The Multiversity

Shakmira fais partie d’une des îles du royaume que très peu de mortel AUX approcher car il s’agit d’un territoire que le Panthéon a vu le revendiquer pour leur plaisir, étant libre d’autoriser l’accès à qui il voulait les cavaliers et les deux dieux avaient réussi à mettre en place une villa en bordure de la mer, splendide avec des allures orientales. Mais les entités démoniaque et divine ne sont pas indissociables les unes des autres, chacun mener son petit train-train dans le royaume et aujourd’hui c’était un jour particulier car Aphrodite qu’Evaldril avait pu rencontrer. Il y a quelques siècles en termes de création. Elle était bien plus ancienne que lui, mais depuis son physique avait changé, et c’est accompagné du roi des cavaliers Lucifer, qui les étaient prêts à la recevoir.

Lucifer et Evaldril était vêtu d’un bas uniquement, laissant apparaître leur musculature reposante au niveau du torse, alors que tous les deux, ils étaient en train de se prélasser aux abords du bassin, une brise chaud, alors que les bibelots de pierres précieuses viennent chanter pour signifier l’arrivée d’une divinité. Evaldril se redresse avant de se retourner vers l’entrée de la bâtisse pour voir deux silhouettes apparaître et reconnu cette plantureuse déesse de l’Olympe de venir hausser un sourcil en voyant la petite blondinette à côté d’elle

EVALDRIL - Aphrodite… pour la bien longtemps que nous nous sommes croisés. Je suppose que je ne te présente pas mon colocataire du Panthéon.… Lucifer…

Celui-ci tourne aussi la tête avant de lécher ses canines, n’étant pas du genre à venir faire des courbettes à une divinité, car le seul qui était en mesure de le museler était juste à côté de lui. Le dieu finit par sortir de l’eau alors que Lucifer vient s’asseoir sur le rebord exposant son corps, ni l’un ni l’autre, ne pouvait envier la plastique. Il y avait simplement 10 cm d’écart entre les deux et ça ne rendait pas moins dangereux, Lucifer, le dieu du crépuscule s’avance vers la divinité Pour passer un bras derrière sa hanche et viens l’embrasser à pleine bouche pour finir par la relâcher avant de prendre entre ses doigts, la mâchoire de la petite blonde qui l’accompagne

EVALDRIL - alors belle Déesse, que nous ramènes-tu…?

Aphrodite pouvait constater qu’il n’avait rien à voir avec le dieu du crépuscule qu’il était, il y a plusieurs siècles le plus tôt, à cette époque, il ressemblait plutôt à un jeune adulte, si on devait comparer cela à une vie de mortelle, mais maintenant son charisme n’avait plus rien à voir

Portant sa désormais traditionnelle robe chinoise dorée, Alice était sur un bateau qui accostait la petite île de Shakmira. Sa mère, Aphrodite, lui avait proposé de passer des vacances ici, à Lustoria. Si Alice avait déjà entendu parler de ce royaume insulaire autonome, elle n’avait encore jamais eu l’occasion d’y aller. L’occasion était trop belle, et elle était donc venue en compagnie de sa famille, à savoir son époux, Melendil, et leurs deux enfants, Aerin et Erwan. Mélinda, son éternelle amie, avait également profité de l’occasion pour l’accompagner. Aphrodite souhaitait néanmoins qu’Alice vienne seule à Shakmira, car l’île avait un caractère sacré au sein de Lustoria. C’était ici qu’on trouvait le panthéon de Lustoria, deux divinités masculines qui veillaient sur l’archipel. Alice avait accepté, consciente que sa mère devait sûrement chercher un quelconque intérêt dans cette situation. Sa mère cherchait à étendre son influence et son pouvoir. Elle devait donc probablement chercher à forger une alliance avec les dieux de Lustoria.

Alice rejoignit donc le quai de la villa offerte à Aphrodite, où deux des cinq Princes de Lust, Servaney et Gareth, l’attendaient. Alice connaissait naturellement la Main d’Aphrodite, elle avait déjà été leur amante. Le voilier piloté par Servaney les amena ensuite à Shakmira.

