The Multiversity

Dans sa vie, Shiro a connu deux grands bouleversements. D’abord sa rencontre avec Tessia, une puissante succube au charme absolument envoûtant. Depuis qu’elles s’étaient croisées au lycée, Shiro étant infirmière et Tessia professeure, elles s’étaient très vite rapprochées, partageant ce goût commun du sexe avec des lycéennes en pleine floraison. Leur relation avait ensuite évolué en quelque chose de plus sérieux, et elles commençaient à parler de l’idée de faire un enfant ensemble. Mais ensuite Tessia s’était mise à passer de plus en plus de temps en Enfer et Shiro avait commencé à se sentir délaissée. Du coup elle avait décidé de se rapprocher de la seconde plus importante rencontre de sa vie : Mélinda Warren, une vampire qui dirigeait un harem sur Terre et se faisait passer pour une lycéenne.

Mélinda n’avait pas le charme incroyable de Tessia mais elle avait quelque chose de fascinant qui avait attiré Shiro. Leur première rencontre avait eu lieu dans le harem de Mélinda et Shiro y avait passé une incroyable soirée. Depuis elle était revenue à maintes reprises savourer tous les plaisirs qu’elle pouvait trouver dans ce harem, tissant une amitié de plus en plus forte avec la maîtresse des lieux. Parfois elle mettait même ses compétences médicales à profit pour soigner de petites blessures ou des maladies bénignes. Sa formation médicale et ses performances en tant qu’amante lui avaient rapidement attiré la sympathie des autres filles du harem et des servantes de la vampire, où elle était toujours accueillie avec enthousiasme.

Pour Shiro, le harem de Mélinda est le lieu où on vient pour passer une bonne soirée, pour se détendre après une rude journée, et surtout pour s’ouvrir à de nouvelles expériences. Et c’est justement pour ça qu’elle a décidé d’y passer aujourd’hui. Une idée lui trotte dans la tête depuis maintenant plusieurs mois et elle est sûre que Mélinda pourra l’aider avec ça.

A son arrivée au harem, elle est reçue par des courtisanes ravies de sa visite. Comme à chaque fois qu’elle vient, elle se sent émoustillée dès son entrée avec la décoration du harem. Tentures aux tons chauds, lumière tamisée, fresques et peintures érotiques sur les murs... sans parler des tenues très sensuelles des employées. Certains portent des robes très près du corps, d’autres n’ont que de la lingerie fine sur le dos, mais toutes sont un régal pour les yeux. L’infirmière est conduite dans un salon où on lui explique que la maîtresse des lieux est actuellement occupée mais qu’elle va très vite arriver, puis on lui demande ce qui pourrait lui faire plaisir pendant qu’elle attend.

« Puisque vous proposez... j’aimerais un peu de lait. Mais pas dans un verre... je veux le boire directement à la source. »

S’il y a bien un endroit où elle peut se laisser aller à ses envies, c’est ici. Ni une ni deux, on fait appeler une jolie demoiselle dans le salon qui se présente les seins nus devant Shiro. La jeune femme se lèche les babines pendant que cette demoiselle vient s’installer sur ses genoux et lui présente ses seins. Deux beaux orbes de chair bien ronds au bout desquels perle déjà une goutte de lait. Ni une ni deux l’infirmière vient entourer l’une des tétons avec sa bouche et l’aspire pour faire couler le lait.

« Hhhmmm... »

Que Mélinda prenne son temps, rien ne presse.

Le manoir de Mélinda était un endroit très agréable, très vivant. On aimait s’y rendre, et, une fois qu’on y avait goûté, une fois qu’on y était invité, on ne pouvait pas s’en lasser. Si la plupart des pensionnaires du manoir y vivaient, Mélinda avait aussi ses habitudes. Elle laissait ainsi ses pensionnaires vivant à Yoake pouvoir retourner auprès de leur famille. Tôt ou tard, ils revenaient de toute manière à elle. Shiro était un cas particulier. Infirmière du lycée Jinmu, elle avait rencontré Mélinda, et avait rapidement découvert les charmes du manoir. Suite à cela, Shiro avait le droit de venir. Elle pouvait même officier ici comme infirmière. Shiro n’avait pas besoin de prévenir avant de venir, il lui suffisait juste de franchir la grille d’entrée, pour rejoindre le manoir.

Ce soir, Shiro se rendit donc au manoir. Le manoir était agréable, de style victorien, et, à l’intérieur de ce manoir en forme de U, il régnait une vie débordante. Le sexe était omniprésent, bien sûr, mais pas uniquement. Si on se fiait juste aux couloirs et aux grands salons, tout était d’une propreté impeccable. Mélinda tenait fermement à la propreté et à la discipline au sein du manoir. Un planning très complet était continuellement mis à jour. Il y avait même une piscine intérieure, avec tout un petit coin sportif, abritant un jacuzzi, un sauna, un SPA… Shiro se rendit toutefois rapidement vers un salon, saluant plusieurs lycéennes. Elle croisa un couple où elle put voir une femme membrée en pénétrer une autre, une lycéenne de Jinmu, contre un mur dans le couloir, la baisant longuement et puissamment…

À l’intérieur du salon, Shiro put voir une Japonaise adulte, Minako. Elle avait été embrigadée par Mélinda lorsqu’elle était adolescente, et, plusieurs années après, continuait à la servir. Portant un ensemble moulant en cuir, elle tenait avec une laisse une belle furry aux seins lourds, Lumiya.

« Bonjour, Shiro-chan. Cela fait longtemps qu’on ne t’avait pas vue… »

Pas si longtemps que ça, en vérité, mais une absence de quelques jours du manoir Warren, c’était, statistiquement parlant, assez long.

« Tu tombes bien, je cherchais quelqu’un pour soulager Lumiya. Regarde comme ces mamelons sont lourds, gorgés de lait… »

Cela tombait plutôt bien, puisque Shiro avait soif Il n’y avait pas que Lumia et Minako ici, il y avait aussi des filles et des garçons qui étaient étalés ici et là, observant la scène, jouant avec des sex toys… De douces ambiances sexuelles dans une atmosphère érotique très agréable, tandis que Lumiya grimpa sur un canapé, écartant les pans de son chandail pour que Shiro vienne s’attaquer à ses seins.

« Nyaaaa… Lumiya a mal aux seins, il faut s’occuper d’elle ! »

Pour bien commencer la soirée chez Mélinda, Shiro se fait plaisir avec Minako, une charmante furry aux seins lourds et remplis de lait qui a très envie qu’on la soulage. Car mine de rien ça fait mal d’avoir les seins aussi gonflés. L’infirmière ne se fait pas prier et vient tout de suite sucer l’un des mamelons tendus que la furry lui offre. Le lait se met à couler dans sa bouche et elle se régale à l’avaler gorgée après gorgée.

« Hhhmmm... »

Une autre raison pour laquelle il est si agréable de faire l’amour au harem de Mélinda est que l’ambiance est toujours propice à la luxure. Shiro n’est pas seule dans le salon, il y a aussi plein de garçons et de filles qui font l’amour autour d’elle. Certains ont fait une pause pour observer la scène, d’autres s’amusent même à se masturber en les regardant. Et tout ça n’est pas pour déplaire à la jeune femme, qui continue à boire son lait tout en caressant le corps de Minako.

