The Multiversity

Rachel Storm était une femme richissime. Elle était aussi belle que riche, et faisait partie des femmes-célibataires les plus en vue en France. Artiste de la lingerie, elle dirigeait une agence de mannequinat et une maison de haute couture de luxe. Sa fortune lui venait notamment de sa famille, une richesse patrimoniale. Elle avait confié la gestion de ses affaires à un cabinet spécialisé en la matière, réalisant des investissements dans de nombreuses sociétés. Rachel Storm était une femme très populaire, une sorte de star, connue pour son mécénat, pour le financement d’œuvres artistiques. Sa fille, Stella Storm, était son plus beau joyau. Elle avait eu Stella très jeune, quand elle était encore mineure. Son géniteur avait paniqué en apprenant que Rachel était enceinte, et elle avait refusé de se faire avorter, quitte à se brouiller avec sa famille. Rachel avait toutefois su tirer le meilleur parti de sa situation. Elle avait toujours eu un don dans la couture. Elle adorait broder, concevoir des costumes et des tenues sensuelles. Elle concluait des partenariats divers et variés, que ce soit pour concevoir des tenues de cinéma, mais aussi des tenues pour les mannequins, ou même des tenues plus perverses, à destination de magazines érotiques. Rachel n’avait toutefois jamais cherché à se remarier, ou même à avoir d’autres enfants.

Elle disposait de plusieurs appartements luxueux dans plusieurs villes de France, d’une villa au bord de la mer, et même d’un chalet dans les Alpes. Cependant, son lieu de résidence habituel restait un château monumental en Bourgogne, qu’elle avait fait réhabiliter pour y vivre. Une grande demeure qui lui servait pour exposer ses œuvres. Elle y avait aménagé un musée de la lingerie et de la haute couture, et organisait ici des défilés de mannequin. Avec les années, Rachel avait fondé sa propre agence de mannequinat. Le château était découpé en plusieurs ailes, et, si une aile entière était consacrée à Rachel et à sa fille, le reste servait pour son activité professionnelle, mais aussi pour des activités plus… Cachées. Elle n’avait pas encore révélé à sa fille toutes les joyeusetés du château, ni pourquoi sa mère n’avait jamais eu besoin de se remarier. Stella était habituée depuis son enfance à voir défiler beaucoup d’invités, et c’était aussi pour ça que Rachel avait fini par acquérir une grande maison, un château. Elle voulait être proche de sa fille, lui montrer qu’elle l’aime.

*Quoi de plus normal de la part d’une mère aimante ?*

Rachel était ce matin assez nerveuse. Comme elle en avait l’habitude, elle se déplaçait chez elle dans sa lingerie fine. La Mascarade allait bientôt commencer, et elle devait s’assurer que tous les préparatifs étaient réussis. Stella étudiait à une prestigieuse école privée, elle y allait chaque jour à bord d’une Bentley conduite par son chauffeur. Aujourd’hui, Stella ne travaillait pas, et Rachel se déplaçait donc. Depuis toujours, l’aile est était interdite à Stella. Elle savait que cela attisait sa curiosité, mais Rachel était intraitable là-dessus. Seulement, ses servantes lui avaient indiqué que Stella commençait à avoir ses règles, et qu’elle furetait de plus en plus. Rachel en avait discuté avec elle, elle avait appris à Stella ses menstruations, et elle savait que, tôt ou tard, Stella finirait par découvrir son secret, et ce qui se passait au sein de l’aile est.

Rachel se dirigeait vers son atelier personnel, sans se douter que Stella s’y trouvait, et qu’elle essayait certaines de ses tenues érotiques destinées à la cérémonie de la Mascarade…

Stella n'était pas à plaindre, elle avait une mère des plus fortunée et plutôt connue dans certains milieux, elle ne manquait de rien, avec une bonne éducation, la seule chose qui lui manquait, c'était un père. Mais de ce qu'elle savait du sien, elle avait une mauvaise opinion des hommes. Non pas qu'elle les haïssait, elle se fichait que des filles les fréquentent et elle discutait avec eux, mais s'imaginer en couple avec eux ? Et avoir la même expérience que sa mère ? Ça, non. Elle, elle a eu de la chance, et sans compter sur sa mère et son argent, pas sûr qu'elle s'en sortait pareil à vrai dire. Ceci expliquait que, même si elle n'avait aucune expérience dessus, elle préférait observer les femmes que les hommes. Après, tout n'est que question de goût, de nos jours, il y avait des femmes qui se sentaient homme et inversement, donc, pourquoi en faire toute une histoire ? Du moment que toute relation était consentie, ça va. Et encore, que tout soit compréhensible. Sinon, ça va devenir un prétexte pour que des taré couchent avec des gosses. Ça, non. Les enfants ne doivent pas être concernés par le sexe, même adolescent, c'était limite pour elle. Elle se souvient encore de sa discussion avec sa mère. C'était nécessaire pour comprendre ce qui arrivait à son corps, les changements ne courent pas et à venir, mais, elle avait été mal à l'aise... Personne n'aime vraiment parler de ça avec sa mère...

