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Traque dans les bois (Alexandre)
Posté : 05 oct. 2025 15:09
par Rosie
(en construction, écrit perdu....
Rosie court dans les bois et fuit deux hommes, marchands d'esclaves. Elle se cache mais ils finissent par la retrouver.)
Les deux hommes, avaient un regard affamé : conséquence directe des phéromones de Rosie. Ils l'allongèrent et Rosie resta passive, ses yeux bleus brillant d'une lueur ambivalente. Le plus grand, un barbu aux traits taillés à la hache, tendit la main, ses doigts frôlant l'étoffe fine de sa tunique. D'un geste sec, il la fit glisser, dévoilant la peau laiteuse de ses superbes seins. L'autre, plus jeune et impatient donc, attrapa le bourrelet de tissu, tirant jusqu'à ce que le tissu tombe intégralement, laissant Rosie nue, offerte. Elle n'opposa pas de résistance, en conflit avec elle-même. Son corps la trahissait. Y avait ce feu qui brûlait son bas-ventre. Ses petits tétons rose tendre durcissaient à vue d'oeil, et sa fente devenait humide. L'homme le plus âgé ne manqua pas de lui faire remarquer après avoir saisi sa cuisse et écarté sa jambe. Sans prévenir, il se pencha sur elle et colla sa grosse langue rugueuse contre sa chatte.
– Hmmmm ahh....
Re: Traque dans les bois (Alexandre)
Posté : 06 oct. 2025 01:25
par Alexandre Dowell
Cette nuit, Alexandre était nu, dans une petite mare d’eau au pied d’une cascade. Il inspirait lentement, loin de chez lui. Il était ici pour superviser les relations entre l’Empire de Mijak et la Scoia’tael, une organisation terroriste luméenne constituée de non-humains, qui luttait contre les royaumes humains en les accusant de racisme. Cette organisation déstabilisait un ennemi de l’Empire, et expliquait donc la présence d’Alexandre, qui devait se charger du transport de marchandises, de munitions, et d’armes. Alexandre s’était éloigné du campement pour se détendre. C’était un vampire, et, ce soir, Alexandre avait envie de chasser. Il s’était déshabillé, installant une tente à proximité de cette mare. Il y avait déposé ses affaires. Chasser des bandits était toujours satisfaisant, mais Alexandre n’avait pas envie de salir ses vêtements avec du sang. Et puis, la nudité lui permettait de se lier à la nature.
Alors qu’il se préparait, Alexandre entendit alors des cris. Il se redressa, et, nu, se déplaça, percevant rapidement des groupes sanguins. Aiguisant ses instincts, Alexandre se déplaça entre les arbres, et rejoignit un trio. Il entendit quelques hurlements et des ricanements.
« On la tient, cette salope ! Putain, ce qu’elle est bonne !
- Tu pensais t’enfuir, hein, sale pute ? On va te faire passer l’envie de partir ! »
Alexandre frémit en sentant la zone se charger de phéromones. Cela n’était pas naturel, et il comprit rapidement que les phéromones émanaient d’une elfette que les chasseurs d’esclaves avaient rattrapé. Ils l’avaient couché au sol, et l’un d’eux léchait sa chatte. Les cris de panique de leur proie se muèrent en gémissements. Le vampire se rapprocha lentement, et frémit en sentant sa propre verge se redresser. Il ne chercha pas à repousser cela. Ses canines se mirent à pousser, ses ongles s’étirèrent en griffes. Les deux hommes étaient focalisés sur l’elfette. Alexandre se rapprocha donc encore…
…Puis frappa. Il bondit brusquement en avant, et planta ses crocs dans le cou de l’homme qui était debout. Ses canines se dépêchèrent de trancher la jugulaire de sa proie, et le sang fusa. L’homme gémit en faisant une hémorragie. Surpris, son comparse eut à peine le temps de se relever que les griffes d’Alexandre l’égorgèrent. Le sang rouge jaillit encore, imbibant le torse d’Alexandre et son sexe, ainsi que le corps de l’elfette. Alexandre se dressait au-dessus d’elle, et frémit lentement.
« Tu es très belle, toi… »
Alexandre soupira encore, tandis que les deux chasseurs d’esclaves décédaient à côté d’eux. Alexandre se lova contre la femme, frottant son corps contre le sien, et l’embrassa. Il guida sa queue avec sa main, sentant la chatte humide de la jeune femme, et la pénétra alors en soupirant…
Re: Traque dans les bois (Alexandre)
Posté : 07 oct. 2025 15:09
par Rosie
Rosie poussa un cri, tout se passa à une vitesse fulgurante. Le sang des esclavagistes coulait sur la peau nue de l'elfe, poisseux, collant à ses cuisses, mêlé à l'odeur fleurie de ses phéromones. Ses yeux bleus scrutèrent la pénombre, accrochant la slihouette du vampire nu dressé devant elle. Sa queue raide pulsait et le torse blanc du sauveur, éclaboussé de sang, semblait sculpté dans le marbre. Rosie sentit sa chatte s'humidifier, un feu liquide lui brûlait toujours plus le bas-ventre. Elle aurait dû fuir, mais son corps, ce traître, vibrait d'une envie sauvage, clouée par l'aura du vampire.
Il s'approcha, sa peau glacée frôlant la sienne qui brûlante. Ses lèvres écrasèrent les siennes dans un baiser vorace, sa langue envahissant sa bouche, goûtant la sueur et le sang. Rosie gémit, ses doigts fins griffant son dos et glissant jusqu'à ses fesses musclées. Il l'écrasa de tout son poids, comprimants sa poitrine dénudée précédemment par les deux hommes. Quand il guida sa bite épaisse vers sa fente trempée, elle écarta les cuisses, son corps s'ouvrant à lui. Il la pénétra d'un coup brutal, son gland forçant ses parois humides, arrachant un couinement à Rosie. Ses hanches s'agitèrent d'elles-mêmes, avides, cherchant plus de cette intrusion qui la faisait trembler.
– Hmmmm anh oui...
Rosie s'accrocha à lui, ses jambes enroulées autour de sa taille, ses ongles pénétrant sa peau froide. Sa chatte palpitait autour de sa queue, chaque coup de reins envoyant des décharges de plaisir dans ses entrailles. Elle avait bien vite oublié les dépouilles qui gisaient à côté dans une marre de sang. Pourtant, une alarme hurlait dans sa tête. Ce vampire n'était pas son sauveur. Il la baisait comme une proie, et elle, elle se laissait faire, noyée dans la luxure. Vicieuse petite Rosie...
Entre deux gémissements, elle tenta de le questionner.
– Qui es-tu... Annnh ?
Ses yeux cherchaient les siens, voilés de plaisir. Son corps continuait de s'abandonner, sa chatte se contractant à chaque pénétration, mais son esprit luttait, cherchant à percer le mystère de cet inconnu qui l'avait sauvée... ou peut-être condamnée à lui appartenir à lui aussi...