The Multiversity

Fujiko était toute seul ce soir et pour le weekend à venir ! Ces deux colocataire était partie rejoindre leur famille et Fujiko elle, avait voulue rester seul pour clairement se la couler douce. Non pas qu'elle n'appréciait pas sa famille parce qu'elle était rigide, mais plutôt parce que elle n'aurait jamais la possibilité de se laisser aller comme elle le voulait sans que ses parents ne le voit. Aucun d'eux n'était au courant de ses penchants déviant et Fujiko n'était pas pressé pour le leur annoncer. Ce soir, elle allait se faire plaisir ! A l'ancienne ! Toute seule !

La soirée avait à peine commencé, tout juste 18h00, en ce vendredi soir. 2 jours que Fujiko avait peu mangé et surtout bue, allant à l'encontre de sa nature, suivit de quelque séance d'anema, pour purger ses entrailles de toute substance. A ce jour, son système digestif était vierge de toute présence. Vide de la bouche au cul ! C'était le meilleurs pour bien tout sentir, surtout quand l'eau s'infiltre en elle, jusqu'à son estomac, ne stagne et ne s'accumule. L'eau froide était meilleurs, forçant ses entrailles à se contracter.

De plus, personne ne viendrait la voir ce soir, elle était tranquille et libre ! Aussi elle était nue, portant son gode équin dans la douche, chantonnant un petit air, le joue rouge, le souffle quelque peut rapide. C'était toujours aussi grisant ! Son gode fut coller au sol avec la ventouse, et elle le raccorda au tuyau du pommeau de douche. En effet, Kioi et elle avait trafiquer le gode, afin de coller un raccord équivalent à celui du pommeau de douche, relier à la partie creuse du gode. A l'origine c'était pour connecter une seringue avec du faux sperme. Mais vue le prix de ce dernier, on avait opté pour de l'eau et donc adapté en découpant un peu le gode.

Fujiko fit couler l'eau, provoquant un jet depuis le bout du gode qui s’écrasa contre le plafond avant de couper l'eau. Tout était bon. Elle se mit en position, le gode contre sa rondelle, soufflant un bon coup, frottant ses fesses. Puis elle s'abaissa, força et enfonça les premiers centimètre en elle. Un râle de plaisir s'échappa de ses lèvres. Une personne normale et sans préparation aurait hurler de douleur, de sentir sa rondelle autant écarté d'un coup et brutalement. Mais Fujiko non. Son élasticité était telle, qu'une pénétration brutal de la sorte ne lui faisait aucun mal. Même plus, elle ne conservait que les bonnes sensations. Et son cul était toujours aussi étroit, toujours le même. Jamais usé, jamais fatigué.

Elle resta un moment ainsi, mouvant son bassin en cercle, faisant tourner le bout du gode en elle, minaudant. Puis elle releva ses jambes, se laissant tomber. Un crie de plaisir s'échappa de ses lèvres, avant de mettre sa main sur sa bouche, les yeux hagards, mouillant furieusement. Ses fesses frottèrent le sol de la douche, une longue bosse remontant jusqu'à ses premières cotes. Elle ne pourrait jamais s'habituer à cette sensation. Son corps essayant de reprendre forme, se comprimant sur le gode. C'était si bon ! Elle se releva, et se laissa à nouveau tomber, avant d'établir un rythme faisant des squats. Après une minute, elle activa le jet d'eau, à petit débit, coulant à travers le gode, inondant ses entrailles. L'eau froide la fit frisonner, s'écoulant en elle, la remplissant. Elle jouit, mais ne s’arrêta pas et continua à se mouvoir, enchaînant les gémissement et les râles de plaisir intense, alors que déjà son ventre gonflait lentement, malgré l'eau s'écoulant à chaque mouvement.

Valeria soupira d’aise alors que son chauffeur arrêtait la voiture devant les portes des dortoirs du lycée Jinmu. Le succube avait plusieurs amantes en ces lieux, mais celle vers qui ses pensées se tournaient ce soir se nommait Akio. Cette soirée lui serait entièrement consacrée. Valeria avait pu se la dégager malgré son emploi du temps très chargé. Et il était grand temps que  la petite étudiante-lamia reçoive une nouvelle leçon de magie rose.

Elle avait revêtu une tenue simple : un chemisier rouge échancré, un petit short noir moulant, des sous-vêtements en dentelle blanche, de hauts escarpins noirs. Rien de bien travaillé, de toute façon, tout était destiné à être enlevé. Elle entra sans attendre que l’homme s’en soit allé. De toute façon, peu lui importait ce qu’il faisait, tant qu’il était là pour la ramener quand elle l’appellerait.

Elle traversa le grand hall d’entrée, presque désert à cette heure et où les rares étudiants présents ne faisaient que passer pour aller passer la soirée dehors, et atteignit les ascenseurs.

Ting ! Les portes s’ouvrirent. Elle entra, poussa sur le bouton du quatrième étage. Les portes se refermèrent et  l’ascenseur se mit en branle. Il faisait chaud ou était-ce une manifestation de son désir ? Elle dégrafa un bouton de plus à son chemisier. Ca aiderait un peu.

