The Multiversity

Depuis qu’elle avait quitté Earth-2, Helena avait connu de nombreux changements dans sa vie. Le plus important avait été le début de sa relation amoureuse avec Karen Starr, son amie d’enfance avec qui elle avait fui Earth-2. Le second plus grand avait été son passage accidentel dans une dimension parallèle et sa rencontre avec Ishtar Naviento, une hybride dragonne noire avec un goût prononcé pour la domination et l’humiliation. La jeune femme était restée pendant trois mois avec elle avant qu’elle accepte de la renvoyer sur Terre. Et pendant ces trois mois, elle avait découvert un nouveau niveau dans le SM. Ishtar l’avait fait se complaire dans le vice, le stupre, la saleté et la souffrance, et elle avait pris son pied comme jamais auparavant. Elle avait également rencontré Theorem, le second d’Ishtar, un petit homme efféminé que la dragonne utilisait comme jouet pour toutes sortes de tortures sexuelles. Helena avait joué avec lui, lui infligeant souffrance et humiliation pour le plaisir de la dragonne, et elle avait découvert le plaisir d’être une dominante grâce à cette expérience. Finalement, après trois mois à Infernis, Helena était rentrée chez elle, mais elle promit qu’elle reviendrait un jour.

Six mois après son départ d’Infernis, Helena avait décidé de retourner voir Ishtar. Le talent de la dragonne pour la faire jouir en la rabaissant lui manquait, elle voulait à nouveau se sentir sale et dégradée entre ses mains. Heureusement, les portails dimensionnels étaient faciles à trouver avec le bon matériel à disposition. Elle scruta les distorsions dans la trame de l’espace-temps jusqu’à ce qu’un portail menant au bon endroit apparaisse. Aussitôt le portail ouvert, elle se dépêcha de s’y rendre, vêtue de l’uniforme en latex d’Infernis qui lui avait été offert par Ishtar lors de son départ, ainsi que de sous-vêtements en latex. Elle sauta dans le portail et dégringola dans les couloirs dimensionnels pendant une période de temps qui lui était impossible à déterminer, et finit par atterrir près d’un des ports de la marine d’Infernis. En tant qu’amiral, Ishtar était sûrement très connue, la jeune femme se dit donc qu’elle n’aurait qu’à parler à quelqu’un au hasard et qu’il saurait la renseigner. Mais elle n’eut pas le temps de prononcer un mot avant qu’une femme en uniforme de latex avec des galons accrochés à sa tenue ne vienne l’interpeller.

« Eh vous ! L’accès à cette zone est interdite aux civils. Qu’est-ce que vous faites là ? »

« Du calme, je ne suis pas une ennemie. Je viens voir l’amirale Ishtar Naviento. »

« Ah, rien que ça ! Et qu’est-ce qui te fait croire que tu peux voir l’amirale juste en demandant ? »

« Dites-lui que c’est Helena Wayne qui vient la voir. Et que j’ai un cadeau pour elle. »

En effet, l’humaine n’était pas venue les mains vides. Elle tendit à la femme officier un petit sac pour qu’elle le donne à sa supérieure. Ce sac contenait un collier d’esclave avec le nom « Helena » gravé sur une plaque en acier, différents plugs pour tous ses trous, ainsi que la petite culotte qu’elle avait porté la veille. Elle espérait que ce présent lui plairait.

Après avoir donné son cadeau à l’officier pour qu’elle l’apporte à Ishtar, Helena dut attendre quelques minutes. Dans l’intervalle, elle se remémora la dernière fois qu’elle était venue à Infernis. Elle y avait atterri par accident en passant par un portail ouvert sur son chemin, et elle avait fini par y rester pendant trois mois. Trois mois au cours desquels elle s’était transformée en une incroyable salope, se vautrant toujours plus loin dans la perversion et le vice, s’offrant corps et âme à l’amirale qui lui infligeait de délicieux sévices jour et nuit pour en faire sa chienne. Et cette fois, elle était venue ici de son plein gré, frémissant sur place en attendant que sa maîtresse arrive.

Tout à coup, Helena vit Ishtar tomber du ciel, ses grandes ailes de dragon déployées, et elle se posa directement sur elle. Elle l’écrasa de tout son poids en allant l’embrasser énergiquement, roulant sa langue dans sa bouche tout en serrant sa poitrine contre la sienne. Prise au dépourvu, l’humaine sentit une délicieuse chaleur la gagner, une chaleur qui lui rappela son dernier baiser avec l’amirale. Elle se sentait si impuissante et si désirée, il ne lui en fallut pas plus pour se mettre à mouiller. Et après ce long baiser passionné, elle respirait fort et son visage était bien rouge.

