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Une invocation qui tourne à la luxure [PV]

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Le Lys
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Demande de RP
Herzha, profitant des plaisirs et des rires qui résonnaient dans les couloirs parfumés du Lys, laissait ses lèvres ourlées de rose s’étirer en un sourire satisfait. Sa longue soirée de séduction s'avérait délicieuse, jonglant entre compliments subtils et caresses appuyées sur des peaux rougissantes. Mais alors qu’elle savourait une coupe de vin ambré et qu’une novice rougissante peinait à soutenir son regard ardent, Herzha sentit un frisson parcourir son être.

Quelqu’un osait l’appeler, la tirer hors du cocon voluptueux du Lys. Une invocation. Une main invisible tirait sur les fils de son essence, la forçant à répondre. Herzha soupira longuement, posant sa coupe avec une grâce calculée, ses cornes luisantes sous les lumières tamisées. Un murmure s’échappa de ses lèvres roses :

« Oh, il semblerait qu’une âme impatiente réclame ma présence... Très bien, voyons qui ose me déranger. »

Dans un tourbillon d’ombres et d’énergie sulfureuse, le monde du Lys s’effaça, remplacé par la lumière vacillante des bougies et les runes rougeoyantes d’un cercle d’invocation. Herzha apparut soudain, sa silhouette nue baignée d’une aura rose et sensuelle, un contraste saisissant avec sa peau cendrée et ses cheveux noirs aux pointes écarlates.

Ses yeux cramoisis, encadrés de cils épais, tombèrent sur la personne qui l’avait appelée. Une jeune femme, tremblante, ses mains encore tendues vers le cercle. Herzha esquissa un sourire carnassier, se penchant légèrement en avant, offrant sans pudeur la vision de son corps sculptural.

« Alors, petite audacieuse… » Sa voix était un mélange enivrant de miel et de venin. « C’est toi qui a osé interrompre mes divertissements pour me faire venir ici, dans ce cercle pathétique ? »

Herzha croisa les bras sous sa poitrine, penchant la tête de côté pour observer plus attentivement la jeune femme. Elle était mignonne, maladroite, visiblement inexpérimentée, et cette innocence suintait dans son regard hésitant. Un véritable délice. Herzha s’avança, franchissant le cercle sans effort, brisant la barrière magique comme si elle n’existait pas.

« Tu as de la chance, ma jolie. Je suis d’humeur clémente aujourd’hui… »Elle effleura la joue de la jeune femme du bout de sa griffe de son indexe, ses lèvres s’étirant en un sourire prédateur. « Alors, dis-moi... Qu’espérais-tu en m’appelant ? Une simple curiosité, ou bien avais-tu quelque chose de... plus intéressant en tête ? »

Herzha rit doucement, une mélodie enivrante qui semblait danser dans l’air. Elle savourait déjà ce moment, s’amusant à lire la nervosité dans les yeux de celle qui l’avait invoquée. Une nouvelle proie délicieuse à ajouter à sa collection... Mais pour l’instant, elle voulait simplement jouer.

Re: Une invocation qui tourne à la luxure [PV]

Message par Chloé Faure »

Chloé Faure
Chloé Faure
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Aiko Nasaki savait qu'elle n'aurait pas du se joindre à cette idée de cons, jouer avec le surnaturel, ça ne pouvait toujours que mal tourner. Elle était une lycéenne dans l'un des multiples lycées de Tokyo, et était concrètement ce qu'on pouvait considérer comme une adolescente à problèmes. Le genre à répondre à ses parents dont l'autorité était mal exercée, à sécher les cours, et à fumer en cachette. Elle avait une bande de copines toutes aussi mal famées qu'elle avec qui elle tendait à faire les quatre cent coups, ce qui avait pu lui valoir à quelques reprises des convocations au commissariat, même si elle n'était pas conne au point de faire des trucs vraiment illégaux.
En ce début de soirée, elle avait rejoint ses amies dans un hangar abandonné, dans une zone industrielle désaffectée bien en périphérie de la ville. Pas vraiment le genre à lui faire peur, même si il pouvait y avoir des mecs louches dans le coin, par contre elle avait bien failli annuler le rendez-vous quand on lui avait dit sur place qu'une de ses potes avait mis la main sur un livre étrange, qui semblait contenir des rituels occultes avec toutes les instructions pour les réaliser. Quand bien même Aiko n'était pas du genre à être superstitieuse, elle n'était pas non plus complètement à considérer que toutes les légendes n'avaient pas un fond de vérité, ainsi, sans croire forcément aux fantômes, elle ne voulait pas non plus trop chercher à prouver qu'ils existaient ou pas.
Dire qu'elle avait été réticente à participer à un truc impliquant de tracer un pentagramme sur le sol aurait donc été un bel euphémisme, mais elle se fit malgré tout embarquer là dedans par la pression de son groupe d'amis, l'accusant d'être une pleureuse et une poule mouillée. Alors elle y participa, et, bien évidemment, ça tourna mal.

Oh putain non non non !

Le cercle avait fini par se mettre à briller, à briller putain ! Puis une épaisse fumée, des sons abominables, et puis une forme qui en émergea. Aiko s'était alors retrouvée assise contre un mur proche, recroquevillée sur elle même, terrifiée alors que ses autres amies s'étaient enfuies, la laissant toute seule avec cette...chose. Si elle avait une apparence humanoïde, les cornes, la queue caudale, et tout le reste hurlait que c'était une démone, et elle avait l'air en pétard, en plus d'être parvenue à sortir sans problèmes du pentagramme censé la retenir.

Wowowow attendez ! C'est pas moi qui vous ai appelée !