Je parie que tu aimes les caresses toi.

Shiro n’avait jamais vu de furry avant de rencontrer Mélinda mais elle a vite appris à les aimer. D’abord parce qu’ils sont aussi adorables que les animaux à qui ils empruntent leurs traits, mais aussi parce qu’ils sont bien plus sensibles aux caresses et enclins à pratiquer une sexualité plus débridée.

L’infirmière s’amuse à caresser la queue velue de Minako d’une main tandis que son autre main palpe ses fesses, qu’elle devine bien rebondies sous son chandail. Peut-être que quand elle aura fini de boire, elle s’offrira un autre genre de plaisir avec la furry.

Après avoir vidé le premier sein de Minako, Shiro marque une petite pause histoire de pouvoir un peu discuter avec la furry.

« Dis... quand j’aurai fini de boire ton lait... ça te dit qu’on joue à autre chose ? Tu as de très jolies fesses... je suis sûre qu’on peut s’amuser avec ça. »

Elle regarde ensuite autour d’elle pour profiter du spectacle des hommes et des femmes en train de s’ébattre, même si elle préfère clairement regarder les femmes.

Tellement de jolis minois... de seins voluptueux... de fesses rebondies... oh que j’aime être chez Mélinda.

Pour autant, il ne faudrait pas que la maîtresse des lieux traîne trop. L’infirmière est quand même venue pour lui parler à la base.

Le sexe était quelque chose d’omniprésent chez Mélinda. Cette délicieuse orgie à laquelle Shirley assistait n’avait donc rien d’exceptionnel en soi. La belle infirmière ne pouvait que se laisser porter. L’orgie était supervisée par Minako, une « Maman », un terme qui désignait les esclaves de Mélinda plus matures, et qui pouvaient donner des ordres aux autres. Elles étaient en effet les Mamans, et toute bonne personne se devait d’écouter sa Maman quand elle donnait des ordres, non ? Suivant cette logique, Minako donnait ses ordres. Son regard s’attarda sur Shiro et sur Lumiya. La belle hybride se mit à gémir en sentant la bouche de sa partenaire se crisper sur ses seins, commençant a à avaler son bon lait maternel avec envie.

« Haaaann… »

Shiro avait vu juste. Une telle concentration de lait ne pouvait qu’être douloureuse, alors il fallait bien qu’on vienne la soulager ! C’était la l’exercice auquel Shiro se livrait. La belle infirmière venait s’occuper de la Furry, qui se mit à gémir d’appétit.

« Nyyyuuu, ouuuii… »

Shiro but l’un des seins, et, avant de s’attaquer à l’autre, elle demanda à Lumiya si elle voulait ensuite jouer à autre chose. Ici, dans ce manoir, toutes lés inhibitions sautaient. Sous son apparence de manoir noble et élégant, les salons luxueux de la demeure étaient le théâtre d’orgies somptueuses, comme une sorte de réécriture moderne des aventures sexuelles du marquis de Sade. Gémissant encore, Lumiya commençait à mouiller.

Mineko se rapprocha alors, et apporta à Shiro l’instrument dont celle-ci allait avoir besoin… Un élégant strap-on noir qu’elle installa elle-même.

« Là, comme ça… Que serait une pensionnaire du manoir de Mélinda si elle n’aimait pas les sodomies, hein ? » s’amusa Mineko.

De plus, le strap-on disposait de deux godes internes, que Mineko glissa dans la chatte et dans le fondement de Shiro. Elle serra ensuite le tout, se pressant pour cela dans le dos de Shiro, et, tout en activant ensuite la fonction vibrante des godes, alla sensuellement embrasser sa partenaire. Sa langue s’enfonça dans sa bouche, traduisant un baisser intense et sincère. De son côté, Lumiya se positionna à quatre pattes, remuant joyeusement la queue , impatiente.

Shiro se redressa alors, et Mineko l’invita à agir.

« Allez ma belle, Lumiya-chan n’attend plus que le traitement de notre belle infirmière ! »

Comment résister à une telle invitation ?

Shiro commence déjà à penser à la suite, quand elle aura complètement vidé la poitrine de Lumiya de son lait. Et il semble que ses idées aient attiré l’attention puisque, après avoir bu le contenu du second sein de la furry, elle est approchée par Minako, l’esclave qui lui a apporté cette belle créature aux seins gonflés et qui supervise l’orgie du salon. Elle lui propose l’instrument idéal pour poursuivre la fête : un élégant strap-on noir avec deux godes internes.

« Hhhmmm… voilà qui sera parfait. »

Shiro aurait pu l’enfiler toute seule mais Minako insiste pour le faire. Il faut choyer les amies de sa maîtresse après tout. L’infirmière se laisse donc déshabiller et équiper par la « Maman », qui vient l’embrasser avec appétit aussitôt que les godes commencent à vibrer dans son corps.

« Hhhmmm… »

Shiro est déjà bien excitée après avoir bu son lait au milieu d’une orgie, et un baiser pareil ne peut que la rendre encore plus chaude. Quand Minako la relâche, elle l’invite à aller donner son traitement à Lumiya, qui remue joyeusement la queue en agitant son joli derrière.

« Comment dire non à une si jolie créature ? »

L’infirmière enlève le short de la furry pour dévoiler complètement son délicieux petit cul. Si elle avait un vrai sexe entre les jambes, elle aurait bandé rien que de voir ces belles fesses s’agiter. Elle vient frotter son sextoy contre la rondelle qui lui est offerte, faisant lentement monter la tension pendant que son amante attend avec impatience d’être pénétrée.

« Ooohhh… attention j’arrive. »

Shiro entre d’un coup sec dans le fondement de Lumiya. Son anus fait un peu de résistance mais une fois logée l’infirmière est plus que ravie. Elle commence tout de suite les vas-et-viens énergiques tout en claquant le bon petit cul de son amante.

« Aaahhh… t’as vraiment… de très belles fesses. »

L’infirmière a toujours aimé la façon dont les esclaves de Mélinda proposent spontanément de se faire prendre par le cul en premier. Ce goût pour la sodomie est présent chez toutes et tous dans ce manoir, et Shiro ne s’est jamais retenue devant tous ces beaux petits culs qui s’offraient volontiers à elle. Le fait que Mélinda l’apprécie autant avait rejailli sur ses esclaves, qui lui réservaient toujours un traitement privilégié quand elle venait au harem. Une aubaine pour elle, qui se plaisait à s’essayer à toutes sortes de nouvelles expériences entre ces murs.

« Hhhmmm… ooouuuiii… couine pour moi, petite chienne. »

Même si là elle est en terrain connu.

Malgré les enrobages qu’on pouvait apporter, il y avait une vérité fondamentale au sein de la communauté de Mélinda, une vertu cardinale qui unissait tout le personnel du harem : la même appétence pour le sexe. Tous étaient des pervers en puissance, formés en ce sens par Mélinda. Elle les formait, elle les stimulait, elle les entraînait, elle les biberonnait à la luxure. Cela n’avait fait que s’accroître avec le temps, surtout depuis que Mélinda s’était rapprochée de la Déesse Lust, et avait béni sous l’égide de la Luxure les endroits-clefs de son clan. Et les Dieux étaient des êtres gourmands. Une Déesse comme Lust se nourrissait à base d’offrandes très particulières, des offrandes sexuelles qui ne pouvaient que satisfaire l’appétit débonnaire d’une Déesse millénaire. Shiro, à sa manière, contribuait à cela aussi. Face à elle, Lumiya n’attendait qu’une chose, c’était de sentir la matraque de Shiro la prendre.

