The Multiversity

De tous les cours enseignés à l’école, le cours de musique était sans doute celui qui était le plus mésestimé. Alors, quand ce cours était donné par une femme aussi belle que Helena Hansen, a fortiori une métisse célibataire, il fallait s’attendre à ce que beaucoup la suspectent de promotion-canapé. Hansen-sama était pourtant une très bonne professeure, qui aurait pu performer à un stade beaucoup plus élevé que son niveau actuel, si elle n’avait connu au cours de sa vie des difficultés conjugales. Son ancien petit-ami l’avait largué par peur qu'elle soit enceinte. Douée en musique, elle était ainsi devenue une professeure de musique, avec la ferme intention de ne plus jamais tomber amoureuse d'un homme.

Une promesse étant faite pour être rompue, Helena était tombée amoureuse de l’une de ses élèves, Aiko Tanaka. Timide et discrète, Tanaka-chan était une élève très douée, qui avait attiré l’attention de Helena quand elle l’avait vu pleurer lorsqu’elle avait fait écouter à ses élèves l’une des plus belles musiques classiques au monde, le Boléro de Ravel. Suite à cela, Helena avait vu chez Aiko une forte sensibilité, et une grande intelligence. Elle avait sans doute transféré en elle ses instincts maternels refoulés, et avait commencé à lui donner des cours privés. Aiko était une violoncelliste hors pair, promise à une grande carrière, mais ses parents dédaignaient son attrait pour la musique. Helena organisait donc des cours privés entre elles pour améliorer ses talents. Petit à petit, les deux s’étaient rapprochées, Aiko finissant par s’étonner qu’une professeure aussi belle préfère passer ses soirées avec elle plutôt qu’avec son mari. Helena avait fini par lui dire la vérité, et elles avaient fait l’amour.

Depuis, elles formaient un couple. Helena était autant sa mentor que son amante, et, si elle avait préservé la virginité intime d’Aiko, elles avaient eu l’occasion de faire l’amour régulièrement, et pour Helena d’explorer d’autres parties intimes de son corps, notamment ses fesses ou sa bouche. Elles faisaient bien sûr très attention, et Helena se montrait même assez sévère vis-à-vis d’Aiko en cours, une couverture parfaite pour lui faire massivement l’amour. Le Vendredi soir, c’était donc leur rituel. Helena faisait découvrir des musiques classiques à Aiko tout en lui faisant l’amour.

*Quelle composition je peux bien lui trouver ?*

Aiko venait aussi chez elle, et Helena s’amusait parfois à lui bander les yeux, et à la faire devenir une composition, en mettant en jeu des récompenses sexuelles. Tout allait donc dans le meilleur des mondes pour Hansen-sama…

…Quand la porte de son bureau s’ouvrit brusquement.

« Hey ?! Mais qu’est-ce qui vous prend ?! »

Face à elle, il y avait le concierge du lycée, Hattori Yasushi, un désaxé qu’on disait alcoolique, et avoir dans sa réserve quantité de magazines pornographiques. Si certains professeurs souhaitaient se débarrasser de lui, Helena, elle, se contentait de faire avec, refusant d’appliquer sur lui le traitement qu’on lui faisait subir. Particulièrement fébrile, Yasushi-san se rapprocha d’elle, et lui montra une vidéo enregistrée sur son téléphone portable. Pensant que quelque chose de mal avait pu arriver à Aiko, Helena oublia toutes ses précautions d’usage, et regarda la vidéo… Puis blanchit sur place.

*Ce sale porc…*

C’est cette pensée qui finit par remonter dans sa tête. Comme paralysée, Helena l’écouta parler sans rien dire, statufiée, sous le choc de la surprise. Elle ne pouvait imaginer que quelqu’un ait pu penser à la filmer ! Mais, quand, il mentionna Aiko-chan, Helena sortit de ses pensées. Son instinct maternel reprit encore une fois le dessus, à tel point qu’elle ne fit même pas attention à la blague salace de Yasushi. Helena se rapprocha de lui, menaçante.