Mais elle supposait qu'elle n'était pas la seule fille à avoir ce genre de discussion avec sa mère. Après tout, elle était à un âge où elle se posait de plus en plus de drôles de question, surtout à force de voir le nombre de belles femmes qui venaient voir sa mère. Elle ne les connaissait pas, de vue, au mieux, mais voilà, intriguée par certaines de ses femmes, Stella s'était faufillé dans l'atelier de sa mère, un endroit interdit, certes, mais elle ne comptait rien faire de mal. Elle voulait juste voir certaines photos, certains noms peut-être ? Il y avait cette belle femme aux allures gothique, quelques piercings ici et là, des tatouages. Elle rêvait d'être assez grande pour se faire tatouer aussi, c'était si beau. Il ne faut pas croire, la beauté n'était pas forcément des formes pulpeuses et une peau bien propre. Non, certaines femmes étaient à peine plus grandes ou développées qu'elle en formes, et comme elle l'avait vue, certaines étaient tatouée ou avec des piercings. En voyant les photos, elle se sentait un peu chaude, mais surtout, elle remarquait certaines créations de sa mère, dont une sur un mannequin, pas très grand ou gros, la tenue pourrait sûrement lui aller, d'ailleurs ?

Observant si elle était seule, elle venait à se déshabiller pour l'essayer, c'était la première fois qu'elle mettait ce genre de chose. Sa mère avait beau être une artiste, elle portait des choses normales, de filles de son âge quoi. Logique, elle n'allait pas mettre ce genre de chose pour aller à l'école. Ses petites formes étaient bien mises en valeur dans cet ensemble, elle se trouvait... belle. Son aspect gothique avec ses cheveux noirs, son maquillage, ça la rendait si jolie. Bon certes, elle n'était pas aussi belle que certaines des femmes sur les photos, mais... étrangement, elle ne pensait pas que ce genre de chose lui irait. Elle ne se doutait pas être épiée. Que sa mère sache tôt ou tard qu'elle était venue ici, bon, peut-être, mais elle a rien fait de mal, non ? Elle n'allait pas la punir pour si peu. Elle ne voulait pas qu'elle vienne ici, car c'était son lieu de travail, c'est tout.

De l’argent, Rachel en avait à profusion, suffisamment pour avoir mis sa fille à l’abri du besoin. Son argent, elle le tirait désormais de ses activités annexes, des prestations qu’elle fournissait à bien des gens. Rachel aimait la haute couture, mais elle était aussi une prostituée de luxe. Elle, on ne la verrait pas dans un fourgon blanc près d’entrepôts abandonnés sur une zone industrielle. Elle ne s’offrait qu’à des amants d’exception, car elle proposait une prestation d’exception. La Mascarade, c’était sa spécialité. Elle pouvait elle-même se définir comme « prostituée », mais, officiellement, on la surnommait « la Dame du Plaisir », « La Reine de l’Érotisme ». Des sobriquets assez révélateurs de ce que Rachel pouvait offrir à ses amants.

Elle se dirigeait donc vers son atelier afin de vérifier que les tenues destinées à La Mascarade étaient prêtes. Rachel désignait elle-même ses tenues, et on ne pouvait pas lui nier un certain talent en la matière. Elle portait d’ailleurs avec elle une tenue qu’elle avait conçu elle-même, des porte-jarretelles élégants, sous son manteau.

Sans se méfier, Rachel ouvrit la porte… Et sursauta en voyant un petit corps qui lui faisait face.

« Que… ? »

Ses yeux remontèrent des longues jambes de l’adolescente à sa tête, non sans négliger ses fesses… Et elle écarquilla les yeux en voyant…

« Stella ?! »

C’était bien elle ! Sa fille semblait gênée, et Rachel referma la porte en se rapprochant rapidement, son manteau largement ouvert mettant en valeur ses formes. Rachel observa son corset noir finement brodé, mettant en valeur le tatouage qu’elle s’était fait faire.

« Je dois admettre que ça te va plutôt bien… Et si tu me disais ce que tu fais ici, hum ? Et pour quelle raison tu as cru devoir enfiler l’une de mes tenues ? »

Le ton de Rachel n’était pas vraiment énervé, elle trouvait au contraire la situation assez plaisante…

Pour Stella, c'était la curiosité qui l'avait amené ici, d'abord pour voir quelques clichés de cette femme qu'elle avait aperçue avec sa mère, curieuse de la voir en petite tenue, vu son âge, ce n'était pas étonnant, mais elle venait ensuite à être curieuse par la tenue qu'elle voyait. Elle avait l'habitude de voir des femmes, comme sa mère, avec de belles formes et celui-ci, les dimensions semblaient plus à sa taille, peu de poitrine, une corpulence plus petite, loin des standards qu'elle avait vue dans le coin. Rien que cette femme dont elle voulait voir quelques clichés, c'était une femme avec de belles formes, loin de lui ressembler. Qu'est-ce qui lui avait pris de vouloir essayé ça ? Bonne question, mais elle l'avait fait et elle devait avouer qu'elle aimait ce qu'elle voyait dans le miroir. Stella était une jeune femme introvertie, ce n'est pas dans ce genre de choses qu'elle s'imaginait d'ordinaire, mais là, force est de constater qu'elle était convaincu... Beaucoup moins quand la porte s'ouvrit, se retrouvant nez à nez avec sa mère.

