The Multiversity

Alice revenait d’une assemblée extraordinaire qui s’était tenue à la capitale impériale suite à l’Olympomachie, un Parlement extraordinaire qui avait formé un congrès. À l’issue de ce congrès, le Conseiller Impérial Emhyr var Emreis avait été nommé « régent impérial », dans l’attente qu’un nouvel Empereur soit désigné, que toute la lumière soit faite sur la mort de l’Empereur Wismerhill, et que l’Empire soit reconstruit. La tâche n’aurait rien de facile, car plusieurs barons impériaux avaient contesté la nomination d’Emhyr, dénonçant un népotisme ambiant qui nuirait aux intérêts de l’Empire. Le fil de lance de ces contestataires était un baron proche de la Lune Noire, Greldinard, baron de Moork, une province impériale redoutable et fortement militarisée. La guerre couvait, et Emhyr avait pris soin d’écarter les enfants de Wismerhill, qui étaient menacés par Greldinard. Le démon mijakien Urmarcht avait rejoint Greldinard, et, comme Urmarcht connaissait les repaires habituels de l’Empereur, Emhyr avait opté pour des protections moins conventionnelles.

Mais, outre cela, Alice avait aussi assisté à une réunion très particulière chez Mélinda. C’était la seconde conséquence de l’Olympomachie à ses yeux… La confrérie de Maturin avait été refondée. Elle était désormais liée à la quête des Immortels, car elle était elle-même une Immortelle. En quête de son pouvoir, Alice était aussi une Princesse destinée à devenir Reine. Son couronnement  avait toutefois été retardée en raison des évènements au sein de l’Empire, et de l’Olympomachie. Si Sylvandell avait été relativement épargnée, il y avait depuis lors une prolifération redoutable de monstres. Ainsi, même si le nouveau Palais royal avait été inauguré et que l’ancien Palais servait désormais pour les archives, Alice restait toujours une Princesse.

Elle avait néanmoins d’autres priorités que son couronnement. Suite à la réunion avec la nouvelle Confrérie de Maturin, elle avait décidé de précipiter sa rencontre diplomatique avec les autorités humpoïtes, et de faire un premier pas dans ce dossier épineux. L’Empereur, sans son décès prématuré, aurait dû s’occuper de cette situation.

Humpa était une province du royaume de la Calla, un royaume neutre qui était une ancienne baronnie eldoise, limitrophe aux frontières de l’Empire. Une femme avait pris il y a quelques temps le contrôle d’une province de la Calla, Humpa, en sympathisant avec le dragon qui dormait dans une montagne remplie de trésors et que le dragon s’était accaparé. Bowsette avait toutefois fait sécession avec la Calla, déclenchant une guerre civile. Mais la jeune « Reine » avait survécu, et avait demandé de l’aide à l’Empire, demandant à ce que l’Empire reconnaisse l’indépendance de Humpa par rapport à la Calla, envisageant ensuite de s’intégrer au sein de l’Empire. Bowsette avait envoyé sa première femme, la Princesse Daisy, pour négocier. Le Conseil Impérial s’était montré intéressé, et Daisy avait notamment écrit à Alice. Une relation épistolaire qui durait depuis quelques mois. Alice n’avait toutefois jamais osé inviter formellement Daisy chez elle, en raison du fait qu’elle ne voulait pas interférer avec le Conseil Impérial. Mais la mort de Wismerhill avait rabattu les cartes.

Alice et Daisy avaient écrit initialement au sujet de dragons, et Daisy avait montré qu’elle connaissait bien Sylvandell. Au fil des mois, leurs échanges étaient devenus un peu plus intimes, les deux femmes brisant la glace. Alice s’était donc empressée d’inviter Daisy, et la Princesse avait accepté, tout en lui promettant que la Reine Bowsette viendrait la voir ensuite. Alice avait aussi une autre raison que l’Empire ou les dragons pour inviter Daisy… D’après les déclarations de l’Enfant et les visions qu’elle avait du Patriarche ou de Scarifa, deux divinités qu’Alice avait rencontré lors de l’Olympomachie, et dont elle partageait les pouvoirs, Bowsette était liée, d’une manière ou d’une autre, à la quête des Immortels.