« On rejoint la villa ?
- C’est le seul point d’entrée à Shakmira », expliqua Servaney.

La jeune Reine acquiesça, puis vit le bateau rejoindre une entrée. Ils passèrent à travers un petit tunnel qui les approcha des bassins. Alice descendit, et sourit en voyant sa mère.

« Mère !
- Bienvenue, ma chérie ! »

Elles s’enlacèrent, et s’embrassèrent avec saveur. Alice sourit à sa mère, et se lova contre elle.

« Je suis navrée de ne pas t’avoir accueilli à la villa, mon cœur.
- Ce n’est pas très grave, j’ai supposé que tu devais être occupée ici.
- On peut dire ça, oui… »

La villa était magnifique, très grande, s’enfonçant dans la montagne pour remonter sans doute jusqu’au sommet de la petite île. Tenant la main d’Aphrodite, Alice rejoignit les bassins. La Croix de Sylvandell vibrait contre elle. Cet objet était un petit artefact en forme de croix draconique qui pendouillait au bout d’un collier. C’était un pendentif magique, une relique sacrée à Sylvandell, qui protégeait Alice et réagissait à la présence de la magie. Tandis qu’elle sentait le souffle du vent marin sur ses cheveux, Alice rejoignit les bassins, et vit deux hommes, qu’Aphrodite lui présenta rapidement. L’un était Evaldril, l’un des deux Dieux de Lustoria, et l’autre s’appelait Lucifer, et était l’un des Quatre Cavaliers de Lustoria, qu’Aphrodite résuma comme étant plus ou moins l’équivalent des Anges, soit des intermédiaires entre les Dieux et les humains.

Alice frémit doucement en les voyant se rapprocher. Ils étaient torse nus, exhibant leurs muscles saillants. Alice vit Evaldril se rapprocher, et embrassa Aphrodite, qui frémit doucement contre lui. La petite tête blonde rougit délicatement, et soupira quand le Dieu caressa sa joue, glissant sur sa mâchoire.

« Je m’appelle Alice Korvander, Seigneur, je suis la Reine de Sylvandell, mais aussi la fille de la Déesse Aphrodite.
- Je mourrais d’envie de te la présenter, Evaldril… À toi, ainsi qu’aux autres, bien sûr. Evaldril est un Dieu que j’ai eu l’occasion de côtoyer il y a fort longtemps, Alice, je suis donc très heureuse de le revoir. »

Alice l’observa lentement, les yeux frémissant de désir, confirmant qu’elle était elle aussi très heureuse de les voir…

Les présentations étaient donc faites. Le crépuscule du royaume était ravie de voir qu’il est en présence d’une petite reine la chair dAphrodite c’est vrai qu’il y avait un air de ressemblance et c’est autour de Lucifer de venir à la rencontre des jeunes femmes, il vient embrasser, sans, aucune pudeur, il y avait aucune raison qu’il s’incline devant cette il était mettre de lui-même, c’était le prince des enfers, le roi des cavaliers. Le crépus avait toujours la mâchoire de la petite entre ses mains et vient passer son pouce sur ses lèvres pour venir lui offrir la bouche, bouche et appuyer sur sa langue en faisant approcher son visage du sien.

EVALDRIL - C’est donc ta petite fille… tu sais très bien ce qu’il va se passer si tu m’emmènes une beauté comme ça dans la fleur de l’âge, j’espère que tu comptes rester un peu au royaume quelques jours… Et toi petite fleur, laisse-moi Lucifer être guide pour cette journée, et je pense que tu peux te passer dans la présence de ta mère, d’ailleurs Aphrodite, je crois que Uldril mon frere souhaite te voir… il se trouve dans le salon de l’Ouest, et ne t’en fais pas, on garde un œil sur ta petite beauté

Evaldril aurais bien aimé rester avec Aphrodite pour se remémorer le bon vieux temps et lui montrer à quel point il avait pu changer en tout. Mais son frère l’Aurore de Lustoria avait aussi ce projet. De son côté, il avait du mal à venir s’intégrer avec les quatre cavaliers car il savait que si tous les quatre se mettait contrôlé, il n’aurait jamais jamais le dessus. Et c’est peut-être cette chose-là qu’il essaye d’éviter.

