Oups... I did it again ? [PV : Nebethysia]
Posté : 09 sept. 2025 02:07
L’eau chaude ruisselait sur la peau de Nitocris, cascadant en fines gouttelettes le long de ses courbes délicates, apaisant les tensions résiduelles de cette nuit inoubliable. La douche, un sanctuaire de vapeur parfumée au jasmin, était un rituel bienvenu après les heures passées à explorer des plaisirs qu’elle n’aurait jamais imaginés. Assise sur le banc de marbre tiède, elle laissa ses doigts tracer distraitement les contours de son tatouage de papillon au bas-ventre, encore sensible d’une chaleur fantôme. Ses pensées dérivèrent inévitablement vers Tsukiko, cette cliente audacieuse et tendre qui l’avait guidée à travers l’orgasme libérateur, sa bouche experte enveloppant son membre avec une douceur qui avait fait exploser les barrières de sa timidité. Le souvenir de ce baiser sur ses lèvres intimes, de la caresse de sa langue sur son gland palpitant, fit rougir ses joues malgré la solitude de la cabine. « Comment... comment ai-je pu me laisser aller comme ça ? » murmura-t-elle pour elle-même, un frisson la traversant alors que l’image de leurs corps enlacés refaisait surface, ses gémissements étouffés, la pression montante jusqu’à l’explosion, et ce soulagement exquis qui avait enfin dissipé le sort défaillant.
Elle secoua la tête, tentant de chasser ces visions enivrantes, et coupa l’eau. L’air frais de la salle de bain la fit frissonner, ses tétons se durcissant sous l’effet du contraste. Nue et vulnérable, sa peau encore perlée de gouttes, elle s’approcha du casier où elle avait laissé ses vêtements, une simple robe de soie légère, typique des Papillons de Soie comme elle, et ses sous-vêtements brodés. Mais... rien. Le casier était vide, comme si une main invisible avait tout emporté, y compris la serviette moelleuse qu’elle avait prévue pour se sécher. « Qu... quoi ? » balbutia-t-elle, son cœur s’emballant. Panique instinctive, elle fouilla frénétiquement les étagères, mais seul un vide moqueur l’accueillit. Était-ce une farce d’une collègue plus expérimentée ? Ou un caprice du Lys lui-même ? Ses joues s’empourprèrent déjà, l’idée de traverser les couloirs nue comme un ver la terrifiait. Sans hésiter, elle invoqua son pouvoir d’un murmure tremblant, activant la magie de son tatouage qui fit apparaître son drap enchanté, l’artefact ancien se matérialisant dans un éclat rosé subtil. Elle s’y enroula étroitement, le tissu l’enveloppant comme une ombre protectrice, la rendant invisible aux yeux des autres, une ombre fantomatique, inaudible et intangible pour les regards indiscrets.
Pieds nus sur le sol froid des couloirs, Nitocris avançait à pas prudents, le drap serré contre sa poitrine comme un bouclier dérisoire. Le Lys bruissait de vie : des rires étouffés, des murmures lascifs, le cliquetis de talons sur le marbre. Elle longeait les murs ornés de fresques sensuelles, évitant les groupes de Papillons qui déambulaient, une Bronze aux courbes athlétiques, riant avec une Argent aux yeux pétillants, leurs tenues vaporeuses frôlant l’air. « Ne pas se faire repérer... juste ma chambre, vite » se répétait-elle intérieurement, le cœur battant. Son invisibilité la protégeait, mais chaque pas la faisait se sentir exposée, vulnérable, comme si le drap pouvait glisser à tout instant. Le tissu effleurait sa peau nue, chatouillant ses cuisses et son intimité encore sensible du souvenir récent, ravivant une chaleur traîtresse au creux de son ventre.
Mais le destin, cruel farceur, en décida autrement. Au détour d’un couloir faiblement éclairé par des lampes à huile, le bord du drap accrocha maladroitement le talon de son pied nu. Elle trébucha, un cri muet montant dans sa gorge, et s’étala de tout son long sur le sol dallé, le tissu se dénouant dans sa chute comme une traîtresse et disparaissant dans un éclat rosé fugace, comme si la magie elle-même l’abandonnait. Nue, complètement exposée, ses seins ronds se soulevant au rythme de sa respiration paniquée, ses cuisses serrées instinctivement pour cacher son intimité, et son tatouage luisant faiblement comme un aveu honteux, elle se retrouva aux pieds d’une inconnue qui se tenait là, immobile. Une cliente ? Une Veilleuse ? Peu importait, le regard de l’autre la transperça comme une flèche.
