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Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 02 janv. 2025 15:01
par Tek_Usagi
Comment j'ai pu en arriver là ? Depuis le début de ma cavale, je me suis toujours arrangé pour garder une longueur d'avance sur mes poursuivants. Grâce aux capacités quasi-infinies de mes nanites, j'ai toujours réussi à les laisser sur le carreau quand ils croyaient pouvoir enfin m'attraper. Je n'ai jamais eu peur d'eux... et c'est peut-être pour ça que je suis dans cette situation maintenant.
Des rumeurs circulaient depuis un moment comme quoi le programme Wepaon Nano aurait été relancé après mon évasion pour créer une nouvelle arme vivante. Mais cette fois, l'arme en question est restée fidèle à ses créateurs et elle nous recherche, moi et le premier cobaye. Il fallait que j'en aie le cœur net, alors je suis parti à la pêche aux infos dans les bas-fonds d'Uatis. J'ai secoué des indics, j'ai menacé des personnes, j'ai même dû en tuer une ou deux. Mais mes recherches ont probablement attiré l'attention des mauvaises personnes parce que, sans que je comprenne comment, je me suis tout à coup retrouvé avec des fléchettes IEM partout dans le corps. Un tir groupé parfaitement millimétré. Le temps que je comprenne ce qui m'arrivait, j'étais à terre et mes nanites étaient paralysées. C'est là que mes assaillants se sont montrés.
Des spectres uatiens. Des soldats d'élite équipés du meilleur matériel de l'armée, chargé de mener des missions ultra-secrètes dont il ne faut pas que le public entende parler. Je ne sais pas comment ils ont fait pour me prendre par surprise, mais le fait est que je dois maintenant fuir pour sauver ma vie. Sans mes petits robots, je ne peux pas me défendre contre ces tueurs surentraînés, je ne peux même pas les voir vu qu'ils possèdent un camouflage optique. J'ai utilisé mon dernier flot de nanites avant désactivation pour me donner quelques précieuses secondes d'avance sur mes poursuivants. Je dois juste les tenir à distance pendant deux minutes, le temps que mes petits robots redémarrent et que je puisse transformer ces salauds en chair à saucisse.
J'ai beau courir, ils parviennent toujours à me suivre. J'ai déjà une balle dans la jambe et des contusions un peu partout sur le corps. Je sens que la fin est proche, l'adrénaline ne me gardera pas en vie éternellement. Après un autre virage, j'arrive dans un cul-de-sac.
« Et merde ! »
Pas d'issue possible, et les spectres sont encore derrière moi. Mais alors que je pense que ma dernière heure est arrivée, une porte en bois apparaît soudainement devant moi, avec une inscription dessus : Le Lys. En temps normal, je me serais interrogé sur l'origine de cette porte, mais là je n'ai pas d'autre option, c'est une question de vie ou de mort. Je franchis la porte et je la referme rapidement derrière moi. Alors que je m'apprêtais à repartir en courant, je réalise tout à coup que je ne suis pas dans un vieil immeuble ou un entrepôt désaffecté. Je suis dans une pièce richement décorée, avec des éclairages et des draperies luxueuses, et deux femmes très légèrement vêtues m'accueillent. Malheureusement, je n'ai pas le temps de profiter de la vue avant que l'adrénaline ne s'élimine de mon organisme et que je ne commence à m'évanouir.
« Aidez... moi. »
Ce sont mes derniers mots avant que je ne perde connaissance.
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 07 janv. 2025 19:06
par Le Lys
Aife se balançait doucement sur son tabouret, ses jambes courtes se balançant dans le vide alors qu’elle suçait nonchalamment sa sucette, les yeux rivés sur la silhouette endormie de la lapine. Ses cornes massives, brillantes sous la lumière tamisée de l’infirmerie futuriste, faisaient un contraste saisissant avec sa petite stature. À peine plus haute qu’un enfant humain, elle était pourtant loin d’être innocente. Ses yeux pétillaient d’un mélange d’amusement et de malice alors qu’elle observait la nouvelle arrivante.
La pièce était parfaitement calme, à l’exception des bips réguliers des moniteurs holographiques flottant autour du lit. L’infirmière, après avoir vérifié les constantes vitales de la lapine et noté quelques données sur son écran, avait quitté la salle quelques minutes plus tôt, les laissant seules. Cela arrangeait bien Aife. Elle avait toujours préféré les situations où elle pouvait prendre son temps pour... comprendre les choses à sa façon.
Elle posa sa main sur le bord du lit, ses doigts aux ongles vernis tapotant doucement la surface du drap. Ses yeux glissèrent sur le corps de la lapine, vaguement dissimulé sous une fine couverture. Même ainsi, Aife ne pouvait s’empêcher de remarquer à quel point cette inconnue était... bien foutue. Des courbes généreuses, une peau douce et des oreilles de lapin qui ajoutaient une touche exotique. Elle ne pouvait pas deviner à quoi ressemblait cette hybride avant de franchir le Lys — un homme, selon l’infirmière — mais elle devait bien admettre que la transformation lui allait à ravir. Elle était à moitié tentée de lui toucher les seins, juste pour voir leur texture, mais elle se retint. Même Aife savait qu’il valait mieux éviter de brusquer quelqu’un qui venait littéralement de changer de corps.
« Hmm... le Lys a bon goût, comme d’habitude » murmura-t-elle en souriant malicieusement, une lueur joueuse dans le regard. Elle croqua doucement dans sa sucette, savourant le craquement du sucre tout en s’appuyant davantage contre le bord du lit. « Mais qu’est-ce que tu fuyais, ma belle ? »
Ses yeux pétillaient d’une lueur joueuse tandis qu’elle changeait de position, se penchant légèrement en avant, appuyant ses coudes sur ses genoux et observant de plus près. La poitrine de la lapine se soulevait régulièrement sous le rythme de sa respiration. Aife fit tourner le bâtonnet de sa sucette entre ses doigts, réfléchissant.