« Aaahhh... je suis revenue... maîtresse Ishtar. »

Helena fut relevée, et Ishtar lui passa son collier autour du cou. L’humaine l’avait fait spécialement fabriquée pour cette occasion, il était composé d’un mélange étonnant de latex et d’acier, combinant solidité et élégance. Elle lui attacha également une laisse, et l’héroïne se pinça les lèvres en voyant la bosse impressionnante dans son pagne. L’amirale lui demanda si elle était prête à se relancer pour trois mois de torture et de plaisir.

« Oui... j’adore être ici. Et je suis prête... pour les trois prochains mois. »

En marchant au milieu des marins qui travaillaient, Helena ne put s’empêcher de reluquer quelques femmes officiers. Leurs opulentes poitrines siliconées, leurs délicieux culs charpentés moulés dans le latex, ou les services trois-pièces des futas qui commençaient à bander, tout cela avait de quoi donner envie. Cependant, chaque incartade menait aussitôt à un rappel à l’ordre, quand Ishtar tirait sur la laisse pour faire avancer sa chienne. Une fois arrivée dans les quartiers de l’amirale, cette dernière se jeta sur elle avant qu’elle ait le temps de prononcer un mot.

« Hhhmmm... »

Encore une fois, la dragonne fit démonstration de sa puissance, lui roulant une pelle avec vigueur tout en lui malaxant les seins ou les fesses. Le grincement du latex, l’odeur puissante d’Ishtar, sa poigne vigoureuse, sa verge qui frottait contre sa cuisse... tout cela rendit rapidement Helena folle de désir. La cyprine coulait le long de sa cuisse, mais elle sentait bien que sa maîtresse évitait de toucher à sa vulve. Elle voulait s’amuser avec elle... comme toujours.

Quand leur baiser se rompit, Helena était haletante et tout son corps frémissait. Ishtar l’autorisa à lui toucher les seins, un privilège que Theorem n’avait pas encore eu.

« Ooohhh... merci maîtresse. »

La jeune femme passa ses mains sous la tenue en latex de la dragonne et posa ses doigts sur les globes de chair moelleux qui s’offraient à elle. Ils étaient si fermes, si délicats, ils lui semblaient un peu trop parfaits pour être naturels. Vu comme le changement de sexe semblait facile ici, peut-être que la dragonne s’était faite refaire la poitrine. En tout cas, c’était une joie pour l’héroïne de caresser cette poitrine rebondie.

« Aaahhh... »

Elle avait envie d’enfouir sa tête dans la vallée au milieu de ces belles collines, mais pas question de désobéir à sa maîtresse alors qu’elle venait à peine d’arriver. Elle s’en tint au malaxage de ses obus. Du moins, pour le haut de son corps. Car sous sa ceinture, sa jambe remontait doucement jusqu’à son pagne, et sa cuisse vint caresser sa grosse bosse.

« Maîtresse... hhhmmm... vous êtes déjà... bien érigée. »

Helena en avait l’eau à la bouche. La bite d’Ishtar était une incroyable friandise, dont elle gardait encore un souvenir bien net malgré le temps passé. Elle avait hâte de la voir érigée à son maximum pour pouvoir la sucer, boire son jus poisseux et gluant, puis se la prendre dans la chatte, puis dans le cul, se faire éjaculer partout sur le corps... Elle s’en mordait les lèvres de joie.

« Dites maîtresse... je vous ai manquée ? Vous avez pensé à moi ? Vous vous êtes branlée... ooohhh... avec la culotte... que vous m’avez prise ? »

Helena fut plus que ravie en entendant Ishtar lui dire qu’elle s’était branlée presque tous les jours en regardant les vidéos de leurs ébats et en respirant le parfum de sa culotte. Et visiblement, elle en avait assez d’attendre. L’humaine se retrouva prise dans un baiser fougueux, où leurs langues dansèrent joyeusement ensemble, pendant que l’amirale prenait des vidéos d’elles en pleine action. La jeune femme savoura pleinement ce baiser, continuant de palper les seins de la dragonne et caressant son entrejambe avec sa cuisse, puis elle se retrouva couchée sur le lit, mains derrière la tête et jambes écartées.

