La culotte de la femme serpent [PV Lyosinda]
Posté : 05 juil. 2025 19:51
La soirée allait promettre d'être chaude. Notre enseignante avait poussé un peu plus ses horaires pour continuer ses recherches dans le lycée. Dorénavant, elle profitait des vestiaires pour professeur. L’eau s’écrasait en filets tièdes sur ses épaules, dessinant des rivières translucides sur sa peau blanche, se mêlant aux arabesques sombres de ses tatouages serpentins. La vapeur flottait en volutes paresseuses, troublant la lumière crue des néons, comme si le carrelage gris s’ouvrait sur un monde plus moite, plus vivant. Sayana ferma les yeux un instant, savourant cette solitude parfaite. Un espace hors du temps, hors des regards.
Puis un cri. Faible. Étranglé.
Il s’éleva du couloir, résonna à peine, puis mourut dans un silence coupé au couteau. Sayana rouvrit les paupières. Ses pupilles se contractèrent, fines fentes rouges qui se fixèrent sur la porte entrebâillée. C'était un cris de stupeur qui venait de sortir. Et cela venait des casiers. Elle coupa l’eau, laissa couler quelques gouttes encore, puis sortit de la douche en silence. Couverte uniquement par les gouttes d'eau glissant sur sa nudité , pieds nus sur le carrelage froid, elle franchit le seuil.
Dans l’alignement austère des casiers métalliques, elle aperçut aussitôt le sien. La porte battait mollement, comme une bouche entrouverte après un dernier soupir. A l'intérieur, l'un de ses petits serpents sifflait avec véhémence sur une inconnue pour lui. Car aux pieds du casier, affaléesur le carrelage, se trouvait une jeune fille aux chignons gris. Sayane la reconnue comme assistant à ses cours. Une élève douce et effacée, toujours polie, toujours dans l’ombre. Les yeux grands ouverts, le corps figé dans une position mi-suppliante, mi-horrifiée.
"Lyosinda." Murmura-t-elle, d'une voix neutre.
Le mince serpent noir s’échappait de la poche du casier, rampant paresseusement sur le carrelage avant de disparaître sous les bancs. Son venin faisait déjà son œuvre : la paralysie avait pris tout le corps de la jeune fille, seuls ses yeux étiaent encore sous contrôle, affolés, cherchant de l’aide ou de la compréhension.
Sayana s’accroupit lentement devant elle. Sa peau encore humide luisait sous la lumière blafarde, et ses cheveux gouttaient sur la joue de Lyosinda. Elle la détailla, méthodique : la sueur, les larmes, la gorge palpitante. La vie de la jeune fille n'était pas menacé. Elle posa un doigt froid sous le menton de l’adolescente pour l’obliger à la regarder. Puis son regard se porta sur son casier ouvert. Elle était parvenue à venir ici sans se faire entendre et à crocheter son casier avec efficacité. Seul son serpent caché lui avait permis de la neutraliser. Sayane était assez impressionné par la témérité de cette jeune fille si effacé.
« Pourquoi fouiller dans mes secrets, petite Lyosinda… ? »
Sa voix était un murmure caressant, presque doux. Trop doux.Elle remarqua qu'elle tenait fermement quelque chose dans sa main paralysée. Une culotte rouge...Celle de Sayane. L'enseignante ouvrit alors le sac de l'étudiante. Plein de sous-vêtement. Un sourire narquois s'afficha sur le visage de la femme serpent.
« Je n'en reviens pas...La voleuse de sous-vêtement ? C'est toi petite souris ? »
Lyosinda avec encore moyen de parler. Sayana inclina la tête, ses yeux rouges pétillant d’une lumière mauvaise. Une multitude de scénarios dansaient derrière son regard : elle pouvait l’achever d’un souffle, la transformer en un bel ornement de pierre pour son futur sanctuaire. Ou mieux encore… s’en faire un nouveau réceptacle, une petite marionnette personnelle, un carnet de secrets humains qu’elle pourrait feuilleter à loisir.
Elle caressa la joue glacée de la jeune fille du bout de l’ongle. Non...cette petite était douée pour chaparder des choses. Cela pouvait lui être utile.
« Oh, ma pauvre enfant. Peut-être est-ce ta curiosité qui t’a perdue… »
Sayane se pencha encore, ses lèvres frôlant presque l’oreille de l’adolescente.
« Nous allons découvrir ça ensemble. »
Dans un mouvement fluide, elle sortit de ses affaires une petite fiole, dont elle donna son contenu à la voleuse. Les quelques gouttes allait permettre à Lyosinda de retrouver le contrôle de son corps. La jeune fille, incapable de bouger au début, cessa ses tremblements et parvint a bouger de nouveau.