La jeune Princesse attendait donc. Le convoi de Daisy allait devoir traverser tout le royaume pour arriver jusqu’au Palais Royal. En signe de sympathie, Alice avait enfilé comme tenue sa robe chinoise, un cadeau de Mélinda lors de son mariage, une tenue qui lui allait plutôt bien.

*J’espère que je ne fais pas tout ça pour rien… Mais j’ai confiance.*

Le trajet de Humpa à Sylvandell  était long, mais pas autant qu’on aurait pu le croire. Sylvandell était après tout assez limitrophe. Si Daisy souhaitait se rendre à la capitale, on aurait pu dire qu’elle était à mi-chemin… Quasiment. Le voyage était toutefois ralenti par la prolifération des monstres. Depuis l’Olympomachie, ils étaient plus nombreux, et continueraient à le rester tant que les nouveaux Olympiens ne parviendraient pas à restaurer l’autorité de l’Olympe. Et puis, avec la guerre civile qui menaçait au sein de l’Empire… Alice aurait espéré avoir son couronnement sous de meilleures auspices ! Elle était donc ravie d’inviter une autre Princesse, surtout quelqu’un d’aussi direct que Daisy ! Le contenu de leurs lettres avait ainsi progressivement évolué vers davantage d’érotisme et plus de familiarité. La jeune Princesse pouvait donc se considérer comme une proche de Daisy.

Quand elle arriva, Alice était présente, en compagnie de plusieurs officiels et gardes. Mineko, sa domestique, l’accompagnait également. Melendil n’était pas encore revenu de la capitale, où il participait avec son père aux tractations diplomatiques visant à empêcher un conflit armé. Toutefois, il devrait revenir ce soir. Alice avait légèrement hâte !

Le carrosse délivra donc Daisy et sa garde, Cassandra Alexandra… Et Daisy rejoignit Alice, puis l’embrassa. La tête blonde écarquilla les yeux sous la surprise, et rougit ensuite. Les diplomates et dignitaires qui l’accompagnaient laissèrent passer, et Alice sourit ensuite à Daisy. Le protocole n’était visiblement pas de mise à Humpa !

« Et bien… Quelles salutations ! Bienvenue à Sylvandell, Princesse Daisy ! »

Alice s’écarta de quelques centimètres, et joignit sa main dans celle de Daisy.

« Tu es la première invitée diplomatique dans notre nouveau château », précisa-t-elle.

La Princesse lui présenta sommairement les personnes qui l’accompagnaient. Daisy les salua donc (sans les embrasser), puis on lui précisa qu’un repas officiel aurait lieu ce soir. D’ici là, Daisy pouvait se reposer dans ses quartiers. Le nouveau Château royal abritait une aile diplomatique dans le Donjon, la partie nord du château, entourée par la Loge des Commandeurs et la Tour des Dragonniers. Ces deux institutions ancestrales avaient toujours protégé la royauté, et la configuration du nouveau château le démontrait.

Tenant toujours Daisy par la main, Alice rejoignit l’intérieur du Donjon. Plus grand et plus vaste que l’ancien Palais, il y avait plusieurs grandes salles de réception entourant la Salle du Trône. Le duo rejoignit toutefois des escaliers. Mineko et Cassandra, elles, étaient restées en arrière pour assurer le transport des bagages. Il n’y avait donc aucun garde avec elles, car aucune n’avait à craindre quoi que ce soit.

« J’espère que ton voyage n’a pas été trop compliqué, les routes sont moins sûres depuis quelques semaines. »

Alice guida Daisy jusqu’à l’étage royale. La chambre de Daisy était proche de la sienne, une grande pièce avec un balcon donnant sur l’extérieur. Elles rentrèrent à l’intérieur, et Alice referma ensuite la porte.