Claquant ses talons, Mineko s’écarta, retournant s’asseoir, et attrapa en chemin un jeune soumis par le collier autour du cou, l’extrayant de la fellation qu’il était en train de faire, puis fourra sa tête entre ses cuisses.

« Lèche, petit chien… » soupira-t-elle doucement.

De son côté, Shiro pénétra donc Lumiya, s’enfonçant dans le délicieux cul de la Furry. Une sodomie sans préparation préalable, qui était rendue possible ici grâce à la magie divine de Lust… Une magie qui endurcissait les corps, les rendant plus aptes à faire l’amour. L’infirmière était donc naturellement comblée, et s’enfonça d’un coup sec et agréable dans le cul de la Furry.

« Nyyyyuuu… !! »

Shiro s’activait, heureuse, flottant comme un petit poisson dans l’eau. Tandis qu’elle s’amusait, des bruits de pas résonnèrent dans son dos. Le cœur de Mineko s’enflamma en voyant sa Maîtresse. Mélinda venait d’arriver, dans une tenue éblouissante. Un élégant corset en latex recouvrait la moitié de son corps, le reste étant nu. Elle sourit en se rapprochant de Shiro, et se lova dans le dos de l’infirmière, l’enlaçant en lui embrassant le creux du cou.

« Hmmm… Ma belle Shiro, tu n’es même pas capable d’attendre que j’arrive, hein ? Petite gourmande affamée… »

Elle mordilla tendrement le creux de son cou, sans pour autant boire encore son sang.

« Tu m’as manqué, tu sais… Cela faisait si longtemps, ma puce ! »

Shiro est ravie de pouvoir se farcir un joli petit cul mais son vrai plaisir arrive quand elle sent se lover dans son dos la personne qu’elle attendait. Mélinda l’accueille en l’embrassant dans le creux du cou, le mordillant tendrement mais sans venir prendre son sang tout de suite, lui déclarant qu’elle lui avait manqué.

« Hhhmmm... tu m’as manquée aussi Mélinda... même si ça ne fait que quelques jours. »

Même une absence de quelques jours pouvait paraître assez longue quand il s’agissait  du manoir Warren.

« Aahh... tu dois avoir envie de planter tes canines dans mon cou... mais pas tout de suite. Je finis cette jolie louve... ooohhh... et je suis à toi. »

Shiro remet toute son attention sur Lumiya, allant et venant avec force dans son anus, la tenant fermement par les hanches sauf quand elle fessait son ravissant petit cul. La furry jappait et couinait d’extase à chaque fois que la matraque de l’infirmière lui entrait dans les fesses, et la façon dont sa queue caudale remuait amusait beaucoup l’infirmière.

« Ooohhh... oouuii... ça c’est une belle traînée ! »

Shiro se fait plaisir avec Lumiya jusqu’à atteindre l’orgasme. Après avoir bien joui elle se déloge du fondement de la furry et la récompense avec une bonne claque sur les fesses ainsi que quelques mots murmurés à son oreille avec sa voix magique.

« Merci pour le lait ma belle... et pour ton joli cul. »

L’infirmière se relève pour faire enfin face à Mélinda. La vampire porte un élégant corset en latex recouvrait la moitié de son corps, le reste étant nu. Les deux femmes partagent un délicieux baiser, plein de passion et d’excitation. La jeune femme se régale de toutes ces sensations : la bouche de Mélinda sur la sienne, leurs langues dansant ensemble, ses seins s’écrasant contre les siens, la fermeté de ses fesses sous ses doigts... Elle aurait pu s’envoyer en l’air avec elle ici et maintenant mais ce n’était pas le but.

« Il faut que je te parle de quelque chose... en privé. »

Shiro récupère ses vêtements mais ne remet que ses sous-vêtements sur elle. A quoi bon se rhabiller alors que Mélinda va vouloir la déshabiller de nouveau aussitôt qu’elles seraient seules ? Elle veut juste respecter un minimum de pudeur dans les espaces communs. Elle suit la vampire à travers les couloirs du harem jusqu’à un endroit où elles pourront parler en tête-à-tête. Elle est de nouveau fascinée par la façon dont même la décoration du harem incite à la luxure. Elle peut sentir la chaleur se raviver entre ses cuisses juste en regardant les murs. En chemin elle ne se prive pas de mater les belles fesses de son hôte qui s’agitent juste devant elle dans un déhanché divin. Cette femme est vraiment un pur objet de tentation et de charme. Elle ne se prive pas non plus de saluer les filles du harem qu’elle croise dans les couloirs avec des baisers et des mains baladeuses qui viennent peloter leurs courbes.

Une fois seule avec Mélinda, Shiro peut enfin lui parler de la raison de sa venue ici.

« Tu sais que c’est toujours un plaisir pour moi de venir te voir, Mélinda. Mais aujourd’hui je ne suis pas là uniquement pour les loisirs habituels. J’ai un service à te demander.
Depuis que je suis sexuellement active, mes partenaires de coucherie ont toujours été des femmes. J’ai toujours été plus attirée par le beau sexe que par l’opposé. Du coup je n’ai jamais eu d’expérience hétérosexuelle. Et je veux que ça change. Je veux voir ce que ça fait de coucher avec un homme. Et je me suis dit que le meilleur endroit pour essayer, c’était ici.
Il fallait que je trouve quelqu’un étant à la fois talentueux et séduisant selon les critères des femmes hétéros. J’ai discuté avec plusieurs de tes esclaves et elles m’ont toutes dit que ton frère Bran était à la fois le plus beau et le plus talentueux des amants qu’elles aient connu. Donc j’ai décidé que ce serait lui mon premier homme. C’est pour ça que je suis là ce soir.
Mélinda... je suis venue te demander la permission de coucher avec ton frère. »

Shiro est suspendue aux lèvres de Mélinda, curieuse de voir comment elle va réagir à cette demande.

Mélinda prenait toujours soin de ses invités. Elle n’était peut-être plus officiellement la maîtresse des lieux (poste qui avait été dévolu à d’autres depuis qu’elle avait créé son clan), cela n’en restait pas moins chez elle. Elle aimait Shiro. Cette infirmière faisait partie de ces invités qui étaient toujours les bienvenus, qui pouvaient tutoyer Mélinda. Ils n’étaient pas des esclaves, mais auraient pu le devenir. Mélinda appliquait sur Shiro une technique différente, mais somme toute assez similaire à ce qu’elle faisait à chaque fois : la séduction. Restant lovée contre elle, elle la laissa sodomiser Lumiya, en profitant pour la caresser, pour la titiller. Sa main pinça son sein, et son autre main fila entre les cuisses de l’infirmière, la caressant intimement. Elle lécha son cou avec appétit, remuant encore ses seins sur son dos. Mélinda soupira encore contre elle, mordillant sa peau, mais sans boire son sang.