Ting ! Les portes s’ouvrirent à nouveau. Elle sortit et se dirigea vers l’appartement, prenant le couloir de droit à l’embranchement, ses talons claquant sur le dallage avec fermeté, une fermeté qu’elle ressentait également dans l’ampleur croissante de son désir.

Elle s’appuya au chambranle de la porte et frappa. Elle savait que normalement Akio devait être seule ce soir et que la soirée et la nuit seraient pour elles seules. Mais au bout d’une petite minute d’attente, la jeune femme n’avait toujours pas ouvert. Valeria soupira et sortit le double de la clé de l’appartement que lui avait offert Akio de sa poche. Elle entra.

L’appartement était lumineux. Le soleil ne donnait pas sur lui en cette fin de journée, ce qui permettait de ne pas étouffer comme dans un mouroir. Les grandes vitres offraient une luminosité parfaite et une vue imprenable sur le parc en contrebas. Val referma la porte qui donnait directement sur le séjour.

Un bruit de douche se faisait entendre. Val sourit. Quelle belle idée avec cette chaleur qui l’accablait ! Elle allait rejoindre Akio sous la douche et les ébats pourraient même y commencer. Sans attendre, elle enleva ses chaussures, fit glisser son short et son chemisier au sol et prit la direction de la salle de bains en dégrafant son soutien-gorge. Un long râle de plaisir se fit entendre, ténu sous le bruit de la douche. La lingerie tomba au sol, immédiatement suivie de la culotte alors que le succube s’apprêtait à entrer. Mais le son de la voix était différent. Elle regarda sans entrer et découvrit le spectacle incroyable de Fujiko en train de se sodomiser sur un de ces énormes godes que lui avait déjà montré Akio.

La jeune femme avait un regard hagard, une expression folle de plaisir intense sur le visage qui força Valeria à prendre son vit en main et se masturber doucement. Elle la regarda faire un petit instant, la fille encaissait royalement et son corps se déformait même sous le volume de l’objet qui l’envahissait. La fille ne l’avait pas vue. Elle se sodomisait vigoureusement, puis enclencha l’eau. Val remarqua alors que le gode était relié au tuyau de douche. Les explications d’Akio sur les particularités de sa colocataire prenaient tout leur sens à présent.

Le succube bandait comme un forcené. Ce spectacle était torride. Fujiko jouit visiblement tandis que son corps commençait à gonfler sous l’arrivée d’autant d’eau en lui. Maintenant, c’était fait. Elle voulait baiser Fujiko. Akio lui avait dit qu’elle voulait la lui présenter, parce qu’elles devraient pouvoir vraiment s’amuser en une orgie démente toutes les quatre, avec la troisième coloc, Kioi. Elle avait donc déjà probablement préparé le terrain et parlé d’elle aux deux filles. Ce devait être relativement facile de convaincre Fujiko de remplacer ces godes par elle, ou de l’ajouter aux godes. Sinon, un petit boost de phéromones l’achèveraient aisément, surtout étant donné l’état dans lequel elle était déjà !

Elle sortit puis refit son entrée avec naturel.

« Akio ? Tu es là  ma douce ? Je… Oh ! »

Elle s’arrêta devant Fujiko, son vit énorme en pleine érection à parfaite hauteur du regard de l’étudiante.

« Je… Pardon... Fujiko j’imagine ? Je suis Valeria. Akio a déjà dû te parler de moi ? »

Ignorant la position dans laquelle elle avait découvert la jeune femme, elle fit un pas en avant, entrant sous la douche, et tendit la main pour la saluer. Si ça, c’était pas briser la glace…

Fujiko était perdu dans son extase, son plaisir intense. Elle oubliait tout, il n'y avait plus que son gode équin, qui remontait jusqu'à ses côtes, formant une bosse longue, facilement distinguable à l’œil. Son ventre avait quelque rondeur, se confondant avec la partie basse de la bosse du gode. Elle remuait avec plaisir, variant le débit de l'eau, sans jamais aller à fond, laissant l'eau froide s’écouler lentement dans ses entrailles et s'accumuler. C'était si bon ! Elle mit le débit au plus bas, posa ses mains sur le sol et s'activa prestement à remuer furieusement son corps. Les frictions la chauffer, les sensations la perdait, la bosse apparaissait et disparaissait rapidement, remuant tout son corps. Elle mouillait intensément, haletante, gémissante, des filins de mouille volant. Elle ne criait, mais gémissait avec intensité, tandis que son ventre gagnait les rondeur d'une femme enceinte de 2 mois et commença à se ballotter.

Alors qu'elle s'activait, une de ses mains allant vers la poignet du robinet, dans l'optique d'augmenter le débit. Mais alors qu'elle tenait la poignet une voie se fit entendre, et une femme nue et inconnue se présenta. Fujiko glapit, s'étouffant avec un crie de surprise. Sa main ouvrit le robinet à fond dans la pagaille, tomba à la renverse, décollant le gode dans un plop sonore, et se retrouva face à l'inconnue, cachant inutilement ses parties intimes, car elle avait toujours le gode equin loger entre ses fesses, se rasseyant dessus en rabattant ses jambes inutilement pour se cacher. L'inconnue s'était présenté, mais Fujiko ne l'avait pas enregistré.