« Toutefois, je n’ai pas eu le temps de voir si tes lèvres sont aussi agréables que ce que j’imaginais en t’écrivant… »

Elle avait à peine fermé la porte qu’elle retourna se lover contre Daisy, et l’embrassa à nouveau, cette fois sans avoir le souci de personnes regardant par-dessus son épaule… Elle fit donc durer le plaisir, déplaçant sa main pour attraper les cheveux de Daisy, raffermissant ainsi sa prise sur elle, de sorte que le baiser s’étira pour le plus grand plaisir de la tête blonde.

L’Empereur aurait dû être le premier invité de ce nouveau Palais, mais, avec son décès, il avait fallu revoir ça. C’était d’ailleurs pour ça qu’Alice dirigeait Sylvandell. Son père, Tywill, était parti en urgence à la capitale, participant aux États Généraux. L’idée était d’éviter une guerre civile, car plusieurs candidats étaient en train de se battre pour devenir le nouvel Empereur. Alice avait donc décidé d’inviter Daisy. C’était l’occasion d’approfondir leurs liens, mais aussi d’envisager la suite. Pour l’heure, toutefois, il s’agissait surtout de sympathiser.

Alice et Daisy s’embrassèrent donc avec appétit. La main d’Alice se déplaça pour caresser l’épaule de Daisy, et se glissa sur ses cheveux. Elle appuya dessus avec envie,  et leurs corps se pressèrent tendrement l’un contre l’autre. Alice sentit la poitrine de Daisy heurter la sienne, leurs seins s’enfonçant mutuellement et se frottant doucement.

« Hmmm… »

Elle sentit la langue de sa partenaire glisser dans sa bouche, et frémit sous ce contact, qui provoqua quelques stimuli électriques. Sa langue réagit également, et joua avec celle de sa partenaire. Les deux femmes soupirèrent doucement, et Alice ferma les yeux, laissant le plaisir l’envahir. Maintenant qu’elle savait qu’elle était la fille d’Aphrodite, elle savait aussi que le désir fonctionnait différemment chez elle. Elle soupira donc, goûtant aux magnifiques lèvres de Daisy, et s’exerça à utiliser ses pouvoirs magiques. Elle était encore assez inexpérimentée, mais elle savait qu’elle pouvait, en embrassant une autre femme, sentir sa mémoire sexuelle, ses souvenirs sexuels, et même ses préférences sexuelles.

Alice s’y risqua donc, crispant son corps contre le sien, et eut droit à une vision surprenante… Une vision où elle voyait Daisy, peu de temps avant qu’elle quitte Humpa, qui se faisait prendre en levrette par la Reine Bowsette, sa Maîtresse et femme, tout en se faisant gifler, fesser le cul avec énergie… La vision disparut ensuite, et Alice rompit le baiser, toute émoustillée.

Elle se mordilla les lèvres, croisant le regard sensuel de Daisy, le goût de sa bouche sur les lèvres.

« Tu es magnifique, Daisy… Tes lèvres sont aussi attirantes que ce à quoi je m’attendais en lisant tes lettres. »

Alice s’écarta alors, impatiente d’être à ce soir, quand Melendil serait là.

« Le repas sera prêt d’ici quelques heures. Je peux te laisser te reposer, si tu en as besoin… Ou faire preuve d’hospitalité. »

Ce qu’elle entendait par hospitalité laissait à vrai dire peu de places au doute…

Les deux Princesses étaient désormais ensemble, et Alice avait assurément l’envie d’en profiter ! Comment, en effet, ne pas résister à Daisy ? La Princesse humpaoïte avait beau dire qu’elle n’était pas « aussi belle » que la tête blonde, Alice ne pouvait s’empêcher de la trouver magnifique ! Elle n’eut toutefois pas l’occasion immédiate de lui dire, car Daisy prit l’initiative. Elle défit le petit nœud formant le décolleté de la robe d’Alice, libérant ainsi ses opulents seins. La poitrine d’Alice était des plus agréables à voir, mais aussi à suçoter et à presser… Surtout en ce moment, où ses seins étaient gorgés de lait ! Daisy avait une lueur amusée dans les yeux, une lueur envieuse. Alice rougissait doucement en se tortillant sur place, et sentit Daisy défaire sa robe très naturellement. Elle n’y alla pas par quatre chemins, et la retira totalement.

