The Multiversity

Ce soir allait être une soirée une peu spéciale... Miyuki allait faire un grand pas dans sa nouvelle vie en présentant à ses trois filles, la femme qu'elle fréquentait en secret depuis déjà quelques mois. Une femme qu'elle avait rencontrée par hasard et qui lui avait ouvert les yeux sur bien des choses sur sa sexualité. Miyuki avait toujours été une femme banale, une mère aimante, une bonne épouse. Mais aussi banale soit sa vie simple et sans histoire, sa vie avait basculé le jour où elle avait découvert que son mari, si occupé au travail fréquentait une autre femme. Une collègue à lui, peu importe son nom, sa raison, elle fut dévastée par la chose. Elle a d'abord nié cela, croyant juste se faire des films. Oui, il travaillait beaucoup, mais il avait un poste important. Oui, il passait des coups de fil en secret à la maison ou envoyait souvent des messages, mais là encore, il était un homme important. Elle avait trouvé un long cheveu sur sa veste ? Et alors, les cheveux tombent et peuvent voler... Et ainsi de suite, elle niait chaque preuve jusqu'à enfin découvrir la vérité le jour où ce dernier avait oublier un de ses documents à la maison et qu'elle le lui avait apporté à son bureau, le trouvant dans les bras d'une autre femme...

Miyuki fut toute sa vie docile et calme, elle avait pour le coup abandonner cela et rompu avec ce goujat. Après bien des séances de crises à la maison, son mari avait quitté la maison, un peu poussée par sa femme qui avait tant fait pour lui et qu'au final, l'avait délaissé. Pourquoi ? L'ennui ? Le fait d'avoir si rapidement trois enfants avait coupé ses envies au risque d'avoir un quatrième enfant ? Oui, côté sexualité, à peine Miyuki avait accouché que leur prochain rapport était celui qui la faisait retomber enceinte. C'est pour ça que ses trois filles ont à peine neuf mois d'écart chacune, littéralement. Après avoir tourné cette page avec difficulté, plus ou moins épaulée de ses filles, Miyuki devait se concentrer plus sur le travail afin de maintenir sa famille en l'état, c'était elle qui gérait sa vie à présent. C'est à son travail qu'elle avait fait la rencontre de cette autre femme qui avait tant bouleversé sa vie... Megumi... Elles ont tant discuter, parler de ces récentes déceptions, de sa vie qui partait en vrille, mais elle l'écoutait, la conseillait, l'aidait. Oui, elle avait beau connaître cette femme depuis des années, leur relation n'allait jamais plus loin que des banalités, plus maintenant.

Et un jour, elle a fini dans son lit, découvrant que cette femme avait un sacré secret entre les jambes. Et quel secret plaisant ! Du fait que son mari ne la touchait plus, Miyuki avait beaucoup de frustration à rattrapé et aux cours de leurs entrevues, elle a découvert une nouvelle facette d'elle-même et elle ne regrettait rien ! Mais voilà, après bien des soirées ensemble, de cette double vie derrière ses enfants, et après en avoir parlé ensemble, si Megumi devait s'installer chez elle, l'aider pour qu'elle redevienne cette maman joyeuse qui s'occupe de la maison, de ses enfants, ect, Megumi devait habiter ici pour plus de facilité. Mais pour ça, il fallait que ses filles sachent et surtout, qu'elles l'accepte. À leur âge, il était plus facile d'accepter l'homosexualité, elles faisaient partie d'une génération qui se battaient de plus en plus pour cette cause, on en voyait de plus en plus à la télé, partout. Donc, la pilule serait plus facile à accepter ? En théorie... Miyuki avait fait croire qu'elle travaillait, mais elle avait retrouvé Megumi pour se détendre et revenir pour leur avouer tout cela. À son retour, elle appelait ses filles, étonnées de la voir déjà de retour et en compagnie d'une femme en plus, venaient l'écouter et voir ce qui se passait ? Il y avait Asuka, l'aîné de la famille, les cheveux roux, elle observait ce qui se passait sur le pas de la porte en se posant moult question, les bras croisés. À ses côtés, il y avait Maki, avec ses cheveux blonds, elle abordait un léger sourire, sûrement contente de déjà voir sa mère à la maison, sans être épuisée par tout cela, espérant quand même que son retour si tôt ne soit pas mauvais signe ? Et enfin, Tamaki, la dernière de la famille, elle n'était ni contente, ni furieuse de voir sa mère rentrée, elle abordait un petit air blasé, rien de plus.

« Les filles, je vous présente Megumi. Je sais que ses derniers mois n'ont pas été simples pour nous, avec tout ce qui a pu se passer... Je dois vous avouer aussi que pendant ses derniers mois, j'ai rencontré Megumi et pour être sincère... je... j'ai découvert que je l'aimais... Voilà... »

En prononçant ses mots, elle ferma les yeux, baissant la tête, à croire que c'était une enfant qui avait fait une bêtise et l'avouait à ses parents. Sauf que ce n'était pas une bêtise et que c'était elle le parent dans cette histoire. Bien qu'elle ne le voyait pas, Tamaki fut légèrement surprise, mais on ne pouvait toujours pas dire si elle en était ravie ou déçu. Maki au contraire restait heureuse à apprendre cela, mais Asuka et son air renfrogné ne faisait que froncer les sourcils plus encore.

« Voilà, du coup, si vous êtes toutes les trois d'accord, Megumi viendra habiter ici, seulement à cette condition. Elle pourra nous aider et ensemble, on pourra de nouveau devenir une famille, qu'est-ce que vous en dites ? »

Car bien sûr, son mari avait quitté la maison et coupé les ponts, à croire que ses filles, il n'en avait jamais eut ! Asuka ne disait rien, mais tourna les talons pour rejoindre sa chambre, de toute évidence, elle n'était pas d'accord. Face à leur ainée qui donnait son désaccord dans un silence glaçant, Maki venait prendre les mains de sa mère, gardant le sourire, tout le contraire de sa sœur ainée.

« Je suis contente que tu ailes mieux maman ! Je suis d'accord que Madame Megumi reste ici, si cela te rend heureuse. Il faudra juste apprendre à la connaître. »

Chose compliqué pour Asuka, mais au moins, ça en faisait une sur trois qui semblait d'accord, tout n'était pas perdue. Quant à Tamaki, elle continuait de rester loin, les mains dans les poches de sa veste.

« Comme Maki, si cela te rend heureuse, elle peut rester. »

Blasée, Tamaki était en réalité triste. Pas pour sa mère, mais sa vie connaissait depuis quelques mois que de mauvaises choses alors cette annonce pour elle était le prélude à une nouvelle déception, sûrement. Elle remontait doucement dans sa chambre, ça faisait deux oui, un et demi plutôt, mais c'est déjà ça. La moitiés du travail avait donc été faite. Maki s'inclinait respectueusement devant Megumi avant aussi de rejoindre sa chambre. Seules, Miyuki tombait dans les bras de son amante, beaucoup d'émotion pour elle qui avait les jambes molles !

« Cela s'est passé mieux que je ne le pensais... Tout n'est pas encore gagné pour autant. »

Rejoignant un endroit où s'asseoir, elle allait pouvoir se détendre un peu et souffler. Car Megumi n'avait pas juste ouvert les yeux de la jeune femme sur sa sexualité, elle était allé plus loin que ça, si bien qu'en la faisant entrée dans cette maison, elle lui avait aussi donné son accord pour qu'elle se rapproche de ses filles aussi. Elle va avoir bien du travail sur les bras.

« Tu penses que tu réussiras à les convaincre ? Enfin, Maki semble accepté, mais c'est surtout Asuka dont j'ai peur... Depuis le départ de son père, elle me défie toujours, tout ce que je dis ou je fais, elle n'est pas d'accord... C'est à croire que c'est ma faute si son père est parti et non l'inverse... »

Dit-elle en posant sa main sur la sienne.

Liste des personnages :

• Megumi, la petite-amie dominatrice de Miyuki,
• Miyuki Hitochi, la mère de famille,
• Asuka Hitochi, aînée de la famille,
• Maki, la cadette de la famille Hitochi,
• Tamaki, la benjamine de la famille.

Megumi Mishiro était la rédactrice-en-chef et directrice d’un journal à sensation,un tabloïd qui s’appelait Daily Japan. C’était un journal licencieux, proche de la revue pornographique, qui acceptait sa ligne éditoriale sur les fresques sexuelles. Le journal avait déjà eu son lot de procès, avec certains contradicteurs essayant de lui appliquer la stricte législation japonaise des revues pornographiques. Mais Megumi était une femme redoutable. Elle ne se laissait pas faire si facilement, et était une femme forte, de surcroît célibataire. Dans un pays aussi traditionnel que le Japon, son refus du mariage faisait jaser, suscitant autant l’admiration que le dégoût. De fait, Megumi se revendiquait très féministe, affirmant le droit à un « sexe féminin fort » qui avait comme autre finalité que de se marier aux hommes. Bisexuelle, Megumi avait aussi cette particularité d’être une Futanari, pouvant déployer une solide verge sous ses vêtements. Difficile de dire d’où cela venait, car beaucoup de légendes entouraient la sévère Megumi.