« Maman ! »

Elle était dans son bureau, Stella était l'intruse ici, mais le ton employé était comme si la situation était la même dans sa chambre. Elle se cachait avec ses bras, mais ça ne cachait pas grand-chose alors que sa mère fermait la porte, son manteau ouvert laissait voir ce qu'elle portait tandis qu'elle s'approchait, sa voix semblait loin d'être colérique, plus curieuse ? C'était son droit, Stella était une fille sage, sans problème donc, bien que surprenant, ce n'était pas une bêtise, pas une vraie en tout cas. Elle se tournait comme si elle était nue, lui tournant le dos en cherchant à lui répondre, un peu dans la confusion.

« Je sais pas ! C'était juste... une envie en la voyant, c'est tout ! »

Elle n'était pas énervée, juste gênée par la situation, elle espérait ne pas avoir à répondre à ce qu'elle faisait ici – bien qu'elle avait posé la question, elle espérait que ce serait oublié – car autant porté ça... bon, on peut se dire que c'était une pulsion soudaine, expliquée être plus ou moins attiré par une des filles qui a posé pour elle, c'était autre chose. Elle n'avait pas envie que sa mère sache que sa fille avait ce genre de penchant. Elle l'a si bien caché. Ni garçon, ni même fille, elle n'avait laissé planer aucun doute à ce sujet. Après, Rachel était responsable de cette attirance ? Voir défilé par ici de belles femmes, parfois en petite tenue, forcément, Stella finissait par définir une certaine attirance à force. Comment rester de marbre face à autant de beautés ? Stella n'avait pas idée dans quoi elle avait mis les pieds.

Un léger sourire amusé orna les lèvres de Rachel en voyant la nervosité de Stella. Peinant à trouver ses mots, Stella expliquait que c’était juste une envie subite. Rachel resta silencieuse pendant un certain temps, observant silencieusement et attentivement sa fille. Elle était tout de même très mignonne. Rachel sourit alors, et se rapprocha alors de Stella, venant d’une main caresser sa joue. Une belle peau chaude.

« Une envie, hein ? Moi, je crois que cela fait longtemps que tu as une telle envie, ma puce… »

Rachel sourit encore, continuant à caresser la joue de Stella, et l’empêcha de parler en posant son pouce sur ses délicieuses lèvres noires.

« Les rougeurs te vont bien, tu as une peau si pâle… »

Avec une telle blancheur, le rouge lui ressortait. Rachel observa encore sa fille, restant assez silencieuse. Il est vrai que très peu d’hommes franchissaient la barrière du manoir Storm. Son père avait eu le don de la dégoûter des hommes, et, si Rachel n’était pas misandre, elle appréciait tout de même largement la compagnie des femmes. Elle pouvait le lire dans les yeux de Stella, elle pouvait lire ce que celle-ci se refusait à lui dire. Et cela l’amusait, cela lui plaisait. Rachel se pinça les lèvres, et se rapprocha encore, elle aussi en lingerie fine. Son soutien-gorge à dentelle faisait ressortir son épaisse poitrine, qui se trouvait sous le nez de Stella, dont les rougeurs semblèrent croître… Ou peut-être était-ce juste un effet de l’imagination débordante de Rachel.

En tout cas, elle se pencha encore, et embrassa Stella sur le front.

« Ma tenue te va bien, en tout cas… Tu sais, je sais très bien ce que tu penses, ma chérie… Je suis ta mère, ne l’oublie pas. Je vois comment tu regardes les femmes qui viennent me rendre visite, et je sais que tu connais des endroits pour rejoindre une aile interdite. Au début, je voulais t’en dissuader, mais j’ai fini par comprendre que tu avais grandi, et je refuse que tu sois abandonnée comme je l’ai été de la part de mes parents. »

Rachel relâcha finalement sa main sur la joue de Stella, non sans enfoncer son pouce entre ses lèvres. Elle sourit quand elle sentit Stella le suçoter et le mordiller doucement.

