Avis de recherche, pour quelques écus (Rosie) [Valiobservée !]
Posté : 03 oct. 2025 14:46
Prénom : Rosemeria mais se fait appeler Rosie.
Âge : 20 ans (en apparence).
Race : Elfe sylvestre.
Origines : Issue d'un village caché niché dans des forêts anciennes de Lumen, elle a grandi entourée de nature et de rituels païens, avant d'être capturée lors d'un raid par des marchands d'esclaves.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle par expérience, n'ayant connu que des interactions avec des personnes masculines. Au fond, elle nourrit aussi des désirs pour les femmes : elle les mate discrètement, se masturbe en pensant à leurs formes ou à des scénarios charnels avec elles, et développe un aspect presque homoromantique...
Occupation : Enlevée et vendue comme fille de cuisine dans une grande maison seigneuriale, Rosie s'y est fait une place dans la préparation de remèdes, potions aphrodisiaques et breuvages variés, tirant parti de ses connaissances elfiques des plantes. Mais elle est pour le moment en cavale !
Histoire
Rosemeria grandit destinée à devenir prêtresse rituelle, un rôle exigeant chasteté et harmonie spirituelle pour incarner les idéaux pastoraux. Chargée de préparer potions et remèdes sacrés avec ses connaissances botaniques, elle subit la pression des anciens pour être parfaite, mais ses maladresses de débutante déçoivent.
Rosie émet sans le vouloir des phéromones qui éveillent le désir sexuel chez quiconque est sensible à son aura. Eveillées à la puberté, elles attirent des regards indésirés de la part de voyageurs ou des villageois... Souvent blâmée pour pour le désir soudain qu'elle cause chez autrui, elle expérimente en secret avec des plantes pour contrôler son pouvoir, observe la forêt et les villageois pour comprendre ce qu'est le désir, et lit des contes érotiques ou grimoires interdits, nourrissant ses fantasmes malgré sa honte.
Il y a un peu plus d'un an, son village a été rasé et Rosie a été capturée par des marchands de chair. Vandue et retenue captive dans une maison seigneuriale, Rosie fut placée aux cuisines : un rôle en apparence modeste mais qui révéla vite son talent. Son savoir des plantes et des rituels sylvestres lui permit de composer remèdes, élixirs et breuvages que les nobles recherchaient : parfois pour se soigner, le plus souvent pour nourrir leurs excès.
Sans le vouloir, sa présence attisaient des désirs. Serviteurs, gardes, parfois même dames de la cour : tous semblaient vulnérables à ce magnétisme qu'elle ne contrôle pas. Une main baladeuse en passant, un frôlement qui s'éternise, des mots crus soufflés à son oreille. Elle rougit, proteste faiblement... Elle lutte pour rester vertueuse, mais son pouvoir exacerbe son addiction au plaisir. Certains se vantent entre eux d'avoir goûté à la petite esclave. Ça alimente les rumeurs, et attire encore plus l'attention sur elle. Jusqu'au jour où le seigneur lui-même, intrigué par son exotisme, décida d'en faire son jouet, de temps à autre.
Un soir, alors qu'elle avait été envoyée chercher des herbes rares dans les jardins extérieurs, elle profita d'un relâchement de la garde. Elle connaissait déjà certains passages de service. Guidée par l'instinct, elle s'échappa dans la nuit. Sa fuite ne fut pas une évasion spectaculaire, facilité par son apparente insignifiance. Pour les gardes, elle n'était qu'une fille de cuisine. Ils mirent plusieurs jours à se rendre compte qu'elle avait vraiment disparu.
Depuis, Rosie vit discrètement. Elle s'installe rarement longtemps au même endroit : une semaine dans une auberge miteuse, quelques nuits dans une grange abandonnée, parfois dans une roulotte marchande. Rosie erre donc de village en village, de forêt en clairière. Elle est depuis peu dans une communauté de voyageurs et rêve encore d'un havre où elle pourrait s'ancrer après que les siens aient été décimés.
Caractère
Réservée, elle reste discrète, parle doucement, baisse les yeux. On la prendrait pour une fille sage, docile, presque fade. Mais en réalité, c'est une façade forgée à force de se protéger des regards qui la jugeaient. Rosie est en réalité quelqu'un de plus complexe et nuancé.