« uelques jours sans moi, ma chérie, c’est une éternité… »

Shiro ne souhaitait toutefois pas que Mélinda boive dans l’immédiat son sang. La vampire se frotta donc contre elle, pressant son corps parfait. Mélinda jouait avec elle, et laissa Lumiya jouir, ainsi que Shiro. Les deux femmes s’abandonnèrent au plaisir suprême, et Shiro se retourna ensuite vers Mélinda. La main de Mélinda se posa sur son menton, orientant son visage vers elle, et frotta son nez contre le sien.

« Petite perverse… »

Les deux femmes s’embrassèrent alors avec appétit. Les langues remuèrent entre elles sous ce baiser baveux et passionnel. Shiro venait de jouir, certes, mais Mélinda la sentait encore pleine de désir, envieuse de lui faire l’amour. Elle se serrait contre elle, impatiente, et les deux femmes partagèrent donc ensemble un long baiser. Lumiya, de son côté, finit par sentir Minako, qui s’assit très naturellement sur son visage, l’étouffant joyeusement. Minako caressa les cheveux de Mélinda et de Shiro.

« Comptez-vous passer du moment avec nous, Maîtresse ? » demanda Minako, pleine d’espoir.

Mélinda sourit doucement en regardant Shiro, et secoua négativement la tête.

« Cela aurait été avec plaisir, crois-moi, mais notre chère Shiro souhaite me dire quelque chose… »

Minako acquiesça, et Mélinda lui sourit, puis se releva. Elle laissa Shiro remettre sa culotte et son soutien-gorge, puis les deux femmes sortirent dans le couloir. Avançant naturellement en étant à moitié nue, Mélinda était à son aise, exhibant ses formes sensuelles à quiconque souhaitait les observer. Consciente de sa beauté, c’était quelque chose dont elle profitait naturellement, en jouant sans la moindre hésitation. Les deux jeunes beautés rejoignirent ainsi un petit salon. Mélinda s’assit sur un fauteuil, et laissa Shiro s’asseoir sur un canapé. Lui laissant la parole, Mélinda l’écouta. Shiro avait envie de franchir le pas. Elle qui se définissait pourtant comme lesbienne, elle avait envie d’essayer avec un garçon, et son choix s’était porté sur…

« Bran ?! »

Son grand-frère avait visiblement tapé dans l’œil de Shiro, qui semblait assez nerveuse à cette idée. Mélinda croisa sensuellement les jambes, observant Shiro pendant quelques instants, comme si elle voulait être sûre que l’infirmière ne mentait pas.

« Et bien… Pourquoi pas ? Mais, tu sais, Bran est un amant… Plutôt fougueux. Si tu le souhaites, tu pourras être avec lui ce soir, mais je risque de venir vous assister… Pour le cas où tu rencontrerais un blocage. »

Il suffisait de voir le regard de Mélinda pour savoir que coucher avec son frère n’était pas sans la motiver… Elle pouvait comprendre l’attirance de Shiro, car Bran était vraiment très beau ! Elle se tut pendant quelques secondes, avant de rajouter :

« Je te croyais lesbienne, en tout cas… Qu’est-ce qui t’a amené à vouloir coucher avec des hommes, ma chérie ? »

Shiro venait de parler de son projet à Mélinda, qui cherche maintenant à avoir plus de détails. Elle ne semble pas opposée à l’idée mais elle veut être présente pour les assister au cas où il y aurait un blocage. Et surtout, elle veut savoir d’où vient cette soudaine envie de l’infirmière.

« Crois-moi, ça n’a rien de soudain. Ca fait déjà plusieurs semaines que j’y réfléchis. C’a commencé quand j’ai entendu plusieurs adolescentes, que ce soit ici ou au lycée, parler de leurs premiers amours. Il y avait des filles, bien sûr, mais surtout des garçons. C’est là que je me suis mise à cogiter. Toute ma vie je n’ai jamais été attirée que par les femmes, du coup je n’ai jamais essayé de le faire avec un homme. Et aujourd’hui... comment dire... j’ai le sentiment de passer à côté de quelque chose. Après tout on ne peut pas savoir si on aime avant d’y avoir goûté. »

Certes on ne parle pas ici d’un nouveau plat à déguster, mais Shiro sait qu’ici elle est en sécurité. Elle n’imagine pas de meilleur endroit pour s’essayer à l’hétérosexualité.

« Et pour info... je ne veux pas coucher avec des hommes. Juste un seul. Du moins pour l’instant. Mais qui sait ce qui arrivera après. »

Cette première expérience pourrait marquer un tournant dans la vie sexuelle de l’infirmière.

« En revanche je vais avoir besoin de ton aide. Cette... première fois, si j’ose dire... doit être parfaite. Il faut que le cadre soit idéal, que les bonnes conditions soient réunies et que Bran et moi soyons au top. Tu es la meilleure quand il s’agit de combler les désirs. Est-ce que je peux te demander de m’aider dans mes préparatifs ? »

En plus d’être tenancière de harem, Mélinda est une expert quant il s’agit de la luxure. En plus elle doit connaître les goûts de son frère. Elle est la personne la plus adéquate pour faire de cette soirée une réussite.

« Si tu as d’autres questions, pose-les. Mais je t’assure que ma démarche a été mûrement réfléchie. Tout ce que je veux c’est voir si je peux prendre goût aux rapports sexuels avec des hommes ou non. Et je crois qu’il n’y a pas meilleure pour m’aider dans cette démarche que toi. »

Shiro semblait sérieuse. Elle expliqua à Mélinda avoir longuement réfléchi, et, après avoir entendu des lycéennes parler de leurs aventures sexuelles avec des hommes, avait décidé, elle aussi, de franchir le pas. Mélinda l’écoutait silencieusement, sans trop savoir quoi lui répondre à ce moment. Shiro voulait coucher pour l’heure uniquement avec Bran, et avait besoin de l’aide de Mélinda pour ça. La vampire pouvait bien le comprendre.

« Et bien, effectivement, le mieux est d’essayer pour voir si tu as vraiment une répulsion aux hommes ou non. Bran est sans aucun doute un excellent choix. C’est un très bon amant, qui sait magnifiquement faire l’amour aux femmes. En toute honnêteté, je n’envisagerai pas de meilleur premier choix que lui pour ce que tu souhaites faire. »

Coucher avec lui, donc… Shiro semblait un peu confuse sur la marche à suivre.

« Nous pouvons organiser ça ce soir, après le dîner. Cela te laissera le temps de te mettre en état, et tu auras toute la nuit devant toi. »

C’était un programme très alléchant… Du moins, pour Mélinda ! Elle envisageait donc les choses ainsi, et se redressa. La vampire se déplaça un peu.

« De quels autres préparatifs parles-tu ? Je gage qu’il te faudra aussi une belle tenue pour cette soirée, non ? »

Comme Shiro le savait, Mélinda avait une penderie qui défiait toute concurrence. Elle avait donc de quoi habiller Shiro comme celle-ci le souhaitait. L’idée, bien sûr, serait de choisir quelque chose qui conviendrait à Bran, mais son frère n’était en réalité pas un amant très difficile à contenter. Ses goûts étaient ceux de sa sœur et de Maîtresse. Mélinda rejoignit la penderie.

« J’ai justement une robe qui pourrait te plaire, je pense… »

Connaissant Mélinda, il ne fallait pas s’attendre à une tenue très chaste… Et, effectivement, lorsqu’elle présenta à l’infirmière la robe blanche, on ne pouvait pas s’y méprendre !