Lucifer se retrouve à côté de la petite valise qui avait toujours la bouche ouverte avec le pouce du dieu qui caresse la langue. Le démon vient passer sa main autour de la taille. Ses intentions étaient pas du tout cachées. Ici ils étaient en territoire qui c’était le royaume, et s’il fallait que la divinité et sa fille se prosterne devant lui ou bien devant Evaldril ce serait remarquablement jouissif.

LUCIFER -vu la chaleur que je te conseille de venir te mettre à l’aise

il vient délicatement repousser la main du crépuscule pour descendre la sienne sur le cul de la belle Alice et viens la pousser faire des transats de luxe. Il la regarde ce soir. Il reste devant elle en venant passer son doigt sur le ventre pour lui faire descendre l’autre de son cou jusqu’à sa poterie où il vient accrocher le tissu avec son index pour le tirer légèrement faisant ressortir, ses téton sans aller plus loin

Evaldril viens passer la main sur la chatte de la divinité pour la caresser avant qu’elle ne se sauve pour retrouver son frère et lui pince le clito avant de la relâcher, se demandant s’il était toujours aussi sensible à cet endroit. Positionner comme ça devant elle, Alice pouvait clairement voir et deviner les contours de la grosse queue de Lucifer, qui semble bien plus magnifique que la plupart des mortels et encore, il n’était pas sous sa forme originelle

EVALDRIL - alors ma belle petite chatte, qu’est-ce que tu aimerais faire pour ton premier jour dans le royaume/b]

Face à ces deux hommes, aussi beaux que forts, Alice sentait le désir remonter en elle, des bouffées de chaleur dans son corps. Lucifer, l’un des Quatre Cavaliers, et Evaldril, l’un ders Dieux de Lustoria. Alice comprit vite qu’Evaldril et Aphrodite semblaient se connaître. Elle était curieuse d’en savoir plus, mais avait avant tout envie de coucher avec ces bellâtres. Lucifer se rapprocha d’Alice, ayant décidé de s’occuper d’elle, et la guida vers un transat. Avec sa robe chinoise, Alice se rapprocha du transat. Elle hésita à retirer sa robe, mais choisit de la laisser, se disant que ce serait plus agréable de sentir les mains perverses de Lucifer glisser sur son corps pour la déshabiller. Elle grimpa donc sur le transat, et sourit doucement à l’homme, qui libéra doucement ses seins. Elle se mordilla les lèvres, et sa main gantée glissa sur la verge de Lucifer. Elle caressa ce joli mandrin, et remonta ses yeux sur le torse musclé et saillant du démon. Sa queue gonfla et durcit entre ses doigts, et Alice continua à le masturber.

« Hum… Je dois surtout admettre que ce voyage m’a donné soif. Je ne serai pas contre un petit cocktail crémeux émanant de ta queue, mon beau diable. »

Tout comme sa mère, Alice n’avait pas froid aux yeux. Un sourire amusé éclaira ses lèvres

« Tu penses pouvoir satisfaire ma requête, bel étalon ? Car, moi, je pense que tu as de quoi m’abreuver très fort… »

À proximité, Aphrodite souriait devant les attouchements d’Evaldril. Elle l’embrassa donc, avec la promesse de le revoir ensuite, puis Evaldril rejoignit ensuite Alice et Lucifer, se mettant sur l’autre côté d’Alice. Celle-ci se mordilla les lèvres en voyant ces deux verges devant elle. Elle se redressa alors, et s’agenouilla face à ces deux queues, qu’elle se mit à masturber avec chacune de ses mains. Ses délicats gants permettaient aux doigts de la Reine de glisser bien plus facilement sur leurs queues tendues, et elle approchait ses lèvres.

« Comme je l’ai dit à Lucifer, bel étalon, j’ai soif… Soif de sentir vos queues juter dans ma bouche ! »

Et qui oserait refuser une telle demande à une Reine ?

