The Multiversity

« Room service… »

Haru entre dans la chambre vide depuis un petit moment déjà. Habillé en soubrette, la tenue officielle de l’hôtel, il se demande encore comment il en est arrivé là. Une petite annonce, une incompréhension, et le voilà en train de remplacer une demoiselle en congés. Dans un sens il a de la chance, la tenue lui va assez bien… à part le sous-vêtement. Pourquoi est-ce qu’il était imposé ? Il préfère ne pas le savoir, et reprend le nettoyage de la chambre.

Quelques étages plus bas, Yukiko vient d’entrer dans l’hôtel. Réputé pour ses locations à l’heure dans l’après-midi, elle s’est arrangée un petit rendez-vous avec Tsukiko pour continuer de « faire connaissance ». En bref, elle a très envie de baiser.

« Bonjour, j’ai une réservation pour quelques heures au nom de Yukiko ! »

Elle est arrivée un peu en avance, et a prévu large côté temps de réservation. Son côté prévenant ! Elle a aussi prévu un petit sac plein de belles choses, allant du lubrifiant aux godes qui en auront bien besoin pour se frayer un chemin en profondeur. L’après-midi s’annonce parfaite !

Une fois les clés en main, direction l’ascenseur. Le type à l’accueil n’était pas des plus réveillés, lui a quand même parlé d’un cadeau ou quelque chose comme ça dans la chambre, mais peu importe ! Elle envoie un petit sms à Tsukiko, avec une photo de son décolleté :

« Chambre 69 ! Dépêche-toi ou je commence sans toi ! »

Elle ricane alors que le sms part et qu’elle arrive devant la chambre. Elle l’ouvre avec la carte, fait quelques pas et remarque… qu’il y a une femme de ménage qui cherche un truc ? Elle l’observe un instant, profitant de la jupe carrément trop courte qui ne cache rien de ce qu’il y a en dessous vu qu’elle est à quatre pattes… et ce qu’il y a en dessous… ça a l’air d’être un sacré service trois pièces ça… c’est ça le fameux cadeau ? En réalité non, il s’agit plutôt des préservatifs sur la table de nuit, mais elle s’en fout et décide de se manifester.

« Bonjour ! »

« Ah ! »

Une voix plus masculine que féminine arrive à ses oreilles, et Haru se relève un peu gêné.

« Déjà ? Je veux dire… désolé, la chambre est prête, je voulais juste récupérer mon badge. »

Trop mignon ! Yukiko sourit en dévorant du regard le jeune homme efféminé, le laissant finir ce qu’il fait. Elle en profite pour prendre une photo de sa culotte ne cachant pas grand-chose, et l’envoie à Tsukiko.

« Y’a un maid giga mignon et visiblement bien monté, je nous le garde au chaud ! Dépêche ! »

Et se dépêcher, elle espère que Tsukiko va le faire ! Car Haru a finalement récupéré son badge, ce qui veut dire qu’il va chercher à partir. Pas plus subtile que ça et le voyant aller récupérer un panier du côté du lit, Yukiko s’approche rapidement et fait mine de trébucher sur lui pour le faire tomber avec elle sur le lit. Le jeune homme a l’air un peu perdu, pas aidé par la poitrine écrasée contre lui et la main baladeuse entre ses jambes.

« Oh non, je suis si maladroite… je crois que je me suis fait mal à la cheville… vous voulez pas rester avec moi le temps que ma copine arrive s’il vous plait ? »

Haru se remémore les paroles du manager : faire ce que les clients demandent quand c’est possible, sinon… ! Il ne sait pas sinon quoi, mais il suppose que ça passe par un malus sur le salaire… et ça, ça serait très gênant vu le peu qu’il est déjà censé être payé. Et bon, elle a l’air gentille non… ?