Elle dirigeait Daily Japan d’une main de fer, mais pouvait aussi se montrer très douce. Miyuki, sa secrétaire, en avait fait les frais. Quand Megumi avait appris que Miyuki était mariée, elle avait mené son enquête, et avait découvert que le mari de Miyuki la trompait. Megumi s’était débrouillée pour que Miyuki le découvre, et avait ensuite encouragé celle-ci à divorcer. Megumi lui avait payé un avocat qui avait réussi à ce qu’elle obtienne la garde de ses trois enfants. Megumi avait ensuite fait découvrir à Miyuki une autre conception de la vie.

Le divorce était prononcé depuis plusieurs semaines, et Miyuki avait entamé une intense relation sexuelle avec sa patronne. Megumi était redoutable, faisant preuve d’une endurance exceptionnelle, et adorait Miyuki. Elle avait souvent eu des amants et des amantes, mais Miyuki n’était pas comme les autres. Elle était sa petite soumise, et Megumi adorait la faire travailler ne lui enfonçant un plug anal, ou en lui mettant des sous-vêtements très sexy.

Ce soir, leur relation avait franchi une étape en rencontrant les filles de Miyuki. Asuka, qui était la plus proche de son père, fut la plus réfractaire, ce que Megumi sentit clairement. Il en faudrait toutefois plus pour la décourager. Megumi disposait de plusieurs détectives privés, ce qui lui avait notamment permis d’être au courant des infidélités du mari de Miyuki, et elle savait qu’Asuka aimait le journalisme, et recherchait un stage… C’était presque trop facile !

Après un agréable repas, le duo se retrouva dans la chambre de Miyuki, et Megumi se dépêcha de déshabiller sa future femme. Elle lui amenait toujours de nouvelles tenues sexy, et, tandis que Miyuki lui faisait part de ses angoisses, Megumi la déshabilla et la rhabilla lentement.

« Ne t’inquiète pas, Miyuki-chan, je sais déjà comment je vais faire… Ta fille va bientôt rechercher un stage, non ? Et, comme elle aime les journaux, je suis sûre que nous arriverons à lui trouver un stage dans mes locaux… »

Elle termina de son côté d’habiller Miyuki, optant pour une superbe tenue, comprenant des sous-vêtements en dentelle légèrement transparents. Des porte-jarretelles et un assemblage de lacets décoraient ensuite son torse, mettant ses lourds seins à l’air, l’ensemble se parachevant par un collier avec une laisse que Megumi attrapa, tout en amenant Miyuki à genoux devant elle.

« Mais trêve de parler de tes enfants, Miyuki-chan ! Cela fait plusieurs heures que je n’ai pas fait l’amour à ma belle chienne, et cela me manque… Tu n’as pas honte de ne pas soulager ainsi ta Maîtresse ? »

Miyuki savait que ça n'allait pas être une soirée comme les autres, elle espérait que ses filles seraient d'accord pour voir habiter Megumi ici. En plus de l'aide qu'elle pourrait apporter ici, cela aiderait vraiment Miyuki. Mais aussi soumise était-elle, elle avait imposé une condition pour que cela se fasse, que ses trois filles acceptent sa présence ici. Même si elle avait réussi au deux tiers – Tamaki semblait neutre, mais elle penchait un peu plus vers le oui – Asuka semblait ne pas être d'accord, elle l'avait montré sans un mot. Elle craignait que ce soit elle qui soit le petit caillou dans sa chaussure. Elle avait beau aimé sa patronne, quand il s'agissait de ses filles, elle y pensait en priorité, il suffisait de voir son inquiétude sur son visage pendant que Megumi la déshabillai pour lui mettre une tenue plus en accord avec leur petite soirée, pour la première fois dans sa chambre. Pas un hôtel, pas le bureau de sa patronne ou sa chambre à elle, non, la chambre de Miyuki, sa maison... Ayant terminé de l'habiller pour la soirée, elle la fit mettre à genoux, comptant bien s'occuper d'elle avant de mettre en place son plan pour qu'Asuka change d'avis. À genoux, elle levait le nez vers Megumi, un léger sourire qui masquait une légère inquiétude, elle déposa un baiser entre ses cuisses, sur sa jupe.

« Pardon, Maîtresse. Je ne pense qu'à moi. »

Son visage s'enfonçait entre ses jambes, y frottant son visage, elle tentait de faire en sorte que sa maîtresse se détende un peu à son tour. Quand elle se sera déshabillée, ça voudrait dire que ça allait commencer. Ça, ou sentir une bosse lui cogner le visage sous sa jupe, au choix. Cependant, Miyuki avait prévu une petite surprise pour cette première soirée dans sa chambre. Elle cessa de frotter son visage, relevant les yeux vers sa jolie maîtresse.

« Maîtresse, je vous ai préparé un dessert, mais je ne sais pas si vous préférer le manger d'abord ou si je le fais en premier ? »

Son regard se tournait vers la table de nuit où trônait un tube de crème chantilly, mais ce n'était pas tout, un bol de cerise, des pépites de chocolat, des vermicelles de sucre, il y avait de quoi se régaler sur le corps de l'autre, évidemment, les deux en même temps serait compliqué à mettre en place. Reste à voir si Magumi voulait savourer cela sur son corps ou bien si cela allait servir de préliminaire pour Miyuki qui pourrait se régaler sur le corps de sa patronne.

« Maîtresse sait bien à quel point, je suis une gourmande après tout... »

Miyuki n'avait pas quelques rondeurs pour prouver cela, mais il faut croire que cela se stockait dans sa poitrine ou dans son joli cul bien rebondi qui plaisait tant à son amante. Elle l'observait, se mordant la lèvre inférieure, se demandant bien si elle avait faim... ou si elle allait se délecter de la voir manger d'abord ? Dans les deux cas, leur petite soirée allait pouvoir réellement commencer.

Dire que Miyuki était perverse serait véritablement un euphémisme. Derrière son air affable et doux, elle avait été éduquée à bonne école par Megumi. La redoutable rédactrice-en-chef avait jeté son dévolu sur sa belle Miyuki, et la baisait pour ainsi dire tous les jours. Elle ne s’inquiétait donc pas outre mesure pour les filles de Miyuki, que Megumi tendait déjà à considérer comme ses belles-filles. Il était compréhensible qu’elles puissent avoir du mal avec elle, car elles devaient encore avoir des bons souvenirs de leur paternel, mais Megumi allait s’occuper de les faire changer d’avis… D’autant qu’elles étaient désormais toutes attirantes, avec un corps mâture et ferme. Mais cela, elle n’en avait pas encore parlé à Miyuki, ne voulant pas brûler les étapes. C’était précisément ce qu’elle comptait faire ce soir… Tout en la baisant.

Les deux femmes n’avaient encore jamais fait l’amour chez Miyuki. Elles l’avaient fait au bureau, dans la rue, ou dans l’appartement de Megumi, mais jamais ici, dans ce doux cocon familial. L’excitation de cet environnement nouveau ne manquait pas de durcir la queue de Megumi, qui refréna son envie de lui sauter dessus, et l’habilla au contraire proprement, faisant ainsi doucement monter le désir chez Miyuki. La patronne sourit ensuite doucement quand Miyuki lui révéla qu’elle avait préparé de la nourriture. C’était l’un de ses péchés mignons. Le cerveau de Miyuki associait le plaisir sexuel au plaisir gustatif, et, quand elles allaient chez Megumi, il était fréquent qu’elles fassent l’amour au moment du repas.

« Maîtresse le sait, en effet… »

Megumi était encore habillée, et commença par retirer sa veste, puis sa jupe et sa chemise. Sous ces vêtements, Megumi portait une très belle guêpière noire en dentelles, qui moulait parfaitement son dos. Un superbe assemblage, tandis que son épaisse verge se dressait joyeusement devant le visage de Miyuki. Megumi attrapa alors la bombe chantilly, et la secoua, puis l’aspergea sur sa queue. Elle frémit à ce contact, et continua à vaporiser, venant enduire sa belle verge, jusqu’à la recouvrir.

« Dépêche-toi de me sucer avant que ça coule, petite chienne, ou Maîtresse devra te punir… » haleta alors Megumi, très excitée.