« Ce soir, c’est la Mascarade, ma chérie… Et je souhaite que tu y participes. Tu vois, à chaque Mascarade, l’un des invités amène sa fille pour sa première fois, c’est notre Sainte de la soirée… Accepterais-tu d’être notre Sainte, ma Stella d’amour ? »

Elle en perdait ses mots, elle ne savait pas quoi dire, quoi faire pour justifier son acte. Ce n'était rien de bien méchant en soi, mais c'était une situation plutôt inédite qui l'amenait sur bien des routes dont elle ne connaissait pas l'arrivée. Sa mère venait à lui demander de se taire, un doigt sur les lèvres en complimentant la tenue qu'elle portait, comme le fait que la rougeur lui allait bien. Certainement, oui ? Elle n'en savait trop rien, là, elle était un peu perdue, un peu honteuse aussi, bien qu'il n'y ait aucune raison à cela, mais, se retrouver ainsi face à sa mère, c'était si étrange. Elle évoquait une Mascarade, ce soir où elle voulait l'invitée où elle y serait une Sainte ? Pour le coup, tout ça sonnait comme une langue étrangère pour elle, elle ne voyait pas où cela la menait ? C'était dangereux ? Drôle ? Intéressant ? Elle ne saurait dire, elle ne comprenait rien de tout cela alors que sa mère enfonçait son doigt dans sa bouche, machinalement, Stella le suçotait en regardant sa mère dans les yeux. Lorsqu'elle le put, elle se mettait enfin à poser la grande question qui permettrait de lever le mystère de cette Mascarade ?

« Mais... ça consiste en quoi, en vrai ? »

Toujours à se couvrir le corps comme elle pouvait, elle cherchait à conserver une certaine pudeur. Stella avait hérité de certains points physiques ou moraux de sa mère, mais certainement pas ses formes. Oh, elle n'en était pas vraiment gênée, certaines filles ne jurent que par ça pour se trouver belle, mais, à tort ou à raison, elle se disait qu'au moins, elle en serait moins gênée. Mais il est vrai que face au corps de sa mère... elle se sentait un peu jalouse... ou envieuse de s'en rapprocher peut-être ? La pauvre Stella était un peu perdue pour le moment...

Rachel était une femme bien proportionnée, avec une poitrine très impressionnante. Dans la grande loterie de la vie, elle avait tiré le bon numéro, même si elle avait su exploiter à merveille son image. Elle en avait profité volontiers, et cela lui avait offert un confortable train de vie. Devant elle, sa fille rougissait timidement, ne sachant pas trop où se mettre, tout en ignorant ce qu’était la « Mascarade ».

Souriant plus généreusement, Rachel raccourcit encore l’espace qui les séparait. Dominant sa fille d’une bonne tête, le visage de Stella se retrouvait à hauteur de ses seins, deux jolis obus enveloppés dans un magnifique papier cadeau.

« Tiens, tiens, tu ignorerais donc de quoi il s’agit ? Toi, qui es pourtant si curieuse… »

Rachel avait toujours été très proche de sa fille, au point que Stella venait encore parfois dormir avec elle la nuit. Rachel lui réservait toujours une place, et lui répétait régulièrement que Stella était son petit trésor sacré.

« Je pourrais te le dire, bien sûr… Mais je crois que le mieux est de te faire une petite démonstration. »

Elle lui sourit encore, et se pencha vers elle. Stella continuait à se couvrir le corps, alors Rachel attrapa ses poignets, et écarta ses mains.

« Tu es sortie de mon ventre, je t’ai nettoyé les fesses quand tu étais bébé, ton corps n’a aucun secret pour moi, Stella… Alors, ne me le cache pas ! »

Rachel releva ensuite le menton de Stella avec sa main… Et déplaça l’autre pour caresser le bas du dos de Stella. Elle se pencha encore, et l’embrassa finalement, tout en pressant avec son autre main l’une de ses fesses. C’était un baiser tendre, empreint de tendresse et d’une certaine forme d’amour…

Stella était timide ? Disons qu'elle avait passé l'âge d'être dans ce genre de petites tenues devant sa mère, déjà qu'elle n'était pas censée porter ce genre de choses devant elle – porter, tout court – mais sa mère ne semblait pas agir comme si elle avait fauté. Au contraire, sans la féliciter, elle semblait la conduire vers une autre voie, bien qu'elle ignorait ce que cette Mascarade pouvait signifier ? Sa mère organisait beaucoup de soirées avec ses modèles, plus jeune, forcément, elle pensait juste à un grand dîner ou une réception juste pour se brosser mutuellement dans le dos, tout en élargissant leurs contactes, mais en grandissant, elle se demandait si ça n'allait pas plus loin ? Loin d'imaginer à une partouze géante, elle se doutait bien qu'en reprenant son idée de base, certaines personnes se rapprochaient pour passer une nuit ou deux ensembles. Jamais elle n'a trouvé une autre femme – ou homme – dans le lit de sa mère quand elle s'y invitait, mais ça ne voulait pas dire que cela n'était jamais arrivé. Sa mère écartait ses bras, l'empêchant de se cacher. Il est vrai qu'avec ses arguments, elle était dans le vrai, elle avait grandi depuis donc ce n'était plus pareil.