« … d’accord je peux l’attendre avec vous, mais j’espère que ça ne sera pas trop long... »

Bordel ! Faut que je me magne ! Je vais être giga en retard si je ne me bouge pas le cul. Yukiko va me passer un savon... Attends... Il est où le problème du coup ?! Nah, pas le temps de déconner. J'ai merdé là. Mais je vous explique pourquoi c'est autant la merde.

En gros, aujourd'hui, c'est un peu le jour où on a prévu de "faire plus ample connaissance" avec Yukiko. À force de se tourner autour, fallait bien que ça arrive. Bon, je vous la fais courte sur le programme : de la baise, de la baise, de la baise et... faire l'amour. Ahah ! Vous ne l’avez pas vu venir celle-là ! Nah je déconne, c'est encore de la baise. Forcément, je suis excitée à l'idée de ce que j'attendais le plus depuis que je connais Yukiko. L'ennui, c'est que quand je dis que je suis excitée, c'est un peu dans tous les sens du terme en fait. J'étais déjà tellement chauffée au réveil que je n'ai pas pu m'empêcher de me masturber, me caressant et doigtant pendant beaucoup trop longtemps. Ça devait être une "branlette de dix à vingt minutes", c'est devenu un "soulagement de ma chatte humide d’une à deux heures". Je n’y peux rien aussi ! Situation oblige, je me suis imaginé et rappelé le corps superbe de Yukiko pour me stimuler et... bon bah ça a été trop efficace en fait. Maintenant, faut que je change mes draps et prenne une bonne douche.

J'ai à peine fini de refaire mon lit que je reçois un message de... ma partenaire de l'aprèm', dans le mille ! Elle est déjà arrivée et m'envoie même une photo de sa superbe paire de meules dans son décolleté pour me motiver. Argh... Je suis trop sensible à ces conneries. Mais elle a raison, faut que j'me presse ! Cela dit, coquine et provocatrice, je m'amuse à prendre une photo moi aussi, bien plus osée. Une belle vue en contre plongée de ma chatte encore un peu dégoulinante et de mes seins gonflés et pointant méchamment. Bon ça trahit non seulement que j'ai un chouïa commencé sans elle et que je suis encore chez moi mais je suis sûre que ça fera son petit effet. Maintenant, stop les conneries et go à la douche !

Douche terminée, petite tenue subtilement choisie pour l'occasion enfilée, petit sac avec des "au cas où" prêt, je file de chez moi un peu en trombe, pressée de passer l'aprèm avec la plus belle des créatures qui soit. Prenant une trottinette électrique pour arriver encore plus vite, je reçois un nouveau message en cours de route. Bordel ! On a un invité surprise ? Là j'suis gonflée à bloc. Putain, pourquoi il n’y a pas de nitro comme dans les séries et les films sur ces conneries ?! C'est trop lent !

J'arrive enfin à l'hôtel une quinzaine de minutes plus tard, peut-être un peu plus. Par chance, je commence à bien connaître le coin et quelques raccourcis. À peine arrivée, je laisse tomber la trottinette de location sur le sol et file aux ascenseurs sans même prendre le temps de passer à la réception. Pas le temps pour ces conneries. Je prends l'ascenseur, je vais à l'étage, je chope la porte 69 - le hasard fait bien les choses - et j'entre sans plus attendre. Et là, je tombe sur Yukiko déjà avec le "maid giga mignon et visiblement bien monté". Faisant semblant de bouder, je croise les bras sous ma belle poitrine, ce qui la met pas mal en valeur, et balance :

- Même pas tu m'attends pour t'amuser ! T'abuses Yukiko...