« Pas mal du tout » murmura-t-elle avec un sourire espiègle, ses cornes brillant faiblement sous les néons de la pièce. « Tu vas faire des ravages quand tu seras réveillée, ma grande. »
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 11 janv. 2025 13:17
par Tek_Usagi
Combien de temps je me suis évanoui ? Une heure ? Une journée ? Aucune idée. Mais heureusement, je finis par me réveiller. Il me faut un moment pour réaliser où je suis. Des moniteurs holographiques, du matériel médical… on dirait bien une infirmière ou une chambre d’hôpital.
Ah oui. Les spectres, l'embuscade... Je suis entré ici avant de m'évanouir.
Je n'ai plus mal et mes blessures se sont refermées. Je ne sais pas où j’ai atterri mais ils se sont occupés de moi. En plus je ne vois pas de gardes et je ne suis pas attaché au lit donc on ne dirait pas qu’ils veulent me garder prisonnier, mais je ne peux pas non plus m’attarder. Bien qu’encore désorienté j’essaie de me relever pour sortir du lit mais dès que je commence à bouger je sens que quelque chose ne va pas. C’est comme si je n’arrivais plus à trouver mon équilibre, comme si quelque chose… m’alourdissait. Je baisse les yeux vers mon torse pour essayer de comprendre et...
« Aahh ! C'est quoi ça ? »
Je dis ça, mais je sais très bien ce que c'est. Des seins. J'ai des seins. On dirait des melons de chair posés là où se trouvaient mes pectoraux avant. Dans la panique, je regarde sous ma couette pour examiner mon entrejambe.
« Aaahhh ! »
Plus rien. Mon pénis a disparu, il y a un pubis plat et des lèvres vaginales à la place.
« Non, ce n’est pas possible. »
Je sais que mes nanites me permettent de changer d'apparence, et que théoriquement je peux aussi changer de sexe, mais je n'avais jamais essayé. Pris de panique j'appelle mes nanites pour essayer de reprendre mon apparence normale mais ils ne m'obéissent pas. Je ne peux pas me libérer de cette apparence.
« Mais qu’est-ce qui m’arrive bon sang ? »
C’est là qu’une fille installée dans un coin de l’infirmerie et que je n’avais pas encore remarqué m’interpelle. Elle est à peine plus grande qu’un enfant humain, elle a la peau bronzée, les cheveux mi-bruns mi-blonds et deux grosses cornes sur la tête, et elle suce nonchalamment une sucette.
« Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous m'avez fait ? Pourquoi est-ce que je suis une femme ? Retransformez-moi tout de suite ! »
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 26 janv. 2025 02:47
par Le Lys
Aife observa la lapine avec un mélange d'amusement et de curiosité, mordillant distraitement le bout de sa sucette. Elle glissa du tabouret avec une agilité féline, ses pieds nus effleurant doucement le sol froid de l'infirmerie. Approchant lentement, ses cornes massives et ses yeux pétillants lui donnaient une allure aussi imposante que fascinante.
« Moi ? Je m'appelle Aife, enchantée. » Sa voix douce mais teintée d'une pointe de sarcasme dansait dans l'air, légère comme une plume. « Et toi, ma jolie ? Comment t'appelles-tu dans cette nouvelle peau ? »
Elle posa un doigt contre sa joue en une fausse réflexion. « Oh, pardon, tu n’as sûrement pas eu le temps de t’y habituer. Je te présente le Lys. Un lieu... spécial, disons. Interdimensionnel, rien que ça. Ici, seules les femmes sont acceptées. Alors forcément, quand un homme débarque... Et oui, ça arrive de temps en temps... Le Lys se charge de corriger ce petit... détail. »
Elle ponctua ses derniers mots d’un clin d’œil amusé, s’approchant davantage de la nouvelle arrivante qui semblait toujours en état de choc. Aife s’arrêta au bord du lit, plongeant son regard curieux dans celui de la lapine, puis glissa un doigt sur la couverture fine qui dissimulait le corps fraîchement transformé.
« Le sort de féminisation est assez... radical, je te l’accorde. Mais regarde-toi ! » Elle tira doucement sur la couverture, dévoilant les courbes généreuses de la lapine. « Je dois dire que le Lys a très bon goût. »
Ignorant les protestations possibles de la lapine, Aife s’assit sur le bord du lit, ses petites mains fines mais décidées se posant avec une certaine autorité sur les hanches de l’inconnue. Elle se pencha, ses cornes effleurant presque la poitrine opulente de sa partenaire.
« Laisse-moi t’aider à… t’habituer. Après tout, c’est un gros changement, pas vrai ? » murmura-t-elle, sa voix se teintant d’une douceur presque hypnotique. Sans attendre de réponse, ses doigts se posèrent sur l’un des seins, pétrissant doucement pour en tester la fermeté. Elle fit mine de réfléchir, haussant un sourcil.
« Hmm… Plutôt naturels, n’est-ce pas ? Enfin, autant que possible dans ces circonstances. » Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres.
Ses doigts descendirent lentement, effleurant le ventre plat avant de s’attarder plus bas, frôlant les cuisses de la lapine avec une lenteur calculée. Elle se pencha légèrement, ses cornes brillant sous la lumière.
« Et là… ? » Elle glissa un doigt audacieux entre les jambes de la lapine, explorant avec une curiosité désarmante. « Oh, ça semble bien en place. Tu vois ? Le Lys ne fait jamais les choses à moitié. »
Aife releva les yeux, son sourire joueur toujours accroché à ses lèvres. « Bienvenue dans ta nouvelle vie, ma chère. Tu verras, le Lys a ses raisons. Et crois-moi, tu ne voudras plus repartir. »
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 02 févr. 2025 18:32
par Tek_Usagi
Une femme ! Je suis une femme, ou tout du moins j’ai le corps d’une femme. Je suis en pleine panique et voilà que cette jeune femme, qui se présente sous le nom d’Aife, approche lentement du lit avec une démarche agile et une voix douce qui me demande mon nom.