« Oh, Daisy… Tu es superbe ! »

Dessous, elle portait un très beau corset orangé qui allait à merveille avec sa robe… Et rien d’autre. Alice sourit alors, et déplaça ses mains, caressant les hanches de Daisy, puis s’empressa ensuite de palper ses fesses. Ses mains se serrèrent avec appétit sur cette zone, et elle se lova contre sa partenaire, venant l’embrasser avec passion. Un baiser savoureux, tandis qu’elle malaxait le petit cul de Daisy.

« Tu es vraiment une belle perverse, Daisy… J’ai hâte de voir ta femme aussi, tu sais… Toutes les deux, vous devez être incroyables ! »

Dans leurs lettres, les Princesses n’hésitaient pas à parler de sexe. C’était une correspondance épistolaire très rose, très érotique. Pour l’heure, Daisy s’intéressait toutefois à une autre cible que les lèvres de la tête blonde. Alice se redressa donc, afin de faciliter l’accès de Daisy à ses seins. Et, avec passion, Daisy s’y attaqua. Sa bouche se pressa sur son sein, et Alice soupira en la sentant sucer.

Conservant une main sur son postérieur, elle déplaça l’autre, et agrippa les cheveux de Daisy par l’arrière, serrant ses doigts dessus.

« Hooo, petite gourmande, hmmm… »

Alice se pinça doucement les lèvres, savourant ce plaisir intense, simple et jouissif. Le lait ne tarda pas à affluer, et les joues de la Princesse s’empourprèrent. Sous ce plaisir diffus et inné, elle se mit à rougir, crispant sa main sur le cul de Daisy, comprimant sa chair, serrant sa fesse contre ses doigts. Avant que leurs amants respectifs n’arrivent, les deux femmes comptaient bien se faire longuement l’amour !

Alice soupira doucement en sentant les délicates lèvres de Daisy se mettre à ponctionner son lait. Daisy avait libéré ses seins, et Alice la laissa se pencher sur chacun d’entre eux, rougissant doucement quand elle s’y attaquait. Chacun de ses deux seins était gorgé de lait, et, si ce lait servait surtout à nourrir ses enfants, on pouvait aussi lui trouver d’autres usages. Sous l’effet du désir, le lait d’Alice prenait en effet une connotation différente, et devenait plus aphrodisiaque. C’était alors un lait destiné à une bouche adulte, et Alice sourit tendrement, sa main se serrant sur les cheveux de Daisy.

« Ne bois pas tout pour toi, Daisy, il faut aussi partager… »

La belle Princesse rousse était si belle… La voir ainsi téter ses seins ne manquait pas d’exciter Alice, et, quand Daisy se retirait, la bouche pleine, Alice venait l’embrasser. Elles partageaient ensemble son propre lait dans des baisers soutenus et appuyés, et la main d’Alice qui était restée en appui sur les fesses de Daisy se serrait à ce moment. Daisy retourna à l’action, continuant à suçoter les appétissants seins de la Princesse, et lui demanda si son mari en profitait autant que ses enfants.