« Ah ! N-non... ! P-pardon, je... je ne voulais pas... » bafouilla Nitocris, sa voix aiguë et tremblante brisant le silence, ses joues virant au cramoisi absolu. Elle roula sur elle-même, tentant frénétiquement de se couvrir de ses bras croisés sur sa poitrine et ses mains plaquées contre son bas-ventre, mais la honte la submergea en une vague brûlante, ses yeux larmoyants évitant tout contact, son corps nu se recroquevillant en position fœtale. « Ne... ne regardez pas, s’il vous plaît... C’est... c’est une erreur... » gémit-elle, la voix étouffée par l’humiliation, priant pour que la terre s’ouvre sous elle. Dans un sursaut de désespoir, son tatouage pulsa d’une lueur rose vive, et elle murmura d’une voix chevrotante : « Apparais... cache-moi ! » Mais rien ne se passa ; la magie refusait de répondre, la laissant désespérément exposée, tremblante et rougissante sous le regard de l’inconnue.
Elle secoua la tête, tentant de chasser ces visions enivrantes, et coupa l’eau. L’air frais de la salle de bain la fit frissonner, ses tétons se durcissant sous l’effet du contraste. Nue et vulnérable, sa peau encore perlée de gouttes, elle s’approcha du casier où elle avait laissé ses vêtements, une simple robe de soie légère, typique des Papillons de Soie comme elle, et ses sous-vêtements brodés. Mais... rien. Le casier était vide, comme si une main invisible avait tout emporté, y compris la serviette moelleuse qu’elle avait prévue pour se sécher. « Qu... quoi ? » balbutia-t-elle, son cœur s’emballant. Panique instinctive, elle fouilla frénétiquement les étagères, mais seul un vide moqueur l’accueillit. Était-ce une farce d’une collègue plus expérimentée ? Ou un caprice du Lys lui-même ? Ses joues s’empourprèrent déjà, l’idée de traverser les couloirs nue comme un ver la terrifiait. Sans hésiter, elle invoqua son pouvoir d’un murmure tremblant, activant la magie de son tatouage qui fit apparaître son drap enchanté, l’artefact ancien se matérialisant dans un éclat rosé subtil. Elle s’y enroula étroitement, le tissu l’enveloppant comme une ombre protectrice, la rendant invisible aux yeux des autres, une ombre fantomatique, inaudible et intangible pour les regards indiscrets.
Pieds nus sur le sol froid des couloirs, Nitocris avançait à pas prudents, le drap serré contre sa poitrine comme un bouclier dérisoire. Le Lys bruissait de vie : des rires étouffés, des murmures lascifs, le cliquetis de talons sur le marbre. Elle longeait les murs ornés de fresques sensuelles, évitant les groupes de Papillons qui déambulaient, une Bronze aux courbes athlétiques, riant avec une Argent aux yeux pétillants, leurs tenues vaporeuses frôlant l’air. « Ne pas se faire repérer... juste ma chambre, vite » se répétait-elle intérieurement, le cœur battant. Son invisibilité la protégeait, mais chaque pas la faisait se sentir exposée, vulnérable, comme si le drap pouvait glisser à tout instant. Le tissu effleurait sa peau nue, chatouillant ses cuisses et son intimité encore sensible du souvenir récent, ravivant une chaleur traîtresse au creux de son ventre.
Mais le destin, cruel farceur, en décida autrement. Au détour d’un couloir faiblement éclairé par des lampes à huile, le bord du drap accrocha maladroitement le talon de son pied nu. Elle trébucha, un cri muet montant dans sa gorge, et s’étala de tout son long sur le sol dallé, le tissu se dénouant dans sa chute comme une traîtresse et disparaissant dans un éclat rosé fugace, comme si la magie elle-même l’abandonnait. Nue, complètement exposée, ses seins ronds se soulevant au rythme de sa respiration paniquée, ses cuisses serrées instinctivement pour cacher son intimité, et son tatouage luisant faiblement comme un aveu honteux, elle se retrouva aux pieds d’une inconnue qui se tenait là, immobile. Une cliente ? Une Veilleuse ? Peu importait, le regard de l’autre la transperça comme une flèche.
« Ah ! N-non... ! P-pardon, je... je ne voulais pas... » bafouilla Nitocris, sa voix aiguë et tremblante brisant le silence, ses joues virant au cramoisi absolu. Elle roula sur elle-même, tentant frénétiquement de se couvrir de ses bras croisés sur sa poitrine et ses mains plaquées contre son bas-ventre, mais la honte la submergea en une vague brûlante, ses yeux larmoyants évitant tout contact, son corps nu se recroquevillant en position fœtale. « Ne... ne regardez pas, s’il vous plaît... C’est... c’est une erreur... » gémit-elle, la voix étouffée par l’humiliation, priant pour que la terre s’ouvre sous elle. Dans un sursaut de désespoir, son tatouage pulsa d’une lueur rose vive, et elle murmura d’une voix chevrotante : « Apparais... cache-moi ! » Mais rien ne se passa ; la magie refusait de répondre, la laissant désespérément exposée, tremblante et rougissante sous le regard de l’inconnue.