« Oohh... maîtresse... »

Elle s’attendait à se faire pénétrer tout de suite, mais à la place, Ishtar ouvrit le passage vers son intimité pour la doigter. L’héroïne se mit tout de suite à crier, sa maîtresse savait exactement où appuyer pour lui donner un maximum de plaisir.

« Ooouuuiii... putain... que c’est bon ! »

Très vite, Helena se retrouva avec trois doigts dans la chatte et le clitoris comme masturbé entre le pouce et l’index d’Ishtar. Au début, elle y allait doucement. Mais quand elle commença à accélérer, l’humaine se sentit perdre pied très rapidement, et elle se mit à gigoter dans tous les sens.

« Aaahhh... gggaaahhh... »

Les orgasmes s’enchaînèrent en un éclair. Ishtar fit jouir Helena dix fois avec ses mains avant de la relâcher. La jeune femme s’écroula sur le lit, haletante, en sueur, avec l’impression qu’elle retombait peu à peu dans son schéma de salope d’Infernis, pour son plus grand plaisir. Et ce n’était que le début. Sa maîtresse grimpa sur le lit et lui enfonça son sexe dans la bouche avant de se mettre à lui baiser sèchement la gorge. Bien sûr, elle aurait pu se débattre et s’agiter, mais elle prenait tellement son pied à être utilisée de la sorte, elle ne fit que gigoter et couiner.

« Hhhmmm ! »

Ishtar complimenta le confort de la gorge de Helena, et cette dernière se faisait plaisir à lécher ce vit épais et chaud qui pulsait contre sa langue. Elle ne pouvait pas vraiment le sucer vu qu’elle ne contrôlait pas ce qui se passait, mais elle pouvait aspirer l’air dans sa bouche pour donner plus de plaisir à son amante. Et même si sa chatte n’était pas directement stimulée, le plaisir qui arrivait depuis sa gorge suffisait à l’exciter.

« Hhhmmm... ggghhh ! »

La jeune femme était à moitié étouffée par le sexe imposant qui lui ramonait la gorge, mais elle était aussi excitée comme une puce. Ce sentiment d’impuissance, de restriction, de ne pouvoir rien faire sans l’aval de sa maîtresse... c’était quelque chose qu’elle ne retrouvait qu’ici. Elle savait que dans peu de temps, elle finirait à nouveau vautrée dans le stupre et la luxure, et qu’elle servirait d’esclave à la dragonne pour accomplir toutes sortes de commandements dégradants. Et plus elle y pensait, plus elle était excitée.

Au bout de quelques minutes, Helena eut un premier orgasme, et sa mouille gicla dans sa culotte de latex. Elle savait à quel point Ishtar aimait la voir porter des vêtements de latex souillés par différents fluides sexuels, donc pas de doute qu’elle allait la faire continuer dans cette voie.

Helena avait eu droit à une bonne baise de gorge, et ç’avait été si bon qu’elle en avait joui. Ishtar sortit ensuite sa queue de sa bouche et lui tapota le visage avec.

« Aaahhh... »

Et ce n’était que le début. L’amirale se lança à l’assaut du corps de sa servante, malaxant ses seins avec une grande habileté pendant plusieurs minutes de pure extase. La jeune femme enchaîna les couinements d’animaux et les soupirs de plaisir, puis sa maîtresse vint lécher ses abdos, laissés à nu par son costume. Sa langue ne s’arrêta pas là, elle remonta le long de son corps jusqu’à atteindre ses aisselles.

« Ah ah... ça chatouille. »

Helena avait les aisselles sensibles, sa maman lui faisait souvent des chatouilles dans cette zone quand elle était petite. Ishtar lui avoua que, si elle vivait sur Terre, elle lui aurait léché le corps comme ça toutes les nuits après ses sorties nocturnes pour aller combattre le crime.

« Oh maîtresse... ce serait un vrai bonheur pour moi aussi. »

Après ça, la jeune femme se retrouva avec les tibias en l’air, l’entrejambe parfaitement exposée. Elle sentit la verge de sa maîtresse appuyer contre la mince couche de latex la séparant de son antre intime, et elle appuya jusqu’à ce que le latex se décale et que la verge entre en elle.