« Il… Hmmm… Il en profite différemment, haaa… Un peu comme toi. »

Quand cela venait de Melendil, ou de Daisy, les sensations n’étaient pas les mêmes pour Alice. Elle frémissait lentement, rougissant joyeusement, sentant un désir naissant croître en elle, très différent effectivement de quand Aerin et Erwan s’attaquaient à ses seins. Daisy opta pour le second sein, s’interrompant à plusieurs reprises pour embrasser Alice. Elle la caressait dans la foulée, et le corps de la délicate tête blonde tremblait lentement, nerveusement. Tout ce lait qui sortait, ce désir en elle, cette chaleur… Alice fermait et rouvrait les yeux, sentant les doigts de Daisy se glisser en elle, la stimulant, l’excitant… Jusqu’à ce que, dans un soupir, Alice ne banda ses muscles, et ne repousse les doigts de Daisy… Des doigts qui se crispèrent autour d’une belle verge, qu’Alice venait de déployer dans un soupir. Lorsque son membre sortit, ses iris passèrent brièvement au rose.

« Regarde comme tu m’excites, Daisy… Tu as conscience que, quand Cassandra va venir pour voir si tu vas bien, tu seras probablement occupée à me sucer ? Je me demande comment elle réagira en voyant cela… »

Cassandra était restée avec Mineko pour assurer le transport des bagages, mais, une fois ceci fait, elle devrait logiquement venir s’enquérir de l’état de sa Princesse… Une Princesse qui avait l’air beaucoup plus excitée qu’inquiète, maintenant qu’elle s’était repue du bon lait de son homologue princier !

Cette Daisy était assurément très efficace ! Alice ne pouvait qu’aimer ce type de négociations. Alice soupirait en sentant sa main douce, mais non moins ferme, se saisir de sa verge durcie, et la masturber. Elle se tortilla sur place, sentant l’autre main de Daisy palper son sein. Elle gémit tendrement, se mordillant les lèvres en rougissant délicieusement. C’était un spectacle très agréable à voir, et à ressentir. Car Daisy remplaça très rapidement sa main par sa bouche, une belle petite bouche affamée. Alice avait déjà eu un avant-goût de ses lèvres en l’embrassant, et elle n’avait pas été déçue. Le reste promettait d’être à l’avenant ! Elle se laissa tomber en arrière lentement, afin de s’asseoir sur un fauteuil à proximité.

« Alors, je m’en voudrais qu’elle soit jalouse… Haa… »

Alice soupira quand elle sentit les lèvres de Daisy se serrer sur sa hampe de chair. La Princesse humpaïote commença à sucer, pompant son dard, aspirant sa verge entre ses lèvres. Une bonne succion qui fit se crisper les muscles de la Princesse. Celle-ci posa sa main sur les cheveux de Daisy, appuyant fort en se mordillant les lèvres. Ses joues s’empourprèrent tandis qu’elle sentait Daisy avaler son membre. Alice soupira, jusqu’à ce que la Princesse de Humpa ne lui fasse une onctueuse gorge profonde. Alice posa alors ses deux mains sur la tête de Daisy, appuyant sur ses cheveux bruns, serrant ses mèches contre ses doigts. Elle ne cherchait pas à la ralentir ou à la gêner, mais simplement à accompagner les mouvements assoiffés de sa partenaire. Alice écartait et repliait les jambes, jouant avec les cheveux de Daisy, rougissant en sentant ses seins durcir.

Elle sentit les mains de Daisy caresser ses cuisses, et se redressa ensuite. Les mains de Daisy se posèrent alors sur les fesses d’Alice, qui soupira encore. Relevée, elle n’avait qu’à baisser la tête pour voir son amante sucer sa queue avec appétit, enfonçant son membre jusqu’à la garde.

« Han oui, c’est… C’est comme ça que tu suces ta Reine, hein ? Hmmm… Est-ce qu’elle t’insulte pendant que tu la suces ? Est-ce qu’elle te dit combien sa queue doit se sentir bien dans ta gorge ? Comme si tu étais née pour sucer… »

Alice sourit doucement, continuant à remuer, accompagnant les mouvements de Daisy, l’empêchant de retirer sa bouche en appuyant sur sa tête, ou même de trop se reculer. Elle remuait également, tout en gémissant encore.