« On s’en fiche de savoir comment je m’appelle, pourquoi est-ce que je suis une femme ? »
Aife m’explique que j’ai atterri au Lys, une maison de passe interdimensionnelle où seules les femmes sont admises, alors quand un homme parvient de temps en temps à franchir ses portes le lieu procède à un ajustement qui les fait correspondre à la clientèle autorisée. Tout ça a l’air de beaucoup l’amuser mais moi je suis toujours en état de choc.
Je fuis des assassins du gouvernement uatéen et je me retrouve dans une maison de passe interdimensionnelle ? Mais qu’est-ce qui se passe bon sang ?
Ça fait trop d’informations d’un coup, mon cerveau n’arrive pas à suivre, mais Aife ne veut pas attendre que je sois calmé pour continuer à jouer avec moi. Elle tire la couverture du lit et dévoile mes nouvelles courbes féminines qu’elle trouve très plaisantes à regarder. Elle vient s’asseoir sur le bord du lit et pose ses mains sur mes hanches avec une certaine autorité.
« Kyahhh ! »
Je pousse un gémissement très féminin sous la surprise, j’essaie de m’éloigner d’elle mais elle se rapproche encore et me dit qu’elle va m’aider à m’habituer à ce nouveau corps. Sa voix est si douce, elle en est presque apaisante.
« Je… c’est gentil mais… aahh ! »
Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle pose déjà ses doigts sur mes seins nouvellement formés, les pétrissant doucement pour en tester la fermeté. Je voudrais de la repousser mais mon cerveau ne parvient pas à comprendre ces nouvelles sensations qui m’envahissent, tout mon corps est parcouru de frissons et de tremblements qui sont… plutôt agréables ? Et ces frissons continuent de s’intensifier quand les doigts d’Aife se mettent à descendre lentement, effleurant mon ventre avant de s’attarder plus bas, d’abord sur mes cuisses puis entre mes jambes.
« Kkyyaahh ! »
Là je gémis beaucoup plus fort, mon esprit est peut-être confus mais la réaction de mon corps est on en peut plus claire : j’aime sentir les doigts de la femme sur ma peau, sur mes seins et entre mes cuisses. Mon nouveau vagin est très sensible et il apprécie les caresses, surtout quand la personne en face sait très clairement ce qu’elle fait. Aife me souhaite la bienvenue dans ma nouvelle vie et m’assure que je ne suis pas ici par hasard : le Lys voulait que je le trouve, et d’après elle je n’aurai plus envie d’en partir une fois que j’en aurai découvert tous les trésors.
« Aahh… non je… aaahhh ! »
Tout est tellement confus, tellement perturbant… Tout ce que j’ai fait c’est franchir une porte pour tenter de sauver ma peau et maintenant voilà où j’en suis : allongé dans un lit avec un corps qui n’est pas le mien et entre les mains d’une femme qui semble vouloir me faire découvrir ce que ce nouveau corps a de meilleur à offrir. D’instinct j’ai envie de la repousser et de lui dire que je ne peux pas rester, que je dois retourner à Uatis, mais je n’arrive pas à trouver la force de bouger ou de parler. Tout mon corps est parcouru de spasmes, ce n’est pas douloureux et même assez plaisant, mais je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je ne me sens pas en danger ou menacé, Aife fait preuve de délicatesse et sa voix est très douce, presque hypnotique, mais rien de ce qui se passe ici n’est normal. Je dois m’en aller.
« Ooohhh… s’il-vous-plait… hhhmmm… je dois… partir d’ici. »
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 02 mars 2025 03:04
par Le Lys
Aife reste perchée sur le bord du lit, ses doigts fins et audacieux posés avec une assurance gourmande sur la peau brûlante et veloutée de sa partenaire de jeu, la lapine aux formes scandaleusement voluptueuses. Les gémissements de cette dernière s’échappent en petits cris rauques et désordonnés, vibrant dans l’air comme une mélodie qui fait frissonner Aife d’un plaisir presque palpable. Elle esquisse un sourire carnassier, ses lèvres pleines et humides s’étirant avec une joie perverse. Elle trouve sa partenaire irrésistible, ses protestations hésitantes et ses tremblements délicieux ne faisant qu’attiser le feu qui couve dans son ventre. Sous ses mains, elle sent la chaleur moite irradier du corps de la lapine, les frissons qui crispent brièvement ses muscles avant qu’ils ne s’abandonnent, comme si elle se noyait dans un océan de sensations qu’elle ne maîtrise pas encore.
« Partir ? » susurre Aife, sa voix suave et traînante glissant comme une caresse vicieuse, tandis qu’elle penche la tête sur le côté. Ses cornes imposantes, luisantes sous les néons, projettent des ombres sensuelles sur le mur, accentuant son allure de prédatrice joueuse. « Oh, ma belle, tu viens juste de débarquer. Le Lys t’a choisie, tu le sens dans tes tripes, non ? C’est pas un endroit qu’on quitte comme ça, sur un coup de tête. »
Elle fait remonter ses doigts le long des cuisses charnues de la lapine, les explorant avec une lenteur délibérée et provocante, s’attardant sur la peau tendre et frémissante de l’intérieur, là où la chair est si douce qu’elle semble fondre sous ses caresses. Elle sent une tension délicieuse, un léger sursaut qui trahit une sensibilité à fleur de peau, et ça la fait vibrer d’excitation. Sans brusquer – elle préfère séduire que forcer –, elle savoure chaque seconde de ce jeu charnel. Ses ongles vernis griffent légèrement la hanche ronde de la lapine, puis glissent avec une langueur érotique sur son ventre plat, où elle perçoit un frémissement nerveux. Elle s’arrête, de nouveau, sous la poitrine lourde et insolente, saisissant un sein dans sa paume pour le malaxer avec une avidité contenue, ses doigts s’enfonçant dans la chair moelleuse pour en tester, encore une fois, la fermeté exquise, la texture soyeuse qui cède sous la pression.