« Si jamais tu compromets la carrière de Aiko-chan, je te tuerai, est-ce que tu m’as bien compris ? Je me fous de ce qui peut m’arriver, si je dois passer ma vie en prison pour ça, mais je t’interdis de menacer Aiko-chan ! »

Aucun doute possible sur le fait qu’elle transférait. Plus fort que tout le reste, l’instinct maternel avait pris le dessus.

« Dire que j’étais l’une des rares à prendre votre défense… Finalement, tout ce qu’on dit sur vous est fondé… Un pervers impuissant qui menace les filles. »

Elle le provoquait, bien sûr, autant pour se défouler que pour l’amener à s’énerver. Elle le vit déboutonner son pantalon. Helena avait peu d’éléments de comparaison, le seul pénis qu’elle ait jamais vu de sa vie était celui de son ancien conjoint, et celui de Hattori-san était énorme en comparaison, ce qui rappela à Helena ces fois où elle utilisait un strap-on pour sodomiser Aiko-chan.

« C’est… C’est tout ? Vous croyez vraiment que je vais sucer votre petite queue ? Reprenez vos esprits, Hattori-san, je pense que vous avez dû trop boire. »

Elle feignait l’indifférence, mais ses yeux l’avaient trahi en fixant un peu trop longuement sa queue.

Une chose est sûre, il allait falloir hausser le ton…

En le provoquant, Helena aurait presque espéré qu’il s’énerve, et qu’il la frappe. Avec des coups, elle aurait pu le faire tomber… Mais ce porc répugnant était plus malin que ça. Il s’imposa par son physique, mais opta pour lui rappeler que, si elle ne faisait pas ce qu’il demandait, il mettrait la pression sur Aiko-chan. À cette idée, les yeux de Helena s’écarquillèrent brièvement. Il suffisait de lire sur son visage pour savoir que Aiko-chan était son point faible. Elle était la femme dont Helena était amoureuse, tout simplement. Elle qui avait toujours consacré sa vie à sa carrière professionnelle, elle avait vu chez Aiko-chan le substitut à sa vie sentimentale inexistante, elle était autant sa petite-amie que sa fille.

*J’ignore comment ce sale pervers a su pour moi et Aiko-chan, mais c’est de ma faute. Sois lucide, Helena, même si tu le dénonces, cela éclaboussera Aiko.*

Certes, cet homme tombera… Mais elle aussi. Oh, en soi, Helena pouvait tout à fait accepter de renoncer à sa carrière professionnelle pour Aiko, mais, outre le fait que leur relation risquait d’être connue, Helena pensait encore être indispensable pour aider Aiko à exploiter pleinement son potentiel. Elle avait un talent indéniable, et il était trop tôt pour que Helena l’abandonne. C’était donc à elle d’assumer. Cette conclusion s’instaura en elle tandis que, devant elle, Yasushi continuait à la narguer. Helena se fit aussi à l’idée que ce type devait être un grand frustré, le genre à se palucher dans les petites culottes d’adolescentes, ou en regardant des films pornos. Autrement dit, elle pensait pouvoir le faire jouir vite, et en finir au plus vite. Elle n’aurait ensuite qu’à se laver, prendre un bon bain de douche, et espérer qu’il ne revienne plus jamais… Ce qui était assurément un vœu pieux. Helena était évidemment au courant de ses formes généreuses. Elle avait eu un homme dans sa vie, elle savait donc comment les hommes fonctionnaient. Serrant nerveusement le poing, Helena regarda Yasushi avec dégoût et mépris.