« N’hésite pas à me pincer les fesses… À me doigter, hmmm… Montre-moi à quel point tu es douée pour faire jouir ta femme… »

Un léger sourire exalté ornait les lèvres d’Alice. De ce couple humpaïote, elle ne savait finalement pas grand-chose, mais quelque chose lui disait qu’elles allaient désormais apprendre à bien se connaître ! Dans sa chambre, Alice comptait bel et bien s’amuser beaucoup avec Daisy, elle comptait lui faire longuement l’amour, satisfaire leurs pulsions ! Et, ensuite, elle rencontrerait sûrement cette fameuse Bowsette. Dans le cadre d’un accord, il semblait après tout logique qu’elle se rende, elle aussi, à Humpa, et qu’elle rencontre en personne la Reine Bowsette. Mais, pour l’heure, elle allait se focaliser sur Daisy. Alice ignorait si elle allait égaler l’énergie débonnaire de la femme de Daisy, mais elle allait en tout cas tout faire pour lui montrer de quoi elle était capable !

« Ooohhh… Quelle énergie, ma chérie ! Je peux te l’assurer : on va passer une sacrée nuit, toi et moi ! »

Alice serrait les cheveux de Daisy d’une main, et, quand celle-ci essayait de trop se reculer, elle maintenait alors la pression avec ses deux mains, et donnait alors des coups de reins. Son corps élégant s’aplatissait contre celui de Daisy, sa verge semblant grossir et durcir dans la bouche de Daisy. Même Alice commençait à moins parler, soupirant et gémissant en continuant à la prendre. Son membre assoiffé filait en elle, et Alice en frissonnait d’excitation. Tout son corps tremblait, et ses yeux prenaient régulièrement une teinte rose, tandis que, sur son pubis, une marque magique se formait. Quand les doigts de Daisy flattèrent ses bourses, puis titillèrent ensuite son bourgeon intime. Elle soupira lentement. Le clitoris d’Alice s’était transformé, il avait muté en verge, mais sa chatte était toujours là, et elle pouvait sentir les doigts de Daisy s’y faufiler, tandis que son autre main conservait son appui sur ses fesses.

Sur son pubis, la marque de Lust s’étirait, formant un long cœur magique. L’|i]inmon[/i] se mit à vibrer et à luire chaudement, tandis qu’Alice se laissait aller. Prise dans son élan, elle remuait d’avant en arrière, finissant ainsi par proprement baiser la bouche de Daisy. Ses bourses venaient régulièrement claquer son visage tandis que sa queue se perdait dans les lèvres suaves de Daisy, descendant dans sa gorge. En sentant sa queue glisser en elle, Alice tremblait, sentant comme si on aspirait son sexe. Elle se pressait alors autant que possible.

« Haaaa… Haaaannn… Haaaa… »

Alice se pinça les lèvres en grognant encore.

« Je… Daisy, je… Je vais te remplir, ma chérie ! »

Oui, elle sentait venir le point de rupture, le passage où elle allait invariablement se vider dans sa bouche d’amour. Alice soupira encore, et crispa ses doigts sur la masse chevelue de Daisy. Elle cambra ses muscles, bloqua son corps, et, dans un long soupir, se mit à jouir. Elle sentit l’acte finale, la délivrance précédent la jouissance, quand toute cette tension accumulée se relâchait. Sa queue lui donna l’impression d’exploser, et elle se mit à jouir, crachant avec appétit sa semence dans la gorge de Daisy.

Alice balança de multiples giclées de sperme, jouissant abondamment et généreusement, en soupirant, yeux clos. Elle se vidait à chaque coup de reins, jusqu’à progressivement ralentir le rythme. Elle se retira finalement dans un sursaut de la bouche pleine de foutre de Daisy, et masturba sa queue trempée dans des bruits de succion qui ne mentaient pas… Ce qui lui permit de se finir sur le visage de Daisy.

