Et c’était un coup de poker très risqué aussi, car, si elles ne réussissaient pas, sauf à rendre Aiko amnésique en lui faisant oublier ces derniers jours, il allait être très difficile de s’en sortir ! Mais, après tout, Félicia aimait bien vivre dangereusement aussi,  ce qu’elle ne cessait de démontrer à sa femme.

Elle releva donc Aiko, en tirant sur les cordes, et la femme gémit à nouveau en se retrouvant debout. Félicia se lova alors dans son dos, et embrassa la femme dans le creux du cou.

« Tu n’as pas à avoir peur, Aiko-chan… Je vais lever le malentendu qui existe entre nous deux, ma belle… Car je sais qu’au fond de toi, si tu n’as jamais choisi de t’épouser, c’est parce que tu as toujours ressenti quelque chose pour Aoki-chan…
-  Hmmm-mhhhmmm… !! »

Les aphrodisiaques allaient doucement commencer à faire effet, tandis que Félicia frottait sa combinaison dans le dos d’Aiko, appuyant ses seins contre elle.

« Aoki-chan, sois une gentille fille, viens embrasser et lécher les jambes d’Aiko, goûte donc à ses collants, remonte jusqu’à son sexe, je veux la faire doucement mouiller, je veux qu’Aiko-chan soit très excitée… Ensuite, je te baiserai devant elle ! »

Pour la soumettre, Félicia n’allait pas être violente, mais au contraire terriblement soft, ce qui serait en réalité encore pire pour Aiko !

En compagnie de Felicia, Aoki comptait bien faire d'Aiko une toute nouvelle personne, qui s'assume ou se découvre, après tout, elle n'était pas dans sa tête donc elle ne pouvait pas décider pour elle. Elle tentait de la réveiller, mais ça n'était pas super top pour le moment, en même temps, elle avait été drogué, difficile donc de vraiment avoir les idées claires de suite. La belle se dandinait, doucement, sous leurs corps qui venaient se frotter à elle, lui léchant sa joue, mais rien de bien probant pour le moment. Aoki le sentait bien pourtant que sous ses protestations, il y avait une forme d'envie. Sur ça, elle le sentait, pas besoin de mot pour ça. Mais malgré tout, Aiko ne se laissait pas prêter au jeu pour le moment...

« Allez, Aiko-chan... Laisse-toi aller... »

Felicia se blottissait dans son dos, elle, face à elle, son visage si proche du sien, elle ne laissait que son souffle caresser sa peau, ses mains caressait son corps, le faisant délicieusement crisser de plaisir. Tout cela n'était que le début de cette longue soirée où son ancienne amie/rivale deviendra comme elle. Elle faisait cela pour sauver sa peau après tout donc, elle devait réussir ! Ensemble, elles faisaient partie des trois meilleurs élèves de Tôdai lors de leur promotion. Aoki n'échappait pas à la règle du cliché, elle était à cette époque solitaire et renfermé, ce n'est que sur la fin qu'elle a décider de s'ouvrir, recevant sa première déception amoureuse. Entre autres. Malgré les caresses et les mots doux, Aiko ne semblait toujours pas prête à se laisser aller au jeu. Suivant le conseil de Felicia, elle léchait ses jambes, sa langue passant sur la surface noir qui entourait ses jambes pour revenir vite vers son entrejambe. Sans en écarter l'accès, Aoki léchait la parcelle de peau à l'air libre près de sa zone intime. Elle attendait que Felicia la fasse mouiller pour en récolter tout le plaisir qui coulera sur sa peau.

« Mmmmmh, Aiko-chan... mouille... nourris-moi avec ton nectar intime... »

Sa langue caressait sa peau, en quête de sa cyprine, qu'elle profite de cet instant, car Aoki n'allait pas se priver pour en profiter après, sous les yeux de son amie, pour se faire baiser par sa Felicia chérie. Ça allait être grandiose, comme toujours. Mais le faire sous les yeux d'une personne qui ne les avaient jamais vue faire, ça l'excitais un peu plus !