« Je ne sais pas comment vous avez eu ces vidéos, Hattori-san, mais vous avez raison sur un point… C’est ma faute, et Aiko-san ne doit pas être impliquée. Contrairement à vous, elle a un avenir merveilleux. Je suis prête à sacrifier ma propre carrière s’il le faut pour la protéger, alors je vous déconseille de trop jouer avec mes nerfs ! »

Face à un pervers frustré comme lui, il ne fallait jamais paraître trop faible, ou il en profitera. Elle se rapprocha donc de lui, et soupira lentement en voyant son sexe. Elle s’était trahie tout à l’heure, mais, en le voyant à nouveau, elle se rappela du sexe en érection de son ancien amoureux… Et elle devait bien admettre qu’il y avait une certaine forme d’injustice dans le monde.

*Ce salaud a quand même une sacrée queue… Avec un peu de chance, il va juter vite. »

Elle s’agenouilla devant lui.

« Je vais le faire. Ensuite, toi et tes vidéos, vous disparaîtrez de ma vie. Je te paierai même ton alcool, si tu peux te noyer dedans. »

Proche de son sexe, elle grimaça devant son odeur… Sale, répugnant ! Helena ferma les yeux en pensant à Aiko-chan, à son sourire, et se convainquit que son sacrifice allait la servir. Elle inspira longuement, puis posa sa main sur le sexe de l’homme. Sa queue se redressa un peu, et elle s’en approcha timidement, ouvrant la bouche. Elle le glissa alors, et commença à le sucer… Sans trop s’aventurer, non seulement parce qu’elle trouvait cela dégoûtant, mais aussi parce que… Eh bien, sa queue était vraiment grosse !

Malheureusement, il semblait bien que Helena n’avait pas de chance, et que Yasushi était aussi pervers qu’endurant. Il lui confirma n’avoir pas lavé son sexe en anticipant ce moment, et Helena grommela. Le fait est que sa queue puait, effectivement. De base, un pénis ne sentait jamais très bon, mais l’odeur était assez forte. Helena, qui avait une hygiène irréprochable, et qui faisait attention à elle, ne put que maudire intérieurement ce porc. Elle espérait le faire jouir vite, en comptant sur le fait qu’il était fébrile et très excité… Quand elle avait sucé son ancien compagnon, il jouissait toujours vite. Et, quand elle sentit les mains de Yasushi sur sa tête, Helena écarquilla les yeux. Surprise, elle sentit alors ce dernier donner un coup de reins tout en plaquant ses mains sur sa tête, ce qui fit que sa verge s’enfonça brusquement dans sa bouche, déformant ses lèvres, avant de taper contre sa glotte, puis de s’enfoncer dans sa gorge.

« Gllllppp… !! » gémit Helena.

De manière à éviter qu’elle ne vomisse sur sa queue par réflexe nauséeux, Yasushi se retira brusquement. Helena éternua alors, fort logiquement, tout en se massant la gorge.

« Kof ! Kof ! »

Elle éructa également, et sentit des larmes lui monter aux yeux. Elle les essuya donc, puis se retourna vers lui.

« Tu veux que je m’étouffe sur ta queue ou quoi ?! Et je t’ai déjà dit de ne pas parler d’Aiko-chan ! Le seul fait d’entendre son nom dans ta bouche de sale pervers, c’est un affront ! »

Le fait qu’il ait insulté Helena était à ses yeux plus acceptable que d’évoquer Aiko. Elle sentait la nervosité de l’homme, et elle ne voulait pas que la situation se complique. Ceci conduisit donc Helena à se redresser un peu. Elle se racla encore la gorge, et posa sa main sur la verge de Yasushi.

Rougissant légèrement, Helena croisa le regard de l’homme, et joua franc jeu :

« Si ça peut flatter ton égo de primate, oui, tu as une grosse queue… Le seul homme que j’ai jamais sucé de ma vie était un lâche qui s’est barré en me mettant en cloque, donc tu excuseras mon inexpérience en la matière ! Et lui jouissait plutôt vite… Toi, j’imagine que tu dois aller aux putes. »

Helena souffla encore, et se rapprocha encore. Elle reprit la queue de l’homme dans sa bouche, et soupira ensuite. Il fallait surtout penser à respirer par le nez, car, effectivement, la verge de l’homme était si grosse qu’elle l’étouffait. Helena ferma les yeux, et remua d’avant en arrière, enfonçant cette queue en elle.