« Regarde-moi ça », souffle-t-elle, sa voix rauque d’une admiration lubrique, ses yeux sombres pétillant d’une lueur vorace. « Le Lys t’a sculptée comme une putain de déesse, tu vois pas ça ? T’es un chef-d’œuvre, ma grande, avec ces nichons à faire baver n’importe qui. »
Elle se penche plus près, ses cornes effleurant l’épaule nue de la lapine, et son souffle chaud, chargé d’une promesse sensuelle, s’échappe de ses lèvres entrouvertes pour danser sur la peau sensible. Elle imagine les frissons qui doivent la parcourir, la chair de poule qui doit se dresser sous cette provocation subtile, et une vague de chaleur lui traverse le bas-ventre à cette pensée. Sa partenaire semble dépassée, presque hagarde, mais son immobilité sous ses mains trahit une curiosité enfouie, une envie muette qu’Aife compte bien faire éclore. Elle croque sa sucette avec un craquement sec, le sucre éclatant sur sa langue dans une explosion sucrée qui contraste avec l’ambiance lourde de désir, et elle fait tournoyer le bâtonnet entre ses doigts, déjà perdue dans ses fantasmes sur ce qu’elle pourrait lui faire ensuite.
« Tu sais », reprend-elle, sa voix tombant dans un registre grave et envoûtant, comme un murmure qui s’enroule autour de ses sens, « c’est carrément bandant une fois que t’y prends goût. Le Lys, ce corps de ouf, tout ça… c’est un cadeau, une renaissance dans le plaisir pur et dur. »
Elle repose ses mains sur les cuisses épaisses et brûlantes de la lapine, les pétrissant avec une pression ferme et lascive, ses pouces s’enfonçant dans la chair tendre pour dessiner des cercles profonds, presque possessifs. La peau sous ses doigts est moite, palpitante, et Aife imagine les courants de chaleur qui doivent remonter le long de ses jambes, jusqu’à son entrejambe encore vierge de ce corps tout neuf. Ses yeux glissent sur le visage de sa partenaire, détaillant les traits crispés de plaisir et de panique mêlés, ses oreilles de lapin qui frémissent comme si elles appelaient à être mordillées, ses lèvres entrouvertes laissant échapper des souffles courts. Elle est une putain de vision, et Aife se dit qu’il faut absolument qu’elle voie ça de ses propres yeux, ce serait un crime de rater un tel spectacle.
« Laisse-moi te montrer ce que t’es devenue », lâche-t-elle en se levant avec une grâce féline, ses pieds nus glissant sur le sol froid dans un mouvement fluide et sensuel. Elle tend une main vers le panneau holographique flottant près du lit, le manipulant avec une dextérité experte pour faire apparaître une surface réfléchissante. L’image de la lapine explose alors dans toute sa gloire obscène : ses seins ronds et pleins qui débordent presque, ses hanches larges et accueillantes, son ventre plat menant à un pubis lisse et tentateur, ses oreilles dressées comme une invitation à la débauche. Aife s’écarte légèrement, croisant les bras sous sa propre poitrine généreuse, un sourire vicieux étirant ses lèvres luisantes de salive.
« Mate-toi, ma belle », susurre-t-elle, sa voix dégoulinante d’une séduction crue. « Tu crois pas que ce corps de salope mérite qu’on le baise, qu’on le tripote et qu’on le fasse jouir avant que t’aies l’idée débile de te barrer ? »
Aife s’adosse contre le mur, suçant sa nouvelle sucette avec une lenteur obscène, ses lèvres pulpeuses s’enroulant autour du bonbon dans un geste chargé de sous-entendus, laissant une traînée luisante sur sa bouche. Ses cornes brillent doucement sous la lumière tamisée, soulignant son aura de diablesse espiègle et insatiable. Elle observe sa partenaire du coin de l’œil, guettant chaque frémissement, chaque sursaut de ce corps exposé à son reflet troublant. Qu’elle geigne ou tente de se relever, Aife sait que le Lys la tiendra dans ses griffes sensuelles et elle, elle est là pour faire de cet emprisonnement un festin de luxure dont elle ne se lassera pas de sitôt.
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 09 mars 2025 21:00
par Tek_Usagi
Je ne suis pas sûr de comprendre ce qui m’arrive mais je sens que je dois m’enfuir d’ici le plus vite possible. Seulement Aife ne veut pas me laisser partir, elle continue de jouer avec mon corps et de murmurer à mes oreilles avec sa voix suave pour me persuader que le Lys m’a choisi pour une bonne raison et que je ne peux pas m’en aller sur un coup de tête. Elle fait glisser ses doigts sur ma peau avec une lenteur carnassière et une agilité experte, ce nouveau corps est très sensible et je ne peux retenir mes gémissements tandis que je gigote sur le lit mais elle me garde sous son emprise et savoure chaque seconde de ce petit jeu. Elle est en admiration devant mon corps, elle me qualifie de ’’déesse’’ et de ’’chef-d’œuvre’’, et de manière générale elle est bien plus intéressée par mon corps que je ne le suis.
« Aahh… merci mais… hhmm… il faut vraiment… que je parte. »
Rien à faire, Aife ne veut pas me lâcher. Vu sa petite carrure ce serait facile de la repousser et de m’enfuir, mais le souci c’est que je n’ai aucune idée de ce que je pourrais faire ensuite. Je suis dans un lieu inconnu, dans un corps que je ne connais pas, sans mes nanites et littéralement à poil. En plus je me sens encore fatigué, je n’ai pas pu récupérer complètement mes forces. Et enfin, à mesure qu’elle me caresse et me parle avec ce ton envoutant, les frissons qui se répandent dans mon corps deviennent de plus en plus agréables, m’ôtant l’envie de faire usage de la force ou même de protester trop vigoureusement. Je me laisse juste porter, espérant qu’elle finira par se lasser, l’écoutant me dire que le Lys m’a offert une renaissance dans le plaisir pur et que je pourrais vite y prendre goût.