Ô quelle était belle cette petite reine sous ses airs, innocents et sa petite bouille, elle avait tout pour mettre en appétit, le diable en personne, et en ce moment, même, c’était Lucifer, qui n’avait pas hésité à lui retirer sa belle robe, de manière agile, autoritaire, bestiole, tout en ayant le soin de ne pas faire une seule déchirure sur le tissu pour la dévoiler complètement nu, sous les yeux carnassier du cavalier. Elle n’avait pas froid, c’était clair et nette et ça plaisait déjà au roi avant qu’il ne soit rejoint du dieu. Les deux hommes se donnent à une joute compétitive tout en ayant une complicité, ce n’était pas leur galop, d’essai et de partager une femelle de haute gamme et qui plus était la fille d’Aphrodite, alors pourquoi boude le plaisir d’accéder au moindre désir de cette magnifique, petite blonde.

LUCIFER - nous vous en faites pas, altesse, vous allez être pleinement servi… et bien plus encore…

Après avoir terminé sa phrase, il vient empoigné fermement la chevelure blonde d’Alice alors qu’elle était en train de s’amuser avec leurs grosses queues, sans aucune délicatesse, il vient tirer son visage pour frotter son membre contre celui-ci, et lui faire sentir l’odeur, viril et le musc aphrodisiaque qui se dégage sans aucune retenue et très vite, il vient utiliser son gland pour écarter les lèvres buccale de la jeune fille et commence à s’enfoncer en elle rapidement qu’elle puisse bien sentir l’épaisseur qui vient posséder sa bouche, puis en face sa gorge jusqu’à SeLoger entièrement et voir chacune des réactions sur le visage de cette royale coquine. Il lache un rale de plaisir et leche sa canine pour bien lui, maintenir le visage contre son pubis, se régalons de sentir la bave enrober sa queue.

LUCIFER - bordel Elvaldril… tu crois qu’on va la rendre à sa mère après la fin de l’après-midi franchement, je songe à de meilleurs projets pour elle……

Il commence entamer des va-et-vient avec son bassin en faisant entrer sa queue entièrement pour essayer de lui extirper des hocquettements et des bruits de ventouse. Mais le crépuscule n’aime pas rester spectateurs et laisser libre cours au roi des cavaliers car sa grosse queue divine semble bien plus épaisse vu son gabarit et il attrape à son tour les cheveux d’Alice pour lui retirer le visage de cette sucette avant de prendre le relais on ne l’a déménageant pas lui faisant à son tour sentir l’odeur avant de pénétrer sa bouche et sa gorge, passant son pouce sur l’une de ses joues en lui faisant bien relever le regard vers lui

EVALDRIL - J’ai tellement l’impression de voir ta mère dans sa jeunesse, mais je vais t’avouer un petit secret là maintenant, tu me fais bien plus bandé qu’elle n’avait réussi à faire ce siècle-là…

À son tour, il vient emmener son bassin en avant et en arrière pour faire glisser sa grosse queue entre ses lèvres, en faisant plusieurs allers-retours avant que Lucifer ne vienne lui confisquer ce fourreau humide et chaud pour s’en delecter.

En rejoignant sa mère, Alice s’était attendue à ce que ce séjour à Lustoria s’accompagne de séances de sexe intensives. Pour autant, même si elle s’y était attendue, se retrouver en compagnie de deux êtres beaux et surnaturels, voilà qui ne manquait pas de la surprendre agréablement ! Elle était leur petite chose, et Alice sentait tout sentiment de résistance, toute velléité quelconque, s’effacer. Tout s’effondrait devant un désir naissant qui remontait et gonflait en elle, explosant dans son bas-ventre. Cette chaleur, elle la sentait fourmiller en elle, surtout quand Lucifer lui fit renifler sa queue. Elle frémit, et ses joues rosirent. Nue, elle portait encore ses gants et ses collants. Sa main caressa affectueusement la queue de Lucifer, l’empoignant, tandis qu’elle la reniflait, s’enivrant effectivement de ce musc puissant et avilissant. Oh oui ! En ce moment, tout l’esprit d’Alice régressait, diminuait intellectuellement. Elle voulait être leur chose, leur jouet, un outil de plaisir qu’ils pourraient martyriser sexuellement selon leur envie… Devenir leur fucktoy, voilà ce qui l’inspirait, ce qui la motivait !