Elle y allait assez lentement, le temps d’adapter son rythme, et préférait fermer les yeux, pour ne pas croiser le regard de ce pervers qu’elle suçait… Ni qu’il puisse croiser le sien, car il aurait alors noté que le regard vindicatif d’Helena se voilait un peu. Helena savait que les femmes étaient plutôt hostiles aux fellations, mais, de fait, elle s’était initiée comme ça au sexe. Elle, elle avait toujours eu peur d’avoir mal à l’idée qu’un pénis rentre en elle, donc, pour se familiariser, elle avait longuement sucé son petit-ami… De plus, cela n’impliquant pas la destruction d’un quelconque hymen, Helena pouvait se dire que ce n’était qu’un galop d’essai. Elle avait donc pris goût à l’époque à ça, et elle devait bien admettre qu’il était très plaisant de voir son ancien partenaire gémir devant elle, devenir rouge, et la regarder comme si elle était une Déesse. De ce fait, les jouissances rapides de son partenaire avaient toujours été frustrantes.

Helena s’efforça de ne pas penser à ça, et déplaça l’une de ses mains, pour caresser et gratter les testicules de l’homme. Elle savait que les hommes aimaient ça, et, même si elle aimait une fellation, le dégoût qu’elle vouait à Yasushi faisait aussi qu’elle avait vite envie de le faire jouir…

« Hmmm-mmmhmmm… » gémit-elle alors, forçant un peu ses gémissements, en se disant que cela allait flatter d’autant l’égo de Yasushi…

Si seulement Yasushi jouissait vite… Le malheur voulait vraiment que les hommes les plus pervers soient montés comme des taureaux ! Tout ce qu’il disait lui était insupportable, et, comme il savait où frapper, Yasushi ne se gênait pas à évoquer Aiko. À chaque fois qu’elle entendait le prénom de son amoureuse dans la bouche de ce pervers mal fagoté, Helena avait des envies de meurtre, des pulsions violentes qui l’envahissaient. Si Yasushi avait bien compris quelque chose, c’est que Helena était prête à tout sacrifier pour protéger Aiko. C’était là l’expression de tout l’amour d’Helena envers Aiko, et de ce transfert psychologique qu’elle avait fait, en considérant Aiko comme sa propre fille. Helena n’avait après tout pas d’enfants, et avait donc en elle un désir maternel contrarié. Elle était aussi une femme qui avait essayé de se convaincre qu’elle était lesbienne, et que sa vie lui convenait comme ça… Mais Yasushi débarquait avec toute sa grossièreté, sa brutalité, et cette grosse queue insatiable qui remplissait la bouche d’Helena, symbole phallique d’un marteau-piqueur qui venait percer les murs de ses convictions et de ses croyances.

« Hmmm… »

En fermant les yeux, Helena imaginait que l’homme qu’elle suçait était quelqu’un d’autre que ce porc venu la provoquer. Elle s’imaginait un homme aimant, le mari idéal, le gendre parfait, celui qui aurait pu être le père d’Aiko… Helena soupirait lentement, et commençait à bien s’appliquer. Elle ne se contentait pas de suçoter la pointe de la queue de son amant, mais caressait ses testicules, et s’enfonçait. Cependant, c’était son inexpérience sexuelle qui s’exprimait. Elle avait déjà sucé, oui, mais son petit-ami jouissait bien plus vite que Yasushi. Néanmoins, Helena avait toujours aimé le sucer. C’était moins violent qu’une pénétration classique, chose qui lui avait toujours fait un peu peur, et… Sans doute ne devrait-elle pas le dire, elle avait peur de se trahir, mais elle adorait quand son petit-ami se relâchait dans sa bouche. Forte de convictions liées à ses parents et à la sacralisation du mariage au Japon, Helena était d’ailleurs toujours vierge. Elle avait refusé que son petit-ami la pénètre avant le mariage, et, comme ils avaient rompu avant…

Helena soupira quand les mains de Yasushi se raffermirent sur son crâne, et qu’il prit les choses en main.