Miyuki était à genoux devant Megumi, dans une très jolie tenue, elle n'attendait plus qu'elle ne s'occupe d'elle ou bien qu'elle commence. Ça dépendait des jours, parfois elle venait la prendre directement, sans tourner autour du pot et parfois, Miyuki devait l'astiquer de bien des façons avant que sa longue et belle queue ne la pénètre. Elle observait sa maîtresse en contre-plongé, belle, grande, raffinée, sexy et autoritaire. Elle avait tout pour plaire et on comprenait pourquoi Miyuki était sa chose. Gardant son calme, elle attendait que sa maîtresse se décide après avoir vue qu'elle avait préparer tant de chose pour rendre leur petite séance des plus appétissante ! Crème chantilly, cerise, pépite de chocolat, vermicelle de sucre, leur séance allait être savoureuse ! Megumi agita le tube avant d'en recouvrir sa longue queue ! Belle et palpitante, entièrement blanche et sucrée ! Elle était plus belle encore que d'habitude. Le souffle chaud de Miyuki était haletant alors qu'elle se jetait dessus, dévorant sa queue avec un si grand appétit. Peu importe que ses lèvres soient barbouillées de blanc, tout comme le bout de son nez, elle suçait, enfonçant cette belle et longue queue si délicieuse dans sa bouche !

« Huuuuummmm ! Huuuuuummmmmmm ! »

Elle se tenait à elle, ses mains sur les hanches, elle dégustait sa longue queue à la chantilly, sa langue n'en loupait aucun petit morceau, et même si elle en avait étalé autour de la base de sa queue tant elle avalait sa queue en entier, elle ne manquerait pas de la nettoyer. Peut-être sa maîtresse en fera autant avec son visage ? Miyuki continutait de la pomper avec appétit, une très légère petite flaque prenait forme entre ses cuisses sur le sol de sa chambre. Si elle voulait tant que Megumi prenne une place si importante dans sa vie, de la voir habité ici et que ses trois filles soient d'accord, c'était pour une raison bien précise, mais il était trop tôt pour en parler, elle voulait déjà voir comment elle s'en sortirait avec ses filles. Miyuki n'était pas naïve, elle savait bien que Megumi pourrait coucher avec elles, elles étaient assez grandes pour ça, même si légalement, ça se discutait, mais ce n'était plus des petites filles. Elles étaient plus proches de l'âge adulte que de celui de petite fille. Qu'elle le fasse ou non, elle s'en fichait, du moment que ses enfants étaient d'accord pour la voir habitée ici. Elle n'imposait pas que ses filles l'appellent elle aussi maman, mais au moins, qu'elles l'acceptent sous ce toit et qu'elle puisse partager leur vie et celle de leur mère. Du moment qu'elle ne leur faisait pas de mal, elle serait d'accord.

Terminant d'avoir nettoyé sa queue, même si comme prévue, la base de sa queue ainsi que le bas du visage de Miyuki étaient barbouillé de blanc, elle tenait son pénis, la masturbant doucement en levant son petit nez vers elle, laissant sa petite flaque de mouille grandir doucement, mais sûrement entre ses cuisses.

« Votre petite cochonne à tout nettoyer, maîtresse... Mais elle a encore faim... »

Une deuxième couche pour lui faire plaisir ? Sauf si elle préfère lui donner de sa vraie crème chantilly à la place ou même, peut-être que maintenant elle avait faim elle aussi et voulait sa part du gâteau avant que Miyuki ne soit trop gourmande et ne lui fasse utiliser toute sa crème chantilly sur son corps. La jeune femme n'était pas enrobée, mais elle était très gourmande, et ce n'était pas pour rien aussi que Megumi aimait tant son cul bien ferme et rebondie.

Megumi aimait fortement sa petite Miyuki, à tel point qu’elle ne se voyait pas continuer comme ça leur relation actuelle. Miyuki avait toujours eu peur de conduire Megumi chez elle, peur de la confronter à sa famille, et à l’éventuelle hostilité de ses filles. Après tout, celles-ci avaient déjà eu un père, et Megumi venait remplacer ce souvenir. Mais, finalement, tout s’était plutôt bien passé, et Megumi sourit en voyant Miyuki avaler sa verge. Elle avait droit à sa bonne crème chantilly, et la femme soupira doucement, sa verge ne tardant pas à se durcir joyeusement. Elle bandait fortement, comme à chaque fois qu’elle sentait la bouche de sa partenaire sur sa queue. Ce contact était délicieux, et Megumi soupirait lentement, sa verge se durcissant dans la bouche de Miyuki, qui s’arrêta toutefois après avoir avalé la crème. Il en restait un peu sur le pourtour de ses lèvres et sur la base de la verge de Megumi, qui fixait silencieusement sa partenaire, très excitée, avec une envie furieuse de baiser Miyuki.

« Oui, je vois ça… Une vraie cochonne, en effet… Mais c’est ça que j’aime chez toi, Miyuki-chan, c’est pour ça que je suis ta Maîtresse… »

Elle caressa le visage de la femme avec sa verge, serrant sa main sur son membre. Elle promena sa queue sur son visage, glissant sur ses joues, sur son nez, s’amusant doucement avec elle, un sourire amusé et mielleux sur le coin des lèvres. Megumi dominait tranquillement la situation, et frottait sa grosse queue sur le visage de Miyuki. La jeune femme attendait ses ordres. Megumi réfléchissait doucement, pensant à la suite. Allait-elle se contenter d’une fellation ? Ou allait-elle demander davantage ? Le choix lui appartenait !

Finalement, la dominatrice opta pour son choix :

« Je vais nourrir ta bouche du bas, alors… »

Megumi s’allongea alors au milieu du lit, et étira ses jambes, soupirant doucement. C’était un très bon lit, très ferme, très agréable, et elle observa Miyuki en souriant lentement, une lueur perverse venant illuminer ses yeux.

« Ma queue t’attend, viens danser sur moi, petite chienne... Mais, avant, je veux que tu te mettes ton collier, et que tu me donnes ta laisse ! Après tout, une chienne sans collier, ça ne va pas, car les bonnes petites chiennes ont un collier pour que leur Maîtresse ne les perde pas, tu n’es pas d’accord ? »

Miyuki était vraiment folle de sa maîtresse, elle n'avait jamais autant aimé baiser avec quelqu'un même si en seule comparaison, elle n'avait que son ancien mari, ce qui ne faisait pas un large éventail de possibilité, mais Miyuki ne pouvait pas refuser grand-chose à Megumi. Suçant sa délicieuse queue pleine de chantilly, elle savait que ses lèvres en seront sûrement toutes barbouillées, mais que voulez-vous, elle était vraiment accroc à tout ça. À Megumi, à la domination, au sexe délicieusement savoureux, oui, sa vie n'était vraiment plus la même depuis que sa patronne l'avait prise dans ses bras un soir alors qu'elle n'allait pas bien... C'était là que tout cela avait commencer et elle n'aurait jamais cru que tout cela irait jusqu'ici. Elle la dominait, debout, la queue tendue alors que Miyuki avait déjà tout engloutie, elle l'observait, la dominant rien que par le regard alors qu'elle se demandait quoi faire, sa bite lui passant sur le visage, mais finalement, elle voulait la remplir et allait donc se poser, pour la première fois dans le lit de Miyuki. Le lit familiale où Megumi y trônait déjà, à croire que tout était déjà décider. Confortablement installée, sa queue était fièrement dresser comme pour indiquer où Miyuki devait se poser.

« Je vais vous chercher ça de suite, maîtresse. »

Miyuki sortie une petite boite cachée en haut d'un placard, le genre de choses que les enfants ne devaient pas trouver même si actuellement, elles étaient en âge d'atteindre facilement cette boîte, et même d'imaginer ce genre de scène. Bon, peut-être pas avec leur mère dedans, mais voilà quoi, elles se posaient bien des questions sur le sexe. Miyuki installa son collier en tenant sa laisse, la tendant à sa maîtresse avant de prendre place sur le lit, chevauchant Megumi, sans encore s'emboîter dessus. Sa fente était juste au-dessus, les quelques gouttes de cyprines coulait sur sa queue alors qu'elle observait sa maîtresse, le souffle lourd, presque en tremblant.

« Maîtresse... donner-moi l'ordre de m’asseoir... s'il vous plaît... »

Miyuki était une cochonne, ce n'était pas nouveau, mais elle allait devoir se contenir ici, elle ne pouvait pas crier comme bon lui semble, elle devait se retenir. Ce ne sera pas comme chez sa maîtresse, mais ça rendait aussi cela un peu plus excitant. Ça, et le fait de savoir qu'elle allait devoir s'entretenir après avec chacune de ses filles. Oh, elle savait que « s'entretenir » voulait dire et à dire vrai, ça l'excitait un peu... un peu beaucoup. Elle observait sa maîtresse, très impatiente et assoiffée de sexe, elle allait prendre son pied comme pas possible et dans sa chambre à elle, ça voulait tout dire. Une étape de plus de franchit, mais pour que cette étape soit validé, il fallait l'aval de ses trois filles. Il le fallait bien après tout, c'était le début de sa nouvelle vie à elle, mais pas seulement, la nouvelle vie de Megumi aussi. La belle mère de famille avait tenu à ce que Megumi fasse partie de la famille, ce n'était pas juste par souci financier, c'était pour devenir une vraie famille. Elle, ses filles, sa maîtresse et bien sûr, leur futur enfant... Eh oui, son mari avait fini par délaisser sa femme, car, à peine avait-elle accouché que peu de temps après, elle retombait enceinte. Même en ayant été délaissé pendant plusieurs années, cela n'avait pas changé pour Miyuki sauf que cette fois, c'est Megumi qui avait été planté sa petite graine.