Félicia et Aoki comptaient bien jouer avec elle. Le pari était terriblement risqué, mais tous les indices concouraient au même résultat, à la même conclusion. La Chatte Noire vit Aoki agir, se glissant devant Aiko, remontant sur ses collants. La jeune Japonaise soupira encore, se tortillant sur place, sa salive s’égouttant de sa gag ball. Félicia s’en prenait à un gros morceau, et Aoki continuait à agir, remontant jusqu’à la culotte d’Aiko, qui gémit encore. Dans son dos, Félicia massa les épaules d’Aiko, et se déplaça pour pincer ses seins.

« Tu crois que nous étions dupes ? Tu as quitté volontairement Tokyo pour suivre Aoki… Même maintenant, alors que tu sais qu’elle a une petite-amie, tu continues à la suivre. Tes efforts pathétiques pour t’en prendre à elle masquent une réalité bien plus simple, Aiko… Ton amour refoulé envers elle !
-  Hnnn… »

Elle allait sans doute le nier, et c’était d’ailleurs un pari risqué pour Félicia, mais elle était plus ou moins sûre de son coup. Tous les indices concordaient, après tout ! Aiko aurait pu avoir une très bonne carrière à Tokyo, et elle avait choisi de venir ici, de s’installer à son compte, de délaisser les très beaux cabinets tokyoïtes au profit d’un cabinet individuel, et de concentrer ses activités sur le lycée Jinmu, et, indirectement, sur Aoki. Devant elle, Aiko protestait en se tortillant faiblement, essayant sans doute de défaire ses liens, et Félicia l’embrassait dans le creux du cou.

Les seins d’Aiko se durcissaient, tandis que le plaisir croissait lentement en elle. Félicia pouvait le sentir, et il fallait bien admettre que c’était une sensation agréable. Leur prisonnière gémit encore, tandis qu’Aiko couinait encore, toute confuse. La main de Félicia descendit sur son ventre, et elle caressa les cheveux d’Aoki. Elle les gratta, et veilla surtout à bien caler sa tête contre la culotte d’Aiko, qui continuait à couiner. Elle avait surtout envie de leur dire qu’elle avait envie d’uriner, tant elle était confuse…

« Laisse-toi faire, Aiko, nous sommes tes amies, nous allons faire sortir ce refoulement qui est en toi… Mais tu ne pourras pas sortir avec Aoki, tu sais… Tu vas devenir notre délicieuse esclave, et ce sera encore mieux que si tu avais été la petite-amie d’Aoki… Mais il va falloir beaucoup travailler, car tu as dû refouler profondément ce que tu ressens pour elle. Ton corps, lui, ne ment pas… »

Aiko couina encore, et ferma les yeux, morte de honte en se mettant…

…À uriner contre les lèvres d’Aoki !

Aoki devait se montrer prudente avec cette affaire sur les bras, c'est sûr qu'un enlevement d'avocate, ça ne jouerait pas en sa faveur si ça se saurait mais au final, Aoki obéissait aveuglément à sa chère Felicia. Elle lui disait ce que bon lui semble et elle adhérait, tout simplement. Elle faisait ce qu'elle lui demandait, avec un grand plaisir. Ses lèvres remontaient vers son intimité masqué qu'elle léchait et titillait. Il y avait bien sûr une petite sortie, ou entrée, à voir, et Aoki en profitait pour y glisser sa langue et rendre cela encore plus excitant. Sa maîtresse dictait ce qui allait se passé, sachant parfaitement – selon elle – qu'Aiko avait tout fait pour se rapprocher d'Aoki, cherchant à avoir un lien plus que simple connaissance, même plus que simples amies. Elle l'aimait. Aoki ne réagissait pas à cela, peu importe ce qu'elle dirait, elle aimait Felicia, cela ne faisait aucun doute pour elle, elle ne changerais cela pour rien au monde. Toutes les deux avaient même prévue de passer des vacances dans un endroit appelé Novac, c'est pour dire ! Mais entre ce qu'elle lui faisait, de même avec Felicia – ou alors ce sont ses mots ? – Aiko venait non pas à jouir mais à uriner. Aoki reçu cela en pleine bouche et même après s'en être étonné, elle lapait cela comme une récompense.