Elle lui juta joyeusement dessus, blanchissant son visage de sa crème épaisse. Un sperme qui aurait toutefois un goût unique, car elle était après tout la fille d’Aphrodite. Oh, il avait le goût de sperme, bien sûr, ce goût écœurant et acide, mais qui était contrebalancé par une sorte d’arrière-goût savoureux et sensuel. Chaque personne ressentait un parfum différent, selon ce qu’il aimait vraiment.

Fait notable, enfin, même si Alice soupirait longuement, et que sa poitrine se soulevait et s’abaissait, sa verge trempée se redressait lentement… Signe que ce torrent de sperme n’était finalement qu’un prélude !

« Pfffiouh, ce que ta bouche est bonne, ma chérie… Mais j’en ai foutu partout sur toi, hihi. Tu veux bien que je te nettoie le visage ? »

Et, évidemment, elle comptait nettoyer uniquement avec sa langue…

Il n’était à Mijak de bonne relation qui se forme sans une séance de sexe. Alice célébrait donc cette alliance avec la Reine Bowsette, même si elle avait conscience que l’autorité de Bowsette était encore contestée. Sa rébellion à la Calla lui permettrait de fonder un royaume, qui permettrait aussi aux Mijakiens de sécuriser cette vaste forêt frontalière. Il y avait donc un intérêt mutuel à ce que l’Empire soutienne les efforts de la Reine Bowsette, et cela, Daisy allait le comprendre de la plus belle des façons, dans le sexe ! Fort heureusement pour elle, Alice était une amante endurcie, qui maîtrisait la magie rose. Elle se rua sur le visage de Daisy, et la lécha tendrement, nettoyant son foutre, tout en sentant la main de Daisy astiquer son mât. Son vit trempé et durci se redressa joyeusement, tandis que les idées fusaient dans l’esprit dévergondé de Daisy. Elle envisagea même que les deux souveraines prennent ensemble Cassandra.

« Hummm… » gémit Alice.

Celle-ci avait déplacé les deux femmes sur un lit, plus adapté à la suite des évènements. Elle remplissait sa bouche de son nectar, puis répondit à Daisy par un baiser très humide. Alice était couchée contre elle, et, tout en l’embrassant, elle déplaça son corps, et frotta sa verge contre la chatte de Daisy. Pendant ce temps, leur baiser consistait à jouer avec le sperme qu’elle avait recueilli. C’était sale, dépravant, mais en même temps, du moins pour Alice, terriblement excitant ! Elle déplaça ses mains pour attraper celles de Daisy, et les plaqua ainsi au-dessus de sa tête. Alice continuait à embrasser Daisy, même après la disparition de son foutre dans leurs gorges respectives. Elle se redressa un peu, et déplaça l’une de ses mains. Elle la posa sur son sexe, et orienta ainsi ce dernier. Daisy avait souhaité qu’Alice la « chevauche », mais, pour commencer, un missionnaire lui semblait plus indiqué.

Elle la pénétra donc comme ça, et poursuivit son baiser. Elle remuait sur elle, tout en entreprenant de jouer avec sa langue. Elle l’enfonçait dans la bouche de Daisy, et sentait la langue de la Princesse d’Humpa lui répondre. Bien sûr, Alice n’avait pas oublié le désir de Daisy concernant Cassandra. De fait, tandis que son corps remuait contre elle, et qu’elle la pénétrait, l’inmon d’Alice continuait à briller. Alice utilisait encore ses sortilèges, cette fois sur Daisy. Elle libéra finalement les mains de la belle, et posa les siennes sur les épaules de Daisy, ou sur le lit. Le baiser se poursuivait, tout comme la pénétration. Alice s’enfonçait progressivement avec sa verge dans le corps de sa partenaire, gagnant progressivement en présence dans son antre. La délicieuse chatte de Daisy se contractait autour de sa queue, tandis qu’Alice l’enfonçait de plus en plus loin.

Quand elle rompit enfin leur baiser, soit après presque une dizaine de minutes, un filet de salive relia leurs lèvres, qu’elle pourfendit avec sa langue.