« Ooohhh… »
Au bout de plusieurs minutes Aife décide qu’il faut que je voie de mes propres yeux à quoi je ressemble. Elle tend une main vers le panneau holographique flottant près du lit, le manipulant pour faire apparaître une surface réfléchissante qui me permet de découvrir pour la première fois de quoi j’ai l’air vu de l’extérieur.
« Quoi ? C’est… c’est moi ? »
J’ai du mal à croire ce que je vois : une femme hybride lapin allongée dans un lit médical, nue de la tête aux pieds avec un visage angélique, de longs cheveux blancs comme la neige, des yeux bleus et brillants, des oreilles duveteuses mais surtout des formes plantureuses : ses seins, ses cuisses, son bassin… c’est vraiment plaisant à voir. Je n’arrive pas à réaliser que je suis en train de me regarder dans un miroir, je pose mes mains sur mon visage pour sentir ma peau, lisse et vierge de toute imperfection, bien prendre conscience de ce qui m’arrive. Les paroles suaves d’Aife commencent à trouver écho en moi, ces nouvelles sensations que je ressens en caressant ma peau me donnent envie d’aller plus loin. Je commence à descendre plus bas, mon souffle devenant plus lord et entrecoupé de gémissements, et quand mes mains se posent sur mes seins je sens comme un électrochoc me parcourir.
« Aahh ! »
Ce choc me ramène à la réalité, je dois sortir d’ici. Je rassemble mes forces et je parviens à me lever du lit, et même si je suis secoué je pense pouvoir marcher, je dois juste m’habituer à la nouvelle répartition de la graisse et des muscles dans mon corps.
« S’il vous plait… je… je vous suis vraiment reconnaissant de votre aide et je vous en remercie encore… mais je ne peux pas rester ici. Ce qui m’arrive, ce… ce n’est pas normal. »
Je me garde bien de lui dire que ma curiosité est titillée pour ne pas lui donner d’idées.
« Alors s’il vous plaît… est-ce que vous pouvez m’indiquer la sortie ? »
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 20 mars 2025 00:49
par Le Lys
Aife toisa la lapine avec un sourire vorace, ses lèvres pulpeuses, encore humides de salive après avoir succombé à sa sucette, s’étirant en une moue provocante. Elle fit tournoyer le bonbon rose entre ses doigts, le portant à sa bouche pour le lécher avec une lenteur obscène, sa langue s’enroulant autour du sucre dur, laissant une traînée luisante qui brillait sous les néons tamisés. Ses yeux roses, brûlants d’une malice érotique, glissèrent sur le corps de la lapine, s’attardant sur ses seins opulents, leurs mamelons durcis et sur ses hanches généreuses, dont la courbe semblait faite pour être empoignée. Elle inclina la tête, ses cornes massives, striées de jaune, captant la lumière, projetant des ombres menaçantes sur les murs de l’infirmerie. « La sortie, vraiment ? » murmura-t-elle, sa voix rauque et mielleuse glissant comme une caresse perverse, chaque mot chargé d’une promesse de débauche. « Ma belle, le Lys t’a choisie. Il t’a sculptée pour le plaisir, et il va te baiser l’âme jusqu’à ce que tu supplies de rester. »
Aife plissa les yeux, un éclat de domination traversant son regard. Elle tendit une main, ses doigts fins traçant des arabesques dans l’air, et murmura une incantation dans une langue incompréhensible, sa voix vibrant d’une puissance sombre. Une lueur dorée jaillit de ses ongles vernis, formant des fils éthérés qui s’enroulèrent autour des poignets et des chevilles de la lapine, les liens magiques se resserrant comme des chaînes invisibles, chauds et vibrants, pulsant d’une énergie qui semblait pénétrer sa peau. Les fils forcèrent la lapine à se tenir debout, ses longues oreilles de lapin frémissant dans l’air. Aife esquissa un sourire satisfait, ses yeux pétillant d’une cruauté joueuse. « Tu viens avec moi, ma belle, » susurra-t-elle, sa voix dégoulinant de désir, mais teintée d’une menace sous-jacente. « Le Lys n’aime pas qu’on lui dise non. Et moi non plus. »
Aife guida la lapine à travers le couloir luxueux du Lys, ses hanches ondulant avec une sensualité provocante, les fils dorés scintillant à chaque pas. Les murs, drapés de soie pourpre et ornés de motifs dorés, vibraient d’une énergie érotique, et l’air était saturé d’un parfum sucré, mêlé à une odeur musquée de sueur et de désir. Des gémissements étouffés résonnaient au loin, ponctués de rires cristallins et de claquements de talons sur le marbre, mais l’atmosphère semblait plus lourde, presque oppressante. Des Papillons évoluaient dans le hall, leurs corps à peine couverts de bouts de tissu translucide – certaines portaient des corsets de dentelle noire qui laissaient leurs seins à peine contenus, d’autres des jupes fendues jusqu’aux hanches, dévoilant des cuisses luisantes de sueur et de paillettes. L’une d’elles, une elfe aux cheveux argentés, passa près d’Aife, ses lèvres entrouvertes laissant échapper un soupir lascif alors qu’une cliente glissait une main sous sa jupe, ses doigts disparaissant dans l’ombre de ses cuisses, une lueur de pitié traversant ses yeux. Aife jetait des regards brûlants par-dessus son épaule, ses yeux glissant sur les courbes de la lapine comme si elle imaginait déjà comment elle la ferait plier. « Un conseil, lapine, » lâcha-t-elle, sa voix tombant dans un registre grave et envoûtant, presque hypnotique. « Ici, tout se paye. Le Lys t’a soignée, t’a transformée en salope parfaite… et il va te faire raquer. » Elle s’arrêta un instant, se tournant à moitié, et passa sa langue sur ses lèvres, ses yeux s’attardant sur l’entrejambe de la lapine. « Et moi, j’ai bien envie de te faire payer en te faisant jouir jusqu’à ce que tu me supplies de continuer. »