« Haaa… »

Oui, cette odeur, cette force… Alice léchait déjà le sexe de Lucifer avant de le prendre en bouche. Evaldril était là, à côté d’eux, et elle sentait leurs puissantes mains se crisper sur sa tête. Alice pompait la belle queue épaisse de Lucifer, avant de sentir celle d’Evaldril tapoter sa joue, appuyant sur son visage. Il tira alors sur ses cheveux, et elle gémit, surprise, avant de couiner encore. Se faire crapahuter ainsi de queue en queue était délicat pour elle, car elle devait reprendre son souffle. Evaldril lui glissa qu’elle l’excitait encore plus que sa mère à son âge. Alice se contenta de couiner, sentant cette grosse queue l’étouffer. Elle devait respirer par le nez, et posa ses mains sur les hanches de l’homme, en appui. Le passé de sa mère était quelque chose qu’elle ne connaissait pas, mais elle n’était pas surprise de savoir qu’elle avait fait l’amour avec cet homme. Sa mère avait toujours été partisane d’unions et de rapprochements entre les Dieux, loin du sectarisme des panthéons.

Alice soupira encore, et Lucifer la força à son tour. Cette fois, toutefois, elle grogna, et protesta.

« Lai… Laissez-moi vous sucer tous les deux à mon rythme ! »

Elle soupira lentement, et enfonça la queue de Lucifer dans sa bouche, tout en masturbant la verge d’Evaldril avec l’autre. Elle s’y attaquait donc, sentant leur excitation, la dureté et l’épaisseur de ces verges assoiffées.

« Mmmhmm… Vous vous régalez à me voir vous sucer, hein ? Pourriez-vous… Pourriez-vous vous embrasser ? Deux beaux hommes comme vous, j’ai moi aussi envie de ravir mes yeux pendant que je vous suce… »

Les deux êtres surnaturels pouvaient s’empêcher de laisser des soupir, de plaisir vagabonder dans les airs, alors qu’ils étaient en train de se donner un petit jeu de billard bien évidemment, la cadence devait être assez pour elle. Et d’ailleurs c’est ce qu’elle leur fait bien comprendre pour essayer de freiner un peu leurs envie.

EVALDRIL - mmmh bien mais sache que pour la suite le rythme qu’on choisir te sera imposer…

LUCIFER - hahah tu es bien clément

**le demon rale de plaisir lorsqu’il retourne prendre soin de lui, en faisant des bruits obscenes avec ses lèvres, ils viennent de se regarder suite à sa demande, le dieu Riane en regardant le démon qui se lèche les canines. Evaldril attrape de manière autoritaire, la mâchoire de Lucifer pour venir l’embrasser à pleine bouche en faisant faire tourner salon qu’avec la sienne, mais le démon pas reste loin d’être soumis à ce genre de choses il vient attraper fermement entre ses doigts les cheveux ducrépuscule.

Tous les deux, fais en sorte qu’elle puisse contempler ce qu’elle a fait demandé alors que les muscles des deux hommes étaient en train de se contracter respire en fortement à cause de ce traitement magnifique qu’elle était en train de prodiguer Lucifer à la fin du baiser décide de se pencher Légèrement, lorsqu’elle n’avait pas sa queue pour caresser son intimité et viens écarter les bouts de tissu qui reste pour venir, introduire de doigts, les faisant bouger de manière lascive et lorsqu’elle revient s’occuper de sa queue c’était au tour d’Evaldril de prendre le relais dans sa chatte. Les doigtés etaient différents mais tout aussi experts

Il fallait bien que la petite souris blonde montre à ces deux hommes qu’elle n’était pas qu’une simple gourgandine. Elle était une Reine, elle était aussi l’une des épouses de l’Empereur de Mijak, la fille d’Aphrodite, et elle avait déjà reçu la bénédiction de plusieurs divinités. Alice se devait donc de le leur rappeler, et ainsi de tempérer leurs ardeurs. Pour autant, il ne fallait pas se méprendre, Alice désirait ardemment être la victime de ces deux hommes assoiffés. L’idée de sentir leurs puissantes queues la labourer, leurs mains épaisses la gifler, leurs torses en sueur venant l’écraser, se pressant contre sa peau douce et chaude tandis qu’ils l’insulteraient en mordillant son corps… Oh, oh, ces seules idées avaient de quoi la faire bouillir sur place ! Et, pour ne rien arranger, elle les vit s’embrasser.