« Aaahhh ! Ooouuuiii ! »

Elle sentit le gland taper fort contre son col de l’utérus, et une vague de plaisir la noya d’un seul coup. C’était une telle joie qu’elle se mit à crier, et alors la baise commença. Une baise sale, pleine de transpiration et de grincements de latex, digne d’Infernis. La dragonne vint l’embrasser à pleine bouche, et l’humaine partagea avec elle la sueur et la salive de leurs corps. C’était le pied.

« Hhhmmm... »

Helena couinait, gémissait et soupirait d’aise en se faisant sauvagement baiser par Ishtar. La dragonne ne la ménageait pas, elle donnait des coups de butoir puissants pour venir taper bien au fond de son utérus, elle l’embrassait fougueusement et la pelotait avec fermeté, tout ça dans le but de la voir couiner et se vautrer de plus en plus dans le stupre et la luxure.

« Aaahhh... ooouuuiii... maîtresse... baisez-moi... comme une sale chienne. Ooohhh... je veux me sentir... sale... pendant que vous me sautez. Ooouuuiii ! »

Sa maîtresse ne se contentait pas de la faire grimper aux rideaux grâce au plaisir physique, elle lui envoyait aussi des commentaires salaces sur sa position et sur le plaisir qu’elle prenait à être traitée comme la plus dépravée des putes. La jeune femme s’en voulait parfois d’aimer autant être rabaissée, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher. Elle adorait ça.

« Aagghh... oui... je suis une pute. Baisez-moi... encore... encore ! »

Helena transpirait, sa bave coulait de sa bouche, sa chatte faisait des bruits humides, et tous les liquides qui coulaient de son corps finissaient dans sa tenue de latex. C’est en voyant à quel point elle prenait son pied à se faire baiser de la sorte qu’elle réalisa que ça lui avait manqué. Elle se mettait déjà à fantasmer sur ce qui l’attendait ensuite. Se faire laver par la langue des soumis, servir de sextoy pour les haut-gradées du navire, enchaîner les phases de soumission avec Ishtar et les phases de domination avec Theorem... un programme des plus réjouissants.

En quelques minutes, l’humaine atteignit l’orgasme grâce à la puissante saucisse de la dragonne, mais cette dernière continua de la baiser. Elle ne comptait pas arrêter avant d’être pleinement satisfaite, ce qui convenait très bien à sa soumise. Elle ne demandait qu’à être baisée, encore et encore, jusqu’à ce que l’amirale en ait assez et la donne en pâture à une autre amante qui la sauterait aussi bien. Elle se complaisait à l’idée de devenir le sextoy de tout l’équipage.

Pendant deux longues heures, Helena eut droit à une bonne baise intense et sale, de quoi la faire monter au septième ciel. A chaque fois qu’Ishtar jouissait en elle, elle la sentait tracer un trait au feutre sur son derrière. Quand elle en eut assez de la sauter comme une pute dégoûtante, elle s’installa sur le rebord du lit et se mit à fumer pendant que sa servante lui lustrait le chibre avec sa bouche.

« Hhhmmm... »

Helena n’en avait jamais assez. Maintenant qu’elle avait regoûté au sexe façon Infernis, elle en voulait encore. Non seulement son cul était marqué de traits prouvant que sa maîtresse avait bien joui en elle, mais en plus elle portait ses capotes remplies de sperme à la ceinture. Elle ne rêvait que d’être encore plus rabaissée et humiliée, que les femmes officiers du navire se servent d’elle comme jouet ou qu’elle prenne encore part à un combat d’entraînement avec une combinaison remplie de vibros.

Après quelques minutes, Ishtar finit par se rhabiller et Helena la suivit, empoignée par une fesse, les capotes toujours attachées à sa ceinture. Elles se rendirent dans un salon, et la jeune femme alla s’asseoir sur les genoux de l’amirale. Cette dernière commença aussitôt à peloter ses gros seins tout en mordillant son oreille. L’humaine pouvait sentir la bosse de son pagne frotter contre son entrejambe.

« Aaahhh... ooouuuiii... »

Soudain, une porte s’ouvrit et Helena vit entrer un petit rouquin qu’elle connaissait bien.

« Theorem ! »

Le jeune travelo portait un uniforme de latex rutilant et apportait un plateau avec deux verres de vin dessus. Ishtar lui ordonna de faire ses salutations, et la jeune femme le regarda faire avec plaisir. Son allure et sa démarche presque féminines, la façon dont il écarta le bas de sa tenue pour lui montrer sa culotte, la façon dont il la retira pour dévoiler ses jolies petites fesses... L’humaine était sous le charme. Du coup, quand sa maîtresse lui ordonna de lui faire une démonstration de ses talents, elle n’hésita pas une seconde à y aller. Elle se leva et mit une claque sur le cul du Haiena avant d’aller se mettre en face de son visage.