Le couloir s’ouvrit sur une salle de bain de luxe, une caverne somptueuse aux parois de pierre brute, illuminée par des spots encastrés qui projetaient une lumière douce sur les murs. Une immense douche centrale, encastrée dans le plafond, déversait un torrent d’eau chaude, les gouttes scintillant comme des diamants sous l’éclairage. La vapeur s’élevait en volutes épaisses, emplissant l’air d’une chaleur moite, et le sol, taillé dans la pierre, formait un bassin peu profond où l’eau s’écoulait avec un doux murmure. Aife relâcha le sort, les fils dorés se dissipant dans l’air, mais l’atmosphère restait lourde, comme si une force invisible continuait de peser sur la pièce. Avec un sourire malicieux, Aife claqua des doigts, invoquant la magie du Lys. Une lueur pourpre enveloppa son corps, et en un instant, ses vêtements disparurent dans un éclat scintillant, tous les tissus s’évanouirent, révélant son corps nu, ses courbes généreuses luisant sous la lumière, ses cornes scintillant comme des joyaux, et le tatouage de papillon sur son bas-ventre semblant presque pulser. La lapine sembiat déjà être nue, exposant ses formes plantureuses – ses seins lourds, ses hanches larges, et ses longues oreilles de lapin frémissant dans l’air humide, sa peau nue rougissant sous le regard brûlant d’Aife. Aife s’avança sous le jet d’eau, l’eau chaude ruisselant sur sa peau bronzée, collant ses cheveux à ses épaules, et elle tendit une main, ses yeux brillant d’une lueur possessive. « Viens, ma belle, » murmura-t-elle, sa voix rauque et envoûtante, mais teintée d’une menace voilée. « On va te laver… et peut-être plus. »
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 01 avr. 2025 18:40
par Tek_Usagi
Quel que soit cet endroit, il faut que j’en sorte. Rien de ce qui se passe ici n’est naturel et même si ce corps présente indéniablement certains aspects agréables je dois m’en débarrasser au plus vite. Malheureusement Aife ne semble pas d’humeur à me laisser partir, je la vois agiter ses doigts en prononçant quelque chose dans une langue que je ne comprends pas et d’un seul coup des rayons de lumière dorée jaillissent de ses doigts. Je sens comme des fils s’attacher autour de mes poignets et de mes chevilles comme des chaînes invisibles, j’essaie de m’en libérer mais ils diffusent dans mon corps une chaleur qui m’ôte l’envie de résister. La femme m’ordonne de la suivre avec une voix mêlant promesses sirupeuses et menaces sous-jacentes et je n’arrive pas à faire autrement qu’obéir.
« Non… lâchez-moi. Qu’est-ce que vous allez me faire ? »
Aife me force à sortir de l’infirmerie pour traverser les couloirs du Lys. Les murs sont couverts de draperies en soie pourpre ornées de motifs dorés, l’air est chargé de parfum et sueur, on dirait que même les murs vibrent d’érotisme. Tous mes sens sont assaillis, je n’arrive plus à garder les idées claires et ma résistance s’érode de plus en plus. Partout où je pose les yeux je vois des femmes à moitié nues en train de s’embrasser et de se caresser, partout j’entends des soupirs et des gémissements ponctués de rires et de claquements de talons, cette ambiance de luxure omniprésente m’écrase. Quand Aife me dit qu’au Lys tout se paie et qu’elle veut me faire payer en me faisant jouir jusqu’à ce que je la supplie de continuer, je n’ai même pas la force de lui répondre. Et quand elle se retourne et continue d’avancer, mon regard se bloque sur l’ondulation de ses hanches et je ne parviens plus à regarder ailleurs. Ces hanches sont si belles, elles se balancent d’une façon presque hypnotique, ces fesses sont si rebondies que j’ai envie de m’enfouir dedans et de ne plus en ressortir.
Je suis Aife jusqu’à une salle de bain de luxe aux parois de pierre brute éclairée par des spots encastrés dans les murs qui diffusent une lumière douce dans la pièce. L’air est empli de vapeur d’eau et d’une chaleur moite, je sens que je transpire déjà. Ma geôlière détache les fils qui me retiennent puis elle fait disparaître ses vêtements, se révélant dans toute la beauté de son corps nu, ses courbes féminines et ses cornes semblant luire sous la lumière. Je remarque aussi qu’elle a un tatouage en forme de papillon sur son bas-ventre qui semble presque pulser. J’arrive à sentir son regard sur mon corps et je me couvre instinctivement même si ce n’est pas d’une grande utilité vu la démesure complète de mes nouvelles formes. Je la regarde avancer sous le jet d’eau chaude de la douche centrale puis elle me fait signe de la rejoindre pour me laver, et là… j’hésite.
Ma première pensée est que je devrais m’enfuir, m’éloigner le plus possible d’elle… mais pour aller où ? De toute évidence je suis dans un lieu qui échappe à toutes les lois de la physique et de la nature et où des forces qui me sont totalement inconnues sont à l’œuvre. En plus de ça Aife m’a déjà montré qu’elle peut me forcer mon corps à faire ce qu’elle veut et je suis presque sûr qu’elle recommencera si j’essaie de fuir. Je dois me rendre à l’évidence, tant que je ne saurai pas exactement comment partir d’ici je dois obtempérer mais sans baisser ma garder pour autant.
« Bon d’accord… mais juste pour se laver hein ? »
Je dis ça sans trop de conviction, je suis presque sûr qu’elle va abuser de moi.