« Nnnhnn… »

Ce fut un baiser sensuel, savoureux et appuyé. Evaldril releva le menton de Lucifer pour l’embrasser avec force. Alice sentit la queue de l’homme durcir dans sa bouche, se redressant. Elle soupira, puis s’attaqua de nouveau à la queue d’Evaldril, gémissant de plaisir. Lucifer promenait sa queue caudale contre son intimité, et put sentir qu’Alice mouillait sur place. Comment aurait-elle pu rester insensible à un tel spectacle ? Les deux amants étaient fabuleux ! Des hommes d’une beauté incroyable, qui ne pouvaient que faire fantasmer la jeune Alice. Alors, tandis qu’elle suçait Evaldril, elle sentit Lucifer se glisser dans son dos, pressant sa main contre son sexe, la masturbant à la place de la queue.

Évidemment, cela eut pour conséquence de faire gémir fortement Alice. Elle enfonçait la queue d’Evaldril au fond de sa bouche, optant pour d’exquises gorges profondes. C’était savoureux, ce sentiment, cette sensation d’être entre eux deux. Lucifer se pressait contre elle, et Alice devait s’efforcer de conserver son calme, de leur montrer qu’elle était la digne fille d’Aphrodite, et qu’elle n’allait pas jouir si facilement ! Elle respirait par le nez, enchaînant les gorges profondes, puis se retourna vers Lucifer. Il s’était relevé, et elle le prit encore en bouche, alternant entre les deux queues.

« J-Jouissez tous les deux dans ma petite bouche, mes Maîtres… »

Soumise, mais non moins énergique, Alice avait approché les deux verges de ses lèvres, les pointes se croisant à l’entrée de ses lèvres, qu’elle continuait à masturber avec chacune de ses mains, impatiente de sentir le puissant et chaud foutre de ses deux amants se déverser abondamment en elle…

Les deux entités savaient très bien qu’ils n’avaient pas à faire à n’importe qui que cette belle petite blonde était une reine aussi et qu’il était tout simplement. Pas possible de pouvoir la considérer comme un objet sexuel que l’on peut prétendre avec les petites esclaves ou alors les prêtresses d’un temple. Lucifer, la laisse donc Maitre holà, mais continue de se délecter de sa bouche, tout comme le crépuscule, alors que tous les deux recommence à s’embrasser avant de l’avoir se soustraire un plaisir et un extase qui vient la faire quémander davantage de la part des deux hommes.

Lorsqu’elle vient s’attaquer aux deux glands. En même temps, il ne peuvent s’empêcher de frictionner leur que l’un contre l’autre, avant que Siffert ne vienne enfoncer sa bite dans sa gorge pour laisser son sperme et non celle-ci au nez à la barbe de la divinité en venant lui tirer la langue et se déverse un moment avant de retirer et de continuer à venir, lui souiller le visage, alors que le crépuscule entre à son tour dans sa bouche, après lui avoir laissé le temps de respirer pour jouir, mais la quantité était bien plus importante que celle du cavalier

Les deux entités finissent leur orgasme sur le visage, les cheveux, les seins de la belle petite blonde, mais il n’en avait pas fini avec elle. C’était une certitude si faire viens se mettre sur le transat pour la tirer contre lui face àlui. Il vient au poigné ses fesses pour commencer à les faire bouger et frotte sa grosse queue contre sa chatte pendant que le crépuscule passe ses mains au niveau de ses hanches pour faire frotter la sienne entre ses fesses sont membres étaient terriblement gros au vu de l’or fils qui se présente devant lui

LUCIFER - ma belle petite reine, tu vas pouvoir bien sentir tes trous se faire écarter car vu ton état de chaleur il est hors de question que l’on se Ménage…