« Salut Theo. Tu m’as manqué mon beau. »

Elle approcha doucement son visage, comme si elle allait l’embrasser sur la bouche, mais elle changea de direction au dernier moment pour embrasser sa joue.

« Oh, tu croyais que j’allais t’embrasser ? Mais mon mignon, ta bouche n’est pas faite pour ça. »

Elle se releva et lui présenta ses bottes.

« Ta bouche est faite pour lécher. Alors vas-y. »

Pendant qu’il s’exécutait, Helena prit la culotte en latex de son soumis et lui mit sur la tête avec l’inscription Bitch boy face à elle.

« Je veux que tout le monde sache ce que tu es... une petite salope. »

La jeune femme alternait son regard entre Theorem et Ishtar. Pendant que son petit soumis nettoyait ses bottes avec sa langue, sa maîtresse les filmait avec son téléphone. L’humaine ne manquait pas de se lécher sensuellement les lèvres à chaque fois que l’objectif passait sur elle.

Quand Helena en eut assez de se faire lécher les bottes, elle ordonna à Theorem de se coucher sur le dos et d’écarter les cuisses en grand. Elle posa le bout de son pied sur ses bourses, appuyant dessus pour lui faire mal juste ce qu’il fallait. C’était un point sensible, mieux valait éviter d’appuyer trop fort pour ne pas l’abîmer trop vite.

« Alors mon beau... tu as continué à te travestir après mon départ ? Combien de vrais hommes ont eu la chance de te baiser ? Raconte-moi... et donne des détails. »

Elle regarda ensuite en direction de la dragonne.

« Maîtresse... je pourrais avoir un gode-ceinture... pour m’occuper de cette petite salope ? »

Helena écouta Theorem lui raconter ce qu’il avait fait depuis son départ. Il s’était mis à travailler dans une maison close, et il énonça les tarifs pour ses différents actes sexuels, depuis la simple branlette jusqu’à faire l’escort boy. Tout cela avait de quoi bien exciter la jeune femme, qui continuait à presser ses bourses sous sa botte.

« Oohh... mais ç’a l’air très excitant tout ça. Je parie que des tas d’hommes ont payé pour avoir le plaisir de te baiser. »

Ishtar revint vite voir Helena avec un gode-ceinture pour qu’elle puisse s’occuper comme il faut de son soumis. Mais elle ne se contenta pas de le lui donner, elle lui enfila autour des hanches en l’embrassant goulument. Et le meilleur arriva quand la dragonne le caressa et que l’humaine sentit de délicieux frissons la gagner.

« Aaahhh... »

Ce gode n’était pas un simple jouet, il lui donnait les sensations d’un vrai pénis et lui faisait oublier sa vulve. En plus, d’après sa maîtresse, il simulait aussi l’éjaculation, de quoi le rendre plus vrai que nature. Quand elle arrêta de le masturber, le gode était érigé et prêt à l’usage. C’était une sensation bizarre pour l’humaine, mais elle n’en était pas à son premier essai en tant que futa, alors pas de quoi la faire paniquer. Pour lui donner une ultime motivation, l’amirale ouvrit sa veste et montra ses seins à sa soumise en lui disant qu’elle y aurait droit une fois qu’elle se serait fait plaisir avec le rouquin.

« Je serai à la hauteur maîtresse. »

Dès qu’Ishtar commença à filmer, Helena fit mettre Theorem à genoux devant elle, le visage au niveau de son nouveau sexe.

« Ouvre la bouche petite traînée. J’ai un cadeau pour toi. »

Dès que le soumis ouvrit la bouche, la jeune femme alla y loger son sexe. Elle ressentait exactement ce qu’elle aurait ressenti avec une vraie verge, alors le plaisir la gagna rapidement.

« Aaahhh... ooouuuiii... maintenant, suce-moi ! »

Helena laissa Theorem lui montrer son talent avec sa bouche. Le petit travelo savait comment creuser ses joues, aspirer l’air et lécher ce sexe en plastique pour rendre la fellation délicieuse. Sa bouche allait et venait le long de cette hampe tandis que la jeune femme couinait et soupirait en lançant des obscénités.