Pour Miyuki, il n’y avait désormais plus aucun retour en arrière possible. Sa patronne, Maîtresse et amante, comptait lui faire l’amour ici, et rejoindre ensuite sa famille. Elle n’avait pas de famille, alors elle prendrait celle de Miyuki, et offrirait sans doute à ces dernières un nouveau membre dans leur fratrie. Même si Megumi était autoritaire et dominatrice, elle n’en restait pas moins, à sa manière, amoureuse de sa partenaire. Elle voulait fonder avec elle une famille, mais une famille très particulière. Miyuki récupéra le collier avec la laisse, dans un endroit peu prudent… Comme si elle espérait peut-être, inconsciemment, que ses filles trouvent cet objet. Miyuki en profita évidemment pour se rincer les yeux, observant le magnifique cul rebondi de sa partenaire. Elle était vraiment magnifique, et que personne n’ait pu la baiser après la mort de son mari était pour Megumi une incompréhension totale. Mais, à vrai dire, pour amener Miyuki à oublier la mort de son mari, Megumi avait dû la forcer un peu. Elle avait craqué sur le cul de Miyuki dès l’entretien d’embauche, et l’avait embauché en grande partie pour pouvoir coucher avec elle… Un critère qu’elle avait appliqué à une bonne partie de son personnel. Mais elle avait au début forcé Miyuki, menaçant de la licencier, et la droguant au passage. Le fait est que sa secrétaire avait très rapidement pris goût à ça, car Megumi avait soigneusement préparé le terrain, jouant pendant de longues semaines sur sa frustration.

Miyuki se retourna ensuite, et mit son collier, lui tendant sa laisse. La verge de Megumi s’était alors bien redressée, et la Maîtresse sourit, attrapant la laisse, et vit Miyuki s’asseoir au-dessus de sa verge. Leurs regards se croisèrent, et Megumi sourit doucement. Elle sentait toute l’excitation de Miyuki, qui demanda alors l’autorisation de pouvoir s’empaler sur sa verge. Megumi la regarda à nouveau en fronçant les sourcils, et tira sur la laisse.

« Depuis quand une petite esclave me donne des ordres ?! »

La femme soupira doucement, et s’amusa à sentir la mouille de Miyuki sur sa verge.

« Quelle chienne… Tu as vraiment l’air en manque, alors que je t’ai baisé il y a à peine quelques heures ! »

Ce n’était pas la première fois que Megumi la narguait ainsi, c’était clairement une manière de l’influencer, de jouer avec sa nervosité. Elle s’amusait de cette situation, et soupira à nouveau.

« Mais je serai généreuse ce soir, ma chérie, malgré ton insolence… Viens danser sur ma queue, ma petite-chérie, je sais qu’elle te manque… »

Megumi n’allait pas se contenter que de ça, mais elle comptait pour l’heure laisser Miyuki jouer avec sa verge…

Miyuki était vraiment amoureuse de sa patronne, cela ne faisait plus aucun doute. Par amour ou car elle était vraiment excitée, elle acceptait de se faire traiter de chienne, d'en être une si cela plaisait à la sublime femme qui prenait de plus en plus de place dans sa vie. Quand son mari l'avait quitté, claquant la porte une bonne fois pour toute derrière lui, elle était perdue, anéantie. Se retrouvant mère célibataire à élever trois grandes filles ! Dans un sens, heureusement qu'elles étaient grandes, en bas âge, ça aurait été pire ! Mais voilà, depuis, elle apprenait à reprendre goût à la vie, surtout depuis qu'elle a laissé sa patronne l'aider comme elle pouvait. Ça a commencé avec juste une compassion entre femmes, un câlin, des mots réconfortant puis, ça a vite dérapé, un baiser par-ci, une première relation entre femmes, de nouvelles expériences, passant par du sexe plus hard, s'étonnant de voir avec un pénis être aussi excitant. Oui, avant, les seules femmes à pénis qu'elle a pu imaginer, c'était des transsexuel et sans forcément cracher dans la soupe, elle n'arrivait à les imaginer que vraiment en une parodie de travesti à peine rasé et maquillé...

Mais passons à autre chose, car ce soir, c'était la première fois que sa maîtresse allait lui faire l'amour dans son lit, peut-être bientôt leur lit. Miyuki allait devoir faire attention à deux choses ce soir, ne pas crier trop fort et ne pas abuser du temps de sa chérie. Aussi excitée soit-elle, elle devait laisser Megumi partir voir ses filles les convaincre qu'elle avait sa place dans cette famille, qu'elle sera en quelque sorte leur belle-maman. Mère indigne ou juste ouverte d'esprit, elle laissait carte blanche à Megumi, du moment qu'elles étaient consentantes, cela va de soit. Elle ne se faisait pas trop de soucis pour qu'elle puisse réussie à se faire une place, c'était son ainée qui l'inquiétait surtout. Sans être forcément proche de son père, elle pensait que son départ était de la faute de sa mère et que tout ce qui se passait depuis, c'était à cause d'elle. C'était lui qui trompait sa femme, lui qui les avaient abandonner, mais pour elle, c'était la faute de sa mère. Les jeunes étaient vraiment étrange de nos jours... Placée au-dessus de son sexe en érection, elle n'attendait qu'une chose, que Megumi la fasse s’asseoir sur sa queue et qu'elle prenne à nouveau son pied ! Les joues rouges, elle observait sa maîtresse avec envie alors qu'elle la dénigrait, mais ce n'était pas de sa faute... elle était toujours très excitée en présence de cette femme, elle avait un effet aphrodisiaque sur elle.

Et quand cette dernière pu enfin s’asseoir sur elle, elle mit une main sur sa bouche, retenant un petit cri de plaisir. D'ordinaire, chez Megumi, elle ne se privait pas de crier tout son amour, mais là, elle devait faire attention à ne pas trop en faire, à se contenir. Si ses filles entendraient... bon, elle a présenté Megumi donc elles se doutaient qu'elles étaient ensemble mais quand même... un peu de retenue. Sa lourde poitrine remuait quand elle rebondissait sur elle, ses belles formes rendaient cette femme tellement attirante, tout chez elle était parfait. Sa poitrine, ses fesses, ses hanches, oui, c'était une maman, une maman très sexy, tenue en laisse par sa patronne. Elle gardait une main devant sa bouche pour éviter tout accident de sa part. Elle était en train de prendre son pied, le faire dans sa chambre donnait déjà un tout autre aspect à leur liaison, elle se voyait déjà dormir avec elle ici, dans sa chambre, dans son lit, chaque soir, en se réveillant à ses côtés. Oui... Miyuki voyait là une nouvelle vie des plus agréable.

« Haaaaan, maîtresse.... huuuum, c'est tellement, haan, booooon~ »

Sa petite chienne était heureuse de se faire prendre par Megumi, heureuse de sentir sa verge si bien lotie en son sein. Ses filles étaient sûrement loin de se douter ce qui se passait dans la chambre de leur mère et de ce qui pourrait bien arrivée ensuite pour elles aussi.

« Haaaaaaaaaan... Remplissez-moiiiiiii... Huuuuuuuuum... Je veux avoir la chatte... plein de foutre ! »

A la fois vicieuse et donnant des ordres... Ce n'était pas bien pour une esclave, mais justement, Megumi savait qu'elle n'était pas une bonne esclacve, mais qu'elle était une excellente chienne par contre. Toujours excitée, prête à baiser avec à la moindre occasion. Miyuki avait déjà intéromput une réunion, prétextant une urgence à régler ailleurs pour se faire prendre dans les toilettes. La mère de famille était constamment en manque, elle avait tant d'années de sexe à rattraper...