« Haaaa ! Haaaaamf ! Maîtresse, Aiko a eut une petite fuite. Il faudra me pisser dessus pour lui montrer que je vous appartient ! »

Telle une chatte marquant son territoire, Aoki tenait à bien montrer combien elle appartenait à Felicia et non pas à une autre personne. Elle pourrait lui demander de jouer la chienne ou devenir un glory hole, elle le ferait sans l'ombre d'un doute si cela plairait à sa belle américaine. Eh oui, Aoki de la fac et Aoki maintenant, il y avait une grande différence et elle espérait bien montrer à Aiko que ce n'était plus la même femme. Elle n'attendait pas forcement qu'elle vienne lui uriner dessus de suite mais elle attendait cela, c'est sûr. Elle lui nettoyait les cuisses en la léchant, elle ne raffolait pas tant que ça de l'urine mais une golden shower de temps à autres ne faisait pas de mal. L'avaler par contre, c'était plus difficile. Elle voulait bien le lécher car c'était que quelques coups de langues pour marqué le coup, mais ce n'était pas elle qui irait s'en faire un verre de champagne. Ses mains continuaient de la caresser doucement en remontant doucement vers sa bouche, léchant avec appétit la salive qui coulait de sa gag-ball. Elle savait être une véritable chienne, léchant cela en se frottant contre son corps encore innocent. Nul doute que ce soir, son corps allait être marqué de bien des façons, visible ou non.

« Hmmmm Aiko-chan... laisse-toi aller... On sera les chiennes de maîtresses.... Et si tu es gentille, Maîtresse te laissera surement me baiser. »

Elle n'a pas préciser comment mais la jeune femme allait découvrir que leur monde de débauche dépassait l'imaginaire. Elle allait bientôt pénétrer dans un monde d'une douce luxure.

Aiko allait progressivement basculer, Félicia en était sûre ! Elle n’était pas télépathe, mais elle avait mené son enquête. Si elle avait capturé une avocate, c’était parce qu’elle avait l’intime conviction que son plan allait marcher. Pour elle, cela ne faisait aucun doute, et elle avait hâte de faire basculer progressivement la jeune femme, de lui faire admettre ce qu’elle désirait vraiment. Car, au fond d’elle-même, Aiko désirait Aoki. Il n’y avait que comme ça que Félicia pouvait s’expliquer la fascination d’Aiko envers Aoki. Alors qu’elle aurait pu travailler dans un prestigieux cabinet d’avocat à Tokyo, elle avait refusé pour fonder son propre cabinet ici, à Yoake… Et elle avait continué à suivre les traces d’Aoki.

Félicia n’était pas dupe, et vit Aoki se redresser, venant embrasser Aiko sur le corps, jusqu’à se rapprocher de sa bouche. La jeune avocate couina doucement quand la langue d’Aoki glissa sur le gag ball. Sensuelle et désirable, vulgaire et appétissante, Aoki lui indiqua que, si elle était obéissante, elle allait pouvoir… La baiser. Aiko frémit lentement, mais elle devait sûrement encore lutter contre des années de frustration et de remise en cause.

« J’ai enquêté sur toi comme tu as enquêté sur nous, Aiko-chan… »

La Chatte Noire malaxait ses seins, tout en l’embrassant dans le creux du cou. Elle s’amusait de cette situation, et poursuivit sur ses révélations :

« Tu as refusé à une belle carrière à Tokyo pour ouvrir un petit cabinet à Yoake, où tu ne connais personne… Et je suis sûre que tu l’as fait quand tu as appris que ma Aoki était venue ici. Tu la suis à distance depuis des années, et le fait que tu n’aies aucune petit-ami, que tu restes célibataire, m’amène aussi à penser qu’Aoki t’attire bien plus que tu ne veux le croire. Et puis, cette obstination à enquêter sur elle, cela dépasse les fonctions d’une simple avocate, non ? Tu as voulu provoquer un procès contre ma Aoki pour attirer son attention… »

Aiko se tortilla sur place en couinant, tandis que la main de Félicia descendit de l’un de ses seins pour caresser son sexe. Avec son autre main, elle sentit le téton se durcir. La jeune femme était mûre, mais il allait encore falloir la titiller un peu. En soi, elles ne la battaient pas, elles ne la frappaient pas, mais elles allaient jouer avec sa frustration. Aiko soupirait encore, clignant des yeux en regardant Aoki.