« Ooohhh... le pied ! Tu es trop bonne... comme suceuse. »

Elle se laissa vite prendre au jeu, mais tout ce plaisir lui donna envie de plus qu’une simple pipe. Elle posa ses mains sur la tête du rouquin et se mit à enfoncer sa verge plus profondément dans sa bouche. Elle forçait un peu pour bien lui rappeler qu’elle était aux commandes, mais pas au point de l’étrangler. Elle voulait juste l’entendre faire des bruits humides avec sa bouche.

« Allez ma petite salope. Quand j’aurais joui... dans ta bouche... hhhmmm... j’irai m’occuper... de tes petites fesses. »

Quand Helena finit enfin par jouir dans la bouche de Theorem, son gode lui donna la même sensation qu’une éjaculation de futa. Elle posa ses deux mains sur la tête du rouquin, et une décharge de foutre lui remplit la bouche. Il en avala la plupart, mais la jeune femme dut le laisser se retirer pour qu’il ne s’étouffe pas. Le reste de son éjaculation finit sur le visage du petit trap, qui le laissa venir avant de remercier sa maîtresse pour lui avoir dévasté la gorge.

« Aaahhh... mais de rien... ma jolie. »

Helena ne put s’empêcher de sourire en voyant l’état dans lequel était Theorem. La transpiration et le sperme avaient fait couler le maquillage de son visage, son uniforme était luisant, et la culotte sur sa tête lui donnait un air des plus ridicules. Elle le regarda avaler tout le sperme qu’il avait ramassée et nettoyer sa queue des dernières gouttes restantes avant de lui montrer son joli cul. Il retira le plug doré logé dans son anus, affichant son trou intime bien ouvert et lubrifié, prêt à se faire prendre comme une sale truie homosexuelle.

« Ah vraiment ? »

La jeune femme lui mit une bonne claque sur la fesse droite et s’avança, frottant le bout de son gode contre sa rondelle.

« Pourquoi tu dis comme, ma chérie ? Tu es déjà une sale truie homosexuelle. Et je vais montrer à notre maîtresse que tu adores ça. »

Helena tourna la tête vers Ishtar, qui filmait toujours la scène avec son téléphone. Elle fit un clin d’œil suivi d’un peace de la main droite, puis elle agrippa les hanches de Theorem et enfonça sa queue dans son cul.

« Aaahhh ! Ouais ! Ca c’est des bonnes fesses de salope. »

La jeune femme ne fit pas dans la dentelle, elle se mit tout de suite à démonter l’anus de cette petite trainée pour la faire crier. Sa queue allait et venait énergiquement dans ce petit trou serré, et les fessées pleuvaient sur son petit cul.

« Hhhmmm... je veux t’entendre couiner... ma petite truie. Montre à l’amirale... que tu adores te faire enculer... ooohhh ! »

Il ne s’agissait pas seulement de prendre son pied, il fallait aussi assurer pour la caméra.

Helena avait vite repris la main avec Theorem. Le rouquin se faisait allègrement défoncer l’anus, et conformément aux ordres de sa maîtresse, il couinait et s’insultait en boucle pour montrer qu’il adorait ça. L’humaine, très excitée par ce spectacle, récompensait son obéissance en lui prenant l’anus de plus en plus fort, espérant que leur maîtresse commune immortalisait bien leur baise.

Au bout de plusieurs minutes de sodomie, Helena parvint à faire jouir Theorem. Son visage se déforma en une intense expression de plaisir et sa queue en cage cracha son foutre blanc sur le sol avant qu’il ne s’écroule. L’humaine se délogea de son cul, et Ishtar approcha avec la caméra pour bien le filmer. Après ça, la jeune femme eut le plaisir de se faire attraper et plaquer contre le corps de la dragonne, qui lui roula une pelle tout en palpant ses seins à travers le latex.

« Hhhmmm... »

Helena avait bien pris son pied avec Theo, mais elle n’avait pas encore joui. Elle s’en sentait toute proche, mais fut un peu refroidie quand Ishtar lui retira son gode-ceinture. Heureusement, elle se réchauffa de plus belle quand elle lui annonça qu’elle allait la baiser bien fort sur le lit, et qu’elle se mit à la doigter d’une main tout en caressant son corps de l’autre.