« Hum… J’ai très envie de faire ça avec t-toi, hmmm… Et je vais t’aider à devenir… Hermaphrodite, hmmm… Je ne me contente pas que de te b-baiser, ma belle, j’utilise ma magie en ce moment… Et, quand je jouirai dans ta petite chatte, tu pourras avoir une v-verge, haaaa… C-Comme moi… »

Elle lui sourit, et Daisy pouvait effectivement voir les iris d’Alice prend re régulièrement une teinte rose.

« Palpe mes fesses, ma chérie, enfonce tes doigts en moi… Haaaa… Excite-moi encore, ma chère D-Daisy… ! »

La verge d’Alice s’enfonçait avec appétit dans la chatte assoiffée de Daisy. Alice lui faisait l’amour avec passion, tout en faisant durer leur baiser. Un baiser suave, intense, tandis que le corps de la Princesse filait de haut en bas, glissant contre Daisy. Pendant cette session, elles se déshabillèrent l’une et l’autre, et Alice reprenait ses coups de reins quand elle retira ses derniers vêtements. Elle s’allongea contre Daisy, et retourna la pénétrer. Alice frémit sur place, continuant ses coups de reins, encore et encore, provoquant des bruits de claquement spongieux, entremêlés de soupirs et de gémissements diffus de la part des deux femmes.

« Haaa… Haaaaa… !! »

Elle haletait, soupirant et gémissant, et frémit quand la main de Daisy se posa sur ses fesses. Elle serra ses doigts sur sa peau, puis la fessa là. Alice se mordilla les lèvres, rougissant sur place. Sa queue se durcit également au contact des fessées de Daisy, qui alla également glisser ensuite un doigt dans sa porte arrière, puis un deuxième.

Cette fois, Alice gémit un peu plus fort, et serra ses mains sur les épaules de Daisy. Elle se mordilla les lèvres en rougissant, soupirant contre elle.

« Pe-Petite catin, haaaa… »

Daisy lui demanda si elle avait envie de goûter à la verge de Daisy avant que Cassandra ne soit appelée. Alice sourit alors, et déplaça sa main sur l’un des seins de Daisy. Elle le pinça, et vint suçoter le téton, embrassant également cette pointe rosée. Alice remuait d’avant en arrière, continuant à la besogner, son sexe s’enfonçant de plus en plus profondément en elle.

Elles continuaient ainsi à faire l’amour, tandis que, sur le pubis d’Alice, son inmon s’était formé, un joli cœur magique qui se mit à briller et à vibrer chaudement. Un inmon similaire se forma ainsi sur le pubis de Daisy, et les deux femmes retournèrent s’embrasser. Les minutes défilèrent encore, Daisy pouvant remuer plus facilement ses doigts dans le cul d’Alice, et sentir combien celle-ci appréciait ce traitement.

« Hmmm… »

Alice sentit finalement la vague l’emporter. Sa queue durcissait encore, devenant plus douloureuse, plus épaisse… Elle balança finalement des chapelets de foutre, gémissant en sentant tout son corps s’abandonner. La Princesse orgasma avec force, inondant le bas-ventre de son invitée. Son sexe cracha des vagues blanches en elle, une magnifique crème qui vint la remplir.

Reprenant ensuite lentement ses esprits, Alice cligna des yeux, puis se redressa. Elle sourit, sa verge se rétractant.

« Tu m’as un peu trop chauffé, ma belle… »

La main d’Alice glissa contre le sexe de Daisy, qui put alors sentir son clitoris s’étirer, et se déformer. Sa propre verge se forma finalement, qu’Alice masturba tendrement.

« Elle est déjà bien grosse, ta queue… »

Alice sourit encore, malicieuse, puis se retourna alors. Elle se mit à quatre pattes, présentant ses fesses à sa partenaire.

« Qu’est-ce que tu attends, ma belle ? Viens finir ce que tu as commencé ! »