L'appétit sexuel débridé de Megumi avait trouvé avec Miyuki un parfait réceptacle. Megumi estimait que sa nature hermaphrodite entraînait un léger dérèglement de ses hormones, se traduisant par un appétit sexuel insatiable, et par une envie féroce de baiser à tout-và. Miyuki, qui était une grande frustrée, ne pouvait que correspondre à ce schéma. Au bureau, Megumi la baisait régulièrement. Son bureau avait l'avantage d'être insonorisé, alors elle convoquait très souvent Miyuki pour la besogner avec énergie et force. C'était tout ce que les deux femmes voulaient... Du moins, pendant un temps. Mais, maintenant, Megumi en voulait plus. Elle voulait sa belle Miyuki, mais aussi toute sa famille. C'était une forme d'amour dévorant qui avait progressivement crû en elle. Et, maintenant, le résultat final était là... Miyuki se trouvait devant elle, dansant sur sa verge, s'empalant sur sa hampe de chair. Elle posait sa main sur sa bouche, afin de retenir ses soupirs, sous le regard ravi de Megumi. L'hermaphrodite dominatrice souriait doucement, ses mains posées sur les hanches chaudes et douces de sa partenaire.

Sa queue était bien dure, et remuait dans le corps de sa partenaire. Le spectacle était exquis, tout simplement. Miyuki se tortillait sur place, s'adaptant petit à petit à ce rythme, et Megumi ne cherchait pas encore à trop la titiller. Il ne fallait pas heurter l'esprit maternel d'une jeune femme, après tout, et, quand Miyuki commença enfin à pouvoir lui parler, le sourire de Megumi se creusa légèrement. Elle tira alors sur la laisse, et le corps de Miyuki se colla contre le sien, la jeune femme tombant vers elle. Megumi attrapa ensuite ses cheveux d'une main, et l'embrassa énergiquement, suavement.

« Hmmm... »

Elle tenait Miyuki par le collier de l'autre main, glissant ses doigts dessus pour l'agripper, et continua à goûter avec appétit à ses lèvres. Sa verge se durcissait lentement en elle, enflant joyeusement. Miyuki se tortillait sur place, et Megumi prenait un malin plaisir à ne pas trop bouger. Elle voulait que la frustration croisse encore dans le corps de la jeune femme. Megumi termina sa session en déplaçant sa main, et claqua le cul de Miyuki, puis la retourna d'un coup de reins.

Miyuki se retrouva sous elle, le corps massif de Megumi s'écrasant sur son corps, en position de missionnaire.

« Là, comme ça... C'est mieux, non ? Je peux mieux te voir prendre ton pied... Tu aimes ça, hein ? Sentir ma grosse sucette dans ta petite chatte... »

Un sourire amusé éclaira les lèvres de la jeune femme, et elle continua à la prendre, remuant d'avant en arrière. Elle la pénétrait avec énergie, accélérant progressivement, se délectant de voir Miyuki lutter contre son envie d'hurler, et alla encore la provoquer, en la mordillant dans le creux du cou. Elles avaient plutôt l'habitude de faire l'amour debout, ou contre un mur ou sur un bureau. Alors, dans un lit, Megumi optait pour des positions plus classiques, écrasant son solide corps contre celui de sa partenaire et esclave, curieuse de voir jusqu'à combien de temps elle se retiendrait pour ne pas hurler...

Miyuki se plaisait dans sa relation avec sa patronne. Sa vie n'avait pas toujours été rose en terme amoureux. Un mari qui était de plus en plus détaché de leurs couples, une vie de famille trop tôt, un amour pas si réciproque, elle ne saurait pas dire ce qui a clocher dans sa vie de couple, mais depuis le départ de son mari, Megumi avait été un second souffle. Un amour inattendu envers le même sexe et elle ne fut pas si perdue en découvrant que sa patronne était doté d'un pénis. On était bien loin des traditions, loin du simple missionnaire, elle lui avait ouvert les portes d'un monde qu'elle ne connaissait pas. Et pour le moment, ce monde était merveilleux et passionnant. Tenue en laisse par sa patronne, elle remuant sur sa queue, dans son lit, un lit qui avait si peu servie au plaisir conjugal au final, mais qui, si Megumi vivait ici, risquait de rattraper bien du retard. Elle se bloquait la bouche pour éviter de crier trop fort, ses filles ont beau être de jeunes femmes, elles n'avaient pas besoin de savoir ce qui se passait dans la chambre de sa mère. Même si elle voulait qu'elles se rapprochent de Megumi afin de se faire accepter dans la famille, pour le moment, ça ne regardait que les adultes.

« Mmmmmmmmmmmh.... »

Megumi tira sur la laisse, la faisant tomber sur elle, pour un nouveau baiser toujours aussi savoureux, elle l'embrassait avec autant de passion que d'envie. Elle lui appartenait, comme une esclave, une chienne, mais même ainsi, elle était si heureuse de vivre cet « amour » avec elle. Même si Megumi la fessa, elle se retenait de crier, avant d'être retourné, laissant le rôle plus fatigant à sa belle patronne qui allait se faire une joie de la besogner !

« Haaaa... huuuuuu... Ouiiiii... j'adore... sentir ta grosse b-biiiiiite... en moi... Huuuuuuuum ! »

Ne pas crier était si difficile et ça n'allait pas devenir de plus en plus simple, au contraire. Elle se retenait, se mordant parfois la lèvre inférieure avant d'y ajouter sa seconde main pour se retenir. Elle était habituée dans son bureau ou chez elle à crier de vive voix son plaisir et sur ça, Megumi avait découvert que la discrétion et Miyuki, ça faisait deux. Alors le faire dans sa chambre, ça comptait beaucoup pour elle, mais c'était si dur ! Si délicieux et si tortueux à la fois ! Elle laissait son corps aux bons soins de cette splendide femme qui l'aimait alors qu'elle devait se concentrer pour ne pas craquer et dieu sait que ce n'était pas simple ! Elle se tortillait de plus en plus, sans craquer, pour le moment. Son corps ferme n'était pas tout jeune, mais même après avoir donnée à trois beaux bébés devenus de ravissantes jeunes femmes, elle était encore très sexy et attirante, comme le lui prouvait si bien Megumi qui ne se lassait pas de la prendre.

« Mmmmmmmm... haaaaaaa... Maî... maîtreeeeeeeesse ! »

La tâche était de plus en plus compliquée, elle ne savait pas si elle tiendrait le coup, elle sentait son énorme queue remuer en elle, venant se cogner au fond de sa chambre à bébé, ce qui ne l'empêchait pas de recommencer, se servant de son sexe comme d'un bélier enfonçant un château-fort. Mais aussi dur était la porte, elle risquait de craquer bientôt... était-ce de même pour sa maîtresse, rien n'est moins sûr...

Megumi était progressivement tombée amoureuse de Miyuki. C'était une grande première pour elle, car l'hermaphrodite n'avait jamais vraiment connu l'amour, tout au plus des conquêtes épisodiques. Elle était trop perverse pour pouvoir s'enticher d'une seule personne. Quand elle était étudiante, elle avait couché avec bien des personnes ! Sa particularité génétique inexplicable avait fait d'elle une femme spéciale, qui couchait aussi bien avec des hommes qu'avec des femmes. Très dominante, elle faisait aussi preuve d'une endurance sexuelle inexplicable, et avait pris soin de reconstruire Miyuki... À sa manière si particulière. Megumi l'avait initié au sexe, mais avait aussi noté que Miyuki n'était pas du genre... Discrète. Megumi et elle faisaient donc l'amour généralement après les heures de boulot, mais, pour l'habituer, Megumi faisait régulièrement des quickies avec elle le jour, la baisant contre le mur, ou lui ordonnant de sucer sa queue. Mais, même malgré tout ça, Miyuki restait toujours... Assez expressive. Et, si cela ne dérangeait pas Megumi en temps normal, ici, il fallait tout de même éviter que ses chères filles n'entendent ça.

La prenant avec énergie, Megumi avait opté pour une position classique, celle du missionnaire, car cela lui permettait de l'embrasser, étouffant ainsi ses gémissements, mais aussi d'étudier son visage, de voir quand elle allait couiner. Ainsi, Megumi allait l'embrasser, serrant sa main sur ses cheveux, tout en continuant à la bourrer.

« Oh, ma belle salope, j'adore aussi te fourrer, hmmm... »

Allait-elle se contenter uniquement de Miyuki ? Maintenant que Megumi avait vu sa petite famille, elle comptait vivre ici, avec elles, et les séduire toutes. Miyuki savait combien Megumi était gourmande, et la jeune mère de famille avait connu la douleur de tomber amoureuse d'un homme faible. Elle était tombée amoureuse trop jeune, et avait eu du mal à rebondir avec ses enfants. Elle avait donc accepté que Megumi forme ses filles, qu'elle les éduque sexuellement. Et puis, Megumi était après tout sa Maîtresse, celle qui avait réussi, le modèle pour Miyuki. Tout en la baisant, Megumi s'imaginait déjà un grand lit avec toutes ses filles ensemble, vénérant leur Maîtresse...

Megumi grogna doucement, et continua à la prendre, sa queue se mettant à se durcir encore. Les coups de reins s'amplifiaient profondément, accélérant et s'enfonçant dans la chatte de la jeune femme. Miyuki ne pouvait tout simplement pas lutter, et Megumi alla encore l'embrasser, longuement, serrant sa main sur ses cheveux. De la sueur commençait à perler sur son corps, et elle poursuivit son office, grognant encore.