En attendant Tsukiko, il va bien falloir meubler et faire connaissance avec le charmant maid prêté par l’hôtel ! Alors Yukiko, comprenant bien que son manège de demoiselle en détresse n’allait pas tenir bien longtemps si elle tripotait le jeune homme efféminé, se dit qu’elle pourrait lui donner envie de rester de lui-même… alors, après avoir pris le temps d’échanger leurs prénoms…

« Regarde, c’est elle ma copine ! »

Elle sort son téléphone et lui montre une photo de Tsukiko, avant de se souvenir de celle qu’elle a reçu il y a quelques minutes. C’est avec un sourire malicieux qu’elle l’affiche une fois qu’elle est sûre qu’Haru regarde bien l’écran, commentant :

« Mignonne, et franchement délicieuse ! Avoue que ça donne envie non ? »

« Euh je… »

Haru a l’air un peu gêné, ne sachant pas vraiment quoi penser. La première photo montrait une fille très mignonne, et la seconde… disons qu’elle mettait en valeur autre chose, et qu’il sent la chaleur monter en lui. Ou alors c’est…

« … qu’est-ce que vous… ? »

Yukiko a de nouveau glissé ses mains sous la jupe du jeune homme, venant ‘vérifier le matos’ comme le dirait une certaine Megumi. Elle affiche un grand sourire, glissant sa tête sur l’épaule de l’employé de l’hôtel. Et c’est à ce moment-là que Tsukiko arrive ! Parfait !

« Tsuki chérie ! Coucou ! »

Yukiko se lève en bondissant, et vient saluer sa demi-sœur comme il se doit – comprendre par là qu’elle se jette à son cou et l’embrasse langoureusement, sa poitrine venant s’écraser contre la sienne au passage. Puis elle se tourne vers le garçon, qui a l’air de se demander s’il ne devrait pas en profiter pour filer.

« Je te présente Haru ! Il est adorable non ? »

« Euh oui… bonjour… désolé du dérangement, je vais vous laisser… ? »

La réponse arrive très vite, Yukiko enlevant le sweat qu’elle portait jusque-là. En dessous, un crop top qui a beaucoup de mal à contenir sa poitrine… et n’aide pas Haru à contenir son excitation.

« … enfin… je ne peux pas vraiment sortir tout de suite… »

Amusée, Yukiko murmure à l’oreille de Tsukiko :

« Je crois qu’il a une érection… et je lui ai peut-être montré la photo que tu m’as envoyée aussi, histoire de le motiver… »

J’ai à peine le temps d’arriver sur Yukiko vient me rouler une giga pelle. Ya pas à dire, c’est vraiment la préférée de mes sœurs. Je fais bien sûr prolonger le baiser, m’offrant même le luxe d’immédiatement l’attraper par le cul et le malaxer pendant notre échange. Elle me présente au mignon petit maid du nom de Haru.

- Il est carrément craquant oui ! J’aurais presqu’envie de l’adopter !

Je ris alors que Yukiko ne perd pas de temps à commencer à se déshabiller. J’admire son corps, me mordant la lèvre.

- Ça devrait être interdit d’être aussi canon que toi… Je vais finir par complexer…

Je glousse de rire pendant qu’Haru envisage de se tirer avant de revenir sur sa décision. Ce que ma chère amie me murmure à l’oreille me paraît soudainement des plus intéressants. Je continue de glousser et répond sans même murmurer :

- Ah oui ?! Faut que j’aille vérifier ça alors ! Mais pour l’heure…

Je regarde Yukiko dans les yeux, mes yeux laissant clairement comprendre le désir que je ressens, me faisant aguicheuse rien que dans cet eye contact.

- … tu sais que c’était une torture d’attendre toute la journée ? J’ai tellement envie de toi Yukiko…

Je tire sur son crop top, libérant par ailleurs sa poitrine et me jette dessus pour venir en lécher un téton, non sans lancer un regard vers le charmant jeune homme. En fait, je fais même en sorte qu’il voit bien ma langue venir lécher le téton durci, histoire de m’assurer de l’exciter encore plus. Puis, je le prends en bouche et le suce avidement pendant quelques secondes avant de m’arrêter.

- Toujours aussi délicieuse ~

Mais il est temps d’arrêter d’ignorer Haru ! Je me tourne vers le concerné et approche de lui, jouant faussement l’étourdie.