-Qui... qui... qui êtes vous ? Bredouilla t-elle, rouge pivoine, de honte et de gênée.

Puis vint la prise de connaissance d'un massif mat de chaire. Une bite épaisse et longue, impressionnante, presque autant que son gode. Elle loupa une nouvelle fois l'information cruciale sur l'identité de la personne. Et autre chose capta son attention. Son ventre, qui pressa contre ses jambes. Elle les écarta, dévoilant un ventre gonglé et rebondit, au point de faire disparaître la bosse du gode. Il avait prit en peu de temps une belle taille, bien loin d'une femme enceinte, mais il était en bon chemin. Partagée entre honte, plaisir, satisfaction, gêne et inquiétude, Fujiko ferma le robinet en tâtonnant après quelque seconde de confusion, alors qu'elle mouillait au point d'en goutter sur le sol. Elle avait l'air pitoyable, reculant un peu en regardant l'inconnue presque les larmes aux yeux.

-Qu... qu'est que vous voulez ? Sortez d'ici !!

Comment elle avait put entrer ? Seule elle, Kioi et Akio, et la responsable des dortoirs, avait un exemplaire des clès. Elle était nue, avait un putain de sexe et... Fujiko blêmit. Elle allait la violer ? Fujiko se releva prestement, le gode toujours en elle, glissant tout doucement, toujours connecté au robinet, plus proche de l'inconnue que de Fujiko, son ventre ballottant de bas en haut deux-trois fois. Une oreille fine aurait put entendre l'eau remuer faiblement. La scène était comique, voir même ridicule.

-J'vous préviens je sais me battre ! Je fais du judo !

Ce qui était partiellement vrai car elle connaissait des notions et quelque prise, prenant une pose approximative, une scène qui aurait eu plus de classe, sans son ventre gonflé et le gode marqué d'une bosse et dépassant, relier au robinet.

Dire que Fujiko fut surprise était un euphémisme. Elle glapit littéralement de surprise, chuta au sol en percutant le robinet puis se recula contre le mur en cherchant à cacher ses parties intimes, ce qui était totalement inutile, surtout avec le monstrueux gode qui avait suivi le mouvement et sortait d’elle comme un phare dans la nuit. Elle chercha à se recroqueviller dans un vain nouvel effort pour satisfaire son désir de cacher son corps.

Elle n’avait pas entendu – ou pas compris – ce que Valeria avait dit.

« Qui... qui... qui êtes vous ? » bredouilla-t-elle, le visage pourpre de honte.

Son regard alors découvrit ce qui se trouvait à sa hauteur : l’imposant mât de chair du succube. Alors que le succube réitérait ses propos, elle ne fit que loucher sur le membre. Son épaisseur était à peu près du même niveau que celle du gode.

Val comprit aisément que son esprit effrayé ne capte pas l’information, surtout avec cette queue face à elle. Sans parler du fait que son corps se rappela lui aussi à elle en ayant sérieusement gonflé, l’eau de la douche continuant à se déverser en elle par l’intermédiaire du gode-pommeau fiché dans son cul.

Confuse, elle ferma le robinet et se redressa. Sa cyprine s’égouttait en longs filaments sur le sol. Valeria admira le spectacle de cette jeune femme « enceinte » en train d’essayer de se défendre, aux portes de l’orgasme, victime de ses appétits et de la peur à la fois, sentiments contradictoires

« Qu... qu'est que vous voulez ? Sortez d'ici !! »

Valeria tendit une main apaisante, prenant une posture plus en retrait, mais ne cachant nullement le désir qui l’étreignait. Elle usa d’un peu de son pouvoir pour saturer la pièce de phéromones érotiques et laissa son odeur sexuelle prendre un peu plus d’ampleur.

Entre ces deux incitants et son propre sexe tendu, Fujiko n’avait que peu de chances de ne pas se calmer, voire succomber immédiatement. Et quoi qu’elle fasse, étant donné son état d’excitation, elle allait jouir pratiquement sur-le-champ, indépendamment de ce qui s’ensuivrait, ça c’était une certitude.

Effrayée et ne comprenant pas ce que faisait Valeria dans sa douche, elle prit une position de combat défensive.

« J'vous préviens je sais me battre ! Je fais du judo !
- Tout ce que tu vas faire, c’est te blesser. Arrête tes conneries et écoute, s’il-te-plaît. Je suis Valeria. C’est Akio qui m’a donné une clé. Je pensais que c’était elle qui était sous cette douche, sinon je ne ma serais pas imposée comme ça, tu penses bien. Je suis désolée. »

Fujiko était tout à fait ridicule en ce moment, en position approximative de judokate, le gode dans le cul toujours relié au pommeau de la douche, le ventre gonflé et la chatte dégoulinante de mouille. Valeria sourit. Sa voix était douce et calme, posée, avec ces notes graves et chaleureuses propres à faire frémir de désir la plupart des humains.