Je passe sous le jet de la douche et je dois dire que… c’est plutôt agréable. L’eau est pile à la bonne température, en plus il y a une bonne odeur fleurie qui baigne dans l’air, et sentir cette eau filer sur ma peau a quelque chose d’assez plaisant même si je ne suis toujours pas habitué à sentir que j’ai des seins et plus rien entre les jambes. Aife attrape le gel douche et le shampoing et commence à nettoyer mon corps et, même si elle n’a pas l’air de vouloir me faire des choses perverses tout de suite, sentir ses doigts sur ma peau est un stimulus déjà trop grand pour ce nouveau corps.
« Aahh ! Doucement s’il vous plaît… je suis encore sensible. »
Ce qu’il y a de positif c’est que mes blessures ne me font plus mal. En fait je ne les vois même plus, il n’y a plus qu’une peau lisse et douce sur mon corps.
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 20 avr. 2025 18:07
par Le Lys
Aife, Papillon de rang Platine, se tenait sous le jet d’eau chaude, son corps d’hybride naine – à peine 1m30 – dégageant une aura de sensualité captivante. Malgré sa petite taille, ses courbes généreuses attiraient tous les regards. Ses cheveux, un mélange de mèches blondes et brunes, étaient attachés en deux chignons hauts, accentuant ses cornes noires striées de jaune qui brillaient sous la lumière tamisée. Ses yeux roses pétillants scintillaient de malice, et un sourire provocateur dévoilait ses dents légèrement pointues, accentuant son allure espiègle. Son teint bronzé luisait sous les gouttelettes d’eau, et le tatouage de papillon sur son bas-ventre semblait pulser doucement, vibrant au rythme de l’énergie érotique qui saturait l’atmosphère. La vapeur épaisse emplissait la salle de bain luxueuse, enveloppant leurs corps nus dans une brume moite et parfumée, tandis que les spots encastrés dans les parois de pierre brute diffusaient une lumière douce, faisant scintiller l’eau sur ses cornes.
Elle s’approcha de la lapine avec une démarche féline, ses pieds nus glissant sur le sol de pierre humide, ses hanches ondulant avec une sensualité provocante. Consciente de la différence de taille, Aife claqua des doigts, murmurant une incantation dans une langue ancienne. Une lueur pourpre jaillit de ses ongles vernis noirs, et une chaise de douche en pierre sculptée, parfaitement assortie au sol, apparut sous le jet d’eau. Elle grimpa dessus avec agilité, sa petite stature désormais rehaussée, lui permettant d’atteindre facilement les épaules et la poitrine de la lapine. Ses petites mains, couvertes de gel douche mousseux, se posèrent sur les épaules de la lapine, massant doucement la peau lisse avec une lenteur calculée.
« Sensible, hein ? Ça me plaît,» murmura-t-elle, sa voix rauque et suave glissant comme une caresse dans l’oreille de la lapine, son souffle chaud effleurant ses longues oreilles duveteuses. «T’inquiète pas, ma belle, je vais y aller doucement… pour commencer.»
Aife fit mousser le gel douche entre ses petites mains, laissant la mousse blanche couler sur les épaules de la lapine avant de descendre lentement vers sa poitrine opulente. Ses doigts effleurèrent les seins lourds, les caressant avec une tendresse provocante, les faisant légèrement tressauter sous ses mouvements délicats. Désormais à la bonne hauteur grâce à la chaise, elle pouvait les atteindre sans effort, et elle prit son temps, savourant la texture soyeuse de la peau et la façon dont les mamelons se durcissaient sous ses caresses. Elle esquissa un sourire malicieux, ses yeux roses pétillant d’une lueur joueuse alors qu’elle levait le regard vers la lapine.
« Regarde-moi ces merveilles, » souffla-t-elle, sa voix teintée d’une admiration lubrique. « Le Lys t’a vraiment gâtée. Je pourrais jouer avec eux toute la journée… et crois-moi, j’ai de l’endurance. »
Ses petites mains glissèrent plus bas, suivant la courbe du ventre plat de la lapine, puis s’attardèrent sur ses hanches, les pétrissant avec une pression ferme mais sensuelle. L’eau chaude continuait de couler, rinçant la mousse et laissant la peau de la lapine luisante, comme si elle brillait sous la lumière tamisée. Aife se rapprocha encore, son corps nu frôlant celui de la lapine, sa poitrine généreuse effleurant son abdomen alors qu’elle se penchait pour murmurer à son oreille, sa voix dégoulinant de sous-entendus.
« Tu vois, ce n’est pas si mal, non ? » dit-elle, son ton grave et envoûtant. « Laisse-toi aller, ma belle. Ce corps est fait pour le plaisir… et moi, je suis une experte pour en donner. »
Elle attrapa le shampoing et en versa une noisette dans ses mains, puis commença à masser doucement le cuir chevelu de la lapine, ses doigts glissant entre les mèches blanches comme la neige. Toujours perchée sur la chaise de pierre, elle s’attarda sur les bases des oreilles de lapin, les caressant délicatement, les faisant frémir sous ses doigts. Un sourire satisfait étira ses lèvres pulpeuses alors qu’elle sortit une sucette rose de nulle part – un réflexe de gourmande – et la glissa entre ses lèvres, la suçant avec une lenteur théâtrale, le bonbon luisant sous la lumière alors qu’elle continuait ses caresses.
« Tu vas voir, le Lys a plus d’un tour dans son sac, » murmura-t-elle autour de sa sucette, son ton chargé de promesses. « Et moi aussi. On va s’amuser, toi et moi… et tu vas vite oublier ton envie de partir. Le Lys ne lâche pas ses proies si facilement. »
Aife rinça les cheveux de la lapine, laissant l’eau chaude emporter la mousse, puis elle descendit de la chaise de pierre, qui disparut dans une lueur pourpre aussi vite qu’elle était apparue. La lapine, nue et luisante sous le jet d’eau, était une vision à couper le souffle – ses formes plantureuses, ses longues oreilles frémissantes, et cette aura de vulnérabilité mêlée de curiosité qui la rendait irrésistible. Aife croisa les bras sous sa propre poitrine, accentuant ses courbes malgré sa petite taille, et inclina la tête, ses cornes scintillant doucement.