- Mais où avais-je la tête ? Je suis là, je saute sur Yukiko sans me présenter. Tsukiko ! Enchantée de te rencontrer !

Je me penche vers le garçon, lui offrant une superbe vue sur mon décolleté et l’embrasse sans plus attendre, savourant ses douces lèvres en allant à mon tour tâter de la marchandise. C’est qu’il a l’air d’avoir un beau paquet ! Ah… Je sens qu’on va bien s’amuser à trois… Après quelques secondes, je m’arrête mais reste face au jeune homme.

- Désolée si je parais brusque mais c’est comme ça qu’on dit bonjour par chez moi en… Slovaquie ! Je ricane un peu, amusée de ma connerie, et reprend : Ça a pas l’air très confortable en bas, peut-être qu’on peut t’aider ? On en a pas l’air mais on est de supers infirmières quand il s’agit de soigner les soucis de… champignons tout dur.

Je ponctue ma phrase avec un petit clin d’œil complice, me léchant les lèvres à l’idée de faire des choses bien lubriques avec ce garçon. Si je mouillais pas déjà à cause de ce matin, je le ferais maintenant à coup sûr vu ce qui me traverse l’esprit.

Haru ne sait pas vraiment où se mettre face aux deux femmes qui ont visiblement décidé de faire de lui leur partenaire de débauche. Est-ce qu’il est contre ? Non, pas vraiment… mais il ne peut pas s’empêcher de se demander s’il ne va pas se faire sucrer son salaire… une préoccupation qui disparait vite quand la Yukiko se retrouve les seins à l’air, un téton dans la bouche de son amante. Haru a bien du mal à ne pas profiter du spectacle, et pour sa défense il faut dire que le duo fait tout pour qu’il en profite !

« Aaah Tsuki, tu vas droit au but à ce que je vois… ! »

Yukiko glisse une main dans les cheveux de sa sœur tandis que celle-ci lèche son sein, son regard posé sur le jeune homme efféminé dont le sous-vêtement doit être au bord de la rupture. Et pourtant il arrive à garder ses mains sur ses genoux… quelle volonté de fer ! A sa place, Yukiko aurait déjà viré sa culotte pour se masturber face à elles ! Mais il va visiblement falloir un peu plus de motivation pour Haru, qui finit par se faire approcher par une Tsukiko tout aussi joueuse que sa demi-sœur.

« Enchanté au- »

Alors qu’il s’attend à une présentation tout en sobriété malgré la vue plongeante sur le décolleté offerte par Tsukiko, Haru a en réalité le droit à un long et sulfureux baiser accompagné d’une vérification du matériel. Il a un peu de mal à savoir où donner de la tête, d’autant que Yukiko est maintenant installée à côté de lui torse nue…

« Euh oui… non… enfin ce n’est pas grave… attendez, des infirmières… ? »

Yukiko glousse un peu en le voyant aussi perdu et désemparé face à elles. Trop mignon ! Il a certainement besoin d’un petit coup de pouce, alors elle vient remonter sa jupe de maid. Maintenant qu’elle a mieux en vue ce qu’il porte comme sous-vêtement, elle n’est pas si étonnée qu’il soit gêné : ce n’est clairement pas adapté à un garçon aussi bien membré que lui !

« Olala t’as vraiment pas l’air bien là-dedans ! Vite infirmière Tsukiko, je crois que nous allons devoir libérer cette belle bite et effectuer un bon pompage en règle ! »

Et pour l’encourager, elle vient lui donner une petite tape sur les fesses ! Et maintenant qu’elle y pense, pendant que Tsukiko s’occupe de cette vilaine culotte, pourquoi elle ne la débarrasserait pas de son haut à elle aussi ? Sa main vient se faufiler vers le bas du vêtement et elle le remonte lentement jusqu’à, à son tour, libérer sa poitrine.