« Aaahhh... ooouuuiii maîtresse... tout ce que vous voudrez. »

Elle voulait que sa soumise joue avec les nerfs de Theo, qu’elle lui dise à quel point elle préférait prendre son pied avec une queue digne de ce nom plutôt qu’avec son clito en cage. Et bien sûr, la jeune femme allait se faire une joie d’obéir. Tout pour se faire bien sauter par l’amirale.

« Écoute moi Theo. D’abord, je veux... ooohhh... que tu remettes ta culotte... sur tes yeux. Tu n’as pas le droit... de voir ce qui va se passer. »

Le trap ne pourrait compter que sur les bruits ambiants et la description qu’allait lui donner la jeune femme pour savoir ce qui allait se passer. Helena se laissa guider par Ishtar, qui la fit avancer avec une bonne claque sur le cul avant de la pousser sur le lit. Allongée sur le dos, dominée par la carrure de la dragonne, l’humaine sentait la température monter en elle. Sa maîtresse la caressait et la pelotait allègrement, lui lançant tout un tas d’obscénités qu’elle se faisait un plaisir de répéter à leur esclave.

« Aaahhh... tu entends Theo ? Notre maîtresse trouve... que je suis bien plus belle que toi. Je suis peut-être sa salope... hhhmmm... mais toi... tu es la salope... de tout le navire. Que dis-je ? De tout Infernis ! »

Et quand Ishtar commença à la baiser avec sa grosse queue tendue, là, Helena se laissa complètement aller. Elle s’assurait de couiner bien fort pour que Theo entende, et elle ne cessait de parler pour alimenter l’envie du petit trap et l’érection de son amante.

« Ooohhh... ooouuuiii... ça c’est de la bite. Un vrai sexe de mâle... bien dur et érigé. Le genre de bite... hhhmmm... que je pourrais sucer pendant des jours... sans jamais m’en lasser. La sentir me violer la gorge... me défoncer la chatte... et le cul... aagghh... oooouuuiii ! Putain, c’est trop bon ! »

Elle espérait qu’avec ça, elle aurait droit à un bon coït puissant avec Ishtar.

Helena savait qu’Ishtar n’allait pas la ménager, qu’elle allait la baiser avec force et lui faire crier intensément son plaisir en la malmenant. En revanche, elle ne s’attendait pas à ce que la dragonne se montre si inventive dans sa façon de procéder. Elle commença par appuyer sur un bouton, et des rideaux se déployèrent pour enclaver le lit dans un petit cocon de latex. Des lumières s’allumèrent, des diffuseurs de parfum s’enclenchèrent, et la jeune femme se retrouva isolée avec l’amirale, qui fit sortir ses seins et sa bite de son uniforme avant de la fourrer. Le plaisir gagna son corps d’un seul coup, et elle se mit à crier tout en décrivant précisément à Theorem ce qui lui arrivait.

« Aaahhh... tu entends Theo ? C’est le cri d’une femme... ooohhh... qui se prend une vraie bite... dans la chatte. En plus... gggnnn... je peux voir les seins... de notre maîtresse. Ils sont si beaux... si ronds... hhhmmm. Je jouis rien qu’à les regarder. »

Mais ensuite, les choses prirent une autre tournure. Elle sentit une des mains d’Ishtar se poser sur sa poitrine, malaxant ses seins à travers le latex, et son autre main se posa sur sa gorge. Elle se mit à l’étrangler, mais Helena ne ressentait aucune souffrance, elle avait juste moins d’air pour respirer.

« Aahh... maîtresse... vous... »

La jeune femme avait du mal à parler et ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Ishtar l’encourageait à sombrer peu à peu dans la luxure, et elle ferma doucement les yeux. Elle ne réalisait pas encore ce qui lui arrivait.

Qu’est-ce qui m’arrive ? Je me sens... toute bizarre.

Helena entendait la voix d’Ishtar qui arrivait à ses oreilles. Ses mots résonnaient profondément en elle, elle sentait le plaisir la gagner à chaque parole de la dragonne. Elle commençait à se représenter la scène que lui décrivait sa maîtresse : les criminels dans les rues d’Infernis et de Nachteim qu’elle combattait, vêtue de son uniforme de latex sexy, amenant la justice dans les rues avant de revenir se jeter dans les bras de la dragonne pour se faire prendre comme la dernière des putes. Sa maîtresse lui laissait entrevoir une vie idyllique, et quand elle commença son décompte, la jeune femme se sentit partir.