« Hmmmm... »

Elle sentait Miyuki mouiller, mais la vit avoir son orgasme. Elle savait comment elle marchait, et elle le vit à son regard. En souriant doucement, elle la laissa jouir, et se relâcha à son tour. En grognant, Megumi s'abandonna sans problème à l'orgasme, inondant la chatte de Miyuki. Megumi grogna longuement en jouissant en elle, et reprit ensuite ses esprits. Megumi se coucha ensuite sur le dos, reprenant ses esprits progressivement, et laissa Miyuki se lover contre elle, sa main venant caresser ses cheveux.

« Tu es si belle, ma Miyuki... Tu sais... On en a déjà parlé, mais... Je pense arrêter de prendre la pilule. »


Megumi se tut pendant quelques secondes, et, quand Miyuki se redressa, elle enchaîna, confirmant ce qu'elle disait, et qui, pour elle, était assurément une grande révolution :

« ...Je veux que nous ayons un enfant, toi et moi. »

Miyuki se sentait si bien en compagnie de Megumi, même si ce ne fut pas simple de tourner la page et de se faire à cette idée d'être lesbienne – ou bi – elle était maintenant sûre d'une chose. Elle aimait sa patronne et il suffisait pour ça de voir ce qui se passait ce soir pour en être sûr. Elle l'avait invité chez elle, la présentant à ses filles, acceptant que sa Megumi couche avec ses filles si besoin pour se faire sa place dans la famille, car même si c'était sa condition pour qu'elle vive ici, Miyuki savait qu'elle réussirait à se faire accepter, tout comme elle a su la convaincre de coucher avec elle pendant le travail. Et puis, il y avait une autre raison qui grandissait doucement dans son ventre, mais elle gardait bien ce petit secret pour elle, pour l'instant. Megumi se donnait à fond, comme toujours même si pour le moment, ça restait un petit coup vite fait pour se mettre en forme, car après, elle devait encore avoir l'accord de ses trois filles. Un sacré programme pour la belle femme membrée ! Déversant son amour en elle, Miyuki se retenait de crier comme à son habitude, car dans des bureaux vides ou dans l'appartement de sa patronne, c'était si simple et si bon de crier de vive voix ! Si longtemps privée de sexe, elle rattrapait son retard avec elle désormais.

Blottie contre elle, une fois ses esprits calmés, Megumi pensait enfin à fonder une famille, ignorant qu'elle avait déjà fait le premier pas il y a quelques jours. Elle ignorait qu'elle comptait seulement arrêter la pilule, en tout cas, Miyuki ne se serait pas permis de la piéger, il faut donc croire que ses pilules ne fonctionnait pas toujours, ou alors qu'elle avait oublié de la prendre une fois ? Peu importe, Miyuki souriait en se blettissant encore plus contre elle, sa tête sur son épaule, elle était si heureuse.

« Merci, Megumi... Je serais heureuse de porter ton enfant et comme ça, ça prouvera bien que tu fait partie intégrante de notre famille. »

Elle ne sera pas juste la seconde mère des trois fille, elle sera aussi la mère de ce nouveau bébé et, dans un sens, fera un beau mélange dans la famille, mettant ainsi Megumi à une vraie place dans la famille. Cependant, même si ce bébé pourrait bousculer ses plans, elle tenait à ce que sa patronne et amante obtiennent l'accord de ses filles ce soir, que toutes les trois soient d'accord à ce qu'elle vive ici. Elle avait plus ou moins l'accord de deux de ses trois filles, ce qui était une bonne chose, mais il fallait s'en assurer, une par une. Une occasion pour elle aussi de se rapprocher de ses futures filles.

« Je sais que tu vas réussir à te rapprocher d'elles, ce soir... Mais j'ai quand même un petit doute concernant Asuka... je suis pas sûre qu'elle se laissera amadouer si facilement... Même si elle sait que son père est coupable, j'ignore pourquoi elle préfère laisser cette faute sur moi plutôt que sur lui... Elle te posera le plus de soucis je pense... »

Libre à elle de s'essayer à elle de suite ou à la fin, mais c'est d'Asuka que Miyuki avait peur de la voir lui tenir tête. Ça n'ira pas jusqu'aux mains – elle l'espérait du moins – mais elle pouvait être têtue, ça, elle le savait bien... Maki et Tamaki, ça devrait allez, elles semblaient pour mais elle...

« Tu pourras me les envoyer une fois que tu auras fini avec elles ? Je veux savoir leur réponse et ce qu'elles en penses de tout cela. »

Et accessoirement les rassurer si besoin. Elles risqueraient d'être serrée à cinq, mais si tout se passe bien, Megumi aura droit à une nuit d'orgie incestueuse, rien que pour ça, ça valait le coup de tenter le diable ce soir ! Bien sûr, entre temps, Miyuki aura enfiler quelque chose pour être moins vulgaire en présence de ses filles, mais une fois le tour des chambres finie, y a des chances que la vulgarité s'installe. Restait plus qu'à Megumi de finaliser son plan de bataille une fois sûre d'elle.

Megumi avait eu le temps d'y réfléchir, et elle était sérieuse là-dessus. Elle voulait offrir un enfant avec Miyuki, avoir un bébé avec elle. C'était la preuve du caractère très sérieux de leur relation, ce qui était une grande première pour Megumi, elle qui ne s'était jamais attachée à quiconque. Mais elle le pensait très sincèrement. Elle voulait s'unir à elle, fonder une famille. Miyuki restait contre elle, et sembla émue par cet aveu. Elle ne refusa évidemment pas l'idée de porter son enfant, et suggéra même d'aller convertir ses trois filles ce soir. Megumi écarquilla doucement les yeux, et sourit ensuite, puis posa un doigt sur ses lèvres.

« Ce soir ? Allons, ma chérie, c'est un peu trop précipité, tu ne crois pas ? »

Miyuki parlait sûrement sous l'effet de l'excitation, et Megumi l'embrassa encore.

« L'amour est une chose qui doit mûrir avec le temps... Tes filles viennent juste de me rencontrer. Si je te tente dès ce soir de coucher avec elles, elles vont se braquer. Je dois commencer par devenir un visage familier pour elles. »

Elle savait que Miyuki ne voulait pas que ses filles fassent la même erreur qu'elle, en tombant enceinte trop tôt, et d'individus qui se défausseraient de leurs responsabilités en les laissant. Cela avait singulièrement compliqué la vie de Miyuki, car, au Japon, il n'était pas si simple que ça d'avoir un travail quand on était déjà mère de famille et célibataire. Megumi avait accepté de l'embaucher, elle l'avait aidé à se reconstruire, à reprendre confiance en elle. Elle embrassa une nouvelle fois Megumi, tout en partageant le point de vue de la jeune femme.

Asuka serait sans doute la plus difficile à convaincre, mais Megumi avait suffisamment confiance en elle-même pour trouver un moyen de la convaincre. Elle embrassa encore celle qu'elle considérait comme sa femme, puis lui ordonna de se retourner, et de se cambrer en se mettant à quatre pattes.

« Pour l'heure, Miyuki, je vais me contenter de te baiser une bonne partie de la nuit... Et puis, je ne peux pas séduire tes filles d'un claquement de doigts, je dois trouver leurs failles, leurs honteux secrets à exploiter... »

Autrement dit, le fait que le sexe commençait à les intéresser, car, si elles pouvaient être proches de leur mère, leurs pulsions sexuelles n'étaient sûrement pas les choses qu'elles révéleraient sans ombrage à leur mère.

« ...Mais, pour le moment, je dois m'occuper des pulsions d'une jeune mère de famille, hmmm... »

Et, en disant ça, sa verge avait de nouveau retrouvé sa dureté naturelle, prête à agir...

Allait-elle trop vite ? Peut-être, mais Miyuki voulait tant voir ses filles accepter Megumi au sein de la famille, qu'ensemble, elles forment toute une grande et belle famille. Asuka était la plus compliquée du lot, même si la faute était celle de leur père que sa mère se retrouve ainsi seule à les élever, pour elle, elle y était pour quelque chose. Quoi ? Elle l'ignorait, mais pour elle, c'était trop facile d'accuser son père. Peut-être elle idolâtrait trop son père ou bien y avait-il une autre raison caché derrière ? Miyuki n'a jamais su vraiment s'ouvrir avec son ainée qui semblait voir toujours le mal avec elle... Maki, sa seconde fille était au contraire bien plus proches d'elle, toujours présente pour l'aider, elle l'avait bien vue en présentant Megumi, pour elle, c'était déjà un oui. Elle n'aura pas de mal à faire plus ample connaissance avec sa patronne, sûrement la plus simple des trois à convaincre. Et enfin sa dernière, Tamaki. Pas une enfant à problèmes, mais bon, elle a souvent été témoins des hauts et des bas de ses parents, c'était une enfant calme qui se réfugiait dans le dessin surtout. Elle soupçonnait peut-être qu'elle souhaite s'y investir un peu plus qu'un simple passe-temps, mais elle faisait peut-être fausse route ? Pour Megumi en tout cas, c'était trop tôt alors autant passer du temps entre elles, cela ne lui déplaisait pas après tout. Telle une poupée, elle se laissait manipuler et redresser sur le lit, à quatre pattes...