« Tu en penses quoi ? »

Ce serait mentir de dire que Shiro est totalement sûre d’elle, mais en revanche elle est sûre que si elle ne relève pas ce défi elle le regrettera quand il sera trop tard pour le faire. Le harem de Mélinda lui offrira un cadre familier et sûr, et la maîtresse des lieux l’aidera à bien se préparer pour sa soirée. Elle lui propose d’organiser ça juste après le dîner, comme ça elle aura le temps de se mettre en état et elle aura toute la nuit devant elle. Et pour les autres préparatifs, elle lui propose déjà une tenue pour la soirée avec une belle robe blanche qui réussit l’exploit de dévoiler le corps tout en cachant les meilleurs endroits. Une tenue parfaite pour bien aguicher son amant.

« Oui, ça faisait partie de ce que j’allais te demander. Et cette robe est super, elle dévoile juste ce qu’il faut.
Je voudrais aussi avoir ton avis pour ma lingerie. Est-ce que je devrais sortir le grand jeu ou miser sur la simplicité ? »

En temps normal, Shiro n’aurait pas hésité une minute sur sa tenue, mais là elle entre dans un monde encore inconnu. Les hommes et les femmes pensent différemment, et Bran a sûrement des goûts spécifiques. L’infirmière veut être sûre que son amant et elle seront dans les meilleures conditions pour que cette soirée soit spectaculaire.

Shiro passe les trente minutes qui suivent à discuter avec Mélinda sur tout un tas de petites choses qui pimenteront la soirée : l’ambiance de la chambre, les goûts de Bran, ses attentes personnelles...

« J’espère que je ne t’ennuie pas avec toutes mes questions. Je voudrais vraiment que cette soirée soit exceptionnelle. Ce sera comme une première fois. »

Pas une première fois dans le sens où elle perdrait sa virginité, mais dans le sens où elle s’expérimenterait à quelque chose de totalement nouveau. Il ne faut pas négliger les préparatifs, d’autant que la réussite de cette soirée pourrait bien lui faire changer sa vision des hommes.

« Mais au fait, je ne t’ai pas demandé comment tu allais Mélinda. Ça fait un petit moment qu’on ne s’est pas vues. »

Qu’y a-t-il de nouveau dans la vie de la vampire ?

La robe blanche plut instantanément à Shiro. Mélinda n’en fut pas très surprise. Elle n’avait pourtant pas prévu la venue de Shiro, mais Mélinda avait un grand-nombre de tenues. Elle disposait de ses propres ateliers de tisserands sur Terra, et même sur Terre. Dans son métier, les vêtements étaient très importants, et elle se devait donc d’avoir une grande collection à disposition. Fort heureusement, Shiro avait la même taille que Mélinda, ce qui fit qu’elle pouvait porter cette robe. Elle demanda toutefois à Mélinda, après l’avoir examiné, si elle devait porter des sous-vêtements en plus.

« La simplicité suffira. Tu constateras vite que Bran peut avoir une fâcheuse tendance à déchirer les culottes, inutile de porter quelque chose de trop classieux entre tes jambes. »

Mélinda lui expliqua ensuite que Bran était un très bon amant, quelqu’un qu’elle avait elle-même formé. Son grand-frère parlait toutefois moins qu’elle, et pouvait se montrer plus brutal qu’elle dans sa manière d’agir… Non pas qu’il allait violenter Shiro, mais il pouvait rapidement la pénétrer.

« L’un dans l’autre, personne ne s’est toutefois jamais plaint de coucher avec lui au sein du manoir. Il parle moins que moi, mais il est aussi talentueux que je le suis, et surtout aussi soucieux que moi d’exciter son ou sa partenaire. Il vérifiera donc que tu es bien excitée, et, s’il sent que ça coince, il s’arrêtera. De toute manière, je serai avec vous. »

Elle serait là autant pour surveiller Bran que pour participer à leur petite sauterie. Mélinda comptait après tout bien profiter de Shiro, car, comme l’infirmière le lui fit observer, cela faisait longtemps qu’elles ne s’étaient pas vues. Mélinda sourit donc, et se rapprocha alors de Shiro, commençant à la déshabiller. Elle défit sa tenue, et l’embrassa ensuite. Avec la vampire, la familiarité venait vite. Elle l’embrassa donc, et posa sa main sur les fesses de Shiro, les palpant avec appétit.

« Oui, c’est exact… Je me suis mariée… J’ai fondé un clan vampirique qui fait que je ne peux plus venir aussi longtemps que je le souhaiterai au lycée. Je dois maintenant déléguer… C’est pour ça que tu ne m’as pas vu à ton infirmerie, mais je suis heureuse de savoir que je te manquais. »

Mélinda avait totalement déshabillé Shiro, et interrompit sa phrase par un autre baiser, plus appuyé que le précédent. Ses mains se déplacèrent pour palper les seins de Shiro, et elle déplaça ses lèvres, se rapprochant de sa poitrine.

« Tes seins aussi m’ont manqué. Et… J’ai conclu un pacte avec la Déesse Lust, aussi… J’ai suivi une formation sexuelle pour améliorer encore mes performances sexuelles. »

Mélinda suçota l’un de ses tétons, le mordillant ensuite avec appétit.

« Je t’ai déjà proposé de venir me rejoindre, de vivre ici… Y as-tu réfléchi à nouveau, ma chérie ? »

Pour Mélinda, la simplicité est le meilleur outil pour plaire à Bran. Ce dernier a tendance à déchirer les culottes quand il est dans le feu de l’action, donc inutile de porter quelque chose de trop raffiné. Elle avait elle-même formé son frère, c’est donc un très bon amant, peu bavard mais très énergique. Personne ne s’est jamais plaint de ses performances, et de toute façon la vampire restera dans la chambre pour superviser.

« Parfait. Encore merci de m’aider dans mon projet. »

Une fois les détails réglés, Shiro et Mélinda commencent à discuter. Après tout elles ne se sont pas vues depuis longtemps. La vampire, fidèle à elle-même, parle tout en déshabillant son invitée. Une fois nue, l’infirmière se retrouve avec ses lèvres contre les siennes et ses mains palpant joyeusement ses fesses. Son amie lui raconte tout ce qui lui est arrivé depuis leur dernière rencontre. Elle s’est mariée, a fondé un clan, gère des harems un peu partout sur Terre et dans les mondes parallèles... Avec une vie si remplie, elle est de plus en plus obligée de déléguer. Elle a aussi suivi une formation sexuelle auprès de Lust, la déesse du plaisir charnel.

« Hhhmmm... il y a une déesse du sexe ? Oouuhh... j’aimerais bien... la rencontrer. »

La jeune femme frémit tandis que son amante suçote et mordille ses tétons, puis un autre sujet est abordé : la proposition de Mélinda que Shiro vienne s’installer sur son domaine et qu’elle vive avec elle.

« Aaahhh... la dernière fois je t’avais expliqué... que je voulais vivre avec Tessia. Mais maintenant... hhhmmm... je n’en suis plus si sûre. »

C’est triste à dire, mais la relation entre l’infirmière et la succube est de moins en moins bonne.