« Aaahhh... maîtresse, je... hhhmmm... »

La vitesse de ses pénétrations allait crescendo à mesure que le décompte avançait. Et plus elle était proche de zéro, plus Helena sentait le plaisir la gagner complètement, jusqu’à ce que l’orgasme vienne la frapper.

« Ooohhh... AAAHHH !!! »

A ce moment, quelque chose se passa dans sa tête. Toutes les images qu’elle avait visualisées se gravèrent en elle, discrètement, dans un recoin de son cerveau. Elles ne s’imposaient pas à elle, elles restaient juste en elle comme une idée discrète mais néanmoins persistante. Tout son corps fut secoué par la puissance détonante de son orgasme, aucun recoin n’échappa au plaisir, ce fut un véritable ouragan. Elle crut qu’elle allait s’évanouir devant tant de plaisir, mais elle parvint, au prix d’un gros effort physique et mental, à rester consciente.

« Aaahhh... »

Profondément secouée par ce qui venait de lui arriver, Helena ouvrit lentement les yeux et regarda Ishtar.

« Maîtresse... ooohhh... ai-je réussi... à combattre le crime... aujourd’hui ? »

L’hypnose avait marché.

Helena était sous l’effet de l’hypnose d’Ishtar, et elle se prenait à présent pour l’héroïne d’Infernis. Dans son esprit, elle venait de rentrer après une dure journée de lutte contre le crime, et sa maîtresse la récompensait à présent avec une bonne baise bien vicieuse comme elle savait si bien les faire. Elle venait de lui baiser la chatte, maintenant il était temps pour la jeune femme de la sucer.

« Oui maîtresse. »

Elle regarda l’amirale se mettre en position demi-assise, le dos contre ses oreilles en latex, allumant une cigarette pour être la plus détendue possible. Elle se mit ensuite en position pour pouvoir gober cette merveilleuse verge noire qui lui donnait tant de plaisir. Cette récompense était sans aucun doute un important moteur de sa dévotion envers la justice d’Infernis.

« Hhhmmm... sluuurrrp... »

L’humaine ne se privait pas de faire des bruits humides en pompant ce vit érigé pour bien montrer à quel point elle était excitée et heureuse de faire ça. Elle creusait ses joues, allait et venait avec sa tête le long de sa hampe de chair, aspirait l’air autour d’elle pour donner un maximum de plaisir à Ishtar. Elle l’écouta parler des différents crimes à Infernis, des règles de la ville et de ses droits en tant qu’héroïne, tout en lui caressant les cheveux. Elle se régalait tellement avec cette bonne grosse bite qu’elle ne réalisa pas que sa fellation faisait monter la dragonne dans les tours à toute vitesse.

Quand Helena entendit sa maîtresse lui annoncer qu’elle allait bientôt jouir, elle se réjouit de pouvoir avaler sa crème juteuse. Mais ensuite, elle lui demanda de tout garder en bouche pour le partager avec Theorem, et elle fut encore plus heureuse. L’amirale était décidément une sacrée vicieuse. Elle lui fit juste un like pour lui faire signe qu’elle avait compris, et elle continua d’aspirer cette merveilleuse saucisse jusqu’à ce que la crème ne jaillisse.

« Hhhmmm ! »

Sa bouche se retrouva rapidement remplie de foutre épais et visqueux, et elle dut faire un effort sur elle-même pour ne pas tout avaler et se régaler avec. A la place, elle se dépêcha de descendre du lit et d’aller voir Theorem. Le jeune soumis les écoutait en dehors du lit, sans possibilité de regarder à cause de la culotte abaissée sur ses yeux. Cependant, il avait tout entendu, et il ouvrit la bouche aussitôt que sa maîtresse posa ses mains sur ses épaules. La jeune femme, extrêmement excitée, embrassa le rouquin et déversa la semence de leur maîtresse commune dans sa gorge. Un baiser gluant et savoureux, dont l’héroïne profita pendant de longues secondes même après avoir fini de déverser le sperme dans sa bouche.

« Aaahhh... et voilà mon beau. Maintenant excuse-moi... je vais profiter... d’une vraie bite. »

Helena retourna sur le lit de latex d’Ishtar et fit face à l’amirale.

« Et maintenant maîtresse ? »

A quelle autre récompense graveleuse allait avoir droit l’héroïne pour avoir combattu le crime à Infernis ? Plus de bite ? Plus d’hypnose ? Un gang-bang avec les officiers du navire ? De toute façon, elle était sûre d’adorer.