« Oooooh, Maîtresse.... Occupez-vous de mon gros cul si aguichant... »

Elle savait que sa petite amie aimait tant s'occuper de cette partie de la jeune femme, elle aussi adorait ça, et puis sentir sa vigoureuse queue lui défoncer l'arrière était toujours un véritable plaisir, se faire prendre ainsi, entre les ordres, les grognements, les coups de reins, les claques, elle était toujours ravie ! Même si ce soir, elle devait apprendre à exprimer son plaisir de façon plus discrète. Doucement, son fessier se balançait de droite à gauche, comme une magnifique hypnotisation. Belle et envieuse, elle se mordait la lèvre inférieure en la sentant approcher.

« Est-ce que Maîtresse préfère que je sois une gentille ou une vilaine chienne ce soir ? »

Cela ne faisait pas beaucoup de différence dans leur jeu, l'un ou l'autre, il y avait toujours une excuse pour se montrer plus douce au cours du jeu ou plus ferme ! C'était juste à voir ce que Megumi avait envie pour le moment en compagnie de sa chère et tendre.

Megumi avait un plan bien tracé, des objectifs. Avoir le cœur de Miyuki n’était que le début d’une stratégie conjointement discutée avec elle. Car c’était Miyuki qui avait souhaité que Megumi séduise ses filles. Elle refusait de les voir perdre leur première fois avec un adolescent idiot, elle refusait qu’elles fassent les mêmes erreurs qu’elle. Megumi était une femme responsable, qui éduquerait ses filles, et, à ses yeux, cela n’était pas incestueux, puisque Megumi ne partageait pas le sang de ses filles. Ceci étant dit, Megumi n’était pas contre voir Miyuki coucher avec ses filles… Et elle savait que cette idée traversait aussi l’esprit de Miyuki. N’était-ce pas la meilleure chose, pour une mère, que de voir ses filles devenir des femmes pleines et entières ? Restait encore à savoir par laquelle commencer, mais Megumi commençait déjà à avoir une petite idée…

…Enfin, pour l’heure, elle devait surtout s’occuper de la belle mère de famille. Celle-ci se mit à quatre pattes, frottant ses insolentes fesses contre sa verge. Sa croupe était toujours aussi agréable, et Miyuki savait combien Megumi aimait la prendre par là. La femme la besognait toujours avec un appétit féroce, avec une force incroyable. Elle lui détruisait joyeusement le cul en la perforant par l’arrière, que ce soit en intimité, ou même dans son bureau. Et là, ce soir, Miyuki lui laissait le choix… Être une gentille, ou une vilaine chienne ? Megumi sourit malicieusement, et frotta sa belle verge contre la croupe de Miyuki.

« Hmmm… Miyuki-chan est une incorrigible chienne… » gloussa Megumi.

Elle aimait ça, en réalité ! Ses mains caressèrent le cul de sa partenaire, le malaxant avec appétit. Elle se mordilla ensuite les lèvres, semblant peser le pour et le contre, puis commença à la fesser. Elle donna une première claque sur son postérieur, et sourit malicieusement.

« Qui donc Miyuki-chan essaie de tromper, hum ? Moi, je sais qu’elle est une vilaine chienne ! »

Souriant malicieusement, Megumi la fessa une nouvelle fois, puis frotta encore sa croupe, envisageant de la prendre par là… Et s’enfonça ensuite en elle, en grognant de plaisir ! Quoi de mieux qu’une belle sodomie pour finir cette jouissive soirée, après tout ?

Miyuki était amoureuse de celle qui fut sa patronne, peut-être pas au premier regard, car au début, elle restait fidèle à son mari, ne gardant que lui en vue, mais il ne la touchait plus, voyait d'autres femmes, et ce ne fut qu'une fois séparé que Megumi tentait son approche, pas avant. D'autant plus qu'avant ce jour, Miyuki n'avait jamais vraiment regardé les femmes. Mais il faut dire que sa beauté, sa prestance et sa verge ont eut raison d'elle. Maintenant, l'action se passait dans sa chambre, et même si elle ne pouvait pas hurler à loisir ici, le lieu intimiste de la chose rendait cela plus agréable malgré tout, un petit pas pour elles même si Megumi n'aura réellement sa place ici qu'une fois ses trois filles d'accord pour la voir habitée ici. Ce qui voulait dire, qu'elles devaient être d'accord que leur mère fréquente une autre personne, qui plus est, une femme. Pour les jeunes, ça serait plus facile à adopter, mais au Japon, voir des couples du même sexe, ce n'était pas si évident... Mais Miyuki avait confiance, elle réussira à obtenir leur accord, et même bien plus... Mais retournons en à ce petit jeu, croupe en avant, elle n'attendait plus que sa chère et tendre ne se décide pas. Sa longue verge glissant sur sa fente entre les fesses, elle se demandait ce qu'elle choisirait et ce fut d'abord une douleur qui passait sur sa peau, tandis qu'elle lui gifla le cul.

« Han ! »

Cria-t-elle doucement alors qu'elle venait s'enfoncer en elle, l'insultant de vilaine chienne. Oh oui, elle était si vilaine ! Si vilaine de lui cacher la surprise qui grandissait en elle, mais elle attendait le bon moment pour le lui annoncer, quand elle sera enfin acceptée dans la famille, par exemple. Elle avait tout fait pour le cacher, si bien que pour que Megumi le sache, il fallait qu'elle soit sur écoute ou suivi par un détective. Après tout, annoncé une telle chose dans une relation si jeune, ça pouvait chambouler bien des choses donc... retarder un peu l'annonce, c'était aussi s'assurer que tout soit parfait dans un avenir proche, non ? En autant d'années de mariage, elle avait fait l'amour que si peu de fois, sous prétexte qu'elle tombait trop vite enceinte – ce qui n'était peut-être pas si faux – alors faire autant l'amour avec elle, c'était une libération pour elle. Elle rattrapait tant d'années de retard avec Megumi, elle en devenait folle de joie !

« Haaaaaan, ouiiiiiiii.... Je suis une vilaine chiiiiiieeeeeeeenne ! »

Elle arrivait à retenir sa voix, mais elle avait malgré tout quelques pics de montée de voix, rien qui n'irait déranger ses filles, mais elle veillait à ne pas les déranger tout en maintenant son plaisir. Le haut de son corps s'écrasait sur le lit, sentant son cul si voluptueux et si beau rebondir tendrement contre elle, un plaisir sans nom pour elle qui sentait sa grosse queue labourer son petit anus ! Elle avait eu le temps de bien s'y installer depuis, mais quand même. Elle grimaçait de plaisir en bavant sur son lit, elle aimait lui appartenir, n'être qu'à elle. 

Séduire toute la famille de Miyuki était l’objectif recherché par Megumi, mais cela ne se ferait pas du jour au lendemain. C’était un travail de longue haleine qui allait se faire ! Pour ça, elle avait besoin de temps, et du soutien inconditionnel de Miyuki. Mais ça, honnêtement, elle pensait déjà l’avoir ! Miyuki-chan lui était totalement soumise, et c’était quelque chose de particulièrement gratifiant pour elle. Megumi s’empressa donc de la pénétrer, s’enfonçant sans ménagement dans sa délicieuse croupe. Elle la sodomisa avec appétit, et serra ses mains sur ses hanches, grognant doucement.

« Hmmm… Mi-Miyuki-chan est si serrée, haaa… »

C’était le moins qu’on puisse dire ! Quel cul serré ! C’était à croire que les parois anales de Miyuki se refermaient très rapidement après qu’elle la pénétrait ! Pourtant, ce n’était pas la première fois que Megumi la prenait par là ! Mais, à chaque fois, elle se montrait très résistante ! Elle sentait Miyuki soupirer longuement, se mordillant les lèvres en essayant de retenir autant que possible ses cris. Dans la maison familiale, hors-de-question de se laisser aller, et de se faire surprendre par ses enfants ! Megumi pouvait le comprendre, et s’en amusait volontiers, jouissant de voir ainsi son amante, sa belle chienne, devoir retenir tout ce plaisir, toute cette vague qui ne demandait qu’à sortir et à s’exprimer !