Le problème, c'était qu'il n'y avait personne d'autre qu'elle dans les environs. Ses "potes" s'étaient fait la malle depuis belle lurette maintenant, et elle se trouvait donc seule en compagnie de cette créature qui, avec ses longues griffes acérées et ses dents de requin, semblait parfaitement capable de la dévorer au sens propre du terme.

Hey j'suis désolée okay ! Me faites pas de mal ! Je...je dois pouvoir vous ramener chez vous okay ? Doit bien y avoir les instructions dans ce bouquin de con nan ?

Il était évident qu'Aiko n'avait aucune idée de quoi elle parlait, de qui elle avait invoquée, ou des conditions inhérentes au rituel qui avait été fait. Elle était effrayée, forcément, et avec sa position assise recroquevillée contre le mur, sa mini-jupe de lycéenne, qu'elle avait elle même raccourcie pour emmerder le système, laissait clairement à la succube l'occasion de voir sa petite culotte blanche moulant ses lèvres intimes.

Re: Une invocation qui tourne à la luxure [PV]

Message par Le Lys »

Le Lys
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Demande de RP
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Herzha, immobile un instant, laissa son regard doré glisser sur la jeune fille recroquevillée contre le mur, ses yeux perçants capturant chaque détail de sa proie avec une précision presque chirurgicale : la jupe plissée bleu marine, raccourcie à l’extrême, dévoilant une culotte blanche qui moulait ses courbes intimes, la peau pâle de ses cuisses tremblantes contrastant avec le rose pâle de son sweat ample, orné d’un large nœud rouge sang qui trônait entre ses seins généreux, et ce mélange délicieux de terreur et de défi qui dansait dans ses yeux noisette, encadrés par des mèches brunes légèrement ébouriffées. Un sourire carnassier étira ses lèvres ourlées de rose, révélant l’éclat acéré de ses dents de requin, tandis qu’un grondement sourd, presque animal, s’échappa de sa gorge, vibrant dans l’air saturé de soufre et de peur.

« Pas toi qui m’as appelée, dis-tu ? »
murmura-t-elle, sa voix un mélange envoûtant de miel empoisonné et de menace latente, chaque mot s’étirant comme une caresse perverse qui semblait s’enrouler autour de sa proie, l’enserrant dans une étreinte invisible. Mais alors qu’elle s’avançait d’un pas, son corps nu scintillant sous la lumière vacillante des bougies, une idée germa dans son esprit tordu. Ses yeux brillèrent d’une lueur malicieuse, et elle claqua des doigts, invoquant la magie du Lys, Dreamland, un sort capable de façonner l’environnement selon ses désirs les plus sombres. Le hangar crasseux trembla, les murs de métal rouillé s’effacèrent comme un mirage, remplacés par les contours chauds et boisés d’une salle de classe baignée de lumière douce, avec des rangées de pupitres impeccables, un tableau noir couvert de formules mathématiques, et de grandes fenêtres laissant filtrer une lumière dorée qui caressait les étagères remplies de livres anciens.

Dans le même instant, Herzha activa son pouvoir de métamorphose, son corps nu se transformant en une silhouette tout aussi intimidante mais plus stricte, plus autoritaire. Sa peau d’ébène s’éclaircit légèrement pour prendre une teinte plus humaine, ses cornes et sa queue disparurent, et ses cheveux noirs striés d’écarlate se rassemblèrent en une longue cascade soyeuse, avec des mèches roses qui encadraient son visage désormais orné de lunettes sévères. Elle portait à présent une chemise blanche impeccablement repassée ouverte, affichant sa poitrine généreuse, et une jupe moulante noire qui épousait ses hanches, ses jambes épaisses et musclées visibles sous le tissu, ainsi que son intimité, ne portant pas de sous-vêtements. Un collier orné pendait entre ses seins, ajoutant une touche de mystère à son apparence de professeure stricte. Ses yeux, toujours dorés et perçants, brillaient derrière les verres de ses lunettes, et un sourire cruel étira ses lèvres, désormais peintes d’un rouge profond.

« Et pourtant, te voilà, seule, tremblante, offerte comme une élève désobéissante devant sa professeure… » murmura-t-elle, sa voix désormais plus grave, plus autoritaire, chaque mot résonnant dans la salle de classe comme un verdict implacable. Elle s’avança, ses talons claquant sur le parquet ciré, et s’assit sur une chaise en bois massif derrière le bureau de la professeure, croisant les jambes avec une élégance calculée. Dans sa main droite, elle tenait un long bâton en bois, semblable à ceux qu’utilisaient les professeurs d’antan, qu’elle fit claquer contre sa paume avec un bruit sec, ses yeux dorés fixant la jeune fille avec une intensité qui semblait fouiller jusqu’au tréfonds de son âme, dénudant ses peurs, ses désirs, ses secrets les plus inavoués, tandis que les boucles d’oreilles turquoise de sa proie scintillaient faiblement dans la lumière tamisée de la salle.

« Tu es une rebelle et une mauvaise élève… » dit-elle, sa voix résonnant comme un jugement final, tandis qu’elle tapotait le bâton contre sa cuisse, le bois lisse luisant sous la lumière. « Ton comportement est inacceptable, et il est temps que tu apprennes ce qu’il en coûte de défier l’autorité. Viens ici, tout de suite. Allonge-toi sur mes genoux, ventre contre mes cuisses, et tends bien tes fesses… Il est temps de te punir comme il se doit. » Elle pointa le bâton vers la jeune fille, son regard implacable derrière ses lunettes, un sourire sadique étirant ses lèvres rouges, tandis que son autre main caressait le pendentif en forme de croix qui pendait à son cou, comme si elle savourait déjà la leçon qu’elle s’apprêtait à infliger.
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