Resh'an et Aephorul
D’innombrables millénaires plus tôt lorsque la réalité du rayon jaune n’était qu’une unique ligne temporelle, existait deux associés du nom de Resh’an et de Aephorul. Deux alchimistes et amis travaillant dans l’élaboration de l’Élixir de Vie afin de conquérir la fatalité de la mort et ouvrir la voie vers des possibilités infinis. Ils parvinrent à le créer et ainsi ils acquirent l’immortalité mais à un prix : Leurs corps se délabrèrent au fil des siècles jusqu’en être défigurés, les condamnant à jamais à se dissimuler sous des tenues ou des robes complètes. Leur soif mutuel d’entretenir leur réalité et à continuer leurs recherches durèrent encore de nombreux siècles jusqu’au jour où l’influence des Grand Anciens accéda au rayon jaune.
Aephorul devenu aigri face aux créatures et êtres vivants mortels, affligé par narcissisme qui englouti tout once d’empathie, entendit l’appel des Grand Anciens qui voyait comme ses égaux. Après tout il avait la vie éternelle et via ses recherches en fit un créateur d’abominations semant la destruction dans les premiers mondes qu’il visita. Il avait tant de pouvoirs mais accepte le « cadeau » de cette influence pour devenir le Fleshmancer.
Resh’an ne se laissa pas influencé et résista avec détermination à cette présence qui contaminait cette réalité à une vitesse phénoménale. Ça et les exactions d’Aephorul contraint l’alchimiste immortel à utiliser la fiole du temps. Avec cet artefact conçu de sa main et contenant les sables du temps, il créa une prouesse d’alchimie sans précédente. Il brisa la ligne temporelle en d’incalculables réalités alternatives pour ralentir cette influence. Un effort qui réussi avec la progression considérablement ralentie.
À ne pas s’y méprendre : Resh’an et Aephorul sont en conflit. Len revanche, leur immortalité commune rend toute guerre impossible. Ils sont impossible à tuer et leurs puissances détruiraient un monde à la fois jusqu’à ne laisser aucune vie à tourmenter pour le Fleshmancer. Un « code de conduite » fut décidé avec des règles strictes. L’un déployait ses monstrueuses créations tandis que l’autre agissait pour créer des combattants capables de les affronter. Et aussi pour étudier les innombrables lignes temporelles pour trouver une solution à la menace planant sur le Multivers. Ainsi, depuis 10 millénaires jusqu’à nos jours, leur guerre est devenue un jeu d’échec perpétuel… sans fin.
Luana et Solen, les Dieux Gardiens du rayon jaune
Dans son effort pour préparer les multitudes de réalités, Resh’an connaissait la prophétie des Dieux Gardiens. Lorsque le rayon jaune naquit les divinités Luana et Solen donnèrent vie à chaque monde en apportant le soleil et la lune. Le cycle du jour et de la nuit comme equilibrium fondamental de l’existence. Cet équilibre donna aussi naissance à la magie lunaire comme solaire en de rares individus naissant avec une affinité à la magie. Il est ainsi dit qu’un jour deux personnes au talent exceptionnel pourraient un jour, peut-être, s’élever au-delà de leurs origines humaines et devenir l’essence même de Luana et de Solen. Une transfiguration divine. C’est dans un monde sans nom que la prophétie se réalisa lorsque deux guerriers, Valère le moine de combat et Zale le danseur de lame, entreprirent une aventure pour combattre les forces d’Aephorul et délivrer leur monde de sa menace pesante. Après nombreuses batailles ils découvrirent leur plein potentiel et s’élevèrent comme Dieux Gardiens en charge de parcourir le rayon jaune et le protéger d’Aephorul comme pour l’influence des Grand Anciens qui ne cesse sa marche pour pervertir toute existence.
Le rayon jaune ?
C’est tout simplement une proposition où il s’agit du rayon orienté vers les univers RPGs et JRPGs de par sa plus grande étendue dans l’Arc-en-ciel.