« Il faut se mettre à l’aise… ! »

Le pauvre mignon garçon semble totalement paumé en se retrouvant avec nous. Il faut le comprendre, il n’avait sûrement pas prévu de se retrouver avec les deux bombes que nous sommes et dans une proposition de plan à trois où il est franchement le grand gagnant. Il y a pas mal de gens qui tueraient pour avoir sa place mais… mon petit doigt me dit qu’il est quand même très réceptif à cette chance qu’on lui donne justement. Et ce n’est pas sa bite en train de bander bien vénère qui me dira le contraire.

Yukiko joue le rôle de l’infirmière et je glousse de rire en l’écoutant. Elle est vraiment merveilleuse… On se complète vraiment parfaitement, c’est dingue ! Elle se saisit de mon haut et le retire, révélant mes sous-vêtements noirs et sexy à mes partenaires. Je souris à ma demi-sœur, répondant :

- Vous avez parfaitement raison Infirmière Yukiko ! Il est important d’être à l’aise pour effectuer un travail de qualité.

Et en parlant de libération, de se mettre à l’aise et tout, il reste un élément qui a besoin qu’on l’expulse de sa prison de tissu. Le pauvre Haru, que fait-il avec un sous-vêtement féminin d’ailleurs ? En tout cas, je tire dessus et son beau matos ne manque pas l’occasion de nous saluer. Je me mords la lèvre, l’attrapant et commençant une douce masturbation pendant que j’embrasse de nouveau le bel homme efféminé.

- Ne t’en fais pas. Je vais utiliser mon expérience pour extraire toute cette tension dans ton champignon.

Je me lève du lit et viens me mettre à genoux devant Haru, sa superbe bite face à moi, donnant déjà un petit coup de langue pour "goûter".

- Dans une volonté de vous satisfaire au maximum, nous proposons dans nos services une méthode douce et une autre plus intense, laquelle préférez-vous ?

Le pauvre doit sûrement très bien comprendre ce que je veux dire par là. Alors lui demande directement comment il compte se faire pomper, c’est peut-être beaucoup pour lui. Mais d’un côté, ça devrait l’aider à se mettre dans l’ambiance aussi de savoir qu’il conserve quand même du contrôle. Mais, finalement, il semble totalement buguer à l’idée de me répondre. Heureusement, Yukiko est là pour l’aider à choisir et propose l’option intense ! Elle est vraiment géniale, toujours là pour aider son prochain. Une bête d’infirmière !

- Ok ! Allons-y pour l’intense ! Il est vrai que le besoin d’extraction semble très urgent.

Je passe mes mains dans mon dos, retirant l’agrafe de mon soutif et libère définitivement ma belle poitrine aux yeux de mes deux amis. Bon, elle n’est pas aussi incroyable que sur un autre de mes corps mais elle n’est clairement pas timide pour autant. Et, soucieuse de vraiment commencé mon extraction intense, j’enferme bien rapidement le soldat au garde à vous entre mes seins, le masturbant avec en choisissant une pression assez forte et le bout qui dépasse, de son côté, finit dans ma bouche pour un combo fellation + branlette espagnol qu’Haru ne va sûrement pas être prêt d’oublier.

Haru ne sait pas vraiment où donner de la tête. D’un côté, une fille sexy… de l’autre, une fille sexy… et au milieu, lui, avec une érection qu’il ne contrôle pas du tout. Difficile de lui en vouloir : les filles sont déjà en train de se déshabiller et le toucher, celles-ci s’amusant à jouer les infirmières !

« Aaah… d-d’accord… »

Comme s’il allait dire non ! Particulièrement réceptif aux atouts des deux femmes, seule sa timidité pourrait donner l’impression qu’il doute. Et pourtant ce n’est pas le cas, car il n’a pas du tout envie de laisser passer une telle chance… et au pire, tant pis pour le boulot…

« Ça, on est très bonnes pour s’occuper de ce genre de problèmes. »

Yukiko ricane, fière de son double sens, alors que sa demi-sœur vient de libérer… la bête. Elle se lèche les lèvres d’anticipation. Elle avait vraiment l’œil pour dénicher les gros calibres ! Quelle chance de pouvoir partager ça avec Tsukiko ! Et d’ailleurs elle s’amuse de la voir proposer au jeune homme efféminé deux types de pompages… mais ça a l’air trop pour lui, dont l’afflux de sang a l’air vraiment très concentré au niveau du pénis. Ou alors il est du genre bien soumis… ?