Sayane se releva alors, satisfaite, ses doigts tachés d’une ombre liquide. Elle récompensa son serpent noir d'une caresse, avant de le remettre dans son sac et de prendre une serviette pour se ressuyer. Elle resta ainsi nue devant sa jeune élève qui reprenait ses esprits.
« Voilà qui est troublant pour toi. Je devrais normalement t'amener auprès des autorités pour vols aggravés. Sais-tu ce que tu encoure comme sanctions ? Le vol est durement réprimé au Lycée.»
Puis un cri. Faible. Étranglé.
Il s’éleva du couloir, résonna à peine, puis mourut dans un silence coupé au couteau. Sayana rouvrit les paupières. Ses pupilles se contractèrent, fines fentes rouges qui se fixèrent sur la porte entrebâillée. C'était un cris de stupeur qui venait de sortir. Et cela venait des casiers. Elle coupa l’eau, laissa couler quelques gouttes encore, puis sortit de la douche en silence. Couverte uniquement par les gouttes d'eau glissant sur sa nudité , pieds nus sur le carrelage froid, elle franchit le seuil.
Dans l’alignement austère des casiers métalliques, elle aperçut aussitôt le sien. La porte battait mollement, comme une bouche entrouverte après un dernier soupir. A l'intérieur, l'un de ses petits serpents sifflait avec véhémence sur une inconnue pour lui. Car aux pieds du casier, affaléesur le carrelage, se trouvait une jeune fille aux chignons gris. Sayane la reconnue comme assistant à ses cours. Une élève douce et effacée, toujours polie, toujours dans l’ombre. Les yeux grands ouverts, le corps figé dans une position mi-suppliante, mi-horrifiée.
"Lyosinda." Murmura-t-elle, d'une voix neutre.
Le mince serpent noir s’échappait de la poche du casier, rampant paresseusement sur le carrelage avant de disparaître sous les bancs. Son venin faisait déjà son œuvre : la paralysie avait pris tout le corps de la jeune fille, seuls ses yeux étiaent encore sous contrôle, affolés, cherchant de l’aide ou de la compréhension.
Sayana s’accroupit lentement devant elle. Sa peau encore humide luisait sous la lumière blafarde, et ses cheveux gouttaient sur la joue de Lyosinda. Elle la détailla, méthodique : la sueur, les larmes, la gorge palpitante. La vie de la jeune fille n'était pas menacé. Elle posa un doigt froid sous le menton de l’adolescente pour l’obliger à la regarder. Puis son regard se porta sur son casier ouvert. Elle était parvenue à venir ici sans se faire entendre et à crocheter son casier avec efficacité. Seul son serpent caché lui avait permis de la neutraliser. Sayane était assez impressionné par la témérité de cette jeune fille si effacé.
« Pourquoi fouiller dans mes secrets, petite Lyosinda… ? »
Sa voix était un murmure caressant, presque doux. Trop doux.Elle remarqua qu'elle tenait fermement quelque chose dans sa main paralysée. Une culotte rouge...Celle de Sayane. L'enseignante ouvrit alors le sac de l'étudiante. Plein de sous-vêtement. Un sourire narquois s'afficha sur le visage de la femme serpent.
« Je n'en reviens pas...La voleuse de sous-vêtement ? C'est toi petite souris ? »
Lyosinda avec encore moyen de parler. Sayana inclina la tête, ses yeux rouges pétillant d’une lumière mauvaise. Une multitude de scénarios dansaient derrière son regard : elle pouvait l’achever d’un souffle, la transformer en un bel ornement de pierre pour son futur sanctuaire. Ou mieux encore… s’en faire un nouveau réceptacle, une petite marionnette personnelle, un carnet de secrets humains qu’elle pourrait feuilleter à loisir.
Elle caressa la joue glacée de la jeune fille du bout de l’ongle. Non...cette petite était douée pour chaparder des choses. Cela pouvait lui être utile.
« Oh, ma pauvre enfant. Peut-être est-ce ta curiosité qui t’a perdue… »
Sayane se pencha encore, ses lèvres frôlant presque l’oreille de l’adolescente.
« Nous allons découvrir ça ensemble. »
Dans un mouvement fluide, elle sortit de ses affaires une petite fiole, dont elle donna son contenu à la voleuse. Les quelques gouttes allait permettre à Lyosinda de retrouver le contrôle de son corps. La jeune fille, incapable de bouger au début, cessa ses tremblements et parvint a bouger de nouveau.
Sayane se releva alors, satisfaite, ses doigts tachés d’une ombre liquide. Elle récompensa son serpent noir d'une caresse, avant de le remettre dans son sac et de prendre une serviette pour se ressuyer. Elle resta ainsi nue devant sa jeune élève qui reprenait ses esprits.
« Voilà qui est troublant pour toi. Je devrais normalement t'amener auprès des autorités pour vols aggravés. Sais-tu ce que tu encoure comme sanctions ? Le vol est durement réprimé au Lycée.»