« Tessia passe de plus en plus de temps en Enfer... ooohhh... et on dirait qu’elle se désintéresse de moi. Avant on parlait d’avoir un enfant ensemble... maintenant c’est à peine si on peut se voir un soir par mois. »

Une relation qui semblait partie pour durer était finalement en train de se flétrir et allait probablement finir en rupture. C’est triste, surtout que leur dernière soirée ensemble avait été un régal.

« Pour autant... je ne me sens pas encore prête... aaahhh... à renoncer à elle. »

Peut-être que Mélinda ne lui réclamerait pas une relation exclusive, mais Shiro ne se sent pas capable de s’impliquer totalement auprès de la vampire si elle doit en permanence se demander où elle en est avec la succube. Soit elles se retrouvent, soit elles se séparent.

« Mais... ooohhh... dans l’hypothèse où j’accepterais... qu’est-ce que ça impliquerait ? »

L’infirmière ne peut pas dire qu’elle est totalement insensible à la proposition de son amie. Elle possède un très beau domaine, on ne s’ennuie jamais chez elle, ses servantes l’adorent... mais qu’est-ce qu’elle attendrait d’elle exactement ? A moins qu’elle ne veuille juste l’avoir sous son toit.

Mélinda était ambitieuse. Cela, tout le monde le savait. Elle n’en faisait pas grand mystère. La vampire aimait le pouvoir, elle aimait l’influence, elle aimait que les gens dépendent d’elle, qu’ils viennent lui demander de l’aide, qu’ils aient besoin d’elle… Plus que le besoin de domination, Mélinda aimait surtout ça, qu’on dépende d’elle, qu’on ne puisse pas se passer d’elle. Et elle ne lâchait pas l’affaire. Qu’on se refuse à elle, et elle pouvait revenir à la charge des mois après, comme elle le faisait avec Shiro. Elle savait que celle-ci s’était rapprochée d’une professeur du lycée qui était une puissante succube, Tessia Alexanders, mais Tessia était de moins en moins présente au lycée. Elle ne figurait même plus dans les organigrammes, délaissant Shiro. Est-ce que cela expliquait cette demande bien curieuse ? Elle revenait au manoir pour demander à coucher avec un homme… Dans la perspective d’oublier Tessia ? Mélinda pouvait presque deviner le pincement au cœur de l’infirmière à l’idée d’avoir été délaissée de celle qu’elle avait aimé. Fort heureusement, Mélinda ne lui proposait pas de vivre en couple, car quelque chose lui disait que Shiro aurait refusé cela, au profit d’une relation moins ambitieuse, mais plus fusionnelle.

Elle soupirait doucement tandis que Mélinda palpait ses seins, jouant avec eux. Elle suçotait ses tétons, relevant ensuite la tête. Elle se lova finalement dans le dos de Shiro, se déshabillant à son tour. Les deux femmes étaient toutes nues, frissonnant en sentant des courants d’air frais. Les seins de Mélinda se frottèrent dans le dos de Shiro, et elle déplaça ses mains, enlaçant sa partenaire, puis palpa ses seins. Pinçant les tétons, Mélinda s’amusait, tandis que Shiro lui demanda ce que vivre ici impliquerait. Mélinda l’embrassa dans le creux du cou.

« Et bien, beaucoup de sexe, pour commencer… Ensuite, faire partie d’une grande famille, une communauté où chaque membre s’entraide. Je ne te demanderai pas une dévotion totale à ma personne, car je suis souvent très occupée, et j’aime que mes protégés deviennent autonomes. Tu seras notre infirmière locale, et nous verrons ensuite progressivement quoi faire de toi. Comme tu le sais, je détiens un harem, mais tous ceux qui me rejoignent ne font pas partie du harem. Certains fondent une famille, mènent une vie civile tout à fait ordinaire, et reviennent ici pour se ressourcer. Ce manoir sera ton refuge, ton havre de paix et d’amour, un endroit où tu ne seras jamais seule. »

Mélinda l’embrassait encore, avec une tendresse infinie, bien décidée à la motiver comme elle le pouvait. Elle fit doucement pivoter sa tête, et l’embrassa sur les lèvres.

« Tu as le temps d’y réfléchir, bien sûr, mais je ne comprendrais jamais cette vision obsessionnelle des humains pour l’amour, et pourquoi l’amour vous fait tant souffrir… Évidemment, je ne dis pas qu’il ne faut pas aimer, mais pourquoi vouloir consacrer tes sentiments à une seule personne ? Ce sentiment est si fort qu’il ne peut pas être restreint à une seule personne, ou il s’étiole naturellement. Enfin, c’est ce que je pense… »

Shiro était libre de penser ce qu’elle voulait, et Mélinda l’embrassa à nouveau, un peu plus énergiquement, pinçant son téton dans la foulée…

Si Shiro vient vivre sous le toit de Mélinda, il y aura beaucoup de sexe bien sûr, mais aussi la joie de faire partie d’une grande famille unie autour de leur généreuse matriarche. L’infirmière connait Mélinda depuis assez longtemps pour savoir qu’elle aime sentir qu’on dépend d’elle. Pour autant elle ne veut pas de servante qui lui soit totalement dévouée car elle est souvent absente, elle a besoin de servantes autonomes. Shiro leur servirait d’infirmière au manoir et peut-être plus ensuite, mais elle serait libre de faire ce qu’elle veut en-dehors de ces murs. Elle pourrait se marier, fonder une famille, mener la vie de tout à chacun et venir au manoir uniquement quand elle aura besoin d’un havre de paix pour se ressourcer.

« Oohh... ça semble très tentant... mais pourquoi vivre sur ton domaine si je te vois peu ? »

Ca ressemblerait trop à ce qu’elle vit avec Tessia. Mais elle peut comprendre car, contrairement à Tessia, Mélinda est un sujet de fascination et de désir pour des dizaines d’individus, voire peut-être même des centaines.

La vampire lui laisse tout le temps qu’elle veut pour y réfléchir, mais elle déplore de voir une si belle créature se lamenter sur un amour flétri alors que l’amour est un sentiment trop fort pour le limiter à une seule personne.

« Je ne sais pas quelle éducation tu as reçue mais... aaahhh... pour ma part... j’ai appris très jeune que la loyauté en amour... est une chose importante.
Ma mère a quitté mon père après ma venue au monde. Pourtant... hhhmmm... il ne s’est jamais remarié... je crois même qu’il n’a jamais voulu fréquenter d’autres femmes. Ca lui ferait peut-être du bien... oouuhh... de te rencontrer. »

La morale de cette anecdote, c’est que Shiro accorde une grande valeur à la loyauté en amour parce qu’elle a vu son père rester fidèle à une femme qui l’avait abandonné en lui laissant leur enfant.

L’infirmière mordille la lèvre de son amante quand elle revient l’embrasser, savourant le contact de sa bouche contre la sienne, la chaleur de son corps nu près du sien, ses seins moelleux qui se pressent contre son dos.

« D’un autre côté... je ne suis pas obligée de t’aimer comme j’aime Tessia. Elle est l’élue de mon cœur, mais toi... aaahhh... tu pourrais être... mon ange gardien. Celle vers qui je me tournerai... quand j’aurai besoin de réconfort... ooohhh... ou de quelque chose que personne d’autre ne pourra me donner. Comme ce soir par exemple. »

Shiro est loin d’être une monogame, comme Tessia, et Mélinda lui a déjà montré à maintes reprises qu’elle est une amie de valeur. Pourquoi refuser de se rapprocher d’elle ? Ce n’était pas comme si elle la demandait en mariage.