« Il est trop à croquer Tsuki, faut pas y aller par quatre chemins ! Mets le direct dans le bain ! »

Et voilà comment Haru se retrouve dans la peau du garçon le plus aux anges de l’hôtel. Rapidement, sa queue finit entre la poitrine chaude de Tsukiko alors que son gland vient se loger dans sa bouche délicieusement accueillante…

« Merde Tsuki, j’aimerais tellement avoir une queue pour que tu me fasses ça… »

Yukiko sait qu’elle en aura l’occasion un jour où l’autre, mais elle ne peut pas s’empêcher d’être un peu triste que ce jour ne soit pas aujourd’hui ! Mais qu’à cela ne tienne, si sa sœur monopolise cette belle verge elle va en profiter pour faire travailler Haru et lui demander de la préparer à l’accueillir. Dans la pratique, ça veut dire qu’elle enlève son bas moulant et sa culotte avant de le pousser sur le lit et venir lui grimper dessus.

« Tu vas pas nous laisser tout faire quand même ! Tiens, lèche-moi ! »

Elle pose sa chatte luisante au niveau de ses lèvres et se penche vers Tsukiko pendant qu’Haru commence timidement son office. Il vient même saisir timidement ses fesses, comme s’il craignait sa réaction, avant de laisser aller à plus de vigueur. Son pénis réagit presque de la même manière, semblant avoir des petits sursauts comme s’il allait éjaculer mais sans le faire… pour le moment.

Yukiko vient poser son visage face à celui de sa sœur, plongeant son regard dans le sien pendant qu’elle suce l’épais membre. Un sourire sur son visage, elle ne résiste pas à l’envie de lui poser quelques questions…

« Alors, tu kiffes ? Tu crois qu’on arriverait à la gober en entière ? C’est un sacré morceau… hmff… et il se débrouille avec sa langue aussi… ! »

Si Haru semble avoir du mal à être parfaitement en réception de notre chaleur, sa queue, elle, fait beaucoup moins la timide et semble plus que ravie d’être sous mes attentions. Et il n’y a pas qu’elle d’ailleurs puisque Yukiko me regarde faire avec beaucoup d’envie et… de jalousie aussi. Je ricane, arrêtant de sucer le gland pour lui répondre :

- Yuki’… Le jour où tu en auras une, je te ferais bien plus que ça ~

Un petit clin d’œil coquin et je reprends mon entreprise, ne souhaitant pas délaisser ce pauvre jeune homme qui… n’a plus l’air si pauvre que ça. En réalité, il a l’air de commencer à pleinement assumer qu’il a envie de nous. Il ne cherche plus du tout à fuir et je peux sentir dans son regard qu’il prend déjà son pied sur le plan psychologique.

Seulement, Yukiko ne compte pas rester là à me regarder faire. De toute façon, elle est bien trop chaude pour rester sage. Alors, à défaut de m’avoir pour m’occuper d’elle, elle jette son dévolu sur le jeune homme qui se trouve bien rapidement allongé sur le lit à devoir lui faire un cunni’. Ça me rappelle de bons moments ça. Faut dire que j’ai particulièrement apprécié de bouffer la chatte de ma demi-sœur quand j’en ai eu l’occasion. Et si je n’étais pas déjà occupée à sucer, je me serais sûrement arrangée pour le faire encore aujourd’hui… comme c’était un peu prévu à la base en fait. Mais je ne regrette pas du tout l’imprévu d’avoir une belle bite pour nous deux ! Loin de là ! C’est encore mieux même.