Elle était doucement enveloppée par sa mère, sa main glissant dans son dos tandis qu'elle se pencha sur elle, l'embrassant. Elle vit la chose venir, elle n'esquivait pas, elle ferma juste ses yeux pour profiter de cette barrière qui s'écroulait doucement. Son baiser était doux et langoureux, savoureux, Stella imaginait bien que c'était comme ça qu'un baiser se ressentait. Oui, sa mère avait pris son premier baiser. Malgré son air rebelle, elle était une grande timide, presque asociale à l'école, non pas qu'elle s'isolait, mais elle avait que peu d'amis. Elle n'en était pas gêné, c'étaient de vraies amies sur qui elle pouvait compter quand ça n'allait pas. Mais jamais elle n'aurait pensé que ce serait sa mère qui lui volerait cette première fois. Qu'elle le sache ou non ne changeait rien, Stella était comme paralysée, entre les doigts de sa mère, elle se laissait faire. Évidemment, ses mains ne touchaient pas sa mère, ni elle, elle les laissaient en suspens pendant l'acte, après tout, elle avait bien trop de choses en tête pour savoir quoi en faire. Mais doucement, ses mains s'approchaient d'elle, peut-être pas comme Rachel l'entendait, mais elle posa ses mains sur ses épaules en continuant de se faire embrasser. Même si sa langue remuait un peu, c'était sa mère qui menait la danse pendant que son corps se réchauffait tout seul. Elle ressentait tant d'émotions, de choses nouvelles.

Stella était nerveuse, et Rachel le sentait, à tel point qu’elle n’arrivait même plus à parler. Rachel l’embrassa donc, mais elle ne sentit aucun sentiment de répulsion chez sa fille.  Même si Rachel organisait des fêtes, elle n’en faisait pas tout le temps, et, le reste du temps, elle était avec cette fille. Elle menait avec elle une relation très proche, et lui avait répété à moult reprises qu’elle était sa fille adorée, le soleil de sa vie, et la seule personne pour qui Rachel continuait à se battre. Elle l’embrassa donc, et sentit le corps de sa fille se crisper lentement, sous l’effet d’une vague de plaisir.0 Rachel lui avait déjà parlé de sexe, c’était normal, elle lui avait parlé de ses règles, de ses menstruations, de la manière de se masturber… Elle rompit finalement le baiser, et caressa la joue rougie de Stella.

« Tu grandis, ma chérie… Les garçons vont commencer à te tourner autour, et tu auras envie d’en faire plus avec eux. C’est normal, mais je ne veux pas que tu commettes les mêmes erreurs que moi. »

Tout en parlant, Rachel caressait la joue de sa fille, et glissa son pouce contre ses lèvres.

« Tu es tellement belle… C’est mon devoir de tout t’apprendre, y compris comment devenir une femme, mais je ne veux pas te forcer, ma chérie. Je ne veux pas… Je ne pourrais pas supporter que tu aies une mauvaise opinion de moi, ou que je te choque. Je t’aime plus que tout, mon ange. »

Elle se rapprocha d’elle, et entreprit alors de lui faire un câlin spontané, témoignant de tout son amour et de toute son affection pour elle…

Difficile de savoir ce qu'elle pensait, la pauvre Stella était un peu perdue dans toute cette histoire ! Elle n'avait qu'essayer cette chose qui traînait là... Certes, ça lui était arrivée de regarder certains des clichés que sa mère avait dans son bureau, il faut dire que de belles femmes venaient ici, mais elle n'avait pas l'impression de faire un pas dans le monde des grands, ou alors c'était un pas-de-géant ! Avec sa mère, elle sentait bien, mais être ainsi, en petite tenue, ça la gênait un peu, quand bien même être entre ses bras était une chose des plus agréables, mais là n'était pas la question. Habillée et de façon naturelle, oui, elle pourrait y rester ainsi longtemps, mais... elle, comme ça... et sa mère, sûrement dans une de ses belles lingeries sous sa tenue... ça la rendait toute chose ! Elle évoquait que les garçons pourraient lui tourner autour, de la peur que Stella fasse la même erreur qu'elle. Pour ça, il y avait peu de chances, car elle s'en doutait – ou non – mais elle préférait les filles aux garçons. Il faut dire que Stella a vu peu d'hommes venir ici, elle fréquentait une école pour fille, tout était presque réuni pour que son cœur soit attiré forcément par les filles. Après, n'ayant jamais rien essayé, difficile de clamer haut et fort, à cent pour cent, qu'elle était uniquement lesbienne ! Mais c'est sûr que là, lui demander de citer un homme/garçon célèbre qu'elle trouvait mignon... et une fille, oui, elle pouvait en citer quand même.

Sa mère voulait donc la former, c'était possible, ça oui, mais, évidemment, elle avait un peu peur de tout ça, elle détournait le regard, prenant quand même sa main en la serrant dans la sienne. Stella avait beau se sentir prête, sûrement, elle avait quand même besoin de sa mère à ses côtés pour une telle chose, quand bien même, c'était ce que voulait faire sa mère de base. Elle approchait de l'âge adulte, mais actuellement, elle faisait très petite fille. Quoi de plus normal, on lui proposait de faire ses premiers pas dans le monde des adultes après tout.