La jeune femme prend l’une des mains de la vampire qui masse ses seins et la fait glisser le long de ses hanches.

« Tu t’occupes bien du haut... mais le bas est jaloux. »

Ses fesses ou sa vulve, à elle de choisir.

« Si j’accepte de devenir une de tes protégées... hhhmmm... est-ce que je devrais t’obéir en toutes circonstances ? »

Elle ne serait pas contre coucher avec une femme qu’elle lui présenterait, mais elle ne veut pas non plus devenir une de ses esclaves.

Le désir était une force redoutable, primaire et reptilienne, quelque chose que les humains associaient par erreur à l’amour. Car on ne pouvait pas enchaîner le désir, il était une force ancestrale, qui se rebellait quand on tentait de le restreindre. Trop souvent, les humains en subissaient le contrecoup, et, pour Shiro, ce serait encore plus vrai avec une succube. Mais, en ce qui concerne Mélinda, elle n’était pas attachée à renoncer à un concept qui lui tenait à cœur : la loyauté dans l’amour. L’idée de ne pas voir Mélinda aussi longtemps qu’elle le souhaite la déplaisait. Elle se retourna pour lui faire face, et les deux femmes s’embrassèrent avec appétit, les mains de Mélinda caressant ses hanches. Shiro avait sans doute envie de s’initier aux joies de l’hétérosexualité, mais elle n’en restait pas moins bisexuelle. La vampire fit durer le baiser, remontant sa main pour empoigner les longs cheveux de Shiro, qui lui fit remarquer que le bas avait besoin d’elle aussi. L’intéressée sourit malicieusement, croisant le regard envieux de Shiro.

« Pour commencer… Ne confonds pas amour et sexe, ma chérie. Ce sont deux désirs qui répondent à des besoins différents. Ils peuvent se croiser et se compléter mutuellement, mais sont aussi très distincts. Aimer quelqu’un, ce n’est pas lui être fidèlement sexuel et coucher uniquement avec elle. Crois-en mon expérience, le sexe est un désir bien plus généreux que l’amour. L’amour ne doit pas brimer le sexe, mais l’accompagner. Tu veux de la loyauté dans l’amour ? Couche avec les amants de la personne que tu aimes, faites des parties à plusieurs, mais ne restreins pas tes désirs. L’amour n’est pas une prison, ni un carcan. »

Mélinda avait une vision bien à elle de ce qu’était le romantisme et le désir sexuel. Elle se déplaça un peu, et Shiro put sentir la verge de Mélinda se former. Elle se déplaça, et la plaqua contre le mur, venant doucement la pénétrer. Sa verge s’enfonça dans sa chatte, et la vampire soupira silencieusement.

« Hmmm… »

Le contact n’était pas pour lui déplaire, loin s’en faut. Elle commença à doucement remuer.

« J’adorerai… Rencontrer ta mère. Mais toi… Rassure-toi, tu me verras souvent… Et je m’amuserai beaucoup de te voir coucher avec d’autres personnes, puis prendre à chaque fois ton pied comme jamais en couchant avec moi… Mais des ordres, haaaa… Je suis la Maîtresse de maison, donc je donne forcément des ordres, hmmm… Mais mes protégés sont très libres. Tu n’auras qu’à voir par toi-même, et constater s’ils se sentent vraiment opprimés ou non quand ils sont ici. Haaaa… »

Les coups de reins se multipliaient doucement, Mélinda amplifiant le rythme.

« Parle-moi de ta mère, hmm… »

Un sujet un peu perturbant, surtout quand elles étaient en train de se faire l’amour.

« Est-elle… Aussi belle que toi ? »

Quand Mélinda posait une question comme ça, ce n’était jamais totalement innocent…

Shiro reçoit toute une leçon de Mélinda sur les différences fondamentales qu’il y a entre sexe et amour. Ce sont deux désirs qui répondent à des besoins différents, qui peuvent se croiser et se compléter mutuellement mais qui n’en restent pas moins distincts. Son expérience lui a appris que le sexe est bien plus généreux que l’amour, et qu’il ne faut pas en brider un sous prétexte de préserver l’autre. Aimer quelqu’un ne veut pas dire l’accaparer complètement.

« J’aime ta vision des choses. »

L’infirmière sent tout à coup une bosse se former entre les cuisses de la vampire. On dirait qu’elle a décidé de passer à la vitesse supérieure. Avant de pouvoir réagir elle se retrouve plaquée contre un mur et se fait doucement pénétrer.

« Aaahhh... tu ne perds pas de temps. »

Mélinda assure à Shiro qu’elle la verra souvent, tout comme elle s’amusera de la voir coucher avec d’autres personnes. Elle est la maîtresse de maison et donne parfois des ordres, mais personne ne s’est jamais plaint d’un éventuel excès d’autorité.

« Ooohhh... étrange... j’aurais parié que tu adorais... donner des ordres à tes esclaves... pour les voir ramper à tes pieds... hhhmmm... et les lécher. »

Blague mise à part, l’infirmière ne craignait pas trop que la vampire ne devienne un tyran. Elle était puissante mais elle était aussi assez intelligente pour comprendre le prix de ce pouvoir et ce qu’il impliquait. Lui obéir en tant qu’occupante de son domaine ne devrait pas être un problème.

Mélinda amène ensuite un sujet bien plus étrange : elle veut que Shiro lui parle de sa mère.

« Tu veux que je parle de ma mère... hhhmmm... pendant que tu me baises ? C’est un peu bizarre... non ? »

Mais Shiro n’y voit pas d’inconvénient, même s’il n’y a pas grand-chose à en dire.

« Comme je te l’ai dit... ooohhh... ma mère a quitté mon père... juste après ma naissance. Je ne l’ai jamais rencontrée. Tout ce que j’en sais... c’est ce que mon père m’a dit. Selon lui... ooouuuiii... c’était une femme très belle... très gentille... l’amour de sa vie. Pour autant... elle l’a quitté sans hésitation. »

Beaucoup de gens dans la situation de l’infirmière en voudraient à un parent qui les abandonne. Mais Shiro, elle, n’éprouve rien pour cette femme. Ni joie ni tristesse. Certes il y a eu des moments de sa vie où elle a regretté de ne pas avoir de mère, mais elle est quand même devenue une adulte équilibrée sans elle. Son père a toujours su ce dont elle avait besoin.

« Demande-moi de te parler de mon père... j’aurais bien plus de choses à dire.
Et ta mère à toi... oouuhh... c’est quel genre de personne ? Est-ce que c’est aussi une vampire ? »

Puisque Mélinda semble avoir envie de parler des parents, qu’elle parle un peu des siens. Une fille aussi unique qu’elle devait probablement avoir des parents tout aussi atypiques.

Shiro fit observer que Mélinda devait quand même aimer qu’on se prosterne à ses pieds pour les lui lécher. Face à cette remarque très judicieuse, Mélinda se mit à glousser tendrement.

