Craspouillade
Posté : 10 août 2025 11:09
Drunem la nuit... Depuis la purification de son Oasis par Shad et Akimbo, cet endroit avait vu arriver tout doucement des membres du clan Buta. Les humains porcins étaient guidé par des prêtres de Moccus qui avait reçut le signal de leur dieu l'endroit avait été aseptisé et purifié. L'eau pure avait doucement vu croître une flore luxuriante et généreuse. Des arbres fruitiers en tout genre venait de cercler cet endroit. Propre aux enseignements des dogmes de Moccus, les Buta commencèrent à déblayer les alentours, ériger des fortifications avec les parois métalliques et les charpentes des ruines alentours. Rapidement, un Oppidum fut construit avec toutes la récupération alentours. Isolés de la désolation du Rust World, organisant des rondes et des tours de gardes, ceux qui proches de la terre commencèrent à cultiver et purifier les terres. Les plantes croissaient à une vitesse folle, favorisant l'élevage du bétail, des Daeodons et permettant aussi une profusion folle de nourriture. Drunem devint par la suite autonome.
De toiles de tentes et de constructions primaires, Drunem se vit rapidement doter de maisons de fortunes et de bâtiments plus durables, fait avec la récupération alentour. Rapidement, Drunem passa d'un camp fortifié à une ville aux allures de bidonville confortable. Suida, reconnut par les prêtres comme l'une des sauveurs de l'oasis fut élevée au rang de championne. On organisa un banquet fastueux à son arrivée et rapidement, parmi les siens, Suida se sentit totalement intégrée. Comme tout le monde se connaissait, on pouvait même dire que Suida devint presque un visage dans toute la foule et elle se mit à connaître la plupart des habitants. Des fois on se référait à elle pour quelques propositions, elle parlait au conseil de la ville, mais les Buta n'étaient pas prise de tête et ne s'inquiétait pas de ne pas faire les choses parfaitement tant qu'ils se sentaient en sécurité et avec une opulence de boustifaille. Pour le reste, ils faisaient avec ce qu'ils avaient.
Suida eut le droit de s'installer où elle voulait et ce fut une maison faite avec des matériaux de récupération. Une maison constitués d'un amas de vieux conteneurs et de morceaux de véhicules. De quoi accueillir son Maître Bhouta et lui faire découvrir cette ville de Buta animée et prête à défendre ce coin de paradis nouvellement acquis. Mais aussi, ce soir était spécial, c'était la Craspouillade, jour férié des Buta. Une fois dans l'année, ils s'offraient un jour de banquet opulent sous toutes ses formes. Et le soir, quand les enfants étaient couchés, on s'appliquait à en avoir d'autres. Parmi ces lieux, on retrouvait la Porcherie. Nightclub construit dans une vieille cave voûtée retrouvée en retournant les ruines alentours, une maison ordinaire avait été construite au dessus et son accès réservé à une clientèle sélectionnée. Ici, on oubliait le nom des autres. On devenait le temps d'une soirée un corps anonyme ou couvert d'un sobriquet pour s'abandonner au plaisir corporel sous toutes ces formes. Suida s'apprêta dans sa maison pour se rendre à la Porcherie. Maquillage exubérant, robe provoquante cachée sous son manteau, parfum puissant et orifices préparés. Dans les rues, Suida traversa les allées pour arriver devant l'entrée souterraine de la Porcherie. Le videur fit un pas de côté et désigna l'entrée sans un bruit avec un sourire complice. Le secret serait bien gardé... En descendant les marches, Elle ouvrit son manteau, passant de Suida à Erona. Déposant ce dernier au vestiaire, elle se regarda dans le miroir pour ajuster sa robe et quelques touches de maquillages avant de remarquer la présence de Chengzu. Elle hésita un moment avant de le rejoindre.
"S. Salut ! Maître t'as invité ? Tu sais... On a pas encore eut trop le temps de parler depuis... Depuis la dernière fois. Même si j'ai cette apparence, j'ai encore... le coeur d'Akimbo. On a été amis alors... Je me demandait si..."
Un peu maladroit pour une entrée en la matière oui... Mais difficile de voir leur relation ainsi altérée.
De toiles de tentes et de constructions primaires, Drunem se vit rapidement doter de maisons de fortunes et de bâtiments plus durables, fait avec la récupération alentour. Rapidement, Drunem passa d'un camp fortifié à une ville aux allures de bidonville confortable. Suida, reconnut par les prêtres comme l'une des sauveurs de l'oasis fut élevée au rang de championne. On organisa un banquet fastueux à son arrivée et rapidement, parmi les siens, Suida se sentit totalement intégrée. Comme tout le monde se connaissait, on pouvait même dire que Suida devint presque un visage dans toute la foule et elle se mit à connaître la plupart des habitants. Des fois on se référait à elle pour quelques propositions, elle parlait au conseil de la ville, mais les Buta n'étaient pas prise de tête et ne s'inquiétait pas de ne pas faire les choses parfaitement tant qu'ils se sentaient en sécurité et avec une opulence de boustifaille. Pour le reste, ils faisaient avec ce qu'ils avaient.
Suida eut le droit de s'installer où elle voulait et ce fut une maison faite avec des matériaux de récupération. Une maison constitués d'un amas de vieux conteneurs et de morceaux de véhicules. De quoi accueillir son Maître Bhouta et lui faire découvrir cette ville de Buta animée et prête à défendre ce coin de paradis nouvellement acquis. Mais aussi, ce soir était spécial, c'était la Craspouillade, jour férié des Buta. Une fois dans l'année, ils s'offraient un jour de banquet opulent sous toutes ses formes. Et le soir, quand les enfants étaient couchés, on s'appliquait à en avoir d'autres. Parmi ces lieux, on retrouvait la Porcherie. Nightclub construit dans une vieille cave voûtée retrouvée en retournant les ruines alentours, une maison ordinaire avait été construite au dessus et son accès réservé à une clientèle sélectionnée. Ici, on oubliait le nom des autres. On devenait le temps d'une soirée un corps anonyme ou couvert d'un sobriquet pour s'abandonner au plaisir corporel sous toutes ces formes. Suida s'apprêta dans sa maison pour se rendre à la Porcherie. Maquillage exubérant, robe provoquante cachée sous son manteau, parfum puissant et orifices préparés. Dans les rues, Suida traversa les allées pour arriver devant l'entrée souterraine de la Porcherie. Le videur fit un pas de côté et désigna l'entrée sans un bruit avec un sourire complice. Le secret serait bien gardé... En descendant les marches, Elle ouvrit son manteau, passant de Suida à Erona. Déposant ce dernier au vestiaire, elle se regarda dans le miroir pour ajuster sa robe et quelques touches de maquillages avant de remarquer la présence de Chengzu. Elle hésita un moment avant de le rejoindre.
"S. Salut ! Maître t'as invité ? Tu sais... On a pas encore eut trop le temps de parler depuis... Depuis la dernière fois. Même si j'ai cette apparence, j'ai encore... le coeur d'Akimbo. On a été amis alors... Je me demandait si..."
Un peu maladroit pour une entrée en la matière oui... Mais difficile de voir leur relation ainsi altérée.