Miyuki-chan se laissait aller, mais devait faire attention à ne pas crier trop fort… Ce qui se compliqua surtout quand Megumi se mit à la fesser. Sa main se releva, et s’abattit énergiquement sur son fessier, la faisant joyeusement couiner.

« Hihi… Pas trop fort, Miyuki-chan, tu ne voudrais pas choquer tes filles, n’est-ce pas ♥ ? »

La manière dont Megumi parlait signifiait nettement qu’elle la provoquait, s’amusant de ses réactions nerveuses et précipitées. Elle s’enfonçait encore en elle, jusqu’à la coucher sur le lit, et s’allongea dans son dos. Ainsi, Miyuki pouvait étouffer ses cris contre le lit, et sentit Megumi l’embrasser dans le creux du cou, mordillant sa peau. Megumi savait que Miyuki était perverse, mais elle était aussi très romantique, alors, tandis qu’elle ralentissait un peu le rythme du fait de sa position, elle se laissa aller à quelque confession :

« Je t’aime, ma Miyuki-chan… Profondément, hmm… »

N’était-ce pas là tout ce qu’on avait envie d’entendre ?

Miyuki était très amoureuse de Megumi, c'était évident. De sa vie, elle n'a eu que deux amours, le père de ses enfants qui s'est vite lassé de sa femme, et sa patronne qui avait été d'un grand soutien quand tout allait mal, lui faisant ouvrir sur ses sentiments envers cette autre femme. Alors oui, si elle voulait la voir être une chienne, elle le serait. Et de même qu'elle voulait voir sa famille s'attacher à elle, pour former une vraie grande famille. Ce n'est pas pour rien qu'elle cachait ce secret dans son ventre, qu'elle voulait lui présenter ses filles et que tout aille bien dans le meilleur des mondes. Elle voulait préparer le terrain et si pour cela, elle devait faire de ses trois filles des femmes, elle était prête. Si ses filles devaient aussi aimer leur nouvelle maman comme elle l'aimait, soit, elle l'acceptait. Elle a toujours eu la fibre maternelle, voulant rester proche de ses enfants et, jusqu'à en venir à l'inceste, c'était peut-être pousser le bouchon un peu loin, mais si ses filles étaient d'accord, elle le serait aussi. Ça resterait de l'amour, vue sous un angle différent, c'est tout.

À quatre pattes sur le lit, elle laissait Megumi la prendre par-derrière, comme une chienne, chaque coup de rein était une raison de hurler son plaisir, mais elle devait se contenir, aussi dur soit-il ! Elle ne pouvait pas crier cet amour sous son toit, même si ses filles étaient assez grandes pour deviner ce qui pouvait se passer dans la chambre de sa mère, elle devait limiter ce genre de pensée. Voir Megumi enculée leur mère avec une vraie queue, ça pourrait avoir l'effet inverse rechercher, ça pourrait être un choc après tout. Elle s'accrochait à son lit, se mordant la lèvre inférieure tandis que sa patronne en rajoutait une couche en giflant son gros cul bien aguichant.

« Han ! Maîtreeeeeeeeesse... »

Souffla-t-elle péniblement, la limite de ses cordes vocales étaient sur le point de rompre, car il était difficile de garder son timbre de voix sur bas alors qu'elle voulait hurler de plaisir. Mais elle vint l'allonger sur le lit, lui laissant mordre son oreiller pour mieux y crier dedans, la soulageant un peu de ses frustrations déjà, mais elle ne s'arrêta pas là, sa belle amante se lovait plus contre elle, dans un rythme plus doux en lui avouant son amour. C'était adorable, elle fondait pour elle.

« Haaaaaaaaan~ moi aussi, je t'aiiiiiiiime, Megumi-chan~ »

Le ton était presque euphorique alors qu'elle cherchait un peu à se retourner, quitte à juste l'embrasser du bout de la langue, elle était si excitée, si amoureuse. Quand elle se retournera, pour sûr que la place entre ses cuisses sera trempée jusqu'au matelas ! Elle aimait tant Megumi, sur tous les points, tant en petite amie, qu'en patronne, qu'en maîtresse, et même dans l'intimité, hors sexe, elle aimait ses petits moments de douceur, de train-train quotidien avec elle, tout était si différent de ses longues années de mariage avec son mari. Il était là le vrai bonheur. Elle était impatiente de voir sa réaction quand elle avouera porter son bébé, mais il était trop tôt pour ça, elle devait se rapprocher de ses filles, gagner leur amour et leur confiance pour qu'ensemble, elles soient une belle et grande famille. Miyuki devait s'assurer de brouiller les pistes aussi, elle ignorait si Megumi se doutait de quelque chose ou non – peu de chance, elle avait déjà trois enfants et savait cacher ce genre de nouvelles – mais dans le doute...

« Après huuum... tu me rempliras la chaaaaaatte... Je veux te sentir haaaam... remplir ma chambre à bébé... avec tout ton amouuuuur~♥ »

Elle se formait très lentement sa chambre à bébé, mais qui d'autres à part elle pouvait le savoir ? Autant continuer de jouer le jeu comme avant, l'air de rien.

Megumi avait de grands projets avec Miyuki. Elle ne se serait jamais crue fonder un jour une famille. Elle était du genre libre, indépendante, autonome. Pour Megumi, fonder une famille, c’était s’enchaîner à une vie faite de compromis, à des chaînes. Elle ne se voyait clairement pas être une mère de famille ! Mais, pour autant, elle avait décidé de franchir le pas avec Miyuki… Certes, ses filles n’étaient pas des bébés, mais on ne pouvait pas nier qu’il s’agissait d’une famille. Et puis, le fait de tomber amoureuse de Miyuki, c’était, somme toute, déjà s’enchaîner un peu à elle. Megumi était donc déjà revenue sur sa volonté d’être totalement libre, et elle le faisait avec grand plaisir. Lorsqu’elle avait pris conscience qu’elle aimait Miyuki, elle avait vite compris qu’elle ne pouvait pas lutter contre une telle pulsion. Elle l’avait donc accueillie, et, depuis lors, les deux femmes n’avaient cessé de se rapprocher, jusqu’à cette soirée fatidique, ce moment où Megumi, enfin, pouvait pénétrer sa moitié dans son lit !

Face à elle, Miyuki couinait avec plaisir, se mordillant les lèvres. Même si Megumi lui avait demandé d’être discrète, il fallait bien admettre qu’elle avait bien du mal à l’être. Mais, après tout, Miyuki adorait les sodomies ! Au boulot, Megumi la sodomisait plusieurs fois par jour, généralement contre son bureau. Miyuki tirait les stores, fermait la porte à clef, et Megumi venait ensuite la baiser. Presque toute occasion était la bonne pour pouvoir coucher avec elle, sans que cela ne surprenne les autres employés. Megumi embauchait un personnel presque exclusivement féminin, et avait depuis longtemps choisi de se satisfaire auprès de ses employées. Mais Miyuki était indéniablement la seule à la stimuler autant !

Elle sentait Megumi se tortiller devant elle, cherchant à se redresser en arrière. Megumi finit par l’aider en se penchant. Elle posa une main sur le cou de Miyuki, l’autre sur son sein, et, crispant ses doigts, redressa le corps de sa partenaire. Celle-ci venait de lui dire qu’elle voulait que Megumi remplisse sa chatte, en évoquant sa « chambre à bébé ». Cela amena instinctivement Megumi à baisser sa main pour caresser son ventre, là où elle pouvait la fertiliser… Simple hasard, ou geste inconscient ? En tout cas, elle se pencha tout contre elle, et put ainsi embrasser Miyuki sur les lèvres quand celle-ci tourna la tête.

« Hmmm… »

Le baiser fut à vrai dire assez maladroit, donné surtout pour la beauté du geste. Megumi remua encore, relâchant Miyuki. Elle ne releva pas la référence à cette « chambre à bébé », préférant se focaliser sur l’instant présent, sur sa puissante sodomie. Sa partenaire devait être en train de tremper avec force les draps de leur lit, mais Megumi s’en moquait. En ce moment, elle continuait à besogner sa partenaire, sa verge s’enfonçant dans son beau petit cul, la prenant jusqu’à la garde.

Elle grogna encore, jusqu’à jouir en elle. Un premier orgasme anal qui fit trembler le corps de Megumi. Mais, contrairement aux hommes, elle pouvait jouir sans trop de crainte, car sa particularité physique faisait que sa verge conservait son aplomb, ce qui était sans doute lié au fait que, contrairement aux hommes, les femmes pouvaient avoir plusieurs orgasmes. Elle repoussa donc Miyuki, et la coucha sur le dos, puis la besogna sur le devant, tout en soulevant ses jambes, qu’elle releva à droite et à gauche d’elle, utilisant ses mains pour les tenir.

« Han… Fou-Foutue salope, hmmm… !! »

Se pinçant les lèvres, elle observa encore sa partenaire, grognant sur place tout en la pénétrant avec force !