Seule ou dans des moments de relâchement, elle est curieuse, elle explore son pouvoir et son corps. Elle aime provoquer des situations "par accident" pour observer les réactions. Elle ne comprend pas toujours ce qu'elle déclenche, mais elle adore voir comment les autres perdent le contrôle. Elle en devient presque sadique par moment, si ce n'est joueuse.
Après coup, elle culpabilise, se déteste un peu, se dit qu'elle a un problème… mais l'adrénaline et l'excitation l'appellent à recommencer. Un peu vicieuse malgré elle. Elle est obsédée par ses propres sensations, comme si son corps l'appelait sans cesse. Elle a développé une addiction au soulagement physique : quand elle est stressée, seule, triste ou excitée, sa première réponse est de se caresser. La masturbation est alors pour elle une échappatoire : un mélange de refuge intime, d'habitude compulsive et de punition, car chaque orgasme déclenche autant de plaisir que de culpabilité.
Travailleuse et persévérante, elle compense ses troubles intérieurs en se donnant corps et âme dans ses tâches. Elle a appris à servir, cuisiner, préparer des mixtures, et cela lui donne une discipline rigoureuse. Rosie a une volonté de fer, mais c’est une volonté discrète : elle avance pas à pas, en silence.
Mais Rosie doute d'elle-même. Ses désirs contradictoires l'amènent souvent à se juger sévèrement, à croire qu'elle n'est pas normale, ou qu'elle n'a pas de valeur en dehors de son corps. Elle voudrait croire en sa bonté et en son intelligence parfois, mais son corps la trahit sans cesse.
Ca la rend profondément ambivalente : d'un côté, une fille timide, sensible, qui aspire à aimer et être aimée ; de l'autre, une créature perverse, qui prend plaisir à manipuler, provoquer, tester. Elle vit dans cet entre-deux, incapable de choisir...
Elle s'attache vite. Il suffit d'un sourire ou d'une parole gentille pour qu'elle s'accroche. Un geste d'attention, un peu de douceur, et Rosie se sent en confiance. Les gens qui lui montrent de la chaleur deviennent aussitôt importants pour elle, presque indispensables, et elle revient naturellement vers eux sans trop réfléchir.
Âge : 20 ans (en apparence).
Race : Elfe sylvestre.
Origines : Issue d'un village caché niché dans des forêts anciennes de Lumen, elle a grandi entourée de nature et de rituels païens, avant d'être capturée lors d'un raid par des marchands d'esclaves.
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle par expérience, n'ayant connu que des interactions avec des personnes masculines. Au fond, elle nourrit aussi des désirs pour les femmes : elle les mate discrètement, se masturbe en pensant à leurs formes ou à des scénarios charnels avec elles, et développe un aspect presque homoromantique...
Occupation : Enlevée et vendue comme fille de cuisine dans une grande maison seigneuriale, Rosie s'y est fait une place dans la préparation de remèdes, potions aphrodisiaques et breuvages variés, tirant parti de ses connaissances elfiques des plantes. Mais elle est pour le moment en cavale !
Histoire
Rosemeria grandit destinée à devenir prêtresse rituelle, un rôle exigeant chasteté et harmonie spirituelle pour incarner les idéaux pastoraux. Chargée de préparer potions et remèdes sacrés avec ses connaissances botaniques, elle subit la pression des anciens pour être parfaite, mais ses maladresses de débutante déçoivent.
Rosie émet sans le vouloir des phéromones qui éveillent le désir sexuel chez quiconque est sensible à son aura. Eveillées à la puberté, elles attirent des regards indésirés de la part de voyageurs ou des villageois... Souvent blâmée pour pour le désir soudain qu'elle cause chez autrui, elle expérimente en secret avec des plantes pour contrôler son pouvoir, observe la forêt et les villageois pour comprendre ce qu'est le désir, et lit des contes érotiques ou grimoires interdits, nourrissant ses fantasmes malgré sa honte.
Il y a un peu plus d'un an, son village a été rasé et Rosie a été capturée par des marchands de chair. Vandue et retenue captive dans une maison seigneuriale, Rosie fut placée aux cuisines : un rôle en apparence modeste mais qui révéla vite son talent. Son savoir des plantes et des rituels sylvestres lui permit de composer remèdes, élixirs et breuvages que les nobles recherchaient : parfois pour se soigner, le plus souvent pour nourrir leurs excès.