En tout cas, Haru a l’air de vraiment apprécier le moment. Sa queue réagit à ce que je lui fais mais aussi ce qu’il fait à Yuki’, ayant attraper ses fesses pour bien la maintenir sur son visage. Clairement, il est totalement dedans maintenant ! Désormais, Yukiko et lui sont en position de 69 et moi, je continue de le branler avec mes seins. Je lance un regard plein d’intensité à ma demi-sœur, montrant que moi aussi, j’apprécie beaucoup l’instant.

À ses mots et sa petite question, je finis néanmoins par libérer le sexe de ma poitrine, venant finalement l’engloutir et lui infliger une superbe gorge profonde, quelques bruits bien pervers émanant de ma gorge. Je continue ainsi pendant encore quelques secondes avant de le relâcher, laissant la colonne pleine de ma bave en suspens pendant qu’elle demeure encore atteinte de soubresauts. Riant, je réponds finalement à ma sœur :

- Comme tu peux le voir, c’est faisable yep’ ! En tout cas, sa bite est vraiment délicieuse, je pourrais la sucer pendant encore un bon bout de temps. Mais… Peut-être que tu veux pouvoir la goûter toi aussi ?

Si jamais la réponse est oui, je pousse légèrement la verge vers elle pour qu’elle puisse plus facilement l’atteindre. Et si c’est non, et bien… Je me ferais un plaisir de continuer de m’en occuper !

Yukiko sourit, ravie. Elle espère bien que Tsukiko lui fera bien plus que ça le jour J… et d’ailleurs, l’inverse est vrai aussi ! Elle adorerait accueillir sa demi-sœur en elle… mais pour le moment c’est bien le pénis d’un inconnu qui a la chance d’être au centre de l’attention des deux demi-succubes, et il semble tout avoir pour les combler !

« Hmmm Tsuki… t’es trop excitante… »

La Seishi la regarde sucer et branler le pénis avec envie, envie décuplée par la langue d’Haru qui vient lui procurer bien du plaisir. Quel pied de voir une si belle verge glisser entre ses seins, étalant sa salive au passage… elle lui demande si elle se régale, ne doutant pas vraiment de la réponse, et si elle se sentait de la gober en entière. Une telle question appelle-t-elle vraiment une réponse ? Pas vraiment, plutôt une démonstration !

« A-aaaaaaah ! »

Derrière elle, ou plutôt sous elle, Yukiko entend Haru pousser un cri de plaisir quand Tsukiko vient prendre toute sa queue en bouche. Hop, disparue !

« Géniale, digne d’une infirmière professionnelle ! Tu gères ma Tsuki ! »

Toujours dans le petit jeu de rôle instauré quelques minutes plus tôt malgré la débauche de luxure, Yukiko rit un instant avant de voir la bite luisante qui lui est gentiment proposée. Il n’y a qu’une seule réponse possible à la demande de Tsukiko, et c’est oui !

« Et comment ! Une grosse bite couverte de TA salive, à quel moment je ne viens pas en profiter ? »

Ni une ni deux, la Seishi gobe à son tour la queue. Elle vient se glisser dans sa gorge, mais ça ne la dérange pas plus que ça - au contraire, elle reste ainsi durant de longues secondes avant de commencer à faire des mouvements de tête. Sous elle, elle sent qu’Haru la lèche beaucoup moins d’un coup… sans doute est-il un peu trop stimulé pour ça ! Elle finit par relâcher ce délicieux membre, souriant à Tsukiko.

« Trop bon ! Tu veux y aller en première ? »

Excitée, Yukiko n’a qu’une envie : chevaucher la verge, ou regarder Tsukiko le faire. Elle devrait même pouvoir lui lécher le clitoris si elles se positionnent bien… ou à défaut, venir l’embrasser et jouer avec ses seins. Et Haru dans tout ça ? Il pourra continuer de la lécher, ou de la doigter…