« D'accord... mais tu reste qu'avec moi, d'accord ? »

C'était dit de façon presque enfantine, de quoi la rendre encore plus mignonne qu'elle ne l'était déjà.

Stella, sa petite Stella… Elle avait désormais bien grandi ! Rachel sourit doucement lorsqu’elle lui demanda de n’être qu’avec elle ce soir. Elle posa sa main sur son menton, et releva le visage de Stella. Gênée, celle-ci hésitait à regarder sa mère, comme si elle avait peur de ses propres sentiments. Rachel s’en mordilla doucement les lèvres. Le désir qu’elle ressentait pour sa fille… D’aucuns l’en auraient jugé pour ça, mais elle ne fonctionnait pas comme ça. Elle releva donc doucement son menton, et tourna la tête de Stella vers la sienne.

« Ne t’inquiète pas, ma chérie, Maman ne t’abandonnera jamais… »

Rachel se pencha alors, et l’embrassa. Elle put sentir la surprise de Stella, mais, comme ce n’était pas le premier baiser qu’elles partageaient, Rachel le prolongea. Elle se pencha contre Stella, et posa sa main sur les cheveux de sa fille, l’empêchant de se retirer. Soupirant lentement, la mère de famille poursuivit son office, prolongeant le baiser, et posa son autre main sur le bas de son dos. Elle déplaça ainsi sa fille, et la souleva même. Elle aida les jambes de Stella à s’enrouler autour de son bassin, et la positionna contre le plus proche mur. Le corps de Stella rebondit sur ce dernier, et Rachel rompit le baiser, souriant doucement. Son front heurta le sien, et elle l’embrassa une troisième fois.

« Maintenant que tu portes une telle lingerie, c’est le signe que tu es une grande fille… »

Rachel se pinça encore les lèvres, croisant longuement le regard de sa fille.

« Allons dans ta chambre, ma belle… Je veux voir comment tu te fais du plaisir... Et je veux que tu me dises à qui tu penses quand tu te caresses intimement. »

Des questions osées, intimes, mais nécessaires. Il fallait instaurer un lien de confiance. Rachel s’écarta, et tendit sa main vers sa fille, attendant qu’elle la saisisse…

Stella partageait ses quelques craintes, si sa mère était dans son monde, elle, elle y faisait tout juste ses premiers pas dedans... Et face à sa demande, elle ne pouvait la refuser tout en volant le tout premier baiser de sa fille. Oui, une fille si gentille et presque timide ne pouvait avoir déjà vécu ce genre de choses. Rachel y allait en douceur, baisant ses douces lèvres tandis que son corps pulpeux et ferme se pressait contre le sien. La jeune fille était soulevée par sa mère et apportée contre un mur où plusieurs baisers lui furent donner. Ses mains servaient autant à la tenir contre elle qu'à la rassurer et Stella se laissait faire, envoûte par sa mère qui l'embrassait avec une telle douceur. Ainsi, c'était ça le goût d'un baiser ? C'était agréable. Était-ce pareil avec une autre fille ou c'est juste sa mère qui avait un goût pareil ? Bien sûr, la demoiselle fut surprise par le baiser et tout ce qui s'en suivait, mais, inconsciemment, elle se doutait peut-être que depuis que sa mère l'avait observé ainsi, ça allait arriver.

Rachel enchaînait sur autre chose, voulant se rendre dans la chambre de Stella, que cette dernière se touche devant elle en expliquant certaines choses. La pauvre Stella rougissait et cela se voyait facilement sur sa peau sur la pale, mais ça lui allait plutôt bien. Ses mains posées sur les épaules de sa mère, elle l'observait en fuyant un peu son regard, les lèvres pincées, mais elle n'était pas contre malgré tout, c'est juste qu'elle ne s'y attendait pas...

« D'accord... Mais tu peux m'apporter dans la chambre comme ça ? »

C'était un peu honteux à avouer, mais... elle aimait bien ça. Être ainsi soulevé par sa mère, à moins que ce ne soit aussi la lingerie qu'elle portait qui lui faisait bien aimer ? Difficile à dire. Une fois à sa chambre, elle retournait par terre, sa chambre était assez classique, même si on était loin de la chambre rose bonbon plein de nounours, il y en avait quelques-uns quand même ici et là. Côté couleur, comme son apparence, c'était surtout du noir, mais sans être gothique à fond dans le cliché, elle était entre deux courants, gothique et fille... Un peu Loli-goth en soit, sans être trop dans cette mode japonaise. Elle approchait de son grand lit, s'y installant comme si elle allait s'y endormir, elle était un peu gênée de parler de ça pendant que sa mère l'observait, mais... elle allait franchir cette étape. Cette dernière attendait clairement des réponses, tandis qu'elle serait entre ses bras un de ses ours en peluche.