« Akio m’avait parlé de toi. Je ne m’attendais pas… à ça ! » dit-elle en la regardant avec admiration. « C’est stupéfiant. Et terriblement excitant à vrai dire… »

Elle ne débandait pas. Loin de là ! Son sexe avait gagné en taille et en circonférence, dépassant désormais de manière évidente la taille du gode équin.

Déjà qu'elle n'avait aucune crédibilité, Fujiko avait du mal à se concentré. Il y avait un je-ne-sais-quoi dans l'air, qui l’empêchait d'attaquer ou d'être encore plus en panique. Elle toujours excité, soumis à son ventre gonflé d'eau, au gode et à la vision d'une futa superbe ! De corps et de bite ! Elle mouillait, tremblait légèrement sous le plaisir qu'elle ressentait et que plus ça allait, plus elle semblait ne pas s'arranger. Ainsi, l'inconnue eu tout le loisir pour se présenter une énième fois, et cette fois Fujiko put comprendre tous ce qu'elle lui dit, mais c'était pas facile.

Ses bras retombèrent le long de son corps, les yeux grand ouvert, le bouche ouverte. C'était donc elle la fameuse Valeria ?! Il y a maintenant quelque jour, Akio leur avait parlé de sa petite aventure. Mais Fujiko et Kioi ne l'avait pas vraiment bien reçut. Il faut dire, annoncer qu'une inconnue l'avait suivit jusque qu'ici, l'avait baisé et était devenue sa mère en un soir, y avait de quoi à en tomber des nue, même si ce fut tourné de manière plus romancé ! Aussi naturellement, Kioi et Fujiko furent très inquiète et voulurent appeler la police, que Akio n'était pas dans son état normale et que contenue de son passe temps favori, elle encourait des risque !

Il avait fallu une bonne dispute pour se casser la voix et parler plus calmement. Difficilement, Akio était parvenue à convaincre les deux autres, qui restèrent dubitatif et se promirent que si la situation devait se dégrader, elles n'hésiteraient à aller contacter la police. Aussi Akio fut soumisse à un surveillance discrète, afin de voir si elle n'était pas manipulé ou pire, menacé. Mais rien, même pendant ses balades nocturnes. Et maintenant, Fujiko pouvait comprendre pourquoi Akio avait été si joyeuse en leur annonçant.

-Alors... v... vous... êtes la fameuse Valeria.... souffla Fujiko.

Elle était perturbée, cette femme la perturbait. Elle se calmait pas, elle... elle avait envie. Et son gode ne lui suffisait pas maintenant. Il fallait plus.

« Akio m’avait parlé de toi. Je ne m’attendais pas… à ça ! C’est stupéfiant. Et terriblement excitant à vrai dire… »
-A... a... a bon ? Bredouilla Fujiko, regard incertain, sourire nerveux.

Une de ses mains glissa vers son intimité bouillonnante, dégoulinant de mouille et de filin de cyprine. Elle était pas loin de l'orgasme, haletant, rouge. Et elle se mit à baver, en voyant la verge de Valeria grossir d'avantage, atteignant des dimensions inhumaine. Fujiko ne tint plus, et tomba à genoux, devant la verge haletant, une main sur un de ses seins et l'autre toujours sur son sexe, se masturbant. Sans annonce, Fujiko ne tint plus, les phéromones l'ayant bien travailler, Fujiko prit le gland en bouche, déformant sa bouche.

l'extase dans le yeux, et faisant preuve d'une prouesse prodigieuse, elle avala le sexe, une gorge profonde d'une traîte, déformant sa gorge, sa mâchoire et son torse. Ses lèvres embrassaient le bassin, sa lange glissant jusqu'au couilles, léchant avec avidité, tout son être comprimant sa verge dans un étau de chair, confortable, doux et chaud, parcourue par une langue avide. Fujiko parcourue de sa main la longue bosse la déformant, glissant jusqu'a son intimité, un orgasme foudroyant l'ayant traversé, le barrage rompue par le brusquerie de la fellation, et de son corps déformé par cette verge. De ses lèvres intime ruisselant de cyprine, dégoulinait un flot formant une petite flaque de nectar de plaisir'

Valeria pouvait le sentir, Fujiko était terriblement étroite, malgré la facilité avec laquelle Fujiko avait avalée d'une traite sa queue énorme. Sa gorge imprimait la forme de la verge, verge qui se frottait contre le gode équin, pouvant sentir l'eau chaude qui s'était infiltré dans ses entrailles.

Ridicule. C’était le premier mot qui venait à l’esprit en voyant Fujiko en position approximative de combat, en proie à un plaisir intense, le gode dans le cul encore relié au tuyau de la douche. Mais Valeria n’avait pas même souri.

Elle avait attendu que ses mot parviennent dans l’esprit embrumé de l’adolescente et y créent un jour suffisant pour qu’il s’ouvre à la compréhension.

« Alors... v... vous... êtes la fameuse Valeria... » souffla la jeune femme.

Bien, elle sait qui je suis. Maintenant, l’estocade.

Quand elle lui dit qu’Akio lui avait parlé d’elle mais qu’elle ne s’attendait pas à ça et que c’était terriblement excitant, la jeune femme frémit. Elle était cuite.