Sans le vouloir, sa présence attisaient des désirs. Serviteurs, gardes, parfois même dames de la cour : tous semblaient vulnérables à ce magnétisme qu'elle ne contrôle pas. Une main baladeuse en passant, un frôlement qui s'éternise, des mots crus soufflés à son oreille. Elle rougit, proteste faiblement... Elle lutte pour rester vertueuse, mais son pouvoir exacerbe son addiction au plaisir. Certains se vantent entre eux d'avoir goûté à la petite esclave. Ça alimente les rumeurs, et attire encore plus l'attention sur elle. Jusqu'au jour où le seigneur lui-même, intrigué par son exotisme, décida d'en faire son jouet, de temps à autre.
Un soir, alors qu'elle avait été envoyée chercher des herbes rares dans les jardins extérieurs, elle profita d'un relâchement de la garde. Elle connaissait déjà certains passages de service. Guidée par l'instinct, elle s'échappa dans la nuit. Sa fuite ne fut pas une évasion spectaculaire, facilité par son apparente insignifiance. Pour les gardes, elle n'était qu'une fille de cuisine. Ils mirent plusieurs jours à se rendre compte qu'elle avait vraiment disparu.
Depuis, Rosie vit discrètement. Elle s'installe rarement longtemps au même endroit : une semaine dans une auberge miteuse, quelques nuits dans une grange abandonnée, parfois dans une roulotte marchande. Rosie erre donc de village en village, de forêt en clairière. Elle est depuis peu dans une communauté de voyageurs et rêve encore d'un havre où elle pourrait s'ancrer après que les siens aient été décimés.
Caractère
Réservée, elle reste discrète, parle doucement, baisse les yeux. On la prendrait pour une fille sage, docile, presque fade. Mais en réalité, c'est une façade forgée à force de se protéger des regards qui la jugeaient. Rosie est en réalité quelqu'un de plus complexe et nuancé.
Seule ou dans des moments de relâchement, elle est curieuse, elle explore son pouvoir et son corps. Elle aime provoquer des situations "par accident" pour observer les réactions. Elle ne comprend pas toujours ce qu'elle déclenche, mais elle adore voir comment les autres perdent le contrôle. Elle en devient presque sadique par moment, si ce n'est joueuse.
Après coup, elle culpabilise, se déteste un peu, se dit qu'elle a un problème… mais l'adrénaline et l'excitation l'appellent à recommencer. Un peu vicieuse malgré elle. Elle est obsédée par ses propres sensations, comme si son corps l'appelait sans cesse. Elle a développé une addiction au soulagement physique : quand elle est stressée, seule, triste ou excitée, sa première réponse est de se caresser. La masturbation est alors pour elle une échappatoire : un mélange de refuge intime, d'habitude compulsive et de punition, car chaque orgasme déclenche autant de plaisir que de culpabilité.
Travailleuse et persévérante, elle compense ses troubles intérieurs en se donnant corps et âme dans ses tâches. Elle a appris à servir, cuisiner, préparer des mixtures, et cela lui donne une discipline rigoureuse. Rosie a une volonté de fer, mais c’est une volonté discrète : elle avance pas à pas, en silence.
Mais Rosie doute d'elle-même. Ses désirs contradictoires l'amènent souvent à se juger sévèrement, à croire qu'elle n'est pas normale, ou qu'elle n'a pas de valeur en dehors de son corps. Elle voudrait croire en sa bonté et en son intelligence parfois, mais son corps la trahit sans cesse.
Ca la rend profondément ambivalente : d'un côté, une fille timide, sensible, qui aspire à aimer et être aimée ; de l'autre, une créature perverse, qui prend plaisir à manipuler, provoquer, tester. Elle vit dans cet entre-deux, incapable de choisir...
Elle s'attache vite. Il suffit d'un sourire ou d'une parole gentille pour qu'elle s'accroche. Un geste d'attention, un peu de douceur, et Rosie se sent en confiance. Les gens qui lui montrent de la chaleur deviennent aussitôt importants pour elle, presque indispensables, et elle revient naturellement vers eux sans trop réfléchir.