Il se lèche les lèvres avant de venir prendre dans sa bouche ses deux tétons en même temps qu’il tient avec ses dents en passant sa langue frénétiquement dessus alors qu’il commence à venir enfoncer sa queue en elle, qu’elle puisse sentir les parois de Sacha s’écarter autour et dans un même mouvement Evaldril appuye sombrer contre l’autre trou pour le faire s’écarter avant de râler, de plaisir. Vu comment elle était serrée, il se crispe et continue de pousser pendant que Lucifer bouge lentement, mais pas suffisamment pour la faire sauter sur sa queue, mais juste assez pour lui implanter un sentiment de frustration, de ne pas en avoir d’avantage

Le crépuscule vient lui attraper le coup d’une main pour la redresser et lui faire tourner la tête pour l’embrasser à son tour avant de revenir prendre ses cheveux entre ses doigts pour la faire se cambrer davantage

Elle avait réclamé leurs semences, et Alice fut soulagée au-delà de ses espérances. Evaldril et Lucifer jouirent tous les deux sur elle, éclaboussant les lèvres d’Alice, puis son visage. Elle les masturbait dans la foulée, et gémit doucement en fermant les yeux. Le foutre affluait massivement, éclaboussant son visage. Ces deux belles verges l’arrosaient copieusement, le sperme venant dégouliner sur ses seins. Alice s’arrêta en sentant les deux amants se calmer. Elle se retrouvait avec une belle crème sur son visage, descendant sur ses seins. Alice cligna des yeux en reprenant ses esprits. Elle était très excitée, très assoiffée, et s’amusa à promener son doigt sur ce foutre, pour l’avaler, un peu comme une glace. Evaldril l’invita à la suivre, et il s’assit sur un transat. Alice frémit en sentant ses mains sur ses fesses, et se mit contre lui, à califourchon.

« Oh, mon Dieu, j’aime être votre dévouée zélote… »

Le sperme des deux amants adhérait à sa peau. Elle sentit la verge de Lucifer retrouver de sa dureté. Alice déplaça sa main pour l’empoigner, et, tandis, que Lucifer malaxait ses seins et les rapprochait pour jouer avec ses tétons, elle s’empala sur sa verge.

« Haaaaa… »

La tête blonde gémit joyeusement, et posa une main en appui sur l’épaule de Lucifer, tout en remuant sur lui. Dans son dos, Evaldril se rapprocha, se lovant contre elle. Elle se pencha vers lui quand il tira sur ses cheveux, et l’embrassa tendrement, son visage spongieux se pressant au sien, provoquant des bruits de claquements. Elle soupira, puis embrassa ensuite Lucifer, tout en se cambrant, et en frottant ses fesses contre la verge de Lucifer. Le message était clair, l’invitation évidente. Elle se pencha néanmoins en tournant la tête, et sourit à Evaldril.

« Majesté, je vous le demande solennellement… Pourriez-vous avoir l’obligeance de me défoncer le cul ? »

C’était si gentiment proposé qu’on voyait mal le Dieu refuser une telle proposition !

Alors que Lucifer avait pleinement investi la chatte de cette petite majesté, magnifique, qui semble bien disposé à être leur propriété du moment, il continue à bien faire claquer son bassin contre le sien pour qu’elle puisse sentir toute la longueur venir s’enfoncer dans sa chatte, elle pouvait même sentir qu’il commence à gonfler de nouveau, et encore, il n’avait pas pris sa forme démoniaque, mais ça ne saurait tarder pour pouvoir satisfaire les pulsions lubrique de cette petite blonde à qui on pouvait donner le bon Dieu sans confession et c’est à ce moment-là qu’elle essaye de quémander auprès du crépuscule qui avait fini de l’embrasser en laissant un filet de bave entre sa langue et la sienne et vient murmurer à son oreille

EVALDRIL -on voit que tu sais vraiment parler aux hommes et aux femmes pour les stimuler, alors comment ne pas accéder à cette demande si cordialement faite…