« A... a... ah bon ? »

Elle était nerveuse. Forcément. Une telle situation ne lui était jamais arrivée et ne se reproduirait sans doute jamais. Hésitante, elle se sentait complètement dépassée, son désir et son plaisir étendant leur emprise sur sa conscience suite au malin plaisir que prenait le succube à jouer avec ses jauges mentales.

Elle dégoulinait littéralement de cyprine. De longs filaments gluants s’échappaient d’elle pour s’écraser au sol. Val l’étudiait tranquillement, prit sa verge en mains et la masturba lentement. Le visage de Fujiko avait viré au rouge, sa respiration était devenue saccadée et sans qu’elle s’en rende compte un filet de bave dégoulinait sur son menton.

Val laissa croître encore un peu son membre inhumain. Fujiko ne le quittait pas de son regard hypnotisé. Elle sourit, le secoua lentement, comme une cape de torero.

Fujiko s’agenouilla devant elle, se caressant le sein d’une main, se masturbant avidement de l’autre. Elle se redressa juste ce qu’il fallait, attrapa le gland que Valeria orienta obligeamment vers elle et avala d’une traite l’entièreté de la queue.

Là, c’est le succube qui écarquilla un peu les yeux en voyant tout le système digestif de l’adolescente s’écarteler pour l’accepter sans effort. La position força la mâchoire à prendre un angle impossible, la gorge se déforma, de même que la poitrine !

Les lèvres posées sur le bas ventre de Val, la langue de Fujiko sortait encore pour lécher les couilles à portée. Le succube gémit rapidement sous ce traitement, la queue comprimée dans une gangue de chair élastique terriblement serrée, moite et moelleuse.

La main de la jeune femme quitta son sein pour venir caresser la queue à travers sa peau. A cet instant, elle vrilla. Son regard se révulsa et elle jouit follement, sa cyprine s’écoulant de son ventre à profusion pour former une petite flaque au sol.

Val attendit un court instant puis tourna le bouton d’arrivée d’eau, recommençant à emplir Fujiko. Elle lui attrapa alors la tête à deux mains et se mit à lui baiser la bouche à grands coups de reins. Le fourreau était merveilleusement étroit, son corps l’acceptait comme peu l’avaient fait, la massant et l’enserrant avec délices, lui procurant des sensations inédites.

Les secondes devinrent dizaines, puis minutes. Fujiko gonflait et ne pouvait que très difficilement respirer. Val en faisait un véritable fucktoy. Après trois minutes, elles se ficha profondément dans la gorge de l’étudiante et libéra en elle un premier orgasme très abondant.

« Rhaaaa !! »

Tandis que sa queue pulsait en expulsant une semence épaisse et brûlante, elle sentit autour d’elle l’environnement aqueux dont s’emplissait encore son hôtesse, et même les compressions inhérentes à la présence du gode équin.

C’était divin !

Elle finit néanmoins par se retirer pour laisser Fujiko respirer, terminant de jouir sur son visage.

C'était inimaginable, et pourtant ça lui arrivait en vrai. Comme sur toute ces images qu'elle a téléchargé sur internet, les vidéos amateur et les hentais. Une futa avec une énorme bite la déformant. Elle pleurerait presque, s'étouffant sur la bite, palpant fébrilement la masse de chair la déformant tout le long, parvenant sans peine à mettre plus de forme que ses seins. Elle avait un regard débordant de joie et de vice, le regard typique d'une âme faible cédant au vice, se plongeant dans la luxure sans retenue, la volonté fragile et facilement manipulable.

Pour en rajouter une couche, Valeria ouvrit la valve de la douche, laissant à nouveau l'eau couler et s'écouler en elle. L'eau toujours froide la fit à nouveau frissonner, remontant le gode et s'écoulant en elle, filant dans ses entrailles, la sentant se mouvoir en continuant. Lentement, son ventre repris des formes, enflant lentement, la faisant papillonner des yeux, mouillant encore. Son ventre émit quelque gargouillis étouffé, amenant Fujiko a le caresser, et le tapotant, provoquant des remous qui la firent profondément gémir.

Mais alors qu'elle revenait en arrière, libérant la verge énorme pour reprendre un peu de son souffle, les fonctions vitaux de son corps se rappelant à elle, la forçant à reprendre de l'air. Dans un bruit mouillé baveux, elle fit coulisser la verge. Mais deux mains lui saisirent la tête, et Valéria renonça le peu que Fujiko avait eu le temps de retirer, plaquant son bassin contre ses lèvres avec vigueur, provoquant des remous sonores avec le ventre, qui avait commencé à prendre du volume de manière visible. Et sans perdre de temps, Valéria baisa consciencieusement la gueule d'amour de Fujiko, de langoureux va et viens, sans ménagement, sans chercher à la brusquer. Fujiko tentait bêtement par réflexe à la repousser, ne pouvant respirer à plein poumon. Ses mains étaient sur les cuisses de Valéria, mais son esprit était trop perdu dans son plaisir intense, ce flot de sensation, cette verge gargantuesque qui déformait son corps à chaque passage, limer son œsophage, râper sa gorge et coulisser entre ses dents et sur sa langue. L'air était saturé des bruits mats de la chair contre la chair, des couilles de Valéria heurtant la menton de Fujiko, des lèvres de cette dernières embrassant le bassin de Valéria.

