Évolution sexuelle [Pv Bhouta]
Posté : 23 juin 2025 12:48
Depuis que Miya était parvenue à mettre fin à ses métamorphoses intempestives qui lui gâchaient la vie, la tigresse avait justement choisie de passer celle-ci à Méta-city. Une ville très ouverte et active sur le plan sexuel. En effet, les habitant y étaient très libertins: en plus de sortir nus pour la grande majorité, beaucoup n’avaient aucun tabous et pratiquait le sexe dans la rue.
Une journée typique pour la jolie blonde commençait souvent par une séance de sexe dans le bus. Le trajet durant près d’une demi heure, il lui suffisait d’écarter les cuisses pour qu’un mâle la pénètre dans la minute qui suivait, pendant qu’elle en suçait un autre. Puis, pendant sa journée de cours, il n’était pas rare qu’elle se fasse sauter sur le bureau du prof, ou prendre en gang-bang dans la cours. Son lycée était un véritable baisodrome, entre toutes ces femelles en chaleur et ces mâles en rut. Et c’était compliqué d’apprendre entre deux orgasmes. Les clubs scolaires n’y échappaient pas.
Après la baise du retours des cours pendant le trajet, la soirée de travail de Miya débutait. Celle-ci ne vivait pas dans un immeuble d’appartements classique, mais dans une entreprise sexuelle. Concrètement, le rez-de-chaussée comprenait le hall d’accueil, une boutique de sexe d’un côté et un restaurant de l’autre. Puis, l’ascenseur derrière l’accueil menait aux étages de logements. Plus on montait haut, plus les appartements étaient grands et luxueux, mais chacune des résidentes était une prostituée, qui pouvait prendre un ou plusieurs partenaires à la fois. Le service était généralement ouvert entre 14h et 23h, mais du fait de sa journée de cours, Miya ne commençait qu’après 18h.
Celle-ci vivait dans un petit studio, qui comprenait somme toute un salon-cuisine, une salle de bain avec WC inclut et une chambre, avec un simple balcon en guise de terrasse. Seuls 50% des revenus de ses clients lui revenaient, mais en échange, elle ne payait pas de factures ni loyer. Autrement dit, ses revenus dépendaient du nombre de clients mensuel qu’elle prenait. Et comme souvent lorsqu’elle rentrait des cours, le client du soir était déjà assis dans le hall, à attendre son retour. Cette fois-ci, il s’agissait d’un cochon, sans doute le Furry qui se rapprochait le plus d’un être humain…
La loutre Maid de l’accueil l’interpella lorsque la tigresse rentra de sa journée, des traces de semence encore visible sur elle et entre ses cuisses, donc rien d’inhabituel dans cette ville.
– Ah, Miya, enfin rentrée. Je te présente Mr. Bhouta. C’est le propriétaire de la ferme en périphérie de la ville, donc un client important. Et ce soir, c’est à toi de t’occuper de lui. Son appréciation pourrait te propulser plusieurs étages au dessus du tien, sans te mettre la pression.
– Ouais… D’accord… Je peux prendre une douche avant, quand même ? Et enchantée M’sieu.
La blondinette en avait entendue parlée, essentiellement parce qu’elle consommait les produits de sa ferme. Toutefois, Miya était une «Prédatrice» particulière en ville, car elle était omnivore et mangeait aussi bien de la viande que des légumes, ce qui intriguait son entourage. Mais ça, c’était à cause de ses gènes humains d’origine.
Une journée typique pour la jolie blonde commençait souvent par une séance de sexe dans le bus. Le trajet durant près d’une demi heure, il lui suffisait d’écarter les cuisses pour qu’un mâle la pénètre dans la minute qui suivait, pendant qu’elle en suçait un autre. Puis, pendant sa journée de cours, il n’était pas rare qu’elle se fasse sauter sur le bureau du prof, ou prendre en gang-bang dans la cours. Son lycée était un véritable baisodrome, entre toutes ces femelles en chaleur et ces mâles en rut. Et c’était compliqué d’apprendre entre deux orgasmes. Les clubs scolaires n’y échappaient pas.
Après la baise du retours des cours pendant le trajet, la soirée de travail de Miya débutait. Celle-ci ne vivait pas dans un immeuble d’appartements classique, mais dans une entreprise sexuelle. Concrètement, le rez-de-chaussée comprenait le hall d’accueil, une boutique de sexe d’un côté et un restaurant de l’autre. Puis, l’ascenseur derrière l’accueil menait aux étages de logements. Plus on montait haut, plus les appartements étaient grands et luxueux, mais chacune des résidentes était une prostituée, qui pouvait prendre un ou plusieurs partenaires à la fois. Le service était généralement ouvert entre 14h et 23h, mais du fait de sa journée de cours, Miya ne commençait qu’après 18h.
Celle-ci vivait dans un petit studio, qui comprenait somme toute un salon-cuisine, une salle de bain avec WC inclut et une chambre, avec un simple balcon en guise de terrasse. Seuls 50% des revenus de ses clients lui revenaient, mais en échange, elle ne payait pas de factures ni loyer. Autrement dit, ses revenus dépendaient du nombre de clients mensuel qu’elle prenait. Et comme souvent lorsqu’elle rentrait des cours, le client du soir était déjà assis dans le hall, à attendre son retour. Cette fois-ci, il s’agissait d’un cochon, sans doute le Furry qui se rapprochait le plus d’un être humain…
La loutre Maid de l’accueil l’interpella lorsque la tigresse rentra de sa journée, des traces de semence encore visible sur elle et entre ses cuisses, donc rien d’inhabituel dans cette ville.
– Ah, Miya, enfin rentrée. Je te présente Mr. Bhouta. C’est le propriétaire de la ferme en périphérie de la ville, donc un client important. Et ce soir, c’est à toi de t’occuper de lui. Son appréciation pourrait te propulser plusieurs étages au dessus du tien, sans te mettre la pression.
– Ouais… D’accord… Je peux prendre une douche avant, quand même ? Et enchantée M’sieu.
La blondinette en avait entendue parlée, essentiellement parce qu’elle consommait les produits de sa ferme. Toutefois, Miya était une «Prédatrice» particulière en ville, car elle était omnivore et mangeait aussi bien de la viande que des légumes, ce qui intriguait son entourage. Mais ça, c’était à cause de ses gènes humains d’origine.