Il se lèche les lèvres, alors qu’il était en train de branler sa queue entre ses fesses, il vient finalement prendre possession avec ses mains pour venir bien les écarter et commencer à appuyer son gland sur le trou et commence à s’enfoncer de manière lande pour qu’elle puisse bien se délecter de l’épaisseur et de la longueur qui vient littéralement déformer les parois de son orifice

Bien évidemment, il râle de plaisir tellement qu’elle était serrée par rapport à son membre, c’était une pure délectation. Elle pouvait clairement se sentir que la paroi fine permettait aux deux queues de pouvoir quand même se frictionner une contre et les deux hommes commencent à donner des coups de bassin, de manière alternée comme un piston qui vient défoncer littéralement l’ensemble de ces trous, et à tour de rôle, ils viennent se délecter de sa peau

LUCIFER -mmmmmh Ta chatte est vraiment royale, et je pense que tu vas devoir revenir ici bien plus souvent que prévu n’est-ce pas Evaldril……

En guise de confirmation, le crépuscule se met ricaner en venant lui mordiller l’oreille alternant avec sa langue pour venir lui sucer le lobe, alors que il continue à aller doucement avant de commencer à accélérer jusqu’à venir faire claquer son bassin en venant rentrer et sortir sa queue, entièrement de manière bien plus brutal, laissant parler sa musculature et sa performance divine, ne venant pas vraiment ménager la belle petite blonde

Yukio la fit jouir, et se décida ensuite à lui montrer qui il était vraiment. Nue, ne portant plus que ses gants et ses collants, Alice resta couchée sur le sol. Elle se redressa légèrement, tout en voyant devant elle Yukio changer d’apparence. Elle avait pu pressentir cela, mais, de là à le voir se transformer véritablement, il y avait un pas que Yukio franchit. Son corps évolua, il gagna en musculature, en taille. Ses cheveux s’étirèrent également, devenant de longs cheveux argentés. Mais ? surtout, Alice vit des queues jaillir du bas de son dos. Neuf queues blanches qui jaillirent tout autour de lui. Elle cligna des yeux, la surprise se lisant sur son visage.

« Oh, Yukio, tu… Tu caches bien ton jeu ! »

Qu’était-il donc ? Alice n’avait jamais entendu parler d’hybride furry avec neuf queues ! Elle était très intriguée, mais aussi… Très excitée ! Yukio l’avait déjà bien chauffé, et il était bien décidé à faire plus. Les queues du bel homme se déplacèrent, et filèrent sous le corps d’Alice. Elle en caressa une, en sentant la douceur, la chaleur aussi. Le contact des queues de Yukio la fit frissonner. Il la redressa ensuite, et la rapprocha de lui. Les queues l’enroulèrent, l’enveloppant dans un cocon de chaleur et de douceur. Ses mains se posèrent sur les épaules de Yukio, et elle enroula de nouveau ses jambes autour de sa taille. Tout ça était irréel… Alice aurait sans doute dû avoir peur, mais cette scène ne faisait en réalité que l’exciter davantage !

« Je suis prête à prendre des risques avec toi aussi, Yukio… J’ignore ce que tu es, mais… Je te fais confiance. »

Elle sentit les mains de l’homme se poser sur ses fesses, les malaxant, et Alice l’embrassa encore, enroulant ses bras autour de sa nuque. Sentant sa verge turgescente titiller ses lèvres intimes humides, Alice frémit encore. Sa main glissa sur le torse de Yukio, caressant sa peau, glissant sur ses muscles.

« Allez, Yukio… P-Prends-moi… »

Et c’est ce qu’il fit ! Sans perdre de temps, son membre remonta, et se perdit en elle. Un frisson traversa tout le corps de la jeune femme, qui sentit avec un plaisir féroce ce membre partir en elle, s’enfoncer dans son corps. Elle était enfermée avec lui, ici, dans ce cocon doucereux, cette sphère de luxure… Et elle était bien, heureuse, indéniablement ! Son corps se crispa donc autour de celui de Yukio, et elle gémit quand il embrassa son cou, en mordillant le creux. Sa main se serra sur ses cheveux, et elle tira dessus, pour l’embrasser encore, s’unissant à lui dans un élan de plaisir et de désir…

« Hmmmm… !! »

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