D’innombrables millénaires plus tôt lorsque la réalité du rayon jaune n’était qu’une unique ligne temporelle, existait deux associés du nom de Resh’an et de Aephorul. Deux alchimistes et amis travaillant dans l’élaboration de l’Élixir de Vie afin de conquérir la fatalité de la mort et ouvrir la voie vers des possibilités infinis. Ils parvinrent à le créer et ainsi ils acquirent l’immortalité mais à un prix : Leurs corps se délabrèrent au fil des siècles jusqu’en être défigurés, les condamnant à jamais à se dissimuler sous des tenues ou des robes complètes. Leur soif mutuel d’entretenir leur réalité et à continuer leurs recherches durèrent encore de nombreux siècles jusqu’au jour où l’influence des Grand Anciens accéda au rayon jaune.
Aephorul devenu aigri face aux créatures et êtres vivants mortels, affligé par narcissisme qui englouti tout once d’empathie, entendit l’appel des Grand Anciens qui voyait comme ses égaux. Après tout il avait la vie éternelle et via ses recherches en fit un créateur d’abominations semant la destruction dans les premiers mondes qu’il visita. Il avait tant de pouvoirs mais accepte le « cadeau » de cette influence pour devenir le Fleshmancer.
Resh’an ne se laissa pas influencé et résista avec détermination à cette présence qui contaminait cette réalité à une vitesse phénoménale. Ça et les exactions d’Aephorul contraint l’alchimiste immortel à utiliser la fiole du temps. Avec cet artefact conçu de sa main et contenant les sables du temps, il créa une prouesse d’alchimie sans précédente. Il brisa la ligne temporelle en d’incalculables réalités alternatives pour ralentir cette influence. Un effort qui réussi avec la progression considérablement ralentie.
À ne pas s’y méprendre : Resh’an et Aephorul sont en conflit. Len revanche, leur immortalité commune rend toute guerre impossible. Ils sont impossible à tuer et leurs puissances détruiraient un monde à la fois jusqu’à ne laisser aucune vie à tourmenter pour le Fleshmancer. Un « code de conduite » fut décidé avec des règles strictes. L’un déployait ses monstrueuses créations tandis que l’autre agissait pour créer des combattants capables de les affronter. Et aussi pour étudier les innombrables lignes temporelles pour trouver une solution à la menace planant sur le Multivers. Ainsi, depuis 10 millénaires jusqu’à nos jours, leur guerre est devenue un jeu d’échec perpétuel… sans fin.
Luana et Solen, les Dieux Gardiens du rayon jaune
Dans son effort pour préparer les multitudes de réalités, Resh’an connaissait la prophétie des Dieux Gardiens. Lorsque le rayon jaune naquit les divinités Luana et Solen donnèrent vie à chaque monde en apportant le soleil et la lune. Le cycle du jour et de la nuit comme equilibrium fondamental de l’existence. Cet équilibre donna aussi naissance à la magie lunaire comme solaire en de rares individus naissant avec une affinité à la magie. Il est ainsi dit qu’un jour deux personnes au talent exceptionnel pourraient un jour, peut-être, s’élever au-delà de leurs origines humaines et devenir l’essence même de Luana et de Solen. Une transfiguration divine. C’est dans un monde sans nom que la prophétie se réalisa lorsque deux guerriers, Valère le moine de combat et Zale le danseur de lame, entreprirent une aventure pour combattre les forces d’Aephorul et délivrer leur monde de sa menace pesante. Après nombreuses batailles ils découvrirent leur plein potentiel et s’élevèrent comme Dieux Gardiens en charge de parcourir le rayon jaune et le protéger d’Aephorul comme pour l’influence des Grand Anciens qui ne cesse sa marche pour pervertir toute existence.
Le rayon jaune ?
C’est tout simplement une proposition où il s’agit du rayon orienté vers les univers RPGs et JRPGs de par sa plus grande étendue dans l’Arc-en-ciel.