« En fait... quand je le fais... C'est souvent... quand... quand je tombe sur les photos de... de tes mannequins... ou que j'en croise, parfois... Elles... elles sont très belles et... Et je m'imagine... avec elles... Je suis ici ou... ou dans la maison et... et elles m'apprennent... pleins de choses... »

Elle était timide, gênée, mais ça faisait son charme. Et qui ne serait pas gêné de parler de ça avec sa mère ? Stella restait pour le moment immobile, narrant juste les faits en restant sur son lit, évitant autant possible le regard de sa mère. En soit, elle ne fantasmait pas spécialement sur ses amies ou d'autres filles de l’école, même si certaines étaient plutôt jolies, son imagination était surtout stimulé ici. Et évidemment, c'est souvent sur les clichés de belles femmes à l'air sombre, qui donnait certaines envies à la demoiselle. Non pas que ce soit exclusivement ça, mais... ses préférences allaient déjà dans ce sens. Pour ce qui est de la mise en situation, sa mère avait le contexte, mais pas les gestes.

« Et pour le reste... Je fais ça le... le soir en général... Sous ma couette, je m'imagine tout ça et... je me caresse doucement... car... car je les imagine être douce et attentionné avec moi... peut-être... peut-être car elles savent que je suis ta fille ou... ou simplement, car c'est leur façon de faire... Je suis allongée là et... je me laisse faire... Je me caresse et quand... quand... je jouis... J'aime... j'aime sentir la tête d'une de mes peluches entre mes cuisses... »

Avouant la fin, elle se cachait, ne laissant entrevoir qu'un de ses yeux, posé sur sa mère, tandis que ses cheveux et son ours en peluche – et arme du crime – masquait le reste de son visage. Au final, Stella expliquait bien les choses, mais elle ne s'était pas vraiment touché devant sa mère, elle était encore un peu gênée par ça, plus occupée à se cacher que de passer à l'action, cela pourrait être l'occasion pour sa mère de jouer ce fantasme ou de s'approcher pour voir de plus près et voir, cette fois, comment sa fille se faisait plaisir, avec moins de mots et plus d'action. Stella commençait à mouiller doucement, mais l'avantage de ses dessous noirs, c'est que cela ne se voyait pas au premier coup d'œil.

Face à la demande de Stella, Rachel sourit doucement, puis hocha la tête, et la prit entre ses bras. Elle la souleva, puis se dirigea ensuite vers la chambre de sa fille. Stella avait bien grandi, et Rachel s’en rendait désormais compte. Elles rejoignirent la chambre de sa fille, une chambre qui avait toujours été marquée par l’innocence. Rachel savait que sa fille avait un penchant gothique, mais ça ne l’avait jamais gêné. Elle était proche de sa fille, mais n’avait jamais voulu la restreindre dans quoi que ce soit. Elle observa donc ses nombreuses peluches, et vit Stella en prendre un, se réfugiant derrière. Rachel s’assit sur le fauteuil de Stella, et croisa les jambes tout en l’écoutant parler. Nerveuse, Stella évitait de la regarder, mais lui expliqua malgré tout qu’elle avait davantage des vues sur les partenaires de sa mère que sur ses propres camarades. Rachel évita de l’interrompre, même si elle sentait que Stella devenait de plus en plus nerveuse au fur et à mesure qu’elle se confiait. Cela semblait logique, ce n’était pas tous les jours qu’on parlait de ce genre de choses à celle qui vous avait mis au monde. De son côté, Rachel en profitait pour laisser filer son regard sur le corps de sa fille.

Quand il lui sembla que sa fille était arrivée en situation de blocage, Rachel se redressa. Les roues du fauteuil filèrent en arrière quand elle se redressa. Elle s’allongea ensuite sur le lit, et se coucha sur le flanc, à côté de sa fille. Elle attrapa doucement son ours en peluche, et l’abaissa. Jamais sa fille, dont la peau était pâle, n’avait semblé aussi rouge. Rachel se pencha vers elle, et l’embrassa sur la joue.

« N’aie jamais honte de ce que tu ressens vis-à-vis de moi, Stella, je suis ta mère, et je ne te jugerai jamais. S’il y a bien une personne sur Terre à qui tu peux te confier sans angoisse, c’est bien moi. »

Rachel commença en suite à caresser le corps de sa fille, et l’embrassa ensuite sur les lèvres.

« C’est la lingerie, hein ? C’est pour ça que tu en enfiles… Tu aimes ces tenues élégantes, n’est-ce pas ? Je le sais très bien, car c’est aussi pour ça que j’en porte… »

Rachel sourit encore, et l’embrassa une nouvelle fois, cette fois un peu plus longuement. Leurs lèvres se pressèrent ensemble, et elle sentait la résistance de Stella fondre progressivement, s’étiolant au fur et à mesure que le baiser s’étirait. Rachel sourit à nouveau, tandis que sa main descendait. L’ours en peluche se trouvait désormais sur le ventre de Stella, et la main de Rachel filait dessous, puis commença à la caresser intimement. Elle sentit le corps de Stella se contracter, et sourit en malaxant cette zone, à travers sa culotte.