Au bout d'une minute, perdu dans un état extatique, abrutie par l'oxygène limité, perdu dans un flot de sensation, elle accompagnait les mouvements de Valéria, caressant ses hanches et ses fesses, ou venant caresser son ventre qui se rapprochait de celui d'une femme enceinte. Son ventre remuait sous les chocs du bassin contre les lèvres de Fujiko, provoquant remous et clapotis étouffé, tandis que Fujiko se dandinait sur son gode. Loin d'être une poupée, bien que limité, elle parvenait à faire des allées et venue à son gode, se soulevant et se rabaissant quelque peu avec le pilonnage de sa gorge et peinant sous la masse de l'eau pour se soulever, une flaque de mouille s'étendant sous elle.

L'eau coulait toujours, jaillissant dans les entrailles de Fujiko, s'accumulant encore et encore, gonflant les entrailles, remontants les boyaux, jusqu'à l'estomac, gonflant le ventre, tendant la peau, tirant, provoquant mille et une sensation. La masse qui s'accumule, le ventre qui se distend, lentement mais inexorablement. Au bout de 2 minutes, Fujiko avait atteint le gabarit d'une femme enceinte de 9 mois, son ventre commençant à frotter ses cuisses. Et au bout de 2 minutes, Valéria donna le dernier coup, avant de se lâcher.

Fujiko fit les gros yeux. Elle put sentir à travers la verge, le flot imposant de sperme, coulant le long de la hampe, en gros remous crémeux. Et le flot s’écrasa dans son ventre, un flot intense et brûlant. Brutalement et rapidement, son ventre se surcharger de foutre, gonflant, dépassant le stade de la femme enceinte, s'écrasant sur ses cuisses. La surcharge gicla de sa bouche et de son nez, une bulle éclatant, alors qu'elle enchaînait les borborygmes pâteux et étouffé, le foutre coulant sur son ventre distendue et devenue énorme. Au point qu'elle jouit une nouvelle fois, inondant le sol.

Valéria se retira, dans long bruit de succion gluant, avant qu'une giclure de sperme n'accompagne le gland qui sortie. Fujiko mit un moment pour endiguer le flot de foutre, gonflant ses joues, coulant de son nez, avant de ravaler et de haleter bruyamment, l'air confus, rouge, perdu dans une myriade de sensation, noyant sa conscience et son esprit dans un ouragan d'extase. Elle caressant son ventre qui ne finissait de gargouiller, et de provoquer des remous assez audible. Et Valéria la couvrit de foutre, un foutre épais et chaud, crémeux, odorant, saturant rapidement l'air de vapeur de vice et de stupre. La bouche grande ouverte, dégoulinante de sperme et de bave, le regard vitreux, visage et sourire béat, extatique, heureuse. Valéria venait de réaliser un grand fantasme de Fujiko.

L'eau n'était pas coupé et continuait de remplir Fujiko, et cette dernière n'avait atteint que rarement un ventre aussi imposant. Et elle n'avait plus de limite, Valéria ayant mit à bas toute ces barrières. Elle avala le sperme dans sa bouche et sa main alla ouvrir a fond la valve d'eau, et de l'autre, elle caressa le sexe de Valéria. Et elle dit ce qu'elle avait toujours rêvé de dire, le regard fébrile, perdu dans l'extase et ses fantasmes.

-P...plus ! Remplis moi plus !

Si Fujiko encaissa difficilement au début, elle se mit vite au diapason. Ses mains se posèrent sur les cuisses de Val et oscillèrent entre celles-ci et ses fesses pendant qu’elle accompagnait les mouvements de bassin qui lui démontaient littéralement la mâchoire.

Attentive à ses désirs, Valeria avait lu en elle celui de se faire emplir à outrance et utiliser comme un vulgaire sac-à-foutre. C’était ce qui se passait en ce moment même. Et tandis que l’eau continuait de l’emplir, encore et encore, faisant gonfler comme une outre son corps élastique, la queue du succube étendait son empire sur la gorge et les sens de Fujiko. Surtout ses sens.

Val pouvait la sentir glisser de plus en plus sur le rebord de l’abîme de ses fantasmes. Elle continua de la baiser comme une chienne, défonçant son visage, sa bouche, sa gorge, raclant sa langue, ses dents, sa luette pour les faire siens autant qu’elle convertissait son esprit à ce plaisir inhumain.

La jeune femme se stimulait également sur son énorme gode. En quelques minutes, les deux amantes eurent atteint leur limite et leur plaisir se déclencha, ravageur.

Et là, Val sentit Fujiko tomber. Non pas au sol, mais dans l’abîme de ses fantasmes. Plus aucune limite ne lui restait. Elle jouit comme une folle tandis que le foutre du succube l’emplissait avant d’inonder son visage. Elle ne pouvait tout contenir aussi un flot de foutre explosa-t-il dans sa bouche avant de ressortir par son nez.