« Hmmmm… »

Félicia sentit ses doigts s’imbiber de sa mouille, et sourit malicieusement, avant de relever ses doigts trempés, et les approcha des lèvres d’Aoki.

« Tiens, dis-moi ce que c’est, ça… On dirait… De la mouille, non ? »

Elle laissa Aoki suçoter ses doigts, et reprit ensuite :

« Tu veux retourner la lécher, Aoki ? Ou peut-être lécher sa porte arrière ? Je me demande si, comme toi, elle est une grande sodomite… »

Même si quelque part, la carrière et sa nouvelle vie était en jeu, Aoki avait grandement confiance en Felicia. Si elle avait concocté ce plan, c'est qu'elle savait que ça pouvait fonctionner et rien que pour ça, elle la suivait. Donc, rien n'était encore joué, mais Aoki agissait comme si elle était déjà libérée de ce poids. Elle continuera de vivre sa vie avec Felicia, rien ni personne ne l'empêchera de mal tourné. Elle restait tout contre Aiko, la léchant ici et là, pendant que sa belle chatte lui faisait la leçon, elle lui apprenait ce qui pourrait l'attendre, mais elle avait aussi découvert – du moins, elle supposait – le petit secret de la jeune femme, amoureuse d'Aoki ? Elles ont été rivales à la fac, elles faisaient toujours partie du trio en haut du classement à chaque fois. Elles n'étaient pas spécialement proches, mais elles ne se détestaient pas pour autant. À cette époque, elle ne vivait que pour les études, il en était de même pour Aiko sûrement, tout comme le troisième membre de ce trio de grand vainqueur de cette promotion, un certain Nifuji Hirotaka. Dans sa belle tenue en cuir, elle léchait Aiko comme une crème glacé, laissant Felicia parler en caressant son corps, sans hésiter à glisser ses doigts entre ses cuisses pour y découvrir l'évidence, elle mouillait.

Aoki venait lécher ses doigts tendus, sans en perdre la moindre petite goutte, car elle devait bien voir si c'était bien ce à quoi elle pensait ?

« Laisse-moi lui lécher sa petite chatte bien trempée. Il faut bien me laver la bouche, j'ai encore un peu le goût de sa pisse sur ma langue. »

Aoki pouvait être très salace, mais pour elle, c'était Felicia qui avait tous les droits sur elle, la belle blonde devra lui pisser dessus, pour marquer à nouveau son territoire et là, là, le goût sera si délicieux. Glissant comme un serpent, elle descendait plus bas, découvrant ses belles cuisses écarter, son intimité caché derrière cette culotte en cuir. C'était mignon, sexy mais pas évident pour sa tâche actuelle. Mais elle avait connu bien pire. Elle léchait ses cuisses, glissant entre sa peau et sa culotte, récoltant ce qui passait outre et inutile de le préciser, mais elle se régalait. Le goût, la situation, cette nouvelle partenaire, sa maîtresse qui observait cela autant par curiosité que par intérêt. Pendant qu'elle léchait, ses mains caressaient ses cuisses, elle avait une peau douce après tout, il serait idiot de ne pas en profiter. Cela l'excitait tout autant, mais elle saurait se montrer patiente, Felicia saura la récompenser comme il se doit. Pour le moment en tout cas, elle léchait, gémissant à chaque coup de langue. Si Aoki aurait été une vraie chienne, elle serait en train de remuer de la queue, elle voyait bien que sa douce voleuse la regardait.

« Haaaa... ta toujours aimé me voir lécher une autre femme, hein ? Ça t'excites ? Peut-être que tu adores ça, car tu peux mieux me punir après... Hum ? Pour bien souligner que je t'appartiens. »

Aoki était chaude, elle avait envie de coucher avec sa maîtresse, mais elle avait raison dans un certain sens... Quand Harley et Pamela venaient – ou inversement – elle adorait la laisser jouer avec Harley pour commencer, ou Pamela parfois, avant de revenir prendre le dessus. Mieux la laisser s'éloigner pour mieux serrer sa laisse ensuite.