« Mmmhmmm… !! »

Elle écarquilla les yeux, et sentit l’homme se redresser, puis remuer plus fortement en elle. Quand sa queue s’enfonça dans sa bouche, et qu’il amplifia le rythme, Helena gémit encore, mais rougit aussi. Sa main glissa entre ses cuisses, et, en sentant une inexplicable chaleur croître dans son bas-ventre, elle se masturba à travers sa culotte. Elle sentit rapidement cette zone s’humidifier, et constata sans aucun doute possible qu’elle mouillait.

*Par tous les kamis, non… C’est si bon, bordel… !!*

Si elle s’écoutait, Helena se devait bien d’admettre que ce que Yasushi faisait était divin. Elle adorait sentir cette queue lui torpiller la bouche, cet homme grogner contre elle, exprimant toute cette domination masculine, toute cette sauvagerie sexuelle. Les pulsions de son corps la trahissaient, ses fantasmes refoulés se confrontaient à sa conscience. À nouveau, elle visualisa dans sa tête l’image d’un mur, un mur qui devenait une digue submergée par des vagues de désir, et par ses doigts qui se masturbaient… Et, quand Yasushi jouit enfin en elle, et que Helena goûta à nouveau au foutre d’un homme, elle se mit à jouir. Elle savait que la plupart des femmes trouvaient ça répugnant, le fait de se soumettre, de sucer une queue puante, et d’avoir ce truc gluant qu’était le sperme… Mais Helena, elle, elle adorait ça ! Elle était bien incapable de dire pourquoi, mais c’était aussi pour ça que son ancien copain n’avait jamais été plus loin. Elle le suçait jusqu’à ce qu’il jouisse fort, et il était ensuite rassasié. Mais lui, Yasushi… Dieu, qu’il en avait à revendre ! Il jouit longuement, et Helena gémit encore, le sentant s’abandonner en elle, longuement…

…Et, quand il eût terminé, Helmena se retira, et éternua alors, en se caressant la gorge. Son autre main était trempée, et elle serra le poing. Les joues rougies, elle le fusilla encore du regard.

« T’es malade, ou quoi ? ! Tu aurais pu m’étouffer !! »

Yasushi l’attrapa alors par les poignets, et la releva, avant de la retourner.

« Lâche-moi, on avait pas prévu ça ! Ne me dis pas que tu en veux encore, après tout ce que tu as juté ! »

Helena essaya de se débattre, mais ses mouvements manquaient de conviction. Elle n’arrivait pas à croire que Yasushi était encore en désir ! Est-ce qu’elle lui plaisait vraiment ? Elle sursauta quand il malaxa l’un de ses seins, et se mordilla les lèvres, se retenant de gémir. Non, non, elle ne devait montrer aucun signe, ou ce sale porc en profiterait ! Mais, tandis qu’il malaxait l’un de ses seins, elle le sentit approcher son autre main de sa culotte, qui était trempée… Helena attrapa alors le poignet de Yasushi, le retenant.

« N-Ne me touche pas là, tu… Tu n’as pas le droit, sale porc ! Fous le camp, on a fait ce que tu voulais, et disparais, je… Je ne veux pas de toi ! »

Helena insistait, essayait de l’énerver, pour qu’il s’en aille… Mais elle sentait contre ses fesses le renflement de sa queue… Et sentit ses doigts filer sous sa culotte. La main d’Helena perdit alors de sa contenance, et elle se mordilla fort les lèvres, même s’iul pouvait désormais sentir que la zone était humide… Et que Helena continuait à mouiller. Elle rougit encore plus, sentant la honte l’envahir. Son corps continuait à la trahir, et elle n’arrivait pas à empêcher cela !