En y ajoutant la bave et le regard baigné de larmes tout en ayant cette expression béate que les Japonais nommaient ahegao, elle était tout simplement irrésistible. Pour un peu, Val lui aurait joui une seconde fois dessus sans attendre.

Fujiko était sous l’emprise totale des phéromones de Valeria. Son âme faible, déjà esclave de ses fantasmes et désirs, venait de se faire happer par la réalisation d’un fantasme qui la taraudait depuis plusieurs semaines déjà, depuis qu’Akio avait parlé de sa mère adoptive. En fait, plusieurs fantasmes venaient d’être réalisés d’un coup, le fantasme de l’emplissage étant largement antérieur à celui qui était né des dires d’Akio.

Valeria la regarda, accroupie devant elle, empalée sur ce gode énorme, le ventre tellement gonflé que même enceinte de quintuplés elle n’aurait pas été aussi grosse, le visage et la poitrine couverts de foutre gluant et visqueux à souhait, sans parler de la bave, la morve et les larmes. Un véritable Rembrandt !

Fujiko était totalement sienne en ce moment.

-P...Plus ! Remplis moi plus !

Valeria lui sourit, sa queue dégoulinante dressée face à son visage.

« Je vais prendre ta chatte à présent. Je ne voudrais pas rater le spectacle de voir sortir de ta bouche tout ce qui entre dans ton cul… »

Et puisqu’elle était au courant, pas besoin de faire de façons. Valeria la fit léviter, basculer légèrement en arrière afin que son ventre ne les gêne ni l’une ni l’autre, et l’amena tranquillement à elle, son cul empalé sur ce monstrueux gode qui lui servait également d’emplisseur-maison.

Bien que Fujiko ne fusse absolument pas prête pour accueillir un membre du gabarit de sa queue en une seule fois, Valeria l’empala sans effort apparent, profitant de la distension élastique de ce corps si merveilleusement inédit pour pouvoir se frayer un chemin d’un coup d’un seul jusqu’au fond de son utérus, la faisant gonfler d’autant, même si ce n’était finalement plus très visible à ce stade.

Elle empoigna ses hanches, acheva de l’empaler sur les cinq derniers centimètres encore à l’air libre.

« Prête ? »

Elle se mit à la prendre sans égards, toujours suivant ce fantasme qui voulait qu’elle se fasse démonter et emplir comme un vulgaire fucktoy.

Ce faisant, Valeria se demandait si l’âme de Fujiko lui serait accessible et si elle la lui offrirait. Les chances étaient grandes à première vue, mais quel serait le prix demandé ? Certainement baisserait-il si le succube assouvissait encore un peu plus ses fantasmes…

Tout était si démesuré et sans commune mesure, que Fujiko ne fut pas perturbé par le fait de léviter et se faire partiellement retourné, son ventre glissant de ses genoux pour frotter contre le sol, remuant dans des gargouillement pâteux et gluant. Elle eu un reflux et une cascade de foutre s'échappa de sa bouche, coulant de son nez, avant qu'elle ne ferme la bouche, gonfle les joues sous la quantité et ravale le tout.

Son ventre continuait à grossir, sous le flux constant d'eau, le robinet ouvert à fond. Son gode tenait par les tensions exercer par son corps élastique et ses muscles. Et compte tenue de sa position, toute la masse tombait contre le sol, aucune pression ne s’exerçant sur le gode, qui restait planter sans risque d'être expulsé. Même quand Valéria vint empaler Fujiko, le gode resta figé. Son ventre remua sous l'impulsion, menaçant d'un nouveau reflux, alors que Valéria enfonça sa queue dans sa chatte, imprimant sa verge sur le ventre, le déformant à nouveau. Fujiko poussa un long gémissement de plaisir intense, en extase.

« Prête ? »
-G...gnnouui !! Parvint t-elle à articuler, la bouche encore pleine.

Et sans aucune forme de ménagement, Valéria pilonna le corps de Fujiko, sa verge frottant le fond de son utérus, le col resserré sur la verge, déformant tout sous sur son passage, limant son corps sans pitié. Son ventre remua au rythme des coups, son corps tremblant, le foutre et l'eau remuant, la masse se mouvant dans un bruit de remous gluant, sans cesser de grossir, son ventre atteignant peu à peu des dimensions que Fujiko qu'elle n'avait jamais atteinte. Ses mains, caressant son ventre, étalant d'avantage le foutre sur elle. Elle se claqua le ventre, une claque sonore, les remous se répercutant sur tout son ventre et provoquant quelque gargouillis.

-HHHAAAANNWWW~~ P...PLUS ! HAN OUUUIIII !!! ENCORE !!!!

Elle n'était qu'une poupée, mais ça ne la dérangeait pas, elle atteignait des sommets d'extase jamais atteint, un ventre devenue si gros qu'il pourrait contenir un homme replier sur lui même. Elle atteignait une sorte de point de non retour. Au fond d'elle même, elle parvenait à s'en inquiété de la suite, qu'elle ne se contrôle plus. Mais le plaisir repris le pas, poussé par la présence de la succube et de ses phéromones, de ses fantasmes longtemps refoulé qui explosé.