« C’est humide là-dessous, dis-moi… C’est le fait de penser à la lingerie qui t’excite, ma belle ? Dis-tout à Maman, Stella… »

Stella était nerveuse, forcément, mais elle déroulait doucement ce que sa mère voulait savoir et doucement, elle approchait d'elle. Rachel, sa mère, se tenait là, à côté d'elle sur le lit, examinant ses dires et observant son corps. Elle avait beau être sa fille, elle n'avait pas hérité de sa plastique, elle n'avait pas de poitrine bien formé comme elle ou des courbes vertigineuse. Stella était plutôt plate, non pas qu'elle avait un complexe à propos de ça, ça lui convenait, elle aimait son corps comme elle était. Sa mère venait l'embrasser doucement, prolongeant son baiser tandis qu'elle serrait un peu plus sa peluche. La main de sa mère venait doucement plus bas, la caressant, sans se faufiler en dessous, elle sentait des frissons la parcourir, tandis qu'elle écoutait sa mère parler.

« C'est... han, beaucoup de choses... Ce que j'imagine et là... Hum, ce que tu me fais... C'est... agréable... »

Elle regardait sa mère dans les yeux, le souffle chaud s'échappait de ses petites lèvres, la pointe de sa langue se montrait sur le bord de sa lèvre inférieure. Elle n'empêchait pas sa mère de lui faire du bien, mais pour le moment, elle n'osait pas lui rendre la pareille, elle préférait être la seule à sentir ce plaisir. Non pas qu'elle soit égoïste, juste qu'elle aimait ce petit instant rien que pour elle, près de sa mère. Doucement même, elle écartait ses cuisses, laissant plus de facilité à sa mère pour caresser, la pointe de ses petits seins commençaient à pointer, ne perdant pas sa mère du regard. Elle s'en doutait vu ce qui se passait, mais il viendra un moment où ses doigts passeront sous la lingerie... et un autre ou ils seront en elle. Elle avait un peu hâte, mais elle ne voulait pas rompre ce moment si rapidement.

Un délicieux sourire amusé traversa les délicieuses lèvres de Rachel. Face à elle, sa fille se ratatinait sur place, gênée, et en même temps excitée. Cela, Rachel le sentait, et elle en frémissait doucement d’excitation. Elle se mordilla les lèvres quand sa fille, devant elle, lui confirma que ce que sa mère lui faisait était « agréable ».

« Hmmm… Tu es tellement belle, ma Stella… Tu rends Maman tellement heureuse… »

Rachel se pencha encore vers elle. Ses lourds seins s’aplatirent contre le torse de Stella. Stella avait effectivement une poitrine assez faible, loin des seins moelleux de sa mère. Les seins de Stella grandiront peut-être avec le temps, mais, même si ce n’était pas le cas, Rachel s’en moquait bien. Sa fille était parfaite, elle l’était déjà, et elle le sera toujours !

Doucement excitée, Rachel avait les mains libres pour agir. Le caractère incestueux de cette relation ne contribuait qu’à enflammer davantage le désir de la magnifique ménagère. Elle embrassa ensuite Stella dans le creux du cou, mordillant doucement sa chair, tout en la masturbant plus vigoureusement. Maman savait y faire, et elle glissa ses doigts sous la culotte de sa fille.

« Hm… ll va falloir que je t’épile, ma petite chérie… »

Elle lui lécha ensuite le creux du cou, remontant jusqu’à sa joue, et continua son office. Rachel savait y faire, et elle commença ensuite à descendre. Un baiser sur le menton, puis sur le cou, entre les seins… Sur ses tétons. Elle les lécha légèrement et les mordilla tout aussi doucement à travers le tissu de sa tenue en lingerie, pour le plaisir de l’entendre couiner, et de se crisper un peu.

Rachel continua ensuite à descendre, embrassant le ventre, puis lécha le nombril de sa fille, et continua à descendre, jusqu’à rejoindre son bassin. Là, Rachel soupira. Elle aussi sentait la chaleur croître en elle, mais le plaisir de sa fille passait naturellement avant le sien. Elle se mordilla doucement les lèvres, et donna un coup de langue sur sa culotte.

« Hihi, c’est vraiment très humide, ma chérie… Maman va te lécher, elle veut boire ton jus intime en t’offrant un orgasme… Est-ce que tu en as envie ? Dis à Maman combien tu veux que Maman te fasse plaisir… »

Rachel voulait tout de même l’impliquer un peu. À ce stade, il n’y avait aucune échappatoire pour Stella, Rachel comptait la faire jouir, l’éduquer sexuellement. C’était là le rôle d’une mère aimante, et, en la matière, la richissime femme aimait Stella plus que tout. Tout ce qu’elle avait, tout ce qu’elle avait construit… Ce n’était que pour elle, que pour sa fille. Alors, il était naturel qu’elle la forme sexuellement. C’était son devoir, mais Rachel ne pouvait nier qu’elle adorait aussi ça.