« Alors, ma belle, qu’est-ce que tu en dis ? » demanda-t-elle, un sourire provocant sur les lèvres, ses yeux levés vers le visage de la lapine. « On continue à explorer ce corps magnifique, ou tu veux encore me parler de partir ? Je te préviens, si tu choisis la deuxième option… je vais te faire changer d’avis, et tu vas me supplier de continuer. Sinon, tu peux aussi m'aider à me laver, donnant-donnant ?»
Aife fit tournoyer sa sucette entre ses doigts, la portant à sa bouche pour la lécher avec une lenteur obscène, ses yeux roses brillant d’une lueur possessive. Elle était prête à pousser la lapine encore plus loin dans les plaisirs du Lys, avec toute la malice et la séduction dont elle était capable.
Re: Les joies de la féminité [Le Lys]
Posté : 26 avr. 2025 22:49
par Tek_Usagi
Je n’aime pas cet endroit, je n’aime pas ce qu’il a fait de moi, il faut que j’en parte le plus vite possible. Le problème c’est que je n’ai aucune idée de comment je pourrais faire, surtout maintenant que mes nanites ne fonctionnent plus, alors pour le moment je dois jouer le jeu. Installée sur une chaise de douche dans mon dos, Aife commence à me savonner les épaules et elle rit doucement quand je lui dis que je suis sensible au toucher. Elle me dit qu’elle va y aller doucement au début et effectivement ses doigts massent ma peau avec tendresse tandis que ses murmures suaves glissent tels des caresses dans mes oreilles. Cependant elle laisse vite tomber les épaules pour passer à un endroit autrement plus sensible : la poitrine et mes seins nouvellement formés.
« Eh… attention par ici c’est… kkyyaahh ! »
Je pousse un gémissement bien trop féminin à mon goût quand je sens les doigts d’Aife s’attaquer à mes seins. Ses caresses sont plutôt douces mais je n’ai pas l’habitude d’avoir des sensations si intenses dans cette partie du corps alors je gémis, je me tortille sur place, j’essaie sans conviction d’échapper aux mains de la femme mais elle ne me lâche pas. Pire encore elle prend tout son temps, elle caresse mes seins avec lenteur et douceur tout en les complimentant et en disant qu’elle pourrait jouer avec toute la journée.
« Aaahhh… aaahhh… »
Ensuite ses mains commencent à descendre sur mon ventre et là je panique déjà à l’idée de les sentir entre mes jambes, heureusement elle s’arrête au niveau de mes hanches pour les savonner. Enfin je dis heureusement mais là encore je ne suis pas habitué à être aussi sensible dans cette zone et Aife s’amuse à pétrir ma chair en appuyant juste comme il faut pour me faire sursauter en couinant comme une fille. Sa voix suave m’encourage à me laisser aller, à accepter le plaisir que m’offre mon nouveau corps mais je ne veux pas. Rien de ce qui se passe dans cet endroit n’est normal, j’ignore pourquoi j’y ai atterri mais je ne le laisserai pas faire de moi son jouet. Pourtant, malgré toutes mes réticences, je suis bien obligé d’admettre que… cette expérience n’est pas complètement désagréable. L’eau chaude, le parfum dans l’air, le gel douche, les caresses… tous mes sens sont titillés et d’une manière plutôt plaisante. Je me sens toujours confus et vulnérable mais la gêne commence peu à peu à laisser place à un autre sentiment… la curiosité. Les mots d’Aife, qui me dit qu’on peut s’amuser ensemble, commencent à trouver de l’écho en moi. Je sens ses doigts me masser le cuir chevelu, s’attardant sur la base de mes oreilles en les caressant délicatement.
« Kkyyaahh… »
Je découvre que mes oreilles de lapin sont drôlement sensibles et que c’est agréable de se les faire caresser. Après le shampoing Aife me rince entièrement avant de descendre de sa chaise de pierre. Je me retrouve face à elle, nue et humide, ne sachant pas trop quoi faire. Si je me mets à courir je doute qu’elle puisse me rattraper vu sa petite taille, mais elle m’a déjà montré qu’elle a des pouvoirs surnaturels donc qui sait ce dont elle est capable si je la mets en colère. Et même si je m’enfuis, où est-ce que j’irais ? J’ignore comment sortir du Lys et les autres employées pourraient s’en prendre à moi. Et enfin, même si j’ai du mal à l’admettre, ce petit avant-goût des sensations offertes par ce nouveau corps m’a donné envie d’en voir plus, de l’explorer. Je me sens encore plus confus qu’à mon réveil et quand Aife me demande ce que je veux faire, je peux juste lui répondre…
« Je ne sais pas. Je… je ne sais pas ce que je veux. Je ne comprends pas ce qui m’arrive et… ça me fait peur. »
Je ne m’étais pas senti aussi vulnérable depuis le début de ma cavale, je ne sais même pas pourquoi je dis tout ça. De toute façon Aife ajoute que si je parle encore de partir du Lys alors elle continuera à jouer avec mon corps jusqu’à ce que je la supplie de continuer, et je n’ai pas envie de ça.
« J’ai envie de m’en aller… de retrouver mon corps normal… mais j’ai aussi envie de… de découvrir ce corps… de ressentir à nouveau ces… ces frissons. »
Je me mets à genoux devant la femme pour que mon regard soit au niveau du sien.
« Vous pouvez m’apprendre à… à explorer ce corps ? Mais en douceur hein. »
Faisant fi de mes appréhensions et de mes craintes je pose timidement mes mains sur mes seins. C’est le premier endroit que j’ai envie de découvrir.