La fille était à sa merci, complètement assujettie à ses désirs, ses pulsions, son plaisir. Ce n’était en cet instant plus qu’une accro au sexe intense et pervers, aux tentations anormales d’une inflation toujours plus conséquente qui étirait tant et tant non seulement son ventre mais tout ce qui l’entourait et offrait donc également une distension du clitoris qui se retrouva par-là même grandement sensibilisé. Un effleurement suffit au succube pour s’en rendre compte. Valeria n’avait plus qu’à jouer sa symphonie sur toutes ces cordes pour faire exploser Fujiko et en faire son esclave sexuelle.

Entre l’inflation, la pénétration totale et déformante, les sensations iniques de son utérus perforé et baisé pour la première fois et ainsi son clitoris ultra sensibilisé, elle allait la faire basculer sans difficulté. La noyer dans un plaisir qui pourrait la rendre folle si elle n’y prenait garde. Mais elle comptait bien y prendre garde. Cette petite était aussi intéressante qu’unique, et en plus une grande amie de sa fille si nouvellement acquise.

Lorsque la magie l’avait fait léviter, elle n’avait eu aucune réaction. Et quand Val l’avait empalée sur son membre bien trop épais pour son petit corps, elle avait juste failli jouir sur-le-champ. Sans parler du gode fiché en elle en plus du pommeau de douche qui continuait de la faire enfler comme une baudruche.

Valeria se déchaîna dans le ventre offert, frappa son corps contre le corps-cadeau. Les fesses claquaient fort contre ses hanches, la chatte dégoulinait de cyprine qui s’étirait entre elles en longs filaments visqueux. Le succube se pencha un peu plus quand Fujiko claqua elle-même son ventre. Les remous provoqués étaient très bizarres, les sensations uniques.

« -HHHAAAANNWWW~~ P...PLUS ! HAN OUUUIIII !!! ENCORE !!!! »

La fille n’en pouvait plus de plaisir. Les filaments brumeux qui se dégageaient d’elle étaient aspirés par le succube, nourriture délicieuse s’il en était, d’autant plus que son âme se délitait petit à petit, son avilissement à ses fantasmes la rendant encore plus accessible. Elle basculait de plus en plus et elle le faisait avec joie, s’avançant sans état d’âme vers le précipice de ses désirs animaux, purs, bruts.

Valeria la suivit, brutalisa son utérus encore vierge, laissa son énergie sexuelle la chauffer encore plus fort, son sexe gonfler en elle pour lui offrir une impression tellement totale d’envahissement que sa raison n’y survivrait que pour en redemander. Le sperme explosa en elle, ajoutant encore des phéromones de désir et de plaisir à son vase déjà trop plein, chaque giclée créant une vague aux effets dévastateurs sur son esprit bien plus encore que sur son corps.

Elle ne s’arrêta pourtant pas de la pilonner, toujours plus loin, plus fort, jouissant sans se priver à chaque fois que le plaisir la prenait mais maîtrisant parfaitement ses mouvements pour ne jamais faiblir. Elle entendait la fille crier, hurler de plaisir, son corps et son esprit tellement proches de la rupture. Valeria lui insuffla juste l’énergie nécessaire pour encaisser encore un peu, de manière à ce que son corps tienne plus que sa raison. Elle ne pouvait pas – ne voulait pas – la tuer, juste la soumettre, et suivait en cela les désirs qu’elle sentait émerger de son inconscient.

Bientôt, son corps serait plein, même son élasticité avait ses limites, et elle expulserait le trop plein d’eau par la bouche. Val espérait qu’elle serait soumise avant, mais se doutait que si ce n’était pas le cas, cette étape serait celle qui verrait sa capitulation totale et définitive.

Elle la ramena à elle, lui lécha l’oreille pendant qu’elle hurlait de plaisir.

« Je peux faire de ta vie un orgasme permanent. Je peux t’offrir la totale réalisation de tes fantasmes jusque dans leur moindre détail. »

Elle la fit jouir, prit son plaisir et en joua jusqu’à l’orgasme, continua à la faire grimper dans les strates, de plus en plus haut, progressivement, pour qu’elle ait conscience de ce qui lui arrivait.

« Regarde-toi… »

Elle lui offrit une vision mentale de la scène, son empalement en lévitation, son ventre affreusement enflé, son visage extatique, son corps dégorgeant comme il pouvait un peu de sperme injecta par une queue dont elle n’aurait même pas pu rêver les dimensions, du capharnaüm qui les entourait et du massacre total de la pièce sous leurs fluides. Et elle lui fit ressentir à quel point son plaisir était intense. La conscience de Fujiko confinait à la folie orgasmique. L’instant était critique, décisif.

« Tu peux avoir ça aussi souvent que tu veux. Tous tes désirs sexuels peuvent être assouvis. A n’importe quel instant. Dis juste : oui. »

Valeria jouit une nouvelle fois en elle, la submergeant de plaisir. Seule restait une infime lueur pour lui permettre de répondre, une minuscule flammèche au sein d’un tsunami.