« Oui, là-dessus, tu n’as pas tort, ma belle… »

La joie de la domination, un plaisir ancestral et délectable. Mélinda aimait goûter à ce fruit défendu, elle aimait se satisfaire de cela, des corps agenouillés et concupiscents, de ses partenaires respectueux et pervers. Elle ne pouvait pas nier l’évidence, mais ce n’était pas pour autant qu’elle cherchait à briser ou à brimer ses partenaires. C’était même tout l’inverse. Mélinda avait cette croyance fondamentale que la liberté était un leurre, et que les êtres humains ne savaient pas quoi en faire. Ils avaient ce besoin fondamental que quelqu’un les guide. Mélinda accomplissait donc ce rôle.

Sa verge puisait dans la chatte de Shiro, remuant avec appétit. Soupirant lentement, Mélinda l’embrassa, tout en interrogeant Shiro sur ses parents. Celle-ci en fut surprise, mais cela faisait partie des quelques excentricités de la  vampire. Sous l’effet du sexe, on parlait moins, alors les explications de Shiro seraient expurgées de tout le superflu pour rester sur l’essentiel. Si Mélinda demandait ça, ce n’était pas pour rien, car elle envisageait de faire de Shiro une vampire. Cela devait s’aborder calmement.

Elle lui expliqua l’absence de relations avec sa mère, et rendit à Mélinda la pareille. Grognant doucement, la vampire se déplaça, et repoussa Shiro, l’amenant à se mettre à quatre pattes au milieu de la cabine d’essayage. Elles étaient toutes les deux entourées d’une multitude de tenues terriblement sensuelles. La verge de Mélinda repartit ensuite rapidement à l’assaut, s’enfonçant dans les lèvres intimes de sa partenaire.

« Hmmm… Oh, ma petite chérie, ça, ça m’avait manqué ! »

Sa main gifla le postérieur de Shiro, claquant dessus avec force. Elle ne lui avait pas encore répondu, et préféra se concentrer dans un premier temps sur sa pénétration.

« J’ai… J’ai eu deux mères. Ma mère biologique, humaine… On dit que je lui ressemble énormément, physiquement parlant, hmmm… Mais je ne l’ai jamais connu, elle… Elle est morte en me mettant au monde ! »

Mélinda avait aussi eu une vie difficile, et ce n’était pas son père qui lui avait permis de connaître une enfance plus heureuse.

« Et je n’ai pas connu non plus ma mère vampirique… Hmmm… Je ne l’ai connu que récemment. Mes vraies mères, ça a été les esclaves de mon père, qui sont devenues les miennes. Et mon père… Était un salaud, haaa… Alors, tu vois… Ce harem, c’est ma vraie famille. Je suis la Maîtresse, oui, mais je suis aussi… Une mère de substitution. »

Rejoindre cette communauté, c’était bel et bien rejoindre une grande famille !

Comme Shiro, Mélinda n’a pas connu sa mère. Ou plutôt ses mères. Celle qui l’a mise au monde est morte en le faisant et sa mère vampirique n’a pas fait partie de sa vie, du moins jusqu’à récemment. Les esclaves de son père ont été ses figures maternelles. Shiro aurait été tenté d’en apprendre plus sur ce dernier, mais apparemment ce n’était pas quelqu’un de bien. En tout cas, la vampire se voit comme une mère de substitution pour tous ceux qui travaillent au harem.

Je me demande ce que ça fait d’avoir Mélinda comme mère.

Shiro sait que Mélinda a une fille nommée Akira mais elle ne l’a encore jamais rencontrée.

Les deux femmes continuent leur coït endiablé dans au milieu de la cabine d’essayage. L’infirmière peut parcourir du regard tout un tas de tenues terriblement sensuelles pendant qu’elle se fait prendre en levrette par la vampire qui ne ménage pas ses efforts pour la satisfaire.

« Aaahhh... exactement ce qu’il me faut... après une bonne journée de travail. »

L’un des aspects négatifs de fréquenter Mélinda, c’est qu’on est très vite habitué aux soirées hédonistes remplies de plaisirs délurés et de sensations enivrantes. Du coup, les plaisirs simples du quotidien deviennent vite fades en comparaison. Shiro ne s’amuse plus autant à coucher avec ses patientes au lycée, à jouer les bunny girl séductrices et à savourer les regards emplis d’affection et de lubricité de ces lycéennes aux hormones bouillonnantes. Au fond, peut-être qu’emménager au harem serait le début d’une nouvelle aventure dont elle a besoin pour oublier que Tessia ne s’intéresse plus à elle.

« Ooohhh... quand tu te seras vidée en moi... tu serais partante pour... une séance d’essayage ? »

Avec tout ce qu’il y a dans cette penderie, elle va bien trouver de quoi s’habiller pour faire bander Bran dès qu’il la verra.

Mélinda était têtue. Elle avait pour elle d’avoir l’avantage du temps. Quand on lui disait « non », elle n’insistait pas forcément sur le coup, mais elle revenait toujours à la charge… Plus tard. Elle laissait le soin à ses contacts de réfléchir, mais elle ne les forçait jamais trop à lui obéir. Mélinda ne fonctionnait pas comme ça. Elle aimait l’idée qu’on se soumette volontairement à elle, qu’on renonce à l’illusion de liberté pour une vie riche et paisible. C’était là son grand talent, et quiconque l’avait rencontré ne pouvait qu’y succomber. Le manoir qu’elle avait construit était l’exacte définition d’un foyer, un endroit où on pouvait se sentir tranquille, et où on pouvait faire ce qu’on voulait. Mélinda la prenait donc en levrette, et sourit doucement quand Shiro proposa de faire de l’essayage ensuite. Mélinda lui avait déjà trouvé une robe, mais elle n’était jamais contre passer un peu de temps avec son infirmière.

« Hmmm… Tu es toujours aussi gourmande, ma belle… Mais, tu sais, si on joue à ça… C’est surtout à moi que tu vas plaire ! »

Shiro savait que Mélinda était très fétichiste. Elle adorait les belles et tenues, et cela avait tendance à l’exciter déraisonnablement. Mais peut-être que Shiro le faisait exprès ? Elle était venue ici pour essayer de nouvelles choses, mais Mélinda se disait aussi qu’elle cherchait peut-être à oublier Tessia. Mélinda allait donc faire de son mieux, et la pénétra donc, la prenant avec force en levrette. Ses mains se crispaient sur ses hanches, leurs corps nus se frottant ensemble.

« Sache que je compte bien te baiser… Hmmm… Dans chacune des tenues que tu enfileras. Tu es si bonne, ma chérie ! »

Qui sait jusqu’où Shiro pourrait aller ici ? En faire une simple esclave, cela serait gâcher son potentiel… Mais, dans un avenir proche ou lointain, Mélinda commençait à envisager l’idée d’en faire sa sœur, une vampire. Il était bien sûr encore trop tôt pour évoquer cela, mais, pour l’heure, Mélinda continuait à la prendre. Les deux femmes firent encore l’amour, jusqu’à ce que Mélinda ne jouisse dans la chatte de Shiro, accompagnant l’orgasme de son invitée. Les deux femmes s’unirent avec passion dans le stupre, et Mélinda soupira ensuite. Elle se retira du corps de Shiro, et se déplaça un peu.

« Bon, alors… Quelle tenue souhaites-tu enfiler, ma belle ? » lui demanda-t-elle.